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Le Courrier d'Ottawa, 5 Nov 1863, p. 2

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a'envieat point d'autres champs <de , c h-pg.'?pdu -'ot_rg-l adpimatto ue4 apes wh ' BUTS : ©UTTUEL €5. C l'lunn_!gu ¢ bl Es whatrer." to To dethrmeatighy "@uoore & plus d'une demi--licue de F'en-- droit on uommanml; premior feu: Nos trumpes de Ia Marine et nos Mi-- seaux, et les chemins W ticables par is fonte des nelges, ne Aear per-- mettaient point de marcher en ordre. hdlnuqinvqn,md G'bl:tul troupgs TW wo des ennemid, &> prem bataillons, et sans avo'r fr le umqlT les ranger. L'artillerie de ennemi ne manqua pas, 6n les voyant paraitre, retentir & nos oreilles. 'Jugez par la de notre situation ; l'intérét de ,:. na-- tion et celui de nos proches qui étaient du nombre des combattants ; cet é!ll' de souffrance no se peut peindre. M. nocre _ Grand Vicaire (mguurd'hui' notre Evéque), quni no souffrait pas moins que nous, nous exhortait & sou-- tenir cet assaut avec réu}gnation et soumission aux ordres do ieu;nfn'-u' quoi, il alla so reinfermer dans |'E-- lise, pénétré de la plus vive _dou-- Fcnr, oiu, comine le Grand--Protre Auron, il courut au pied des Autels, et oh faisant monter Pencens de sa prigre jus'qu'au trone du Tout--puie-- sant, il demandait avec confiance an Dien de toute miséricorde d'arréter ses coups et d'erurgner le troupeau qu'on venait de lui confier. II se le-- va plein d'espérance, au milion de Naction, pour wtramroner sur le champ de bataille, malgré notre op-- position quin'était pas sans . raison ; car il cournt les risques.. Ce qui ui fit prendre ce parti Etait, nona disait-- il, qu'il n'y edt pas assez d'Aumo uiers pour assister les mourants qu'il croyait étre en grand numbre. | rangé en bataille; elle fut obligée de fuire halte, et ne tronvant pas mr- rain propre & se déployer, il n'y ent que la préwidre colonne qui fut en pounvoir do combattre. Le choc me 'doona & 'quelques pas deQué-- bec, sur und hautenr vis--a--vis de notre Maison. I1 no se tirs pas 'un conp do canon ni de fusil qui ne vint lices, plus au thit des chemine, arri-- verent & tmplmr soutebir un ré-- giment qu! se faisait tailler on pidces plutot que ' de reculer. 'Ce fut alors que lo combat &:rl.nt l{uArifl;.xl et d? munflum. me is avait ':gé & mame de so choisir l:'temin le lus avantrgeox, il ne le mangua gu. Nuu?'::uz. en arrivant gno S'attendait 'pas & trouver Fennemi Mr. Dongm'\'ville, notre Aumo-- nier, plein de zdle, y voulnt snivie. U n'était pas sans inquiétude ; M. son unique frg:, et plusicurs de ses pro-- ohe:fi étaient dans Parmée. s enrént la consolation de voir Pennemi tour ner le dos et prendre la fuite. _ Lisc-- tion avait duré denx houres, Lava-- lour et 'intrépidité du Frangais et du Canadien repousedrent -- Netmemi de la position avantagense oi l 's¢ trou-- vait. Cependant, on le hignait tou-- jours battant sous le canon de la Ville; nous demeour&mes maitres du champ de batatlle, et de toute leur artillerie, et fimes quantité de prisonniers. L'en-- nemi, renfermé l& nosant plue parut-- tre, nous ponvious bien (~||:au!er vie-- toire. Nous Pavions bien gagnée. Mais qu'elle nous codta cher, et qu'el-- le fut arrosée de larmes ! + on de la richosse ; ie m etieae puint dhatree cthangs age t¥" Toute communication que Fon nous adressera par la poste, et dont les frars de port ne seront pas payés, sera refusée, KcGourries b'O®ttaba. A nos lecteurs. . Ayant commencé cette s--maine & fave le transport d'un matériel d'imprimerie que nous avions,Rue Murray, il vous a falu donner double occupation & nos ouvriers compositeuis; clest pourquoi nous ne sortons qn'umpoden'n'ne-leuil.- cette semaine ; elle coutient tout prés autant de mati¢resa lire que d'ordinaire, moins les annonces, Partic de Labour. CARLETON V8 RUSSELL Les agricnltonrs de ces deux Comtés rivalisent Wmm dPambi-- tion. . Ils nent dégré a dégné rnpu vera le Au mayen le leurs sociétés 'd'agrieultures, ils Jeudi matin, 5 Novembre 1863. J. K. Dorion, Redacteur, NNAAAE (A Cont.muer.) qui en _ mit Carleton et Rnsseli et les généreusx e'twyons de cetts ville en accord»nt vette partie du pays qu'ils ho... La Mrnlo d'= ':&m? qui% s Kin moug q avan Itoaglh pour mo avait IKussel r rival a éte es intéressante. Plusiour. compétiteurs voulurent se disputer l» ;.cwh}, mrio lnd-uqlui mix&re&u auvan ue 'attentiondi public :pumlm Mc. Gulul et PaoL, le ler. represantant Russeli et le 2d, Carleton, _ Les juges décidé~ rent en faveur du premier, guerriers quia conquis mille sur un uh.?mp de bczuille. 2 Le Bazar des dames [rlandai ses pour le sonlagement des pauvrer s'est ouvert mardi. Incrnomm--Dimanche vers les troir heures P. M. le feu se déclara dan« une maison degaiern & la haute ville. Cutte propriété appartenait & Mada-- me Austin, et était occupée par M. Dovear de Ia maison Brovan, buc:u waw ®t Ore. Nous regrettons d'ap-- prendre que ce Monsieur n'était par assuré ponr le montant de sa perte estimé & $1200.--tandis qu'il n était assure que pour $800 a P'asaurance d Londres. ' ~ Honneur done & Ruserus.; repre senté en chambre par M. Bxur. _ Le citoyen agricultear qui sort vic-- torieux aprés une paraille lutte, nour parait & nos youx s;lul triomphant e plus glorieux que le rlu E'nnd des mrfien auia conguis mille lauriers IW Comme nous le prévoyions L. A. Grison Eer, a été nrmméylwllec» teur de cette ville. Nous ne pouvon« trop féliciter nos conseillers aur cett« nominat'on, . M. Grison se rendrs digne en tons points, nons en som-- mes persuadés de la confiance qu'ont en lui cenx qui bientot seront appe 16e & rendre compte de leur conéui-- te dans notre chambre municipale. De nouvelles élections auront lien prochlineumnt: et il ost du devoir des électeure d'étudier les mérites de-- échevins comme des conseillers d« leur quartier respectif, afin de savoi: a'ils sont digtes d'étre de nonveau acclamés élna on a'ils doivent dtre rem placés par d'autres citoyens qui se-- raient plus en état de rendre justice aux contribuables. L'on parle de M. M. Friel, Lazurc etFellowes comme candidats & la mai-- rie pour 1864. _ s D'aprés Dame Rumeur la lutte sernit trs chaude entre ces trois Mes viurs qui comptent tous un grand nombre d'amis ct de partisans. '--&Mh-fih&lfi «vorat distingoé de Toronto. 1( % weur des mombre« de shinistdre Ca ;ni.-h--fii;'b;'".l;fih _CartiersMe fi;'-':"a i im 1 Ruveq on touchn et on i';.'.;'i-'u wussidt qul farenit en i ols s im avaatqu'il Olqu.-.'.h:. es *4 --Dimanche soir, a Kingston, Venillez accepter une vue photagraphique du monument der-- nigrement 63{6 & Québec sur le che-- min St. Foy & In mémoire des braver de 1760 et dont l'inn&umion eut lieu le 19 du conrant. monument qui a cofté $10,000, est en fonte: de fer, avec base °l:£im de taille. S haniteur cst de pros de 60 pieds ;la sta-- tue de Bellone qui le couronne ayant :?6 présentée par le Prince Napo-- don. nois, phot phe do Québec, gu'a bien yonll:,ml adresser M.Chs. fldil- large, Phabile architecte de ce morin-- ment, maintenant résidant & Ottawa, Cette vue ost tres bien prise ot thit honneur & Partiste de Québec ; elle était accompagnée de la note suivan-- Monsieur. --I! vient de se former a Ottawa une nouvelle oompnfinie de yolontai-- res ; elle est en grande partie com-- "-& dartisans qui travaillent pour . McGreevy anx hatisses du Parle-- mert, Les officiers sont--le Capt.. J. C, Marphy, le Lient. Joe. . Larose et I'Enseigne Che. McCanon. nol hotographique du monument de-- m_|::|g del 17%0,_ prise par M. ih'er- Nous accusons reception d'une vne NOUVELLES LOCALES. rig digues de ces gouveaug Oih--! us *" jours seront, up-- ltqfiiir'el':'::ur'e d'lvug Ottawa 29 oct. 1863. A Monsieur lo Rédactear du . "Courrier d Ottowa" Architencte du Monument J'ai Uhonneur d'dtre Votre serviteur one. BAM.LARGE dee d i2 ce i) sin 9n we remire a mt 'whten fourbillons, 18 unture est tris te, mais il fait bon dane mon logis, Dogtic ce que cous avez de trop ; jounes filles, vendez ces dentelles inu-- ula,dc!u rulu:;:u, 'enseigne de ;du(.l; urgueil; 'en Echangeant tuos ces coli, thets, vous nohrlnmvodi chaufferez des dtrés créés & I'image de Dieu et a i1 . votre--Autrefois aux jours dee grandes fétes de famille, tels que ma-- evige, naissunce &c. on n'aurait puint <ru_ les célebrer comme il faut, si on v'eft point fait la charité & Paurore d'une de ces fotes. . Imitons done cet usage tout ancien 1}u'|| péut étre, au risque im&gme de se faire dire que Pou est joliment reculé dans see habitudes. en pétillagt et bien gai, et je me lemnbrunn fl"fi cst audei & 'Wmu' in, af Tes petits 'enfaiits ramamssent ll: miette» les orgles"--coththé tit Victor H ugo, pour' appaiser leur faim, si la mére pleare sur son nonrrisson qui lui arrache de' son scin la dernidre gout-- ce de son lait, et je me dis : 'Dumnes riches I'sumoue est sour de la pridre Je viens de lire un nouvean petit journal "en partie double"--frangaise et anglaise, qui vient de paraitre & Québec sous un titre un peu chariva rique--"La Sore"--Vraiment, voila «0 titre assez funtaeque qui me rap-- pelle Pancien "Cificor" quin'a véen qu'un jour, Peepace d'un mating ou ln punvre Grfrr®, quiest morte ue trou-- vant plus de roses & butiner--défunt Porromntetru® qui est décédé en dor-- mant et bien d'autres petites feuilles le ce geare 1:'! se levaieut de bonne heure et de bonne humeur, et qui le wir étaient attaquées d'une apo-- plexie foudroyante... La Scre, mon cher Courrier, est--ce que ccla ne dit us misére & la veille d'eutrer dane notre hiver Cunadien; ne vous seim-- ble t--il' pus er.tendre les cris aigus de a scie sur un corps quelconque {....... Mais entin la Scre a eans doute une mission & remplir...cest do scier ceux qui scient le nonde dans la chainbre, aors de Ta chambre, partout.......tunie | est & espérer gu'dL épargnern....ic eau seze, erinotine &c. t alors j« ~wetWpresserai de la classer parmi lee Scies remes ou Syrénes on scies ron es bien dentelées & son godt et & som 'hoix--*"Dis--moi qui tu Scies et jo to lirai qui tu es." "tin que moi & l'instant que je trace Le bombardoment de Charle ton ent re-- commen: 6 aves une uouvelle vizneur. Ler yévéraus du Nord, se voyant dans Pinjpo--s: wltd de rédu ré les forts, out commencé a jeter des bombws »ur la ville, pour se venger oar cet mote ange) inhumaine quinutile, dee échece euccess.fo qu'ile ont es=uy ds. Charlepton. 30 aujourd"hui.--Le bombar-- dement du fort Sumter a 616 plua vif avjour-- Vhui gu'il o'a jamais 616. &- -au-mJi soir & jrmfl soir, 4250 mortiers de 16 pouces et dee boulets do 400 livres ont 616 Inneés con-- 're le fort. Nous nvons'eu que 7 blowés, Ce soir, in buttenie de Commings Point, a onver son fau au ®Angle IDO"'-"(sI'I fort, qui parait étre le but ie plus saidant, Les baiteries en-- nemies engazdes, sont celles de Uregs et Wauner, les battcries du centre, ot de Com-- mings Point, et 3 monitent«. New--York,tor nov.--Le Brig Santiago.1part e 6 octobre, eat arrivé ici avec 100 réfugib« de Santiawo . de Cabetio, Tes insurgés 1+ out attagué en route et leur ont tué et blessé 1000 & 1200 hommes. De nouvcau renforts. portait leur arthée & 4000 hommes, ne le> ont pae empéché détre renformés duns in ville par'd peine pla« de 1000 insurger: ils »"ont presque pas fait de ré«tince.' Fo:cér ensaite de se retirer dan . be fortile, ont pillé e mopndié i ville. . Un cermun hombre den-- tre enx a%embarqua ponr St, Domingue, ce qui rédurs't In gamnison d 1500 bornmes, Fort Munros, 3 nov,--Le Whig de Rich M'I[l.d t.fluivu[ ll -Mphh: survante. Portland, 31 cot.--La fonderie de cuivre de BouneletCie., a 616 detruite ce matin par as incendie. L'armée de Lee n'a pas poursuivi le mou-- vementen avant commencé 'mlb': La di-- vision qui a repoused ln..fa ert rabattue su le Rlpql:mnut. dont elle occupe encere to 'rive " gmucb. L' Inquirer de Pivladelphie wvoue que engazemunt do samedi a coutd beaucoup de wat.rivl 'aux féddraux, entre nutres 1,500 chevaux. .L méme journal se [laint que les consorite du Nord désertent an o er ooo ane es a #a conscription vendrait ~'£ tm rll. defferson Davie. I1 at confirmé que les contédérbs ront muitres tu 'ch--min de fer de lzopu et Ohattanowa, _ 11 «'enagit que las conyoin de Durméé féddrale«boivent dactire an ddtour de '-ub-."- avant '-nh-: cames Lo' ivent mna--m h ce it de :m millos, -,II-:: trente nl.l-fi u'@ foute défoncts at * thon-- 016) Te mikinte Mo on on C in domire . tion-- 6t & 'mdine dJun revirement de fortne il lbpnla 'a nowvelle que ia giruison :-';l: 110 e, reuforcée de ufin hommes, a retran'é vers Plata aprés !a destrction de la ville Nouvelles des Etats--Unis. Marm 1o» Jan« Pordre suivant : h M&hwmdu:& souveraine, _ le \pringu--épous .Lh?n-u ved le ro: de Ha-- novre, lo roi de Wartemberg, lo ro: d'"l alie o in dn t ete I is dJuo--Haxe--Meiningen; io-- due -- do--Sax-- Cobourg at totha, le prince Fréderie--Guil aume de Prusse, le marquis d'Exter, le comte Brownlow, pus de nom, le marqui= Camden, le comte «deCiaradon, le d 0 de Northnmberianst, lord Palmeston, le inarquis de West ininister, le duc de Devonshire, le comte Derbo, le duc de Semerset.iord Shaf-- tesbury et le comte Grey. _ 0 Coté du prince : le prince de Galles, le duc le Cambridge, le roi des Belges, Pempereur 'les Frangais le roi de Prasse, le duc de Brunswhkic, le duc de Meck!enbourg Streiitz u price Louis de He«se, le duo ue Buc-- vieuch. pasde nom, le marguis d'Abercoin, le marguis d'Herford, ie marquis de Nor-- manby. le comte de Carlisle, le comie de Granville, le due de Wellington, le maigui= de Harowby, te due de Newcastl«, ie comte Hussel], et is comte FitzWilliam. evces, ut, d'aprés lo nouvel auangzement, --Le gooverneur en conseil a ordonné Pé-- manation d'une proclamation dans le but Woflrir une récumpeuse & crlui ou ceur qut découvriront 16 meutrier de faa M. Gibburd agent du gouvernement dans les difficuliés des llos Manitoulines. Tant mionx si cet'e Jemarche peut faire décuuviir celui g::i sest rendu coupable de ce crime singuliéement mystérieux. La fameuse jument Flora Temple est morte & Belfust (Maine) ie 19 de ce mois. Elle uvait couru & Bangor queiques jours aupara-- vant, et avaie pris un thume anquel elle a succombé. Sou proprictaire évalue sa perte a $16,000 c --La batisee ot se trouraient les locomoti-- ves du chemin de fer Great--Western, & Hu-- aiiton, a ete compiétement détruite par le fen le 28 courant. Kile contenait neufengins, que Pou réussit a sauver. La perto est d'ou-- viron $2,500. --Si Pon en croit le Globe de Londres, i serait question en Augleterre de frapper une wouvelle pigge Pargent anglaise, pour Pusa ye des colonies, et dout la valeur sera de 4 schellings ot 6 deniers. Le bruit courait que la France sollicita't vi-- vement Pexpulsion de -- Rome du row de Na-- pless 000( 0 2 ul s '"I'-unpéralrica de« Frangais a 616 reyale-- ment regue par la Reine d' Eepagne. Le trés nuble margus dAlia a tiré hier s ir tro.« jeunes gquna-gd cuillaiont _ de» fivits sur au tome ; tha tud Pan do ces enfant« et en a ble«s6 un autre, . On ni apprend qu atroce arr tz.--Un Monsisor do cette ville, dit le Witmess de samedi a recu une witre datée d'Ayr, Ecosse, 19 octobre, con-- enant en substance ce gui suit : ies autorités on . mis le nob'e lord xous bon-- ne garde ; guuiqu'o« ait raison d'apptchen-- der qoe Paffaire soit éfoutfée, . Car on allé-- 810 z,u'il n'u pas tout--a--fat ea raison & lui a sest ruppelé de suite apré> outte uffurea qu'il y a environ | dix ans, le marguis Ab in coupa, de propox délib6:6, la gorge a un che-- vreuil favori, sous les {:x des personues éplorées qui avaient in bete sous leur gaide. "Une Saur de Charité est morte du ty-- phus A notre hopital mlitaire de Mexieo' 01 eile soignait avec un admirable dévouement les malades de notre armée. Une autre Sour de Charté a également succombe & in fievre jaune & la VeraCruz, victime, elle aussi, de --a preré etde »a chari6, prés du chevet de ns noldats. Ces doux décés out excite dans le corpa expeditionnaire et sur Pescadre le> mlml'-p:hlwu- les moins équivoques du res-- pect, de Padmiration et de ia recounaissance q-n'in-rnmn & tous les services si précieux et partois si _ dangereux gue rendent, dans tous nos. établi--ements hospitaliet«, lex di-- {men et courageuses Filles de Saint Vincent de Paul." _ --Si Pon en croit le Globe de Londres, i\ xerait question en Anylcterre de frapper une nouveile pidce d'argent anglaise, pour Pusa-- --11 parait que la crinoline peut quelque fors sauver Ta vie. . I1 ty a pes lougtemps, en Angleterte, une femme voulant se dé-- barrasser de la vie se jeta dans Ia manche, mais grace & »a sritolibe olle sest maintenue sur Peau qui chanyea redicalemetit ses iléex de sureite et elle fut bien henreuse guaud un passant vint & son secotrs. _ Si les tribmnaux ue font pas ,mlice:le ce marquis. ils auront peut--étregeucore occaions Je * rapporter progrée."" nouveile pice d'argent anglaise, pout P'u ye den nr;nw_-._ot':mul la valeur ':-u de schellings et 6 deniers, --Un journal d'Angleterre, estime que in récolie du bl, cette annde, word aussi conni dérable que les donx réovites de 1861 vt 1862 réunies. --L,e detnier recensoment fait en Angleter-- to a frévélé une nogmentation nomer considbrable des catholiqnes. h-m"': é'rangern mentionnés dang J+s rapports, i y Io m Hrpmtnine tholes nacguines seul uner «e la Misériconte, t0utos fm'?:ni-u' saut une, 7 moines ot 127 prétres. --Le Messager de Jolietie annonee ia mort, arrivée & la paroisse de Saint--Roch de 1PA-- chigan, comié d i*Assomption, de M. Ama bie Genard, ll'in avancé do 100. ane, 2 --i-adfi'un. défunt laisse une épouse 4g64 de 97 ans, 11 entante, 104 petits enfants et92 arriero--petit« enfants. M. Genaid etait marié depuis T6 ans col'6 18 boisseaut de be--i'inde dans un domi--arpent de teramin, on 150 nfinots d'é-- _ ----On exhibe actueilement & . Halifax deow enfants, Pon do six mr"lh. Pautre de quatre ans pésmat 120,Ibe. --Las journatx de nous appren-- nent Parrivée, "dain um Te fave n-- lnstres viniteare: l6 Prince d'Aremberg et le Comte de Chussul. _ La Presse nous aprend que ies travaux dn --Un.cu'tivatens da North Shefford, & r6-- --On lit dans la Patrie: FAITS DIVERS. &t fle de premiére quaine 7--Allez chez M. Cus. Leraok marchaod tailleur. Lékcore pe mépecise et be currvaote cataui--ung--0e nourakal.--lonverture des cours de iPEooile de bledecme et de Ohi-- rargie de MocnGalw ou lieu mard: & 2 houree lpl'%ivuldl, Le discoura douverture a eté prononcé par M. le Dr, Beaubien. --Avez--vous besoin d'uh'hflo-:l'n:"lu- tomrne; duntr ut "dure at fle de mmmm chez M. ware cavse ckurBac.--Toot ie monde sait qu'en Augleterre, a Pextiuction du dermer tejeton male dPune ancieune famille, le ti-- ie revieut & la couronue, qui a ie droit on 'Invnr comme bon in: semble. La rei-- ue Victoria, usaut de ce privege a m chaque fois qu'elle est sorti¢ te laGrande-- tague depuis ia mort du priuce Albert, e ti-- ue de duchesse de Lancaster. Mais it parf« que ceite pretention de ia Reine a roucou-- tre une forip ipn de la part d'une per soune ?d, lad & raison, prétend . avoir droit, du chef Tesa mére, non seulement au te, mais enocored Papmuage qui on dépend. Aussi derniécement le Aormimg Star publi-- ait la lettre suivante : " Monsieur, Sa Mujosté la reine Victoria, ayant peodunt som voyage sur le coutinent, u>urpé (car c'est une vésitable usurpation) ie nom et le titre de Juchesee de Lancaster. je suis forcée de la dementir. . Jo suie la seu-- le persoune & qui ce num et ce titre ai ut 616 conteres par le droit do naissance, par ma mére, feu la princesse de Cumber!and, du-- chosse de Lancaster. *# navi®ta, princesse de Cumber-- land et duchesse de Lancaster." (Conuue sous le nom de Mis Ryves) @163, Keatish--to wa--road, N. W." Queiques jours apresecetie publication. M Wu'fi Cminghun. nuupbm du parle-- lement, adrewsait an méme journal une au-- tre letire, que nous reproduisons ézalement : " Au réd4cteur en chefdu Stor. @ Mousiear, Puffaite de Mre Ryves, dont les droits au tiire de duch: sae de Lancas-- ter " ont é16 ctailis d'une manibre évidente, muis qui, pourtanty a vu jusqu'® on jour sen réclamatious repwu&a:fu de misérables argution .ézues ast une affaire des plus graves wt des plus peuibles. 2o * Su mere a 6té reconnue pzr le feu duc de Kent comme sa niéce ; S. A. lui léegua inéme une somme considérable ; mais les reclainations faies & ce sujet par Mme Iy-' ves out toujours eté évitées avec soin pat la. vourouny, retranchée derridre . les eubslités de la loi. Mme Ryves uuruit été re lement couda.onde & mourit de farm, si un étran-- wer liberal ue se tut intérasse d elle, ot no Pedt comb &« dus prouve les plus éclatan= ies de son iuépyssable boute. De tous lem cas souleves detuiérement devant les Cours de justice, et ui prouvent in ditficulté, pout ne pas dire P'impossibilité, oi 'on se trote ve de trisnpher J- la couonne pur la v léga ®, il n?en ost pas, & mon avis, de . pl m m Ar i@ux ni de plas cclatant. " Les details de I'ffaire sont conteni dans une brochure put lige par M. Frooman «de Float street, et je o cruius pus_d'étre in= d soret ou «disant que »ir Firz oy Keiley prés pare une pétition que Mme Ryven tran=met« tra au secretaire d'Etat de Sa Majesté char» 26 de Piutérieur, pour appeler Pattention d ministre »ur les mqueurs du sort auquel on «« condamne et sur la legitimité d'uus partiey au moins. de ses droits. * En livrant cette malbourense . affaire & la publicité, vous auss1, monsieur, vous au= rez seivi les intéréts de la justice. & ** Je suis, monsiout; voure dévoub servi-- teur. Enfin le Court Chronicle, intervenant & sow tour pub iait Paiticle suivaut sous le ti~ tre de : la duciesse de Lan as er : ** Neus devous appeler. Patteution sur une lettre iusérée plus tiaut dans bos colopnes, et qui nous e«t adressée par M. W. Connin-- wham, Phonorabie membre du Patlement pour Brilu'hwn, relativement aux réclunin« tiens de Prifortunde Mme Ryves. | Justice a lleMq!emr é16 refusce a cette femme flni demaude les houneurs et les richese«a iynes du saug royal qui covie duns see ver-- new. _ Nogw avione examing avec toute Put tox ion désuable les documents relatif« & ortte triste afuire, et nous ve pouvon« com preadre comment on a pu laisser cotte dame passer se« journ dans la pauvreté et dune Poubli. _ Mie 0 ive Serres, mete de Mme Ryves, etait ln tlo de S. A. R le due de Cumberland, frere de George 1II. Elie waura t done jamais da étre dépouiliée . du tire et des houn nrs qu?elle demnande_ au-- joard 'bus. . Nous nlignuion« pas les difficul tés qi entravent . la -- marche de in justice ; mais nous croyous qu'on va sous pen légaii-- ser ia déclaration de la I:gitmite de Mme Olive Serre«, aussitot guon aura les fond» nécessaires pour payet les frais exigés par peo tard."" + hn-.o----om les pi'n:'n- tives au nrocés qui va probablement: #?ou-- ninln-mlulri:mn,ann trordron« nos lectgars su coutant des diverses péri-- péties as owto cause, qui négessairement metira on tomidce quelques fairs duriees de _ Sir Fitzroy Kelly ot le do;:nv Philli-- mure 6nt, dit--on,prie sur eut en a r aux lribul;nux. 'Pl';:ul donner une idb:':l':- droits de Mine Ryves, nous allon® raconter une histoire assez singuliére qui coutt la ville depuie queique temps. Kent ne serait venue qnaves peine en An-- gleterre, au moment d'acooucher de sa fille, aujoard hat nowre bien--airnée Reine ; ts duc de Kent était & cette epogne dans des om barras pécuniaires cxu:i}n, et ta »ouverai~ ne actoeile dn Royaume--Uni .F"i' va le jour dana un aotre pays» que . |'Angleterre, si Mme O'ive S rres n"wit prété quatre couts Ivres & 8. A. R. Mme Olive Setres ext mor-- :,ladnchu«-k lm'nn-i. h':old. iete est aujourdhor ¥re ot n« lnw::.nin qu'on loi n-.c."'f- honnears dus & sa race; la fille d : ia so. onde ost assisse sur le trons ie plus puissant de in terte. © On a fait counatire dernidrement que cette pauree Mra. Ryves, qui est déja en m-mmtn est wdm« encére privée Je« chosts le= plas nécessaires & 1n vie. _ Siefle mourrait dane ont état, il n'y a pas de doute gue tout le monde poureginit :'h'm?:n- il sorait p-r-d-:n " Selon les on dits, teu in duchesse de " wiLLLAN : Comtnqiran."" 'PAngiowrre. _ | Tonu par In'dore Champagne. A Ottawe ie 31 uitimo on in Cathbdrale de cetie vile par le Rev. Pere Dandurand V. G E. W. Hicimax, marchand(de is maisen n SR t PRAERTITE TE TTE Hhlotan o( B cher a Delle Ma 1« Eowiu® Riogas, Siema flls do J. 8. meura tr c _ --A St Leon, lo 22 du mois dernier, par le Révd M. luc Auby, Archi--Prétre, J 0 w. Bettiee. scs, d'Obawa, fils de teu o.3 rerrre®' gor--, a Mademoisalle Manc--Louis# Les personnes qui doivent au Courrier d Ottawa pour abonne-- ments ou annonces, nous ol lige-- raieut beau :oup, si elles pouvaier.t nous faire piurv. nir le montant de leur dette dansde plas brof délui possible, Nous ferons toujours nos effo't; pour rendre note jnurnal de plus en plus istéress int et pour en amélorer la partie matérielle; ainsi nous. avons le droit d'espérer que Pencomage-- ment de nos sourcripteurs ne nons fera pas défaut, Bergerun, de St Léon. Avis.--Il y aura assemblée des membres de I'Institut Canadien Frar-- gais, ce wir&:ur des affaires tres in portantes-- membres sont priés de s'y rendre on foule. QerBzc 9 Octoser 1863. AVIS estparle présent donué que 90,-- @00 acres de terre dans les 'lownships d Artemiaa, Derby, Earemont, G! nely, Hol-- 'and, Me'ancthon, Normanby, O--prey, Sul« livan, Sydenham dan« le comté de Grey. H. C. seront offerts en vente & Pencan au B reau de Pagent ré--itent, Wim. Jackson Ker. Dur-- DEPARTEMEN 1 ham, VINGT HUIT de JANVIER Los deor c«nquiém;w en argeit et le reste en trois paieme.--ts annuels, avc intérét. L'on p'oul -Ig;ucmor les listes des« lot« en ='adre--sant an Département on & Pagent des Terres de la Couroune. AVIS,--Revues péiiodiques; Magaz'nos, Livres de fan a sie, Nouvelles, Paper es, Livies d'k-- cole, Livres pour enfarts, Chan-- sonniers, Almanachs, Estampiles, le Courriee des !,'Iah-bnfi, _ Le "Courrier _ d Ottawa", _ et tous: les journaux francais et anglais de Montréal et de New-- ¥ork, & vendre au Dépot de jour-- hanx de Tecesegors Turczox. HOTELO!UY CASTIOR, Ottawa 5 nov. 1863 DES TERRES DE LA COURONNE. Rue Sussex Oitawa. ville, ie 20 uitimo, ia Dime de sb6, lustitutear,un gargos ot ane CONDITION® Par ordre A. T. Rhéaume Win. Mc.Dougall Commuseaire. 8. G. C. Te

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