Le Courrier d'Ottawa, 15 Nov 1862, page 3

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MoN8t: un,----Je prends la liberté de voua transmettre la recette survante qui, dans m. temps on les caltivateurs perdent de si gran-- des quantités de paiates, peut leur étre d'a-- no grande utilité. Je I'ai employée pendant quaire ans avec un succes complet, car ie n'ai pas perda un minot de patates depuis ?M Je Pemploie, quoique je les ale quelque ois encavées déja -u-q-Lo- Repandez un pldechuondpodre-nr le piancher de ia cave et mettez des pataies A une épmissour de 6 4 T pouees. Repandez « L' Unita italianna, i Diritl, 1P Armonia, la Stampa, la Gazzetta di Torino, i\ Piemon-- te, i1 Subalpino, laGazzetta di Casale, i Ga-- anduja, i1 fla.tpuinn, it Movimente i\ Rigolette il Proletario, lo Stendardo_ cattotico, i\ Popo-- 1 Osservatore bresciano, il Lonbardo, i1 Pun---- @golo, la Cicala politica lo Zenzero, Ia Nuova Europa, il Centemporaneo 1 Ingenuo, i\ Lam-- pone, 1' Erode Bologna." #oxs, écrit ce qui suit an redactenr du Scien tific American : L lasdas 4e 202. wur ces patates de la poudre de chaux et meitez un autre lit de patates ; puis encore de la chnux ot des patates alternatitement josqu'a ce que le carré soit rempli. Un mi-- not de chaux suffit pour 40 minots de pata-- tes, mais une plos forte E?Or"nn ne serait aucunement nuimble, la chatk améliorant tion. Lescarbosn est compare devabt ls ie mm e ictencmmmnst* (© Au moment de commencer la bataille, chaque homme sent qu'il a & se faire un nom, et chaque homme se bat comme si dans cetie lutte sa propre réputation était spécialement en jeu. Lorsque ces hommes sont face & face, sur un champ de bataille, avec ceux que on a dressés g n'étre: que des machines, anxquels on n'a appris les de-- voirs du soldat que par un traitement sévére, dur et sans pitié, et dont un grand nombre ont été entrainés de force dans un service qu'ils détestent, il ne faut pas s'étonner que les premiers apportent avec eux une force morale irrésistible. Ce n'est qu'une nouvelle preuve que, dans tous les cas, le iravail in-- telligent 'emportera sur celui qui est sim-- plement le résultat d'ane force animale." _ «* Son but est done de se rendre propre d une meilleure position, ce qui implique la nécessité de ne point étre une machine. 11 suit de Id qu'on trcuve dans .'armée fran-- gaise un dégié de disciplhue quon cherche-- «aient en vain ailieurs. ' «* Cette discipline est poriée & un tel de-- gré de perfection, qu'elie fait Padmiration de ceux gui ont vu le soldat frangais en campagne. Iis parlent du respect profond qu'il montre, en toute cceasion pour Ja pro-- priéte des habitants du pays ou i1 se trouve, de son ordre parfait et de sa bonne conduite dans toutes les circonstancs. is disent qu'ils nont jumais vu de soldats en état diviesse on qui les traitassent avec rudesse ou méme incivilité. Le. soldat frangais est. topjours prét & donner avee bonté les renseignements qu'on lui demande ;il ne se vante jamais apres une victoire; et n'a pour ses prisonniers que des sentiments de bienveillance. --On lit dans le Journal officiel de Sicile: «* Les journaux dont la distribution est in-- terdite dans Hile, par suite des mesures adopiées par le Gouvernement, sont les aui-- vants : '*On ne découvre pas dans Parmé e les signes extérieurs d'oue discipline sévére ; mais seuls ou en -- présence J'oflicierfl, les hommes tiennent_toujours la méeme conduite. plutét leur golt qu'elle nd lo grite ----Jeadi dernier, lo sergent 'Coniliera Montreal a arrété un homme do nom de Les» carbeau secusé d'aveir vold $50 chez le Dr. Coderie dan« Ir'nnia |I¢j'w-¢n, ot $50 appartonant an Rev. M. . Aprin gurni #a bourse, Lescarbean est fl suite pour Ofnwa et n'est reveno en cefie ville, que Jeudi dernior johr 'de son " Afréatis _ "Chaque homme sait aussi que le chemin de Pavancement lui est ouvert, et qu'il n'est parcourn que pas ceox qui ont les qualifi-- cation< néecssaires. 4 ©@ Tundis que; dans les autres arinées, le soldat est une simple machine, él6vé & croi-- re qu?il est de son devoir de laisser les autres penser pour lai, et qu'il n'est nécessaire, par conséquent, d'execer ancune de ses faculiés intellectuelles--s'il est assez heureux--pour en posséder----dans Parmée fralicaise, au contraire, il apprend & compter sur lui--mé-- me et a exercer tonte Pintelligence qu'il Phave des Lacs: _ Nous trouvons dans un journal américain, de New--York, une appréciation du soldat frangais qut mérite d'eire reproduite. Bien que ies vérités eu soient famili¢res & nos lecteurs en géuéral, ils n'en verront pus moins aveo plaisir la constatation & Pétran-- ger, o% l'on n nous rend pas toujocrssi plai-- nement justice : . _ . _ «* L'état de la discipline dans Parmée fran-- yaise est bien fait pour étonner ceux qui ju-- gent les so!dats frangais 'comme ils juge-- raient les soldats des autres nations. peot posséder Le jury: a rendu le. verdiet suivant: © La defunte cst morte par suite d'inflammations de Pestomac, accélerée par le manque des aliments les plus indispensubles & la vie. Le jory censure a Punanimite la conduite de M. Eaves, Pun des administrateurs de White Chapel Union: Cet administrateur a man-- qu6 & son devoir. Le jury recommandd yqu'a Pavenis Padministration ait le droit le s'iquérir dee moyens d'existence des ma e lirureox en dehors de !a maison des pauvre~ avaut de les en faire sortir." tavail, mal.nfle et hbr~ détaf «e soutenir sa famil e. _ M.\Eaved ne persi--ta pas moins & faire sortir laxma/hevreuse femme de la maison des p«o¥@k. Oif sait quel fut le triste resultat de 'ce fuduite inhumaine. On la trouva presque morte de faim, ct cile succomba pea d'instants apres. -- Ox mxurt oe rarm A Lo®bres.--Une mal heureuse femine, Charlotie Crippin, est morte de faim, il y a quelque temps, dans Wellclose square, upiés avoir 616 renvoybe d'ine maison de pauyres. Comme i! y avait incertitude sur la véritable cause de ce dé-- plorable évenement, le mari d'une part, et M. Eaves, Padministrateur de la maison des pauvres' dite ith Chapel Union, dautre part, étaient incut w raison de ce fait. Une enquéie a eu lie M. Crippin et M. Eaves ont été coutradictoirement en-- tendus, ainsi que M. Chantidw, professeur de gymnastique, qui a pour éléve ou appren ti un fils de M. Crippin, . l d eté avére que lorsque M. Eayeswavait foreé/Crippin de re-- prendre sa feutime,\¢e malkeyreux était sans travail, mal.uFt et hpr= d%étaf «e soutenir sa famil e. _ M.\Eaved ne persi--ta pas moins & faire sortir la~malhevreuse femme de in ConsERvaTro pes ratates.--B. J. Pra féroce et lui avoir fait éxécuter Pexercice an noncé sur le pmfrunlne, au milieu des lfi plaudissements de tous les spectaieurs. combat entre la panthére et Phomme a duré avec abondance ; les assistants poussment des cris de terreur. -- Nullement effray, le gardien persista a vooloir faire obéir la panthére; mais elle continua & résister, mal-- té les coups terribles dont le gardien ln fi..pp-n. Celui--ci quitta alors la cage et y rentra bientdt aprés, muni d'une baguette de fer plus lourde, et maigré le sang qui cou lait sur sa figure, il ne quitta la cage qu'aprés avoir fait sentir sa force & la béte vingt minutes [J-- Combat entre un homme «t une pan-- there.--Le Times rapporte un accident gui a eu liew & la ménagerie d'Edmnond, & Netri-- ham. . Un negre d'Afrique était rentré dans f- cage d'une panthére pour lui faire un ex~ ercice consistant & la faire sauter dune ex-- tremilé de la cage & Pautre. L'animal, an liew d'obéir, se jeta sur son gardien et lui dé chira la figure. Le sang se mit & coulet doit conduire la nouvelle épouse & Trieste, A bord de cette frégate un archidue autri-- chien venu a Rome :' ur"l-u ma-- riage Fachiduc Char 1} a donné Pordre, en retournant &Trieste avee Parchiduc-- chesse, de ue pas traverser le détroit de Messine. soupat raNcais.--On lit dans le ta7~Toute commuanication que 'on nous fera parvenir par la poste, non affranchie, sera refu Un gargon pariant et écrivant le frangais et I,anglais désirerait trouverde Poceupation comme teneur--Je--livres on eorifle. Quel-- ques années d'cxd:_rim qu'il a ef dane ces branches an Canada !e mettent en état de s'mequitter des obliplllon?qni y sout attachées. S'adresser A ce Bureao ou & 1¥ Nous prions instamment ceux de nos abonnés qui n'ont pas encore payé leur abonnement, de bien vouloir le faire sous le plus court délai. Ceux qut nous doivent pour un semestre ou deux, doivent compren-- dre qu'il serait enfin temps qu'ils se rendissent d nos justes deman Les membres de la Société St. Vincent d& Paul sont prics de se réunir dimanche & trois heures P.M., '.n.lll.he-.i d'bcole.E'M v Demers, urray de g;:éder ux l'lectom'. of-- iers, et &« autres im-- portantes. f 1 Le Bureau du Courrter se trouve maintenant Rue Clarence prés de la Rue Dalhousie, a la résidence du _ Rédacteur. Les personnes qui désirent annoncer, ou transiger quelques affaires quelconques sont priées de s'a-- dresser directement au Proprié-- taire--Rédacteur. Orge. ... ---- _ Avoine... . ----_ Sarrasin.. ---- . Linelll. ---- . Mille.... . ---- _ Laovines--Patates.¥" poche Féres.... minot. Laitznis--Eufs.. & dour. Beurre frais¥ D ... Beurre »alé ----. Voraitt® ~Dindes & conpl. Ofes: ...... ----. Canards.. .. ----. Poulets ... ----. Grane--Blé Viaxpxs--Bouf. . Roasbeef Lard. ... Jambon . Agneau.. Monton... Veau. ... Bosuf.... Cochon . Fravr--de bl€. . . . @ quint d'avoine.. ---- blé--d'inde. . ---- PRIX DU MACCHE DE MONT REAL. No: $ sn iss erreaiarreee FiGg sns ceve cessn gabes Farine dAv. par 196 Ibs. Fleur de ble d'inde 200 lb Segle par minot 56 lbs. Orge | " «48 lbs. Sarasin © ©5= 44 Ibs. BLE-- Automne . . .. .par 60 ibs. Printemps. . . . ©"* 60 lbs. POIS--Par 60 Ibs noass BLE--D'INDE --Par 56 lbs. Avoines--Par 34 lbs . . . . Feves--Par 60 lbs ... ... LARD-- PLEUR-- Extra pr quart 14 Nov. Fleur.--Superfine de l'Etat $4.85 a $5.05 commune et extra moyen-- ne do $5.40 a $5.50; de l'Ohio $5.-- 45 a $5.55; du Canada $5.25 A $5.-- 85 ; fleur de seigle $3.75 a $4.25 blé 1.17 a $1.40 ; sei&]e 82cts 34cts.; avoine 47cts. a 50cts. SITTUATION DEMANDEE (3--Un chasseur frangais, on . chassant deruiérement dans le voisinage du bois de Clairmarais, tua un ombuu'sf'nn- grosseur peu ordinaire, qui avait & une de ses paties un anncau en ler sur lequel on voyait gra vés des mots : * Né a Courtrai, en 172. "Ce fit confirme la tradition que les corbeaux vivent au dela de cent ans. Le bulletin télégraphipue dhier contient la dépeche suivante que nous regardons comme trés--importante: * Le navire & va-- peur de guerre anglais Rinaldo s'est appro-- ché du pied de Canal Street, & la Nouvelle-- Orléans, et aprés une aititude hostile, de-- mandant aux d-ummb. Nlngimmh' ent de James Syme, droguiste, sujet ai s confi-- né au fort Pickens, et u'n- i:flbnnilb de $1000,000 pour la saisie Je va personne et de sa propriété. Le géuéral Butler a deman-- de dix juurs W" consulter sur le suret les autorites de. Washiugton. La demande a éte accordée. Le cupituine du Rimaldo est un officier d'une grande courtoisie et dont ies sympathies sont, dit--on, acquises & l1 cause du Sad. Le genéral Butlera publié un autre ordre infAme defendant le paiement des det-- tes iul"punnnn qui n'ont | pas prété . ser-- ment. J. 0. Laterriére Coin des rues King ot Water. Ortawa 14 Nov. 1862. -- is nouvelle d'un nourel yo dPbostilite du du eommodore Wilkes. 'j.z'i dire qu'il avait blogue les ports, refuse de retirer ses vaisseaux a la demande du vernear et envoyé ordre an captaine du &i.nh venir a son bord. . Ce capitaine, se trourant sous la protection d'u:w'u'hin qui se prépara & la défense, refusa. . Wilkes laissa alors le Giud.ator :'-nim Cet incident avail atting Pattention ue en Angleter-- re, et on disait que a-:n- avaieot 616 donnes pour renforcer Pescadre des lodes Occidentales, . Le cabinet avait 616 convo-- ;'ni, mais n'avait pas siége. La Gazefte de Armée et de la Marine en infére que Lord Lyons revient & Washington sans instructi-- ons par rapport & un changement l.'mliliqu excepté pour les éventualiiés secondairtes. Mess ... . .. Prime Mess Prime ... Le Scotis, ayant a son bord Lord Lyons, est arrivé samedi matin & New--York. Le steamer_ Gladia'r des Bermades a apporié Sockete St. Vincent de Paul PRIX DU MA RCHE MARCHE DE NEW--YORK, Revu et corrigé Ortawa, 14 Nov. 1862 14 Nov. 1862 1 05 1 10 1 05 QUE L'ON AIT JAMAIS MONTRE EN CETTE VILLE (F°A TRES BON MARCHE. j |, 1000 Paires de COUVERTES, blanches et de eouleur. _ Pigces de COTON JAUNE achet avant la hausse des prix. a « _ SHIRTING BLANC « _« _« O« 500 e« 6--4 COBOURGS, depuis 74. 300 _ © _ 6--4 WINCEYS UNIS ET CAROTTES, depuis 74 50 «_ 7--4 MERINOS FRANQAIS, depuis 32. 100 _ Doz _ MOUCHOIRS DE TOILE, 3s. lia donzaine. 250 «« QOQLE'_I'S-DE DENTELLES et MOUSSELINE, f de&nil 24. chaque 13 « VYOILES d:.'l)ENTELI,E NOIR et de FAN-- ' 'TAISIE depuis 4d. 500 HOYLE, MsNAUGHTON, et INDIENNES FRANGCAISES a bas prix,--De plus une grande va-- riété d'autres marchandises, choisies avec beaucoup de soin, seront vendus & bon marché. AUSSI :--Chapeaux, Patrons et Etoffes_pour Robes, Bas de fan-- taisie et Gants. 'Fa is, Couvertiép, Flannelre(:, Toiles ouvrees, In-- diennes, Shirtings, (Fotons jaunesgt barres, Canadian Teewds,'Draps, Satinettes, Chemises, Collets, Cr&tes, etc., etc., LE PLUS GRAND ASSORTIMENT mnenunfsfis SECHES PLUS GRA§B MARCHE, BROUGH, BUCHANAN & CLE., ETABLISSEMENTS, UNION BLOCK, RUE SUSSEX ET DANS LA RUE RIDEAU Ottawa, 8 Nov. 1862. AVIS AUX ACHETEURS DE THE, Ottawa, 13 Nov. 1862 W 90 Yenezy entrez et examinez ses marchandises ot ses prig. e vous pourrez vous convain ore que le Magasin du sossigné est le lieu ou vous vous procurerez des effets pour la vi leur de votre argent. ie f 3 > J C, SPAAEROW, Jr., PROVISIONS-- Lard, Fleur. Mo séche et verte, Harrenge, etc AUSSI--Un fonds considerable %m de Vin de Molson et de d'Hennessy et de Martel, Gin de Hollande, Vin de Porte, Shert. R Son assortiment de ORD&IIMQI complet Maricades, Sauces, Epices, e10., 616.4 NOUOVEAU MAGASIN DE GROCAIES! Le soussigné ayant acheté & trés grand marché p comptant toutes ses marchandises, il se croit capable de vendre & des prix si rédaits qu'il peut déficr DA NSles PRIX des THES et CARFFES ETA BDRNH 1 96. CAISSES ET BAL Ottawa, 31 oct. 1862 HANTEAUX ET CHALE3, e M uch,0 0o oc l NOUVLLEMENT | oUVERTES ------CGONSISTANT EN'-- Riches Soies de fantaisie et noirs glace'es RUBANS, FLEURS, VELOURS VE SoIES Les persounes qni voudront bien lui ml;flon'uuugo ree fees ~"*THOS. & "WM._ HUNTON TOUTE COMPETIT1O~ plus grand assortiment de LIX@QU EU RS. A BON MARCHE. CoOoNsISTANT EN DRAPS Avant d'acheter votre thé II faut avoir considéré On vous pouvez le trouver, Savoir, ou vous devez aller Pour ce qu'il y a de mieux Sous la calette des cieux Pour satisfaire votre bon godt Allez on l'on trouve de tout L'Enseigne rouge de Ia Trfrirx Dira ce que vous devez faire. La Tekrere ne ment jamais En annongant son thé frais Que Pon trouve & bas prix Chez Romisox t Compaont». 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MILRS sepére proover do nouvena an public qu'il ent en 6tat de pouroir satisfaire ses fl%: comme par le pessé. awa 21 Aokt 1863 M Mll.- profite de l circonstance » pour annoncer qu'il vient de ro-- cevoir d #on étabilasement, -al- cspéced dar-- ticles de toilette, et @e In teintore ar les chere«s. Dur-l'nlnoln. r! Y1010N8, ACCORDEONS;(0ONCBRTINA, PLUOTINA, .. GUH7, ¥10. LON8, BANJO8, ARL PL WYV ouilret ie BARBIRR des PRINORS e W 'ie PRINCE desBARBIERS YVernis, Bois de teintures, Medecines Patentes. Couleurs a teindre Esprit de Terebentine Brosses, Camphine, Fluid, Instruments pour Chirugiens, et pour Dentiste De toute descript ion et des plus modernes Parfumeries, afin tout ce que! peut dés dans nnyhlrn acie premier o Ottawa 22 1862 SALON DE PARFUMERIE CHEMISTE PHARMACIEN. , wwse (Medical Hall.) MARCHANDISES Rue Rideau -- Ottawa. 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Le Soussigué, ayantdécidé de se retirer des Affaires, offre ca vente son FOQNDS de MAG A-- 8 N, consistant ea un ASSORTIMENT GENE-- RAL, dans ie VILLAGB de CURRAN, ay cen~ we du Townshipde North Plantageast, Comté LOTIRTE ROYAL HAVANE, PRINCE DE GALLES. PoU & Q@UVEUTETABLE R ComnMmEeRUce a Li carx-- PAGNE. Bangquiers, 16, Wall street, New--York Ottawa, 25 oct. 1862. Ottawa 15 Oct. 1862 _ PHILIPPE GAREAU Uurran, 18 Sept, 1862. Wiliam fDaguette, Les Trara it vout se continuer E. MILES. Peintures, Huilles, Mastic, "inques trois fors par fomaine au Restaurent f..afontame. Rngues trois fois ; TMPORTANT~ escott Peignes, Ceox qui vedlent acketer & bon marahé t« ##at bien da profiter de Ia cirsonstance, (RUX de nos compatriotes qui se ren JNew--York pour leurs plaisirs. on doivent pes mangueride vie LMAN, surnommée dans. le m in métmpo 6 amérieaine. le leurs ot de Goit, le Paradis des mes. | M) TILMAN exporte ussi pour le --'l'l-l eonditions les plus avantageuses. Magasin de Chaussure. 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SUCUESSION sont requiats do enit ST par lo présentidono E .-i.'«".nr-...- le m.o.'l'"m COMTE, marchant 6h entie 4 maintenant l;lml 4 BENJ, Fer., seul mu IncAighi aasslan Prépurntion & Yéeote centrale, 6 Pédal# ims érinle d a Miner et 4 Téeola 'de commeren F-rla, aingl qu'an ibérentes écoles 41 4, Sougs an oifi o atterenies, sook Nee d met? ot l'nn'nd ; plusicurs d'entre cur patlent en outre Paliemand, i Les To&mesdoina 8eromt ronfours :3&& a-- 'étnde des Inguén vivantes et "mortes fmndie-- qne 1'étude des selences va prendre un sourel INBTITUTIONFRANCAIRE Tous les éléves de l""'-leurmM parlent et écrivent troim lnngues : le francais, Vanglais et l'nn'nd i plusicurs d'entre cur patlent PFOmA nsEA 1 Chals, E* | A70eme ue e King«bridge Road, NEW--YORK, MM, LESPINASSE & ESTEVEZ Jr Toater AVIS PUBLIC Shirtings, 48 wott °62..46 a dun 1s 24. i108. & c. < FORT WASHINGTON. Cotons jaunes, n 648 dirigee par Crinolines

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