4, 64 doa OUSE, . Fonda (,N is Te do mss t it cat couain, "" du'll to d, foygs i march6 de cem' ST, NE REY des famillos es amis et is vient dowmt h si bien con-- Hecbop Hexin Fao o r, pour leuns ire t de coules; 8, &e., &e ire a son éa-- ied & ne lai+ niews sur nos ET, IER m ville avee IERE HE, r'h"ns T aux habitans s environs, ent complet do Castrmes Tui--méme, Mowmale X mt dey» '.' 129 000 L3 rie an poile 4 Asié AUD, NERIE, »AI ER' 'AWa, 951 #it jamais faits a 1 188 bas prg RAY 0 aheuy Lo mailleur remode encore le Rhu NOUYVEAU PAIN KILLER 92' opérait dos cures qu/ u".'"-.*"" i I_'_'l:mo-lnn ru- le geare ha~ h;::#nun.. £. G LINIMENT ou vermont dE wewey, Sreibds & Bhem: Snbs: P'*> que 'rasurer le public .au'il noséde Actwalioment maty io vine quilh Acda ons y e e OPied ont loogt réciamé ce reméde, et nous sommes ::i-q-'ll :hnhu lo bren iname Peoumat cage past is pomite or, guérisson de u....l-i..'-'."n-.-m font ;-';h"-'c--a de fournit gratis '-;:::---: qut en font hd'-do.i + $ ape affection du eaur, abeds, épi-- hp':'u.';:u sombre, flvnl."u, etc. De nombreuses cures de ces maladies ont 616 opéréen paria puissance ulérieure de mont les Zaume Mectoral d Ayer, ln prompte ldn--d.lhln"z-d.u::'h:.u::o: ment, eroup, pulmonie naissante vt pou soulagement I:--dd-h- une phose plas tm remigas aorgen antei n se ces Vofficaoité du.teméde, ous ne posrons faire avancée *m '""'*"';-'--l'; On nous a rapporté beaucoup de cures ao-- complies par cet excelent reméde, et nous référons nos lecteurs & notre almanuch ame-- ricain que les agents ci--dessons .nommes se Ce reméde si anivermeilement connu :"--b-m par la cure des. maox us Forge ot des affections pumonairen, quil ul es a'aieat point fait une Tumeurs cancéreuses, fi;,vmn ulcéres; carie et exfoliations des os. ®8t imotile veregeu h o henenies on Airteuse de t ost Suns 'rival dany lo monde cirilé. -- Pou eu recours & votre saisepareille dont une seule bouteille m'a radicalement guéri en deax semaines, de sorle que je jouis actu-- dllement d'ane bien m.lfi.-. santé qud~ vant d'avoir 6(6 attagué de 'cette maladie. Je pense que c'est une merveilleuse mede-- cine. Prix 2s cenls par beite. 25 oct--am. Dr. J. G. A{'-r,--llomi.nl, jai 616 affti-- g6 pendant longtemps d'an douleureux thomatisme ¢hronique contre lequel avaient échoué tous Jes efforts de ia medecine. . J'ai €00 n proje "d fuoroymttes euedeansee a is suite de I'humidité, a 616 également rendue & la santé en guolznu semaines. Jo sais dailleurs que d'aprés J formule que votre agent m'a remise, que votre préparation, sortie de vx laboratoire, ne peut l:;:u'un grand reméde, et j n'ai pas, on 60 uen-- ce, 616 étound de ,:el heuroux résulrats. Tout & vous fraternellément. uillet 1859 Sommunsutés ot méme de familles qui C000 Comp inss Ziadly P 6. v, 'Lkiifi'i%"'fi."fi: Rhomatisme, goutte affection du foie. _ll:nléezr_i:{mu, Preston, Connveticut, T xlntry. tmbele on foo do :"7.%':, Dartre, Calvitie, Maux x, c ies dn is rpon ortely t . Y., en la a p&i'ndimh.a- uu md'bydnpix qui menagait d'btre fatal et ce par le moyen de votre salseparsille. T1 a ..JZ également ia cure de .violent Irésipdle & fortes doses do mém* reméde qui en outre guérit las bmnpmuu i:\mulno. c ronchite, 04 gonflement do cou, Bebulon 8 de , Texas, écrit ce qai suit :--% bl',?l?l.':- de v-:."u sal-- salsepareille m"ont complétement guéri du biddux gonflement du cou que I'on appelie guitro ot dont fa eemiwats 222 Ti ces ues vrait mon Corps. ' Je suis et ies oreilles qui n*était lifte ue plaie"" Topide ts nrttePites Can mires dont j*ai Tait usagene m'ont procuré sseun _lr-hm..., «out u_-.qu,_.d;. mal pirait, me suls M i dans un Journat is Gaapel Messeniger 1y pré-- yeruiion se Yaipo atcepermlle, ot yous Gon-- in t Ciocmenat 9 o taie *";'."-M nc feuker :"':"':""'"' l_'z,r J'ai pris ce n-'d. votre Ti i o rartaie ts .n est ue fls or o0 o B25 [roit booteilips. . 'Une pea. Tanidt eile éclatait en ulcéres aux *"'.fll' it 1 ::.b-il."i .-u: wale plaie. Toutes les médeci mires dont j?ui Tait sage ne m'on """"mln contrai .::'"- io j _ o openiml maladie sorofuléuse m'a; 3. & apsah etmen $ Juin thet, Je me fais un deveir de roconnaitie on ue voire salsepareille a opéré en moi. Une gutrisan dn -'::':.:.a':.q l' wute inches do rousseur, pustules, ot toot log roine. Jile stimale. vigooreuse~ fonctions vitales, et combat des nlh mml oroire au--deth fleagité, Les besvins du peuple SALSEPAREILLE waypp , le mal de Tite ot les Ne e frailde suparavant pour r le meroure, et qui avait Woml ooo t o wve ® Irois boateillps. ' 'Une poau a remplacé la plaie qut Soy . .. Apor & Co., Alfred B. Tallery euinds C J. FREAM CouPrier mm actuellement con-- tranmise, tuains et . BPe centifie que pendant les door TW»-"IW& 'a'h Saweage du Dr. , poor Jn 'Maladie dos Poumons, ot & ma connsissance, ie boutsilles ont ts ofi r" mhm'l: _;m*unann«:q- reux de dbclarer gus j'mi fait oage des Amers Otizénés dans ma pmiq:lr..'.m id':""li)'d."f I'Souno'm:-h ind , In U ndi-- é:fi:fima Foie, n'j'u an les résoltats Jes plos eatisfaisants. Fexorte bien cordialement cens qwi souffrent de cette terrible maladie A faire usage de cette médecine précieuse. Ces_remédes produisent Peflet qu'on on at-- tend. . 1is soulagent eanx qoi mq'rnl. bloi-- gnent la m,m.hul & In sauté, pro-- curant wiosi mus ot nuw affligés la consolation et le comiort. Clyde, comié de Wa N. Y. 10 mars 1867. fi'i_, 8. W. Pom Cie ? Jo sais heu-- AMERS OXICENES. |___ LA LUMIERE a Pout gubrir PAsthme, PAcidité on le Brile-- , In plus économique 6t ment destomac i faut faite usage dos I'on conmaisse. Pnur.fllbir un Rhume ;);n;n:'il;n;';v;n- i faot faire usage du Baume de Corisict Snavage du Dr. Wistar, Pour guérir in Tous criaide, in Grippe ou Is maladie des Branches, il faut faire usage du Banme de Corlsier Sanvage dn Dro Wistary Pour arréer la msposition & la Coniomp-- ion, i| M"l:v:.':n.c d: ow' '"" tordonmals verou *h faire usage dos PSR CCCTTT TT ponol lt ounian d N. Y. A vendre & fio':\'rml. t Lywas, Savao® et Cie., par Cartk, K:uv Cie., et par Lamprovon et Camraein, 19 mars, din--135 ' 6 'l;ll Pasticies w""';.;-n.' puvai ubrimart Jou d : h ts tiitedtarian} de Consomption L646 PASTILLES Porato®aiags bi navax Guérissent 1lrritation de la Luctte et des Amycdales. LEs PASTILLEs PULMoXaIn®s be mayax Soulagent les maladies ci--desus duns Nes pace de dix minutes. Lis rasTJLes PULMONAt@Es be navam . Sont un brenfat pout toutes les classes el' toftes log constitation. ues rastilies Poumonammes oe paray Se recomandent aux Chanteurs et Orateurs. ues ragtivess PuiMoxaines pr nivax Sont faciles etagréables & prendre. | ves Pastibuks PoLMoN&trEs br pxvan | Fout plus que soulager, elles guérissent | . promptement pour tonjours. | Les PASTILLEs PULMoNaimEs or mryay . | Sont garauties devoir douner sutisfaction & | tout le monde. rastiLu®s PuiMonaies p® nayan | Toute personne devrait avoir une boite des | PASTILLEs PVLMoNains DE sayax | Tout voyageur devrait avoir une baite des ' rasticiks PulMaNainks ow maavam dans sa poche . Pour une boite des rastilues PolMonainks be Brvaw Personnes no refusera de payer Vingt=cing cents. e&.vl(.fl!!,.-gl propribtaire Rochester, GRANDS REMEDES! LKS PASTILLES PoLMona Gibrissent les Rhumps de pollmnr ul Mhur hib dask ds n RELEUCT @Tecle de ce e dl{c-nhlllmmm sous le m£ # J'.'f TUES PULMoNAIRKS," soif dane ce pays ou ailleurs ; toutes les gutres postilles: pulno-- naire sont des contrefagons. Les bérilables se reconnaissent ala signature de BRYAN qut est opposte sur chague PASTILLE. | Catre Mebeome a ere Decovvear 1737, ef eat te promier article de ce wenr ait jamais 414 préscaté sous le m'c w TNA UE i in ts ar ho A Vendre & Québec, ches 0. GIROUX, 3. MUSSON, & Cie BOWLES, J. i. MARSH, J. 8. BOW J» E, BURKE o 8, STURTON, 9 fov.~1061, 107--12m. £30) sow uo0, & FILS, Waterbury, V i;), _"Ifih':,'"ll"-'h I"YAml- rican House. T eivberadhenss 411024 geore, employez--le de préférence i autre. . Afin que les personnus qui d on faire Pessai ue courent uun-(r'h;u. autorisons tous nos Agents a remettr achoteurs leur argent : dane :m « nen seraient pas satisfaits. dor tme grande bouteille )pour 30 sous, ot la gurantiseons," T. 24 i-l'(. HENRY & FILS, Waterbors laliy muuko : ©" Lous avout suiei "'f"h"i'l'; nutls avony fait p.".i". oct | afticle, ot avans apporté quelques c id mout d essay6 -n-u-c:ln nous somines Cest l6 'mailieur teméde qni 6 -- Nous n'aroua pas Plutes & dotre reméde une l'pmm, nfi-.ak.nnm. mats nous demandons seulement gu'on on fasse Dessai, et a%iJ ""1 trouvé ""anhlc A touf mitne asticnsn c 994 AMERS OXICENES. I ul °C est tello Supem Cupli de tant 'de remedes 'de coure To mas, o noot aramt retande Pintre fuctios Bolre avoir le m:n::,'h j Rous avoue coosalté un grand de médecing éminents, ot #ous en avons parlé 4 un grand uombre de de Liniments ot de remédes, > toutés douleurs, das plus populaires hou® sommes arrivés a cotte oe::'l.n-:: 40e nous pouvions pporter au n améliorations qui les surpassent to ar nous asvons 'us:'d- r:";uu:hn:l;'-';!q ' is ons w f-'«fik&'.'.:';":..':.:"':'-'u.'.'.:}.'&'?-.....' saah Laneet article, ot lques e-- ments, i: .'.:.";'.'.':.m.f': nous ':o:n.l:u ce 0o Cest l6 "meilleur reméde qm' puiase Atre fay . w2 03 DUF fuiméde . issent .. WP0K #'a7008 que ¢'@s: un tentative teins-- '.l.m' ""': 1'in"seduction un nc '.,,.h'. 0 feme.'s contre loute dou Lo dane un peoment 98 is pays cet telle rempli de tuat 'de rearedes "4y 2ol2, S4p6ce ; ot noue 24 ... 2 Pmeu Votre tout dévou Exetor, Mo., 30 saptem bro J. E. Surtu, M. D ua 00 e mmed, Tous ® nos Agents a n-'m:. nex r ent -- dane cas i "'?_'lfilluh. #m donnie PULMoNAIRES 1 0_ °27 ©,@00e concluion lons mpporter au notre das i:' les surpassent tous; cur ""_m"""'".'.'," y 2008 n 'avona pas h,,,,,. te retméde. une réputation ®s, mais nous demandons u fasse |essai, et 8%if oxt & tout autre article de se ind enE de préférence & sout persounes qui désirent sfaits. _ Nous donnons P9Ur 30 sous, ot nous Montréal, C, E Decovveats sx inbar.a oo t hes _ |POUMORE guateass GO TR ez ma juitou .' Cie., 3, | !* CONSOMPTION. Achotes | nov':'i_u contente, veuillez on retonr, le '| & vos amis et connaissances ; sous que, quand vous trou¥erez t ment qui remplit tout ce que di ~~~ | prigiaires, il--est dans votre inté lingteg, | mais le changer, pour co qui pe reug. ~ / APMARHL AUBI NMMTINTIN MLL #0U8 LE PLUS COURT DELAL Bes #ervants sont des plas attentife et rien mest bpargné pour donner la ratisfaction in plos onticre. Mentréal, 8 mare 1061 , M. J. 8. HUSSON, a Phonneur d'offrirses plus sincéres remerciments pour l'ancoura-- Mliwt'.u:.:ph---b..". rl-.' pendant années gui riennent #*boouler, ot i prend i Iu-'"u do leur annonoer 'nlu.mmmbp',m. h-pu?nniv l-:::&b NOCES, dinar ou soopers de soi | BREVETE POVR LE OANADA LE J. B. HUSSON, | P I! a obtenu im I"Institut Américar a 66 uro". Pour des apparei CET appareil gionl un modéle fonctionne tons les jours au No. 142, rue Craig, & Mon-- Iréal,) w'adopte trés rapidement dans los Etabiissements Privés et Publics, comme on peut le voir ru les certificats ot articles de journau® en !a possmesion du Sfm-i'nb, prow s o s e _ C'est Pappareil a Gaz le plos simple, ie plus sir et 'l'e plus cfl«eufqmpuil enctru n imventé. . 11 a'adopte & tous les climats ot & tous les pays, atterda qu'il n'ost exposé & étre dz-:np par le r.?,m, ot qu'r::lnn le le Gaz de toutes les substances qui le conti-- ennent, comme !a Scieure de boi, la Résine, Ia Howilie, Im z-iue, lea Os, |'Huile, le Pain de suif ou de graines. Propurr. LA LUMIERE ARTIFICIELLE O. GIROUX, J. MUSSON & Cie., J. 8 BOWEN, J. E. BURKE, J. H. MARSH J. BOWLES et 8. STURTON. Cl Cap C 00 2TTVE Moge pas signer io nom de N. H#. Dows, paroe que ce serait un faux. GARE A LA CONTREFACON DU JAS-- POR CURTIS ! Rappelez--vous quo 1'Elixir véritable est garanti, ot signé (?a mon nom, & lwlnma. N. H. DOWNS. Agent pour le Bas--Canada. Rue Craig No. 142, chez M Gartn Montréal 16 Povrier 1858 Pour les Maisons privies, les Magasine, les Manufactures, les Mouline a Scie, les Phares, les Hotels, les Colliges, les Villages et les Villes, uid iEMETIILE ment gue _nous avons uh'[:} d'essai, et nous Tavons fait I fork on In mancal = ,."0~ U olerne New--York on le Canada. Iis vous fourai ront des circulairs & demande. 10 Décembre, 1858. Breveté aussi en Angleterre, Etats--Unis et en France. 9 lév. 1861 Si vous voulez esneyer 1'Elizir do N. H. Downs, 6t si on no l0 vend pas dane votre localité, priex votre Droguiste on votre ma;-- chand J'n demander une petite provision a mes Agents, J. M, Honz & fil} Water-- bury, Vi. ot n 30 rae Saint--Henti. Nrany MOT 1 Td de contre la T()llfx, lo XIONS, PASTHME ot de Jn 'GORGE: as i. P Sm HA Fowis. ot C détail, par JOHN 8 jaov. 1861. A Vendre & Québec ches tm Baume m':fl.l'w I'uu'l: aZ MONTREAL OUS di ON DE N. H. reut¥ez on retonr, le recommander is et bonnaissances ; ot rappelax quand Yous trouverez un médiéa-- emplit tout ce que disent ses pro-- il--est dans votre intérét de ue ja-- anger, pour ce qui peut étre in}b- voulez esnayer 1'Elixir de N. H. ai on no le vend pas dans votre D¥ ciiv wlb se d d d Eclairage, POUR LK hos & mt ds C0e m Savage & Cio.--Mostréal, C MEDAILLE D'OR de a on das rensergnementa hiny ced celui qui ar Powveloppe is sigoatam ae t Fowis. ot Cie. Buston, propri-- vendre & Québ:s, on gros af on ot das pric pn;u;n"d"ivl C ECmy es & Park, 13, Rangée du ; 0u dee pringipace Dre-- Ja plus agréable que BEAUM ANN, 106 12m a0 public que cette iméde~ M boutes los Maladios ia POITRINE, t dos 8 ui toutes tendent "'zf"_-'h: eta'il vous lenti, Montreal N JO8SEPH Bo w les bouteillos '(lgl;rrvq AUX --D'autres fois je disais que j'ai-- mais le monde devant un homine qui n'aimait que la campagne, ou que f'avais une santé délicate devant un ine homme qui avait horrenr d'une i':lm malade. . On a dit qu'an cour-- tisan ne doit avoir ni humeur, ni honnenr ; h bien | ma chére envzant, une fille a marier ne doit avoir ni ecour, ni foie, ni poumons, ni godts, ni_opinions, ni csprit, ni yeux, ni nreilr. de peur que si. elle vient A montror l'ung do ces 'm-' ce no soit pas edkaui cadre avec les idées hétoreclitos seigneur et maitre qui vient Pobserver dans une entre-- vue. J'dd I;m'l.:a denx mores t'r;i E'"-' in pré-.uom' u'el-- 'II n'avaiant fait embrasser flIr-nr le ancune religion, afin qu'elles pus-- went Crouu. selon I'omqnma-,pnn ! eatholiqne on un protestant ; mude ces choses sont rares, parce que tous loa hm-o,"a'dlu me svient d'ail-- lours lours aiment & tronver une femme | B'ils ne sont pas que lenr importe 4 | fcfu seront ambitioux de vous offrir es moyens d'y arriver." Je le re-- gardai Ll'hulrgriu. et je lui vis un air de dignité bleasée, ai sotte et si plaisante, qualje fus prise d'un fou rire inextinguible. _ --Oh le triste animal que celui qui no ul'&vyu rito'd',uv!o plaisantorie Eh bien! vous vous Tmmpu, ma chore; je trouvais presque toujours a soutenir, je ne sais parquelle fatalité, %uol(,uc Jx&n edicused tous los marie. n jour entre autres (io n'étais pas, il est vrai, dans la confidence de Pen-- tmvu?, jo voulus prouver de la meil-- leure foi du monde et sans songer a mal, jo vous Passure, que les seales femmes heureuses que jo connusse étaient toutos de jennes veénves ; ma meére toussa: je la pris A tmoin $ elle toussa plus fort, mais j'étais on | verve do gaité ; j'allai mon train, ac-- cumulant les exemples, et je ne m'ar-- rétai que quand le monsieur de l'en-- trovue me dit d'un amir gonflé de coléroe: " Mademoiselle, si état de youre est celui qui vous paratt déja le plus dé'irsblfi jo pense que p«m_ju ' --Mais aux diners, du moins, vous wé':iLuLR(:i?t sotte, j'imagine f ?nhiuun; au concert, je':lihj-h;fs{ ]:nx, ot j'6tranglais toutes mes rou-- } ades. " 17 °U FoWe de men et un homme :\l marier. -- Avez--vous jamais va ven-- dre un cheval f & --Jen ai du' moins va beaucoup acheter, gui ne se doute de marier, -- Avezy dre un cheval f ho edgue l P uc 09 mW notre civilisntion matrimoniale; cest une rencontre fortuite oh. Pon fait trouver ensemble une jeune personne wutas ui dl e s o. 1 1 --O bienhenrcuse Anglaise qui ne sait pas c0 que clest qu'une entrevne, -'éerr:' Marguerits nvee une emphase plaisante! 'uine entrevue est wne in-- vention aasomimante et snugrenue de notre civilisntion matrimoniale; cest une renuontrolfnnnih ol Pon fait $ramonl neuulian 1 ous avez alors vn Fouilleton du Courrier d'Ottawa. La Demoisello a Marier, (Suite et Jin.) Litter ature Puis octobre perd ss dorure ; Ceennramen itinlattint Mess L'.d.'ul- l-o'obnu felleax. Lhiver doe amns nomb i ipoa uxn ..... an + ° nom Qui snit o semeur Sterne! ! 'effraie . ie en parp'to, Qul tremble aupres du forer mort 1 II eroit voir n't'-tla' de marbre . mutllant le jour obsour tnby wee lee fruite do Farkre E1 tous les rayone de Pasur. It ts t $nemnmpaat mee Soudain un Ange ouvre as porte Et dit 0o souriant : Clest moi ! 0 doone ct qui tremble, npoaure. ® front u * is fot «se on 5 O emem (H.C.) Joudi matin, 27 Fovrier 1862 002606 a clriviae. t 'N p mlflb':rw Kt Jour 4 jour daas le passé. Boesir Vicvon Huss. lhrflufita. chdre onfant, Ini dit-- elle on la baisant au front, ot s'amsoy -- ant hmdt.énnu Ala place que l:.iy In, venait witter, jo t -- des nourelies. Tout va bron ponr toi, ot, Dien merci t je l'aisu a temps | Oh! que je suis heareuse | notre vienx Margnecrite retourna ive dans sa chambre ; madame drl.!.my L.: tra un instant ap olle it agitéo, main «i hegreu-- --Mon enfant, jo vous en supplic, promettez--mai de no pas vous marier aingl . . . ni par amour, cest le mal do Ia vie, Et elle disparut an tour nant de Pescalior, --Voild qui est inexplicable ; " ni minsi, ni par amout." Mon Dien ! qn;'l;t-ellql Sorait--¢lle mathcuten-- se flne bruit, elle s'en arracha et se hita e descendre le petit escalier...Apris en avoir franchi qnolauu mamLa. olle se retourna ot dit & Margueri-- te : s | _ " y a point d'Age ob des parenta & | eonsentent & donner & leur glla co . qu'ils donnernient & leur gendre ; on , | ost on tutelle tant quon a le bonhear |se_conserver son pére ou sa mare. | * mére, sans qu'elle trouve qu't soit nécessaire de me donner un apparte-- '| ment plus agréable et plus commode : i '\je vais me marier, dit--elle toujours. '| On me pare Ju-ur me montrer, mais '|je_ mangue de berucoup de choses | nécessaires ! _ A quoi bon faire ceci |et cela, ne vais--je pas avoir un super-- | be trousseau ?'Pourquoi le moindre & | bijon, ne vais--je pas avoir nne ravis-- |sante corbeille ? -- Gone et ennui, voi-- | I& pour lintérieur ; position fasse et | désagréable, voild lponr Dexterieur, | II résulte de tout cela, ma belle Din-- | na, qu'au liew d'avoir pu faire comme vyous un choix qui assure un bonheur Iromnneu'uea\ lavie entiore, je vais | m'ensevelir dans le plus triste do tous [ les tombeanx, un mariage de conve-- nance qui ne me convient pas, . Mais, |paix! voild la voiture de ma more." ' Diana se leva précipitamment on | | a'Gcriant : I' * Mon Dieu, comment faire! i1 ne 'fu;lt pas absolument qu'elle me voie iel, _ "* Chére Diana, uoi ce tron-- ble et cette fuite mmiu'nel pour-- quoi me rglin,er ai tot? Tout votre air m'inquiéte. --Il le faut, il le faut! yous san-- rez tout, je vous écrirai; aimez--moi toujours." Hélas! bientot pout--otre yous serez In seule an monde! . Etla belle joune femme se jota on sanglo-- tant dans lea bras de la Jelmo"fllle lhrmér'; puis ayant entendu quel-- --Margnerite réfléchit un instant, et se levant & son tour, olle dit: ve-- nez vite; on no sort de ma chambre qu'en passant par celle de ma inore, mais vous pourrez In traverser avant qu'elle y soit arrivée." En nfltun! ces mots elle eondnisit lady L . . . toute tremblante & tra-- vers 'appartement de Bussy, et lui onuvrant la porte d'un tris petit cabi-- net on venait aboutir un esealier dé-- robé, elle lui indiqua les moyens de regagner In voiture qui l'attendait & quelque distance ; main, prote & la quitter, l(u!guorito lui dit : J 20 CCC Me'e MNe y joue un role in jlnpwmble; elle y devient ridienle 'olle y vit sans considération, sane ap pui; de plus, elle y vit sans fortune ,ll n'y a point d'Age ob des parent S C0n070, aimerai autant 'terré« vive ; j'nime assez ] ot une vielle fille y joue un Jnupwmble; elle y devient {ulle v vit uame anmurdaverin i Mubs w l que q020 CC mirls sa mére lni a défendu de songer & moi; quoigu'il pretende vouloir at-- tendre qu'?l Phit fléchie, f'u ne veux pas étre une pierre dac hoppemnent entre ma tante et Jui, et, quoique J'aie fm" lui, non de P'amour, mais une bonne et simcdre affection, jo n'attendrai point lincertaine bonne volonté de In princesse de M . , , 3 ni qu'il soit revenu d'un long voyage qu'elle lui a fait entreprendre ; on un mot, f'en veux finir, x --duel refrain ; et ne. yaudraitil pas cent fois mieux rester fille toute sa vie que de finir par une détestable union ! Ah! fi ! reater fille éomme ma tant« THOnt do ce Et, jo doi tous les jo dmdiam: tenant jamais osé années:; o' tie disent que c'eat Aleur gendro; on qwon a le bonhear pére ou sa more. trouve qunl soi eomme ma tante t Otre en le_monde, hon, garan le marquis de m ie acen it P css oo maw un ne Thoimine | grerte nuest besuoonp in A cette épogue, Roger de M . . , son cousin, revint de ses voyages. Cétait un homme sérieux ; le tempm ne Favait point détaché de sos souve-- nire et de ses affections d'enfance. Son esprit «'6tait développé, son coeur mKri. T1 rapportait un livre dont il avait connu Tauteur en par-- courant 'Allemagne et Ia Prasse, on il était voyagenr comme lui. Oe 1i-- vro avait henm-uv servi & donner une direction élevée aux penséer do son cceur ; il voulut le faire connaitre &A Margoerite, et tous denx le Inrent plusieurs fois ensomble.-- Roger n'a-- vait plus de more, et daillenrs Mar gnerkn était devenne riche, ils se convenaient done par tous les rap sofla extérieurs, ot de donx sonvenirs 'enfance, des rapports 'vrais, de« convenances d'Age, d'caprit, de godlt ot de comnr lea unissmient. _ Voici les penabes qu'ila méditérent en pen de. tempa : ; ' Klle y penan quelqnes mols encure, non plus avec les idées que le monde lui avait faites ; mais avee dos idées sérieuses et vraies que lui suggorent le mallheur de lulylL 22. mnrigc par amour, et celui do Ia plapart des fem-- mes qui Ventournient, mariées par convenance de nom, de fortane ct de sdtion. Madame de Bussy, pen-- lant ce temps, nouait, dénounit, re-- pnouait un nombre infini de négocina-- tions auxquelles sa fille donnait pen d'attention. ges d'amour. _ --de n'en reviens pas, répondit la 'fi\mo fille; c'est 14 Pexplication de... ais craignant do trahir le secret de la visite xlnmntin, elle s'arréta; un moment aprés elle reprit: En vérité, jo ne comprends prs comment i1 faut so marier, si les mariages de seule convenance et les mariages d'amour sont tous également redontables." " Ponse ot pric nvant de choisir avant d'aimer, ot no confle le secret de ton ccour Jn'nm- en -- avoir lm'bm;u cansée avoo Diow et avec coux qui t'aiment. * Et «i Diew ot coux qui t'aiment 'prmnvmt ton amour, none--le par le lien de la promesse au ccour de ta flancée, de peut qu'il ne tom be de ta main comme les choses qui ne tiennent pas." ;Et quand tu lui aurae :onné ta et que to auras sienne, mlu;opd-thl:v'r;ul rn~ shes de sun ccur, et laisse ta fan-- obe appuyer sa vie sur ton bras et ses espérances sur ton ocur, --Marguerite restait -- confonduc. Madame deBussy, trés fibre de son argument, . encore que ce fut ln fille dupe amic qui le lui fournit, ajouta en rwlrdnnt Marguerite : --Voild ce que sont tous les maria-- ce Frédéric de N . . . , connu en Angleterre par des suceds de plus d'un genre; les fugitifs so rmldlcnt, dit--on, en Italie en passant par la France." | 4 _ . _" 0lp S8TviF, 60 me semble, a tout antre chose qu'a chercher In for-- tune ; ne le pensez--vous pus f ~----Un mariage damonr comme In-- dy L ... , cest en effet une belle lcfi'onl attendez. _ Mine Bussy sonna sa _ femme de chambre, et lui dit de lui apporter un journal anglais resté sur sa toilette; elle y lut co qui COBlhimemnes | pucoves..~ . ciété anglaise, & la suite de vife ch?- grins intérieurs, est partie do son h6-- tel dans Portland:--Place, avec le prin-- MnCagce $4 + v --*Allo;-l, me voili"gllo d marier comme devaft ; mais, ma bonne more, maintenant que jo suis riche, pour-- guui n'essaierais--jo pas' un maringe 'inulinnn'un, non pas & la fran aise, mais & Fangluise, comme lady K tss vous en souvenez--vous, quand nous étions en Angleterro; c était bion bean, bien iétfuimmt! 0 maman, n fortune doit servir, ce me semble, tout antre chose qu'a chercher In for-- We s ne ie nenusycumme alls ane scato .c cnre 02 M9 997 220B P digne mais.positif; & présent tu peux aspirer & tout, ot J'espére to faire fui-- re uu'l::naniflqnn muringe, .. ~--Cest mon--devoir d bien établir mes enfants, ne saurait me blamer de répondit madame de Bn hy e Eies --Vraiment { rit Marguerite ; 1 je n'en suis -lu::u.t pas fachée ; pourtant, 81 faut le dire, ce procédé me semble un peu dur. 'Le trouver bon pour dix mille livres de rente, ot le rejeter quand on en a cinguante, comment pourra--t--on traduire cola dans le monde } --¥e :r_un mdmda, de chex notaire, viens d'apprendr dl'lpmoniw de dtuufm, k I Ccrit, avant que Ta nouvelle Tht tée, pour lui diregno des . réfle sur la différence do vos gotte ( Yos caractéres me faismient ron & I'hgl'manr de son alliance. faire t dit Marguerite, avee as m',' moquense, qu' us ARC DC22Z--"CL JOUte--t--il de plus en plus les liens damitio qu M & wa famille, " woft mon bean flancé de ce soir U es | nis de eat mort, N Seity h t anls do Buser eat mort. | Mazguerite; i1 6tait ai bon pour moi ~--Bans doute, sans douté ; jo lo re-- grette Aussi b""""P; maie en mou-- Fant il s'cst souvens qu'il Vavait tof. nu . sur les fonts "LE:'MB' au la lieu de dissémj er sn une entre| i ""inn-vna il to Inisse cinquan-- | teeing mille livres de rente, sans | , pter un trés bel hotel & Paris, 1 g:"""""-huupmh de In so: | \ cibté, et déja lo due "'de C . . . , i) parent du marquis de Bussy, on 'me | mandant cette lwnlh,h&mud- o en mariage, pour resserrer, ajoute--t--i1, | a situation, je lui ai °", e chez mon d'apprendre ton vos goits et de hxl We o+ foved de mére de , t personne le le remplir, nssy d'un air Ma erite ; pfi"meeé , ce procédé Le trouver ht ébrui-- réflexions renoncer | puisse donner un exemple de 1a con-- H-nm ai_forte du pouple dans sea chafa. Un demi fbile do pmix n'a 'jnmnia si bien éprouvé la valour de | noe institutions républicaines. Si le gouvernement venait & faillir «dlang ses efforts & soumettre la rébel-- lion dn Bud, ce ne serait point la faute du peuple, et qu'on mu-Ine ansai qne son manque de stcee«s ne porte-- rait aucnne atteinte & la valenr de nos institutions libres. i nous venions & succomber, ce serait A enuse de Iimpossibilité qn'il | y anrait de supporter et soutenir une |armée de soldats ¢t une armée de aycophantes ot de voleurs. Le penple e«t prét & sn sonmettre & tous les prn- grands sacrifices, mais il ne veut pas 'q!l;(m le pille au nom du patriotisme. "|_ Lémotion et Pexcitation ont bien pu pour un inoment canser quelque |erainte, mais In conflance du peuple '| duns cenx qui le gonvernent est si ' | grande, si forte quon dirait m&me | qu'elle est sncrée, et rion n'w on lien. j i{umn et Slidell que le peuple du | Nord avait jugé comme méritant le |sort du lrn'im- ont été--remis aux | mains des autorités britanniques. Leur reddition n'a pas produit le bruit qui avait été prédit et n'a pas méme causé la moindre commotion, Lhabile inactivité do Narmée du Nord sur le Potamac par Pordre du (Gb6néral en chef est regardée par le peuple comme une dispensation im-- ||r6n(-!ruh|0 de In providence, tandis | que la suspension des paiements en espdcer est considérée comme une nécessité nationale. Quel est le pays an monde qui ' misse donner un exemple de la con-- R-m'e ai_forte du pouple dans sea chafa. Un demi fbile do pmix n'a | jamais si bien éprouvé la valour de l nos institutions républicaines. \ | Proprement "* ) patricien. 9" | ot l démoe *! Le peupl A / ly voix de 1 * | preme, non L: moyen de [ | _ Le penple 8'il y avait moins de eorraption dans les places hantos, glu de patri-- otiseme et moins d'ambition parmi les membres du Congrés, plus de déter-- mimation dans les généranx de Par-- mée, in confiance du peuple irait tou-- jours croissanta et sa volonté de sa-- rifier vie, propriété, bien, fortune et repos pour Ia cause de I'Union, ne connaitrait point do bornes, _ _ Détroit, Mich. 14 f6y., 1862 Fs--whhek o 2s clc s s 0 tC CDTOWREt Lord Rassaf thane s porlauign tumrs, que Panarehie sernit le résu' tat de la reddition de Mason et Slide} L'Angleterre espérait que Dimpa tience se terminernit par une vioienc/ populaire, -- Los ruuvoirn Eururéen s'attendaient & chaque instant & voi tomber par Iamberux tout notre édi fice politique faute d'un élément des potique pour le tenir débout. Notre position était critique, em barassante, ot cétait vraiment u. temps tl'l-l)rpuvv, mais pendant ce semaines d 'une incortitude agonisant« et la foi du penple dans ses chefé n's ns été ufl'niLliv pas méme ébranlée. }.n destitution d'un homme populaire dn commandement d'une armée qu'il avait formée, et dont il était l'iJule. a bien pu attrister ses nombrenx par tisans politiqnes, mais lo peuple 8'y est soumis sans mot dire. [4 (uovoo O3 EiW Cirnttement, mals po L: moyen de sos délégués, Le penple choisit les personnos anx quelles il déldgue le ponvoir de cor troler; régler et conduire les intér®r ot les ut#\irm varics de 1'Etat, I valeur de ce systéme de gouvern« ment est en ce moment bien éprouvé Fs ainet Ne nesarclan mne VIC huclugig 10 COCTCCW 0e ces dén formes de gouvernement extrdmes, L'Angleterre croit que ln meillen forme de gouvernement est celle das laquelle F:, force démocratiqne & proprement restreinte par le pouve pntri(-lien. Elle renferme In royaut. n en jA premi¢re tend au d ot Pautre & Panarchie, / Lo civilisation a 6t6 do coml avantageusement que poss ques uns des éléments de fi:mfi. da gouvernement ex 50V N@ 6t en conséquence la libert de lours sujets n'ost que nominale, L'nutre reconnatt la voix du peup! comme le pouvoir immédiat eto an préme, ' Ihistoire nous montre qu'il n'y . que doux formes de gouvernemen extrdmes. L'une do oos formes es celle qui donne aux tétes couronniée le droit de regarder leur pouvoir an prome comme émanunt £° Pautorit. diving, 6t en consAénnarine 1. uce La coll.-n:- Poupte dans se (Lee iselle d marier inerte; qui n'o 'Tw W-:' ©108 ® 1 c gie edecutem M agt sans couleur, sans saveur suns per brie "E'"" eotte . chose insai infhefiaiinpinn m d'nh"!ll'!'h.\nng'l.:a*' re & tous, et qu'on appelie une d i8 democtatic, * Le peuple des Etats--Unis eroit qn voix de ln manjorité doit étre m 'me, non pas directement, maia n: rfix ot vr.j.vm'n;::":' arguerite se m venir hu"&" P: plus comme Pavait Jon vouln, ""'J: Wninom nc s CORRESPONDANCE amertcaine. C . " 09 00 Son aime sans fip '" l';""", s'inclinera vers ..u .. fes anges t vos coours / h. uxths 0t Ien aideront & a'ai. * mer, Beaucon dautres maximes étaient dans ce uvf.l,. ot leur fit .comprondrc m.':.._m"!'! un . jour * Et ie ciel, on l'on ;l.--n, s'ineliner anges t leurs mm mer, Francais peints par cuas--mimes ) (Pour is Courrier «Ottawa.) Coeul t Lavait Jongtemp« + seulswent pour no plus 8tr ere tend au despotizm Panarehie. Lo but de a 6t6 do combiner ane Pimpossibilité qu'il tter et soutenir uno : ct une armée de que possible qm; nple de Ia con-- onple dans ses le do pmix n'a 6 In valour de Axsa Marre, No. XLVLL our de-- ; ®t non