Le Courrier d'Ottawa, 15 Nov 1862, page 2

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#¢ Bamedimatin, 15 Novembre 1862. La C apitale des Canadas ot ses envizons 'Comme conclusion de ce que nous avoms dit sur ce rujet, nous allons dire un. mot des immncuses ressources -h"fin et v@ulu;uigiunt pro-- fusément tout autour de nous, ot sur tout le long parcours de la rividre ds Outaonais et autres miscollanées qui se rapportent au méme objet, Pondant quo ces quelquos 'conts piastres,qui ont ainei 6té jétés au vent et d% pour assurer le malhour d'ane famille qu! est alors un nottveat fado.ultonr In société, de nembreux trésors Ianguissent 'dane' Pinertic, ot donnent au souil mbne de notre Yoyer sons e poids d'uno espéce de séqwes-- tration, que quelques éous ressucite= § it, aveo in avehir rayounant d'os-- et pour delui qui a'on empa-- et pour notre cité qui serait Bm bienfaisante voisine: qui, antrement ne voit ses richesses que telles que:ln mature I'8, sivabondamment--pouryu, Lowell est encore malade et fort ému de sa mésaventure ; . mais son état n'a rien d'alarmant ; et s'il ne rendre compte des événements il pourra au moins té-- a 'de la bonne avec 14 ie son ami l's régale de cidre KeGontrier ¥Ottii T1 est évident que, sous ce rapport, la rividre Ontaonais éclipse toutes les autres régions de notre vaste conti-- nent et ne demande qu'une exploita-- tion plus active ¥our doter notre flo-- rissante cité, qui sera ipse facto le centre de ses opérations, de richesses et de. revenus plus abondants et plus réels, qug le prétendn précienx mé-- tal que recdlent ces Eld':)mdos amé-- vicaing et étrangers, et dont la pensée senle fait battre tous les ccours d'un ;i'g espoir do convoitise et de cupi-- Toutefois 'amertame de cette pen-- sée toute décourageante qu'elle svit, trouve de Patténuation, dans cet es~ poir, 3ni adouncit les maux ot les cha-- gring 'de 'absence ; dans cette résolu tion qui rayonne an coour de tout ci-- toyen honndte qui est loin de sa ti-- mille, de-- revenir vers elle pour Ia consoler et lui faire oublier les peines et parfois les privations qn'elle souf-- fre durant son absence prolongés et qui est ..souvent l'npnm;ge do Péter-- nelle destinée de cette famille, Quelques fois la mort qui frap l'absent.comme le présent, Arons: une biex triste visite & cot infortn-- n6 fir&:t,mémtit en un senl coup toutes fifilpnoe- et lea illusions mi réchauffaient le ccoour d'une jenne Iponn et . d'innocentes eréllfium voudes & une mirgre précoce l Mais cette espérance chimérique et frivole, cette soif effrénée do Por, s'6é-- vanoquissent et s'étcignent bientdt, qund Paventurier avide de richesses, #'est laiss6 entrainé par son penchant; vers ¢es régions dont 'aspect lointain I'a séduit; dés--qn'il a pu lancer un w de désespoir autour de lwi, ot qu il s'est appergu quo tous ses rdves n'étaient plus qu'ffrouses ot lamenta-- bles déceptions, _ « II regrette alors l6 sacrifice qu'il a fait d'un cupital quelques fois asser considérable, qu'il i investi pour cou rir aprds une ombre illusoire, pendarit que ces mémes épargnes, lui étaient ici, sur les bords de 'Ontaonois, la base solide et certaine de cetté fortu-- ne qui lui est apparue dans un réve dane d'autres parages, et dont Pidée dePaccumuler, l'a matheusement con: duit loin de son villnqe; en abandon-- nant sa famille, quelques fois dans uné situation précaire, et envisageant la miséro et 'indigence qui In me-- nace d'ane mani¢re imminente ! Les fordts sans fin qui nous environ-- rent ot les bords fertilos de la--rividre Mq'. Jn Nature /n airiche-- ment revétu d'innombrables produits w ot l'.n bganx .sur lo «dorinent & nos parages une renge..vraiment enchanterosse ot J. E. I.l'bl. Redactenr, iwpa les jolle d amenonne e (ev ire arorix.) et équitable i eat imposi "md'gmituionfivil Iindifférence et de |'gs: qui somble Ifl" buti vés 'll.npor:::ll; fau W?-:m"""" Les mcnhudbz Bociété . 8t. . {Vincent.de Paul l'r\b l ?*. m' 'dethain ". w" »M; Grate, a, | gonérale des decstte institn-- #cha.| tion de, charité ot:, pour, transigner ' b . Ahnothit.& dbMibor::que 04 beuk nue Pont dany s ton noos dotiée fit 1d, t plongeé funto' d'aliment, ; peu--| plait a le ' pler dans ' g:'"| ot contem m'm' P i aniee s mtuorens i m bollee ~ de hnutes futaies "qui excitent | Padmir du spectutenr le--plvs in-- ; _ Le sol est fertile sur tous les points Phomme peut le regurd, d&s b"l'd.:myu,dn-é a'l t I'a ré # | vpiMe d¢ 14 lothatle dane Hagpetls 11 idne. .des., Frungais, . noug, dirons ; es Lorimnl ut e mpi inpulags 1 Les ressources. . minérales de Jn #i~ tz" (')nuon:i., bien que p'::'sxploi n'en son ns m-- breuses ot pw qn'nbons:nw . Lo tablesu suivant emprunté aux vantes ~recherches: de H" Bterry-- 5;» et qui sont le.résuitat de ses la-- borieux travauxien donnera une idléa asser parfaite, et déimontrera es bords de cette rivigre mumi'i'. for %:i':ir:lé, le fer l:i-obn:nx, !mumb sul-- ; pyrite de graphite, mar---- ne ML'&M phnq;hu de «llupx, Povrex s m'm'.'ufir Nee gourernement, des: études ot.des re-- devées do la. ligne ,de. navigation Notregplithat bion 3ue rigoureux, comime on nous le dira ')entvetre, n'offre.pas moins autant d'avantage pour la nayffatton. depuis Outaouais jusqu'd la téte de la rividre Creuse, qu'aucuue autre ligne rur le Bas St. llmuruut, cest--a--dire en prenant Pres-- cott pour terminus; et la moyenne de Pouverture ct de fermeture de la navigation sur 1'Outaonais, a été comme suit depuis quinzo ans :-- Ouverture de la navigation 27 Avril. Fermeture do 27 Nov. Voild des faits bien avérés ot qui arlent bien fort sur bimportance et ren ressources du Canada central, qui occul'w en ce moment Pattention du monde entier, et vers lequel les étrangers aussi bien que les canadiens, jettent un regard inquisiteur et e'in-- quti@tent de l'authenticité des merveil-- les pour ainsi dire qu'en disent les philantropes et les.--amis du progr@s. ooo alee s t airotpte calcaire, calcaire hydraplique, pavés, brgilaa, marbre 'brun ; ils'y trouve ausei des tourbes on plusieurs endroits dont l'em*)loio comme 'combustible est déj@ bien connu partout le nonde et dont Pexploitation mous forait un article d'exportation, article, que Is fertilité de nos foréts reud presque superflux Knu' notre propre consom-- mation--Les établisgements agricoles \gni se groupent dans ls proximité ies chsutiers de bois de construction tronvent 1d une voig inflnimumlun avantageuse pour tohs leurs produtits waucun des marchés locaux ou &tsngeu et Pagricultegr n'a pas & la sortlr de ses }nm&m. pour les trans-- orter: chez ledébitant; mais le bour-- geois de chantier va 'yfnin irruption et se les approprier l&en payunt lar--~ gement pour ce dont il rmm Pac» quéreut--o 00000 : OChacun se demande si lee récits qu'on en fait ne sont pasfabnleny ; si ce ne serait pas un I"BY empranté aux romanciors et.anx thétoriciens ; & cela nous répondons, que: cbacun est capable de juger pour lui.méme, et mno courte: wisite le convaincra de in ; véracisé de--nos arguments. . Et pour | noue servir d'un. langage em-- prunté d W. Shanley Ecnier, Ingé-- nigur.civil, chu_rgé en 1856,. par le jotée entre Montréaliet le lac Eumn,_ par --'Outaouais, ot., la ri~ découverte,.de. 1000 'milles_de Jong; male potre position . sur .l: g:rteHSn continent ost l{se position distinete et, spéciale..... . Notre dévalos;pemtnt national, pout ¢tte Jent, mais ibnn durable et sain. Lo surplus 'de Im population dee fles brmnnh':u pout trouver ici, pendant des sigcles en= gore, nn champ, pogison--génie et son industric, (@b '-W MA :l n soliatal, lee b'ap Cb, ipes -- %W'\ Lo 6 toksggs .:S.m peut a jamain raygnoot 'Satige 6t sercine." La Seciete 8t. Vincent d¢ Paunt ot bienfajean(e. Le sol est fertile :Ii de secourir vros pjare «o ul a. nous en nhr-db d'en deve-- nir membres et d' snir leurs efforts a ceux de leurs freres qui ont déja fait tant de smerifices afin de venir en aide aux pauvres, ; Voiei mq qui se présente avec l nrnmianen. g qui couvre notre beau tapis vert des campagnesde ce lin-- ceuil glacial. Ce n'est pas le culti-- vmuj.wmm ui les hom-- mes ion qui yout souffrir-- I»6toffe si ghaude du pays, in laine, ;fn 'bon fe Aum'no«rrrt:';c saine sont eurs ons de tous les jours. Le llnm.t si_souvent imprévo-- yant, si ped soucieux de l'avenir que dans la saimon de l'ouyrage quand les salaires sont hauts, au lieu de faire quelques économies, de penser au lendemain, de se préparer a l'hi-- ver, il vitau jour le jour, dépense tout ce qu'il gague, et compte sur Iw providence pour {'avenir. Oh ! si Pon comnaissait toutes les souffraces des pauvres a cette épo-- 3:0 deVannée! -- Si l'on mesurait ses z:nx toute !a profondeur et Pétendue do leurs meaux, combien encore Ja charité et la bienfaissance seraient plus actives. Nous ne you-- drions pas lecteurs vous présenter le tableau goi'mnt d'dtres humains crées a 'imngu de Dieu; brisés, m:&pnr le froid, torturés rnr la , les larmes aux yeux et le dé-- sespoir au cceur,. Nous ne voudri-- ons point yous dire ce qu'éfrouva la mére a qui ses enfants supliants de-- mandent une de goute de lait ou un r-u de pain, ui les émotions cruel-- es qui saisissent les enfants & la vue de leur mere malade dévorée par ls doulgur. et par tous les besoins & la fois, non nous ne voudrions pas yous attrister par d'aussi lnmanhgl.e.l nar-- rations. _ Mais, n'oublions jamais nous tous a qui' Dieu donne dans sa booté un nid bien chaud pour Phiver, une nourriture abondante et les joies d& ce motide, n'oublions jamais de secourir ceux qui sont des-- {Iél"ltél de la fortune, et trappés par les décrets impénétrables de la gmvidonce. En agissant ainsi, en éliant de temps i autre les cor-- dons de votre bourse lorsqu'il se présentera des pauvres a votre })orte, vous suivrez le sublime conseil d'un grand poéte; Victor Hugo. Si nous imitions le Pays, nous pourrions donner de miuurnon ty-- pographes plusieurs correspondances qui nous ont été adresséessur le sujet qui nous occupe, venant d'Aylmer, Montréal, et Benubarnois, mais elles sont si personnelles que nous..ne voulons point les publier et suivre V'exemple de notre confrére Montré-- alais. : De pareils employés A votre service sont toujours des étres dange~ teux, ils compromettent tout autant la meflteur des causes que le rédac-- teur du P met la sienne propre o::rgwmp& prénons qu'il ne peut bortectoment. S M Pour que votre foyer soit calme et lhh'mol; Donnes, afin qu'un !.nur, a votre heure derniore, Contre tous vos peches vous ayez in priere D'un mendiant puissant au ciel." Le rédacteur du Pays sous le pseu-- donyme de Josefte a voulu juger Ma-- thilde. L'article a été composé avec le plus petit caractore de Patelier, ce qui faisait, dire hier & ce public né malin que le type égalait en grandeur Pceuvre du savant rédactent. COs monsieur veut et ne vent pas que Mathilde soit Pauteur de la cor-- respondance qui avait trait aux in-- sultes qu'il lance & tout propos contre Ottawa, sa population masculine et féminine. Lc.rgdwt.eur du Paysinca-- pable 'de '|>ouvoir parler ou écrire comme il faut, comme un journaliste devrait le faire lorsqu'il s'agit des choses \)ubliqnm, ne veut jamais écouter la voix de la raison et com-- prendro que lintérét offensé méle towjours aux objectionstles personna-- lités qui nesont pas des raisons. . Afin qu'un ble plus mur fasse plier vos granges Afin 1':"- ru'lB-ur; afin do J.;(';J,,.. .nio'r:n" Donnet, il vient un jour ou ln terre nous laisse Yos aumones is haut Yous font une richesse ; Donnez, afin qu'on dive ; "il eut pitie de nous ; Afin que Pindigent que glaco los &mpehl, Que le pauro quf souffre a cote de nos fetes, braig beck ye o palais fxe un cil moins jaloux. Donnes pout etre aime de Dieu qui se it homme ; Powr que:le mechant meme, on sinelinant vous m 20000 )0 ) > _ fnomme; Donnez, riches; l'aumone ost sour do in priere Melss! quand un viellard, sur votre seuil de ho us l 200. [pierro "out raidi par Phiver, en vain tombe a genoux Quand les potits enfants les maius de l'roxd[r'\'m-- ow Ramassent sous vos pieds les micttew des orgics La face du Soignour se detourne de yous. Donner, atii $ Dicu, qui dote les fumilles, Donne & vos fils in force, et ln grace a vos fillen Afin que votre vigue ait toujours un doux fruit Mathilde Jugee par le Pays AllAs Josette. Passer dans vos reves de nuit présseron présserout (HC.) Samedi'matin 15 Novembe 1862 * M. le Rédactour, jo vous vois déja Pi nex." t:). lui méme déja décidé la ques ion dan« son avant dernier numéro. N'a--t--il su volé au bénéfice de M. de Grandfort, la belle ceuvre deMde. de Grandfort? Avait--il alors ls mission de cette dame? Non irl.'; volé sans s'inquiéter des formes de la J)oliteue; et aujourd'hui il hésite A dire " Madame votre mari vous vole votre nom !' il se contente d'insinver que] 'écrivain qui a signé Mathilde dans uns articlea propos des batisses d'Ottawa a volé le nom de sou époux. Pauvre M. Dessaulles comme il est devenu poli et délicat. Mais nous marchous 56 surprise en surprise-- Daos la méme feuille du Pays, se trouve une correspondance lifinée * Josette "" en reponse & "Mathilde" : nous l'avons lue, com-- me nons lisons d'habitude tous le écrits dont les Dames veulent bien favoriser les lecteurs. Quelle n'a pas 6té notre lnrrriu A nous. Nous avous vu de suite le vol qui avait 66 commis. Le rédacteur du Pays avait vu sous le pseudonyme * MMA?Z!:" dé-- passer le pantelon et le chapeau, voir me* me les oreilles du mari, et nous, nous avons vw sans otre fort embarassé, comme notre confrére |'a été, dé-- passer sous la crinoline drune " Jo-- sette" le pantelon et le chapeau voire mdme les oreilles de M. Defiullefl." 8o° Pour avoir avoud que la popu-- lation de cette ville éuit(ia moing ci-- vilisée d'un Il'iaya (/) donnant & entendre par ne _ quoique de-- meurant glm In z"dita, ?rtluu dé-- clarex franchemment et bonnement vou-- loir appartenir & cette gentille race. 40. Pour--vous étre placée dans une position tout--d--fait l'i(KN!le en imitant le style du rédacteur et en employant le(ls termes nsités -- aa bureau du fayn tels que : Jiasco soigné--braser lenes avoc?ia encensoirs--une exemplifica-- tion (F) et les adverbes>infarlible-- ment, tacitement, énormement qui sortent certainement et ilévihb?e-- ment du . . . Pays. (Si colosale-- uesd ticles de ce jour appa-- rition . ordifiaite, i écrige ; populathon snsultée. V otre j vous a fait défant en ootze"' tance, tout autant qu'wa Mr. quise sert de votre nom n%l difigure & vo-- lonté, car écrire j'm comme vous Daves fait sans Pavoir fak vi que vous pourriBe tout écrire a Richm; t netuent oo Jetiparie 1 ons Tenez Josette, toz votte soyex certaine qn'il nous tera facile de voir la figure du vrai anteur--bu-- t':::lx; Rue St. Therdse--No 7 Mon-- o N comme le savant ?-'8' : de ae le « et t, 3;niun de linnattention, . 'ubus de l'autorité, le bonheur 'df faire du mal constituent ue fois un journa-- I'nl: rukuuq::hq non pas un critique. _ Le Pays la présente & ses lectours et & ses leotrices comme un ange pro-- tecteur, demeurant constament auprés de--lui pour défendre le rédacteur de cette fenille contre les attaques de ses nombrenx ennemis, ne portant pour tout arme pour tout instrument que la vilaine pluthe qu'elle manie si mal. Avoues done naive ot benne Jog que vous auries du lponr dtre con quente dater votre lettre de taut au tre e;:dmit;gm ;1, lb'trvn*h Vous étes uno viaio Masiarilistte pauvre Josefte, inais ¥ous portcs mal votre domino. > Je to connais bean masque. * De in peau du "HNon Phes sétaot vitu, Etait eraint partont & Jn ronde ; lkr'-"-h.lnnm _ -- n 1t trombler tout 1e monde. Un potit bow d'oreille De pareils adversaires sont déja 'aibles voir" latter inthhe dontre Ghe foutive. Mathilde qui n'est pas une joscttc "vétue de la pesu du lion" pourra done se défendre sans lPuide de celui-- Lo Minerge --fait connaitre & ses lectears Io.':'l:dn véritable auteur ui signe i Voici ce qu'elle dit : "Dane un article intitulé * Mathil-- de jug"Fr Josette," notre con-- frere du Paps se pose la question suivante: " Comment dire a une Dame : Madame votre mari vous vole votre nom ?" Nous sommes étonné des scrupules denotre voisin. N'a--t--il Pauvre Josette| ou done avez--vous appris & écrire votre nom i. Serait--ce par hasard--& Pécole du savant rédac-- teur du Pays qui aurait du cepen-- dant vous corriger sous plus d'un rapport. 10. Pour avoir ilaté votre lettre d'Ottawa. 20. Pour avoir sanctionné tous les faux avancés qui se trouvent dans le faux rapport ge votre protége--con-- tre notre capitale. _ -- ci ou de celui--a. Une Josette qui n'est pas une JOBEPHTE et qui ne sait pas ecrire son prenom. Je viens de lire, M. le Rédacteur, une prétendue réponse d'une préten-- due /osette qui ne sait pas méme si-- gner son nom parait--il. | F o C d OC rire dici comme vous ane Pavoir fad av se on ut hm t r avie 1 UU.. ette, dtez vote masyWb, in bon : Tris der: ot biew aimdr Rpouse; _pl'l-h'p'qflw tos & aid: i Viatorie io tracec it r wantr e ranneas nn an long anssitédt que possible, mais les cir-- Elle est plus eacourageante que celle de n.',Robillmi que nous nv?uu publié il y a quelque . temps. Com-- me ibest nécessaire de voir les denx edtés de la médaille afin de pouvoir juger aves unpatinlite . co. huurcan B'il n'y avait que des Joseftes de cette espéce daus(ie monde littéraire pour enrichir les colonnes des Gazet-- tes on pourrait bien dire que la fin.... non du monde, mais des jourraux approche. (he / " In'y a que les fonmes gur soient mtuéc tor" s'Gerie la sublime et gal-- e correspondante du Pays. Avant, d'avoir@@crit cette platitude, Josstte. n'a pas consulté son mari, ai etle on q un, car si elle Veut fait, elle aurait ordre de raturer cette phrase qui n8 parle pas en faveur de jogew &in comme il est tout le n'a ni ?gm ni Pau-- tre, olle peut s'attendre A'- monter en graine et a demeurer viel e'fillle le res-- ; reanx jours, qu'e urra % :: hfi'ifi;'m i'k ré?nGction «du ntérdly de sagipro Pre it * ka Cest ici qu'il est bien mis de que * le défaut d' ation et sensibilité, se reconnait & Poubli «@onvenancos." $ | aib. _ Nous thcherons autagh que possis ble de mettre nos lectoars an conrant de ce qni ce dans ce nouvel El-- dorado. hm&fi do la vérité oat toujours bien écouté surto vient d'an époux & n:' no vondrait certes tie pays, nous croyons faire plaisir A nos r:gt'onn decl':,\"i'lnle en |Qll)lr donnant des nouveiles de amis ot m:au ui ont Taisaé le ps ior llu le but . de se Je suite & Pabri de la mi > fl:m vent " Thomme 6t Dieu dis-- s D Sor Mathilde son Egérie a est--il possible que je m'amuse a souf-- fler sur cette fuince, etd dissiper ain-- si ce petit nuage...Quand chasse , pour-- tant, on voit le fauteuil du Brl:ef teur et sa personne méme dont la Nous insérons pour l'information de nos lecteurs quelques extraits d'nm'lmdr: yenant ?l'nn d:;mo eomi- patriotes de cette ville et adressée son épouse, .. Bi nous perdons le sitge du gou-- veruemeuv,,PLGJ. le Rédactgur, ce E:nt les farseurs d affarres d'ici qui auront & faire leur mea culpé (da t}atin pour une femme.) Sion mnous eft econ-- tées, on aurait été plus es, plus muférés, ou aurait '«'ievoim tefilpa ceux que vous appelez avec raison, malgré tout, des pillards, et on aurait pas tout compromis par une négli-- gonce qui ressemble & une conspira-- tion contre le sens commun pour ne rien dire de plus. -- figure se dessine tout doucement & travers cette bowcune (pardonnes le mot, il est Canadien) éorwant dOt-- tara les jolics phrases suivautes qu'il signe Josette tont Joset qu'il soit, ri-- ant aux éclats aprés que chacune d'elle a vu le jour content et satis fait de son @uore yiganicague (expres: sion du rédactenr.)-- ut nous leur disions que si on se jet-- tait dans de pareilles extravagances, les édifices deviendraient pent--otre une exemplification (pardonnez--moi le mot #'il n'est pas frangais, mais ici on n'est pas plus particulier sur le langage que sur architecture et 16-- conomie des deniers publics,) du dic-- ton : "faire des chateaux en Espagne." (Comme elle est sperituelle eettl:gud te, se dit ici tout le monde aprés avoir lu cette phrase.) Eh bien, vais je vous le dire h; le Rédacteur? Nos maris nous traitaient, quand nous leur di-- sions des choges si sensees, comme les Troyens traitwient autrefois la vielle Cassandre qui leur donnait be bons avis et dont ils se noquaient toujours, ce qui causa la perte de leur ville. (Quelles recherches ! toujours de Phis-- toire ancienne. Si je connaisais cette Josctte, je prieraiskt le Président de I'lustitut de Vinviter & venir nous donner une lecture--Sujet--Prise de Troie--entrée--un demi sou Américain!) Aussi, maitenant faut--il voir com-- me on a peur et comme nous triom-- phons d'avoir eu raison dans nos pré-- visions. . Ah la chére Mathilde vous demande spirituellement ou sont les E}'u'rlel blémes ? Revenes ici M. le acteur et vous verrez le peuple le plus blome de la terre quumy il pense au rapport de la commission et A ces malbheureux édifices qui ne se fineront peut--étre pas de dix ans Sgénérense prophétesse de malheur.) e ne sais vraiment d'oh la cher Ma-- thilde (apprenez done & épeler--vous ne connaissez pas les genres madame la grammairienne) a regu Pinspira-- tion de parler des penples bléemes, car le notre offre.cette teinte & un de-- gré tol que }ie crains . vraiment qu'il ne prenne Mathilde aussia partie comme il vous a pris vous méme M le Rédacteur. Voila je.crois, M. le Rédacteur as-- sez de habil, méme pour une vie de femme" (comme cela est gentil.) Telles est Josette, M. le Rédateur qui dit qu'il faut itre une Delphine Quand nous avous vu les choses aller si maul, les édifices prendre des proportions telles qu'il devenait clair qu'on ne pourrait pas les finir avant que la confédération (comme elle est savante en politique cettejosettc) ne fut formée ; nous avons encore essaye do faire entendre raison & nos maris (Gay, une de Sevigné pour se méler décrire dans lee Gazettes. Comme un once de vanité gite un quintal de mérite quelque foig ! _ -- Certes il faut étre plus que vaine pour ne pas dire... pour se briler ainsi de Pencens sous le nez. roudrait cartes nie po¥@Wt tromper Cirk on Levrew C. B. 11 Aotit 1969. Bacore la Riviere Frasor langage do la vérité cat i fuit de qu'il qu'il Ts Tig & 4o o. V ; muge Bimal, 3-,"_:'{-'-9.-' w 8 V i Amorte Emoert: nove lisone dane lintgressant fait =.." ne m'ont : permis de le faire To s Tok dorccnire 10 wtilee ts en 46 io --Le pprend parmi . l grand -:x-": u.n'diml q?:"-hm.: -luwu ttoild, il a'y trouve une fa-- mille entiére dont plusiours membres ocen-- m"nmllm- rul'u dans l'armée. se itatent ds ivern momean de catie * . Oliwier.Rodier, pbre, Com. A. 400. rigt. haved ies o ue anlcga uid thigs' > i w watd Stépben, fiils da dbfont x. "Whm'fi'lb de Benjamin Rodier, tambout, Adnikins h-vghvin. fils do réme, tambour, Muok in Zoanve. ct Pantre 1 19fa LR CBP CP travaille sur is riviéce Thompson & Lytton et fl'--:lo-p,-unp' ne pouvais plus vivie, oi dormir tant je m'enouyais et taot pétais 'uquiet a voire . Je to dirai done, chére épouse. que is le 8 de Mai quand nous sommes pasis de New--York jos-- qu'au 28 do meme mois, notre voyage avait 16 assez heureox, quoique déa depuis 4 jours nous étion» affrensement balivtiés par une horrible tempéte. . Nous étions pourtant sur le plus gros vaisseau de ia ligne, mais la mer biait devenue tellement furieuse que ies vagues montaient jusque sur Tentrepont, et les matelots eux--mémes commencaient a plir. Nous avions perdu howoonpn:o temps pour secourir un autre vaisseau, un brigadier anglais, en détresse, et comme nous avions la maile & bord et que levr temps est régiée par 'a loi, nous allions, tres vite (20 ncuds A Pheure} ce qui faisait, comme nous avious veut en fuce, que ie vaisseau plongeait dans la vague, u'yant pas le temps de monter dessus. . Vers les IOAbh.uu du 28 Mai, comme nous etions, illard et moi, sur Pavant du navire, noue tenant a des barres de fer qu'il y a autour de ce qu'ils appelleat La Sentinelle de Cornwall pense que la destitution de M. Clemow, beau--frdre de M. Powel!, M. P. P., a pour objet d'intimider les membres d'Ottawa et de venger les ministres de ln runvre réception qui leur a 616 faite, lors dnruuga de Son Excel-- lence dans la future capitale.. .. N. Y. 8; ¥.4 Olivior Rodior, fils, hatch--way, et causant des dangers que nous . courions, quan:l tout--&--coup il arrive une va--. gue comme une mouugnu qui monte jusque pardeasus |,enirepont, brii et emportant tout ce gut se trouvait sur sou passage ; en-- viron 60 pieds de Pentrepont, furent brises et emporiés a la mer. tous les bullworks (sauves--gardes)le gaillard; des quarts de basuf et de lard, un cheval, et 5 ou 2pnn'ou fu-- rent avesi emportés & la mer, un seul fut sauvé. . A part ceux qui ont 616 entiérement perdus, Robillard et moi, sommes a peu prés ceux qui ont eié les plus bleasés, ayant re-- gus plusieurs coutusions, & la figure et av gorps ; surtout un coup & 'épaule droite dont 'jo me sens encore, quoique je sois bien mieux, e! que grice & Dieu, j'ai pu travail-- ler dév que j*di trouvé de Pouvrage. . Enfin, ehére épouse, je snis arrivé & Victoria le 11 de Juin dernier, et quoique j'etais sans le sou, et que les nouvelles du Cariboo étaient trbe peu encourageantes, cependaut j'étais déterminé a me rendre jusqu'au bout. Je suis done ullé trouver Monseigneur Demers qui eut la bonte de me préter $100 pour les-- quels je lui Joouai mon billet payable a 2 mois de date. Je suis done parti avec Ro-- 'billard, et malgré les centaines d'étrangers que nous rencontrions tous les jours redes-- cendant du Cariboo et maudissant le pafa, nous étions tovjours decidés & nous rendre jusqu'au bout, lorsqu'enfin nous avone reu-- eontré Collinson, Bgradley, Alex. et Honoré Robillard, qui descendaient aussi euy do-- courages et dégoutés du pays. . Eo efl%l une personte qui n'a pas au moins de $500 a $600 fuit beaucoup mieux de ne pas y aller ; plos que cela de vieux mineurs de Califor-- vie et d'Australie, s'accordent & dire quune g:'r-nnne qui n'agnl de $1400 & $1500 fait ucoup mieux de ne pas s'y rendre, car toutes les maurchandises, provisions etc sont a des prix presque meroyl'i)les: telsque $1.75 pou le bacon &50 pour les féves et la fleur, e sel $2.50 la livre, les cloux jusqu'a $3 la livre, les bottes caoutchouc de $25 & $75, les capotes cirés de $40 & 50; enfin tout le reste en progonlon, si bien que nous avone renon-- ce an Cariboo pour ceite année au moins. Unde nos correspondants a aussi traité la question au poin de vue de l'intérét américain et a partagé les opinions émises par le correspondant du Pays. is de Novembre, ot du--Troisieme Rapport fi%fi.'m."'&.'f".'.&.'mmhmw hes. Encore ie chemin de fer de la Pensilvanie. "* Un de vos confréres canadiens, le Cour-- rier d' Ottawa, prétend qu'il se fait dana votre rayr des enrolements assez nombreux pour 'armbe fédérale. Les recruteuts engage-- raient les hommes pour travailler & un che-- min de fer pennsylvamien ; mais ce serait la ?n'nna amorce. Je ne sais ce qu'il y a de londé dans cette rumeur ; mais ce queje peux vous dire en toute connaissance de cause, ©est que nous manquons de bras dans les campagnes. Les fermiers de |POuest sont en ce moment dans le plus grand embarras. Les hommes manquent absoinment ; dans les campagnes du Michigan et de I'Illinois: les moisssnneurs sont payés jusqu,A $3.50 par jour .Dans beaucoup de fermes, les proprié-- taires partagent les récoltes par moitié avec ceux qui les rentrent. En Pennsylvanie egalement on mangue de bras dane les mines et poor lexploitation du charbon, tous les hommes étant appelés a un service plus ou moins actif pour ?- defense des fron-- tieres. Je crois done que beaucoup de vos com')llfiotes trouveraient aux Etat--Unis un emploi lucratif pendant Phiver, sans recouric au service militaire, qui doit naturellement repugner & tout étranger. | La population est assez considérable dans le Nord pour qu'il soit inutile daller faire des enrolements chez vous. On aura plutot recours d'une maniére définitive, s'il re faut, & Ia consorip-- tion." --Nous acensons réception du Lower C:-- nada Jurisy, do la Revue Agricole pous le Correspondance particuli¢re du Pa £ * £9 de Washm;on.) Nous avons publié il y a quelque temps qnelques articles sur le sujet ?e traite le correspondant du Pays. ons n'avons point douté pour un instant Tle on construisait dans le moment le chemin de fer en question dans la Pennsyluanie, mais nous avons prié nos @ompatriotes d'étre sur lenrs gardes et cFagir avec pru-- dence avant que de s'engager, vi que nos voisins les Fankees pourtaient bien joner deux roles & la K:i)s en ve-- nant ici recruter sur un théatre ansei Ton fidéle et dévoué époux, Jos. Gavruter, iots son: agés l'un de 14 Le manque d'espace nous empéche aujourd'huj d'entretenir nos lecteurs sur les magnifiques présents et diners qui ont été donnés a M. J. R. White secrétaire du Chemin de fer de cette | ville& Prescott. M. White laisse notre | ville, et avant son départ ses nom-- breux amis ont entretenu & deux di-- | ners publics,'un auRestaurant Kuva-- | nagh ou les membres de la, société Bt. Patrice lui présentérent une bien belle pipe--écume de mer--et hier soir au diner qui lai fut douné & 'Hotel Campbell, on lui fit don d'une montre et chaine d'or évaluées & $240. Nous parlerons de Fadresse qui Iui"fut presentée dans notre pro-- --Lasile des Sourds--Musts & Toronto est tellement emcombre que pin« de cent de-- :nl-d'd.i--iu -\&M faute La reine dounitiere do Naples vient de faire . un cadean d'lnTudn valeor & sa fille Marie Annoncinde, & Poccasion de son m- mariage aves Parchidoc Charles-- «d' Autriche: . Cest un disddme, avee eollier, : broche et deux bracelets en sont ®t ces pinsiears ront gree st magn'~ dat Mawn, qui vient d'éure exécu6 & Montréal, pour meustre, a commis ce crime le 10 judllet detniet. I1 a éié trouve coupable et condamné & mort rendredi, le 10 cctobre dernier, et {rois apres avois commisrou erime, et a, ujo-n'-'la, eié cond amzé a éire peudu, vend/id:, le 31. octobse, . juste trows se marues aprés sa conviction. Cec. prouve que le chiflie trois a éé loin de lui porter bon---- heur. Mais ce gu'il y a de plus singulier, Cest que le président du <grand Juy . se commait Edward Quin», ce qui est précise-- ment le meme nom du sersent Edw»d --L'Hon. Malcolom Cameron a bledelegué en Angleterre pour np-ovl-'gi.&u pro-- mou¥oir Jes intéréts généraux de la popula-- tien de la Colombie 'mnnlqu. f --L'hon. T. D. McGee compte un de ses fréres dans Parmée du Nord ; cest le ca-- ufl Jumes E. McGee du 69 new--yor-- volontaire. Pout so venger, sans donte, du triomphe du parti démocrate, le Président vient do rappeler le genéral MeClelian de son com-- mandement de l'armée du Potomac. La raison avouée da rappelie du jeune ge~ néral en chef est la lenteur de ses opérations mais il y a une autre raison : Mclelian ap~ partient an parti démocrate : cest id le grand uri'nln gqui lui a valu sa disgrace. Lordre présideatie a flm Darmee. par surprise. L'armée aime McClelian, et eile n' pas tort, cat, aprés tout, il est de tout es généranx du Nord,--celui qui a rendu lo plus de services & Ia cause de !'Union. o n e ho e e e stt U' Alabama n'était pas & plus de 600 milies de nous. Le bruit court également & la Ha-- vane que le capitaine Semmes & Pintention d'exécuter un andacieux coup do mai sar quelque port da Nord, mais i1 nous semble difficile qu'il nourrisse des projets contre Now-Yo:l. Comment y arriverait -- il ? Comment remonterait=il la baie ? Ce qui est possible, c'est qu'il se meite & croiser & quelque distance de Sandy--Hook et détruise un grand nombre de batiments. | L'éventua-- lité est prévue, et deux ou trois navires de suem vont veiller & la sécurité de Pertrée lu port new--yorkais. Quen, assassicg par Mawn D'aprés la Tribune, le capitaine du trois~ mate Lxmpligktrr, détruit par /Alabama, a été informé par le second lieatenant et plu-- sicurs des olg:ier- du corsaire, que leur pro-- chaine destination était New--York, et qu'ils méditaient de jeter quelques bombes dans Ia ville impériale. Aux derniéres nouvelles, ARRIVEE U " SCOTIA) Lord Lyons était & bord du Scotia arrivée a New--York, le 8. Le Gla-- diator wvait apporté & Liverpool la nouveile de la singuliére conduite do commodore Wilkes, On allait jus qu'a dire qu'il avait blogué les ports et refusé de se retirer sur requéte du gouverneur ; qu'il avait envoyé un bu-- teau au (Gladeator et ordonné an ca-- pitaine de se rendre & bord du vais seau ; le capitaine étant sous la pro-- tection d'un vaisseau de guerre prét an combat aurait refusé. -- On permit alors an @ladiator de continuer sa route. . Naturellement ces nouvelles préoccupent Popinion publique en An gleterre. On dit que des renforts ont été envoyés & Vescadre des Indes Occidentales. On assure, dit le journal la France, que lord Lyons, sans avoir pour mis-- sion de faire des propositions au pré-- sident Lincoln, serait chargé de lui faire connaitre opinion du cabinet britaunique, sur le caractére qu's pris depuis quelque temps la guerre américaine, et sur les conséquences graves que peuvent avoir les dernic-- res mesures adoptées par lui. _ __7,840 pauvres ont été ajoutés i Manchester pendant la semaine aux statistiques de la loi des pauvres. Tous les jours des manufactures se ter ment et des centaines de personues sont réduites & la misére, Une révolution a éclaté en Gréce ; le roi Othon a abdiqué le trone en fa-- veur de son frere, On a établi un gou-- vernement provisoire, sous la prési-- dence de Macrocordotos. Le Herald espere que Lord Lyons emporte avec lui un message impor-- tant en faveur de la recomnaissance ou d'une intervension armée de l« part de 'Europe. -- Un duel a en lieu entre M. Dillon réducteurdu Sport etle Duc de Gram-- mont; le premier a été tué. _ _ I en e en td « di vous remplacer au ministére des affai~ "«res étrangéres ; mais en me décidant a me «séparer d'un homme qui m'a donné tant @@ de preuves de son dévouement, je tiens & «* lui dire que mon estime et ma confiance '©en lui n'en sont pullement altérées. Cest le genéral Burnside qui succéde. <« Je suis persuadé que dans toutes les positions que yous occuperez, je pourrai compter sur vos lumi¢res comme sur votre attachement, et je vous prie de votre coté de croire toujours & ma sincére amitié. «* NAPOLEON ." On lit dans le Moniteur NOUVELLE DEUROPE Nouvelles desEtats--Unis. Me Saits Rivers. France.

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