Le Courrier d'Ottawa, 8 Nov 1862, page 1

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ndu 1'6tat des affaites . ais: ~\Ilerts Pitnt den aftaires moe oiten as | CntT weneenierrenet mntinbice eoant: Attonds 1'état des affaires . noes offrons aw lant a ghranti 'exéqution convenable .st a8-- prie Shee m mattnatic & m i 1 LA k ~.?::'Z..*~:?.".':':'-..---j' un . eseaniinens .. t Papris--lex modéies Jos phaes goornett® _ NX nocberth MBRUDBAU; > | . TOUTES . wos PRIX DrABRIQUE, " WEIL & BRAUX $606r 125 et 197; ll-yi" Mroot, New Nork : LA société r'] & Ci--devant existé entre MX LAPIERRE et LEBEAU est dissoute de ©Bsentement mutuel. Les a@aires de J ti-?vnl Société seront .ls:- par M. 8. LEBEAU senl autorisé & on TW DISSOLUTIONX DE SOCIETE wene C200 N. ARCHERS, vient d' assortiment d'optiques. Ottawa, 21 juillet 1862 CORTCEAUX, ETC. ETc MAISON AUMOND, RUE sussex, Nepean _ | Orrawa 19 nout '62 ) 100,000 Dellars de Moubes. wl e oa O EP RDRR mes oreilles pour surdité avec son suceds ordinaire. J'était sourd depuis 80 ans a part un bourdonnement con. tinuel dans mes oreilles qui était par-- fois des plus afligeant. On me recom-- manda au Dr. Stanley, et je suis heurenx de dire qu'aprés avoir été gous son traitement quelque temps i1 A réussi a me rétablir Pouie, et jo puis maintenant entendre aussi bien qu'avant ma surdité. Je n'ai souffert ancune dogleur dans Ponératian Thent des Cnareavx b'éré, Marrcumomers D'Exraxts, GartTumes, Manteava, ere Olpt emooed 0 oo dolg AdAd V U A LUNETTES PlROSCOPIQTES P o UR Tou T E v uU -- _ __UNIoNm HoTtEr. tiy et je puis ajonte our dans Popération LAVUE.LAVUE UN aUTRE TEMOIGNAGE E N FAVEUR DU Dr. STANLEY, Je certifie que le Dr. STANLEY a aujour-- d'bui opéré pour surdité aree son habilité or-- dimaire, J'tmis tout--a--fait sourd . de mon oreille droite depuis 30 ans, et souvent dans T'impossibilité dentendre de chugue coté. Do plus Jentendsis un bruit dans ma téte, Ayant réussi jo tecommande le Dr. Srax-- tuy ot Je puis njonter qu'il n'y a point de dou-- fne dewo mc es Cartes d Affairtes i S n uen y mercie _ publiquement pour !e bonheur do jouis maintenant. _ Tai 70 ans, et farais perdu toute dentendre de nouneau. Bellevue Farm indb aunées, Temoignage en 1 Stanley, Auriste BRile. OCCULISTE et AURISTE, peut--éte con-- wnlté a PHOTEL DE L/UNION. | Les personnes qui lou bent peuvent etre guciie en PiNNArRitrRE CINQ aINUTES. _ Oftama 31 juil862 LA YUE, L'0UIE, CATARRKHE| OrT awa 12 Aout 1862, Copie d'une lettre PREMIERE CLASSE is--i--vis la Rue York, OTTAW A Manchasxoune JOHNLANG Orrawa, 23 aodt, 1862. A. STANLEY, Dr, Stanley a ce Deuxieme Annee Copie d'une lettre. tenant entendre aussi bien ma surdité. Je n'ai souffert wuleur dans Popération. Wirnraar Beni. Copie d'une lettre. _&. Fatrigan, MODISTE vient d'arriver avec un GOFH (@ CHS LAPIRRRE 8. LEBEAU, Court--House Ave s de la Prison de #ONT @44 Mctz ies ET faveur du Dr e & Oculiste. Jour opéré sur 6 Avenue on de la ville E. KING espérance grand woeh imbvs ay io pegert l oment dos Fraraus P ublicnpourts f voir les plann _et, tings iohie w ie on Hob pourre sa procurer--des formules de ns . DES soumissiont tengnt de petsonmes com-- pétentes désirant emtreprendre la cons-- traction d'une maniore satisfaisante ¢t Ia four-- niture de portes d'éctuse pour les canaut ci-- destous mentionés seront recues & ce buresu 'I'fl" midi, LUNDI, 1e 20e d'Ostobre pro-- ' Ch; , sAvoir : ' Aniuz de Will:tmeborg,'Une paire de por-- tes d'éetase. t Cannl de Cornwall.. .. ., «Troin patres " OCanal de Beaubarnois. . .: Trois paires Canal de Lachine. .. . .. ~Une paire * Les portes doivent dtre construites dans le voisinage de 'um on I'autre des Canmor at li-- vrées & telles placersur les Canaox respectife que ie département das Travaue Publice...l, Avis aux c-ofir,'a:t'cnn [ LEDUC_ & CIBBS, | NEGOCTANTsS commisstonnNaiREs J CIIICAG(), IL1.. | A. Ledue & Cii.. EaWine, Hon. Jas. Srzan, J Womnmax & Gatrrix t je | LARD, JAMBON, FLEUR &¢ JOURNALPUBLIE DANS LES INTEKEETS FRANCO Ortawa, 28 Aoft Chemin de Fer d'Ottawa et de S'dresser a C. Les batenux & vapeur en fer do la compagnie de paque bot hambourg--américaine partiront de New--York pour Hambourg via Southampton aveo n malle des Etats--Unis et dos passagers pour le Havre, Londres, Southampton et Ham-- bourg comme suit ; Borussia, capitaine N. Trautmana, le 4 oct. Sucouix.cayilnino H. Ehlers, le 18 oct. Bavaria, capitaine E. Micer, le ler nov. Hammonia, capitaine H. F. Schnensea la 15 nov. Teutonia, capitaine H. Taube, le 29 nov. Premi¢re cabine : $15=~ Seconde cabine : , _ $70------ Entrepont $40. Hambourg, Southampton; Londres: et Negociants TTRENTION tonte chat de LE Sonssigné informe ses amis et le public en général qu'il a fait de grandes ameMoratons i PHotel sus--mentionné --Les visiteurs troureront toujours ses Omni-- bus au débarcadére des brteaux--s--vapeur et a rrivée des Chars, La table est toujours bien wie. _ Ses prix sont des plus modérés, , LES personnes Césireuse patriotique objet voudront dons aux Dames sous--ment |_ Afmes. E Switn, M " " J. Goopmix, ' dresser a C. B. RICHARD & BoAS 151, Broadway, New--York. 28 aofit °62.----3, m. ROTEL BV CANRARBA Querrc, 21 a0011862 8T. PATRIGK HALL Trois--Riviéres, 21 aoat 1852 Otfawa, 11 Sept : 6: NOVEMBRE PROCHAIN, MILWAUKEE cwis. 15 ET 17 RUE -- SAINT--GABRIEL #K0Mas 6 Pagviet DANS--e but d'wider a 1MERICA1NE BRITANNIQUE UN BAZAR Aura liew au commencement de ®ECOMMEXDa Trow : Srzan, J. Avmonn, Eer., MM Ti ns Commissionnaires en 1 reohnioe'i PROPRIETAIRE SERAFINO GIRALDT MONTREAL HOTE L Trois -- Rivieres JNO. R. WHIHTH , 1862 uts 20 3. Lamaney, abowaut, " 0 8. Hunay, M. McGILLIYRAY, *ARUDRAG; . ..' Beerbtaine ésireuses de contribuer aces particuli¢re dans |'a ront bien é;voyer leur mentionnées. Ames, R. W. Scort |'éreetion de general Secrétaire. l No Pm plblgn 1e Havre Hi ie ani . d oi pnien) ,Pursumgne quidein I les conciles, et | doenments si tolérance, gur Papes, sur les N CHODESOREN NNE Japhibcb itc d } disputait A l'insolencé, n'a--t--il pas in-- | voqué In théologic, dont i1 ne savait hms le premier mot ; le droit canoni-- |qne, dont il n'avait pas In moindre -- | idée ; Phistoire ecclésiastique, dont i1 dépravait les récits et les conclusions $ la nature du pouvoir ponfigcaL dont il mutilait Pobjet ot déplacait arbi-- trairement les limites ? Ngtil pas inventé le droit des nationalités, pour réduire & néant les préceptes dn D6-- | 1 | calogue ? Et pour inau]tcrl, dépnnfl»' ler, déconronner celui qui est ici--bus | le_supréme interprote Je U'Evangile, ne s'est--il pas armé de |'Evangile, , dontil n'a pas In méome une seule | plfi'e" Tel est bien le hideux spec-- | tacle dont il nous a rendug témoing. | Fant--il voir de In mavaise foi dang | cette perversité de mique, ou , faut--il y voir dmplemgt)udeql'igno | rance (=_ D'autres l'(-,xpliqlufl'mt? peut--ctre par Ja premi¢re canse, et il 4 west pas stir qn'ils nenssent PAS (rai-- / som, mais nous rimone mienx I'exrli» F quer par la seconde. Ces fenilies / misérables tombent tons les jours, en j parlant de 1'Eglise, dans des erveurs // 'on des extravagances si soutenues, | 'ell!m reviennent si souvent snr Vin-- rl gugu. 00 C2OCOE 0T sow "0 _2 SCNO0S enX repoter avec l'a pél;: saint Jude ; * nzyf)hpflihept co.qu'ils ignorent (1). i "AeM@d 3 .'"' 'ffl i place la Ritératare: R+ole 8t Injustes, nne 'mentation si win-- gnligne. (te nome pottvon's nou.i résondre a rxthle'lv'erd:ette condnite a | un'aysteme calen , de thlotinie ot de délire ;m | ter & cenxgti le MVQ{:I #h n&% | noirceur qui noug semble impossible. | Nous aimons mieux répéter avan D. | agit de méime contre notre religion 'suime: & chaqne instant et sur tout i1 Pattague avec un acharnement o i-- nidtre. I! adjurerait volontiers ]ea gonvernements et les peuples den fi-- nir avee elle. . Et, chose Ctrange! en la poursuivant de see sceptiques co-- ldres, il se déghaine contre Iinconnn, Ne Pavez--vous pas vu dans les ques-- tions soulevées, depuis trois ans, par les revolntions de la Péninsule itali-- enne, prendre, avec un éclat révoltant, parti contre le Saint--Sigge ? Et dans ces dl'H(',llBSiO!ls oi Pavengloment le w un . © °* Lignorance des -- savants mest guére moius profonde que celle du peuple illetré. Co qui s'estime le plus dans ce monde soi--disant éclai-- ré, qui croit le plus & Pinfaillibilité de de ses lumilires, cest un journalis-- me qui se prétend honnéte, conserva-- teur, libérale, meme religteux, et qui se distingue surtout par une haine forcénée contre I'Eglise. Un vieux Romain se signala jadis par son aver-- sion pour Carthage; & la fin de cha-- Yeurr de ses. discoure, i1 répétait avec tne obstination fiévreuse qu'il fallait la détrnire. Oe sonre do fallbadato .. sOotoone Om THVHT [rmlimlcmvut nuls «snr les grandes doctrines du salut. La plupart . se traineront aingi sans astre ct sans boussole jusqu'a Pextrémité de leur carrire, et au moment de Pagonie, vyous rencontrerez frequemment dang cette fonle des viellnnis qni, pour ap-- prendre une seconde fois & connaitre ')icu et Jésus--Chfist, voudront at-- tendre que la mort ait ouvert leur youx anx sinistres Ineurs de la jue-- tice éternelle. io es I»Yll:"l.c de ce quelles doivent faire. Un peu plus turd, elfcs seront envahies par un oubli fatal. Ce qwelles avaient ap-- pris sur _ nos Mystores, sur U'Eglise, sur le Decalogue, tout ccla s'en ira ricce a pigce, Plus on nvancern duns L\ vie, plus les ombres deviendront épaisses. -- Abordez ces marehands A leur comptoir, cos artisans dans lear atelier, ces hommes de peines dans leurs chantiers ou les sillons qu'ile dé-- trempent de leurs sueurs ; interrogez-- ! les sur les quastions les plus Clémen-- taires du dogme et de la morale ; & de rares exceptions . pros, vous les ' tronverez incapa'les 'E. vous répon-- dre avec assurance ot justem; ou . bien ils se tairont, ou Vien ils furont | A Forthodoxie les plus indignes bles-- ' sures. _ Trés compétents peut--étre sur les théories qui se rattachent fl' leur art ou & Teur inétier, ils seront radicalemeut nuls .snr les gruudcs[ doctrines du salut. La plupart se | traineront aingi sans astre et sans ! E OME halls nanics pages : [q " 11 y a quelques années, N. T. C, F., on pouvait Sin- que notre épogue était le sigele de Pindifférence veligi-- ouse. _A Pheure qu'il est, une trans-- formation S'est accomplie ; nous som-- mes a ime épogne «Pignorance religi-- guse. | Wingonalansa Rrwa 2 l4¥ _ Uignorance en matiere de ' veligion. Mgt. Plantier, é\'é('ue de Nimes, a pris pour sujet d'une instruction pas-- torale, Pignorance en matiére da re-- ligion. g'ous en extrayons do remar-- Cl quables Coutrict YOttama journaligme i torktard . (ef es e * ]'inqnimitm, SUF les ordres religicux, sur . chaque fois avee des faux, des appréciations argimentation si sin-- ve. Lant que les généra-- °* D le forment sont jeunes, el= , tien ssent plus ou moins exacte-- *Ct vérites essentiolles. Elles | tUst® nt les écoles cadxuliquecwi"s"" tont nux catéchismes de l pose, isses, et de ce double foyer | "TC> 2 ments, elle sortent avec la | ¢St fo imaire an moins ct Ln'écise |de p lles doivent faire. _ Un peu | 4W0n ila jadie par son aver-- t age ; & la fin de cha-- urs, il répétait nver;i fiévreuse qn'il fallait | yonre de folliculaires | untre notre religion | moale't e watd ; AOinoild i Ottawa, (H.--C.) Samedi matin 8 Novembre, 1862 | _ (2) Omnin gai viderit mulierem ad coner-- o Hniear ruptt destrn,nius g 0 n ..n-lnl at proji n:n. it e | se un mie cne igks raple i. | PotPorne'/e cf presque perpétuelle-- it | ment inapergue de In vérité.. Jamais i. | peut--étre on n'a mienx compris qu'a e | notre époque Ia place immense que 1 | 'Eglise occupe daue le passé. Tout le ; ' monde a 6té forcé de reconhaitre que t |la civilisation _ moderne est sortie en -- | entier de soh action -- sur le monde, a | Frappée de cette importance aussi r incontestabie que féeconde, la Tibre -- | pensée | s'est mise n étndior le fait --| dont elle est comme le rayonnement, ' .'Jusqu'iui, rien que de logitime ; mailI f ! dans ce grand travail, des recherchos ) , insuffisantes ont conduit &'ldesmé-[ | priscs grossidres. -- On a inal jugé 1é-- ) | tablissement du christianisime, quon 4 Ia présenté comme un phénom&me z ,jm\tnr(el, facile, préparé'rnr les (:irmnl , tances et Pétat dn monde, an lien de { le donner pour un prodige de ltl droite de Dien. On a imal jugé les ,lnmrt;-rs, v}unl, on a changé le courn~ | ge miraculeux on aveugle fanatisme. P-Sn a mal jagé 'Eglise romaine, qui serait devenue ce qu'elle ost, c'u&-- pdire le centre de Punité, I'Eglise | mére et mni}:reu;, par d 'habiles lurnér: : ations, au leu de puiser sa s [gnti(s'znm I'institutition de y&m ] , Christ méme. On a mal jugé see | | plus nobles pontifcs, ses plus grands | earactores, et personne n'ignore les |! formidables. cicatrices que certaines | * ' Tuimes ont tenté de faire anx grandes | }E res d'Athanase et de drégoiro § 'fiul t On n'@ laisse dans nos anua-- les pr?qué aucun pohl'im, :86 + crets des conciles, constitutitions des [# Papes, MeHtiWOR® monastiques, im | 9 munités des églife®, concordats, héré+ ; igangs. on / ngypenty yra L timn . L oomme dtroue 9 O 1 1e etcess , |sur Iaquelle on a semé quelques ; | fleurs. hnis les personnages du pog-- . me ont ponnoneé le nom de I)icu ; (dans leur délire et Pont rendu com-- . | plice de leurs serments ; ils se sont --|assis mu pied d'une croix ; -- ils ont . | parlé on révé do la lampe ou de For-- gue du sanctuaire, leurs lions de | coour, an contact de ces choses snerdes, | tout en restant romin« qnes, devien-- [ nent, dit--on, purs, lgitimes, célestes, jet PEvangile ne doit rien trouver & C 'y reprendre -- Comme si la sainte in-- | tolérance de 'I'Evungilr- navait pas | coudamné méme un simple désir dicté par Ia concupiscence méme un seul regard provogué par la fiovre des sens! Comme, si an lien de se servir de son cil et de son bras pour tendre dea piggos, on ne devait pas les armn-- i cher et les jeter loin de soi, lorsqu'ils pourraient étre iméme -- involontaire-- i ment un objet de_ scandale et une | cause de ruine (2) ! Encore de Pigno-- rance : on ne connait pas la délicates-- se commandée par la morale évangé-- lique. " Que --dirons--nous de Phi Un profond -- pensenr -- de ce préteridu quelle était une ¢» conspiration contre la vérité ; vait avoir raison quand i ( cotte grande purole. _ Alors of turait Phistoire, wais on In Aujourdhui, ce n'est plus, en regarde --1'Eglise, une cons; contre la vérité ; cest unc mut perpétuelle et | presque perpé ment inapergue de Jn vérité. . n es | vresse des sens. -- An fond, de quel---- ' que pudenr littérnire que ces scénes 1 soient entourées, elles roulent sur une | passion grossidre qui H»uur'snit de vils Ptl'iuluphos et finit ordinairement par | les obtenir ; ce n'est que de In fange Psut dunuelle un as duwd Loae. esc 0d 00220 20 Nonnete nvee toutes L ves prostitutions / de !a plume et du _ talent. -- On affirme méme qu'on cst _ | chrétien, ~ct Pon soutiendra -- qwon § | roste dans Pesprit de I'E\'untzil(- en ; | insultant a tous les dévoirs qu'il im---- éllu»sv, & toutes les vertns qn'if conea p| ore, & toutes los institutitions dont i} , j ost fondement. _ 11 est impossible de , / do prouver avee plus -- diévidence , |qwon ne le connait pas, of 1A son -- tour la littérature, comme le journa-- . |lisme, blasphé@me ce quelle ignore. j Quam(} In littérature no va pas | | Jusqu'A cet exeds, clle se permet au f ' moins de glorifier certaing sentiments _ coupables, en les abritant sous un | voile do de ])Ol"ti("lll' délicatesse. On _ repandra j ne sais quel charme trom-- | peur sur des intrignes qui nc sont an 1 fond que des mancvres de convoi-- tise. Le loup prendra pour arriver | @ ses fins In voix et ln pean de bre-- | bis ; & de vils séductenrs on donnera le earnetére t la dignite d'nne héros, |Les victimes auxquels ils tendront | des picges seront peintes -- sons des | couleurs plus intéressantes & mesure que leur vertu se |uis.~('m']fllls ébran-- | 'lvr et lenr coour plus envahin naw 17. pour sur fond que tise. Le a ses fins bis : & de bilite 1 truenx ble! o et justific 1 doirs ou les leur droit ce part, ils s'm] menrtricre a Pimmoralité Paige sous le soluble ; il 1 seurs du romans | lasc feuilletons obscénes, fi mes ou de nouvelles in trois races Phommes 0 de distraire les ennuis la futilité dans les sal se -- )ce sout une voild qui m Tha#itog #ing .ond 11 »rcat Et p s e e ns les cabinets de lecture, On t cette justice ; pour Ia plu-- Vaquittent deleur -- mission re avec antant de sueeds yne lite. V' se tranco m)fi a ' la verité 3 il pou-- quand il Cerivait . _ Alors on déna-- nais on In eavait. st plus, en ce gui une conspiration est unc mutilation berte Inltér Iistrature dfeuse ; 1 de Phistoire 2 de ce sigcle a une fmmense ifs, faiseurs de viseurs de dra-- nmondes, voild jui se chargent du vice ou de itions dont i} mpossible de -- diévidence C sueees pue rouve l")fi a nriage indis-- ine tyrannie se donnent Lantre pré et le sacer-- «neime tovitri T6b W rowr i temps. } th « périence ? -- Jamais ¥it--on, . dans un temps égal, s'accumnler plas de tra hisons, pius de pa publics, plus w im%fl dn:':Lm- }, plas d'agressions iniques, u. | m¢, passe et repasse devant nos yeux, it | parle & chaque instant d'une voix do ,. | tonnerre & nos orcilles, sans que nous {, | lui donnions dans notre esprit méme i | un seul jour dPandience ct Phospita-- n | lité durant une longue vie. _ Nous en n | avons eu réceminent encore un illus-- _ ) tre exemple. Un savant renominé is [ de notre époque, le plus renominé rA'|m|1t-(etre, était sur le point de mon-- o | rir. _ Interrogé par un ile ses amis $ ! sur les impressions que Ini cause I'ap. e j proche de Ia tombe et du monde fu-- i I tur dout ¢lle forme le senil, i1 répond " ) avec un calme qui fait -- fréemir qu'il [[n'A pas trouvé méme un quart | Pheure pour étudier la religion et ; songer a Pavenir. Congoit on cctte .linmw:inueo et Pignorance qn'elle| ; / produit ? ou, ai on 'ioa congoit, pent-- | J(m les excuser? La sagesse In plus | j vulgaire ne les condamne--t--elle uu! | [numi bien que la foi ? No mnt«'eflca / pas indignes de Phomme antant que | } du chrétien ?, . . . ' [ " A coté de Padmiration qui a'6| lgnre, on voit le sens de l'indignation | l:fl:l s'émousse. Quand on possede b ns sa plénitude et "nuthelrh nios | rale chrétienne, on sait se révolter de H ce qui la blesse, pafce quon en com-- | prond le désurJre; quand on Figno-- { re, on est plns on inoins indifférent 1 aux attcintes qwelle regoit, purce Je qn'on ne s'en fait pas une idée pré--|, gige : et distincte. . Dans la nuit ou in Pon est englouti, toutes les indi"nitél i s'adoucissent, tous les crimes s'atté-- 3 mhent ;. anges ou monstres, tout ce 6 qwon voit passer | dans Pombre pré. t sente In, hysionomie, et lors-- le que dos frfaits évidents s'accomplis-- nq&l_ au lien ld'cn QS.nol:oi;'l"rh'ormr : ni lour eat dug ot ir avee [ in ons aninainn |. f pout ou in moins des excuses pour les pailigr, | r« Nn faisons--nous . pas, depnis que | fa ques Aninées, in . plue donlourease ex-- | n pas t au onts un (3) M. 1'ubbb Gotni : Déjente du nous tout est i ; notre éme yI est tellement concentrce, que le catho-- licisme, ce géant du passé comme dn présent. dout le souffle nous ani~-- ulerents . labeurs. Labeurs apres tout secondaires ; labeurs que rien ne lie directement aux grands inté-- rots de notre destinée. Mais pour hnsd ooo en t C en '| _ '* Dés ici--bas, le bon sens et la simple équité naturelle préoludent | par leurs arrots & ceux de la justice de Dieu. Rien dans le puoél nest rlun important que la religion catho-- ique. Cest un fait qui le domine ; elle a rempli I'histoire de ses prédi-- cations, de ses conquétes, de . ses gloircn et_ surtout de ses preuves. "est un fait qui domine le prosent ; nulle autre veligion n'a poussé ses ra-- cines et ses rameaux pli:; avant dans le sein des sociétés et des civilisation coutemporaines ; sa hicrachie et ses influences touchent et s'entremclent a tout ce qui se meut dans le mon-- de. Enfin, cest specialement un fait capital, immense dans notre pa-- trie. [l)Jne grande position lui est attribuce ; il n'est pas de puissance morale comparable & la sienne ; hai-- ne ou amour, elle est un objet d'i-- névitable préoceupation pour toutes 1 s Ames. Avec cette majesté dont | invostissent les respects on lon'iwr-- sécutions du passc, . les sympathies | ou les aversions du résent, son as-- | cendant incontesmb?a sur tous les |-- lieux comme sur tous les sivcles, elle | ar ut Lt " CANADIENS DU CANADA CENTRAL Pnd su n"lwn«lre, ot qui, sans avoir fait benucoup de bruit, restern néanmoins commue un des monuments les plus re-- manquables de notre époque (8). A il va sans dire que la philosophie n'a pas voulu rester en arriere Kllll cette triste voie. A quelles théories pleines de réveries et d'ignorance ne s'est--elle pas laissce emporter au su-- jet du Catholicisme t . . . . w7 que modeste, 'n fait voir avee éclat et pur d'authentiques citations, dans un ouvrage auquel on ma rien au rép-mlre, ot qui, sans avoir fait benucoup de bruit, restern néanmoins comme un des monuments les plus re-- esn uo on um 1 1 quels récits mensongers, de quols de-- nigrements injustes, de quelles apo-- théoses stupides ces . diverses choses ont été Pobjet dela part méme --d s'l'ns gr:und]; renommées litlén\irg notre temps, . Un apologiste aus-- si savant que consciencienx, nussi dé-- cisif que modeste, I'r fait voir avee éclat et par d'authentiqnes citationc. «_ Dongoit on ectte !" C 7°" NZCmb l'ifinorunce quelle | prendre, on les congoit, pent--| * Insuffisant La sagesse in plus | inconséquence, condamnc--t--elle pus | bien davantage for 1 Ne sont--elles | la valeur homme antant que | qui se pi ; , Dans un admiration | qui s'6-- | une doub ms de l'indignation | de la rais Quand on -- possede | jamais d ot. sn mrthelrlu niv-- | d'étendre n sait se révolter de | i) anit tas du Chrieit es db wore» Tton, /m sullirait pour apprendre & l:"mpril.ou & r: mufl:u. Mais au sein 'de notre ignorance, quele sont les systomes et Putopie, si ex-- travagants qu'on les suppose,. qui n'aient l'esperance t la certitude de réussir ? %uh sont ceux qui, en fait, depuis qunrknte ans surtout, '::kmp-m"ml Iyltan tres, mame.parmi les classes | les p.II: IoMel'l OoTbion de fn:i.: n'ont 68 classes Teay ?-éa-ré oi popu joequ'a un certain t, so défendre s | bien dlvmhfo encore & discerner s ! la valeur ou le néaut des doctrines e |qui se produisent dans le monde. 'Dnnn un cnholiqueimtruit il existe -- | une double lumicre de la foi et celle / de la raison, que la foi ne manque '|jamais d'affermir, de ccmpléter et | d'étendre. Avec ces deux flambeaux ) il sait toujours découvrir les vices f | des fausses thcories qui paraissent | | @ur les questions religieuses. Pour : #'en rendre wmpw. il n'a qu'a les| i | comparer avee l'Evangile, qu'il con-- f | nait et qui représente pour_lui la | Ifigladpurnme de la vérité. Et que + uand il ne les rapprocherait pas 1- I'Evangile, son seul bon sens, Gelairé par les reflets de la. révéla-- a tion, lui suffirait pour annrandra A somines atteints pour ne pas le prendre, | 2tair» * Insuffisante a remarquer cette | Potter inconséquence, notre logique l'est | AR reaoree I I | que'que sentence, quand elle a porté !qlwlr'nu arrét, on se mct nudessus de sos définitions comme de sos nna-- themes. On prend un bout de plu-- me ou d'épéc, et sur un lambeau de papier on Ini prouve en style de so-- phiste gu'elle a dépussé les limites do sa compétence. Misérable contradic tion ! _ Si nous voulons étre catholi-- ques. . Avec de telles disposjtions, ce 1 nom sacré flétri sur notre front, ost également égaré sur nos lévres, ]l' faut bien toute Pignorance dont nous € et sepure du reste de In famille j son prnJ»n-jugumonr, ain«i que le le grand spotre (4). / C'était se in trer conséquent. . Anvjourdhni n avons inventé. erhee dn aswuess l o oo o d enEA MNs Pécho de ses jugements a Poreille des peuples. _ Apres les décisions de ces grundes autorités, mutrefois les vrnis cutholiques se soumettaient on silence et dans le fond de P'lime ; Cétait mo-- mc Cotte soumission intime et rospec-- tnense qui formait le caractére pro-- pre ct distinctif du catholique digne de ce nom. Quiconque refusait tFun ' pusser par I, quiconque osnit ]u'utus»' tor et se faire indépendant, celui--la nétait plus considéré par Posprit |nrl blic que comme un ceatholione rebolls * En méme temps qne le seng de |'inllign,ttion #'@monsse, le sens de In logique s'altore, _ Que décrivaing, que dhomincs du monde qui se pré-- tendent ('nthuli(luvs sincéres? Mnis a I'instant méme ils se hAtont drjouter (lu'ils sont indépendants, Et, en ef-- fet, i)s no sont que trop indépendants, Des discusssons s'engagent. | Rome. parle et prononce : les é\'equcs se. font entemire morbe alla o4 Lo 0 ce «jne notre sait plus voir une vérité. Dull2 0 006 00 C 22CRCtE 00 ges sacre-- monts ne trouvent gr¥ce devant eux, A les en croire, c'est un fait acquis, «liton, grice aux conquétes de f'('s-- prit moderne, que nos enscignements sur ces grandes quostions nc doivent 'as étro pris & In lettro: comme si l'esprit moderne avait pu arracher la vérité de 1'Evan ile, détroner Jésus-- Christ an ciel L-f%e detraire dang Phig-- toire! _ Quels blasphdmes aty rides ! Ah! quand Polycarpe n'uwndlnil ja-- dis proférer des {mpiét(»n de cette ny ture, il se bouchait les orcilles ot a'c criait daus une sorte de pienx désos-- poir: A quels tempsy 0 mon Dieu! nous avez--vous . régeryvos ? Nous, nu contraircy nous leur permettons de re-- tentir et de cireuler tout A Paise ; notre Ame ne suit plus en fremir, par-- ce ;mne notre ignorance elle--méme ne swit plus )'oil' si cest une crrenr on | oo en ttt lisme. _ is roulent sur la négn Pordrc surnaturel ; ils repoussc dée de la révélation ; ni ln divir Jésus--Christ, ni la nécessité médiation, ni Pefficacité do ses monts ne trouvent gr¥ce devan A les on croips a'nty w nsl --| plus de boucheries barbares, plus s'impiété réelle cachée sous un plus | hypocrite lang: ;'!)lun de conquétes [ edieuses, plus :fi: voltantes insultes |envers coux qu'on avait d'guun"(n on vaineus ? On se demande #'il exis-- te duns Phistoire une époque & laquile le sang et In boue entremlés wient imprimé des taches plus hontouses f Et cependant les upologistes ont--ils tuit ds:':mt & sos infamies presque sans exemple ? Et & ooté de ces glo-- rifications hideuses, I'im&nmsibllité gonérale dos esprits mwost--elle pas of-- trayante f Li eonscience de I'hurupo est frappé datonie, on sent que tous ses ressors ont été briscs, détendus ou prralysés par Poubli® des grandes notions du droit et des principes éternels de ln morale, -- Ln statue res-- te muette, parce qu'aucun rayon de | soleil no vient In frapper, ' * Mulhour analogue et plus grand encore pour la doctrine dogmatique, ] La plupurt dos ouvrages, des journanx et Ju revues composés & notre 6po-- (lue sont évidemment des fruits éclos de In sive empoisonnée du rationa-- lisme. _ L1s roulent sur la négation de | Pordrc surnaturel ; ils repoussont 1i-- dée de la révélation ; ni In divinité do | i poll o uol 1 et prononce bp loubli® des grandes it et des principes rale, -- Li statue res-- qu'aucun rayon de frapper. necessité de Sonenittt nt d'rjouter Et, on of. | Gates, 2 Gibson IGPERdANtS. | Giassto . Glove nt. | Rome. tinedip evequos se e portent 'oreille deg nurvey s + poe | Hartri ons de CC8 | bepder 18 168 VIWiS | Meron, bags uic oc PHanre: com MieBride, Mary Ann White, Patrick Watt, Thos. I Walker, Chas. A Tallen, Mathew Tandy, R. Smith, ::«i,'(im,.;" mntion, Jas. Sidaway, John Panl, Petér Pare, Camille Pilaguin, Bruno | Pearson, Wm | Phoir, Wmn. Savage, Jno. Sauve, Theophile Senlly, Mary ' O'Brien« Mrs. Ann Raiph, W. Racicot, Robt Reno, Etie R¢1ur' Thow. Reil, Dr. Riordan, Jno Rochon, Mrs. Alex Marks, Arnic Maloney, M Mahoney, Vrx, M Maxloire, Jobn Mahonyy T. D. Mnyvllie, Chas, Mack, Fred. Merifield, Stafford Menard, Joseph Meries, Samuel Nadeau, Francoi« Newman, Kliza Labelle, Antoine Latontaine, Charl Labelley Edward Lambert, Francix Labregue, Jos. Lapierre, 'Lnc Lages, Louis Kain, Patrick Kelly, Cath, Kelly, Marguret Kehoe, Julin Kelly, 3. Irwin, Mrs. D Johnstony Amelia Hurvey, Geo. Wood Hartraway, H, Henderson, Mary An Weron, Matthew Henry, H. Henderson, Robt. Heilmeer, Henry "eover: W¥ m GoodWR, Widow Gates, Mix: Chas. Gibson, Alex. Glasford, Mre. E Glover, Wmm w Fitzgerald, M Fitzsimmons, Jas Darling, Thos, Daleymple, Peter Dayy, Wa. Deolauriere, George Deriviere, Jilbert Chartonneau, Joseph Cheveritte, Alexix Chaveau, Tournoir Champagne, Oliver Easloy, J Cameron, Allan Caroll, Margaret Cardiny Paul Campbelly Alex. Carter, Jno. Childsy Peter Chabotte, Alphonse Bowert, Joseph . Bodersias: Stous Burber; Marin Hetourne, Jos: '|'-I. Bearman, Edwd. Bennison, R. L. Bell, Edward Heledo, Honore Ik.fu Jno. BHorland, Maxgic J. Boucher, J. fi' Bones, Robt. Haudinier, Nurcisse Abbott; Jumes Lettres non reclamo'es au Bu Et e m P RIeR pas allées se perdre daus Thorreur nautrages, quand on a vu les intelli-- gences d'élite, dépouryues de la méme lumidre, inaugurer avec une sorte de paternel orgueil 1' Eelectisme avec ses pauvretés ot le Saint--Simo-- nisme avec ses infamies ?. . . ." OuDid! e Raniotios . devenues t Qu':lllo ce ont--alles o?." aux séductions de Perreur ? Nont elles pas ouvert aveuglement toutes barri¢res de la ergédul?té aux inven-- tions les plus chimériques sur les grands problémes religieux ? Ne se sont--elles pas Ju-lonnCu avec fu-- reur les réves du plus monstrieux ao-- cialisme. Et cettes, comment les masses une fois dépossédes de la doctrine de JésusChrist, cette grande boussole des peuples, ne serait--elles oys 1 1 $ Jonathan jo irréligioux ot dos anuress. Journaux irréligieux et des ouvrages reau de Poste jusqwau ler Vilgesnve Bt. Pierre, Plerre Pyerson Tremble Edmundron, ( Eycleshymer; Misa E. Grimes, J. & It H Go Foste jusqu' Novembre ufsz. Murphy, Peter Dyer, Mrs. M. A Lngruham, Win Irvug, Michuel Credit, Ann Freeman, Win Burgary Abearn, Christopher Ambridge, Sophia Wikion, Mr m , Miss Ma '_J?'"'_' B Whrte, Miss Marguret Thomas, Louis sul.mh'."n; Standiey, Wm, Standley, Owen Stanley , V alentine Stearns, E. J. Thom#on, M. E. Smith, Sir Tom Smart, Andrew Spanee: Ws m. :r-m;. Michael 8t. John, Patriek R Robillard, Jos. Roy,, Jule Ha{fm., N. C Ryan, Patriek Myan, Michnel Ryan, Owen Ryan, Andrew Power, Jno. Power, Elien Prevost, Felix Proulx, Hyaeinthe Pureell, nl.ry Putyin, Margaret David M O*Brien Moren, Dame Vve Moore, Miss Q Morice, Antoine Moffatt, Alfred Murphy, Mre. Mar Munson, R. C Muller, Hane Neale, J Louis Millett, Chas, Moulton, Byron P. Mountatepbens, Mrv. W Little, m Lord, Alex. Lacour, Alex Levillez, Pic Leclaire, Jol Lanelot, Sarah Johnsony ifr Kurtz, Jno. J Kehoe, Anthony Kerwin, dumes Kirwing Mrs. Mary Josept Grenmo, Rdwarst Hilly William Hotnes, Robi. Hongue, Inidore Houke, Aex Hutton, James Hutchinson, Henry: Hnnter & Co., E. 7 Grant, Da Gouchia Gonin, | Ford, Will Forth, Geo Deffin, Mrs. Uliea Deney, Mra. Margaret Dowell, Alex, Duke, Jamos Dutosier, Stanixo Contellow, itichard Cooper, J. E. Creighton, W. [4. Oruig, Kobt. t;. Antoine Deffin, Mry Charbonemu, Moses Chant, E. G, Cluckey, Leike Clarke, John Coughtan, Margaret Hord Ahn Chamberlin, Miss R Bm Briggey Geo. C. ll:l'l'tf Mrs. Cath, Bulgery Thos, Bul'n, Itichd, Burke, Mrs. Nichs Mary A. Bowman, Caroline Brownlee, Mre. Jox UBrown House Britt, Patrick Brownlee, Mr. M. A Breanahan, Mr. Jas. Brennan, Thomay Headley Alfred Owen aeph Mr. onifuce PM Mary t

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