Le Pays lui de son coté se trouve hunflu'p-?,a\n.'nn 8'il doit , Ou justifier la conduite du sur la questien en litige-- i-- _ t Gonnaissant parfaitement la situ-- atic 'g' Munodonkeépmuvt _:V',H p I.:ll nouvelle dela décision .ministérielle, mais hous ne pouvions croire que nous amis se nE compromis, éet cussent com-- is avee enx le parti l6béral, an Mais alors M. Sicotte ct M. Dorion Ont done oublié de déterminer leur Tigne politique sur cetto question ? .. Eéonomiser cest s'enrichit, dit le m' de' 8t. Byacinthe, or i1 est 'gd uvé que ¢e chemin de for inter-- 'colonial sera une richesse pout le ; done on économise pour le pays en construisant te chemin. C construction est une économie fl:fitk, uivant le véritable sens qu'il fo ut "littacher au mot économie. "~"Mais cette question du chemin do fer d'Halifax est done nonvelle, que 16 thinistdre McDonald--Sicotte n'ait pas pensé a s'en occuper d 'Epoque do sa formation ? "Ellé est discutée dans les journaux mi;l"l et le discours dn trone do la idre seasion en fiisait une men-- tion spéciale. _ d'Halifax est--ce quia produit cette crise mighwrielle% den':-nde la Minerve. Uné sérieuse différence dopinion eritre M. Dorion ot see colldgues. Bur quelle question t ngn_r' construction du chemin de for foo ue se o n OVn' non d'un parti, mais de |'immenso m%o;nté du pays. Dorion aurait souhaité l'occa-- sion.de timoigner avac éclat de son dévouement au pury- et do le servir puissamment, qu'l n'aurait pu la $rouver plus belle et plus grande. Ila eu.Phabileté de la reconnaitre, le conrage de la saisir. 'Cette noble résolution,----si au--dessus de la con-- duite ordinaire de la plupart de nos hommes %nbliu. et surtout des ins-- pirations habituelles des hommes qui réegnaient il y a six mois sur le pa-- y8,;--mesure la distance qui le s6-- pare de coux qui le colomniaient hi-- ef, 'insulteront demain et ne 'imi-- teront jamais." Ti prend: place dans notre histoire nationale, a coté des actes qui hono-- rent le plus le caractére de nos homtes publics. Il élave M. Do-- rion bien au--dessus des roles, pour 'tant si considérables, qu'il a remplis jusqu'ici, et bien au--dessus des au-- tres chefs de parti. . Devant un si fier sentiment de dé-- intéressement personnel, et de fidé-- Jité eux principes et aux intéréts du Bas-- la, tous les dissentimens passés s'efacent, et T'opinion publi-- mluluo. en cette. circonstance, ; M. Dorion, le représentant, non d'un parti, mais de |'immense de. * T/¥on. M. Dorion aplacé entre les mains de ses colldgues sa 1ésigna-- tion comme membre 5.; Cabinet fi"-o- Donald--Sicotte. Le motif de cette "rim est: <la politique . adoptée r Ministére au sujet du Chemin fer Intercolonial. O:. 'grllnd acte politique in.pliré' par us pur patriotisme et la plus loblod;dq)oud:oo, produira ffnn- l'o pays entier une émotion profon-- +»ML «Dorion, i'hon. : secrétaire--pro-- "m{ do . résigner omgmc membre. de la présente administra~ .V /mbest point nécessaire pour nous -'m,.f'.l' sur les lionx,}:i(; dire le notif.de cette résignation, 1unnd un a:fl»m de Montréal le dit si @t avec tant d'apropos, nous croy-- CeWourriee n Ottatoa iv"" @e que nous apprenons par Resignation de L'Hon. M als Opimion de in Presse. nous rfi-ru_n-t d'oxami Wu:r f o<s s# ww paiement de 31 al is circaied| RePiSt weape )* our le| Qnoique séparés de votre Sainteté our 1e | par des éspaces considérables, nous na-- hemin, | vons pas ceseé de vone suivre avec une momie | Sollicitude pleine d'inquidtade dans e sens | !n doulonreuse carrigre que vyous %ur-- nomie, | Courez depuis plusicurs années. Vos souffrances ~ont fait now souffrances ; trouve | vos peines, nos peines ; 'vos consola-- 1 doit | tiong; now propres consolations. lite du| _ Aussi }onqno dans 'o0s -- derniors tige-- | temps pour consoler votre ccaur an-- , _ | tant que smr donner une ~preave a situ-- | éclatante de la vie cmgom nouvelle rouvé | qui Panitve, le monde ntholique s'est _dela hflnlod 'appel de votre voix, et us ne | que les évéques de toute langue, de is se | toute nation, et -- do tous les climats com=| ont volé avee allégresse & Rome, pour al, an Yous porter etlos vcenx ot les croyan-- mesin-- eud.lomnkfil:u; nos esprits com-- t #on | me fnos coours y ont suivis; avee d pi-- Letx muflr'&mh & it pas |==, avone éeoutb vos paroles, ivant | accepté vos enseignements, t 'reqn avohs | aveo artiour cotto gmfid Nnddil!'n.h' xami~ %fifim Avec our wi se--| t i wun"-lmw' > l'I.l A Vinjustice 7 3'.- \ tant. pln fin qu'l 'ost plum I ns ferme sur son N m'mfi-fl-mn J »y¥ic tant plas Aves cnt ob l Adresse de Mgr. 1'k wa et de son cler; teto le S. P. Trés Saint Pore Mardi dornier 23 Sept. s'est . ter-- minée In retraite pastorale préchée par le Rev. P. '5.'ortel 0. M. L. au clergé séculior de Diocése d'Ottawa. Avant de se séparer pour -- retourner dans leurs paroisses, Lfoeuieum les cu-- rés ont voulu joindre leur voix & celle de leur Evéque bien nimé, qui n'ayant pu assister en Mai dernier & la gran-- de réunion des évéques du monde (.k\tholiquu a Rome, a voulu mani-- fester son adhdsion i tout ce qui a été dit ct fait par le Souverain Pontife ot le preniier pasteur de I'Eglise dans ces jours mémorables. L'on comprend d'avance la répon-- se que on aurait. Cest bien le cas de dire: " Les extrémes se tou-- chent." Sans doute aussi que l'honorable délégué n'a jamais monté plus haut (']uo auébec. car peut--btre eut--il pré-- 6ré Montréal, et qu'une fois rendu dans le Centre du Canada, il eut dit enfin comme bien d'autres:--* Aphe tout, Ottawa l'emporte sur toutes les autres villes par sa position tppogra-- phiauo. par le site ou sont les batis-- see du Parlement et enfin parce qu'a sirt les grices que cette vill;e a reque e Dame nature quila ainsivoulue, Sa Trés Gracieuse Majesté l'a trouvé digne sous tous les rapports d'dtre la capitale permenente f:. Canadas, et ses décisions doivent otre respec-- tées, hormis que MM, les législateurs s'adressent de nouveau a gn Majes-- té et la suplient de vouloir bien chnnfer sa d%ciuion, et prouver ain-- ai & la more--patrie que le Canada stouéde les meilleutes girouettes de e toutes les colonies anglaizes. . Mais autant vaudrait: so frapper la tote sur le roc l6 plus solide, que de vouloir oser frapper d la inéme porte-- et aupplier de nouveau on faveur de telle ou telle ville. Nous éprouvons avant de avé, d'autamt --plus forme sur n inFiestik epsome Nous crofonl que le membre dis-- tinguée de la Conférence de Tune des Provinces inférieures n'a point encore étudib la géographie des Pro-- vinces ni inférieures, n isupérieures car il eut probablement parlé autre ment. Comme l'on différe d'opinion dans se monde !' . /hou, Pf 0. Chau-- veau, _ln;l;nhud::: dz:'Ed::;tior. et a écrit s le Sounbal oo PRigrapned Publique, sprés avoir visité Ottawa :-- * Le site' de tous' ces' Monuments foturs est los gll- beau que Pon 'puisse imaginer. Excepié Québec, nuile_gutre ville en Amé-- rique u'ur-it!« n 'offrir'un semblable, at il y a meme dans le paysage tcli #6 déroule aux regards du haut de Barrack's Hill, une certaing ressemblance aveo lo. %sm-mn que Pon peut contempler du haut da 'Cap--aux-- Diamante. Maintenant, ajoutons & cela, lue les batisses se trouvent dans le Ca-- nada Central, dans le ccour de la Province. * No# amis d'Oftawa nous nerout d'enrégistrer ls: mot d'un .....L'.":.'.'.a.... dee Contérences de l'une des Pro-- :".'. APegand de la Ilzn;;luifl lu si n 6 U est # absurds,"" dff Phomme d'éts / dont nodw parlons. . «* Oter le goovernement a Québec, '*capitale désignée par is natore,, pour le wralt reaignt, ts § Te onl '""! t T sb wi~ fls ut . exomile 3. M Dranl. raetire & Oltawa, capifule proposés par la Pl.tlrmnul ur-:l' aussi dbpr:t que 1:.': te descendro ue famille respectable de #a maison dans sa basse cour pour |habiter ot y vivre, Les Extremes se touchent @&fi-b--ln-vq: vifice ot la stricte avons applandi & 'il ust plus Eveque d'Otta. orge a sa Sain-- --atten tate. ce niont eny-- @0x, : nous ajent yemp placer ; Pan-- ) meng quitter ) (h{ibfildi eat du reste traité avec | tous les 6'ud| ibles. On voit | plus on lui un hc;Pl.:x:u ésnré qu'un | révolutionnaire ennemi du gouver-- |nement établi, Il a. regn an pied. une blessure assox ve, qui se com:-- ' pllqnd'inflnmmng:; ngi- les dgux chirnrgiens qui le spignont déclarent qu,,l-,.lymmmu gont générale-- ment favorab On public des bul-- letine de sa santé,, comme s'il s'agis~ sait d'une tate mée, . et. on pré-- to an roi Vlmmnuel linten-- tion d'aller voir t son pri-- sonnier pour lui porter conspla-- m J'assurance d'.& m 'ontrovne a New, 'ble sera tou-- "n_ax' Te bruit court "@A Pékca-- :1' Mhsa&:h:mn 0e T6 toi « ~§.'" it c [ h ;' h weant do n at' 'des F6 ves nistic on faveur de * coux qu'il a entrainds & sa snite, car| eb ow q q e une excellente position dans les gor-- ges d'une montagne, ont pu dtre aus-- si facilement vaincus par 1,800 Ber-- sagliens. Et encore n'étaient--ils pas commandés par un général illustre, mais: par un ljenne officier inconnu jusqu'ici, le colonel Palavincino, Sous tous les rapports done, la défaite de Guribaldi a di blesu'arr pro'f:ndémt son amour--propre. 'Tout ti wi en\onnl;t lPhommu .nq-.m'nfi: flol't Rome et la Sicile,-- le vainquenr de Frangois II, ost évanoui, ét--le h6-- ros populaire vient d'dtre renversé de son piddestal par dos mains italion-- nos. &l'lhlie 3:: combattre pour obtenir Venise, elle n'aura plus & sa tote Phomme dont le nom seul valuit une armde. | On se préoceupe tonjouu beaucoup de la défaite et de Parrestation de Garibaldi. _ Le combat entre les lpu\r-- tisans italiens et les troupes roynles a 6té, parait--il, des plus opiniftres; mais on ne a'expliq:; guére comment les 3,000 Garibaldiens, qui occupaient Sn esn n ' . L'Hon, M. Robinson, membre de Pex-- Ministdre, était allé A Londres pour negocier celte derniere affaire. Grice au nouveau Ministere il a obtenu un échee complet. _ Le Mercury dit encore que des négocia-- tions entamées entro des capitalistes anglais et le gouvernement Canadien pour la vente en bloe de vingt--et--un townships dans le Haut--Canada, so soft terminces sans résul-- t# . Cotte_transnction, comme Jo fait. ro-- marquer le Mercury, aurait . sans doute rap-- porte une jolie somme, mais la province n'y aurait pas gagré, on avait tout intérdt & em~ pécher la verte d'une si grande étendue de territoire d des spéculateurs non~ruidenln.1 d'avoir une ligne de vapeurs bebjomadaire venant & Quebec P6é, & Portland Phiver, au' prix d'une somme n'exoédant pas un quatriéme de |allocation accordée & la Com-- pagnie actuel.e. Cot arrangement se ferait sous la garantie impériale avee In ligne de Galway. : o impics ' id justifier 6t les crimes dont is Ié 0 | volution Italienne sest --rendue cou ~ | pable. * ~] Avec eux ct commus eux nous avons i Wrai, l} $ tnk Teb € 'fo oud Phiapmen aimé ce que vous aimez. Nous savons nous attacher 4 vous,--cest ..nous attwher an centre de Punité ; vous suiyr0, Cest snivre J.--C, ; aimer vobre auturité, cost sattucher & la _ vérité ; , | car y9us commandez au now de celut i| qui a des paroles du'l': vio Eternelle. m toujours nos o hm'h noble:cité, le bunlzm '"| do. iviswe, . in more de toutes "| les ; mais elle a grandi encore ; | pour nous dans es jours d'6preuves et | | est devenuc plus que jamauis, In tote, "{le centre, la Reine du monde, ct 1e [ On espére, dit le méme jourimal, : pouvoir effectuer une grande réduction dans io ser-- vice des malles transatlantiques. Des propo-- sitions ont éte regues de la part des antori-- 16s imperiales qui indiquent 'la possibilité d'avoir une ligne de vaDours hobdomadaia. Le Mereury dit que Penquéte: faite par le ministre des Finances dane le départe= ment des Douanes--a mis au jour des cas evi-- dents de malversation, pour ne pas dire de malhonnéteré, dans differentes localités du Haut--Canada. _ Do grandes économics pour-- ront étre faites dans Dadministration dour-- Hidre dos ports secondaires. v _ Vives done 'encore Jongtemps, 'floriaux Pontife, pour Is consolation yos enfants, le triomé)he de In vé-- rité, Pexaltation de la Ste. Eglise, ln confusion de ses ennemmis, et pour 2u'il yous soit donné d'éprouver en-- fin, aprés tant de goun d'onFe, le calme et la paix qul yous consoleront des longues et doulourense épreuves que vous avez subjes. Prosternés aux pieds de votre Sain-- teté, nous la prions d'accorder au pre-- mier pasteur du Diocése, & tout son clargé: t i tous les peuples confiée & leur soin sn > béut',wfi:tiuu apostoli-- que. 1 Foweriigg ht Th scurach ailtiiad umc Au Pontife qui in | gouverne avee un noble conrage, et #illustre par les P ndes vertus, un Pontife élevé a 5:».". de tout ce qui est terrestre. CORRESPONDANCE D'EUROPE. t J. E. Gutovzs. Ev. d'Ottawa (Pour le Courrier d Ottawa.) CEEETCCE & sa snite, car pardonner an chef sans Ce que Pon dit. Panis, 6 Septembre 1882 appMiye® vos iprotestalion ' que les : nous avons | par un E"'"""'"" Pinge, |faente h ous savons verne @est..nous |di unité ; vous|en parti aimer volre | dans : Je \lu _ vérité ; | de Garil muble ré la «ler:it';;edl;niluin'o a été née une s6ri¢ de sanglantos rn': les" bordb d Pdlgomne ' dans Requellés le Nord par j ?:"ci du wvoir on T'avantage, ¢ombat de' sur lequel ho# jourkans 6t les ddpdches to:'gra-- m-u ont dd vous downer déja des i an'e Snapirt 1 in o 'mih I vient m llng.:: loin " de %lm'. M.h pu:: tor Tee mom dn »ord of" conge Th glante qui so soft -b1 contiment ot qui a duré mmfi;o,m hom-- lus an-- mn leur vénérable év&ine ont été lD~.emont massacrés P"d':] Turcs. troupes sont parties lep pour punir ldP;np-blE:r; mais les Krm(.L niens n'ont attendu leur | arri-- vée pour se Jv'.oher. La Turquie sera tottjours pour I'Enmge ou une plaie vive on une pomme de discorde. crime ni par de lAches assassinats, qu'elles gagneront lear indépendan-- ce. On t du Libst, parla voie d'Alexmrie les plus p:ieplonhles nouvelles, A Marach, ville située & 40 lieues d'Alep soixante--dix Armé-- menies professant la religion eatholi-- | céder devant les clameurs du parti | révolutionaire et mazzinien. On pré-- | tend que dans un conseil des minis-- | tres tenu récemment pour s'occuper des affaires d'Ttalie, i1 " aurait 6té dé-- cid6 de maintenir la Statu guo a Ro-- we, et que, bich' Toin de rappeler nos troupes, 1€ gouvernement se préfpue & leur envoyer dé nouveanx renforts. Je crois vous avoir fait 'prévoir cette décision dans mes préeédl;ntes lettres. Deffervescence qui regne en Italie no perimet pas encore & la France de con-- tier anx soldats de Victor--Emmanuel la fi:'k du Saint Pore. Polonais s'agitent aussi sourde-- ment--de lenr eOb:FDe nouvelles ten-- tatives d'assassinat ont 6té dirigées & Varsovie contre plusieurs fonctionnai-- res russes. A propos de ces criminelles tentatives;le grand duc Constantin a publié une proclamation dans laquelle al les attribue au parti du crime. Il leg Polonais & répudier ces ac-- tes Eunmu, qui souillent inutilement les annales de leur pays. Espérons que les Polonais apprécieront a leur juste valeur les sentiments nobles et élevés, la droiture et la modération du grand--dirc Constantin, et reconnai-- trout & temps que e n'est ni'avec le } chaine solution de la t';umtion romai-- ne. _ A en crvire plusieurs journaux ::ldinniremunt bien: informés, lc'"e lution no serait ausei chaine Eue le: désirerait mpstim%ctor-- mmanuel, 'Tout en soub@itant vi-- vement lui--méme un ajustement quelconque de cette interminable question,' . Napoléon comprend trop bien qu'en évaquant la ville Eternel le. en ce moment il aurait Pair de: ® 1 Molopain ar son gouvernemient contre Gari-- E'ldi, ot exprime -- Pespoir d'une pro-- o d i 12 1 On dit que le roi d'Italic a adressé A empereur Napoléon une lettre an-- tographe dans laquelle i1 fait ressortit la promptitude et Nénergic déployés (Pour le ( en Italie une sensation dép';)nble, mais d laquelle on ne devait que troj s'attendre. A Milan, a (iénes, g Florence, en particulier, i1 y a cu des rassemblements dans les rues et des démonstrations inquiétantes en fa-- venr du_prisonmier. " Rome ou la mort! Nous voulons notre Garibaldi" criait la foule ameutée. Il a falha les mesures les plus énergiques pour rétablir Pordre sérieusement menacé! De part et dautre, il y a eu plusieurs tués et blessés. Ces manifestations ot ces désordres prouveut une fois de plus que, méme sur le continent, 1'I-- talie est encore loin d'étre réellement constituée et de former un tout com-- pacte. -- Quaut & Naples et & la Sicile, tont tend & prouver que ces deux provinces ne supportent qu'avec im-- patience Ia domination }némontuise, et que Naples en particulier ne se ré-- soudra jamais de bon cornr & n'étre wun simple chef--lieu. Si Victor-- %mmunuel a eu le bonheur d'on finir aussi vite avec Garibaldi, il n'est pas encore au bout de ses peines et de ses évreuves. Sa multiple couronne nest pas encore bion solide sur sa téte. Correspondance Particuliere des Etate--Unis. de (iuilmlt'i--i,'et les débats qui auront liew pouront seuls frire ressortir plei-- nemlent cefte innucence. Les jour-- naux clérri--aux et une partie du cler-- goéitalien et frangais aecusent han-- tement, avec plus ou moins de raison, le cabinet, doel'urin d'avoir secréte-- ment idé le géuéral dans Pexécution de ses plans. Garibaldi lui--méme wurait beaucoup contribug & faire naltre ces soupgons, #'il est vrai qu'k s!uu'eurs reprises il se soit vanié :fiir de concert avec Victor--Emma-- nuel. Les débats ferout sans doute connaitre ce qu'ily a de fondé dans ces assertions. Commeon craint que le tribuual militaire qui aura d s'oc-- cuper de cette affaire, ne so déclare incompétant, le procureur général a été invité & émettre son opinion 1A dessus, afin d'6viter des longuenrs et des formalités inutiles. La défaite et Parrestation de Gari-- bnld'i ont malhenreusement ' produit aipe aura pas molite len. union des 8 tte dévidé a In justice wlt sul .,m"l", Garibaldicn-- par un tribunal ce inire grhce Ottaws, (HC.) Joudi matin, 25 Septembre 1862. \«> Nuw--Yorx, 18 Sept. 1862 ourrier d' Ottama.) e'lenile hiewe l a raintes que . P'on entrationne hui aujet:\de Tidn belliqueni» voisinn, inobes.com ateb heo. reux de voir qu'il a'est présenté deur onon-- sion de fraterniser aveo cax, Pune sur notre ~~On lit dane le-- Journal de 4' ins-- : Quoign?il an soit ot . quelias que soient Je« gm. Lt s;nflmnr du l!ng::- ',h'bk' Baron Towo 'consul d& maefim et/'de 1'Hon, Geo. Crawford! Parmi lee a distinguéa qui ont visité hotre © wille' cotte ie maine nous avone né lea' notine de Son Excéllente 'Hon. Arthur n:ru' de toutes les personnes likes de prés ou de loin & in constraction de ces un:': La Commission d'Enquéte sut les batisses parlementrires d'Ottawa a terminé ses tra-- vaux, pour le moment. Elle a pris les tmoi-- Nous offrons nos meilleures remer-- cimens & sgessiours S. D. de St. Jean Port Joli, et S. M. de Papinanyille peur leur généreuse appreciation de notre journa!, et pour les bons sou-- haits qu'ils nous adressent. I"~ Nons prions particulitre-- ment nos abonng des townships d'Os-- Foodo et de Gloucester de voulvir bien ire Padressé do Thon. _J.--Bkead qui se trouve dans uné autre coldnne. ne puisse pas reformer son armée en Virginie. dT})Iut déPe%d done de la possession de Harper's Ferry. Les autres nuumu dlrr'tyhémre de la guerre sont sans importance parti-- cufiére et palissent devant les rares avis ?ue nous arrivent de 'armée de McClellan. Ces avis, tout hoonrigues qu'ils sont, remplissent le Nord de joie. Mais il y a une ombre dans cette joie: ce sont les pertes énormes dont on a payé des suceés qui sont loin encore d*tre complets et définitifs. Somme toute, Farinée du Sud est demeyrée :maitresse juequici d'une de ses meilleures positions, et celle PBE o c adioiondif. sns ie fls t s1 du Nord n'a fait que demeurer sur le champ de bataille, trop éprouvée pour poursuivre ses adversaires. dent, son ariméc, méme défaite et entraimée, pourra le repasser en toute sureté,. sous la protection de son ar-- tillerie. Or, i1 jmporte que Pennemi g tes. Le lendemain a la" poiuteran jour, la bataille recommenga au cen-- # | tre et & la droite, on Hooker et Sum-- 6| ber , attaquérent -- vigoureusement. -- | Lennemi, repoussé d'ufigrdfi un mille ) do distance, parvint & reformer ses ' | forces et a regagner, non sans éprou-- | ver des pertes considérables, tout le |terrain qu'il avait dabord perdu. '| _A ce moment, Hooker fut blessé |au pied et remit le commandement '|de son corps au général Summer. [ Ce dernier fit exécuter une chargo .| magnifique «fui refoula Pennemi a un | quart de mille environ plus loin que |la premiére fois. Cest dans cette |charge que lo général Mansfield a été tué d'un conp de feu en pleine |poitrine. _ Pendant ce tem , les |troupes plackes sous les oré):es de Burnside et de Porter repoussaient [Vennomi de la ligne de 'Anctictam Creek sur la route principale de Sharps | burg, et, ayant reconstruit un pout, occupaient on masse la rive o posée du cours eau. La brigade g,yklel, appuyée par une partie des troupes de Sumner, re]lmnssnit Pennemi de la chaine de collines, sur la droite, en lui faisant subir de lourdes pertes, et a 5h. toutes ses positions, sauf Pune sur la gauche du cours deau, étaient au pouvoir de nos troupes, Le corps de fiurnside, chargé d'emporter cette dernidre position, dut se replier de-- vant des forces de beaucoup supérieu-- res aux siennee. La nuit vint met-- tre un terme & la la bataille, Ons'é-- tait battn sans interruption de 5h. du matin a Th. du soir, Presque tous les morts de Pennemi sont dementés entre nos mains." Noug avons fait 1,500° prisonniers, Le général Mc-- Clellan n'a pas' quitté le champ de | bataille un seul instant, encourageant les troupes par sa présence. Une nouvelle bataille, qui déci--| dera du sort de Farinée du gud, doit | j encore avoir lieu. On ne sait pas|, au juste si Harper's Ferry d'abord évacuég par nos troupes, est de nou-- |, vyeau entre nos mains, comms le pré-- f tendent quelques télégrammes. Le f nt _]et% sur le Potomac, devant 7 R)arpar's Ferry, n'a pas été détruit, b et si Fennemi est encore en pos-- | session des banteurs qui le comman-- I qtute 4 j C Com L'action dura deux heures, et les trou du Sud furent repoussés Nespace g'e:n d'ami;mi_!le, avec de grandes per-- Mardi igpres--midi, le genéral Mc-- Clellan ayant ny':: que Iennemi retraversait lc Potomac avec des for-- wes importantes, prit immédiagement les mesures nécessaires ir se por-- ter & sa rencoutre. Les m'.l):l; Bud se concentrérent sur les hanteurs boisées qui environnent Sharpsburg. Pendant ia journée, il n'y eut que des escarmouches d'milflrie, hfi'- néral McClelian étant occupé & pla cer ses troupes de la manidre suivan te les corps de Hooker et de Frankiin, avec la réserve de Pennsylvanie, a droi-- te ; les corps de Bunks et 'xSnmm, au centre ; ceux de Porter et do Burn-- side, & extréme gauche ; eutin, le général Pleasanton soutenant le cen-- tre savec 2,500 hommes de cavalerie et quatre batteries. Dans Japres midi, le général Hooker' traversa le cours #ean nommé Antictam et atta-- qua Pennemi & la tombée:de la nuit. #e yeneraue bués et blessés. On croit m'-::;l'u:,u la w% tiak mandrhegiee bliés jusqu'ici sur is bataille deSharps-- o gi seit mitor muid, is gontet M Nord n'a pas cu moins de quator New--Yorxata * Bur 1# foi d'inform@tions phisdes Lh!'mu sources) nol® cotifin= midtis 66 que nous avons' dit 'dei ten-- tatives iquos faiteh the ( «i pros dn Saint-- de in de Pamperenr Napoléon ot anxquelles 1/ Armonid -- reprodnit, le Pungolo 'de "Milan, un hdf:r:m hous no' nous rendotis rinelletheht ga-- Un fmfin 1, & qn'i'w donna cette reving eipoe ts pepern tm oo Qus Pomperen? Napaleon; malgre is reveln y e e e e en a voulu:donngr ln'll'n- 'de; Rome -- sur la déclaration de marquis.de Lavalette an Saint--Péro, jo auis en--mesnre do vous asau-- rer, sans aucune réserve, N'ambassadeur de France, s 18 de ce xfin rendu & Pandience duPape pour #'assurar officielle-- ment que 'empereor voulait repousser, par son arm¢e, toute agression contre le territoire pontifical actool. E'l-h-dnr.dl- celte audience, était mnll du m'm comte de Montebelio, 6t i| i IE: it on mystére de-- aa visite aoSaint-- De plas, Sa Sainteté annonca le soir aux cardinanx qu'il avoit regue a assurances de M. de La-- valette, et & quelques--an's i| dit ces c:pu. paroles :' 8i on tent parole, dans oir-- coul'u.esot nous sommes, clest bean-- On écrit de Rome :28 aoutt, an Aes-- sager du Midi ; Maigré lo demaenti que io Constitutionne/ Om 2 Rame { aveo assurance dans |'accomplissement de Ln mission. l avait demandé catégorique-- ; ment an ministre de la guerre, 8i la volonté do gouvernement imrtnul était de sontenir le pouroir le-'onl u Pape, en --lui décia-- tant que dans !@eas contraire iJ aurait donné sa démission. Du fioment on le maréchal ministre de la guerre lui a. Mpondudiu 1a ferme volonté de. U'Empereur était de défendré: et de lui garatir Son territoire, il a un ca-- tactére décidé et monteé une activité et une éneegio excessives. Lo géneral de Monte-- bella est un digne successeur du comte de Goyon. Le Suint--Pére est tres--satisfait du général. Le marquis de Lavalette est deve-- un plua favorable au Pape depuis 'ulq-u jours : il n'eat plus si piémontais ; Cest une conversion dont il faut tenir comnta. Bruit et proposition d'arrar ~ Femment chitre io Pape ot to Garibaldi a demandé la permission de s'embarquer sur un vaisseau , an-- glais. On n'atrouvé & Esparmonte ou ila 6ts fait prisonnier, oi argent ni document quelconques. Rien en-- core n'a 6t6 dgcidé sur son compte. Ses blessures sont tres--graves. Il y apeu d'affaires en Australie. Une commission: royale a 6t6 nommée pour faire son rapport sur los pers-- pectives de mines d'or. ' On écrit de Rome & la Gazette de Venise du 19 aofit : . Le général Montebello marche maintenant Les derniers tél:gnmmes annon-- cent que les Monténégrins ont ac-- cepté toutes les conditions proposées ar Omer Pacha, en raison de l'état ge siége & Naples. § L'anniversaire de l'entrée de Gari-- baldi & Naples ne sera pas célébré. La presse de ls Lombardie est nanime a.demander une amnistie en faveur de Garibaldi et de ses parti-- Les Tures ont aussi tiré habitants. Les Monténégrins ont fortifié Cet-- tigue et ont transporté & Cétaro tous leurs effets précieux. Omer Pacha arecommencé les hostilités. Les Turcs ont mis le feu dans le quartier Serbe de Belgrades &b le palais du Préfet était livré aux flammes. ® Les Monténégrins rufusent d'ac-- cepter les condition des Turcs, et, profitant de l'armistice actuel, ont envoy6 & leur représentant A Cons-- tantinople des instructions pour ob-- tenir des termes plus fnvorlrl'eu du-- rant la Conférence. 1 e TCO T CC €0,2007 Tommes. Le journal " La France" dit que l'unitg de l'Italie est impossible ; que ai elle pouvait se réaliseril en résul-- terait une grave--perturbation dans Pordre euroféen, et que le pouvoir national de la France serait obligé de demander & l'Italie une compen-- sation et un changement de limites territoriales afin de se garantir contre ses puissants voisins. Le" Pg" de Paris dit que P'Es-- pagne a offert d'envoyer son contin-- gent au Mexique, mais que la France a'y est refusée vu qu'elle y expédie un autre renfort de 30,000 hommes. ici dans I"ru's midi. L' "Anglo Saxon" était de retour le 10 a Liverpool. Attendu l'incertitude causée par 1¢ retard de. Parrivés du " Great Eastern' & New--York, les primes se sont élevées & 20 guinés & Liver-- Les. nouvelies de 1'Anglo--Saxon n'ont produit aucun effet sur les consoli 168 qui ont été coté de 98; a 93 § 8 en a--compte. Le " Pays" de Paris dit aue 'Fs-- L' Archéveque de Cartorbery et le comte d'Harr.i_ng&op sont morts. Alfre'i étaient u:n--v-év;l Bruxelies. on leut a Jonié, dans 1 Phistitut @hadien, on' t miaire présidait ; t i| a dit d'excelienies choses excunien jusqu'ay (croumus canadien... Lis ont éte regus par is population d'Ottawa avee uve ucbanité et. une hospitaliié remargua-- bie, oc les a w, loasés et promeués, :Qw;u._'f.!hu,.. chomins de W et Ogdensbargh, s &2, dane decaibreville, hbuqu'u Amérique on appelic un jubilé, t comme cetie ligne se relie, par des bateaux a vapeur, au chemin de fer de xootuuu.fihu--w-p divebte puite New--¥ork ct cotte deraic-- 1e ¥die, les invilés & in féte out poussé une propre sol, et NO ¥ £LLES DEUROPE. ARRIVEE DU BORUSSIA Le prince de Galles et le prince , o. 4W Dib ont, dans ueive i * Borussia" a touché Paris dit que 1' , loasiés et promoués, Is nouvelle salle de bunquet, angue! le a"y est bu, mangé et céte de i* 18 sept. 1862. als ; Cef compte, moa? (PDTmande, fillys.du. privessc .bbn-fllhhh.. i : phisdcs A qui per rboune" | Bestesn" Spoommt ternatl lot tom-- | i# ptincessa comme . excessi¥s pexa tro S part de | 1. --0uf se o P seee fanem sur les parti W 4 | 6t 8@rait ascoci¢e aussi 'impératrice, h-- relativement a un arrangement svec ligne | le roi dItalie. L'empereur en don-- L' uant les pins amples assurances au reville, | Pape quant & sa défense contre les appelle | attaques de la révolution extérieure, lie, par ' lui a fait savoir explicitement que les e fer de | forces du gouvernement frangais sout ant use | pleingment d'accord avec celles du deraie-- | gouvernement italien pour faire res-- see nl-; pecter ln capitale de 1'Eglise, mais m. inuslecrpnlede oo ts / On dit que. Je marisie: mara . Jienas "',;,',', 'h-»l-:h!#-&.m' ; !finpflm:p-h'::-h." t bat bien ln Déinmeas _Alatundsis prét -h-'-,hnz-' «se . Alexandria, efi eags. Aipwande> Slte> dn prines!(Christian 'de feseo en n prftinac, dn 4o Preraphoiaeremien =--Lb mhrings du : Prinks de Galles's--été mmtl--tm;h. q a e esd E7 --M. Walter McCrae a été nommé mem-- Mn tm uaine t ie ob reges ane vour. mit Popposant do m. candidat cobberva-- --L*Hon. M. Lemieok a Ma.m @lamation, landi pour reptbssnter la. de La Durantaye. Les nouvelles d'knmpe par le .Nova Scotian sont i Washington 23-- Leesburgh a été repris par les fédé raux.-- _ Les derni¢res nouvelles du Siége de la guerre gom du 23--Les génésr:ux Bragg et Sinith avaient divisé leurs forces, et s'avangaient sur Louisville, ue les femmes et les enfans avaient 'Sb-ndonné, A Washington on avait offert le commandement de P'armée du | Potomac au Gen. Burnside gui pavait refusé avouant que McCiciian :'nl était supétieur comme comman-- ant. F B;llmon,fl) sept. L'American de ceite ville public la détrohn suivante recue de Ketsville en date du 19 de sopt. Les confé-- dérés ont retraité mardi soit vers le Po-- tomac. L'armée de McClellan était en mouve-- ment ce matin, préte & recommencer ses attaques contre les confédérés. mhts auy 'o reoecupation de Harper's Ferry par lo général Barnside. Les confédérés durent retraiter en aban-- donnant Partillerie et plusicurs centaines do prisonniers, qu'ils n'eurent pas le temps de relicher sur parole. Les troupes du fiord nnumvirenl Pennemi jusquo'a Martins-- i D caoe se P e td Mecredi, le général MeClellan accorda aux confedérés quatre heures pout se rendre. Ts refusérent, et McClelian fi'Q attaqua de nouveau, ot le champ de bataille fut littéra-- lement couvert de confédérés morts et bles~ 'u.. lis furent complétement enveloppés de tous cotés etils n'avaient pas lm moindre ' chance pour s'échappert is ent é16 com-- plétement anéantis. --Cette nouvelle a ét6 apportée par un nflicmrnon;e'l y croire . pflmm.w --La Presse de cette ville ruhiis une démho spéciale rejm de Middleton en date du 18, qui donne des dé-- tails sur le récccupation de Harper's Ferry par lo général Barnside. Do0 aCZPeit Tok Pnguirer publie une dépéche spéciale de Baitimore qui fait plus que confirmer les bounes nouvelies Phier. Mecredi, le général MeClellan accorda M onl eb RANEL Washington, 19.--L est tout a fait faox que le général Lee ait tourné le flane gauche de Parmée du général McClellan . et qu'il soit maintenant entre McClellan et Frede-- nck. Philadelphie, 19.--L*Anquirer publie une dépéche spéciale de Baltimore aui fait nin. 1 Tum npue td _ Baitimore, 19.--Uue personue qut a quiné le champ de bataille, i 9 heures, mereredi soir, confirme le rapport travsiniso & In presse associce. Elle dit que les fedéranx occu-- paient la position choisie par los couféderés an commencement de la bataille. -- Les con-- 1édéres ont 616 repoussés sur tous les pointe jurgu'd un mille etdemi, excepié Pextrémn droite qui eccupait encore sa position & la fin du jour. . Eile dit que McClellan et ses ge-- néraux regardent lo résultat comme une Yic-- toire glorieuse. Notre correspondant dit que personne n'u eutendu parler de la capture du genéral Longtrest ou de la mort du génésal Hill et que cetie uouvalle est fausse, & 20,000 hommes sont attendues de Harrie-- bourg. Un correspondant pense que la perto des eonfédérés est égale & celle dos fédéravex. It ajoute que si la g-l-illsdn meretedi n'a pas eu un reanltat décisify l'avantage est resté du moins au gévéral McClellan qui occupait le champ de blll:l"e & la fin du jour. pus id 3. o0 o ons Nos soldats sont fiers du résultat de Ia bataille dhier et le genéral McClellan est joyeux. Lopinion du gévéral MeClellan ot de ceux qui entourent estque la victoire finuie eera & eelui qi rocevra dos reuforts le pre-- miar Infiana'f.lil, 19.--Un adjudant quil sest échappé de Mumfordsville immédiatement aprés que les confédéres s'on sont emparés est ariive & Indianapolis. 11 rapporte que la garnison de cette ville, forte de 1780 hommes etd'une camgagme de cavaieris et 10 piéces d'lnillelria, s'est constituée prisonni¢re. BM MF PudhiGbdhbtan NC oo Pnyey Les fédéraux ont ét6 cnvel;uppfil par les froupes coulédéres au nombre de 30,000 hommes. HarHMrg, 19.--La grando t rng:in ce matin a Sharpsbourg Aiiedrmantsfinfint id mtaiit. "* Quant aux propositions d'accom-- !* modement avec le roi de Pi€émont, @je vois bien que le roi de Piémont @* vyeut empécher les révolutionnaires © de venir se heurter contre le Vati-- ( can ; mais n'est il pas lui--méme r6-- & volutionnxirel,et ne veut--il pas, Ini " aussi, Rome ? f Le Pungolo ajoute: " Je vous donne ce récit comme authentique." Quant & nous, nous ne garantissons ni le bruit ni l'affirmation, E ucaa 22 1 BCY MOTE que cette situation un':s pour consé-- quence naturelle une double solution : la repression de monvements révolu-- tionnaires de la du cabinet ita-- lien ot I'imponi&;ir:é pour la France de maintenir le statu guo & Rome et & Turin. ** Ce point de vue a été pleinement admis par le Saint--Pére, et il recon-- nait la nécessité den venir a une so lution : Il dit de plus qu'il la désire ; mais quel moyeu d'y arriver?" 1 montre beaucoup de" défiance a 1é-- gard des mouvements qui avitent 1. CCC 2. _ Cments qui agitent ln g-i;:'le. * Bi vous me préser'lgl com-- "* me un moyen moyen de solution, " dit--il, le rni que vos paroles sein-- * blent in iqner, cest un parti indi-- i* gne de moi. 8i on veut en finir «© de cette manidre, ajouta--t--il, qu'on " le dise,.llow prendroms le chemin woy y'y 1° Bu Nouvelles des Etats--Unis. moa l Lt 90 PNCTIT de lexil, le seul d&s lors qui puisse nous convenir. S#aits Ribers. La grando bataille a eté A. Decamaye sans impor Apportéet