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Le Courrier d'Ottawa, 22 Jul 1863, p. 2

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En effut i faut admettre que nous Evol:: dane 'lo. rangs de leh puuoi es homm i jolet u ({mnne le Wfl dvmr?n- ) 'politique, sont :semblabies : u_'a- ¢ 'n.so,qnelnplaisont qu'k déverser ndopt lear 'ctrar Oat--rempit; 'qut 8:1 profit mlmk poar en 1 ir le pouple, soit pour coux qui -':; fon L ooonarniequnie noo buld" vains politiqnes Iaisse conter & flots de leurs plages 16 fie! et ie poison du maie & la, qg !!'uflb, ui dund ley mo-- ments les plus A:flth.qu swuront faire taire lours mwm»o'gmn&n & force de raison, de ion ot de savoir vivre ferunt respector toute cause,. raffermiront les anciens amis et en foront de nouveanx. Quelie est la mission de--la presse t Cest velle d'instraire le po:m de Pédifier &u un langage m io ot simple ve car vérrté anppw"r'flp:c.'}'u Mlm comme un trait do lumidre ; cest de défendre lés grands intérdts de la so-- c"&é,d:l"hqflphwdollmmh elle que 80 a . devoir .t.m les discussions sur le terrain de Ia Rarson ot non sur celui des peRSONNALITRS, | ns Voild mrlne so dit le lectour, & part lui, versé qu'il peut étre danse les sciences politiques 6t Ia' comnaissance du monde. ... Il so dit: *Bi nos journalistes se trouvent dans uune position telle qu'il n'y ait pas pour eux d'autre alterna: tive, d'autre devoir que de faire.an gouvernement une opposition gouse tante ot systématique, opposition gur-- tout, opposition partout, (:rpo'itiun toujours; si les lpolngiotu ie ce gou-- vernement venlent & tout prix se constituer sos défenseurs, au moins a'il a'agit do détraquer ou d'améliorer tel ou.%ol systdme de gonvernemont qu'on le fusso convenablement, en hommes bien élevés, non pas en don-- nant des ;ouflluui son er:nemi, e:nul:' traitant de hpum ou de canail mais on tachant de convaincre son adversaire, et en prouvant & son lec-- tenr pur des faits, par des données certaines, logiquement cnfin, que Pon a raikon." tience, sous l'influence pernicionss de w"e Ton a dans le ccaur con-- e ou telle individualité. Ici intérdt offensé méle aux objec-- tions des personnalités qui ne sont as des raisons; 1d, on fait un dieu g'un chef de parti que on 'troit ou que on proclame infaillible en tout et partout, _ 4 ot E::wut. P épithdtes les plus grossidres sont deveWo mode. -- On croirait manquer *&ux convenances si on nc s'appelait pas, Jiow, Aypoorite, masé-- o U Hchiui df sauet Pnd t ts indadiirt Sssmc rafia, voire mdme des termes encore plus triviaux qui font monter le rouge au front du lectour qui juge impartia-- lement dea choses, Le journalisme franco--canadien quelques exceptions Jréo, a '.onlgouu ou et. continue d'avoir une tendance & s'attaquer aox. hommes sans pres-- que jamais toucher aux principes, On empoigne un homme au collet, on lui fait seul son pr6CB8, n le con-- damne--sans J'gcouter, ou on le juge dans un moment de colére et d'impa-- Meroredi matin, 22 Juillet, 1863. Mais,encore une fois ne Inissons pas refroi= dir cetta ardeut ; atlons=y de cmur : et vive» ment ; 1e »ucois, ot lo sucods Icwg'luleq-- plet est an bout.--La Revue Agricole. KeWonrrict 1 'O®ttaton sommes cofi¥aingh qu i! nc #e trouverait pas duns paroisses I horardé Sepibla de retsest e danter de obten : Que les promotoars de I'courre de>ia colo-- mt P ol lt Bak Om mte on Tenoongs n s mwfiofi:fi , or nuue m-wu.'": grand mouversent'de qui temaé actuellbment tout:le pays, le courounement le plas brillant. + ~ * . to somme réumie J. K. Dorion, Redacteur. quil ne #e trouverait pas compromis qni emporterait le saori-- fice d'aucune des .de ce 'mm dans hfi%fiufl' son :'g:o politiqne an montant an P hx pais M Slzotth a on ds coll. Bas--Canadion ve saurait héeiter sana cesser d'dtre u&tfio'fl"u-dn' nir un traitre. dong noug aommes également sir, --c'eat que M. qui n'est pas un homme & pas plus qu'il n'est homime & provoce tiona, no , Vous dtes un pillard dit Pun--V. tes un voleus----dit lrautre, ot .iuf: wite. A chaque ligne on lit ia haine mortelle que se porte entre enx des hommes, pourtant de méme origine. nsei nous vus:m sonvent, disait I'un des vétérans :In.rre-. canadienne, M. Parent, cee haines a'élgver entre des hommes publics d'opinioné diffe rentes, souvent sur des questions mi-- neures etpassagdres ; ell nt des chofs anx pnhmnhmuin communiqhent aux masées, ot rendues M i! fant sonvent 'des flots de namg pour éteindre ces tertibles passione: Le Cunadien tranche admirable: ment bien In question qui a souldvé * cctte tempdtoan rou'io Poncrier 1" Duns Nétat mtinl des eaprits, ditii, tout nous parait irrésolution, ton sur ln cause & embraséer, mais um' parti a prondre. Nots serions bien lo.mpkhédo dire de quoi se formeront partis \&ng ot en com bien dom il faudra les clas-- ser; maisce que nous :savons mieuz, nebeintitquecy perimirer se ue ot, sur cor-- taines conditions lhmvu, nul [' Que le menu fretin du pi"qu ne songe qu'd recommencer, de sottes eq&rnnees sur une 'm. pro buble suivant lni, de M. Sicotte, cela se conguit: mais que les amis de M. Bicotte dontent de son intégrité com-- me homme public parce que le pillage lui fait Pinjure d'essayer de e 'ravaler & Ini, nous tronvoms 'cela peu goné-- renx & son égard, Au liou de croire facilement aux fautes & venir, pen-- sons done plutdt aux services paseée ; et de ce que M. Cortier m'a ni prin-- cipes ni patriotisme ne cumtcluons pas que nos wmis lui ressemblent." Ces considerations ng:s nmhoned: ce remuement parti ot pus'c'«.m.d au sujet de la présente posi-- tion de M. Bicotte. Les partisans di ministére le reclament comme un des leurs et 'opposition comme un des siens. C'est une lutte sur le corps de Pex--procurenr général. Chacun des partis prétendant avoir des droits sur loni ne vut«lfi.n train :}"fl:'u intérbt ag | noug devons défendre reanemis ; nous /voulons ' Bl.ominm'u d:m rd'hui mes none nous pouvons lonjmmm d'vi" sés, tandis que nos adversaires sont si unis. En France les opinions sont divi s6es on politique, il ost vrai, mais l i1 n'y a point ces luttesde race, de reli-- gion, ces dissidences causées le pins sonvent par les sociétés secrétes-- aussi lo peuple est--il toujours uni lorequ'il s'agit de combattre contre tout envahissement, contre tout onne-- mi' de leur nationalité. Mais ohez nous, nous. semblons, ou none ne vou-- lon's point commn. Un cer-- uin}aml lmnt & mi et divise mog forces, imitant en cela nus voisine des Etate du Nord divisés ches eux: er face d'un ennemi fort et nui. ; cun. Quelques uns des orfnneo du ministdre prétendent que Talliance entre messiours BSicotte et Cartier west pas possible. On dit : Rl Hecad ernh wlldn i mam ons a cun. C uolqn; uns cfel: organes du -- * De quelqne mani¢re que: Fon veuille envisager la situation, Uallian-- ce que quelques personnes regardent commne 'ohose :'mnbh visable neVest done 'immoler aux yeux d'une ule avide dnent on iigee reie fam in bies m honmatness aves elle ce g?flnb'd ' ui ballotte, nu.,mft t s'enfonce '?llqflusqu morteilement, dhnuhdmuuinl&flrhm pousser son dernier cri ot son soupir; mais nous le' demandons & veux qui entendent et comprennent ln presse dirigée par la raison et is dximer st meulmoihe uho in moochle dn ts Doypqo at do o folie qni mine Ne vaut--il pas mioux daas un pays tout & uit agricolo tot que to ndiry, toucher les grandes questiuns de c0-- Bas--Canada 30 fi&fin-u':_"nii;i-'.:;.':;'v; Ww'--fl*-mfl': que anglaise, dans le but d'«bsorber 1'0::- ment britenique ; a~ on Mh..--ndgu* d uh-th'\,n o pas de de prononcer Tmp.l- 16 de "i---n & * Rlorgné« des Nioux nous n dgs non affirmer, "mais' toné sonpcontiina '@ue lo des rapporte| naturels tin -.El Itos néus duna -ihl-u*nn.l-' widl © Nou« avone da Qudbee doon-- rastite offi foln d':-'d'wnvnnm est le rapport sar les chemin de colonvattion do On nous dit que p!:u(u whaque se-- imaine, on voit une petite: esaruvane, un petit parti Pexplorateure, monter ie frdle canot d'écorce et nm' quel-- ues isions et ues instrn-- :lnenupggnflbum qn:dgir' t vers 16 " Snake Creek" & neaf mfialc seu-- lement, an dessus du fort. Mattawan uf sera avant, lon£ompa Ventrepdt 3'\\!! eommerce et de négociations as-- sez considérables afin de commencer les déffichements d'an nouvel &ablis. sement agricole et déchirer le spig de we sol. dont i fertilité est déja si.bien connue. § ¥ On g:duiul'&uoil'dfi.de"l'uio u 25 de juin, dont méan ést I'un doe l'dmu' ie \" " l:blr ,.:f-'.'m Macdonald--Sicottd, con«-- u renir +oi douirs in 'continies dp ath edvermafioes is frours 60. pletee aattmice. sleciona, Ne wouve 6« pleine asitaticn &l Ne n::n-. pas le cas fi:c:ma a, andoctun " per--onne. ne plane une -m de l:' at de -xfiol le n.,-u«-:c le Hu:Crz. prupiée on i . te m:dm;::r: T':u»@.:m protestant, doivent -- ils rester i ment unie ? Lear amonifut imposbe par in politi-- ~ Nous apprenons aves-- plaisit que les défrichements so pnt':qnm sur une grande échelle dans les environs de In rividre Mattawan, ob, nous as sure--t--on, il y a une fortane--pour. un grand nombre, pour ceux, disona--nous, yai auront la prévoyance et l# pers-- picacité de s'approprier les &fl)rl:ne ments, avant . que . lee aventuriers onl in meniprite in Romatmes nent on ser --ln an détriment du paavre citudin, dn la: borienx villageois descenyrés qui sont duns la pupz:'i)té et Phésitation et ne savent encore on diriger leurs pas. jour, -- les M'd&&'-";f' de prospérité, 'qui lhyrn au 'pééemier hbord In vae, dans lo futras et/le to-- nlleultodai- villes ot des grands centros « ation longer un iere m ot pioin regpirame, damPove dorigine ré, semblent, e nos jours, en m.u. ' 3 toute la valeur ot 1'i x: 4 Beauncoup do ces hommes, donés de cette viguent, 'de ce ¢ hbloa:xut,udr «pqur I's venir de celui qui les gait !uma!.uecn pratique, fiient; ue nir que leur promet Ia fordt inculte qui nous environne. pa P L'affiuence des matidres que nous avone & traiter dans les_ colonnd du hmm" de «o jour ne* nous tances & cot fi;r-m' ant sujet, croyoms devoir ici, donmer g&m la satisfaction que nous one & ls vue du mouvement oru semble pgendre tous vette voie de prospérité, qui est si ekciysi-- vement, ie partage du Canad .Lrn, Wl comute Dou nomore ds ols tion ; néanmoine, comme not & totijours été de nous dévouer i que nous le perimettraient les cit gui s'appartiennent, qu'ils arriveront 'wux résultats de lours -'u'%: Les meilicars calouts sout ceux de ia Beaucoup de nos compatri Ottawa (H.C.) Mevaredi matin 22 Juillet, 1968. LA COLONISATION. et un pou sussi ceux de is (A Cont musr.) o.:'.az:" s i# Une &mute a éclaté a Troy, oi les bureaus ::'L_h'-l':nhlhi-'-b, u:u saca-- Sana un uflb"' ne, a su faire <@outer=ss donserls a is :, c'en érait fait de Peglise de« gons de coulcur. Pou: --» samifaire, P'émute est allée & la prison, 0: en a ouvert les purie« avx prisouniess. Un steamer qui avait des gargon« de service noit« & burd a d se refugior & Aibany. Los bunsanx du pév@i--marshal ot Parsonai, bien gardes, n'ont pas 616 atiaqués. 4* Nous sommes hecreux d'apprendre a nos lectours que les biltrs=es du gouverne ment sont toujours oi elles étaient. les osti-- més et les autres docuntents se rapportant & lmnoonu-nm:n n'out pas on n.d..mon..'..l. low: \;'tn'nn," ier & dire, mais il parait qu'il-- out6 6 volde 1 Voici ce que racoute lqu nu-- mour : un employ 6 avait emporté ces rph-- & @a maison ; tous sommes encore & cher-- wher duns quei but. We monsiout, pacrait-- «1, tes plaga sur la table A dejeuner, fo ion-- demain . matin, et ayant tourné le dos pour quelques instants, i{n les retroura pf:"t son retour. . Cest une bien currease histoire, ot c'ast trémptmiheureux pour lea achitectes qui auraiont dd 10s garder daus on cuffre-- tort. On no les a tetrourés, et on n'en a plus ontendu puc. N sus avons bien hdre seomb--able affaire." d'a dre.sur qui va retomber la respon-- O Timarvare en migrigpmoniinls ons Le Globe annonce que le Juge--en--Chef Ju Bane :l: I: Reine, duns :0 Haut Canada, d.:-'- nomm in présidence de ia Cour Wrrears et Appris® Ii est remplacé par le Juge Dngum. Je JT Richards devient Juge--en--Chef de la Cour des Plaidoyers Communs, et PHon. John Witsou, le rem-- pluce comme Juge Puisué de cotte Cour. §3 Demain soir a lien la soirée dran.atique donnée par les jeunes gens da cercle littéraire au prudt du bazar pour les pauvres. Le but en est si ouable qu'il est sealement nécessaire d'annoncet cette soirée qui sera trds interressante sans aucun doute, pour qa'il y ait salle comble & 'Institut Canadien. urganisé au gouvernemeut provisvire oomsab de trois personnes et un Con-- seil d Etat pour rrfiidat A 'Adminis-- tration civr 1 a en outre publié plusiours décréte dorganisation. Nous avous des nouvelles d?' Mexi-- que jusqu'au commencement du pré-- gent mc. Le ginen.l Forey, qn?m défluigiyoment bli & Mexico, avait _ Le 29 juin . avait 6té fixé pour un soratin 'rupuhire dans lequel les Me-- xicains devaient se prononcer sur leur forme de gonvernement ultérieur. justifibles violences, des aocés abominables dont on ue pourra connaltre Petendue que pius tard, so sout mélés & in résistance pro-- wequée onez ln classe ouvricre par la -- lot de cunseriptuou. 1?6lection t ia Division Treot s'est termince nndl:!'i deruier, par le_ triomphe de M.'Fiint, candidat . ministériel, sas M. Grover, candidat de. i'UOpposition. M. Fiint a obtenu lg' majorités suiantes ; & North Hastings, * & Lennox, 360 et & Peterboro, 8. On sait que cette Division était représen-- te an dermier Pariement pur 1'Hon. M. Sidney Smith. [Fudl. knegus is popartes ons "appre gue in k. 3 'age out conscription était suapeudue par fl::'du gourernement de Washinytoo. Le rétablis rennlenses smublmbice tiam" soee cone eirconstunces sem| tiont cette euvore.a ca la poition--des insurgés :'ui-hu.': réel West retirbe du mouvement dés que ce grief a cessé. D'in-- A peu prbs 500O'Iriandais ont réepondu & y® Hughes dsc 1ane o neithe P ,ipd archevéque les a exhoites & mainterit . ia veavs coutréres tout le succé-- que meriteat lours efferte ot que h-uha'-:up-h. i en otn e w ue ; co h @ l-:.o::-h- lu:t-n in ligne de conduite vi enos po.ilique que devront suitre Nous 'ordre partio .ul & m-'uz'.:lq. h.;n:ip-, moment suspendu. partuat, ot A Phiradeiphie, ia conscriprion stest znw u-rldu.!-":n h.'hc.:l- voun iirnat puoks AFindaatric OR oas M. M Lassie} ot trhib. L a vos oo wag On lit dans 1'Oftawa Citizen: : fréres. L' n voit que mou Saupes mpricmes dane & nos nou-- troubles _ sérienx. _A Hurtford, dune 18 Connecticut, uns émento a "lh.u-:mn.nmyi d-lnl: dans cette pour protéger =lqd'_uu-ul'm~l. " La méme fenille croit que Bragy & abandouné Chattancogn pour se re-- tirer a'nr Atlanta, a:n:ldl q-'i;: en voyé & Richnond upart de see forces. Tous ces avis: méritent. con-- firmation. : Lks EHFETS DE LA CosCRIPTIO®. * Ce n'est pas seulement & New-- York que la cunscription excite des o oie nyppk is Emmnorttink ie S einnati, T:.priwnien du Sad reld-- chés oufrmloi Vicksburg sont an numbre de 31,277, y compris in g6. néraux Pemberton, Stevenson, For-- z. gl'l:lh,li + Ia:.n S.Kelwf nu:::': r","'d que Sg:ulmn a remporté sur ohnston, ono grande vietoire, l0 7, lui faisant 2, rmonmcn. I go.. te que le bruit de la de Port Hud-- hok Cmm a Piciabary oo oo' * Eovun est arrivé samedi matin devant Vernon (Ohio), dont il a de-- mandé la reddition. _ On lui a répon-- du par un refus et Morgan est parti, gans cesayer,do l'emz-rer de la cité, mais non sans avoir détruit une partie du _ cheminydefer du Mississippi a I'Ohio et coupéles fils tblégngh"ruu. Dans Paprés midi il était ersail-- les, o il. brilait un pont. Le lende-- main matin: il était & Grassy Flats, ol on lui faisait quelques prisonniers. Dans is matinée delundi, il a traver-- sé le chemin de fer d'Indianapolis & Cimiun;toi, mn.hn: sur Irl:lm&r: et suivi e généi son. Le oo?l",'.ilP:rfnit un détour, a traversé le Big Mia:io, ihV:ni.e, f-"i:- cendié le pont derri i, ot a -- chi-- hier I'l'l::il le chemin de fer de Hamilton & Drayton & Glendale, mar-- chant sur le camp Dennison. Les derniers avis le laissant a Maineville, sur la route de Little Miami, arra-- %n;:t les .;-nlh '?:l, dlmmn de.fer de io. u'ici, il a détrait quatre pouts our l:.anmin de fer dn'}Ohio wa Mississippi, brilé une station, et arraché les rails en plusicursendrvits. cette rumeur, il n'est pas perinis de douter a présent que Lee ne se retirera pas sans livrer bataille. La procia-- maution qu'il a adressée le 11 juillet a ses troupes en fait foi. . Il les avertit l:;ullu vont avoir & se mesurer une fuis encore avec larmée du Putomac et qu'il compte sur lear bravoure ac-- contumée * I1 est vrai que Hagerstown a été momentanément réoccupé rur les confédérés, mais le général Kilpatrick arepris pusseseion de la place. Les armées en présence sont a deux hen-- res de marche F'une de 'untre. On prétend qu'un .combat d'avant--garde a eu liew avant--hier, dans lequel le troisiéme corps auruit fait 300 pri-- sonniers aux sévessionnistes, en per-- dant lui--méme 100 tués et blenze 5* Les 'préoccupations immédiates causées par l'hnem contre la cons-- cription n'ont guére permis de songer au monvement des armées. La Bourse a seule 6té sensible a un bruit d'aprés lequel la retraite de Lee en Virginie serait coupée par un corps considé-- ble, bruit qui a amené une baisse sur Por. Qu&le que svit la portée de Le Persia est arrivé le 15 & NewYork-- avee des nouvelivs du 5 courant. Les rumeurs de guerre prennent de la consistance &.Paris. On dit que ia Russio acquiesce aux points essentiels de lofiv;o- sition des troms puissances & propos de ia Po-- logne, mais la teponse n'a pas encore 616 re-- gue.. M Fim L'Union de Paris, dement !a rumear qui wilirma t is résignation du Cardinal 'Antonei-- Het le déput de Rume du du rvi de Naples. an révolutionnaires . fout -md-.l tous etfurs j oxeibles pour 2006 c« départ on efrayunt le roi. Dermiéremeat encore, ils out jeté une bowbe fuiminante i Pentrée dun ea.6 o les Nupolitains ont coutume de se rbanir. Powsonue n'a 616 sér.eusement aiteint. On coutinue & découmuir des com-- plices de Faugti ot Venongi. I1 pasait que P re p--reopnes haut sout _ incul-- Bhon at tis ol dgcoorte a chague. instent, par les pisces de ce procés, lex traves des intrigues et de Por Piémontaie On lit dans le Courrier des Etats Unis du 15 :; -- Le 26 juin a d gire célébré, & Treate, le 300e anviversaire du dernier concile gouéral t--ou en cetie ville au 16e sidcle. C# concile dura 18 aus ot se wimina le 3 déc., 1563. Lo Pape a dh due représenté & cette cb6-- noule impos«n e. ... fy * tikiter, mavitan eogrest los Wigmax o ies . voudrait eagager les ot les '.""'"".5':" --bmnt Parbitrage du vieus roi des Brlges, ie bowhowgte *umlm'-'hm moeut mulade. Cvst uns idee piaisante que M. W;'-"rnu gueres, car i| a id uter be «ne motion xecon tairo. les Eiss Contédérés, . Cs mousiour }IHL que I.N Lindsay "'l.nl d'dtre -':'nu uileties. ufi- 'ost exprimé mai--iere toutl--& -hi-mhnn-nl'ml: inteutions. 11 doil de uouvean faire dos pro---- "llil.ll"llsmflli*rilib.' -'eopcp.l..l Mil'l-"uqu' wosers pas refuser. Ceite recunnamsance a--rait un effet prodigieux sur les gens du: * A Philadelphic, a'il n'y a pas on ing des evéques on ila 66 si malmené i:!'u-p'd'n-fi_o-m'bdt': Les augiaie disout que is lettre do Mgr. arai couvent de ridicule ce M. qui avait dégh tb si umpitoy=blement rowé par . gr. Pari L'insurreotion continue aveo activité ETATS UNIS. Finterventia on > 92 janvier.--Le :A-uu MoClernarid pré-- m~ '*'. 4 F'.-"' fer.--Le 26 «bral 'h-L-nb. e E fevrier.--11 commence le bombarde-- eondutte, au grade de sergent at de Tots c Pathect retmntertiam s o M u respect 3:":'0'--:-'. sos. chets : it n-. x ,H'Uo-ndn i pleme de gloire .mil est mort on atidat ----420rdve. ; . | )00 0 \ _ Voici le tablean: chionolgique do Phis-- toire do s«bie de Vie keburg : COLram d P S I neintt Formant domninds a reddition % ast_ safusee. Commencersent du m -- 94 jodlet.=--Lamial Fartagut abundome 28 Za'a.::-.---u:hmn Sh:rman «est batte soug anare « place. _;V'p-nu 1863.--L« géubral Shovrnan so m" ue la mort est venue le frapper, an mo-- . of il portait le drapeau de son 'ryi~ ment. au combat de Port--Hud«on, le 27 mai le a i!. routs wos lectours ont lire 11 > y & E':'h'lfll':'l SingE nllh't.fib-lil était parvena, par sa bravoure 6t 4. boune F."d'Beéhambautt, fils de M. le Dr. d'Es-- chambaolt. Ce jeune homme était parti Pastomne ::mup-'v" N_T',-Yurl. 60, le l:adr-.h son arri¥ée, ile'engagenit 'ans dane le régiment . de z-uv'-'-d.% Cost dmnfiltnll qu'il fit sa premidro cam-- pagne, qu'il 'dbcrivait dans uns lettre & ses parents 'q@'nos 'lectours ont 'pa fite il /y & un canapien Tok Dails i?amife rébina-- uz.--Parmi les victimes q=0 jJes dermiers combate ont faités dans lee rangs dé Parmée g'u Ni::', nous avons Ia doulear d'un .jeune Canadien trés bren connu en ville, on /il compte un grand nombre de parents et d'a« 'Wagner. , Les soldats z;nt st:eint le parapet ; "mais, exposés & un fou ter-- rible, ils n'ont pu le franchir. Nos pertes vont en tout & 150 tuée, bles sés et manquants. .Nous avons pris 11 gros canons et quantité d'équipa-- ges de u;mg La perte de Pennemi en tués et blessés ne sera pas loin de de + la. pe ite rividre Bianche"--remuse an prochain No, fante d'espace. * La colonne dattaque a été vail-- lamment ménée par le genéral Strong. Elle a débarqué dans de petits ba-- teanx & converts sons les batteries de I'tle Follig et celles de quatre moni-- tors conduits par Pamiral Dahigren. L'amiral est eutré par le grand «fxn en face de l'ile nf:rri. aussitot que nos batteries ont commencé & tirer. Les monitors ont continué la cano-- nade pendant le jour, principalement contre le fort Wagner, o e e e i' " Le 11 an matin, an point duj our, j'ai essayé d'emporter d'essaut le fort \ "* Ile Morris, 12 juillet. * Le 10 courant & 5h du mnzin,'j'ti attagné la position fortifiée de l'en-- nemi d Pextrémité méridionale de I'Ile Morris. Aprds un engagement de 8h. un quart, j'ai pris ses retran-- chements dans cette partie de Pile et poussé mon infanterie jusqu'a 600 verges du fort Wagner, ' Nous avons maintenant toute l'ile, excepté envi-- rom.un mille a Fextrémité nord : & sont le fort Wagner et la batterie de la pointe Caminings, comprenunt ac-- tueilement ensemfie 14 ou 15 gros eanons. On a regu & Washington le rapport du qéné::f Gillmore sur les opérmpP:nl préliminaires contre Charleston. En voici la traduction : > #Il fest pas juequ'ala ville de Boston on la conscription n'excite les plus vives alarmes et ne tende & ame-- ner des désordres de la part d'une foule menagante." 21 mars.--Arrivce do Pamirai Farfigot. d'Edward Kehoe a été arrété et mis en prison, cherchunt un refuge dans Brooklyn. Des discours contre la conscription par des orateurs improvisés, ont été applaudis avec enthousiasme, -- Une tentative d'émeute dansle Sme ward, a avorté devant les démonstrations de la police. _ Un individu du nom 'wuw tentative qui aurait pour but de is sommettre an ti au sort. _ i Lo agitations ds New Y@k do. vwn:p lrnrbn-cenirdmment & uns le %e, ward, toutes tw antole k couleur ont 6té Ect pihécs ot plusicurs nogres traités avec la der-- nidre brutalité. Une maison de noirs, au coin de Stewart's Alley et de Pros-- peet street, a été succagée par une trou-- de, gamins. Un mulatre, déja Eleeué dans Roosevelt street, a .New-- York, a regu une nouvelle blessure en les bureaux en brisant les portes et ies fenotre et a'cansé de grands dé-- ghts dans Pétablissement. _ On a cherché activement le prévot--marshal mais henreusement pour lui qu'on ne l'n'r trouvé.. Les ouvriers de Ne-- wark semblent résolus & résister & 5 ) pour qu'un srdt pru-- 2o dinenne ie thags on fort. 'm bunue heare, la foule était sutour des bureaux du p'é;fi-l:nu'hnl, et si lI'60u n'avait annone suspension, Témeute se TT Ropihoimtsepes »a n'a ponnul'j:mi Nétat de fait ac-- cumpli, le le, surexicité par les nouvelles mv-York, s'est assem-- blé Inndid omlr en masce lwwih bureaux du )inn.l le p&y&_-mm_b-l,"!'.;. iller, eat pro-- vot--marshal, E. N. Miller, eat pro-- mmr': La foule est entrée m d'émente proprement d.te, il y a on FAITS DIVERS. N t da.. M.. sujet des scieriea ot Paudace, 'il * Mair Ia Cl ans. J' Brtitot p me m fonce eat Po: berry t les ch dirent mina memb hotes ot dPa calité, perf . Jene la grai quelle Mil tone a j Pa suls cing je for nonce traite, pectal je gro gou repub bmp:llo ployé math comn que a qui e fortar fauss polit jou ie fr hoi loutie que I jama dé vale ralisd nem diffic dans dans tions polit tosse triote Mex livre habit roulg plein

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