_ Les passagers allant anx ceidbres sources de Caledonia pourront débarguer A 'Orignal ou des voitares seront prétes & fes mmd!uin aux Sources. j Le confort et 'économie de cette ligne en peuvent dtre surpasss6. Cotte route ost de Llll pitturesq@e, et Ja plus recherchée par touristes. Les exzcursionistes, pourront obtenir des billets de retoot d'Ottawa a Grenville, bons pour un jour, & moitié prix. Les nouveau et magnifiques Vapeurs. « QUEEN VICTORLA," Capt. A. Bowre, «PRINCE OF WALES " "H. W.Smepmean Li 0u-:- tous les matins. (excugl'(! le Di-- manche) pour Montrea!, a 6.30 A. M. temrs pe cmeatiN or r®®, se joingnant & Grenville o chemin de Fer de Carilion et Grenville et au Vapeur " PRINCE OF WALES" a Carilion, arrivant a Montréal a 4,30, P.M. Retournant i} artivera & Ottawa & 6 P.M. 1353. LIGNE REGULIERE ET QUOTIDIENNE Bureau de la Compa%nie du Richelien Moutréal, 27 mai 1863. -- Poor plus amples informations, «'adresser au Bureau de la Compagnie du Richelieu, No 29, rue des Commissaires. coinnti on bea ds en Le vapeur Terrehonne, Capt. L. H. Roy; partira du Quai Jaeques--Cartier pour L'As-- somption tous les Lundis, Mardis et Ven-- dredis & 3 heures P. M., et les Samedis & 4 heures P. M., arrétant, en allant et en reve= mant, & Boucherville, Vareunes et St. Panl I'Hermite, et partira de 1PAssomption les Lundis et Jeudis & 7 heures A. M., les Mardis a 5 heures A. M., ot lee Samedis a 6 heures (--3Les passagers laissant Ottawa le matin pas le Vapeur Quzen Victorta arriveront & Montréal a 4.30 P. M., ou iis seront a temps pour profiter de la ligne. Le Vapeur L' Etoile, Capt. P. E. Malhiot, partira do Quai Jacques--Quartier pour Terre-- boune tous ies Lundis Mercredis et Vendredis & 3 heures P. M., les Samedis d 4 heures P. M., arrétant, en allant et revenant; au Bout de Plle, Riviére--des--Prairies et Lachenaie, et partira de 'Terrebonne tous les Lundis et jeudis A 7 heures A. M., les Mardis & 5 heu-- res A. M., et les Samedis & 6 heures'A. M. ' EDCE se wt OTTAWA ET MONTREAL. (Le Dimanche excepté.) Font le trajet en Dix Heures. Le Vapeur Chambly, Capt. F. Lamogronx, partira du Quai Jacques--Cartier pour Cham biy tous les Mardis ot Vendredis, a 3 houres P. M., arretant, en allant et revenant, & Ver-- cliéres, Contrecaur, Sorel, St. Ours, St. De-- nis, St. Antoine, St. Marc, Belil, St. Hilaire, St. Mathias, et partira de Chambly pour Mont-- real tous les Dimanchoe, A 5 hanree P M , les Mercredis a Midi. ooe Le Vapeur Vidtfia Capt. Ch. Daveluy, partira du Quai Jacques--Cartier pour sorel tous les Merciedis et Vendredis, & 3 heures P. M., arrétant; en allant et revenant, & St. Sulpice, Lavaitrie, Lanoraie et Berthier, et partira de Sorel tousles Lundiset Jeudis ma-- tin, & 5 heures.. 80 Mooeeatn ty P Le Vapeur Europa, Capt. P. E. Cotté, par-- tira du Bassin ordinaire pour Québec tousles lundis, Mero et Vendredis soirs, a 7 heu res précfes ant, en allant et revenant, aux Ports de Sorel, Trois--Riviéres et Batis can. Les personves désirant s'embarquer a bord des Vapeurs Océaniques, a Québec, seront certaines de se rendre & temps en pre-- naut leur passage a bord de ce Vapeur, vd qu'an feider devra les transporter aux Va-- peurs Océaniques, et ccia sans charge extra. Lmd To io dpnomen se on wytie Montréal etles Ports de Tros--Riviéres, Sorel, Bertuer, Chamoly, Terrebonne, L Assomp tion et autres Ports intermédiaires. Jusqu'd Avis contraire, les Vapeurs de la Compagnie du Richelieu laisseront leurs Quais respectifs comme suit, savour : lals I N i reemensirn s cCOMPACNIE DU RICHELIEU. MONTREAL = QUEBEC, LIGNE REGULIERE E, Vapeur «QUEEN VICTORIA" lni:u Eo ' i ivhindtith it m RIVIERE OTTAWA LIGNE DE LA MALLE ROYALE "QUEEN VICTORIA" PRINCE OF WALES." L1G DE LA MALLE Troisieme Annee. P REX ,, A Montréal Ter ciaase.. . ... 8350 JO URNAL PUBLIE DANS LES INTRRRTS FRANCO--CANADIENS DU CANADA CENTRM LES VAPEURS sUR LA J. B. LAMERE, 1 sn o NHAMLL /.__: Lp awe Agent--Général _A tous ceux quile désirent il enverra (gratis) une copie de la prescription avec les directions afin de la préparer et de Pemplo-- yer, qu'ils reconnaitront comme un moyen certain de guérir la CONSOMPTION, L'ASTHME, la BRONCHITE, etc., Le seul objet du soussigné en envoyant la prescription est de soulager les aMigés, et de répandre les infor-- mations qu'il reconnait inappré-- ciables et il espére que ceux qui souffrent essaieront son reméde qui ne leur coftera rien, et qui sera bfiurtant pour eux d'un: grand bienfait. _ {o_ _ Ceux qui désirent recevoir la prescription peuvent s'adresser au Rev, EDWARD A. WILSON, Williamsburgh LE Soussigné ayant rétabli sa santé en quelques semaines par un reméde bien simple aprés avoir souffert flpendant lusieurs années une affection trg; sévére des poumons, et de cette terrible maladie, la Consomption-- est heureux de faire connaitre & tous ceux qui souffrent les moyens de se guérir. -- 0 47~Nous prions nos abonués de vouloir bien se conformer & nos conditions qui sont de payer le premier semestre de leur abon-- nement d'avance. Les arriérés auxquels nous avons envoyé des comptes sont instamment priés de faire immédiatement droit & nos justes demanges si souvent réitérées. Le succés de notre cuvre dépend de Fencourage-- ment qu'ils nous donneront en payant le vieux compte, et en nous expédiant de suite le mon-- tant de leur nouvel abonnement. AVIS,--Revues périodiques Magazinas, Livres de fantaisie Nouvelles, Paperies, Livres d'E-- cole, Livres pour enfants, Chan-- sonniers, Almanachs, Esmm{}iles, le Courrier des _ Etats--Unis, Le "Courrier _ d Ottawa", et tous les I'ijourlm.ux frangais et anglais de Montreal et de New-- Y oork, & vendre au Dépot de jour-- nanx de TEuespHor® Turcrox. Messiours les bourgeois de chantier, les marchands et autres en serunt suppléés a des conditiona avantageuses, . Son établissement est toujours aboudamment fourni et il est en tous temps en état de rencontrer tous les con-- trats qu'on voudra bien lui confier. Enovamp Provix. Rue Dcc ' -- E'munigna tout en remerciant MM.lu ' '.l Bourgeois de chantier et le public es général pour le genéreux -- encouragemen qu'il en a reeu jusqu®& ce jour, prend la liber-- té d'annoncer qu'il continue comme par le passé & manufacturer ses excellentes grandes et petites haches qui sout incontestable-- ment recounues comme supérieures & tout is autres offertes sur le marché de cette cité et des environs. 2nd 0 ....2. 0 REPAS EXTRA.) Billets d'Excursion & Montréal et retoury Pour autres informatiors et pout ce 1y regarde les biliets d'excursion, s'adresse agent M. Joun McGowax a Poffice d quai. L 00 cvmnmena Oitawa, 15 mai 1863 HACHES!! HACHES ! ! # --E soussigné tout en remerciant MM.lu IOTERLDOU CASTYOR, Tenu par Isidore Champagn & Rux Suserx, Ottawa. DR. DORION. AUX POITRINAIRES. O TTA W A . Présey's Bridge ' Kings Co. New-- Rue Sussex Ottawa. Rue R. W. SHEPE York ' qui montrait son disque & travers l6# ' et des manurs patriaroalos, TRD. Directen Obligé d'attendre jusqu'a hnit hen -- res, pour ne pas bleuufies convenan-- ces, qui ont pariois des caprices fort ridicules, et je signalerai principale-- ment (fl'li-{:l,ge fus réduit & me croi ser les bras et & passer ce laps de temps A des réflexions qui ne fiurent pas (je crains de le dire,) a 'uvantage du beau sexo, ?'ni se trouve Ja cause de tous ces changemente. Enfin, le timbre métallique de la vieille horloge sonna neuf fois. J'endoseai TPhabit, ainsi que mon Cesannécs par la violence, par la des. manteau, ot en moins de denx secon-- | t"uction, par la plus indigne trahison ; des f'étais sur la route, me dirigeant | ~--=--=, -------------------------------- vers le lien en question. |h("r;)0:ugu:'-;": nom g-,l m _ La soiréd était magnifique, in lune | forsts d'Ostiolanks ; iis ont une grande pidté L'invitation était par trop pressante pour me faire hésiter un sen'l' instant. Ma réponse fut laconique, mais elle était significative. _A six heures j'a-- vais regu l6 billet, & sept heures j 6-- tais prét, tant, il faut le dire, la toi-- lette de notre sexe nécessite pen de préparat'fs et surtout exige peu de soin. -- L. Cest done aujourdhui, dans ce but, que j'dse vous faire le récit d'une aventure qui m'est arrivée dans une soirée & la ville. Vers la fin de Janvier mil huit cent cinquante huit, f'e recevais une lettre m'invitant & aller passer la veillée chez un de mes amis. La vicille ménagére cet aussi alerto qu'une jeune fille de son coté ost transportée, enfin le galant du village, frappe du pied au rieque de se rompre les artres. Le bonheur est alors complet. Qui de nous n'a pas 6té l'; témoin de ces soirées de ville, oi le citadin 'wmble oublier tous les soucis et les peines du commerce, pour goftor un laisir qu'il me rattrapera rlus. En (%anadg cest en hiver que l'on songe plus joyensement an "Fugit irreparabile tempus." Be rappeler jusqu'aux plus petits incidents de ces veiilées, ne manquent jamais d'exciter en nous la joie et le rire parfois. _ Vive la Canadienne. Alors en entendant cette chaneon si chére d son ccour, le vieillard jette un regard sur la jeunesse qui Pentou-- re, laisse échapper un sonpir, qui s'efface devant les flots de fuméo qui sortent de son calumet, _ Cest bien de nos bons habitants que on peut dire. "Conticuere omnes intentiqc@ ora tenebant. Lorsque le menestrel du village ti-- re d'un granq sac vert son viokon, et *Dana ce[})ays, oi le froid fait sentir sa riiueur 'une mani¢re qnelquefois tout--a--fait désastreuse pour les mains, les pieds, et le nez de ceux qui dsent se mesurer avec lui; Pon sait, que pour faire disgarnitre Pennui, compa-- gne inséparable de cette saison, lon @ recours A ces charmantes soirées dhiver, dans lesquelles brille dans tout leur éclat Pesprit naturel de nos aimables Canadiennes, ct gui laissent tonjours aprés elles dans l'esprit, d'a-- gréables et méme de piquants souve-- nirs. Cette coutume, toute ancienne qu'elle est, n'en a pas moins conservé ses charmes, ses agréments, et elle, prouve de Pesprit do nos péres en nous t« tegnunt. Qui de nous--r'a pas assisté & ces veillées villageoises, on lajoie est univereelle, oi tous les coours battent a unisson. Sams aucune fagon j'ai, par cette fenbtre .. Jeté votre ordonnance; or vous ':i'" pourquoi Si je Peusse suivi, clen était fait de moi ; CONTRE LA CRINOLINE La femme crinoline, & la taille d'abeille, Doit s'enfuir dci--bas au premierjour de Pan; On n'aura vu jamais ascension pateille, Puisqu'elle est & la fois : ballon et cerf--volant Vous étes sur le point de la conraleseente : Sahs doute vyous aves suivi mon ordonnaste Suivi! nou pas, docteur : je ne suis pas si fou. Grand Dieu ! t me serais ma foi, cassé le cou ! Comment?--Eh blen ! docteur, vous alles tout s . . [connaitre : Po k si k. Epigramme.+-- L'Ordonnance du Medecin. o d un frand sac vert son violon, et rélude & la danse par l'air national Ottawa Nov : 1863 Ottawa, Novembre 1863 Feuilleton du vourrier d'Ottaa. KLitterature. flttan, (H--C.) Jeudi matin 19 Novembre 1863. Une soiree d'hiver. (Pour 1 ©Covrmit2") Fmaxaxp--Gascox © Et en prevant les armes, nous jurons devant Dieu, et nous déc'nronl A tous lespenples etimdme Anosennemis que nous ne voulons ni Ia terre ni les biens d'autrui, nous ne voulons point nous enrichir par le pillage et les dé-- uilles, nous ne voulons ravir la Ji-- E:rté d amcuse mation ; mais nous von-- lons qu'on nous rende ce qui est & nous, ce qui nous a6té arncié devuia lons qu'on nous rende ce qui est & nona.qoe qui nous a6té arncié depuia des années par la violence, par la des. truction, par la plus indigne trahison ; * Telle est n:ndr'; foi, freres, et c';: pourquoi aujourd'hui nous prenons B'mea, dans la ferme oonxnoo que ien les appuiera par sa puissance, unie dans ces sentiments, pénétré de cet eugrit, ressucitant . miraculeuse-- ment devant lesyenx étonnés des ennemis, comme autrefois le Sauvenr, au milien des gardes' se leva miraen-- leusement du tombean. * Nous nous levons ponr ne pis perdre un instant, car la rage infer nale de nos ennemis arrive & son com:-- ble. Les mairs teintes du sang de nos fréres, ils venlent courber nos tétes sous le joug, se riant des doulcurs et du martyr de la nation en anéantis-- 'sant ce qui lui reste de force et de vie. Dans Phumilité et la soumission aux justes jngements de Dieu, nous avons juequ'a rréseut supporté la servitude comme ndpnnition de non péchés ; mais quand Pennemi qui nous oppri-- me, se ruant sur dos vieillards, des femmes, des enfante sans armes, mas-- sacrant _ les J)rfltm de _ notre sainte religion, descend au dessous de 'homme, viole et outrage toutes les lois divines et humaines, i1 comble Ia mesure de ses iniquité, et en méme temps est comblée Is mesure de no-- tre pénitence. } * Quoique, depuis lo commence-- mont dos combats livrés pour 18 pa-- trie; nous fussions par nos &mes avec yous, fréres, compatriotes, cependant nous n'avons pu Jusqu'a présent vous en donner des prenves actives, et nous avons dg, pour un temps, ca-- cher le courroux et Pindignation dont nos cceurs étaient remplis récit des crimes horribles, des cruautés et des meurtes commis par nos ennemis. La tradition denos ancétres témoigne que depuis des sidcles nous avons 6té des fils loyanx et decourageux défen-- seurs de la patrie ; si jus(flu'd présent nous ne nous sommes pas levés en ar-- mes, cest queréellement nous ne le pouvions pas, faute de chefs, darmes et de munitions ; aujourd'hui encore tout nous manque, et nous nousinsur-- geons er]n)s)etit nombre, mais nous avous Dieu P'annonce que les en-- fants do Kurps seront dignes de leur® ancétres. APPEL DES KURP3INSURGES teinte sombre et lugubre. Un froid exoeuiffli;t place & la dou-- ce température dont on avait joui duraut le jour. Enveloppé dans mon manteau je pressai le pas afin d'échapper & Pou-- ragan, {'Ecriture a dit qnelque part : gus cherche le danger y périra, uun%': moi je puis sgontur par expgrienoe: Qut cherche le froid y gélera. Mal-- gré toute ma célérité, je ne pus me soustraire & un orage augquel succéda une grole dont les moiu%res grelons atteignirent la dimension d'un cauf. Je vous laisse & juger des autros. Mewtri, trempé jrequ'a la moslle des os, jarrivai enfin & ']ln demeure de mon ami B***, plant cette mais tout a coup le ciel p de la poésie & la prose, la . lune t, les étuiles se cachérent, toute la"hature revétit une-- teinte sombre et lugubre. Je vis alargfiu'il n'est pas bon d'étre poéte cu plein air, car la tempéto était imminente. uu dont les rayons argeatineve-- ' unix?'gnider nur:{)u incertains, des milliers d'étoiles scientillamt sur la voute azurée du firmament, offraient au spectateur |'image de ces tableanz enchanteurs peints par la plume 616-- gante du vicomte dg Maistre. Je me aenthh#wrneneomem- (A Continuer.) grande rapidité --On assure que la maladie des pa tates a fait de nouvean son apparition en Irlande et se répand avec nne --Un journal de Paris dit que la Bibliothéque impériale de France posséde anjourd'hui deux millions de volumes tmprimés, 200,000 manus-- vrite, trois millions d'estampes et plus de 500,000 cartes ct plans topographi-- bues, vnes, et., outre son riche cabinet des médailles et des antiqnités. --Lundi dernier, une personno u'gn connétable menacait 4]'nrrcnm ' }a«n eutre les stations lfl', Mitchell et. de dtltford, H.--C., eut Pidée de mon-- ' ter sur le toit des chars an moment du départ du convoi. Le mnnétuflo sauta Yui mome dans les chare. Unc instant aprés le train allait & une vi-- tesse de 20 milles A Pheure;--aussi grande fut la surprise quand on--s'ap-- pergut que notre homme qui avait sans doute raison de cuim?ro d'étre | arrbté, avait pris le parti de sauter a f terre,--eans cependant se faire on ap-- parence ancune contusion grave. Le ' train, qui glissait sur nne déclivité,ne put étre arrété a temps pour permet-- | tre au connétable de continner ea poursuite. | --Connor arréetéa Montréal, comme on sait, d'aprés le mandat d'amener des mnFiltrnts de Toronto, devant les-- quels il était accus6 d'avoir volé $10, 000 & Cincinnatii--Connor, disons-- nous, a été remis en liberté lundi der-- nier. Le traité d'extradition no s'6-- tend pas an délit dout il était accusé. 1Est. -- Le Herald, croit, comme le gouvernement, . que ces messicurs vouaient plus de temps & la cabrle électorale qu'a leurs devoirs. MM. Ferres et Beaudoin ont 6té destitués par le goty »nement de leur emploi de commissaires pour le xéflement de certaincs réclamations relatives anx terree des Cantons de 'me antrefois notre Kosciuszka, ce h6-- ros immortel do la Pologne, condui-- ait nos péres : guide nous sur ses traces ct méme nous & la victoire; conduis--nous pour délivrer dos chai---- nes moscovites, notre mére opprimée, la ,z"q'logne, notre patrie. am e t P MNce " Fréres polonais, au nom de Dicu, en avant ! -- Aux armes contre les en-- nemis de la vérité et de la liberté! " Ux torn ocroornatk®.--Lord Pal-- merston est entré le 21, dans sa qua-- trevintieme année. Sa Scignenrie est née le 20 octobre 1784. iord Pal-- merston a douze ans de moins que son ancien | adversaire politique, Lord Lynhurst. homn'ne, forts par la foi et Phéroisme ; glr cette union seulement nous puri-- erons notre sol des hordas qui Font envahi. _ Donnez--nous la main: vons nos frores paysans ; saisisez vos faulx, vos fusils et vos haches, et nvec le nom de Maric dans les cours ot sur les ldvros. on avant avec nons contre Vennemi l Donnez--nous la main, vous froros nobles ; envoyez vos fils dans nos rangs, et vous mémes, appuyez-- nous de vos conseils ct de vos ressour-- ces, que vous sacrifiez si généreyse-- ment pour notre commune mére, la patrie. -- Vous, frores isradlites, fondus aujourdhui dans la nation ; vous, no-- bles et dignos femmes ; yous onfin, protres, virils défensenrs de la foi sainte, appuycz--nous, -- unissez--vous & nous, priez pour nous, et nous fo rons voir aux incrédules que le temps des iniracles n'ost pas fini, que si Hn Moscovie est puissante plus puissant est.lg' Dign tout--puissunt des armGes ! " Et tol, nutrerchef, sois notre gui-- de sur les champs de bataille ; nons mettons sous ta protection et nous:-- mémes, et nos fommes ct nos enfants. _Conduis nous, au nom de Dieu, sous |Atendarddo Ja Roipe dosscloux, com-- me an notre Kosciuszka. sc h€ nous voulons recouvrer ce'que ne nous donnera jamais le gou vernement russe, qui nous & envahis ; en un mot, nous voulons la Pologne ob rd-- Fnemuth vérité, ltéjm' 9 it6, amour la fraternité,0d nous pourrons librement louer 'Dieu ot élever nos onfants dans la foi de nos r%m Aus sitot que cela sora accompli, nous ton-- drone une main amie et nous pardoh-- perons & la nation ruase, ayjourd 'bui instrument aveugle do nos oppres-- seurs. " Freres, tils do la commune patrie en commencant les saints combats pour la foi et la liberic, nous nous tournons vers vous et nous yous ap-- pelons : donnez--nous In main ; que chacun nous vienne en uide comme il le peut ot le sait, car nous devons nous présenter tous commo un seul V ARKEKTES. Bnffalo, 12 nov.--Une d?hhedw tée de Washington le 11, minait, fiflét,f_',cfi';"fi ici aujourd huri : A u mairg de en c & 0 00 C HAEREAIITO de Buffalo : Le ministre britanniqne Lord Lyons, a donaé officieNlement avis ce soir aun gouvernement, que ta avec ses compagnons une charge a la bayonnette, tandis que sa finncée, montée sur un arbre, abattait de 1d & coups de fasil pinsicurs Russes. -- Sou-- dain le jeane homme --tombe frappé d'une balle en ploine poitrine. f;l '.iennc fille se précipite n]orn de Par-- bre, et se jetant an millieu des onno-- mis, enfonce sa -- bayonnette dans le corps diu menrtrier de son flancé ; on-- tourée de tous cotés elle tombe bién-- tot ello--méme. -- Les donx jeunes ns reposent anjourd'hai Pun'A cAté 5: I'nutre sous le métme tertre, " Les faits de ce genre, si romanes-- ques rflu'ils puisscnt paraitre, so re, nonvellent tous les jours." _' Les premiers mots de la jeune fille furent conx ci:" Quand pars--tu ? ' Et clle prit'la lettre du gonverne-- ment national avec le cufinn d'une fomme prote & tous les sacrifices. I\l'ous partirons . onsemble, ajonta--t« elle." © Quelques jours aprés, les doux jeunes gens se trouvaict au camp, '}I'ont A coup on entend des coups (Ye fen ; Pennemi_ entourait les incur-- is ; ils s'éloncérent tons deux coutre fc(:fluuscn. Le joune hoinme exéen-- 1 sop en en itts té do see devoirs, mais en méme temps il aimait passionnément . sa fancée.. Lo ccour sorré, il so rendait chez elle, quand il Jn vit venir souriante au de-- vant do lui. ui ¢tait grave, clle parvint & s'enfnir 30 in cabane. Lo vacher tourna alors In fureur contre les deux argons qui zardaient les bestinux. %}uux th a rn rumour do la TutT0, #'6tient onché sons lour converture de lainc. Le monstre les frappe i coups do hache ct les blesso fi;mvumcnt puis i1 s'en-- fuit, court & Ta cabane la plus voisine ct y met le fou. L'incuud[i)c se com-- munique & six autres cabancs, ct pen-- dant que les habitants, cherchent A s'en rendre maitres, ils n prennent Phorrible drame qui vient (f:z so pas-- ser, Au méme momrent, le coupn-- ble parait sur les lieux environnants= tous e'élancent pour s'emparer do dui, mais Passassin grimpe rapidement sur le toit d'une cabane tout en feu ot so précipite dans les flammes en criant : "* Je suis damné pour toute Péterni-- to!" Lo lendemain, son cadavro car, bonis6 fut retrouvé dans les ruines. ----On mande de Crascovio & Pagen« ce Bullier: " A Cracovic vivait un jeune homme ?ni stait épris d'ane joune fille de Proszowice. Son amonr était partagé. -- Tont a cour, il regoit du gouvernement national Pordre do rejoindre son _ corps. Hésiter était impossible. _ F1 comprenait ln sainte-- mouk [ --Un événement des plus | tragi-- ques vient de so passor dans Ia com-- mune antrickienne de Nenzig, a doux lieues de Feldkiwch, Un frui-- tler sétant apergn que de ton:rs en tempa Pextromité de la quene do ses vaches était conpéc, gn pposa que . le vacher se rendait coupa\;lo de ce ind fait pour en vendre 1@ crin & un sel-- lier, -- I1 fit part do ges su »positions au juge drinstruction do I{Ienzig, et il fut décidé que, le landi 28 septem-- bre, on prosséderait , & une onquéte! Le vacher en: fat informé sons maing Dans la nuit du dimanche an lundi, il so leve, s'arme d'un> coutoru et so glisse juequ'au lit du fruitier, et, dun seul coup, Iui coupe net lo gosior-- Iinfortuné expira & Pinstant, L'ag-- satsin voulut en faire nutant & Paeso-- cié du frnitier, mais il manqua son coup. . La victima so reveilla ct se mit en défense, et inalgré sa blessure --On vient de découvrir qu'il so trouve dans la Prison d'état du Mnr" land un homine dont la durée do in dé tention était expiréo depuis 12 ans Co malheureux a 6t6 privé de In li-- berté pendant 19 ans pour uno offense pour laquelle il avaiy 6té condamndé & i années d'omprisonnement, --M. le maréchal F ree « cooar-- qué samedi soir, a ?N.w--York, mais ur prendre assitot lo c' cmin de fer syl;lbnn_\'. I1 a voulu mettre & pro-- fit In relacho accidentellequi l'a athe-- né a New--York, pour aler voir le Ni agara, Pendunt qu'il accomplit uott excursion, le ?'znama fait sou cha bon, de manidre d so trouver prét a reprendre la mer aurctour de marce chal, Le départ ama lieu selon toute apparence vers le milich do la semai ne. Nouveltes de la Guerre ourrier dos Elats Unis du 9