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Le Courrier d'Ottawa, 31 Jan 1863, p. 1

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Latisane s chrerent stt im on mrerent a ces ari mm soaP Tous tos 610964 ds Péu dlerivent "thot lnngnes : Lands Ass bemuas stuc unc TCO IPPEETE! das lagnes vivantes ot mortss, tandis-- mhfi-n.--hfiml TNITITUTIO® ¥R a®oOAre® N UNION HOTEL. * 88 ARCHERS, vient d'arriver avec un gramd avifeccandrclac _ Le Dr. Stanley a ce jour opérer sur mes oreilles pour nurJité avec son suceds ordinaire. J '6tait sourd depuis 30 atis & part un bourdonnement con-- tinuel dans mes oreilles qui était par-- fois des plus afllgemt. (gn me rec om mands au Dr. Stanley, et je suis heurenx de dire qu'aprés avoir été sous son traitement t}nelque temps i1 & réussi-- a me rétablir Pouie, et je: puis maintenant entendre aussi bien qu'avant.ma surdité. Je n'ai souffert aucume. douleur dans Popération. Wirmax Brur. Belléyue 'Farm Nepean ; Orrawa lge:ont '62 LA VUE LA VUE UN AUTRE TEMOIGNAGE EN FAVEUR DU;.Dri, STANLEY Jo--cortifinque le Drs--STANLEY a anjour-- dhai opéré .udiu avec son habilité or-- dinaire. rl'.n m:xo.i;-mx 'mrd de mon oreille droitg 80 ans, et sourent dans Timpossiblité 3::.-'- de chaque c6té. . De plas J' u-d-" bruit dans ma . tdte. Ayant r6ub4! Je recommande To Dn. Stax-- ux ot je puis ajonter qu'il n'y a point de dou-- cur dans Fopération. JOHNLANG Su. Orzawa, 23 aodt, 1862. ortiment dPoptiques. .. TOttawa, 31 jaillet.1062. 170eine rud 6t Kinigabrilge Hoad, NHW. Les mbmassoths seront tonjoirs apportés a Je certifie par la présente que le Dr. Stanley a g.:}:.. oér'r sar ma nrqdlll avee le plus Ennden st 15 mipsies agros Popdration t mon années, ot 15 mipateg aprés & mon E'rud Gwn:::nl et plnhir-j;-l regagné l;:ul'a. pérant de ; ver gratitude mercie pnilhu:n'l-ponr ie bonhear dont'; j'?ll"unv;i"'"':jm is perdu tout et favais lu 'toute d'uu-dr:?o' nounsan, spke= _ Te E. KING. MAI8ON: AUMOND, --RUE--SUSSEX, Vis--d--vis la\ Rue York, + OTTAW A DISSOLUTION DE SOCIETE OCCULISTE ot AURIBI sulté gl'llc_r_l'fiL MW personnes qui lou hent pourenteire gué.1s Cmq ml&m ** Ottewa 31 juftdes. ui2 100 Em AmMU ALSI x Lesttiabar a P'f"'""' UMann] LA GOB:CGE Thent des Cmarrzart érk, Maomsemirme oExrorrs, Cuoarcars, -- _..____ Martrayz, arc..zze Temoignage en faveur da Dr Stanley, Auriste & Ocutiste. Orrawa _ 12 Aoft 1862, Olpe. 68. A. STANLEY, OCOULISTE at AUKISTR, vemsu ¥lik. 5. Cartes 3 Affaicts Copied'une lettre UNETTES PIROSCOPNUEs o UR T O U TE vu &. MOl.)lfs'rE' PREMNIERE CLASSE Copie d'unelettre. Copie d'une lettre. Court--House Xn--n'&;" Prég de ta Prison de la ville. CHB LAPNRRRE® 4. LESEAU, A Nésslo. im-- JOURNAL PUBLIE DANS LES INTERRTS FRANCO--CANADIENS DU @ANADA CENTRAL S e e e n m m Eim CR ume C trés--salubre, mmcm-'?-nha Sitrems Ihlnlcl:fll-tln':lhnmhufl répurées les, meilionres Canada, ot ayant une communica ion facile et agréable avec Montré-- al et Ottawa, outre que le Village posséde un Bursac do Posts teou par le Soassigné, com-- I'w'mhjflln de in wommine areo Mo tréal 6t Ottawa on 616 ot trois foin In anmai. Do on stt 2 1J miller dont moiue in culture une Grange ; outre plavieurs satres Lots qu'll it chargé de vendre & Commission. Mo tréal 6t Ottawa on 616 ot trois fois in semai-- n on hiver. WOITRE® ramones : :1 Raguas trois fois par semaine an L LENT, comprenaat 75 acres de terre -- l?' . comprenant T5 acres de terre moins Oll mores pfll':t'fltfln Tots de Village,) itné en faée de 1'Eglise, dont moitié dans un Non étatde cultare donnant. de bens bénéfices «t entoprée d'une:Cloture en Boulins de Cédre fiulle, avec dewz Maisons, plut une go «t Hotrie neuves ; Pautre mofti6 cou-- Lo tont sore vendn & dos termes faciles et dos ul Sele on o e o oet Goeee factier t "® Coustigné, ayant décidé de se rotirer des Affairee, 0&,':"9'0-" son FONDS de MAG A-- SN, consistant on un Alsoglnn GBNE RA%.,?;. 10. VILLAGE de OURRAN, au gon-- tre du wuhthwfi Plantagenet, Comté de Prbscott. _ De plus, ensemble on séparément, son ETA IMPORTANT pa lettre affranchie. Leowzs--Patates.¥" poche . Foves.... minot Lair®nim--(Rufe.. & dous. Bourre frais & t 5_ salé----. . Voraité ~Dindes ¥ ----.. Viaxorzs--Bof, Fuaun--de bl6. . . .4 quint. d'aroine. . . ---- . blé--d'inde. ---- Grans--Bl6. .. . .4 minot PRIX DU MARCHE DE MONT-- REAL. Les urs tr le oommnbh. 3 Dec. 1862. _ _ PWILIPPE GARRAU Curran, 18 Sept. 1862. Of awa 15 Oct. 1902. 1e ot aprés le-- VINGT NOVEMBRE pro-- rmmes a tise 40. Inaedome s at da Couronne & coux qui & en . Locaque deux on plusicurs deman-- l' seront fmites pour le-- méme lot ou les mé-- luts, coux qui les km'.hl serout teuus Poffrir un en sus simple reat oo e oo i "hle fapip one yrout .=ry¢n sous un certvin nombre de r qut serr M'n.'prPAm. mnon, le permis sera accordé au plus haut enchérissour suivant. , Tearrtorats. Acmats. _ Apacsscs. gusky® {C. E. BELLE, Montréal, C.E. °':":.:"r"' f A.J. RUSSELL, Ottawa, C.0. Onhflo, 308. F. WAY, Belleville,C.0. deCinsul® o } AW. POWELL, Windsor C.0 WA. MeDOUGALL, Ouay . Infé-- : rmeur, Ottawa su-- 0nmhrio. o f: Péninsule duCanada,0 2 EXCHANGE HOTEL RENFREW C. 0. 151, Broadway, w--York. 28 aodt °62.----3. m. BOIS ET FORETS. Derarremcnt m ;-; DE LA (:omn To o W Teige dy n es ie ie oo BUITR 1j D11 1;i11 Bor 0------ Entrepont $40.. . 'dresser 1 C..B, IOH . D & BOAS COKSs. HKU Ds O N e Conftier Y( Cochon Agneau «++ --@# gr Mouton.... livre. Canards Poulets: Pigeons. Avoine urs trouveront & cet hotel tou Tenu-- par t & avoir p 100 m 20 0 ETABLIR UN =Seconde cabine 31, Janv. 1863 Commissaire _ 4 ° Tout souscripteur qui chan [ge de localité, sans en donner ®vis au propriétarie d'un journal [et qui est cause que le journal lui ost adressé au bureau de poste? de sa ci-devn]m. réciI(,!ence. est te-- nu reflonub e de Penvoi du dit journ _ _ [ Le Bureau du Courrier se trouve maintenant Rue Clarence prés de la Rue Dalhousie, a la résidence . du Rédactenr. Les personnes qui désirent annoncer, ou transigner quelques affaires 3uelconquefl sont priées de s'a-- resser directement au Proprié-- tairc--Rédactenr. Hon. Jas. Stean, J. Avwonp, Rer., MM, Wonrsta® & Garrin. LARD, JAMBON, FLE U LEDUC & CGiBBS NEGOCIANTS COMMISSIONNAIREs CHICAGO, ILL. 3° Toutsouscripteur refusant de prendre son journal au bureau de poste, oU il lui est adressé, est responsable de l'abonnement, jus-- qu'au payement des arrérages le ordre de renvoi ; renvoyer et journal, ou refuser de le prendie au bureau de poste n'est pas l'avis que la loi requiert 2° Tout souscripteur qui ne transmet pas les arrérages qulil doit, au moment ou il envoie son dre de discontinuation, est ex-- posé drecevoir son journal et & payer tous les numéros transmis, jusqu'au payement de tels arré-- 1° Tout souscripteur qui ne donne pas ordre formel de dis-- continuer Penyoi d'un journgl est censé continuer son abonne ment. Un gargon parlant et écrivant le frangais et Langlais désirerait trouverde Poccupation bomme teneur--Jde--livres ou oo;\iflo. Quel-- cues années d'lxg:irhneu qu'd a ef dant es branchos au Bas--Canadu le mettont en état de -'u:gumor des oblisrations qui y son, itachéesS'adresser & ce Bureau on & J. 0. Laterri¢re Coin des rues King et Water. Oftawa 14 Nov. 1862. ventour qut doit so du vérilllle mpiar' <TWTTA Ti Batisse du Times, New--York. _ _ Faites attention & Ia marque deau de lin-- venteur qui doit se trover sur chaque fauille A. Leduc & Cie., a nombre de persounes qui semblent avoir juré leur propre destruction, physiqne ou mentale, en, negligeant de faire atiention aux chose les plus ordinaires. Pou de per-- sounes vodraient croire qu'une belle carte inlmla:inec contient une quantité d'arsenic eméléd d'autres ingrédients chimiques, qui Pont e fait usage un peo riqulaumnl. roraupiquent leur poison d'uue manidte fatale. ?ou les papiers & imprimer ou & mécriroontieunent soit de lhuille vitriolide, de lachlorure de chaux, de la petasse, du soda, de F'oxyde d'aluminiun, de la chaux, de Poutre--mer etde Pacide oxalique. Le snpilr blane contieut une partie ou le tout ie ces dangereux poisons, tandis que las P-J:ion de couleur (excepié celui de GAYET T'Y, qui est couleur perle et fabriqué «e maniere d étre mussi pur que la neige) con-- tiennent des portions de prusgiate de potas-- se, bichromate de potasse, de Pacide muria-- tique, du blea de Prusse de la couperose et et une variété d'autres articles d'une nature: egalement dangereuse si perniciouse, mais trop nombreux pour étre mentfonné dans ceite petite annonce. Les médecins sont venus de mettre en garde la préseute gené-- tion sur les dangereux. Le papier impri-- neé, tout le momfe le sait, est un poison vio-- mut aux tendres parties du carp«, . Person-- de no voudrait mettr e de Pencre d'impri-- merie daus sa bouche, car elle est en gran-- de partic composée de noir de fumée ; cepen-- dant on n"hésiste pas a se le permettre sur certainnes parties du corps winsi qu'aux enfants, ce qui occasionne lus hémorthei les on les aggrave lorsque Pon en 11 pjus avan tageux sous les raports de faire ""T. dPan papier fabriqué avec les materiaux les plus pors et médioaments aree grand soin, tel que lo PAPIER MEDICAMENTE DE &uo lo PA AYETTY, Orrawa, 28 Aoti, 1862 A vendre par tous les droguistes et seul dépot de Pinventear. _ _ Loi concernant les Journaux, CvWe ETAPPRENEZ CE %!{R CI TIEN LE PAPIBR ORDINAIRE.--IL ous les reaseignements demandés. .. _ Oa échauge les doublons su taux te plus Ens s oo om Sno n Pn eatont s Pou® Las Cammurts imonouxs. LISEZ ET APPRENEZ CE QUR CNO tlevé LOTHIR _ NOVAL Dirigee par le gouvernement SITUATION DEMANDEE TTENTION toote particalidre dans |'a -- chat de HAVANE, Banquiers, 16, Wall street, New--York Ottavra, 25 oot. 1862. Les prix sont payés comptant. On fournit No.2, BEEKMAN sTREET, MILWAUKEE (W18.) TAYLOR & Cie., Ottawa, (H-- C.) Samedimatin31 Janvier 1863. te de Gayety ot fidre : olle enfantera tojours des pritres et toujours des m elle rgie, tracait cette bellé ressam-- wbhneo dlnqpfltre et du soldnt, 7-! nest nulle part anssi sensible qn'on France, sa parole a rententi dans ton-- tes les totes intelligentes comme in prophétie des choses que nous voy-- ce cceur vaillant. Qui osera mosnrer les comptaisancee de Dicu? Qui dira les pensées qu'il éveilie au dernier mmoment do ces Ames intrépides ? Si tons ceux qui gardent ces signes sa-- crés, n'y mettent pas In foi qu'ils de-- vraient avoir, du moins clest le sou-- venir de la maison paternelle, cest le don d'une mére, d'une sceur, d'une fatille qui grle pour eux et dont ils respectent déjd la piété. Quel que soit son sentiment particulier, le sol-- dat qui porte un signe de dévotion, n'a pas rompu avec la foi qui le Iwi donne, et n'est pas un ennemi de Dien. Mais que disent ces prétres qui ex-- ercent le ministére divim sur la flotte et dans les camps ? que disent ces re-- ligieuses qui, pour l'amour de Dieu, vout affronter les périls de la peste et de la guerre ? Lis disent que la bon-- ne Ame gu soldat est doite, franche, dévouée, naturellement chrétienne. Quand is Jui parient de Dien, ils n'ont rien & craindre, ni insulte, ni raillerie, ni refus. La main do pré-- tre et la main du soldat. se j |} et quelque chose de grand se Loraque Donoso Cortés, en quelques coups de pincean d'ane imcomparable PWPA P o . Dans cette guerre qu'elle fait sans but d'ambition, pour 'n liberté mena-- cée de la famille des peuples, Ia Fran-- ce &arnlt avec un caractere qui n'est qu'd elle sur terre. Ses camps ren-- ferment des prétes et des Scours de Charité, ses hopitaux s'onvrent anx blessés ennemis. Elle a deux armées: une armée de guerre, une armée de miséricorde et de pardon. Comme une mére chrétienne, la patrie fran-- gaise a soin de l'Ame de ses enfants en péril de mort. Elle ne dédaigne pas les plus obscures victimes de sa f)loire, Bénis et réconciliée & leur ieu, cenx qui meurent sans récom-- renlel terrestres, et disparaissent dans es flots ou sur la terre étrangére, pouvent cependant se consoler de mourir. On fait le catéchisme et on célgbre le saint s@#rifice sur les vais-- seaux frangais, youés & Ia protection de la Mére de Dieu. Les genéraux mourants réclament le sacrement de rénitence; les soldats commencent donner autant dexemples de piété et d'humanité que de courage; ils portent au feu, sur leur poitrine, Pi-- mage de Marie. On l'a trouyé sur le rorus-drnpoau de la bataille de 'Alma: il Ia portait & coté du por-- trait de son pére, ct c'étaient 1a les deux cuirasses sous lesquelles battait | Voyes les temps bitards, les jours uu{l;ulux: ell)l'. 'sout ° div'!néu. Dieu les rapproche, quand il veut aue la France frese quelque chose 'illustre et de bon. Union de la force et de la foi sous Clovis, sous Clmrleumgue, sous Saint Louis, sous Louis XIV : quels hom-- mes d'Eglise! Division, pour ne pas remonter .plus haut, pendant le dix--huitime sigcle: quels abaisse-- ments | quel pas en nrrigre fait la ci-- vilisation chrétienne! D'un coté, la Pologne est partagée, une nation ca-- tholi zue disparait; de lautre, les missions sont interrompues, et une f{artie du monde retombe dansJa nuit. upture & la fin do oe sidcle néfaste ; nous n'avons que des victoires de ven-- geance ; nous portons partont is mort et nous sorumes & la veille de périr. Un héros, un grand homme de guer-- re parait : il tend la main & I'E'gliw, il rétablit le culte et tout Pordre so-- cial so reléve, et le régno de cet hom-- me est un torrent (fi victoires. . I1 w'oublic dans cette prospérité ; sa main jadis secourable a 'Eglise, lui devient ennemic et eruelle; sa pros-- périté cesse; il tombe, mais laizsant un nom immortel, et Pavenir plein de lui, comine le passé. Deux dynasties se succédent, sous lesquelles ["eaprit an-- ti--religieux domine tantot coutre la volonté du prince, tantdt avee son concours ; trente--cing années de vai-- ues discussions, de mlidiocrce entre -- prises, d'agitations stGriles, denx ré-- volutions qui emportent ces dynasties, sans que(i'urméo les défende! Un uouveau pouvoir surgit du tombeau de Phomme des batsilies, se si-- gnale par un grand service ren-- du & la religion ; et tout soudain in France, depuis vingt ans si effacée, si descendue aux yeux des peuples, con-- vre trois nations de son (Yrelpouu, fait flotter son pavilion sur toutes los mers, se fnontre Ia premidre dans une lutte qui sera une des grandes dates de 1'Europe et du monde. Farcourez toutes les époques glo-- rieuses et fécondes de notre histoire, depuis Clovis jusqu's nos joure, ces denx mains travaillent d'accord & la méme couvre; elles s'entraident plus ou moing,. mais elles s'entraident. Deux mains ont fondé ln France, denx mains Pont die et mainte-- nue dans ses splenflunn, deux. maine Pont tonf'oun relevée dans ses défail-- lances : la main du prétre et la main du, soldat. La France est uno nation croyants Litterature. Feuilleton du vourrier d' Ottawa. PRETRE ET S0LDAT Fais tombercette barricre qni n'ost pas assez détruite encore, 6 i"rln('el renverse--l& dn mean de ta noble d'z:e. A tes mm qui vont mourrir; ne ponr com et pour ami les lli:io'nf- dnpfi:uvivf:t. Qz le Dien des armées, marche avec les armées. Parmi ces cités monvantes qui. flottent des navires &A travers des hl:m"d- fer et de fen, L iymer:" Ten Twame do prone :~ e cuvre ~do fi: soldnts orfants sur 1a terre d"'t ue, main t. toute semée cssemonts a'f:; frores, . seront--ils moins braves et incins heureux pour entendre parler do Ia patric absente ot de celle q? la mort ir" lear donner demain § Perdront--ils quelque . chose de lour cvnrage & savoir qu'ils congni: Il y a unne race de milien, nonvelle en France, pervortic & de détestables écoles, inféeonde, sauf en sophismes et en falsifications, qui ne donne pas de soldate, qui ne donne pas de prétres, ui les hatt I'un et Pautre, et qui a ?nit des livres et des lois pour les s6-- parer. . Elle vent que le soldat s'éloi-- goe du prétre ct é;ms le protre ait genr gu soldat. Entre ces deux fils u méme pore, sortis ue excin-- siment de f:, ehunmiérepml chiteau, cette race nvait élevé le mur de ses hnines et de ses préjugés. Te camp était formé an ' prétre. Ne falisit--il pib '%we le panvre soldat vécht ct monrht philesophiquement, comme ces . penseurs qui n'éprouvent au~-- cun besoin de ervire on Dieu, ot ui tiennent que les fonetions et los 3oulnnn de In vie n'ont besoin ni de ee secours ni de ces consolations ? Qu'est--ce que le prétre, surtout le le moine, cest--A--dire le prétre élevé & toute la hauteur d'abnégation qne comporte Ia vertu humaine? Cest le soldat Yarexcelleneo que l'on met anx postes les Flns difficiles, que l'on en-- yoie aux plus grands dun_qerl, que Pon jette endpionnerde la civilisation chré-- tiemne dans les glaces du pole, dans les déserts de l'g'uatenr. dans les sa-- vanes de 'Amérique; a qui on dit d'aller attaquer les sauvages, les h6-- ritiques, les incrédules. E'Eli y va, et il y meurt. Quant il est mort on par les fnti%nee, ou par les supplices ; quand il a été lacéré par les foucts, gonsumé par les flanimes, dévoré A belles dents, d'autres accourent & sa place, ambitieux du inéme sort, jus-- qu'a ce quenfin, sur les ruines do ces tribunaux sanglants, sur les cendres de ces bGchers, il blevent In Croix comme le soldat, sur les décombres de la forteresse euneinie ct sur les ca-- davres de ses frdres, plante son éten-- dard vainquear ! Pétaient de leur sauvage liberté, Dds lors, ils sout uxeu?filoen, & des idées yqui mavaient auparavant aucun che-- min gour saisir lour imellifigunw. On peut lour parler de devoir dobéissan-- ce, de respect ; on peut leur parler do Dieu. Ts reviennent A Pinstinet na-- tional, qui est Paccord de la force et de In fos. Pépaule, ces gamins, ces rebelles, do-- viennent autres: les voila aussi or-- F\nilleux de leur joug de fer qu'ils "étaient de leur sanvage libarté Tiie C Dsl aa l ons O Wt ( o Pm P OPCCETE THT _\ On peut dire que le Frangais, dang [ler Turenuet Partout oh Phomme de 1 l'oxooll:u-c de sa nature, nait protr@ tre voudra 6tre chrétior, i le sera ou naft soldut. 'épée est pour lat muntum; ou plutét Popinion se comme un huitidme sacrement, orée | tournera pour lui, par un instinot qui exprds & son usage et qui le rend | est l'lnlflnunbmodo 1@ grandour na-- wmeilleur, -- Vingt fois P'épreuve a 6t§ | thonale. On no eait plus , n}:oi. tentée : elle a toujours rxluli, quand | wais on comprend Tu la piété dans on Pa voulu. On a ramase6 la popu--| Pétat militaire est la tion du lace des villes, tout ce qu'il y a an eourage et de la discipline, et que cette monde de plus railleur, de plus inga® est l'Glément invincible de wie, de plus turbulent et on a pu en | toutes les grandes choses que vent tirer une bonne troupe. _A peine ont-- | faire et qu'aime & faire le ',:yn. Par-- ' il§ le sabre au flanc et l'unl'f):rmn sur 'fout, dit Zénophon, ow Anmmas les enfante de semblable nature, u?. et que dis, entreprenunts, se portant | < leur n,éme cour, anx grandes ot rudes C?.' wi du hasard, ni de treprises, aux Missions et aux Croi ni d'anoune puissance humaine, des, pour P'amour de Dieu, pour 1' faire perdre }a palme des mar-- mour de la justice, pour P'amour t ta glnire. *ul pongtl': n'a donné a Frunce a si_ véritablemont tant de sang aux idées; la ot chi me, que, devant humaine vogue & travers le mondé piété militaire, les droits méme de sur un lurge:?'eu"e :ie sang francais |Ta railleric expirent. Qui decrait rail-- rend | est 'instin a 6t6 | tfonale. _ uand | wais on c opu-- | P'état mili a an | courage et 180@ n an Tbontas las vos 1un|itéa; mais il vit dans l'mproir que Pavenir lni rendra, sur ce point, jastice Pleilc et entidre. | _ "Tei le progiamme ininistérie! nous »l»r(:seute, une nouvelle phase; cest \[:troiliéme entrlé;: n[n scénne de M. , ingénieur du Burean des Tra } vn-l?:-l':filéiu. Si nous en croyons 'I'urfiune ministériel, ce monsient se | rend & Ontrouais pour " activer In | marche des travaux en général." Et, | cependant, le pauvre fi Page snit | tout aussi bien que le susdit organe 1qn'il n'a aucunes instructions ni an |cune mission relatives & Ia continun-- | tion des édifices. On Penvoie aA Ou-- | taonais, sans donte pour rappeler anx | membre du parlement et anx citoyens [de ce district qui vondraient encore regimber, la sinistre menace qui leur * fut faite par le Ipiqueur du gouverne-- ment lors de Ta 'visite du 'Elourvcp nour--Général & Outaouais D'aillenrs In session parlomentaire approche et il enhns?:vmir encore une fois 008 rimm du sort qui les attend au CA# 'of ils persisteraient dans leur .. " On nous informe qne le t t ic' tm in ie W w vec lui un profet de mm ** Nous sommes tontefois en mesure de rendre publique la substunce des dépositions importantes qu'il a cru devoir faire dans le but Pocensionner de nouvelles dépenses & la Province et de retarder encore les travatx de in commission. Sa déclaration pent se résumer comme suit; Les temoi-- gnages des deux derniers commis-- saires des Travaux Publics, les hono-- rables MM. Rose et Cauchon, et co-- lui dg M. McGreevy, 'entreprenour, sont fan», et ces messicurs sont con-- bles d'une insigne muuvaise foi gusnt A lui, nssistant--commissnire, il n'a jarnais cu rien ou presque rien & faire avec los édifices d Outaonais. II ne tient qu'd sauvegarder soun titre de fonetionnaire pllbfic actif et habile, et ses voncitoyens se inontrent tros -- ingrate en ne Iui reconnaissant pas LA coxtattsston D'orra wa. Nous traduisons du Daily News ; ©* Nous avons examiné, il y a quel-- que temps, certains faits rolatifs un mosurage des édifices . d'Ontaounis exécuté par ordre do Ja commission. Depuis cette épogue, cette cominis-- sion s'est réunie, éc nouvean et, se rendant & la demande de Passistunt-- commissaire, a fourni & ce monsieur Pocersion de faire de nouvelles dépo-- sitions en lgi donnant de plus Favan-- tage du huts clos. -- _ Mais patience l atteinte la dernidre de ce venin, Parmée le rejette, la pro-- midre. -- Parmitant d'{xumuws de ccour qui_ portent Pépaulette, que dhommes de foi! Quand vous voyez verdir les branches du figuier, dites que 1'6té est proche! Jo m'en fie & ces chrétiens qui savent 6tre do la mi-- lice de Dieu dans Ia milics du monde. I's no sont pas les derniers & Passaut des fortoresses russes: ils ne seront ru les derniers & I'ussaut de cotte fo-- ' ie irréligiense qui vent frire schisme avec le génie chrétien de la France. I)evant'f'invuiun do ces passions bru-- tules et de ce tel esprit barbare qui menace encore une fois Fempire du CUhrist, comme au temps do Clovis, comme au temps de Saint Louis, mieux qu'aux beanx jours de Louis XIV et du premier Napoléon, le protre et le soldat se donneront la inain ; et & leur ombre croftra ce qu'il faut & la France et A Dieu ; " des gens braves et do braves gous." Tétat militaire est lm perfection du eourage et de la discipline, et quo cette est l'Glément invincible de utes les grandes choses que veut faire ot qu'aime & faire le pays. Par-- tout, dit _unophon,. ou i: hommes sont religioue, guerriers ot obérssants, comme ne serart--on d juste droit pleins de bonnes upfim ?2 Aprés cette phase de mesquinerie et d'épui-- ' sement oi nous étions tombés, 'arinée seule nous a donné quelques homines. S'ile eussent été tous chrétions ; si, dans ces camps oi ils ont rév6é, ils uvaient prié et pena6 ; si, au lion d'6-- monsser leur bon sens nature! sur 'obscure phraséologie des idéologues en tous gonres, ils Pavaient fortifié nux swines Inmidres de la foi, qui on-- vrent les mystdres de Phomme et de ln société ; ai, au liou d'dtre libéraux, démocrates, phalanstériens et le reste, ils étaient catholiques, quels autros homines nous aurions vus ! to t Mess TE ie Emt ?4 France si véritablemont erridie ot mfi-n que, devant piété militaire, les droits méme do biton de maréchal lour échappe, d?nd wi du hasard, ---fifl:' , ni d'anoune puissance humaine, ur faire perdre la palme des mar-- Lours Vivitior Une . dépéche : thlégrap * annoncd ue l'on domandait: $2,00 le gallon, nnw ce# poo'r 1 1k m M' M j Ees Lhuile de charbon vient d'nugme-- ner considérablement aux sources dhuile, dans le Hant--Canada, en con-- séquence do Ia tonrnureextaordinaire que viennent de prendre los affaires de cette industric, _ Jes sonrces com-- me on le sait rejetaient naturellement Phuile sans ancum travail manuel ex~, cepté celui que Pon accompliseait portc percer l« terre ot permottre & Phuile de_rejaillit & In 'surface. Plugictt® puits viennent de cerser tout A coup de produire Phuile minsi ct il fant maintenant. employer des pompes pour la tizer de Ia terre. Oeci Aamit croire qrie les sowrces rariront complé-- tement avant longtemps peut--6tre 6t le 14 1' tation subite da prik de cette hm qui 6tait devenu si popu} lnire qu'on Pemployait pour élairnge ordinaire dans les camprignes 'comme dans les villes, dans Je hamean d * Le pays a--t--il gagné quelque chose dans toutes ces manceuvres / C'est ce que nous ne saurions dire, nous savons seulement qu'en fin de compte le gouvernement apparaitra au second plan et que les entrepre-- neurs obtiendront tout cequ'ils you dront: En faisant un mesurage exac-- des estimutiong consciencieuses, on dépassera mome le montant indiqué par M. Killaly. Ce n'est pas que nous désirions faire l'éloge de ce monsieur, mais nous ne craignons pas d'affirmer que si on avait suivi see indications, on !aurait économisé des mailliors ot dee milliers do piastres." i* Depuis le commencement, sous la haute direction de celui des com-- missaires que nous venons de dési-- gner (car la commission le recon-- natt unanimement pour chef,) tette conmission n'a fait que batir et ren verser, faire et défaire pour arriver ;c&uoi? A stenfermer dans une laby-- rinthe dont M. Page et ses assistants auront bientot A refiruuer les détours Sour le grand bien et linstruction u gouvernement'du pays. * Kn Otudtsnu thistvire de ces édifices d'Qutaouais qui sont aprés tout de misérbles constructions si on les compare a quelques maisons de charité en Angleterre, nous en avons conclu que le Canada est déja une grand nation, La delapidation effrontée et extravagante des deniers publics par les diflgrentu fouction-- naires qui ont présidé & cette entre-- prise ferait pAlir le commissnire des travaux publios en Angleterre tout sccoutumé qu'il est & des dépensen considérables, mais toujours dirigées par une surveillance active, car nous en sommes convaincus, on a diéji dépensé beaucoup plus qu'il n'au-- rait fallu pour terminer compléte-- ment les édifices. * Certes, une orsnniutiou aussi grandiose et aussi dispendiense. ne pout manquer----de donner lieu aux commentaires si on se rappelle= que 'honorable J. 8. MacDonald disait, quand la commission fut nommée «* qu'elle terntinerait ses travanx « §|n- lespace d'un mois, au plus « du#mdnu." a pou¥ons affirmer A M. MacDonald, si d6j@ il ne s'en est pas apercu lui--mé&me, gue sacommission mignoune a d:puilnloqgtmn'ps pris le TECHD »f d";ru ho seront oi % nous popm di m&f hladP n ea TOmes CCC Man dn article important do in piiiman t iriterventioh Hulle de Charbon in ho i x .' fimk"\: {@ssenticlle dn '"%'"- Soute-- étirages, an train pouvent pas dtro olig@ lt dade up

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