Les meil~ si un ul:i; Om qui ait ie "les ny t mm 84 do low io: d Sirnt enc LI"'W' ie voy-- hbh'?.: t le soin ses pra-- , Rue Rideay, oc y'smean Analcicl, °/ Ctkm :'--q-"'é": DE PATeRSQ ux habitang au der-- ERET complet de C c# qui est familioe. t Je public us grand assory O WN. nttas, INRayp de -".'--'7'.3.--.. . mé n'aicat i fait une ox resultats "do ces efficasité do remade, v oo d'nesurer Je oi 3. . ° DouYontfaite Plot goe dassurer le publ h ,':'.;"W"-u joote in vore %_-3' avan lees: ime thee' cor cor 9e het ont meguls "a OUYVEAU PAIN KILLER | dotmicros amsory at 1 ag Ronaatt ~=Zs Par 0et @xceient reméde, et nous #ous nos lecteurs & notre almanach amé-- ain que les agents gi--dessous nommeés se --t Un plaisit de foutnit gratis & tous ce i on font h'omnldca f D'T., affect eaur, aboés, épi-- ie um.;nr lombl?c, :bvnlgio, ete. * De nombrenses cures de ces -"cl:'dm a:.t Jn pui rieus . medrolee: ts stimnie rieourm,tt t les fonctions vitales, et combat Jon 'os uol'nniv:mll oroire ac sali son offlucixi. bescins du peuple longtemps réclamé ce reméde, et nous u»:t--qfll opérera toot le bien it est an pouvoir de Ja médécine de faire, n ae Ahmmet Hords oot us Pomite ide, anfluza, enroue-- Sroup, palmonie naissanto ot pour le r+ ~'-l.h du-;m phase roldds / m~ aniverselioment connu lutilo de "P'm'd?; erta que 60# worles de tmaladies, i1 : sans n:l.d- le monde ¢ivilink, '.;'- 5 communantés ot méme de families oni 'Pr':l'."n* 25 cot--am, -':-7:.""'" Dr. _="" par cot 'tous nos leot ain que les ag un'phisirch i on font in dar D'T""' affo umeur so g:.no-bnnn- 20 2 ECent mon que jo sens :lnlhn'::"nn m:?'hnmn. me se08 rajeani, et je_ pourrais ;und-; i ce rapport, dire assez de biollz de wu.m; amears cancéren * élargeme éres, carie ot ub':h- des os. On houe & rapporté beaacoup de cures ac-- CORT ETOIE SNatics 11 , TT rotine Aiobintians B ic ic c l d 2 tz illet 1859, > Dr. J. C. Ayer,;--Moosiout, fPai 616 aftli-- pendaat a(ump- d'an --douloureux umatisme chronique contre lequel avaient houé tous les efforts de Ta n»decine. . J'ai recours : & votre' aaimepa, aille..dont : une ule bouteille m'a radicalement guéri on ax semaines, de sorte que je jouis actu-- lement Pune bien n-iflcun santé qud« davoir 66 attaqué do cette maladie, pense que ctest uns morveilleuse mede-- na. J. FREAM Jules ¥. Getchell do St. Louis, écrit ib Sm Ct _ suit :--*Wai ét6, durant des années lig6 d'une affection du foie qui avait com-- :hnpnt f_flnn ma santé. . }mtn reméde ite de 1 femitta Cal c id s ma {unflh, au moyen. de votre sal-- !separeille une tumeur ovaire qui avait jas« '& présent défié tous les 0&3. de la me-- ine, mais aprés avoir employé votre re-- éde durant six semaines, il ne restait ancun midme de la l;lhdi-." hae Maladies syphiliti ou merourielles. Nousalie--Ociéans, 25 soul 1869; [D;'. rl, IC iAyvr;'--lo-hu.jn suis, tout-- fait de Popinun de votre agent sous le ra rt da l'-tx.._.u [ 0 N207 T00R 70 Tap» i Memsiito l2 uc u7. 2099 Coure ivities Maox d? » M &e. ersip e + ¥+ 1 @il a e e tat endgait 4"6tre fatal et ce le moyen votro salsepareille, unp::' égnlement cure de. wiclent Irésipélo & . fortes doses mbmg W qui en outre guérit les Honehion, gitire bu t do cou. B'M:.éh de m Texas, éorit ;qum:-"*mhnhuboumfl-d- flup-ni!ls m'ont 5;;npl6hwl guéri i'l: gonflement 'on ul'r:'u dont imulnum?l.mm'fi:d- Edwart 8. Morroiry:do »Newbutry, Ain-- may -i'a lom- Jlmr--fl':'w fhins lt sthevtagmnighatuicnt d t et blanche a rempiacé la pia it mon.corps, .. Jo suis actuell incu que cette terrible maladie mon systéme. Vous pouvez vous sléclarant que jo vous Pun des plus g and (bien umanité qui alent existé dans t Je suis aveo reconpaissance vc rvitear. Alfred B."Tallory. IEnL_I ble on fou de St; Antoine, 'hh'y"'t PmE B 1 D-l.h&-n'n-.k 8t, le mat de Tote ot les ladkien" des Intesting. i --Wmlum«mk-d me suis réjogi de voir 'mh'wflfic&hfl- E:.::""""'- ite, 6t vous' cun de réputation j'en ai envoyé cher-- r & Cincinnati,.}'gn ai fait usage, 6t j'al lm;,z(l. J'ai_ pri Q..J'. plon votre prescription, fl_&ud«un ,lfll.!ntlhhh-"lnnn .U'::- Jo :-mmmumqu'...-] wit man 4220 $ H dU vermont ot wexry . fert durant de longues années' E:t&hh.u'hnuh'v:?x ::':-5 :._L".."'!',','_'l'. Wétait "plus qa'une remide Maatow Bs cAuka t NP S ed t Toutes les médecines ordi-- res do@d j#ai fait--usage ne mont procuré nérison des maladies suivantes, savoir : 1e w-l_ ar 'wn.unu*: -mm' .,-,..' lt ..un-'bhp-n. o ha J.c.zuzc;, » 4 Jubn. 0y Jo me fais un devoir de reconnaltre ce Gue un soulagement, sout au we salsepareille a Opéré en edne sainiarene m areet o ® oys uo l dz enninememmmmmmn wéligé par wh Comite do Collaberateurs:"-- reas SALEEPAREILLE _ DAYER, | Newrtmm pryesaeretsees 1 sonnelle | "> comibde We N. Y. 10 mars 1887, :n.n. chacon 'Contiait Joa m angh P-:mCiox o sen tike ces maladics sigst roux de déclurer qua j'ai fait usage des 16, nous no a *A "nm. .,..t: traitement le" pablic 'gn';1" possedy | les troie derai i gonenipge a vertu qu'll avan jore: | de is Dyspopsle, in debilite generals ; Plogk encore le Rhu-- .".'--'.p-n- tluuuur..?,.:.: ; dation i | en ie ie old o ns batmare" |beduesltiiolm tmee t " h':b , | Carisier Sutvage effectue une cure com-- oo h S e COgnt 19720000 go , durant des années at que jo vous considére plus g and --bienfaitours de Coutrier suis actuellement con-- blo maladie est chassé ous 'pouver\ me croire ie rigvercoms et_combat dos oroire c --sel Ayer & Co., écrit ce plus qu'une ;JOURNAL PUBLIE --D&NS LES INTERETS-- a prompte savoir: le ) années. gostion et le« affections da Foie, et j'en as obtemu les résaltate les plas satisfaisunta. J'exorte bien cordialement coux qni souffrent M SBD h mduillod d de cette terrible maindie & faire usage de ul hn evet Ces remddes produisent : . n.'.'.s."hi'u ..1,,..'...5-;"" stai t in malad Surant aiost aux matiaey 'at uit consolation et le comfort. Clyde, comtéde Wayne, N. Y. 10 mars 1887, Fony comip e ieee, N. Y 10 mame 1887 B TD V Tadt Thire nq.d. s tA @a" Dr. Wistar ¥. P Indegestion, i1 fam Mebigedt vh AMERS oxicengs. «ubtic P Asthme, Acidité on le Brile-- P".'.., d'dn-flhnhb:.-du Afll"_ Oxicengs. Pour guérir is Tous criaide, is Grippe on ""f;:" des Branchet, 4 fack Taire .-fl in Bante de Gorister Seuvage dn Dro Wistary Pout atréter tn isposition & Ia Consomp-- ---'."1"..._'{'":.'_""@'!'!_ poun t l oo e en Pour goétic un Rhume on une Tous sbvéres il faut faire usage du Baume de Corister Sauvage da Dr. Wistar, Wos PPR Sm CanTIE Navac® et Cie., par Carren, fl'-n Cie. ot par Lamrzovon et Castracii, Tout voyageur derrait avoir une boite des i 'tu-s- POxMamata®s DR BuaYax f dans sa poche. Pour une boite des PASTILLES POLMONATES pe muyan Personnes 'ne refusera de payer ' Vingt--cing cents. l 308. MOSES, séal proptistaire Rochester, ues Pastites PulMonatazs Ds pxrax Fout plus que soulager, olles guérissent promptement pour toujours. LES PASTILLES PorMoNatkxs pe mryarx Sont garanties devoir donner satisfaction & tout le monde. V Uoit snplichipes mssc ds 441 Sont un bienfait pout toutes les classes et toates les constitution. 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"°V5°0, seal proptibte T. +. s5ker Hlarted Soulagement en Dix Minutes. LEPABTILLmPULHONAmEs Soulagement on Dix Minutes» dE BRYAN;" " ~: _A Vendre & Québes, llu 0. GIROUX, 1. 'MUSSON, & Cis., 1 bownes, 3. i. maARSH, J.'s. BOWEN J. E. ltl?hu,'-Lm&mn 9 fév.. 1861, 407.10% . LES PASTILES PULMONA1Es PASTILLES PuLMoNAIRES pr BBYAN m ty nous arone vehdu--das n-dlulu-.:l' depais plusipurs unées, ot noue i lears ogcn; -n.- ahu'kl'l'c::.gc:r article, ot y avons apporté quelques e o ic esn don d Taire t voue resiune un 0 oratte notre une tation audépens dee sutres, mais sous d-udou"'. a seulement 'z:.'u en fasse Pessai, ot #'il ast trouvé --préférable .'t. l::l antre -mcb'd- ..'u m Ei lednim tvton prame en sutorisons m':q Agonts 'a m;g Ted weient® peb rnterain" osrgetine s ":.:M hr::m' pour 30 sous, ot nous ( u."xffi: § FILS, Watibary, 've _ Et 1, rue Saint--Heury, vis--h<vis 'Amé-- rican House. Votra tout dévoué. 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Dows, parce que ce serait un faux, GARE A LA CONTREFACON DU Jas-- i POR <CURTIS i'fi."noc'-j-,' it porte: 'i."'o.'h,"".........";: foaky Ceat une centrefagon, on pout faci-- s Argele e td n'ul.ungu:z- fait fabriqué par Jaspor Curtis, do Saint>Al~ ib im eiliiainiys Auidcscallaes Sad bans, mars 'if 'n'est pas signé de'la main do 1 dessai 25 cents. _ it 4 depuis mois seale ?mn, .am%.h hn::n- dld.::t noos Pavona fait afin vous rfni- essayer cot cudhnv-m.iy-u .. 1y a sur le tmharoh6 un petit Rlixir contre-- les Phares Le priz de cet : article est de 60 cents d $1 "la 'bouteille, t pour les "boutsilles T .L: ND uo a 9 f6v. 1861 us un e CTmnT', Costony 'll-c,udoc.w.n%hlnd.lhiu. on de Lyman, Savage & Cio. Modtréal; Ca-- Tt mor Poay o P in en is , New--Yotky on xo uiste (en gros) hhflwvz'uhgh\-wv, '(cw-YorI ou le Canada: > Iis vous hnni-' ront des siroulaire & demande. «. M. Honry & fils, Water-- bury, ¥t. ot n 30 rue Saint--Hearl, Montrea), 00 do M; 8. 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DOHERTY. -- Pria extrbmement modiris. l invite particulidrement ses amis et ses tiques, & Tui faire une visite, 1. te son" maghen qvong Pooks d h chain duno s ue oees Pooie tmkinan de cotte Ciré, quant & la quantité ou Jn qualite, Tende a det 9 4@ qui sera fiue Sussez, Oftaiwa. > E soussigné vient do n ansorti~ L ...-au.u.u's'.'.'.."'.'i':'.u. l DRAPS, CASIMIRES, t d'ETOFFES a Vm-;li. qoi po,u'mfn'mpuqim. Mitablissement io CA I.llm PAlTRS DOH ER T yv. Otewn, 15 riai, 1064 ' Cables, Auv-'Clm & cheval, Clous taillés Cheines,Clops river, Scies 4 Moulin,Fer en barre, Acier, Ferblanc, Fer du Canada, Vi-- tres, peintures, Huiles, ¥ernis et Pinceanx, Chaudrons & suore ot & potasse, Haches, Fo-- #ils, Poodre, Palics, Beches, Piquos, Pogles de toute description, ot ie CELEBRE NA-- POLEON 1 11 anfin' toute sorte de Ferron. nerie. A BON MARCITE, Venes d Uenasigne dela grosse Tariore. RUE SUSSEX OTTAW A. Mamit D m CnnCd 'F'Hnrbuv + dofi'cnm'yumgemmt nel-- les lui ont donné jusqn'id.qfl a honnear de leg informer qu'il vient de recevoir un grand assortiment de Quincaillerie ot do Ferronnerie do toutes especes, --8 AV OIR-- ' e er on | .\ Un moulin a seies situé %'. Glopoceter, '*?Mmt I-h-o--d.m-:.." devenir _ Ottawa, le 13 Avril, 1860. BM@~ Las commercants de bols sont pribe de bien faire comprendre sux conducteurs des cages et max autrds personnes qu 'ils emploient. in nécessité de ne point commettre de dégits, ut de ne point se rendre coupablés d'impro: (Loo Pewples se déptacent quelquefeis 1 e oR TA La beauté de 1'Empiacement choisi l bitiments . da Gouvernement 'h;&p::r e: grande partie, dee arbres et des arbastes qul croissent sur le Tike wt requre galger , Angu ulc us LN CETTD TT 10 "on 16 "Bartack" ou Major's Hill,"; et, sous m Cbtre poursuiri avec toute is ri-- gueur des lois ; de nuire our oldtures, aux arbres ou arbustes qui a'y trouvent. an. C NIEDRIE lion AVERTISSEMENT. AR le présout avertistement, 11 ost défen-- T m n ons dans lenceinte destiné & Iérection des Edifices en constrnction sur le 11 °. 04 0e# Ndiflces en consirnction . BUREAU DE8 TRAVAUX Pusiiss. t h u.."'z:fi que comtés respec (Sigoé,) _ P Une wiste des terres Yepte wera sous peu d L lt mois d'OOTOBRE ot de lObllBll t -l'::l..:':u':o'c.'!'mh ln Ouro': Cl ; t tro reprises par mul. dans les comtés do I.u':rk, w , Greeavilie, Northumberinnd,' fiw Victoria, &imeot,. York, furis: Ontario vacantes et non Batisse de " Z) U Bussex ot York, Ottawa, 28 aodt 1981 COURONNE. VENTE, DE TERRES PuBLiques. Bureau P'n?:d ipal ; Queen Insuran-- co Buildings, vel';:ool. j DIRBEOTEUES, President, WILLLAM MOLSCON, Req Hos. JORN YOUKG. "PHOIA! KAY Bsq. HEN. THOMAB, Beq. | D. TORRANOR,Req. Banquiers, BANQUE ds MOLSON. 1 Secretaire --revident. at Josss /....) Bureau BW e on e PETEY! " Qususo,16 nott 181. d LA VENTE des TERRES de is COU RON NE rantas se use NE 7 a I ioi Eamgasoaneegimg arse Thie Queen Iusurance Cmpany LE FEU, ET 8UR IA vi. . MOND, &A a Shonnay, t pac i; berlogarid Ottaves, EB Ti Jaos Ti es och se froe ds Porsonnes, / mues 'safts 'doute, par fee I:: d'lhn'ulh-gcm.'l:.', . ' d-lonln_gudnm rparation BUREAU DES TERRE Ottawa, 8 nov. 1861 HENEY J, FRIEL, ot les urndnu. A MeK. FORBES, Haq. Montréal S'adresser & oo Burcau Oitawa, 8 Nov. 1861, #2 Lins: ANV¥ENDRE, JOHN MORRIS, Oe 4s yory hh Hiew dans les at de NOVEMBRE prochain, Terres de is Conronpe t du tres devant dtre offertes h n déposée, pour dtre diste rents agents locaux de eci its. anril« P. M. VaNkOUG s ComNEsT hant du 'dit lieu, ie & lear conservation Union," coin des rues AVIS. ..'.-- *--l.dln-v. t pour Ottawa, défant' de Curicton, Durhamt t, Posl en 2 ins. h mpis ne s'andantissent jamais.) Mnmwdhml.-, 4 Lusourrmn, Tl" 6tait dix heures c'l" dm:h t »éomie priait encore. Tout olle -'.mg-. sur elle--m&me, see :;2 veux se dressérent sur la toto, sa raison so tronbla : "Mon Dieu! 66-- crie--t--olle, ayez pitic de mol." Et se levant, elle #e précipita vers In porter Un bruit de pas se faisait entendre dans Pescalier : "I1 vient, s'bcria--alley mais il n'cst pas soul; je ne recon-- nais pas ses pas, . Mon Dien, mon Dien | #'il est mort, faites ?'u cette nu{} soit aussi ma dtnll:u R A moment porte g'ou-- vrit ot quu-m déposbrent qesete s e dn n lequel re-- posait un cadavre, gaard. -- A mon h w'- mon UX sovar pB noon, |E so ressemblent un peu ; to e it i f Tradult du New» Vork Thblet pat L. H. Fréchette sont an--dessus do is taill VY Povdad ardolinrvch i Comme autrefols Laban aprés ses dieux de bois No tires plus les siens de Parche des «pmbolds Mais dites--lul 1:'--: sons le temps les a . Que tous ces dieux de chair n'6taient .:m' ° Ktd'siler au Dieu des esprits! [idoles, Hater cette heure fortunée O tout es qui Inuguit de n soif dadorer Hous Parche 4n . res--Hant, dastres Mluminée, Pour aimer et bénir vieadea se rencontrer | Que le mystére ontier a'éclaire et t contomme ! Lo Verbe 09 s'incarna Fantique vérité Be trnusfigure encor ; 1e Vorbe s'est fait homme, Le Verbe est fait homanité. La foi n'a--t--eile point d'agrore ? i Avant qu's Phorizon Pastre des cieux aft lut Dan ces foyers dos nuits qu'an joar lointain [colore, On croit le reconnaitre & ces feux teinta do lai ; Mais lui--méme noyant les phares de m",hm r Dané l6b flots de splendaur et de séréu 6 Sn e I POOV PVAPAMEC EN inA uds mbicind Eflce en avancant ses multiples images Bous sa rayonnante unité ! EiW 5CBToreprniiads tabl ic i Plus i1 falt clair, micux on roit Diea ! Voyez se presser & In porte Cette foule en rumeur d'adorateurs sans voix g-l a-vupr'l'n"rllhu que is reison emporte s le prodige! imites eet exemnia . . Comprenez le prod igo! imites eet exemple, Déchires cos lambesus des roiles da saint lie ! Laisses entrer le jour dans cette nuit do templel Whas it Aitl seb c i2200 000 CDPY Dieu parle! re Des pas, encor Ls seels e hy [ O Christ 1 n'6tait--se pat ton signe ? Métalt--ce pas ':on dire & Fantique maison Que de voiler le jour nulle urche n'était digne ? Qu/une mabe so levait sans ombre & I'horizon ? Que Dieg ae resietait oaché dans ou! myatére ? Que tout rldnuré.nlou se fendrait devant toi ? Que ton verbe b Iait son vofle ? ut que la terre Naurait que ton rayon pour foi? Litterature. Feuili¢ton du Oo_lrrhr d'Ottaws. 3 Quand le Fils de thomme au Calraire, Premier témoin de Diew, sur e croll:zl.u, Le rideau ténébreux du sombre sanct Dans le temple ébranlé du «oup se déchira, Le jour entra tout pur dans Tombre dee aym-- Les fantomas snerés d'Oreb et de Siow [buL, Palitent mux éclairs des nouveiles paroies, Et le passé sillumina ! ' Bi Voisenu rotourne & son aire t 8i Povuf des véritée quil ne peut contenir Nest pas éclos plus loin ot n'a pas cluufé |'dre D'ou son jour plus parfait daters Pavenic ? Sais--to quel vol nouvenu son wil divin mesure ? De quel nuage il veut s'mbattre ? et sur qul; Bt u'au soir des temps pour qu'il se trans-- jose Combien il lui faut de Thl.n ?(figure. Oul sootien, 33 NO MAZ"© Pour e saint lion, Qui soutient ls ehrrnl. et parfume le temple, Incorruptible appai de n matson de Dieu, Tandie quo tes rejots de see p racines Reverdissent aux leux qu'il oi t avant Et so -uusum aur les rudos coll Souffrent le soleil et le vent. Toi pourtant gui dans ta itring Oses pnndrfil ruz Talgle des mmu lots . Comme Paul a 1';'}.,. prit I'cuf do in doctrine E1 le portait éclore aux suleils d'autrefois. Sea dm d'mujourd'bui les as--tu regardées ? Sain--tu ai deux mille ans Pviseau n'a pas grandi? Sain--tu 1!:.". heurs il est ao eadran du'\"« t t ai P'aurore est lo midi ?.... Ceat ainsi que Sion u-h:l 'Ia,o 'edlnl do !'",':E""!' pour le {wia; Et les peuples émus penseront en cux--mé vU'...an bras pnu w tes robes do ":I.,' De F'amour du Selgneat combien i1 faut qu'on Pour inisser see fils orpheline | . [sime Oependant trois onfants sans more To suitrunt dn regard ot du pied aux autels, Et se diront entre eux :--Os saint fat notre ;Ju Quand il portait son nom d'homme che les mor-- maing; x du on vain & ootre air exposde j m .-fl."' brebis qu'dtendait Gédéon, !| On trourait le matin seche de la.rosée La mirnculeuse toison | | Di--u seul remplira ton eatice, Des pleurs tombés d'sn hutr-r laver ie péché, De in sueur do sang, et du Il-l:gl'n, Et de Feau do ¥égout par I'éponge L * cunnuuv--*-uqn" Vautel on élove, Lnissant tondre leurs ln-uLn'l'n dernier { Tu couperas du for los rejets de ta wive folovn, Pour jeter ta eoutonne & Diew Tu détacheras do nos voies Tes pieds nus qui suirront lous sentier 4 Pécurt, D--cunmlutulun.hu nos ru;: see De notre patn du jour tu Inissoras ta part ; Tu ne combattras plus sous l'aube etsous I'6tole O'eat ln paix du Seigueur que ta main doit tenir; Tu a'éloveras plus en glaive de parole La voix qui ne doit que bénir 1 Tu chercheras, to long da flouve, Les rencontres du Obrist, ou da Samaritain ; Uinfirme, is lépreux, Vorpbelin et is veuve Viendront sous ton :f'h' a'msscolr dos le matin; Ton cour vide de sofus so remplita dee notres. Tou manteau, ai j'ai froid, Phiver sera 16 mion, Bt Mrru'n o?uur tons les fardeaus doe on bras déposera Je tien ! [mutres | Cotmme le jardinier m ue § 3:! suivait d'l-,:u, en rh{'n'll,"l- chemin, . | relevant les flours wu soleil *ymbolique, ' luehkntuunnllu tiges de in main, T-pn.dmduuhth-nthu[niqu * ponsés, | | Co gul in fane aux bords ou t rouge ua mitien. |_ Midhanemibirvadd. Dans #8 premfers larme ANA DIENS DU--CANADA CENTRAL T Nonvesux fls des saintos demeuren, rle | rdez lo signe do »s main, encor 'n pas pour avancer ses hourss ; o a EOI vers vous la moitié du chemin f ooo o O Christ ! POESIE. ~----4--_--_ A M. DE GENOUDE, A. Del axommina ou d'irresse aux hu-- rs ? [figure, Fembonbaint matr«i24 u. 3 L026 #] _( Mirés, indépendaminent de Tembonpoint mduuTu des exer--| autres moyens de clamtinn qu'il fai clces incessants. . Beauregard dort valoir, appuie sur denx points prin :;h tempéramment de MoCle}-- cipaux et ce sont ceux sur leaq uel , au contraire, exige qu'il dorme | il a dirigé les plus grands efforts de bien; tous deux font maigre chére sa dialectique. D'abord il se récri at sopt appliqués et calmes. _ Beau--| contre le refus doe deux de 1 wet plutot taciturne et d'une | is jurisdiction correstionnelle, or otb l'&lrpba; MeClellan ost jo-- | donner une contre--enquiéte pour cons your et naturel, méme lorsqu'il est | tater Fexpertiste Monginot. . La pro-- eirconpect.. L'abondance de in che-- cédure d'aprés M. Mirér, ne saurnit velure, Jn bouche carrée, la pureté | dtre régulicre, quand les tribunaux 6t ln m" des denn le contour | entendent seulement l'nTpv"du doe sont si semblables chez l'un dol'ngn nommé 3 Pantre, qu'ils rendraient la ressem-- | tion. . Ensnite M. HE: & fl... sucore plus frannants si |santents asto cloh ds q _| _ Voiei | Russell, le Timea de mandants Bud ot du [ a 44 L-'" """"P':{;--'r'fl;"-{" den cur-. lu:'n"' clces incessants. Beauregard dort valoir, peu;lo tempéramment de MoClel-- | cipanx ";""'--"'--"l-fl- 4\ mon avis, ! so ressemblent un peu ; tous les deux sont an--dessus de |a taille mo-- carromont 'bitis et céldbres mhntnm pour leur foree Ph'fiqlfl- ain B"Hr'ud ost thaigre, McClellan est gros et rond. avec une tendance L U FOWK sevtvbantt w e d Erberet mhiisial c A 2 1. 1500 antre généraux. Los Mio'.étdmt'l'?" de In cour de crseation, d'autent plus n.unfia. de in an _ fort volume in 4>, du général McClelian qu'il a 'J'::Ipw ne sont imprimées qune can le compagnon d'études du | recto. Le verso on blanc on r..l A mon avis, n'é'\m-t-vluir les notos et c so ressemblent un ; toms lea | tions que les conseillers in doux sont an--dessus dspl.: taille mo-- r'p"- de faire. . Cet t-.»n'{ 5 carromont bhtis t e'lbhn-[ un nombre considérable « 5;':""';'* pour leur foree | Plaires ot paraitra quelques phisique, wis . Beauregard -- ost | Avant celui oi laffaire viend maigre, xcc.ul.. e«t gros et rond, | YANt ln cour de caseation. j PepWu® -- quelqnes wr poar io Blaniens t ring, t o | hauumon se snt néral: MeCléllan, il me fit, au sujet | tii(w, ::nhen qui t'r:.n'umt',nnpvl:;:':z ! w4 3 rét et uno amicale curiogité,--senti-- M. Mircs a d mflm':'_'f{!"?" ne pense } le mémoire adross( O P C CPCCUTTY CH Timea de L«\dv: den ,dmuumm- mandants en chof des armées du Bud et du Nord. Yolel lo rom-it que trace M. l;'uuell, le ?6 @bre correspondant du #a C 1 1 _ La vie eat pleine do dates mysté rigusos, 1Ob oc n Ee uen uns Dr, a08 aprés, elle mourut mar tyre de is charité en servant les vic-- times du choléra & P'Hopital de Cons-- tantinople, le jour anniversaire de ges noces, 1 1 )7 9° 90° ©poux®, eNe prit le & hn?it dos reli':g;unen de [vl Iopital Cdivliaiahity . tiihetiA TCP en wl + ... .. Orwl 1" Elle tint parole. Cing ans plus tard, le jour anniversaire 1, ln mort de gon i::;ux, elle prit le saint NOR NO Cihbeh s 2C PNCL CC 6 "J'ai promis, dissit--elle, qu'nucun hunme' no m'l?pfl.uit'dLunnlh #a femme: Dieu seul sera mon |pour opfo inpy @y on t Oe ftentérent | oodait . pas. $0.000 rourn sa main; mais, fiddle | trouvait privée d'un Is mémoire de son 6poux tmort en | ses officiers par le 8t combatint, elle refusa obstinément |fut qua les officiers d tous les avantages qu'on lui offrait.| lidre requrent des Pendant. plus d'une 'année, The-- onie fuyant L pompes et les plaisirs du monde joyoux augquel elle appar-- tenait par sa naisaunce et par sa po-- sition melul.ea s'enferma dans ln so-- litude de sa demeure et pleura dans le stlence "?e son ¢our. 8i parfois elle ?nit t sa retraite, c'était senle-- ment pout aller prier sous les grands f arbres qui ombrageaiont la tombe de son époux, attacher une fraiche guir-- lande de fleur & In croix qui proté-- genit son' dernier sommei]. _ ElleGtait joune, riche ot aimable. DTe Ctait joune, riche et aimable. Plusicurs pvdumdn'nu se présentérent NETDGDE 3 Admiira C ! i) 0Offama Beauregard et McClelian, Théonie no Iaissa le cor :g'u\lun'm moment des i obseques furent Ia patrie reconnaissante, 5< norer ses illustres défense 16s frais. -- La douleur de Eo) EPm ( Oh ! ne crai tjoserai fort En présence g'nno pt:l]n"r&oluuou} une plus longue résistance aurait 6to une crusuté ; ot en outre, ln imére 13 'fmhélomn savait bion qu'ung gran-- hh f wlwa uwl . T T / Bt M la terre, jo le sai mdre ; mais jo veux l: \'oir'::m:.; pour i. dernidre fois." hests ABU 3 'alsse, rien voir de. son impression Ba *mpprocha encore Nu;d'""'l"'fl dit. on Nk% prés porte. , gard m&pluu subtile, rus6é et astu-- ies wous, dis que je veux Jo |Ci€4x; McClellan a ns d'étendue yoir, your ne m'en .empAchores pas, | dins T6 idbos, ost plus instralt ot il mwg plus impressionuable. * n'apparticnt maintenant qu») | 4t un' soldat partait ; Hm Dieu mon enfunt." pourmait bien prouver qu'il est grand l\:u Et d ln hrn,'je l6 sais, ma gén'énd. Le premier se préoccuna m + mate 4e ulc db l 0+ s m "I1 ost 1A ! a'6crin le voir }". Bi .. Ba more no lui fit aucune réponse, mals se plage entre sa fille et ln porto conduisant a la. chambre voisine. v®ne demande ol est &Ame ; guulh e arenre e dang lo ciel pnuuvdn# Von a dé-- posé ses restes mortals, ; umn..:. le . corps d.:: époux reposait dans une chambre nl'd": l::'hul. lit qu'il ne devait » ne IMI.O 3?.3:-&«..&?»\;:?"' | # :muoaudldiklh,cnl; " s mem i noot o | tombé bravement a dis barricades du faubourg do Ta Pric plus frappante, «i (Fin.) Nappléonienne d | Théonie, je veux q.2 31000 _, ) ~ 3 2°~q26°e portr cons-- tater Pexpertiste Monginot. . La pro-- cédure d apros M. Mirée, no smorait dtre régulicre, quand les tribunaux entendent seulement l'an"du de l'"E" nommé n tion. Ensuite M. HE: &A soutenir qu'il avait le droit de ven-- a | ses officiers par le Sud. Le résultat t ' fut qua les officiers do Parmée réegu-- . | lidre recurent des promotions ca-- ,'rnhlcl de leur tourner in téte; les , | licutenans ot les capitaines devinrent , | des générnux de d'|'1viui~ m. _ Personne | ne voulut commander moins qu'une , | brigade, ot des hommes qui pouvaient | & peine eapérer d'avoir Aunn bien des armées tine compagnic . sous leurs ,| ordres, se trouvérent hnniliés d'étre }n,-nlcmonl aA In téte d'un régiment. Des fantomes -- de régiment -- furent | eréés pour donner de I'emplui aux 'onluuu&u improvisés, ot d'un autre C0té on nomma colonels dos gens qui n'avaient que dos régiments imagi-- "nuir(!u, Le barreau, los hnmlmx.fia '(-In-minn de fer, Peglise, ln magistra-- ture, les comptoirs et les pharmacies 'fuurnin-m des chefs ; hmdlm que los commisy les tencurs de livres, . . . . , + 'duvcnnient des officiem snbalternes, ! Une nouvelle preuve de la singuliére maladresse de la race unglo--saxonne dans le maniement des armes, est que depuis quelqnes mois plus de 350 hormon se sont blesss aveo leurs propres armes, et bien d'autres seront thi(w. T biaith byufhadic d ... B bales sout nussi & Powuvre, et l place de colonel est un position tou ausei politiqne qne militaire. !A premi¢re armce du Nord n'ex meq uio t t ' | pour une commission de lientenant S(uun un régiment actuellement en cumpagne. Un autre monsieur peut disposer d'un régiment & des condi-- tions modérées, Un troisiéime mon-- siour est tros désireux d'avoir un régiment & Ini tout seul. . Les in-- trigues politiques et les basses ca-- bsfin sont mussi & Desuvre, et lm place de colonel est un position tout Anadllpir Lll" C 00 °m turaietie ct Partillerie, -- I n'y a qu'd lire los annonces des jour naux 30 New--York ponr voir jus qu'd quel degro inoui on pousse la vento ot l'ncfiut des commissions dans Parmée, -- Un mandane «thc. 'aat M inradiais t sdsA ic 18 e In cour de caseation, . (est lort volume in 4>, Les ne sont imprimées que sur le Le verso en blanc est desti-- ccevoir les notes et observa-- ue low conscillers jugeront A 2C 200 et scrutateurs Hu(m t a un coil clair et profond, dang "o. peut voir bien loin, mais t | aussi le w | dément, I a qu pré-- tention dans ses manidres, non pas de la hanteur. mais un air tatif, fqni semble dire : * No: me pas, Je pense & des mancuvres mili f:l.lu." On dirait que M moun dans un' Mmoment 'de ; yous sentez bienen méme temps u'il ne fant pas abusor de 8s& 'com-- 4 plaisance, sans que copendant i vane soie ol 422. Cun To esn a Lnemnuitede 1!%:"'!"\1 & n: wil noir ot lent ow That mong m setle To ® sa }fiff"?mmz it mining de 'feu et J G. Charpentier, rer d'avoir anl);i;fln_d'; compagnic . sous leurs muvérent humiliés d'étre In téte d'un régiment. x de régiment furent l'affaire viendra de-- cnseation. idépendamment -- des le cassation qu'il fait ir denx points prin-- t ceux sur leequels us grands efforts de D'abord i se réctie los deux dagrés de 20,000 humlfiu\, Cet bcrit sera tiré nsidérable d'exom-- sans que copendant il yous JA _ fait imprimer A MM. les conseil-- cnseation. _ (est in 4°. _ les mées que sur le nou on pousse la des commissions dans monsicur offre £20 n'avait pas le teint d'un Vol. 1 No. XXXIYV bhon ]mnvfll;'; de us ui iE s A9ir = Eds urs es Jours