WI mumm"' to 'h'fa}fié{, ;ne -JEF-"JF:?&E EEEE':?E afmit ue e?-"u nadp nmenrebin _ @pt. tant ilars t 'ait fide; see Elle avait surveillé Péducation de son dis avecia plus tendre sollicitude of avait inculgué & son jfeune conir les mtima de "picté' fetvente tt: vile a:r ell.ennflm antmée. »m elle uy ne : ce C on onl ce veeux était le plus cher «cour mais le jeune homme In rig militaire, La g:uvnj pleara longtemps quand le mo-- A pen pres vers 'cé'temps, Fon ptie envoya an r'giment un jenne me pour servir en qualité doffi-- #; ila'appelait Charles DéLannay. 6t Ctait Te seu! 'soritien dPine pauvre veuve qut Pairait A la' folie et 'de-- mevrait a quelques milles de distan-- oe du lieu c.ibbre qui a été le th.A-- tre des .exploite memorables d'une r"r'e de;btaves voltigenrs cann-- 0:'. «@ommandce par le flmeuxlde J laberry coutre une force bien plus uombrense, | Je fis in connniseance de cetre Dame dane Insnite; c'ctait une de ces ames nobles et dusintcress es qui #e somblent/mises a 1r la .terre :que pour son@rir, et qui endurent l"l'C' patienfce ot résiguation: toutes }e# «preuves et. les privations que IcurI envoit la diving l_rmridanu. dominetlos.mutres, et ¢'ctuit comme une invinciblé: passion chez lui ; dink le enmzlu tapageurs étaient a la mode; et ;'(-tuit 'l: premier: des genre. tee? regardait--ou :r't:m un fl--/an dont on aurait vou-- Iu se d "bas rasser. f Ou le 'citait pour a'étre souvent battu en. duel, et toujours il était sorti vietorieux de ses rencoutres. I! ne se passnit pas de jours sans qu'il eut querelle avec quelqu'un de nous, lbt quoique le commaudant eiit donn' des ordres séveres pour em-- pecher touté . rencuntre, .cependant if en fairait pen descas. Il lui falluit Ilfl{ avait dans notre compagnie@ un officier d'une trentaine d'annces, nommé Enmanuel Névifle. Cétait un homme d'une taille puissante et doug dune force athlétique ; son ca> ractore altier et difficile, son ton sar-- castiqye feswent une grande impres gion ayr quelques,uns de nous autres jeunes gane. _ _ tolet ; aussi sa-- graude (M',cllll}flliflll (-tulr-ZIIe de @exercer tous les jours ; les miirs de sa chambre criblés de bullet, ressemblaieut & des rayous de miel. ment quelques person es jetorentiles yeux sur le eapitaine, et attendiren' avec anxicté son opinion ; mais le vieux capitaine ne paraissait pas at-- tentif a ceque Pon disait ; cependen _ api@s avoir avalé son verre de vin. un instant it réfléch't, et commengn le récit suivant : Vers l1 fin du mois de J uin de Pan-- née 1812, le régiment du Colonel T** était en cantonuement & Montrénl. On sait ce qwest Pexistence d'un officier; le matin, Pexercise, 18 ma-- nége ; lpuis le diner chez le comman dunt; le reste de In journée était employé en promenade & travers in ville. Nons passions In piupart de notre temps les uns chez les autres, et dans nus rénmions on ne voyait que nos uniformes; la vie qne noufl' menions était assez monotone. Au nombre de ces personnes se trouvait le Capitaine D*® n des 1.é ros' de Chatanguay. Ce brave off cier était bon narratenr, et anssi pé nait--on plaisir & lui faire raccoter quelqu 8 scénes émonvantes dont il avait 616 témoin durant sa carriére militaire. Le repas terin'n', ln conversation roula sur différents sujets et Fon en vint A parler du dnel. En ce mo 'La tible est dressée sous pommiérs tordus dont les sées couvrent le tapis de gy du & leurs pieds. s e Ennty Voild Puspect de 'Montréal te 17 mai 184***, au moment ci plusicurs persont es dinent dans un ve de-- vant ute magnifique maison rnf';nlui» sance l&.ie aux pieds de la mon-- tagne. " . Tver fouche & sa fin; les pre-- midres haleines du printemps attié-- disserit Fatmosphére ; les chauds ra-- yons du soleil de-- Mai chassent de lears demeures les Montréaluis. L'as-- phaite dés chemins, --le sable eud-r'ri des places / publigues se l,:np!ent promehieuts " péuestres, _ ux de Fm' S'aventures r'i' grand© air. out prend Paspect riint des beaux j Les fewilles bourgeonnent aux KB:A'rh- des cralles, T:g lilas épa-- mnowissent leurs prem'dres fevilles sur le liseré des 'platestr ndes, et fbres sur leurs tiges, les prem:éres flenrs dn printenips 'étalent avec orgueuil leuv'- rig-hgjs conleurs, Fhiver touche & midres haleines du II <tait trés habile A tirer an pis uho re " . ¥ouilleton du C.uirier "flth UX LPisG. Kittcrature. (hvha.;, ".Q' & 'I "m '?"""--': tiges, les prem.éres fleurs mps étalent avec orgueuil es conleurs, P'uspect 'de 'Montréal le 17 lont l¢s fleurs ro Otlew i.) gazon 6ton de vienx JQJRNAL PUBLIE DANS--LES INTERETS FRANCO--CANA DIENS DU CANADA CENTRAL 0' les bois commencent ot as noient *"fimdinleeid blen, = A droitd a vae plongenit: sur ame wallce 6t déconvrait ow doin la prairie verte x:o lo 8t. Lanrent arrose. Uné de 'rw montait des .plaine« échanff 'Cette "a.(....i.., monatone slea sngagrars desé@inda tait & de in route. a Pendroi mith gunuche de in route. a Pendroit Cétait anpres d'ane . ferme isol ie ' dans dn campagne. manis.tout cuton-- rée de--chimps . verdoyants, ot de. Trais massife. -- La route s'allongenit. en tournoyant. sous Lombrage Arables et' des ormes.. Les. rayons dn 'soleil 'feesiont can Join--petiller comme des temt--falle:a les vitres des mainonnettes blanches baties: aur :)o penchant d'un ctean : voisin. CS A quelques henrea de marche, In cm'ur devint ai-- ardente que Is anettr contlrit ¥ grosmea gontre« aur notk viaires haletants. Noue notions iqn'd quelques milles du but de no-- tre prometaile. cependant nows nou« atrdtimes " pour" hous reposer et preudre des rafraichissements. Sait on le bonhenr de T'homme aui sort de la ville fatigné de voir des maison: et des nniformes, dégouté de Vexercise, de la bone, des colmes, des tumultés froissé & force d'avoir été heurté. Ses muscles tendns ai long-- temps par Dincéssante lutte qwil faut sontenir contre les obstables, sa Ivoiunhé raidie, sox passions irritées, [rom cela s'émonse ot se détent, et il sent an'air nowvenn chasser de sa | poitrine et de son cervean les noirs | vapeurs de la cit' briuneuse. -- Elle eat ai belle et si riche cette campn-- 'm (L"i fait comme une vaste cein-- (tare A Montréal! . Elle a pour tissn les moissons. les vergers, les ham-- hles chaumidres bord es de monsse, et le ma estueuy St. Laurent anx eanx blen'itres. Puis aur cette cein-- tnre magique a' lovent LI montagne mo?lieuse, polic, ciseléb, et les c| -- gantes villas aux parterres cmaillis de flenrs. Les principaux officiers dn régi-- ment reQurent des billets d'invitn-- tion pour allor passer une journce chez un monsiour T*** ancien colo-- nel retiré dinservice et qui demonrait A une quinzaine de inilles de is cité. Néville et DeLaunay furent an nom: I les invités ; ce dernier déclina imuinn pour ne pas rencontrer won ennemi: Muis aidé de quelques ins de mes amis qui Paimvent an-- taut qu'ils baissaient Néville, je le décidai A nous accompagnet. Le soleil s'élevait an dessus deT'he rison, et commengait & verser sa In miére comme un torrent sur la ter Le jour arrivé, nous partimes de wrand matin, au nombre de vingt of-- ficiers. Le jeune DéLannuy «'ape--gut aux man éres froides et réservées do scs colléegues que lerapport menson zer de Néville avait pris racine; et la ; pon e que son honneur étiit sonillé Tune tache, le bon'eversa compléte-- ment; es jones devin--ent . encore plus j Ales, et sa figure s'wssombrit d'avantage; plus d'whe fois il ent In pensée rl'e:wu'yer un cartel a Névil'e, mais il avait fait sermcnt do ne ja-- mais ce battre. Cette impustation de--Jache fit be m-- coup de tort a Delanniy supres de ses compagnons d'armes,.. Le man-- que dclIlalflliqsse est ce que on par-- Néville ne s'en tint pas l&; i1 out !a diabolique idée de repandre dans le cammp que ce n¥taitque la lache-- té qui empéchait Dehunay de ren-- contrer son ennemi." «donne le moins chez la Ijv:nnes«:e'; et pour elle le courage est le premier le tous les mérites, Pexcuse Je tois los défaute, -- Paiappris plus tard que mon pan-- vre «ini, avant de quitter le foyer do-- mestique, avait pronris & sa mére de na]janmis se battre en 'duel. Natr-- rellement pieux, Del.aunay eat été fiddle & sa purole si les insultes reité rées de Névitle ne Penssent peu & peu pousse auparoxisine de la furenr. Cct officier fantaran prétonduit des-- cendre d'une souche jillustre, ct se ventut d'étre allié aux premigres fi-- milles de l"lr»unea aysot su_que De ,#;upu_ét'ihlg_ is d'un. cultivateur, il ne uu.ln'? it jamais , IWflm de lui reprocher son -- origine obsciire comme il l'uppeluit, et mettait une joi¢ infernale a le provoquer en tonte fagon. Néville poussa fa 'bassesce ct la ernauté jusqu i engiger un de ses domestiqnes & empoigcrmer un ma-- |ifi¢t:e chien . ** derneneuve" . que E"lur avait amené du toit pater-- nel, et anquel il. était trés attaché. Panvre jeune homme, il pleura com:-- me un enfuut la perte de son favori; ct quoique bien rense'gns seul an-- teur de te méfuit, cependant il aima. mienx garder le sitence que de se. plaindre. i bres on ont dit quelu vie s étuit toute réfugice duns ses yeux noirs, brillants quoigne doux et remplis dune ex-- pressiun deréverie distraite. H avait enfin un de ces visages qui attirent comine uue énigme, Tel est le jeuns homme qui out le malheur de déplaire a Néville, et [3 haine que celui--ce nourr,t contre lui fut irreconciliable, verts d'une puleur--si mute que son visage semblait taillé dans To nia. A9cTeiRA is L006 . UMCL-- (Cost in fait, qhe jo ne orsia pa« hf: :fl""l.wfir mm'\vnr"q:"lnj:nmdcdmlr?- ® 4O | fignre ait e en ai pen de temips , mafi.m«':'o'.'m eighty \ )o AOsed wb 07 .Am.'_l"...'"l..! eniey quannon . l4~ | § Mc e us oc oo y Emt ois 1""'""{"_{'"" Quoiqn'il arrive. allons retronver nos compingnors, ce« toffhres ime rendetit for3 ame henure de pin« & souffrir, et je tombe pour ne plus me relever. Nonus retouirnhmes. A part sa, plegr habitnelle. on ne remarquait aut la figure e Charles avemne traces d ; motion. Qiekqes ane des officiers Ctrient clicore & amanger, tandis que dautres wentre tennient avee.cha'eur dn p 'nible in wrdent --qui~ venait. de troubler In gnict® g m 'rale. . N/ville se prome-- tittrenl, mue main derridre L cloig eUde Pantre i} 2enait nue ornvuh] 'nvde I-ml e. i. coupast ln t--to dee Intites herbes qui se trouvaient sur Améd'e, vous Ates ~celui ie mea amis que faime le plus ; frites inoi le plaisir de me servir de gecoud ; et ai jo. snccombe, ce qui est plis que probable. ajouta--t--il nvee ith sourire que je me -- rappellerai toujonrs, no» cordez moi une dernidre favenr: vaici deux clefs, Pune de ma cham-- bre, et Pantre dune perite camsette que je vous »i d ji moutr e.et dan« laquelle vous. trouverez une houcle de chevens. in portrait, et quelques iettres. . Remettez ces objets & ma m re. et dites: lui tout ce que jai sonffert ! _ II y a encore une aitre lmmmne que,je voure anpplie. d'al-- er_voir, cest ma'clure Eug nie, dit--il en cachant son frout dans sea maius. . Jancais veulu Iniécrire, mais dites Ini.que tout indigne d'elle 1 que je sois, nia demni.re peus.e a «t/ pour elle, ] Non, non, reprit--il. cest fini. Je me snis refugic dans ln grice divine, et elle m's abatdonué. | Tout m'est devenu obstaele dans Peutveprise de ma rohnbilitation morale, car atuce-- ment je sonffrirmia ce dernier outm-- ge3 nmis je ne puis, Dien n'a abun-- dommé ! T1 n'y a que la mort de cet honime ow Ia miewne qni puisse ln-- ver In tache dout mon hotmeur est souille. Alors il se mit A marcher de--Jong en large comme im trgrefurienx, Je Pavais 'cont', immobile ét tour-- menté par mille seutiments' contrni-- «Je vonlais l'upui;erm lui persua-- der qu'il y avint possibilint nmrmll'- ger affaire, mais il ue voulut rien entendre. 5 Le coup fat si tapide qve Charles weut pas le temps de 1 éviter} le verre se broya sur s« bo--iche, lui bri sant les den's et mourt aint horribl < ment ses '(l:'\'fl'-\'. Etourdi par Ia vic-- leneg da_ coup, LeL&wray tomba & la renverse sur Pherbe ; mais il so re-- leva aussitot comme mu par un res sort, et porta son mouchoit A sa bouche pour comprimer les flots: do sinu quiwon échappaient. n I io s antamnt vant, avait fait appréter un ib gne. Ses domestiyties ::!-'n':i_mt w éln.,fifc panier coutenant un «qqtartier do Toe.if pique, .;fé dans Ja ge.6e.comine un navire dins le St. Laurent en dé cembre, piisich®l Ben@teillestie cha i pagno, des . poulets feoids et des c n serves enfin le meny dung . délicats supprise, . Il tit plucer | toutes .ces bunnes 1-lumsur.uuu table, et dres-- ser.cette bal n:lul»lein,guou. eu|-l in air, .sou3 .dos érables, qui Iniggn en filtrer les rayous 51|w.h,n:'x|{ a i a Quand es préparatilsfurent termi~ nés, -- Néville nous invita & partager ce repas chinmpotre. ---- Delmmmy, qiti depiis uotre--arrivee, s'otait pla n:--de la chaleur, ne voulut rien ananyer, seulement il me prin de lui procurer de Teau pour se désiItéres, En'ce moment un des domestiqnes plaga cevant NéviHle un lur c tumblerrem pli dune ean pure et Timpide, Vo-- yant que Charles était gus de..polut de s'évamounir, jelui présentai le vare qu'il' prit en 'nemblnnr, et dont il avala d'un trait le contenn. l T' vait a pe'n> replacé aur In table que Néviile, 1 & e de furcn>, ot le regurd effare qui lui donnait Puspeet d'un fou, sais t s in verre et le lui langa a la faure. Néville qui, entrantres préten-- tivns, avait russl cel'e de paser pour an gourmet consomtié'et on bia vil u.008 Ottawa, (B.--C,) Jeudi matin, 5 Juin 1862 on toe te et me prt dfwh ind dlire ni Abio marys oi doin Ne vemiit. -- On eatptom mt qnelle @rmit partie de Monnt in Deff pout «* readge daree Pun' d a «tation« d« PEt «'; demente nne de «es filles, . U e tempet> Pavait tor-- ¢#b> de se cefagier. dasa un moul n. . Pn« prices. pour [a » gounr.--(Ehe &4 Pdci} vowhrent of liser ce hen dece'nge et y faie te dlépd de fanbe ng. qni embarmcaniect lour mmarcle, Imp »si e de | bnétrar on e« \i n par la porte. 1 s firent nne. percée an toit cet <'il frodoi srent put (& dowe one. de ineare c il tronverest ane pauer» fermme qui depuie dix jo re Anic Dt prenmnidre wrrm an crritures m feu, nicoamrestiren, . [ bban WWin 16 wiccenr de '® neige 1 on oBsta lex A la eoutinnat on de sn voyage. _E le était whorouentibe done In caloin oi in Pact orvce \A, oh la newwe scoumn'be cont.e ta porte Paibet cempriemnbe.--O+ cro t qvefle _ ne stast mise on route e sont Pinflanee dtave sb rotiow. mhentale. -- Des Mesiits not .6 fex Tig Monnbinc, Toict se« comnay o« ut nperg t h nine petite distance . d i morh-- met, ohe pet te. cabmne 4 motié endece'} dhode lea neises. . Avict des povis one, ie vo iurent ut liser ce hen dece'nge et y faie te dlépd de fanbe ng. qni embarmcaniect lour marcle, Imp »si e de | bnétrar on e« \i n par la porte. 1 s firent nne. percbe an employ 6« de. 1 II était jovenx de nous voir, On apporta le diner et avec Ini parurent Madame . T#** et ses demoiselies Cellesci étuient de vrais types ce beauté ercole. . Leurs yerx noirg et Iinzn'clun, Jeun teint aniné, et lw pic 1eté parfaite de. leur bouche, fine et tendre. nous donnaieut le vertige «quelqnesfois. . La table étuit somp tuense, frnits, vins, tout était ce pre-- moer choix; Nous nous mimes A table. -- Nutre hite était en belle lin-- meurs, et bientot i1 I'n fit partager A toute la compagn'e. I1 était ce qu'on appelle communément un ge |li'¢nr~ gon, racoumait tros hien une histoire. linvait see, ot faisait bien sa part du chorus. le« Big: Monit Nous tronvAmes M. T#** aseis sous le porcl e d'nne élégante villa, fumant un hayana, et surveillant les travanx de quelqnes ouvriérs veenpés & des constrmictions nonvelles. " uess «tweté nous Ininsmmres |esldumen-ti(|nu- & la garde dn mort avec In stricte rvecommandation de ne pas s'cn éloi-- pnor jusqn'@ notre: retour, . Ces dis positions term nces, nous partimes pour la résidence ce M. ***, Pesprit un peu prévecupé du malheureux ré sultat do la rencontre qui venait d'a-- voir lien, mais cependant décidés a n + pas imanquer notre partie de plai-- siF afin de le sonstraire &A In dent de animanx carmassiers, et pour plus de _ Tous les soing du chirargien fu-- rent inutites. Il était alle vers le juge supréeme reudre compte de ses actions; ln balle lui aviut traversé les poumon®. _ Nons eutrainamesle jeune Charles lom de cette scine emonvantearussiétait--il plong? dans unestup faction extrome, _ Mes con-- pognons qui Ctaient tous «es jeutres gens de bou casactere, et haixaaieut Neville comme ln peste, Senpressi-- reut antour de -- Delumay -- pourt (changer avee Iui une poignie de mains, et lui exprimer leur regret de leur ancieune frordeur & son (gard. Aids des chirurgien et des domes-- tiques de Noville, je_fis transporter te eadavre ce ce nail.eurens dans lo bois voisin et le couvrit de branche QuiGres vous pour avoir Pandace de vous intituler: Pumi d'an wussi lucke poltron, Allons, capitaine Névilte, Ini dis Je froidement, si_yous n'dtes pas suffisamment informé quije suis, je pourrat vous donner de plus amples informations aussitot que cette af-- ' faire sera. terminie. It se retourna en poussant un ju-- ron, et demanda un des officiers prés de lui de lni servir de segund. On mesura le tervain, Les oiseans. nuguére, si joyeny, comme dovinant wos intentionia, ne fuisaieyt plus entendre leur gazouil-- lemeut 3 Je dotnal quelqnes instruc-- tious & DeLmnay sur se manidre de viser maisy a dire le vrai, je le con-- siderais comme un homine mott, certiin que f'ctuis de la sup 'riorite dir tir de Nville sur lui, mais © Te plus fort west pas toujours victo-- rienx." 1I firent few en m'me temps. © Ausitot que ln tim'e fut dissipée, nous vimes DeLannay d bout et calme comme antpmavant N ville fit un boud et retomba inanimg ; il renduit le sung par la bouche et les narines, rougissunt Pherbe autour de lui. Ex Prtmon: socs ue Nmas --Lan d# 1)%@ les premiers matarque. jo slui adressaiy il=était red. o6 fivement, et gardant con air -- d'napler: ce habi= tor@bley 6t brpobstar t & ouel) 3 poarvines . Cepentluat, quelques miuules. sou cluqu u'l""t' 'I-m-lla et gou dog. vouts, et an figure ordimure-- ment . verhiqoude par Pellct.de . la boune. chere ctait emfituote dune couleur livide. R J¢ Uybordai en le prient de vou-- loir biew ge procurer ag egcoud, cae. nou ami l)efimuay dsirait qu'il lui. rendit satisfaction amfuodiatemput pour Linsulte ga'l ovelmit de reoes (Ln fin au prochain No ) q $D (O%8 o 16 6 riphe Svieu con suvning ol -- Pour marentter on mosert Pin ban. jcraf-- Yoir. . Com prbcension= prises, m po 10 doue mam Cécosson do urefivic smin \n , mareotie. A que ue lignes. do. som pint: din--ar ion & dn rimemidre ; avee Pan riiinain, on 'n phie on on mm rie d + Je plaer,...Cat an--ui «léter-- mume j te le pliut ni il fauden inciser on !w place quocenpera. is murpotl + en t:mes 0. Tit on um @f,ghousi de Ja magborre n it lines sion borigontale juequ'an millies fa Jinmé, wgde oo neend, . 1 y en a q en fe) bimne want legbrem ut |a fame do gteff it. en.ae> montant , d'un demi pooge, poit f it cuu, sccon le inelicon fo aprdcdi® 6. p Hfirstinn Inire & in promtdt?'} 'Ceat' #e cit @bippelle ma v0 te & ta'in. ' 3e eriis CBtte # Céhde.in-- cimnn -- plus .n deible. qatatife," L spiets Holten, wh ow de'w lt hn iet, frirrietent, t emetvont. T m it imb , F0 eA $ W00 4 tm , i Piniiatiin: Witinhbiies 0 Ke bsepar® |<or 1 _ \oipieat, P CR B ArP Met, bhir t ns qi o x veleninl hib Segoi oo j t o h ons deacrtciuen . Pout frit» Pincinins. it .H"'m{ whhrind p oome pmait qs mernher it wl i worent p eomit it qs mecuhet it l i comme iroidwiremen t 'a : planle p uees de pmfondenr aur en. proporti n de..la lonp muure terycet on étaje chu r ment. ue seule saison ent propice i mareotla-- we s Ce t Pété: depuin le quinge juil At jus it q daze Cc Ot envion. L évouite fa meilleure e--tcell@" d ds pleime Borison, Beancoup damatetirs, «pour nepucimire in coupd@il de lour o leetion, ahtendent qua ves @ | enc i marsatter. ment / pmac 6 flw stuts adors, 'our véed ation métint pug uosez active, le suced> de Pupé.a ion devi,t tre« ncwrtarites une tré« bon plict, prufite mares t ex; Marcores.-- pas ordineireme pas odurirement Cune: donatitultr e asser vigou ense j our dotmer un srand no nbrede porisses -- bounes. & mureerter, . Lorgn'i l« premidre . Hordatn -- dew. steinie, on romminnd P tent et: Corizontalement wu imden on I neud on adt eatat on, / Lon fat ensutre n muien de ce namcd ime fewtd 'l0%% i Wilitnl & d un den spouee sen etnent. .O dcurt> i9 done C anltes opposges quto®' trorvdn & ce vge ulc et delles que ue tbnvenicecs uq.-(lwt-,' suw, a deuy poue s de inucéar . doensfivce! la teare et Pon y place l bout re clans ue situation cou bes. de mand e & c> que ln purbe quild it atuel.er se Aroive plare nurzonta eraent, . Oaentonce s bout tys w deus porces env iou de.,pu fond uns en @faet semm de en attusep itima . mouvent, MD le aar on Dexige, de mange a cc yue i terre hie wout jarmars (trop . agche. o t p h4 imide. El fas taviir so n ce teutt lex Dontyres ue 6 oi s cer d loe mord \er eont wl 2 Ine T 9 enR TT 0 dow weinin nal pfi-fl'w CeBvinct uon se plertitsition t boeth k q ve coit=rl Faind ol Lethii®h wee Ouby t Oc eédu t 7. Trois @@0UBM3 sout & you pon-- toi, tous t ois u'tl'qp( 4 bes moy us gant, on Pav na défT it los bouty en le morl 0 a eb la '2 60. Nads Whak deent e ves trois rhades; on Ts éitl dex wmtkttiie qui secuent désiging blever dow gn lets pu eux--in, Mes ;. oftis. uoys triive # piss en bitefodhiindinn 6 Alhiacobietie i htfhic hib olAE s CAad Sorpant ces lignen, la pn ctention d wn eiry wigh t In culture. aux hortquiteur~ de prto-- Texsio. bouur.s~ Dés le in is ca maiy si ly qui-- son ext donee, it faut ho r les |--:un-r--» ' saimes et vnreritenses, so 1 ceclea qui sout uw p eb duc s jet qilast @7 multipl eret con yovor, suil geiles, @uilsg (rouvent to p s le= vées pour 6t o. lbuletientonid ipact en | éual vénéral, les boutuses daivent 6 re. prises »ut &3 Dirtfes les plu® sigourgure s, (Gins Te Par des. mins Web "WiltWifi«} n pertt} commy 0: vieut de le vair, se procurer «y ajumbreun ni] ets, 68 'dank To Rnainttey l' pelt me trslyer de. Hebadl Wridibal. d\ vif colotis et We\ jo in inutione ts voour du Motihite. uum,mu, wa wwant furt Bb M_"fiqwowpun mowment . de 6 malt b en ies bout ns conw reont rtieus qne Hep eottes, et plus longtenmtpe qntel en w et6 dooolueis de Jears f ure Get ve ce mode qud faut pr. Nérer pour siu-- ces avattiple i. touty. plaute yus dogé-- FLORLOULTUUbIS eule re Hour, i0 Faut. poor lu onulyy des posses euscop ihlew ult In plavte wen (portora jmiaun wroad giaud roumb 6. « wirde do. les igontalement wulat on ' L nded ie fe @©LL L RE, (Swité.) Plu® vigon @ let de c llection mea t dent injou® & la Cour-- mubic pour loxcenfomcer wire ansant e thate fes n & ul tuane ifi lbhjer 5 in on e esd' fiont povr Cmarty tel 98 ol Iu d on un on on wacialh'c lamie enr. das tic s charune dvlhs ab me #l4910Y ob more & uq fln Hfection 458 Abpore . DNRaN i lélection d'nn. dépagé ).Dn sns fln .lv"l un DR 1 ho E&fi%' 'A atint daise, N. Loranger ® wankchésitation 6t sporfan@ment sabdiqné ses droits, .\'u? donute quo #'il avnisinalstéy i1 efit été ministto, Quél 6 wh représentant de la pupu-- lation nu(«zfnl-u-. di Busr'Canada, ef un r«-lwé.w.u an't de Ia population irlan-- D. w y stt WSt Voiei ce qné--dit lo correspondant pat'e nentrire de L.Ordie du. person: nel de In nouvelle administration : se c im arnbanoir i. cerbe dn Cbak vors amateurd hectralont ompley qution de i l + comy onble pdur lcet Yaige q ww le commet l mble en zine on -- 6n ploint, doweriat en \olhaernicre . hoi seco d s eliv 18 e thant ons amment |re np ie: dein; nine md he d ecton en verth decor enpifiatin® porie & ve L adé one lum Mit@ ® fremete Aur ho terr s ce ho mmre thssoleccpred abiHat, wias) c mune 6t 6 deit étrsote i & Com| rescomue | i« Bootires, ons sonboment: he divit o i clix oremilre jodocepse leig: eb cil cast hon de Paceoutimer speienepen un k tmysim do ns 'veil. . Dane on mois ou eing. senwinen, pluw on moinss ln reewe der. ma cottes suriot (n p ateebindecoom n mplt e petite. gorneiss Cest vebe t mil en an da 6e de septembre, Quelqu > wnt le: mode e matcalia g emple oib ext bon de sépmcer | x mureattes de In planie mére, uest 6 qi'el oc ancteninici . ubes --On en apergoit d Pubdncement e { willer centries, . qul l ie / réondimenceiit in dot A pmeur avant Ti ferhWHOi de ts p ul & p us er on moin«s in p ate bindi Cext vene t Quelqu > moit y ins ver !a marcotie. de Ohetelim ht eriemi®b he qo onor eniyte d Smonieie in murficw ob on 12 rew bg @iienent f iesns peu ids foin ay cun artieeair d werbe fines. Lek val amame uns he wminaiont ompleyspotien de i comy nnble pjur 'cet Yeige q ie le cor i1 doit ét wotons de wn maye -- Lexaliltarsivaiin < ie ceemins on sonreut doe midéines'ptlce®'< telnment dronts @0 nest possible ce lee oo ather murterre, |. Lar planter Gawbiets dn ¢al rction , dyécs wy e mewt e dn s ou dcoibe es me prieeint e necement ot Cooileon m ol pie E3 tee pa iaees Auraarectter aout, sit ig :« & dli Térente« hawe hecr wun hi tige. . Ou pare 8 cet ing in 6 i+ font en mateo tant ay eorne'. . On emp o e commin Emont i eet whage ces pota Phive petit = dimgemiosy o . biew on . roule en gon es aidtone se (lac anpeotfe, un 14 reeun, stee plarih lrmmigé, e0upd can taryle, p us on) moins grindy de quairc on ong pe ces ns viean on be rem, lit léag enret d + terres thite on abaisw l x cotte, qui dujt. y to maranmeché: A,'mn";n'ul-:q'ul' # ln.b-;dn« | InoDlinsisias, , O3 im lit ons ite -- }:\'-w dn toan rye in ayt :v'ua\-'!-t.fl' *ab> "Boour ce oc apaepgln in piul bagin 5&. que feas de Carcosemgut |"};? t Hiver wisb. eat an ao ivel onllet 'esp ie ef #83dligne# wl s t «NB C io: h¥ HaWipur t .. .o: Ba oifi han' pechect ied t =lns en ! olitenin Nes in Uhointe 1 M triretidin. pewvde muin lesur n posti ac ce i Wtmd loiveat --wil, reslaesn cnemelqin is n a tughts booge queloellasite in tmels.0 wauc a,'gmu g--ndre . Seuntte poriiony eestait dawy ue prution ho> cooninhe dn douppitane wptiver, ut trap facile ment de 1y plyuie nére d la mure tre. sa fille, eb rien ne so Ticiternit celte oi oheis cher dans D8 njpso 1 de orn .u'n-i nouvell+ d's mayena Wexistenge q'-!'uful mionl'p upe «l x ons e o uew. . Pour los vavidlés & tige Williche o prine Pooiltst d : Coud@y Prwe ahin wast plik vedesaihs ; wte cacuah stutispiinablo. og ip jour tm d en deh@ons stt pldarmy Crtr®, Tcb Met Pralifieres t fond sblang. s Llincini an Oitawa, 5 Juin 18% un fi id . Siete Comte to Quenee le-- rem, lit Jéaé la bnanghes, mo ® I whint we (A continuer.) fer, et q tm pet i t qu'on /y adapte 'on e P mow dibis t pot quton emplal . e fo hit Yide ; poor e nrme de fourl e« vote tour h apillet«s w murfiew ot on Pure ©ootten wurit (n ®opebt« gorneis. i cde septembre, arealingremple cmueotte« de In | e% an t enirici Un Asrameon 1 4y la faulery on le pet t p 'es . fumilles pourvaes Pune: Athple provisition e views miel, et h pou-- vanut en produire maintenant, 'ufu#m:r- vent leure réserves nctidunt 'cb moie en Glevant des frélons, -- Rlig: ul-,"lu'é- \m,rcl!l méme & colotifger, "ot éfWent des retnes jreqn'at (pdint" de férher leurs cellules, _ Unc Whkéfro" dmiel ye fuit presqno totiform meittlé ontre In Aornidun "fék arbroo friltiens et cellé thi 'tréfle? "Alongles frd amagont snotificib« pout snuver hy futilles s Et dan'« ec ons lev l & Nes chingen tidorti-- p étement de travail. . Méineisicplies k id s in t i duetion du snielsest abondanteoles raehea fortes> donteront lenug .@aim de /n finicin muliag maie: si fe nay gais tempw win 6 6. it\ produtction . gu gig'el nloms la vegue dog (nnitvellgs colgpics xt reimise indétin/tivement, ¢t.fine ve cas lox puchesy lés, mo ns propgres sont gouvent ¢lle« qui .(]unm;hj leurs 'wmiuulfla premicres, , Q_uphnfgmfin_in L teitip® A I'(:ruqug-,llu'ln flotnison dek arbro«frnitedéterminera 'Gpogue (le In venue »dos essmins. ABicobacptiro misgion ait L"u"ufi'|;'|1|'|éu't-,t"hfl"fuii',gy{j»- port sur Ja | mat 'Brey ullintonyiP, hai in vominies n l'uplilnfle "5[?\",!"5' W'bu une Thanvallse " HdinitgtraitFin" 6t "dhou dépenads extriviagnttites, "que bobalt-- it }uil 1 Los tortd et! loirs mbtits witisi in ait jon't, (proncticeron t--ilk 'dortre Ortiwa 7--8S'll h6 doit fmwen;btro attis? 'et que o. soit divf@idtion du rouvernemert (Padhérer® In diéision le In --Reine, queble ost Putilité pra-- tiqne=d/un débn--pour dognor, eouge a Pinvestigution 4 --* ce s»ires, ayant hrprorogation, M. M--%uflmm% cotte discussion, on ®~bewncoup parlé du sigge dwzmkumnm.tlaunu\.;lé-- putés de L iprainie udévla@a,u prospale --raisoa pour Iaynelie, . t avai |combattudle pi-.sg);amh #ouvgry avent était,que. 19 gouk rlg:l'nli ntetwl deteraing d mulguéri;t fiqwi,.pifi Mijesté, en favenr d huwulu_. /3 va a'reraiy dowander, k\'!w'.nl. ('fl'&lf k g'il a lhdve encore aitk i }.'nt'_e";h YL@ pes et, gi Ceost: pare '{l'?/ 1" IF yqu'l, appice 16 "n'n'«'):ly\'\?%(g ,_bgfl\'erfl ncb' [e e e _ l Mon, M. I'A»m\}mm.--'--S?lh\'mLfi- tion de T'u|'n|l.'dépllié"xlo "nchfiw d In politique ' do n thot VeNe * adtwmnlie-- tration, jtm difiw'e:*nm«wpmlfiq'h cst 'cluirenent dé lvia"de'ktLu:'- maminé." "BD cotteiqnastion e A mol;! personmel oment; e shuj «dicai yne Ne milsons ui nre aeunt aidlidner viac politique da mon vein gowverne mont sont'si nombrenses knlil sapwit trop long dé les Itisatelater |pout, Je Wonmient. Pdu sb arurnts + l,'-[,.lun. J":"A'."',"'R'?"M'me'r&-'#' pnonant s i 07 cce t dA 0d xphcations que, Udug»: deputg, do Lpraipie mous urtls'unfi%\wfifil:mv + tiqueoidin nouye in . ; yerngin: nt. Paiernpris (llu'fl ufllfs;'efi'{flq g'ézi- mon de. Ia, Rpine ; wiaiy en 'm€.ue ems, i) ne recoppyrmide, mycuts '[é-- peuse nltgrieure, avany. ql'ifhe ic 'an- misgion ait é(f-1ninnunéu'_(-t'Mf'fuifw § PAE NC MGb A caaii s siverain savoir «--j'w bign epmuprigid yrom ces t hi , 4 urbe | indétinic: i :;, fe:uit grossir | proportionnellag! u:;nl' fiu'iw--:'-,b ve sril io @larnevont) q9 u8staifd . (fi.hbl:;.dnnu\él'«dnmmm ras--pogr thivenir;etiney utiquement| poor Mh'-uw{?\mw, tout en laissuit--dansile dontere Eit touty ; les --représontants --du----district. ly POctawe, , »Quand anx tina xfl, l w/hi Ablouvge 0 |$2)000,000; 5 moing qu'il no soit 'p'rrn de rfu'l"'w '"u9 n::-umhwmqwr e olt U h Un v_:'n: fiu +~rp1h&_:ut dem:fiqm:mh hn deciipatncs «hcl doedades uo. 34 nrd . Adoxn b enlleates 5s 2( --Bub Le Rucher on Juin. on p noit wstevg ol toq ' meuminnnt oo perdre up, fem ne nc # . sout the (pla w.'.i;':zi,; leura dn, saleil SNoit 3 UDp 190038 ) »mdansitge .E"'fljfi B5b