en Judée pur y adorer un enfunt mm-od'mvhqu.nxi devait m& le genre bon qu'il les m m nugu ensemb'e, et, -y;n-dub %&:-ws duo".lo:f pays. Uranganor, 6 de retour dans sa vm..,uuiu use 3. 5 T remimaist ote: minks ; re, cette to sa'n'b!)h-. tenant sou tLils entre goe hlu..w!bnuq:'tl:n dolu: Fom t to voix To d Soels, woat is monds whta se prusterner.... O'est ce qu'Osorins assure -- gravement avoir appris de pw-_m_m.u?ofi'n'mmim de ce qui ret urde les Inde !I ajoute Al]:'ohl." "ll-;on a d'abord deax qni mar-- chunt ensemble, agunt le teint blanc» vétus & is roytlu,:cm. leurs préscute avec eux; letruisidme, de conleur brine, & pen prés comme un Ethio-- pien, portunt aussi son offrande......" Le pere Manassée, dans son ouvra. r, fuit aussi wention de cette b stoire 1 nomme Périmale,le roi de Caleout-- D'uutres livres di méme genre di sent que les Mages ava'ent eto douss pris dane toute leur nation, et se suc wédant de pore en tils depuis bién des sigcles, pour observer le moment de sappurtion de l'étoile prédite par le prophéte Bulamin . . . . Eutin, 1'é toile leur apparut portant un eufant an utilieu de ses rayoue. .. . Ti ajoute que les Ladiens dépcignent i haps ie e en _ D'autres ussurent que l'apotie saint ' Thomae, étunt allé en Porse, y ins truisit et baptisa des Mages, aprés quoi ils «'appliqoérent avec lui & pré-- r&wr I'Evangile ; on tient qu'ile fu bnul maurtyrisés dane une vi.e d'Ara-- 1e, Le connétable d Armame bcrivait & saint Louis que les trois rois Mages étuient venus de Taugat daus l'Ar méuie. Vepuns & présent, dit on termi-- nant don Caimet, venons & Pétoile qui apparut aux® Mages, . Qnelques unglous uut avancé que cétait uu as: tre nouveuu, eréé exprés pour aunoun-- cer aux bommes in uaissance du Mes sie. Omgéne (livee ler, contre Coie., Maldonat et Groting, ervient que vetait une espéce de comptequi avail purt | extraordinairement duss Pair ; d'autres ont prétendu que cletait un ange uy . curps . luminoux, en forme deud . -- 2 Pour nous, dit toujours don Cal: mo., tous croyons que c@tte étoile n avait point do place fixe dune i6 tir mament, et qu'eie était un . météore euflaminé dans a moyenne région de Pai, qui, ayaut eté remarque par les Mages avee des circonstances miracu-- lcuses, ftt pris par eux pour i'étoie previte longtemps avaut par Bulmam, _ Quelques uns men voudrout peut Ctre de coutes les conjecturer, de tou" tus les opinions que j'at rapportéve iot sur los Mages ; mais yavouerai que j'ar trouve do in naivete dans tous ces cummentaircs, et de p us, une preuve du respuct que por.a out ; uos devan-- crers a cos hommwes choisis de Dieu pour vonur de in adorer son tils.. Et ' Oa nesenquiert autaut de quelqu' uo que iorsqn on veut Ehonorer beau-- cuup ; quand on va si loin pour trou . ver ue im pierre blanche ut swine ; quand on tut venir les pius habiles ; quand on wbat les codercs les pius beaux ; qnand on scie et figoune les aruros ies p us précieux ; quand on 6 eve une foret de colonnes; c ost que Fon veut que io tomp'e que on cous truit suit noble et mago.tiqne, et . di-- gou du Dieu qui y sera agoré. _ _ Dare cette maguifique cuthédrale: de Uo.ogne, que ie roi de Prusse veui acheves, on muntre ie pius beau ren quaire que soit au monde ; l ch&se us trom Rois. . Li, fai vu trois crd-- nes sur des coussins de velours rou-- ge, ut aur les fronts de ces trois . tites de imort brillaieut des diadémes de diamaut que des empereurs envie Faient pour leur couroines. * Vicouts W aren. t¥ Toute communication que F'on nous adressera par in poste, et dunt tes fruie de port ne seront puyis, sera refusce, KciGourrict d'O®ttaboa. Joudi matin 22 f¥nvier 1864, _ Correspondance éditoria'e regue trop tard pour ce No, + roncs et notre s:vml sur quatro : cost an plus ou moins bien ul::dull. i repremo 10. vernour, qui re te le rui on minq et q'-?doit présider le ministore, exprimer _ son opinion et mettre a exécntion la volonté de Ia imajorité de son conseil et dn p'flutv-nl. ® 2o.Le consoil uérntlg on le minis-- t&re, composé de dix & doute mem--| bres, qu'un appelie ministres. Cha-- Enseignement politique J.K. borion, leur abolition compléte si elles sont tout & fait mauvaises ; de surveilier les employés des bureaux publics, de faire uves svin et Ccoonomic--tont -- me le parlement a ordonné en: fuit Ltnuux publics et d'entroprises quelconyues. 8o. l'd-(?:.b. d'Assembice, compusée xaute--cing représen: tants haut--canadiens.. : Le devoir. de cette Chambre est de passer de. 'bon-- nes lois et de donner:--an gourerne-- ment Pantorisation d'administrer les affaires et los finances du pays ;d'u ne manidre sage. Bon--devoir 0st aus-- si de comdamuner le ministére, #'il & mal fait ou s'i) prouve, en faisant de manvaises propositions, qu'il vent mal faire. 40. Le Conseil Légisiatif, compo-- sé d'anciens membres nommés par im eonronne, sans élection avant ou aprds, et de membres élus d'upros in nouvelle loi. Son devoir est de se mettre au fait des affuires en géue-- ral, de donner sa consideration anx mesures ruuéu dans . la ~chambre d'asseinblée dont nous venons de parier ; d'approuver ces mesures, . si elle sont bunnes; de. mlmpd-r, ai e--les sont en partie® defectuertisos ; de les reieter complétement, si elles sont tout--A--fait manvaises. Ni la Chambre d'A ssemblée, ni le Conseil Léegislatif nont le droit de proposer des lois ou det résolutions qui entrainent la dépense de quel-- qu'argent public. Le ininistére seul & le droit et la responsabilité de pro-- poser ces mesures; la Chambro / et le Conseil ont senlement te droit 'de les appronver on de tes rg"eter. De méome qu'un secrétaire ,d'un conseil de ville, de village, de'parois so ou de conité, ne pett mettre nin rogloment municipal en force, avant que ce raglemont ait éte 'pased par lo consei: et signé par lemaire on pré-- fet, do méime _ le gouvernement . ne peut mettre une loi en force avant qu'elle ait 6t6 pussée par !a Chainbre et le Conseil. De méme que lo trésoricr d'un conseil municipal ue peut Egaletnent dépenser Pargent de in munipalité, ni Pengager en aucuiie manidte, sane Pantositation du conseil 'et Iw signa tore du inaire on prétet ; de indme le ministére noe peut qéepenser ' Pargent public ou engager le »rédit de in province, fare des . coutrate on pro-- mettre pour elle, suns e consenta-- ment dea denx chamorcs. Ce qui précéde n est pas dostiné seulement an petit noniore qui pour-- rait Pignorer. Cost inesi pour ra fraichir la mémoire ue ceux qui l'a yaut appris, auraicat pa Poublier, Par Purtive da steanier-- Seotia. jeadi a" Sundy Hook, | nous somames . en possessioi ue nouveiles d'Burupe jusqu au 3 du prosent« -- Aw Nouce da Pape iu a présenté ses souhait> de bonne aunee, at tiom de tout I corps dip omatique. . i -- i) lymjerear a prononcé qnelques +paroles de remwiciments ot_a termind par le# mot survauia ; * Les dificuites gout fast ui. yir vertiins 6vénements dans diverses pur tes de PBurope, awront aplanies, en sur sury grfice a Posprit: concihatear 'dout le souvenuiys sout muimés, €l nous pouttons imaintentc la paix. 'L'empereur Nupoléon a n gu le curps d' plomndique lo lor jauy o1 s s Le Temps de Paris croit savoir que Em pereur a'ust adrees6 personueliement . & M. Uayton et a. exprime Sespoir que |agnée 184 verrail se conclure ln guerie et la téon wilmtionen AMerique. M > La France u puulé ia correspondance qui a br0 échangée récemment eutre defferson Davie: DPilietre J)Mtidunl et lui idmoigue beaucoup d atitid. Le Times p oteste contre lea entdloth¢uts fédéraux en Angleterrs, _ ~-- J'appelle de tous mes veeux 16 moment 0d les grandes questions .wl::--r;wnm." ie des revense on Augleterre pou: Panuée 1898 accusent une diminution de plus de un d'_mu E'I,"_'f",'.l'..lu!m sterling. Le Payrds Pails mignalait uns romen tendant a dire que Lond Cowley, Patisbassu: deur augiais en France, allait etre rapppi6. Lae journaux remi officieis en France on: prin dcoidéient uh ton hostile de 'Ang.e, terre. . l'gmpefem'_ I_{q\ol&.m LL, & 3 réception du E'Adresse du Sénat ; Monsiout io Présitesit, Organe du premier corps de IEtat, vous nr'apzme: des pa-- roles qui me touchent profondé< Je vois avec plaisir que. les discours les plus épposés sont venus se confondré dans Putiani-- mité du vots de PAdresse et me témoigaer la méme . copfiance} elle ne sera point trompée,. Le bien, vous le saves, est Puniqne mobile de mes astions. A Nintérieur comme & Pexté-- tieur je désire 'appaisement des Nouvelles d'EHarope. Vorci le discours prononcé moerenr Nanoléon I(I, r'h utopie, ne peut--elle pas devenir demainune régl§# *r»Quet q@i'il en soit, ily a toujyours honneur & d'un autre age;> g:hw nos ef-- forts pour e?:o but ; ne nous préoceupons des 'bbstacles que pour les vaincre et deVincréduli-- té que pour la confondre. _ . -- Veuilles dtre,-- Monsienr le Président, aupres-- da Sénat:{'in-- terprote de mek' remerciments. New--Y¥ork annooge que io géopral Stuart. & in téte d'un.corps de cavalerie de mhnr:u. avaient stteint ':2"':? les Fadbraux, pensant qu'il avait I'intertion 'de couper le ot;_dchv pros de Bail Ran, se sont raplies sur Hais lay w L'mt de Loe I?I?u chaque jour de nou-- veaux tunfe--ts, elle fait d'importants prépa-- ra'ife pour pousser la gnetre 'avee vzmonr au printerop«. . Elle #et muintenant campée eutre Orange et Gordonviile. On a écait de Waushington & la Tribnne de New York que le égon-- vernement du sud avait décidé de transférer la capitale de Richmond a C,jumbia. La caudidature de M. Lincoln pour la prochaine présidence est ufir- mais ofticlellement posée ; la conven-- tion républicaine . de : New --Hamp-- whire T'a votée par acclamation, le 6 du conrant, en déctarant 'que * la guerre doit dtre menée & %n par 'aduninistration qui l'a si heureuse, 'ment condnite jusqn'ici." _ _ Baltimore,--M. "Warfield, négo-- ciant de cette 'ville, a '6t6° antorisé par le département de la guerre & Wier Féchange, du _ sénatear ite, de la PensyIvanic, et du g6-- rfl\ér;l Primble, parent de, M. \fnr- eld. * . Bt, Louis,--Depuis ia . fermeture de Ta navigation, nos marchés sont «ans ancune animation. Depuis quelques jours, la température est tout & fait douce, et les propriétaires «l6 vaisseaux 'sout en ce moment fort occupée & prendre des mesures pour @chappér anx degite i:: cstsent tonjours Ta débcte, bateanx traversiers se donnent beancoup de mal pour tenir la traverse libre, mais ils ue rénssissent pas. New--Y ork,--Hier soir, o genéral Burnside a été fdté par un certain nowmbre do citoyens (fo la ville, qui «ui obntdonné un magnifique diner. La dépéche spéciale de Wasshing ton au World mentionne que la loi le conscription a été adoptée dans to sénat. Elle stipnle que tont ci-- toyen qui priera $300 au guonverne-- ment sera exempté du service jus 4u'A ce qne tons les habitants rési-- 'ént dans )e district auquel il appar-- tient Auront été 'sonmis & la cons-- cription, mais ap¥ds cela il devien-- Ira de nouveat stjet & In conscrip-- t 61. Il est tres probable que le congrds avant do se separer, doublers Ta taxe <ur tous les articles manufacturés. _ Washington,--Aujourdhui, le co-- lonel Ruscloff a été regu par le pré-- sident, qui laia exprimé toute la St. Jean, Nonvean Brunswick, 15 ianv.--L'audition des témoins dans Daffaire du Chesapeake a été ajourné in 21, Pavocut des accusés n'u({sm pas encore regu dn'fonverneur e ln province certains documents indis pensables & la pouranite de su cause. ment ontrotenait vis--&--vig du , Dane-- marck, -- Le goloteCest arrivé tout tecemment des Indes, ob i a rénssi a négocier un traité qui assire non mu?ment au Danemark mais A tou-- tes Jes.puissances la liberté do faire le commerce cotier anx Indos. Les chinois ont maintenant un pavillon national; avyant, chagne province et beauconp de nérouiunu avaiont lour pavillon particulier. On écrit dn Tennesseeorioutal,quo los tn u; es £ dérale ont su-.u..zu de BeamStation por io gonéral Longetret qui AEIM regu des ronforts du gené-- ral Ewell aurait rege Dordro de s'emparerde Knoxvilie. On dit que Varmée. qn'il commande, se n.onte & 40,000 hammes. Une autre dépéche de 'armée . du Potomac anvonce que le général Meade vient de uitm le comman-- dement de--'armée, pour se rendre & Wflm dit auesi quo le wéndral vient d'étre relevé Lo sénatear MacDongall vient de présenter--ane ; réeoution déclgrant _xlndunnuoh- relativenent & Pinvasion dn -- Memigne, ~Jla France s'eey thontiilé: hoetile: au . gomverne~ ment dés Etate--Unia, disant que si lat templacé par lo>général Warren ; q_:ld Aima W"" iy Meadé Q t(l.)ldlwh.llm 1864 Nouvelles des Etats--Unis. 'arméo du « préjugés tein et Lowar. \ Mesdiqura,--Lorsqne vous ires & Paris, venillez aller dire de ma part & M. Slidel! qu'il négocie pour obtenir de la France son protec-- torat. -- S'il le fuut, le peup'e Paccep-- tera avec joie & la dernigre extrémiré. Lo Mekique, is France et In Conté-- deration alliég,pourront, avec le com-- merce . libré, ce(guler du reste du monde. (Signe,) G. B. L.u'(u.. Ce méme Lamar écrit & un do ses amie en Angleterre ('n'il ne croit pas qu'il y ait dans toute ia confédération un million de balles do coton. EHcoles @'Agriculture de Ste. Aunne ot de Ste. Nous avons encore une bonne nou-- velle & annoncer aux amis de Pen-- seignement :Ericolc, et & cette partic surtont si intéressante de la jonnesse saudieuse, qui laisse le comptoir ou les protessions libérales, ponr se con-- sacrer & la vie des champs. Les neyf' cent cinguante prastres gue la cham-- bre d'agriculture, B. C., vient do leur voter, sous forme de bourses, font en effet un assez gentil cadeau, bien digne de leur dtre offert comme étren-- nes dn jour de l'an, 1864. Nous som-- mee heureux de pouvoir joindre aux mille bons soubaits que nous leur faisons, l'annonce de) la firande nou Eoo t o e velle de la création de diz neu bour-- ses on lour faveur. Dernin Vonverture des écoles d'a-- griculture, tous ceux qui voulaient y entrer étaieut abandonnés & leurs propres ressources. C'était d'abord une lutte en forme & soutenir contre plusievrs parents, beaucoup d'amis, et tous les voising. Mais cotte obsta: cle renversé, il en restait un autre non moin sérieux, le frais do la pen sion et ceux de Venseignemenr. La Chambre d'agriculture vient de lever en _partie cette diflic'lglté. wae Duns une assemblée tenue & Mont réal le 16 décembre,elle a affecté une somme de $950 A la création de dix neuf bourses de £50 chacune,une par chaque district judiciaire, en faveur dee jeunes qui se sentiront disposés & profiter des bienfaits de Penseigne-- ment agricole, pour se faire une po-- sition comme cultivateurs. D) seront attribuges & Pécols de Ste. Anne, neuf & celle de Ste. Thérdso. Le choix des prétendants & ces bourses est laissé aux gréaidenu des Sociétés d'agriculture e chaque dis-- trict. Sidiei au 15 mai prochain, les Présidents n'ont pas fait connaitre leur choix a la Chambre Wagriculten ve, uullve;-- nomtera elle méme les éléves bonrsiers, avant le ler juillet. Qlez:u l.)olllnueru, -"u:iu icticiand J:---vu. insisl u'y a pas de temps t dre pour cflu{ Il:i désirent KroE:er dis avantages o&em par is Chambre Chacun duit adresser sa demande au Président de la Société d'agriculture de son comté, faisant connaitre son Age, son degré d'instruction et sur tout justifier des moyens do se livrer & la culture do ia terre, aprés la sorlie de l'Acole soit pour son propre con}ivte soit pour le compte d'un autre qui lui assurerait d'avance une ferme bien montée. _ Suns 'offet immédiat de Mexample d'une culture raissonnée, Penseigne ment regu ler'ni} un conp mangué. 2005 Ond o is en d e Priste. accident an Ohili, plve besoagn enal hy ogl oi doigy on n':i-.h.ht i. Le 14 décembre, m ?:;.l: tub&nhgl:it u'orhhdo-c:'- , hy-:h.-; g'---b'h'"inh se lbign_: Fu-s--fii;:fiu'éli autre possédant seu lement une simpe instraction . pri maire.--Gaszette "des Campagnes. Les dépéches . dhier soir . font mention i thdme -- tewhpe vers let portss, d'h Tak remfos Pokjere miiaiomables 1e Les derni¢éres nouvelles du Mexique annoncent une suite non interrompue de cuceés pour Varmée francaise. Plusieurs villes sont récemment tomdée en son voir. La capitale de Juarez pn':'pouvait tan!:r d céder, et 0 Imi-it qu'elle serait occupée par es impérialistes avant la fin de décembre, 1 était rumeur que Juarez avait formé le plan de senfuir an Texas. A Saint Domingue les Espagnols ont remporté sur les insurgés une importante victoire qui leur permet-- tra, avec les renforts qu'ils atten-- daient instamment, d'abattre promp: tement l'insurrection. aUX ABONNES Rerakpar®s.--Nous reprod uisens de l'Zeho du Cabrnef de Lecture Varticle suivant, dont nous recommandons Ia lecture & pin-- sieure de nos abonnés retartadaires : " Nous prions les agonnés, ani ont difféeré jusqu'd ce jour de nous faie parvenir le montant de leur abon-- nement, de méditer sérieusement Pavis qui se trouve en této de la pré-- sente livraison de / Zcho. °* La méditation, suivant les plus frandu philosophes est la plus excel-- lente des choses ; elie préceéde lo8 nobles actiong,écrit un des sept sage$ de Ia Gréco : si les malheurs arrivent dit un proverbe persan, cest parce® que Phomine ne ingdite pas assez : enfin Phistoire noue enseigne que le bonheur décaule de la m%ditation f voila pourguoi noms invitons nos abounés infidéles a méditer une de mi--heure senlement n sommation tendre et respectueuse que nous leur adressons. «* Notre expérience du journalis me nous ayant démontré l'aphorisme snivant :--Pabonné gui pme est un hommne gut réfléchit '-fiaabormé gqur ne pare pas ne re:flécl{it jamais,--i\ serait cruel pour ueus de croire que Phomme qui réfléchit est d'ane espé-- Ce qui menace de devenir bientot in-- trouvable en Canada. ©* Si encore on arrivait & découvrir un procédé nouveau et ingénieux, au moyen duquel jes journalistes et leur famille n'auraient plus de ces besoins matériels qui les aviliscent 'et rendent semblabies aux autres hom mee, comme de manger, se vétir, st loger, se chauffer ;--ce serait demi mal, et on se consolerait d'avoir des abonnés qui ne paient pas, et méme de u'en pas avoir du tout. Mais no-- tre sigcle quelque Prodigieusement inventif qu'il soit, n'en est pas enco 're arrivé !& ; et en attendant, nous somines obligé, dans un jonrnal ex-- clusivement voué aux choses littérai-- res, de faire des réclames qui ne le sont pas du tout. toit #*écroulait ot engloutissai q"uoapn._umrh. On 5 En ! oui ; voila on en est la litté rature canadienne, notre liférature, comme on dit aujourd'hni ; elle est réduite comme la moins lettré des nécessiteux & criee famine. Elle vient dé naitré, ou plutot elle nait en ce momet et deja on oubile e ln nourrir, et . déja son seut e hétif organe dans e granmd dist t de Montréat se meurt d'inanitie lente, mais infaillible. . . .. . . . was o Incendie et Perte de vie Dimanche dernier vers 8 heures' du soir le feu se declara dans un chantier,& Pextremité de lauer, de' la Reine LeBreton's Flat. Malgré Pactivité des pompiers et des per-- sonnes qui se trouvérent sur les lieux, il fut impossible de sauver la maison ou méme de porter se-- coprs aux deux infortunés qui 1 habitait ce _ Shanty _ était occupé par un nommé Ri-- chard Seabrooke(vieillard de 60 ans) et son épouse malade et in-- firme. Quand il fut possible de 's_'npprochet des ruines on trouva desdeux corps réduits en cendres. Lundi matin une enquéte eut lieu par le Dr. Van--Cortland-- Le vendict rendu fut."Que le feu prit accidentellement & la maison et qne cest aussi Popinion des jurés que le nommé Richard Seabrooke était sous Fiufluence de atcohol quand Paccident arriv,a'" --A Boston, la senle aristo-- cratie reconnue est celle de Fin-- telligence ; anssi lorsqu'un Bos-- tonien demande des renseigne-- ments sur un étranger, dit--il : " Que sait--il 4" A New--York, on Paristocratie est une quéstion d'argent, on MEXIQUE rapidement & toutes | }e* fait la question suivante : " Com-- biep vaut--ilt" A Philadelphie, on tient & sa-- voir si wh inconnu est du pre-- mier, du second ou du troisi¢-- me sang; cest--d--dire si_l'éléva-- tion desa famulle date de la ge-- nération actuelle ou de la géné-- ration précédente. Cest a Yeu prés la méme cho-- se a Charleston, dans le Caroli-- ne du Sud, od Pon tient beau-- coup & Paristocratie des ancé-- On demande i Cincinnaii, = combien de cochons tuez--vyons ?" --& Chicago, "combien de coins de rue possédez vous?"--A Saint Louis, " étes--vous intéressé dang une compagnie de fourrures ?!-- & la Nonvelle--Orléans, partie américaine, " combien de coton chargez--vous ?" partie créole, " quels sont ses agpointemen(s et se présente--t--il bien? "'--A Mo-- bile, * s'habille--t--il bien et sait--il dépenser son argent * "--au Te-- xas, " sait--il boire comme un gentieman?" d San Francisco, © combien de pieds a--t--il ?° (il est ici question de pieds carrés de terrain dans une ville ou une mine,) --Dani¢re dit & son beau--pére: Savez--vous qu'elle est le premier homme du_monde 2 --Parbleu! cest Adam, lui répond M. Eoli-- ban.--Eh bien! vous vyous trom-- pez dit Daniére, le prenmer rhum du monde, cest le thum de la Jamaique." --On demandaient un jonr & un vieux soldat de Pempire, qui avait di, sous la restauration, as-- sister au catéchisme qu'on faisait & ses camarades, combien il y avait de Dieux 1 " Trois répor.-- dit--il sans hésiter,--Le pére est-- il Dieu 1--Oui--Le fils est--il Dieu --Non, mais s la mort de son pé-- re, qa ne pent lui manquer." --Dans une de nos églises de campa-- §ne, un bon vieux prétre de village aisait une instruction religieuse & de 'iennes enfants qu'il proparait a faire eur pl'cfl"ch communion. I! parlait de la résurrection de notre Seigneur Jésus--Christ. Un joune Bambin de dix & douze wos, qui semblait depuis quelques minutes plongé dans une profonde méditation, se léve tout & coup. Monsieur le curé dit--i1 ; ptr)urquoi Notre Seigneunr,iminédiatement apres sa sortie g:tombem\, est--il apparn & des femmes ? A une question aussi inattendue, lancée ainst A brule--pourpoint notre bon curé hésite, il ne sait trop que repondre, il se gratte Porcille et est sur le point de répondre qu'il n'en sait trop rien, malgré le mauvais ef-- fet qu'aurait produit une pareille dé-- claration, anx yeux de ces jeunes an: ditenrs, quand tout i coup une idéo lwinineuse lui vint. Mon petit ami lui ditil, si Notre Seignenr cst apparu a des femmes cest prgbablement pour que la nou-- velle s'en répandit plus vite. --Le Sport raconte un incident ar-- sez vif qui s'est passé," Nautro soir, dans un théatre du boulevard : * M.***, qut accompagnait sa fem-- me arrive an milieu d'un rcte, et de-- mande & passer pour aller & sa place, I'une des plus avancées du balcon. "Une £1me, qui se trouvait & l'en. "Une dame, qui se trouvait & i'en-- trée du passage, no veut pas se dé-- ranger. -- Une altercation s'ensuit, el-- le s'anime et prend un caractere d'irritation telle que la dame donne un soufflet & M.***; celui--ci riposte, mais en appliquant & son tour un soufflet, non sur la jote de Ia dame, bien entendu, mais eut celle du cuva. lier quise trouvait mssis &A ces cotés. Ce monsienr, étonné, rend le soufflet; une mélée s'engage;Uautorité survient on sexplique. _ > 8 _ * Or, le monsieur sonfileté se tron-- vait complotement étranger & la da-- me; il n'etait que son voisin de stalle, "M.**ini fit ses excuses, et comme il fat trouvé que l'agression, cause de tout ce désordre, était venue de la dame, il fut naturdlement autorisé a rentrer dane la sa'le et & prendre possession desa place.,, L on trouvera chez M T. Turgeon Libraire Canadienne tout espéces de cadres dorés pour Tableau, Portraits , etMiroirs, de toutes descriptions ; et a bien bon marché. Mr. T. a aussi regu un bel assortiment de Valentins-- Valentines et Valentins ne man-- ques pas d'aller lui rendre visite. --On no connait pas encore le suc-- cemenr do Mgr, Hughes a 1Arche-- véch6 de New York. Les_noms de Pbvéque Bailly, du New Jersey, de-- gnus : I'év&'ue Timon, de_ Buffalo, dignior ot Véeveque xucwm- bany, dagn:siprue on't 616 3 &