Le Courrier d'Ottawa, 26 Dec 1861, page 1

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+ Toods 4s & " Plus grang eur, CA--n-, 9. &e., &o. Tout ce quisst dnfi-illqt:. ment _le publis ent. ontréal # ite et de conlear, N simes ent & NEDF, bli $a mbie e marobés, ses 6, et le w# breuses pr-- a son d 4 ne hi# 'I 92i #it amaig. l:n: ~: Wil ea. 4y fueH 0 M. Les mal ite espéce in-- aussi un choir rane etc. h t rvoe a g'it d n mis et i t Povnt biea on ille ant IER ABT\Bay u patronage r aux habitans * environs, ent complet do ""'-'Gl_ x sor 8# Boties 'm,flt--.fi dtisses de ment congy40*" i. Sécies, §uriattile', ne, Als & x au der» x [ NOUVEAU PaAm KILLER Le maillouy t , --_,'g:-'.~':::::.§; Bruteres, is mat de Tok a in . 6, ® Poky %4"--wge "slie \ NERK, BROWN. cour ape mm1 'A wa, 8E, rché Cétte RIA, Jul Augl--lteryy mn public daark, DE PATeRSQ E RET faits a s de leur loy, UNIMENT Ouivemssont 0t neuny, qu'il opéragy 4. . C o COnn ign's uis ohitmit dow cures 'qut oi hss sif_ _ ""5urer 16 «public an'il ssssdds 'actoellement toote in erte qu ) appy ht o dn Mmaries mank '.'h'k :v*'.. do ces m:': 1 de reméda, nous ne poovons Pos @9# d'rssurer io public on'il postde Oetertpar io Dr. 8. C. . Ajer. 4 6o,, Tovetemaakerie *# 25 G0t--cam 'ayant uis :"n;z.é::n 3 nf:a'»". Eapy m'a conseil-- it do aite usage de votre salsepareille en me disant ga'il connaissait toutes tos (r'ux:.'na _ poovait pmm. :'d m-'., Br votre sal s: ' guéri -bi:"-n PE reg mc uind me sen fown | que jo me. sons actuellement, un noure! homma, Je me sena rajeant, ot jo pourrais hlfi sn ot tapport, dire l-do.l')indnn-." uleétes, carie at sumnat . / *' Slargemunt bus a dnE ts #,i~'Jni 6té, durant des années F;""?s u'h""fib avait com-- plctement détrait'ma santé. xi'.-". ordinairo MPayant pa ue soulager. mon hiew Jules Y. Getchell de St. qui suit i--"Pai dte don I # al VCm om "e o volte laboratoire, no peat #tre qu'an | * Amyedales. ?mndm".'h.'.ih-*".n' _'"Hn.mtlll.ll aavam ce, 66 ".""r dol-'- bevreus "Tltm Soulagent los maladies gi1--desus dans Pass t s s oT m pace de dix minutes. Rhumatisme, goutte affection fole. Tas rastices Pormonatazs o nuvaw I Sont an bienfait--pour toures les lunses ot mlrfi"g:un, Proston, Connucticut, 6 VWE Pour. toutes--les .0 iine 4 T0 w6 it de: Patficacité..de n'-a':"wn&. inntrognt Povten prirt in n maintes cures dans * nériennes, L'ndn-.:.-lhz':'v:d. ulcéres uy gosier, & la bouche ot "U:'"' é16 guéri dans cing semaminos. dtachado lameme dectoagys on Apot Rottt guéne st'nulle trace n'en reste sur san vi--: sage. . Une femme traitée auparavant pour le méme mat t Jo meron et qui avait 616 in proie dri'myfih..:h.... & ln mile de Phumidité, a 616--également rendue & la santé en '-z..' i p ppocsd d'aillears que d'apr la formale que votre lguntm'lmi-,q..mnl rany sortic de 'z':hhm:.m ne peat étre quan rand remdde, ot jo n'ui on hand reméde, ot je n'ai pas, on conséquen» J »oroneiataifaal et on "n"'.r"' voire salse a 'A'm-"d: v'-fi freiptie'a fig mom* reméde outre " gubrit srupdions ondlantres. * *" Bronchi on du cou. etemen, upaletamnes nenk mduup:"pnlo.m do cou que l'on m 5'4"' «t donkje souflrais eruciiement x "u:':u 8. Morrow, de H-'hn?, Ah.l bama, cite 16 cas "suivant'ccaem t CS Calvitie, Maux d'yeux, HyUropisic, &e. "* '4"5'. M%&h--, N. V »ou date du 12 septembre 1859 qu'il a guéri rdioatement 'an 'oas d*hydropisie qul ( .. c S0re® 94 Jui ont aequis & is confiance de. tout io gonry po " ralca uy ol . Oeeut® tetilellement con-- taince que vette rtiols matedie uns ues de T t ivoun,dotimans 'yo 52 Paves 'me emire comme I'un dea . plus grand bienfaiteurs de sls 2o ieeiiation: Jon ai envey6 ol Anvimmntaen, Ju brarhe duraot un .-d-a--..:E'.'fl' wen eqt hris que trois boutoilles, . Une pead ' Wl aaet "CC892, 6 Juin 1858, | 16 Ayor & Co., ie ts apaccle feestitce: 'r:::u-n-.u.- s sox jambes, tantdt attoignait Postpmac, in wte et.don -lfl-fl.;u plus ::a.-g.ha m":w' eriais "oin io 'me us rgeat de m ,"",,.,,»"."',""'"'"""" Messenger in pré--; parstion de votre.salseparealle; ot ¥ous ~~ i _ ~Alfed B. To Erésipéle on fon de St. Antcine, Pow PoCaes »lei2git 0t Pob® n prozipte | roay Fiesee, :'_.:':t:-*-z-"'-n-"::.:'f , _ . Gatkiznd, fodiaa, 6 Juin 1459, -- | it; Spire l0 0O DENMTSE®F ge lo moyen I ille. 11 h m"" + l[ '"'!F'-hu- \lfl:fil« qul en outre guérit los réeconnainsance voire derou Courrier sambiait :Atre 'dbsiarbe, le 'Ostinier Seurage alleeine one um w2," fa o P 9 Pone recommandé Iosige d E-hm #auvage dn --Dr. > pout in «Maladie des Poumons, et & s boutsi/les ont 6h base par mok l'nmomfi-i L-- TTa®, Dans deot cas, oi Le mfi ©409. 01 P P OOE . onl ieient Bertibe que "pendant los deok L, AMERS oxicenes. PAsthine, P Acidité on te Bril 'm' Wl feina.usege gos * oxicenEs. Cos remodes .produisent Poffet qu'on on a -- Th »qrrladlie des Branches, i} fnut inire " u l---.o.c-u.-.n"..'-nnwlu-, h-llrfiuhr'dumth&uw.' n-ffi.".".".;"."..:&@u 4 \ P Co _ & AAWAA JOURNAL PUBLIE DANS Lrs INTERETS FRANCO--CANA DIENS DU CANADA CENTRAT Lee PASTILLES PoiMomazacs on navax Guétissent l'lfl'u&.d- ln Luotte .ot: des x 22000 IECEET Lrs rasticies roumonasee on payax Gubtissent lee comencement de Copsompti ot les Maladies du Poumon. _' Votre tout dévoné hatsone us i1 0 2REOT achatours lour argent" d ?'f::.'-'-'w- Far ; M. HENRY & ¥IL8 h'"&h'--'y, ericinaeaeicie-- oi muilnith,'o han, nemat atol o Rand» npleresie. de prittrance & tout" on x l'd':lzl'?l':z::: ?::'(n', ho:' achotears u* 20# Ageots "a remottre ang '---K-:.y' nous avena fait ' e o n artic Possai :do cet t:fiu} fuit. N:. Ev: i ::' 90 Ahip WplBPrbigunaiay s F".'"'Q- AT + ¥ t P at sous sommes arrivés & outle doegicrien que poavions h:wum: #0,, u0ing ds wou 4 / tous. o oprangent: io fetmatten 20 Public Inow aroor eoomitt »# '1 16 & un .:,:"'""% ': Sota ons de--Linimenis t oo romadey eapéde ; of nous avons retandé Uimpoduonnt | €2)798---- A vendre 8 Québve, :m-.-h o 'eésoin de ::";'r:":.mn uum un w00 B 8t Public ; nous avons conguirg | 4 V° 8. ARDOULN, i#ur dans un *mon a We Hooe on "moment #4° it paps wet valle M b406in & Rxster Corner , Me., 30 septembre 4. E. Surtu, M. D. haup) J + old m Mn Savapaunid w i Wrgent duns ;lecas oi it fls troPrrwigl cArep Srody.-- ic P '.' ut : "."mp&:: Montréal, C. E. o o thor Hetl sns Por hoi inrmchutns M'n'-.. 1861 . i( ]' w "'h""" M ".!-. thnarl on soapers de aetrbeg * 4* NOCES 80U8 LB PLUS covRT Dkian ;i"du, nTt' M. J. B. HUSSON, a Pho gevent libéral a e io oo l in plus hom-iq. Von éonniaisso; 1 'a obtomr 1 Ilnstitat Amériem a 616 exposé. !n du Soussigné. _ mauX en mon d _ Clest! Pappatell arGes 1e pTos ahaple, to plus sir ot pius effectif qui ait encore 616 invent6; -- 11 s'adopte & tous les climnts ot a ton# les pays, attendu ul n'ast ro exposé 4 bte dérangé par ie froid, ot qu':l extrait le 16 Gaz de toutes les substances qui le conti-- elinent, comme !a Seleurs de boig, In Résine, Ja. Houille, ln Lm,-, les Os, 'I'Huile, le Pain de suif on graines. Propurt. D RF7 Datarwbicres lc tous les jours an No. 142, rue Craig, & Mon-- Itéal.) s'adopte trés rapidement dans les Einblinsements Privés et Poblics, comme on peut le v.irEu les cettificats e articles de Journau® en la poss@asion do Sanssiz«t tous les jours au NNTIATIR ML Agent pour le Bas--Canada. Rue Craig No, 142, chez M Garrn Montréal 16 Février 1068. BREVETE PoUR LE canada ie Pour les Maisons privécs, les Magasins, l:.:'rw.f'.'"""'_"'z!dmr?&ic. CET appareil (dont un A Vendre a Québec chez 0. GIROUX, J. MUSSON & Cie., J. 8. BOWEN, J. R. BURKE, J. . MARSH, J. BOWLES ot 8. STURTON. L' APPARELL AUBIN Rappelez--vo 1s Ju; 'I'E;i;iv véritable . est garanti, et sigoé de mon nom, @ la plame, GARE A L\ CONTREFACON py JAS POR CURTIS 10 Décembre, 1858. Breveté aussi on Angleterre, aux Etats--Unis et en France. les P&m LA LUMIERE ARTIPICTRELLE F ho oo on e P ATRT COBIre= Tuit fabrigh® r. Juspor Curtis, de Saint--A}-- bans, mas i Wast pas signé de ia main de N. H.Downs, i1 porte J. Curtis, & Pencre touge, Cest une contrefagon, on pout faci-- lement Je recounaitre --au signe que nous venons d'indiquer, et r: lo fait qu'-lm[ amurque 374 .:'n eents la bouteille. -- Natu-- ralbenvicay tsz cus 22 1 D t C P THUE g:";"."mwootmlu..a u-&im frais, 9 1év. 1861 ha w 2t smy dessai 25 cents, II n'y u que depuis ues mois seule-- ment qu@' nous avons les bouteilles dessai, et nous l'avons fuit ufin Gue vone Le priz de cet article est de 50 cents d il}zzluml:idc,.d'_'ub bouteilles Masa. on da P us C C Cip ROtn it }Nuo. ou de C. W. Atweil, Porland on de Lymun, Suvage AC'; Most 'mada, on de Barnes & Park, 13, Ra Park, New--York, .ou don principe uiste (en .roc{ «de la Nouvelie~Ar; knw-\'wt ou le Cannda . is vous rout des cireulairs & demande, économique et la plu« pwns. et ai an 2g2 2200 Cur de N. H. Downs, et si on ne le vend pas dans voirg localité, priex vatre Droguiste on votre mar-- chand Pon dJemander une netite oi 10200 CCon Gemande Wovia Gaz d'Eclairage, en oradnughan, LtA etils vous diront eat le de contre in 'lul.&:'h RHL XION8, @PASTHME ot tout e In GQBGE, de is POF POUM . _ maladies qui t ia:CONSOMPTION. 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MD000AL, noleE:umd qmiq-:lu Cinldtlcnnu.? ses de l'enco ent qu'el-- iinctt e en ds de recevol.r un grand assortiment de Py Les commercants de bois wont priés de bien faire comprendre nux Mcfluflp'rh mnulmm- 'llk o i; ll"'b-pdnlfl-:t'hwm. t de ne point se rendre coupmbles fl.'w' itiments . dn (3.."7_"~--"°08 choisi pour le bitiments | du Gonvernement dépendant, . e grande partic, des arbros et des arbustes gu eroissent sur kw.nldn dltlieu,hp... blic est requis d'aider & leur conservation. BMtalslinsoment co bas...d p.'l:: ld"'t'm pnnu:'fvl--.':;i';l':;:.;' In gueur j de nulre aux ures, a arbres on -rbua'u qoi a%y trouvent, gua ds ty tog ap ,"__fi.-"i" Lk is l::! pur::'fi'tm pn-u:fl..?::'n FTTerithaibc. . ". 40 do circuler duas | H'érection des Rdifices on € Hon appolé @Ras.. ce °2 -- AVERTISSEMENT PAdll l't.prlilo:l nvnll"u_l, iL n do abscurcs P a l sn BUREAU DEs Travaux que comtée respectife, (Bignd,) _ p, Otlawa, 28 aoht 1861 Ottawa, le 18 Avril, 1860 D20 £M6 des terres devant Mn:. riesh Fente sers sous dé pour btre diste buée, ches les llm-u":.::'u locaux de eci que comiée ressamsin onl 298 sura lien ZM.I; mole d'0CTOBRE l'-flO»..m hain, atl:-ul. -muu'-ium de l conro:rn 5': sujettes re tlew défent u:':.:'.l, M'E'cu'z'fi l-,l.l'k, Carleton, h of-.' Mw h""l W Victoria, Simeoe, York, Peel ca lario. Loeds. Greenville, P terborough, Vick 'Ontario. } _ Une siste des t« ucyd vseantes st no mole d 00 TObR® er go lt ol nund, certaines Terros ds d e t CERK La beauté I'I.fl...' a ':' o bnenté de I'Empincement choisi pour les Batisse de " Z2 Union," Bussex et«York. CcoURONNE, verre oes Teares rosugues LA.:.I:T.I'::'T-I'!'.:, dc !- COURONNE s + C€2°CC Insuran 0e Buildings, Liverpool. f DIREOTRURS, hwl'uv,o WILLIAM MOLSON, Beq > UNG. . ink feaomeyto. | Spots® Kay Bee Banquiers, BANQUE ds MOLSOX Secretaire revident, »et Agent General, A'MeK. FORBBS, Req: Montréal, :l:ll.\; J. FRIRL, Agent pour Ottawa, mvés? L6 FEU, ET 8URO LA vig. potiel 4000,000_ stosting, aveo (H.C.) Mercredi matin, 26 Decéembre 1861 The Queen " Iusurance _ OH8. D. REY, nfnas Par ordre, de toutes espaces, BUREAU & hitné dans io a 0:,-:-». m::mfl:flu une hw Sudresser a ce Bureau. Ollawa, 5. Nov, 1861. .. > .. 22, ling, A YENORE. JOHN MorrIs, BSurintendant ieereniriitatem it quine Otlgwa, il lnisse appre> Uissoment, i1 est défen-- is Penceinté destiné & en constraction sur ie AVIS. modéris what . YaNkOUG ComNEsT amis et ses 6t a exami-- S TERRES ; Queen Insuran , coin dépendant, en # arbustes q: t E000 0 toute In rie eldtures, aux PUBLIG®. Hill,"; oy, usqe'a. 5 % Cmpauny #V00Momme dont. notre ate , Jeanne : P C uy .. io Emie n k & m ts tattls n qui a Ininse tant do squvenirs de bonté, d it -;-i'll-,n.l:"m -:-h'\".-.:: ooo Do' hlan'h-'-lhnmc- Meromnnt on m oap ' fem ¥kiue, tombée as ai havt, ot qut avai ¥6 a neil i de Saint--Mi P m:-.fl'm o hn n;"n-"fih&'uA:'v: on indicible sentiment dorgnail, s fls ult sca o 20 PCCEVCC0¢ en 16i, ma fille, toi, blevde daos Phomilit® tm misorey Te lu:."r-g. héritidre da . beron Te I 0'1--. l6 pl loh ".l: u® r mmmfiyln, iohe, 110000 C CUUENS dame :-5-;:-.;&-&-« _l::'h"pm #on opulence. . Personne n'a soupponné en 2 o) 1 00 7 O OBMALiN®, tu m'as :demandé 'q'ol-hhmnh_' de ton pére,-- at W as déviné une partie de la vécie ; ouiy ma fille, notre nom était renommé autrefdig dane cette '."i"'"""""d'"""fll' ans une vis obsdute ot ohblice. Personne "'l'll'i'-wnn-u o:u-t si '... vre d'ane aubergiste ,,":::: ' E:*."" brillante dame 0.:. Sn mimies. Clande [ r-mi'.."'i."....""':. ' .n:a;'?'l'm':mvm-n +--Bouvent, Augustine, quel:--était lo not vt is rar e e e e tie io calme dane Aime pure et saue ambition ? Alx Louise Parréta d'un geste plem de 1 '.'-:Pm ln Gnuu'bn fois depuls plus de vingt ans, Claode, je ne suivrai pas vou conseil#, que jai louflnm jnsqu*ici trouves j 6t buts. -- Vous n'avez pas prisé assor m'h-*dnm fille. a ©Coupter sa part du farden que nous portons seuls de-- ria longtemps, . Lejour est vena de lui ire toute h&v'lmfl jo veur qu'alle tous apprenine enfin, avoir enfonda sa pro-- e histoire, qltz':n aura chacun do a'-':u Sn-nmmu dane es : repro-- et jo suis shro, Claude, qu'elle sera i 10 pour les fautes, for': wontro l talhent #i le malbour vient nots framnar 10 03,.0.0WC € 00 que vous ves véiller 'b désite, n-imq'- regrets 5:'.'.. Phmw ar-- denta de votre fillp par d'impradentes r6vé-- lations ?. Avez-- vous songe que cetie leitre peut--étre va renverser toutas vos «spérances, «l alors & quoi servira d'avoir trouble le salme Pane Mnb bite at sns aedlte s Mme Louire allait continuer, mais de se pencha & son orville et Iu» dit mi--¥oix avec une profonde inquiétude ---- Par grice, madame, aver--vous réAbchi & ce que vous allez Taire ? . Yous songé & ce que vous pouver 6y 1 0 U CHt Pune voix émue et solennel-- le : =+ Ma chere enfant, jo vai« tenir {a _ pro-- messe que )e t'mi faite anjourd hgi.~ ' Avant douviit cette lettro qui va dbohb'kdn ton avenir, jo veur que tu connaisses passé de in f;nnlla, ..';. que to sis wi--méme juge du sort que nous avons fait, afin 2" tu sa-- ches de qui tu as & to pllian ou & to louer dans le présent. Waseavant dunl Li g. 2. c 2: PLCDCOTTe; 'ot l'lnnyanl"d'lm von llut;nll ='M de son mani, elle fit signe & sa fille upprocher et elle fui it d'u'('u voix émue et solennel-- le : Claude Mignet mit un doig\ aur sa bou» che t recoramahder lo #i 7,0- & Louise L qu"ia . iraversaient auberge, ot ' mfi:m les trois entrérent dans 16 pavil-- lon du jardit, 08 'ils 'ne pouvaient / ére ni écoutés mi interrompus dans 14' d6hférence lm&onmu ti allait avoir liea. ' ladame Louise . dé ln jettre sur la table, comme si elle umonln retarder un l moment encote la solution du problama. .: ! --Un -- maliieus, -- dites-- Claude ; celn iPeat pe j pourrait sans Jn plus noire ter une dernande auss; just el vous savez que celle r Bourbons ne peut étre ni i euse. . it PMDUbnstinh id a insl Louise r.J'J. In tude. --La voies, repondit Claode, en tirant de 8« poche und large lettre dont 19 dachet por-- tait les armes hvm --Et vous ng Pavex pas ouverte | reprit in mére en mitachant sur lui un n.ut'z re> prochs ; toujours timide vis--d--vis de nous ;nlqu"vl I'c'-luullllfp t Mal wl s ie | --Ne m'en voulez mindatne 3 peot» dtre mai--jo pas mcvz.,u' certitude. d'un mll}:nr dont je uémiraie antant que vous. neaen ofi en e it "TSme Temps olle t son + go.l'r':u- be fnt}' hu-m voyl:u.u... d.tlndfln':urmld affection de ta mére / et a fille, . =~Merei« Louise, --mnon rh:. "o" Dami« tib que vour me mo ltzily dt las . con» dww duoon..- u_v':: Jn l;wul;; puis~ sent . lea nouveiles que je . vous :fpum rron-nl'lmp-'h«m qn:p vous al cau-- +Cotta lettr , cette réponse jatton=. dais est--olle done enfin urimqr.d-'nund-] Mme Louise, Kt en méme temps oll ghoir sar Je frgut hamide laude souria1t & Paffection de l fille, as vamadcsiis. ML. B is3 umwb m,«:t. (empare do »a main M ol voury . Claudix? @/éoria--t--elle, Oh ! que fetais impationte vous revoir 1 Eh !!u ql;hnl nous apporiez ues nou-- ve ' A:nuh.. de mou coté, --n'6tai an 0t du voyageur, + --Bonjour, pere dismit--olle ; comme vous mflammwlflm,'mnm:'d-' mun partie ce "tatib sane 1 o raet n r ies bourgeois exmpagnards ; it Souwel U oo te Fornge ot 1e Tiut t uin thom® proteats aved won » w dith i avait Yit 4o 'dernidre. [- iguour. Les waite c ".:..; : avaieot poortant un @aractéve ""!'r:fi-huu-m, 'hon. :1'0:.&. qu-'um".. i =um!fl:w ,-h.r"'."". [ ' ommine dierant beo jut . sans o . vomtniage. Son bube eate it Sros dn ddumi@ll uo2 2 T Sorxante wny Ihabitude . d Shis O Ogit --MVidE UBpas» Temmomnimmet ont it 4 &dflghhtmulpmwu Claode .Mignet, dAge r -- entendn rn.., whore pixante wny, etait h"n-.'.n me L::o. d y habilude du 6 F'o-dfiunnh 'tm ® vigtour. Lea calmes ut .umu.u,.um;mug- vaient ant un garaciéve 'de in France. . 'Top g nous jouis~ / nuan:_iv-uhnu #a faveur, ef son .a.....,......#.':&'..... + de | fll'mqu ."" -lnwv -np"'n-\!':ll'!':;:'?u de ' dn old B5 9 ratiou que da 00 (effic~....c ... _ gal in nadudis ced 'AUBERGE DE LA BA ROKNNE Clmade: Kitt¢ctature. 6# en sonpir ant et daus en main, pour ceite ruyale famille des € 000 euivant is " mode "de Le chapenu 'squl' avait une que Mme Lonise No 6 accdpter sa portons seuls de-- t est venu de lui veur qu'alle nous on Mighat 'r'.'fi; imosi artontion on oo o oourut 'vars \lub' avac "1_'-;'" de on main ne, avez--vous bien -l'n Taire ? --Aver-- «ites--vous ? Oh 1 non, pas possible! On n oire ingiatituds reje> .','"",'1;: o feigtms." » était gami 'de .boutone letwe avee. inguié-- ingrate ni oubli-- te wontre 1e nous frappor » 0t ses. vétements mais Clau-- it & de-- 6# fler jill. tounlt . & Jn Sun arpourse Olande Mignet qui voulait lui | 1 you ut portar des s nnm:- panse ui' :Mlquh-m ot dew w aétes couy 'on ardpe sanglant ! . , 'pargne--moi, 1 th l,m"'t n n esn 10 me verv i d¢ Pombrtaaer downiner mox Tevias 49" ui vfi.fl frate €t si rome, wit pith de moi, ma fille, flr'-no-lm' #i jo me ns :ltnh ton pére iombait sur un éoha" H meme ot'l'u :o'nm. y at on orl d to se éfi. bras de l':" .On" ; Mme phle et frémissanto, était on proje i &.-- u.-'gulmu cependant alle repoussa Clande Mignot qui voulait lui ts c ovige)s c Oeremtter o bupith me, = Ob L ma fille ! ma ohore enfan ! no mo demande pas comment toures ces folles i}-- lusions furent brisces tout & ool-"p ; no the do. mande comment ton malheuteus pére trahiy lum, tomba au moment le 'h."f"_ altendovéntro les maitis de sos ennemis ; no fls desmande pas par quolles humiliatona m- i1 ut & supporter dan« 6t devant loutp jugos ; no me damatle PaK COftent on in i 2. 119. 99 BT T ols que jo passai dans | této M force d hup'lllc]!'lu France :ml)'hioonn-r de | 'avaien comp tetreur. Unllommb.bnlhnlnnpbuuru de 'mon mar. de ton pére relevérent mon Courage ; tout | complice do in sembinit reassit & sughait dane In dihenb | manquer, on pré mission dout i était chargh; déjk il me den rensmignome parlait de in tboomponse qu'i attendait de | tents ecora incc Son sorviges, déji i) entrovoyAit un saceés | fut donné de . mu, toevitable, qui devait change; Ja | Claude veillait o e Is France, et z.vu!qnn!oh daus --pos | !emps, i) put me lo-zn Mnm-{l ®! damtbition, on« par-- | retraitay ai quand hous de eet enfunt qui nllait naitre, . de to; volationnaire a'y g"u*.-'hu.d ® pasvre, ai obs-- / cichée dans un a i. hombley.@t nous nous domendions | q%e le promier a d'ukru-du plus tard, apros le: suceds | nemis. dee maina royales 4-:2mi¢m to 'r'un-' ** Malhoutenee ter wux :3:.. res . du bantée | Bsb i dn sians * Que to diras J», ma chére fiile, sur c triste iruqul de mon nm{m 1 Le so nir seul a blanchi mes cheveur avan temp#, et encore aujourd "hui, je ne songer aux quelques mmoin quer to namesi / . | _ ** Bientdt it trouva une occasion de prou-- 4 | ver aux . iilustres exilés mon dévouement t tout entier; pour que le mrlot eut quel-- A ques chances du aneoes ol fallait qu'un * | homare aotify prudent, intrépide, rentra en ~| Fraqcé, se rendit & Pare; is ceutro méme du danger, et combinkt les efforts des ouns-- " | pirateurs pour les: fairs eancourir au but \ | commun, " Le baron sollicita ot obsint ootte | '| dangerouse mission. --Cé fut vainement que | je voulus le Tetanit par mes. larmes ; péwis | alors malade et enceinte de toi, ma chere | Augustine ; 99e de raisons. pour céder a | mes instarices ! Mais lo baron fut infloxible; | il y aluit war gue ceux poor qui i allait tout | riequer, veilloraient sur moi et sar mon en-- | t fant, . Lo voyaot résolu, je lai déclarai aveg | foree que mon devoir, & moi, était de le | i awivre, et que puiagu'i! pursistait A partic, | | jo partimmie aveo lus, % @* Alors 06 fut son tour Camployer lan | 6 Instanoes, les pridres et méme les menaces., | d Je resiai inflexiblo comme Iim, et i1 dat or-- | 0 der & nm;:.lun;'lum ferme gue in -mulw. v Nous s 1¢, aprés uvoir a_les udmp:l"bnu In muupd'-n ulu:,: por-- E Aononge, qui nous acresea dos paroies piei« | A nes d'aflection ot..de hull)gm de jours | n aprés nous étions en France, & Paris, sous ca | ta nom de Menard, qui btait nuasi l notra, ot | fu que to as purté ai longtermps, Angustine, | de ons nvoir uol (itre y bnklt jsinf nutre l'l foln yous s al= ore I io i6teo toute au..c1....._ 7. ", 2000 thte e jetee toote Iunio & la came. du» . minl révéler l::nou'v-nubk farmete es | novateurs ; la terreur no put chasser Pespé-- rance, ol Pandace dos vaingueuts he fir Quexcitor in rago des vaincus. # Mon mari surtout ressentit une hnfiflu- tion profonde . pout ce @rand forfait dont foute une nation s'ctait rendue coupuble. Peu de tem pa Apres que ia sinistre nouvelle se fut répandue do Paitre ©6té du Rhin, uo compiot seerét arait 616 tramé pour. renver-- ser le pouvoir odi¢ux u/ pesait sur la Fran-- ©# el randre le troue aux rols légitimes. L baron fat Un, des principaux fauteurs do ce complot ; de grancs personnages encou-- Pegleniont nee offaits ot exultnient won d6. | Youement par leurs bloges ; ile lui promet-- | twient des gtmn-uu, des tichessos, en 16-- compense . do. me saorificen, et le baton dans ses iJées chevalresques, n'avait pas besvin de paroiin encourmgements ponr ac-- complit 60 qa?il croyait dtro un davoir u. | ore. iOffatma. _ in Gievre. dieand Michelin lateur qui jooit p .. ias Comprencz maint moiseile, pourguoi jo regoin ai duzausiy nsl# pene eUmes--tnous quitté le PaYs, que nos vastos domaines furent saisis of veudus au nom' de P6tat ; de -- wils spéculatetrs: achetdront /6 Prix modiquo: les bieus qui nou« .':.M Ament «par. droit dPhérit » @l o chiteau que nos afeux avnient puxu peodant huiy sidcles dovint ln proje d'un intrigant 'affilié a ignoblus manduvres (do Ja 'bande Aouwdmdurhudonmn.t ue> tine rougit 'et baissa la (6te. Chud:.qui N'observait ujouta encore & soi @mbarras on lui disant aveo doucent : ho. is d1 42 s 2C 00600E band Michelia, le fils. de Pavare speon-- tour ri jouit paisiblement agjourd hui dem .A" 'vom famitle! -- > ugos nn"nmmmuh-rum- -h.; La mere coutinua'; die : luas w SE C ot devant lourp jugos ; no me wugllm dn jorr de in naintanee {a flg_""z-:-'-;mm on elle un do sEeteaeee p tam Joj. plus grand 4 : flfif'm Ciguls mak thpee thhig, Je frout toujouts appayé sut 34 T C2076, 04 exultnient won dé-- t leurs bloges3 ie Jui promet-- {:nn-uu, des tichesses, en 16-- do see saorificen, et le baton idées chculm-qun, Wavait pas pareiis encouragements ponr ac> q0"il croynit étre un devoir wa-- bif dweu ul 0; 1 20 40 reguait alors an"i;';n;:l"o, Id.l.lilL..lldll.lnlniptl, ulivul:. qui lo dévorait, lo joré-- ules les eutre T1800, qut eureut Pétablir ln d;uuiic ?iu Bour troow dont on Pavait violemtnent Co fut vaingment qurune t toote sanglunte & la casie ;blu Iépouventable farmete dos W lc ENe I bgoait alors en Prance, 'Ifau et de se« priveipes, qui le dévorait, le joté-- sutrepriges, qut egreny out Pemployer lea meme les menaces. me lin, et il dat or-- ferme gue in sienne. rés uvoir fegu les d'un nuguste por-- s 9l moi et sar mon en-- jo Ini déclarai aveo 4 moi, était de le pornistail & partic, maintenant, ~made : fauteors de | douos. nsc {CRY®3.00 fut Tui, dont in voir : fauteors u..(douu. Potsuasive rappela dans mon omar inges encou-- | In foi et le cournge ;. 00 fut lui ui. m'implo« lent won dé-- | ra en ton nom, qui me supplia de ve pas to lui proimet-- | lnissor soule ot orphéline dahs ca monde s808 en r6-- | mauvais; co fut lui q9i fit parler la voix de et lebaron | la naturey da Phumanité. , E:o-l & lui, mon Wavait pas | enfant, 990 to dois la vie de in mére. ats ponr ac--| . Augustine cacha #a tele dars la poutring -- devoir mu-- | de Claude en sungloitant. . Le vieillard sou~ fait pour déguiser Pomotion profonde gu'il on de prou-- | éprouvait, dévouement --Je consentis done a vivre, continua . lu t out quel-- | batunne, ot véermablac .. "10t 0000000 1 avant le . de ;uuu », sous ce notre, ot ogustine, int nutre sur celle mal .M. For e eth eP Cuale. du-- [ 8 ptison, ignora lnq'o';;m d cmete clos mpcfilttgphu terrible que tou ar Pespé-- | Cluute le trorupa, comme il . urs he fir moi--méine, pour wous bu:m frances plus grandes encore & tou e indiflu- * Qui pourrait to puindre Aug rfast / dont | douleur'et man désewpoir 'quand coupable, ylun possible de me cnhu1'nlu _nouvelle | Je Pavourmi a ma honta, ma . til Rhin, uo | promier maoment Jo n'eus par le c t renver-- | Bupporter un Coup #i terrible, Ja Fran-- | moutit, .Ce fat encore Claude, égitimes. | génie, qui me shuva ; oo fut luiy d teurs . de ;Jm;:lv- PI:uuaiu upp'h l':u"" . 8 encou-- | In foi ot courge ;. 00 fut Jui qui won de-- | ra en top "ooiit nERF:00 fut Jui q: 1 los a .,w...--:' CC MWerlo « | retmaila, oi quand Agonts da voir ré-- i | volationnaire. a'y proxentdrent, ,mia déja -- | cachée dans un mutre oturblar moinw ®xpost ,'qn.hmnh-ulnl-nh. do mos ame & | nemis. -- | __** Malhourensemaent le danger n'btait --| pm«sé ; le sighalement de 18 "ci--dovant : v':mn de Saint--Mautice, car on #avait Alore , | notte vrmm- nom, avail bte nvmtu par-- > | tout ; if m'était impossible de nort non --#eu> | lement do France, main engore de Paris sane Mbnmtu. ot alors dtre arrétde fille, !a .l'l étre oonidarhinée & ow dlfi&. q;- | auvnll toit on qoi se passatt r los confi. 'hmuul'nloflmh I"-:; d6 foro-- hons anso® ~itportantos & !a.commune da | Parin, m 'eclwira Put ma situation. _ A catte #pogue j'eiais décidée & viere pour toi, at in mort me fainsit pour. . Jo demandai conseil A Clande ot & wory w i, M::,Mm- ¢ui a porte quelques--mmiois plas In de #* toldrance et do yon homanite en In victime do cette méine révelation qu'il avait Conagensement sorcio. m is e cth F aupprossions dana les nome i} était . e t uk ri qui « hae. eagae s en goehels il ne powrnit tion pour de Mmflnh An a propom i o o agiee Aitiitines qtton proposm is seul en #ou8 #en-- :.v lous , a"était d':o'-r Ciande. . Notre Nienfaiteur s'ongagenit pbtenir cun F"-'.r'fi'"u-'l:d-llk,d: shfemmd, thais 10 & S 1 or 90e Mig . les maitras ArsiL ol C000# 00 prlnis: dont , | les maitros étmiont on ©xi', personne no voulait d'an petit coin de terra stérile, por« a | du an fond dune province lointaine, Cr:u- . | de ne put done nceomplir son généreux 14-- -- | crifice, malgre toutie sos démarches, _ Jo . | youlus & mon tour tenter quelques effats A t adoucif notre infortane présonte, mais, . mnll ui m'adresser 1. Nes deux oncles, + | Augustine, biaiant resies 6n Allemagng et + | no répondaient & aucune de men lotthow ; | tous now autros paronts ut notle ctwent on | fuite ot du;;mu- dopnis le commentement te In révolution. . Les rtieans du com plot dont le'baron était le at:!.m-ru déja peri sor Péchafaud ou f'niuu"nl dans les pri-- s0ne on attendant Ta mort, "" Co métait pas toot encore. _ De nou-- velles révélations de jo ne sais quel misé-- rable dénoncinteur, q9i voulait sauver an téte A force da monmongzes ot do lAchetés Ma¥aient compromine aux vene das .222 V uvhe nprof do mon mar. On compli¢e do la gon manquer, on préiand des renasignoments bupna e n se e ques rupian deserédités on pou tunt du chdteaux, d"hdtels, vip les maitres étaient en exil, voulait d'an petit coin de terra dn a» Aesiah 201C i" les maitres btai voulait d'an pets du an fond d'une de ne put done a crifice, malgre to voulus & mon t Avs l en en Te n'avnit 616 une lichord, wit 616 1 que In vie de troubles, da terraur sore A laquelle je. me trouvais Condamn6e. | Javais ignore jun les dangers, tous los malhour de sition actueile, et bientdt il ve fu [ sible de me los cacher. Ciaude. s6 toutas ces re«sources pendant f maladie, il brait Euvn ot ho pos que cette miserable forma que f tons ; vainemnt i} avait cherché dans la pressanio nécessit6 ou trouvions 1008. _ A une Anaona an tossas do ln vie annt. ui" (ANC) AuX delien-- teses do In vie polente, jo me trouvais 16-- daild i la dernidre miséro au imoment on JPalluis (0 donner 10 jour, Tm&'induu + touj ma d i ue bo Puson» ignora toujours ma -- détrease ; --Ou;,;;;'l'l!c,l; es née sous do terribles W 40 u6g, tus wutolr de (tod N'Fun :'a.m-h-m.., ton h-m.u. 'ait pauvre et nr:'n" ornuinents, o luym-nonumrmn jrent dans sarde qui était alote n"E::-n-' vm"' B Eainone on icotnt bn sauver on quittant Ia Prance, celui gui noue av con» 66 par nos nmnqp-m d'ab-q'-'-. avait 6t6 employ & pour les besoina se la fu-- fieate conspiration dont ton Pere. 6@ait un dee chofs. . i avait joue sur ce Projet chanceux #2 vin, celle de s femme, colie de son en« fant.. (Moi--habitneo au 130, / aux delion-- teses do In vie apdlente, jo me trouvais 16-- duild & la dorniens milll" M® 40 . | ons Cludd_ avait, e16 --noite. Inroguan; 'cp | anuons Iofich nartney Sapale moter "lall |aeieer enegicfopntthniet vos evie miee in n d tm ue wun';urn:'.'n? '(;lcn?l:"' .r'lul"::: 200000 Ponne at souvent 'des marguos: dgt= EW " "TOver; 11 m* Senait dane do fusses wos moi, lade et retenum par I'cm-ur a de douleur ay M'fl: i en es 6: tecevaient un «i oroelle dértenti sur 0# d# in Révolution, un da ans . ...L CC Pat l6s confi. 'un do 50# amis IM" de foro-- 04 importantos & Ia gommune da ecluira #ut: fma aituation. A catte ¢!tin déoidée & vivre pour tol, at in lsfch ali zs A T PR Waneds pullll °+ C009 vi Yor; d'aprés les ordros expros de i tae trompa pour me sauver : 4 11203 "Pmpe po EL nE sP Ccmsc' pl 9P MUY yeur des juges marl. On me dépeignit comme do lm conspiration qui vennit de O prétendit gne je pooyais fournie ignements importants sur des au-- ore inconuos da Comp!0t, ot Pordra 6 5 ds ons on | Oh tn rens, 121. 8 Wls wo-- meat in reque le j _ e o e qui me . «n méme tomps ; une pareille 7 .."""""'-"'J"fllh is courage . d' ':' «e co mathour, Cot 'hom» il ast. devant tol 1 .0aut co Sommengait alors vig--h--y 3:.-.._._1.'. vie" d'a ow & is ns S ste T .b"fi""- Inoualla. ks LORIEEE jpot ce wl y 6 les larttes de sa . Sn oo etotmn on ied m alle P4" maintena,, 65 :01° Y malheore ont 'existé ; {;-Yfg,_q-i; --larmes d'aduiration <4 io es rnmee mctane {nco o d t peseen ma Wits, (quren ood td 14 P0¢e® le jour on m'atait Jn & ""'v---.---up © To h:ll':hsznml, 4 plus de on t'm'?: aoe j u4 (CPOUP® 94 94 eesuyant a ~=D% . grioe, / m 'fin;y. encore sur 3 22 "omma, mais .'ff.".i"...zt__ An 'mOven d Rustancs Antetd faire quilter |ma (E0 . ininls .. uY e plus terrible que tous loa autros, tromupa, comme il me trompa Fedngpiivees intolindiiss d * lout encore. . De nou-- de jo ne sais quel misé-- T; qui voulait sauver sn monmonges ot de lMchetés en M Dientdt il no fut plus pas« cacher. Ciaude avait 6pui-- sources pendant ma longue Euvn et ne possedait rien 'ble forme 'que nous habi~ ul arait cherché & n vendro No nécessi6 o nous tou« A une époque oi avec quel-- Lir ns T 1 1s 1k .¢ . _"0€ 9@ complot le af:!.m-nl déja péri Mu}ium'.nlduu les pri-- 2 . _ PUIF qUand il no fot me cubu1'-l'uu-. vérité. a honts, ima tile, dans lo jo neus par le courage do UP ®i tertible, je voulus encore (rllmdn. notre bon M @ohih in s M 1__" 7!¥re, continua _ lu lement la mort, si elle 16, #ii 616 plus douse # do (erraur ot da mi~ me trouvnis désormaia » ignore Jusque--ld tons malheur de notre . po-- kalatmes ns 2 laree n fef fiimes ¢¢ no "enreusement mot; prévenn & Cemarthes, _ Jp quelques effts présonte, mais, #s doux oncles, , Allemagne et to men lotthow ; mie etment on commentement Claude viat me trou» de 'ton -- pdre, '.:"F':.!i i1\ m'ontre« ivait acheter ':m des . souf-- tous doux, Auguatine, ma modesto No XXXIX, 1 "Darouine "avee dit 1e aur ln pla« un dit quil

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