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Le Courrier d'Ottawa, 28 Jan 1864, p. 1

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ALMANAC D London Coffee House. WM.CHARTRA IN, so on n e e e n NNNE Pour une année (104 numéros) .. $3,00 Une année, a 2 exemplaires . . . . $5.00 Une année, & 5 exemplaires .. :$12.00 Une annéc; & 10 exemplaires . . $22.00 Un exemplaire en sus sera envoye aa club de 20 et plus. . EDITION QUOTIDIENNE. Pour un numéro ... ... . --.. .3 cents. Abonnement une aunée, (de 311 numéros) . . . . Aeses Moek $8.00 EDITION SEMI--HEBDOMADAIRE, MnA ns nmobind. L accroissement énorme dans ie prix d papier & iinprimer et dautres materiaux né-- cessaires aux. journaux nons force dang menter le prix de la Trultne. -- Nos condi-- tions nouvelles sont M DATR @ire spinitte's et matériels du genre huinain mais pour le moment toute son éuergie et ses clonnes sont principalement dévo uées & la vigueur et an succes de la yuerre pour I'Uni-- on. _ Les correspondants syéciaux a 'compa--. gnent tou! corps (d'armee considérable et rapportent les imporianis incidents do cette: grandelutte qui se terminera bientot; nous en avons espoir, parle triomphe des armes na-- 'uonales, et redonnera la paix et la tranquilli-- té anotre bien aimée patrie. Nous pensons que nulle part on ne peut obtenir une 1dée ;fius juste et plus précise du progréset du carac terede ce conflit momen:ané si ce n'est dans les colonnes de la Tribwie. Et nous solici-- terons vivement la coopération de tous les | amis de la cause nationale, gue nous regar-- / dons comme celle de Phimanité entiere, | orupnous aider & accroitre la cireclation de erpeejoumal. I Mon en o esnt pirateurs, et pour que aes droits égaux et des r:).is égales puixsent etre établis dune maniere solide dans toute Péreadue de notre pays, parce qu'olors la Liberté et 'Union setont vour toujours unies et insépazables. Dans des temps plos calmes, la Triine dévoue son attention, elle le fait queique peu dans ces temps ci------a Péducation a la tempé~ rance, & lagriculture, ux riventions et & tout ce qui peut contribuer au progréset au bien éire spiritueis et matériels du genre huinain Vis--d--vis le Marché Champlain Grand . ... 215, Journal éminement de nouvelles et de Oittérature la Tribuse a des convictions po-- litiques qui sont caratérisées par ce simple mot: Républicon. Ce journal est republicain rrcc qu'il adhére cordia'ement a cette gran> e vérité " qne dien a fait du méme sang toutes les nations du monde, --il est tepu. blicain. autant que ce mot affirme les droits égaux et inalicnables de tous les hommes a la vie, a la liberté et & la poursuite du bon heur, --Républicain par son hostilité fe me, ardente et defiante pour tous les systémes e les efforts faits par partide !'usc{avage, de puis Pannexion da Texas jusqua la grande rébellion, pour saisir lempire du Nouveau: Monde et employer les ressources de notre pays son propre agrandissement--Républi-- eain dans son antagonisme contre les aristo crates et les d spotes de Parcien monde, qui se réjonissent imprudemment des périls et ces calamités qui ont fondu sur nous par la faute des hommes de leur caste qui sont la ruine de le République Modele--Republi-- cain dans son espoir et ses aspirations,sa fo etses efforts, pour que cette. rébellion atroc i poisse se terminer par la soumnission des cons ; Pifazeurls. et pour que aes droits égaux et des | aniptminidant minle Neinendntai 4. fondé en 1841 et avjourd"hui dans ln 22 an-- née de son existence, a oblcuu la pius grand irealation de tous les a -- ires journaux qu se ont pobliés en . Amerq@. . Rien que, en commun avec lesautres journaux, elle ait auffeit avee la guerre, de i'enrojement des sitoyens qui a fait partir pas moins de 10 mille de ses patrons qui ont pris du service pour 1'Union, sa circulation, le 6 décembre 1862, était comme suit : Edition quotidieune .. .. .. 50,125 Semi hebdomadaite ... 17250 Hebdomdaire «... ..48,000 LATRIBUNEDENEW-- YORK La TRIBUDENE NEW--YORK t plus, . _ _ EE)IT[O'I\ HEDOMADAIRE C DE LA CRIBUNE pour 1863. Troisieme Annee wNDITIONS A tonjours a ce Hotels de une TABLE bi--n servic de Grand OURNAL PUBLIE DANS LES INTERETS FRANCO--CANADIENS DU CANADA CENTRA T sieme Annee Ottawa (H.--C.) Joudi matin 28 Janvier 1864. C ille + Couttfict 0Offtama , journa Qo'il fera sur commande dans !=s derniers gorts. I| attire particuliérement Pattention dus ublic sur son assortiment de HARDES E'AI'I'ES pour hommeset énfants, Chemi ses, Cols, Collets, Crava tes, 'e'tout dans ley derniéres netvannthas as a deogl .0 5 sn en en n ce derni¢res nouverutées et A des ts mo-- NEF: M. on il aura toujours en mauns un complet de MARCHAND TAILLEDR P lie & AVOCAT, PROCURDUR, ETC., ETO O fhee. ) M HICKEY Messieurs les bourgeois de chantier, las marchands et antres en seront supplééra Ise conditions avantageuses. . Son établisment est toujours abondammentfourni et il ext en tous temps en état de rencontrer tous les con trats qu'on voudra bien lui confien. Enovar» Provix. Draps, Casimires. Tweed.et Patrons pour Vestes I.F, sousnigné tout en remerciant M M. la Bourgeois de chantiet et le publices général pour le (genérenx encouagemen qu'il en a regu juuiu'n ce jour, prend la libe té d»annoncer qu'il continue comme par passéd manufacturer ses excellentes grande et petites haches qui sont incontestable ment reconnues comme supérieuers & toutes autres offertes sur le marché de cette cite et dea environs. NOUVEL TA DAN GOOD , Une voitare ira d ar.ivée du Train du che* min de Fer et des Bateaux & Vapeur tous les joars chercher les voyagours, sans charge ex-- tra. CoIN DES RUES RIDEAU ET 8T. NICHOLAS o TraAwW aA, ISAAC BERICHEON Une bonne Cour et des Eouries sont GQODE sient tont ce qn'il a de micox en fait de «_ LAPIERR attachées a cet Ftablissement 2 as 1Enseigne 1t MOUTON D'OR. HARDES FAITES KACHES!! HACHES PeysBgride KOTBL RUE SUSSEX Brandy, OTTAWA. (?21 n MCUTO Dor "Otmaba Central, PROPAIETAIRE RUE 8UsSEX DE L8RA 3 DE a P o s t--0O Rue Dec assortimen NT __O'6tait au Yn'neempn de Tannée 18....qte jo quittai une des &troi-. 'hp'li gaies du divcdse de Montréal r eourir l'averture, et briguer les veurs de la fortune et du repom. Doué d'une éducation des mieux soignée et de talents transcendants is vanité, I'égwh-uh produirent leur of fet et m'abusant a un tel point raue, jo erornin faire merveille et briller dans le monde, comme Pavaient fait mes ancétres dont le nom figure en lettres d'or dans les annales de la ique et inoprimée.--Le toit pa-- 'm? on j'lnr(:?l joui de tontes geo joies domestiques, sous les auspices 'del':li:uoe zt"t\n comfort li]" plus envi m'était insupportable; je ré-- solus dlc-'e fuir et me soustraire & la surveillance paternelle, que je tron-- vais onéreuse.-- Ce visitenr fantasmagorique, les yeux tonjours attachés sur moi com:-- me pour étudier ma pensée, et seru-- ter mesémotions,me voyant passable-- ment tranquille et résigné & mon sort, rompant le silence morne qui ré_ gnait alors, s'adressa en ces termes ; "* Jeune homme, me dit il, tu croig voir devant toi un agressenr | rassu-- re toi--je ne suis pas de ce monde: ot,pourtant j'ai passé,comme les feul-- les du sanle, comme la rose vermei-- le, aux jours de son printemps s'éva-- nouit, meurs et tomber, quand at déclin de sa carridre, le sonffle em-- poisonné d'un génie hostile, vient emporter ses corolles fanées, flétrir sa beauté virginale. Tu trembles, me dit--il, enfant, rassure toi, je ne to ferrai aucun mal--Ma visite est pwiflqut--jei venlx t'étre utile et dtu x aussi, ef tu Je venx, me rendre 5? service innpprécinbiBbEcouu, ma légon te sera profitable ; et il re-- prit en ces termes,--Ami ; j'ai, com-- me toi, vu briller les jours -- fortunés de ma jennesse ; comme toi, f'étais alerte, j'5tais intiépide, amoureux de ma personne .fioiate et vailant pent. dtre, j'étais pardesseus tout, aventa. reux et impradent imzu'i ln folie ; | de ces deux causes dépéndent mos | malheur, mes infortunes et ma fin | Lui d'ordinaire si vaillant pour ma 'défense si cruel et féroce envers un ennemi, dont la sagacité savait toujours, lui faire distinguer d'un ami. Mon galant " Obasseur enfin, tout éponvanté, m'abandonnait & mon sort dans cette pénible conjonc-- ture ! que signifiait cela? Il y avait 1a, quelque chose de certainement étrange et surnaturel ! fen atten-- dais los résultate !! ! Au cri de terfeur que j'échappai, il se dressa rapidement sur ses quatro pattes, et, en fixant le mystZrieux personnage quese tenait immobile sur son trone de fen, un _ hurle-- ment affrenx qui répéta Pécho mo-- queur de la foret, s'exhala de sa poi trine, il chercha un refuge derrigre moi, et sa méme piteuse ct cffrayée aer:lblnifi snpplier ma protection. Chasseur beégayé--je a mon chien, nonchalaimmant gtendu auprés do moi, évite done, délivre moi de cet intrus. Il starréta au milieu des flamines, etc, y demeura ingniesible comme un salamandre sans témoigner la moin-- dre souffrance, i! était invulnérable au contact des charbons ardents qui lui servaient du théatre, et ne payait aucune attention aux flammes qui parcouraiont sa fréle et hidense car-- easse. Ses yeux fulgurants lanGaient des éclnirs, sa figure hdiée ct pati-- bulaire, était agitée dans des contor-- sions aftreuses, zon front chauve et ridé, formaient une espéce de protu-- bérance, qui ine présentait Vaspect de !a surface convexe d'une énorme marmite exposée & la fumée d'un feu languissant. Ses membres ou pju-- tot, ses os se dis loquaient & chaque mouvement de ses membres dées:L%él et, les cartilages en choquant, pro-- dnisaient Ponomatopée du bruit de quelqune puissante patrague, roulant sur des essicux fcres, oi, revolvant dans la vide, on encore, imitaient les Frincemeuts' raugues, qu'eéchappent a scie sous la lime qni opére sn re-- naissance. (Inédit.) Un Voyagenr ultra mondain,. Reort n'cxk ®xrpgéormon be cna F euill e to n du-- Courr av Lac © Seer ureuss." Literature (Suate et fin.) CHASSE e r rieux narrateur, alors qp'il me | fai-- sait tin récit, si pathétique de ses aventures et de ses malheur; et qu'il me racoutait toute la part qu'y avait prise la violence de sespassions ot l'impétuosité de son mmfigre,qui avaient tant de eomguibili" avec los im'prutiom qui dominaient mes premiéres années, mon début dans le monde. I! continua en cos termes.-- Jamais homme n'a campé seul en cet endroit depuis quarante trois ans.--Bi je ne me suis tonjours. montré an voyagenr i-o&"qni cher-- chait an refage })our la nuit dane cette morne solithde t'est que mes manes vagabondes, voltigeaient an deld de s pnissance de ses facultés visuelles. " Mais, sous ce cyprés tou jours vert, qui dresse sa téte altidre A ta droite, sur cette petite élévation tout fi:" de ':oi;;f-"'i"l';v'""; qui constitualt jadis une par-- tie de mon 6tre, et que 166 om PO0 0 PAECCCRCCTTY CTC CEIRTY DICD ritoruque, quand le zolote monstre, 'avide sicaire, perga mun sein de sa floche omgoiaonnée j'attendais ta ve-- nue : tu abrdgesmes maux et tu mets enfin un terme & mes tonrments que ne disaient finir qu'au jour oh la Providence sucsiterait un &tre vivant de venir murmurer le reqniom sur ces lieux, & une époque, correspon-- dant & ma mort, et qui supporterait ma vue comme tu le fais, sans . répli-- quera ma narration." _ Je Wnt'l;;e--;';ll quoi, qui m'at-- tachait irrésistiblement _an mysté ne méditais plus la'sser sous . ancfi'n prétexte.« finr une coinciepce pro-- videntiel--bienfaisant liberateur, tih viens icicette nuit, pleurer avec moi le quarante troisigme anniversaire de de ma déplorable fin, sur Pemplace-- ment méme, qu'a fécondé mon 'sang ot sous lesrameanx qui furent les muets témoins de mon assassinat. Ils étaient bien verts et luxuriants les tristes sapinages qui abritont ces lienx au temps de latroce forfait dont je fus victime ; la scéne était bien enchanteresse, elle était bien te J'avais exécuté la plus grande partie de cette marche, et jo me re-- présentais déja la joie et f'allégrcsse qui régneraient non seulement -- sous le toit paternel, mais dans toute Ientourrage do ma famille quand je franchirais le seuil béni que joo Sn s q sls WPV ind minidsnmiidvhiche id Mais Phomme propose et Dien dispose, et la divine providence dans ses implacables décréts, avait décidé de mon sort d'une maniére différen-- & Moee oi Eo e t Jeffectuai mon éépart de Moose, en compagnie d'un parti d'indiens qui descendaient au fort Témisca-- ming dane le colossal canot d'écorce de la compagnie ; le voyage fut heu-- reux bien qu'ardu et fatiguant. Uno autre expédition avait aussitot été organisé pour le Keepawa, & Partivée de notroevarsseaw aberigéne an Témis caming et j'obtins encore de l'ar&en s do ce poste,un fermes de passage jus-- q4'd Paffluent de la rividre Keepawa avec le lac Temiscaming, dou je de vais marcher jusqu'A M':thwu, afin de reprendre '}e canot qui devoit me reporter parmi le monde civilis6 et au sein de mes affections. Aprés avoir parcouru plusieurs régit?ns, battu les flots ct'es tempétes de lPocéan sans fond, je résolus de longer le Pacifique dans une expé-- dition au fort Moose principal comp-- toir des transactions xre lw d)mpngms de la Baie d'Hudson, nvec l'intention de pénétrer par los lacs et les fordts immenses qui divisent cotte place do la source de POttawaduns les régions habités de cette rivigre, et de I8, al | ler jouir au sein de ma famille, du bénéfice des rudes legons que favais ' aprés dans mos voyages. _ J'avais atteint mon age de majori-- té, ot jo m'étais prévalu de cette cir constance, et do mon droit d'ainesse, pour décimer le patrimoine de mon pore en le for?un A me céder la por-- tion qui m'échéait plutotpar coutume que par justice, #a! coniro mon eour, j¢ couvris sa bouche et sos joues do Ibuun ; Jem-- brassai de méine mon vénérable pdre un frere et deux scours puisnées,et ; leur dis adieu pour une absence (1: doux ans. Oh | uneste départ ! exé-- croble folie ! Hélas je ne devais p.us contempler comme.-- nugudre; (rnm mne respectuense adiiration, lea re-- flets du soleil suria surface,brillante du clocher argenté de l'église du village. Dien dans son inéxcrable vengeance avait H,\rbrré les foudros qui devaient punir le fils denaturé, et qui com mencérent & fimnder sur sa téte cou-- F.ble dos qu'il eut tourné le dos a a déliciense retraite qui avait capti~ vé ses premiers ans _ Malgré los pleurs et les mfi tations dune Exen adorée, je la P sai contre mon omur, je couvris mm mnmmmmmmmmmmmmmemsin s réprésen-- | immortelies que tu ve ¢, jela pres-- | animaiont autre fois d couvris sa | vie.--Je to fais ld, a isers ; j'ewm-- | dun docret sacre, et p nérable pdre | decevoir la confllnog: uisnées,ot :J re, par une action pér absence j: 1&. trouble pas mes épart ! ex6-- |mnées, maintenant que devais r.ul secret de leur sépn gudre; daus |no tronble pas le som: ton. les re. Lantiau 4 E0000 S | (Note du Gerant.) Bé@~ Nous recovons du rédacteur de ce journal, maintenant en voyage dans le Bas-- Canada la lettre suivante qu'il adresse au gérant du Courrier. Vi son absence, il nous est impossible de pouvoir publier autant do matioré inédite que de couthme, ainsi que quelques correspondances dont nous ne vou-- lons point prendre la responsabilité. St. Ours, Riviére Richelieu, 18 Janv 1864. Je snis arrivé Samedi & 4h. du matin & Montréal. Comme vous vo-- yez,on voyage lentement par le temps qui court. 'Co retard n'a point 6té causé par aceumnlation de Ja noige, ni par In négligence des officiers, ou du conducteur du train du Grand Trome qui sont tras polis, soit dit en passant, ¥oici le pourquoi ; lalocomotive avait ldflnbmant bien fait son devoir jueqn'a la Pointe St.Ciaire, mais prés :iodeu endroit elle dfl;avnén't. tout & coup u eson sonfile était plus court ot m. traina diflaih;ent jus-- sl'l Ts Pointe :; 1&, on télégraphe a nniakst ns 1000 0 1 i KB"La correspondancect dessousnonsest parve-- nue trop uur pour le dernier No; mais,comme eile contient certaines informations qui ne manqueront pas d'intéresser le public, ot sur-- tout le# Jounes gens qui désirent entrer dans 1e nrv:u militaire ; nous mone empressons de 1 auktill In pnbii;r: w' To Dunl.ll in O 0030 en JMEX E'" Is Pointe :; Id, on télégraphe a ontréal d'en envoyer uno autre qni Le lendemain matin, je me rendis au chantier oi, je in'occupai & eray-- onner ce que vous avez In. Je in'oveillai sgndnin, et je m'u. pergus que javais été le jouct d'un réve, qui pouvait bien cacher une vérité si, comme le dit Racine. "Le songe quelques fois et un avis des cieux! * |oraison, un tkpm{onllm, 'récité- P i~ | avec forvenr, sur la triste pelouse qui . |ombrage le grand cypres désigné, * |eur le tertre voisin, _ oi _ mon v-- | assassin a déposé ma déponille afin ©, | de cacher son crime, et soustraire . & n (ea vue fumuche, !e hideux spectacle "-- |qui pouvait encora effrayer son Ame 1e slwlde. J'attends cette aesistance e ta part et ce n'est pas en vain, tu ' | ne peux me In refuser, j6 connais ton 8 |oceur ; un service rendu anx morts, c | médite en faveur Pune récompense '-- | digne de ses effots inappréciables. -- -- | Je sais que ton Ame n déja -- souvent 0 | élevée vers lo Tnut-l'uiuant, une n | picuse et fervente supplique pour la 8 |redemption dos peines imposéce A 0 |coux qui t'ont précédés dans ic ie 8 | doutable voyage de éternité," | En pronongant -- cette dernidre u | phrase, aa figure 8'illumina ; j re 6 | marquai un certains rayonnement qui parcourait ses traits tout & Phou-- , | fe encore, repoussant ot, qui prenais s [d Pinstant un air de paix ot de s6éré-- -- | nité céleste ; sa frole et hidense char-- ® | pente a'était métamorphosée, . se do. -- | veloppait et prenait des formes ré-- > gnlirres ot humaines. -- Il résuma son | ' |ontretiens par cette péroraison. " ) ) | Ami, cette nuit mému,nromquejonis- § s untdlnslosrégionscélestos,detoutca I «] les joies ot de In béatitude réservées | |aux elus, je ime rappllerai de mon E |sauvour de celui.qui a opéré ma dé. livrance | j'intercederai pour _ toi |r [auprés du divin Créatour de tontes choses ; qu'il t'accorde ses grices et | d | sea bénét?ictiuns(.'n ce monde, etqu'il | n te range, aprés ta inort, parmi coux | k qu'il aura aimé--Adien ! repose tran-- | c quillement et, aue des songes dorés, | le voltigent dans ton esprit pendant ton | I1 sommeil et to fasse oublier los péri-- | IG péties dont tu étais accablé apres ma | |' venue." & Je le vis grandir rapidement & ma |ai yne: sn téte dépassait in cime des | [ plus hauts arbros, ot ses pieds tou | dé chaient encore ie sol. L'amour qu'il | pi m'avait inspiré pour sa persoinne, | o par les derniéres paroles qu'il ma-- | ad dressa,me fit volerpour leretenir;mais | co il me heurta de son pied colossal, qui | tey me fit roulersur le gazon. co aea eiop t mUP 0n €+ M dn Nouvelle Caroline, Riv. Ottawa 25 Nov. 1863. Correspondance Editoriale. Lp ommtiees Jeune homme, tu peux sanct ma sépulture: une courte prigre hintefSht dinhiin) Malaabdhne 1 MCY DR ECSE LCC immortelies que tu vois devant toi, animaiont autre fois du souffle de la vie.--Je to fais !&, ami confideace drun deerct sacré, et puisses--<tn ue pas decevoir la confi-uog)dontjc thouo-- re, par une action pérfide.-- 1?: trouble pas mes cendres inani-- mées, maintenant quo tu possddes le secret de leur sépulture profune ne tronble pas le sommeil de celui qui dort du repos éternel, de peur que ses ues irritées, . ne poursui-- yeot tes pas chancelants et ne tat. reingnents dans ta fuite, pour en de-- ml'nder réparation,-- de profon r.slu,r '{';r tifier Yous avez sans dente appris M. le enré Morrisson -- de %h ville, du ditmixncsde Moéflréul 6té nommé au Si piscop Coran (in pambm"';zqwm) le titre de_condjuteur de 8. G. Dghmm. Evéque de Vanconver 1 d en t td Partont sur les bords de la Rividre Richelien, I'o n rencontre des fi res trde gries ot trds joviales. Noz Eh-- tants prennent " les shoses comme T1 est & ospérer qu'un grand nom§ bre de nos jeunes compatriotes d'Ot-- tawa profiteront de la bonne circons. tance qui se présente Kour ninsi dire & eux pour les inviter A dtre en état en aucun tempeadedefandre le Canada de toute invasion quelconque. . Le Col. de Hnllberauen prochainement a Aylmer et a Ottawn. 1t a e n on ® Nemesmy et & une autre somine de $50 pour ceux qui obtiendront un certificat do ' romi%re classe ; lesquellos somines gtnnt accordées dans l'intention do couvrir les dépenses des candidats ndant qu'ils K-zquenteront l'6cole. gm uniformes, tels que maintenant en usage en Angleterro pour de sem-- blablos fins seront au service de tons les candidats qui fréquenteront Péco-- le. 1 0 P OOBh POD RDD ARRUCTICTT cole Commandant en Chef,de sollici-- ter leur coopération et leur influen ce pour parvenira ce buten faisant connoitre dans leur localité les termes et les conditions auxquels seront sou-- mis ceux qui désircraient étro admis comme candidats afin qu'jls puissont recueillir les nvantages que son Ex---- cellence espére et croit devoir étre obtenus par 1'établissement de ces écoles pour l'instruction militaire dans la Y'rovince. Les dépenses de voyage faites par ce nombre d'Ofi-- ciers pour se rendre nnx écoles de Toronto et de Québec, et pour s'cn retourner & leur demenres seront, pa rait--il, payées par le gouvernement on addition a la somme de cinquante dollars necordée & ceux qui obtien-- dront un certificat do seconde classe, e n e h ies Je vieus de rencontrer le Colonel de Salaberry qui visite dans le mo-- ment les ofticiers des différends batail lons des comtés de Richelien St. Hy-- cinthe &e.J'ai appris avee plaisir que le but de In visite dn Colonel ost ce-- Iui de trouver un certain nombre d'é loves pour une écolo militaire que on se propose d'étublir & Toronto et a Québec, pour l'instruction des Mes-- sieurs aspirants aux commissions dans Ia Milice de Bervice, ct comme i1 ost désirable d'un certain nombre das -- pirants & ces écoles, venant des diffé. rentes sections de Jn province y soint admis,il ost chargé par son Excellen-- L900p. . . 1 : 1 Co 'os mettrc en Ctat de pouvoir éri-- §er on commun aprés s'@tre assurcs tris bas prue de cortnins lopins des terres de Pordonance d'Ottawa on d(! 8ts ('Il\'iill!llh' INHII' I('Ill' llr()')l'e usage. T1 purait que Passembléo était peu considerable,C'est un ftasco, Pin sieurs dentre eux qui ont visité Ot-- tawa leur ont fhit entendrc que pro chuinmucnl, il y nuruit nssez de mai-- Sons construites aux moyons descapi-- taux des citoyens de la localité pour lear convenance sans #'occuper d'une question tout & fait sccondaire. La pétition sera saus doute renvoyé nnx E}al(rntles Grees, comme elle le mé-- rite, d5¢% > in tnan ind omrrnnts de notro gouvernement do les imettre en 6tAt de nanvaix -- En arrivant & Monuéal Jaiétéour-- pris -- d'approndre que plusicurs des employés des clman's, ou pour dire comme cux "les membres du service civil" --ont eu une assemblée a Qué-- bec et so sont adressés & Son Excel-- lence lo -- gouverneur général en con seil dans le but de faire un on certains Eol t Me premier volume est dé{n sous presse; il sort des presses de M. Lo-- vell de Montréal, -- j _\ "A 1B G@Botre délitrance. Le Colonel Coffin wa, qui était Pun des'rusrfiol:"?nlérm tout guticul reu Le Colonel écrit ans le moment "PHistoire du Cana-- da"--celle quia trait aux évenements les plue remarquables de la guerre do 1812--13--et 14 Ayaut "visité le champ de bataille de Chateanguay et ayant recuei/li des ldvres dos heros de cette époque lhistorique de co glo rieux comll):ut qu'd jotté tant do lustro sur les armes do nos valeureux ancé-- tres, jo suis persuadé d'avance que ce récit plaira particulidrement, Tous coux qui aiment A avoir dos détails circonstanciés sur Pune des époques des plus brillantes de notre histoire, et qui désirent la faire connoitre com me elle doit P'otre & leurs petits ne-- \-eux.w'cmpres&cruntsausy]oute d'en faire Pachat. No XXXNL put nous conduire & destination. . A t;oin heures doo:c, nous luuoul:: cette chere pointe, ob nous avi it dans l}:':wntom "'m.nne:'"lt Colonel Coffin wa, qui était Pun du'ruwgo::"nlérm tout gnticul reu Le Colonel écrit ans 16 mamant @bTFiLL +0 030008 ités de Richelien St. Hy-- ai appris avee plaisir que visite du Colonel ost ce-- Biége Episcopal de "'f';'fi;*wg.-ln: N_ Co Nappir-- Montréal nruit Tis que afin

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