TEST - IPR records

Le Courrier d'Ottawa, 3 Jan 1863, p. 1

The following text may have been generated by Optical Character Recognition, with varying degrees of accuracy. Reader beware!

_ Nos monble sde tss degrt .d"vhl-' '-'.:':-éfl ; "L'I'llls soul nlur'l..'m: A société qui a ci--derant existé whtre MM, L LAPIEREE e LRBEAU cat dissouw d¢ MA LAPIERRE ot 1 wene lall :d U0 a8s. ARCHERS, vient Partiver © ortiment d'optiques. oTOttawa, 31 juillet 1862. maisON: aUmonD, rUE $0 Visd--vis. la. Rue -- York, OTTAW A DIS8OLUTION DE 800IK TX LA YUE LA YOE Nepean «_ Orrawa 19 aout '62 100,000 Dellars do Moubes. mes oreilles pour surdité--avec son mwdum-f'mmopuh 30 ans & part un bourdonnement con-- tinuel dans mes oreilles qui était par-- fois des plus affligeant. On me rec om manda au Dr. Stanley, . et jo suis heurenx de dire qu'aprés avoir' été sous son traitement uelque temps il & réussi a me rétab?ir ouie, et je puis maintenant entendre anssi 'bion qu'avant ma surdité. Je n'ti souffert aucune douleur dans 'opération, Wiruiar Bzur. vke Pr + ues mes oreilles pour su M on ttnd Ayaut réuesi je recommande le Dx. Stax-- uay etje puis ajonter qu'il n'y a point de dou-- cur dans 'opération. JOHNLANG 82. Orrawa, 23 aoit, 1862. Olpt, 'ea. Jo certifie que le Dr. STANLEY a aujour-- d'bai Opérérlr surdité avee son babilité or-- dinaire. J'6tais tout--4--fait sourd de mou oreille droite depuis 30 ans, et sourent dios Fimpossibilité d'entendre de chaque coté. De plusJ'entendais un bruit dans ma téte. [ ECCEE 90 Cartes t' Affaires 4 Aobe icoubosccaa dn nc ced d grand étonnement ct plaisir f'ui regagaé Poule. Eepérant de. lui prouver ma gratitude jo re-- mercie publiquement pour le bonbeur dont jo jodis maintenant. J'ai T0 ans, et favais perdu toute espérance d'entendre de nounenu. s m E. KING. Je certifie par in p;i_---nhquluhr. Stanley ace jour opéré sar ma surdité avec le plus grand suc06s, J'6iais. sourd depuis plusiqure un':oi et 15 -hulu aprés Fopération & mon Bellevue Farm OCCULISTRE et AURISTE, peut--dte con-- sulté a l'll"l'lcl, DE LUNION: Ts petsounes wl lou bent peaventetre guérie en ADNN unvhana OINQ MINUTES: Temoignage e_n'--mve-r du Dr Stanley, Auriste & Oculiste. UN AUTRE TEMOIGNAGE EX FAYVEUR DU Dr. STANLEY. Le Dl:.l'Stsnley a ce jour opérer sur [ eolte wels N 7 ie wenpit Anvinftttiiliidia, io los modiles: les plow: teune ons . wos wakcmatrbieme #O07 Oa sumrieg. Bile. $. Marrigm, MOBISTE PREMIERE CLASSF Orrawa _ 12 Aodt 1862, Cnargavx Pitk, Hammzemewts o'Exrarts, GanitTonce, s , M uz ate son' abmond, 'rue sdssex, Ottawa 31 juil862 Copie d'une lettre PRIX o€ Pab#rqur. A. STANLEY, 0 UR T o u Te vu UNION HOTEL. Copie d'une lettre, Copie d'unse lettre. Court--House x';n.:;: Pres de la Prison de In v GoORCGE 'URS LaPrergs 8. LEREAU. ~SJOURNAL PDBEIE"DANS LES INTERRETS FRANCO--CANADIENS DU avec un grand ville. Duhh lfiln: m. I-- a conve-- trnlz d'une manidre satisfaigante uf- fotr-- Sitare de portes d'éciuse pour, les canang. ci-- detfous mentionés seront reques A.cs burdao m-'l widi, LUNDL, 1e 20e d'Ocubre pro-- m, Aavofr : 'Oanany do Wlfl'll.-hq,Unpdnh"r- "'Jl'.'.'.".'.'c all Trois paires " _ ornwall.... ... Tr j Otdhl.lm...-?nb"" Canal de Lachine.» .. ./. . Une ®# Lea.portes doivent btre ----:';..i vebes & -fl.':--":'::--.q&: r:::r:-..th?'_ Publics poutra . roie lea at las spécifieatises uEe ol ie Rirnt Chie entdanadtter teal, le on apres LUNDI Avis auk contracteours . . VIRNT de recereir un assortiment . cor de Chaussores qu'il vendra 122 av PMut covrant _@ci Opur qil vealetit rchotor d bons march& tent bien de profiter de In circonttance. Oftawa, 11 Sept. '¢7 Dapaiiinbnt adl Piatnas PobMicay _ Magasin de Chaussu re. LARD, JAMBON, FLEUR &. Hon: Jax; Sitean, J Workman & Garrix LEDUC & CIBBS, NEGOCIANTS COMMISSIONNAIRES CHICAGO, ILL. A. Leduc & Cie., .a'oql.n;a Commissionnaires en goneral. Chemin: de For @Ottawa et de PRESCOTT. Reduction de Prix. Depuis le ler de Mai le prix d pur los chemins do for d'Ormeia; 'Prascal® el le Grand Tronc est réduit aux Taux D'ktk comme suit : SIMEON LEBEAU MARCHAND DE CBAUssURKES RUE SUSSEX YIS--A--VIS LA RUE YORK. Orrawa, 28 Aoft, 1862 Wambourg, Southsmipton, Londrés ot le Havre iR Soussigné informe ses ainis et le pablic ew'général qu'it a fait de m&iu anzeMorations i PHote!: sus--mentivnné Les visitcurs trouveront toujours ses Om ai bus au débaroadére dos bateauz--i--rapeur et Varrivée.des Chare: Ln table est toujours bien garnie. Ses priz sont des plus modérés. D'Ottawa & Québee,-- BOTEL 00 caxana; TTENTION toute clidt de 28 aodt °62.----3. m -- YBOMAY 6 PAsiutos Quenee , fll;:»fl--ll--"? esser 4C. B. REICHARD & BOAs. 151; Broadway, Now--Tork. M ILWAUKEE cwis) 15 ET 17 RUE AMERIC AINE PROPRIETAIRE wecqanieetnation : Seeap, J. Aumonp, Eer., MM, pracioct & i l i * A Montréal, lére .« & 440 2nd . «c RICAINE BRITANNIQUE Lt . 3/ % Trois -- Rivieres. HOTEL MONTREAL. SERAFINO GIRALDL apitaine JNO. R McX tdersies ,--lere Classe . .$7, particuliére dans P MEILLEUR ORIGINAL D1 SPONTBLE SAINT--GABRIBL. goneral. couh pfe fe 1 gee e e oo O ' eret 1. se 1i neerant t dé-- Fm 4 J8 . fois.ce . vallet, terrible, *exécutent 1 se Pimagine--t--on étalée, et »&. .Fnflcheur sur le > infhme d 1 sele repr; et . foyngeant lo aac buk:- bourrean Cal -- i o e oy PR sence, les quantités relatives dn l?ien ot du mal et qni a l'instant on elle illumine Phomme, lo fait momenta-- n≠u f')ien, cette chose flni «]m' a t loi d'étré p;ponionnée Vinfi-- :?,'m entité céleste dont le paga-- nieme fait une déesse et: lo christia-- nisme un lrdunamhm im-- mqlni ale preds sur de cosar hn-- main ot les ailesdans les éroiles, vette Yung&n: des vertus humaines, gte clme 'Aroe, cette vietge, 8 Dieu bon, Dien éternel, est--co qu'il est pos sible ..de se | Pimager debout sor In gnillotine 1 cetice qu'on pout ) se ]%. maginer défaisant om-.dzu de I--i&:n "._'x':"j monstrnense da con-- 1 ul go h conmte o cette on faite' de rwu'., cette su tion de 18 sagesse combinke a itic, cetexamen deg actions hum avec Posil divin, cétte bonté sévate, détte résultatite Tuthjtieuse de ln conscience Aniverselle cette 'ab-- stractiom de Pabsoln 'se falsant réalité terrestre, cette vision dn Uroit, cot éclair.d'éternit6 appart & Phominmic, la Justice? cette: intnition sacrée du. vrai qui détermine, par en soule pré-- FFNODE Wreprartnatra ol ib e die udn ie lb 0 On prononce ce mot : J ustice. &: Justice !. Oh 1 cette idée entre ton angnote .. et vénérable;.ce supréthe Equilibre, cette droiture rattachoe anx profondeurs, ce mystérieux. scrupule puisée dans lidéal, cette mu'l:nde souveraine conéph'qnée d'an tremble-- ment devant Pénormité éternelle hé-' aute devant nous cette chaste pudenr de Miinpartialité inaccessible, celte ] pondération on entre l'impondérable, /Re Th mostsintras i uts ho e yq s g22 UOTX CHO: see Iuné: oh'vous dtcs croyant ou vous ne Pétes pas. 8i vous dtes croy-- ant; cortiment osez--vous jeter une im-- nrortalité & Péternits? #i vous ne 16-- tes pas, eomment osez--vons jetér' an dtre an néant ? T1 existe un scriminaliste qui'a fait cette distinetion :--* On a" tort de dire exécution ; on doit se borner | & dire réparation.' TLa: société ne the pas, eflc retranche."--Nous sommes des laiques nous autres; nous ne com:-- prenons pas ces fincascs--li.; De quel droit constituez--vons Dien juge avant son heure? qu'elle qua-- litgenvez-vons pour le saisir ? est--ce ue cette justice--la est un des degres 39 la votre?! est--ce qu'il y a plain E{Ied de votre barre & celle-{" Xpl\éfl & 'll:roplon% Dieu_' De deux cho-- _ I! est Passassin qui a parfois pour, lui_ Passassiné, . car J'ai discuté, moi qui parle, avee un condamné [d mort appelé Marquis, qui était |en théorie partisan de la peine de mort ; de méeme. que deux ans avant, | dans un procés L%lébre. J'ai. discuté avec un magistrat nommné Toste qui était partisan des peines infamantes. Que la civilisation y songe, clle ré-- pond du bourrean. ° Ah! vous hais sez l'aesassinat juequ'a tuer |'rssassin f mais je hais le meurtre jusqu'd vous empécher & devenir meutrtrier. Tous contre un, la puissance sociale con-- densée en guilf;tiue, la force eollecti-- ve employée & une: agunie, quoi de fil"s osieux! un homme tué par un omme effraie la pensée, un homme tué par les hommes la consterne, O en est conscience, et qu'elle est votre notion du bien et du mal? Cest un criminel, dites vous. Et vous? Faut il vous le dire sans cesee, cet homme pour se reconnaitre at s'amen-- der, et so dégager de la reaponeabili-- té aveablante qni pése sur son Ame, avait besoin de tout ce qui lui restait de vie. Vous Ini donnez quelques mi-- | uutes ! de quel droit £. Comment osez-- yous prendre sur.vous cette redouta-- | ble abréviation~des phénomé&nes di---- 4 vins du repentir? Vous rendez--vous : campte de cette resporisabilité don-- née par vous, et qui se retourne con-- 1 tre vous, et qui 'devient ga; votre 1|« vous faites plus qve tuer un homme, | yous tuez une conscience. . is f est--ce que ce qui: est i Pindivida est permis a 12 Le bonrréau, voild une sini@tre espédce d'assassin! Pussussin officiel, P'assassin patenté, entrenu, renté, mandé & certains: jours, tra-- vaillant en public; tuant an soleil, ayant pour engins "les bois de jus-- tice," reconnu assassin de 1Etat ! l'assassin fonctionnaire, l 'nseassin qui a un logement dans la loi, Passassin au nomde tous ! Il a ma procura-- tilun et la votre, pour tuer. T étran-- e on 6 is frr sur l'épau-- Fede llegmté': et h:im:ieit: Je }t,ra-- vaille pour -- toi, paie--moi. Il est Nassassin oun privilegio tegis, Vus-- sussin dont assasginat est decrété par le législateur, délibéré par _le juré, ordonné par le juge, consenti par le prétre, ?rdé par le soldat, contem-- ph}"par le peuple. _ " msme dn pilori? """P?I t--on ot m"." nt buhnhi-b..n.. aL! ou egt molée a des chausettes ot '.?'eu., idée les hommes se font--ils is du meartre? Quoi t ejnhubit, me puis tuer; en robe, je le puis| -mlaul? soutane d.beih'uiug, In nlwm tout. Vindicte pablique t ' vons en prie, ne me venges plbM mourtre, mg':m;g, vous dis--je pas de légitime. défense en-- . e es "'ll-co-u-nl-o de Mort Lo have (Suite et Fin.) Con 3 Lo in % Di Wnn Tois: youre sirigennr draog fois votre agressour 4 'ét tombé, vous Tui devez se-- ue Phomicide. est btes croyant ou 3i vous dtes croy-- 'ous jeter une im-- 61 s1 vous ne Pb-- ez--vous jeter' un "1de, cat ja-- > ce qui: est perms a la hw'h;rm'?eptdhaufim lm'am"l; ',m (ki-- C.) Samedi matin 3 Janvicr 1863. hout L aven du justice. M innocente. Done, voild une femme qui pour ne pastner son enfant, doit avoner n'elle a tué son pére. -- Rlle Pavoue, E'M'cn du coupable, triomphe de in jnstice. Modérez--vous Paccusée était sentais mon enfant remuer . j'ai J'E tout ce gu'on a voulu, et on in'a fait sortir." , oal.....Cbnqu;o i-m;' sortir, et on me d vous sortirez. A In fin, comme je fol® en six on sept semaines. Le présmdent; C'est qu'alors vous ne le demandiez pas, Lacousée; Est--il possible de dire 14 promdent; Mais vous sortiek? L accusic : Je ne euis sortic que deux fois. Le procureur général:; Oest donx fois par jour que vous vonles dire { L accuste : avec vivacité : Denx ou FPon m'a pl;;éo: -(?é-t:it-,n' sans air, fermé & double porte. Le président: Mais vous s ho e en tr Py bmammu-gl:éuml : On ne voit pas qu'il ait été exerco sur vous an-- cune: pression ; il y a des cachots dans la prison d'HazeUronck ; il n'ap-- pll"lvit pas qu'on vous y ait mise, Laccusee; Ah! oui....la justite, je youlais le faire sortir pour que imon enl'lm eut on appai, _ _ Le président : Mais puirque vous étiez stire dé l'innocence de .:]otra mas ri, vous n'avies 2u'l attendre . et & vyous en remettre & la jystice !.... . | _ Lacousé : Eh! sans doute, puis« qu'ils m'ont--foreé--& parler ainsi ; sans ceia on me laissait au cachot....... Ah ! a1 je n'avais pas 6té enceinte....; mais je vonlais sauver mon enfant...et puis je voulais qu'on donnét Ta liberté & mon .mari; clest pour cela (;l;ev)';l-' tout pris sur moi. _ _ Je vous ai montré la torture en Suisse, Voulez vous voir en France? Lisez ceci, cest un dialogue en cour d'assises entre mne accusée, Rosalic Doise, et un président : "Le président: Mais enfin vous avez avoué avwbir nssassing votre péref _ 00 _ On le voit, la peine de mort n'est ni exemplaire, ni iuate, ni_ utile. Quest--clle done? Ello est: Sum gui eum. Elle a sa raison d'6tre on efi: méme. . Mais alors quoil la guillo- tine pour la guillotine, cest do Part pour de Part 4 J'ai été fort insulté, il y a quel-- ques n.ois, pour avoir os'vdire que Cétait l4 une cireonstance atténu-- ante. _ Dumolard, volenr & l'dge de « ans, était orphelin d'un guilloting Pror es o 101 N. S it y et voild la veuve qui urmotitue pour vivre, et voild les orpheline qui volent pour manger, _ | _ La peine de mort a des partisqns !| de deux sortes: cenx qui Pexpli-- | quent et ceux qui Zuppliquent;. en | d'nutres termes, coux qui se chargent de l1 pratique. -- Or, la pratique et la | théorie ne sont pas d'accord ; ellea se donnent étrangement da réplique. Pour démolir la peine de mort, vous |navez qu'a ouvrir le débat entre la théorie et Ja pratique. / Econtes rlu-- tot. Coux qui veulent le supplice, pourquoi le venlent--ils ? 'Est--ce parce que le supplice est un exemple t Oni, dit la th&rie' Non, dit la ratiq ue. Et elle cache Péchatand le pYun quel-- le peut, elle détruit Montfaucon, elle suporime le crieur, public, elle évite les jours de marché, elle b&tit sa mé-- caniqhe & minuit, elle fait son coup de grand matin; dans de certains pays, en Amérique et en Prusse, on pend et on décapite & huis--clos. Est-- ce parceque lw peine de mort est la justice ? Oui, dit la théorie ; Phomme était conpuble, il est puni. Non, dit la pratique; car Phomme est puni, cest bien, il est mort, clest bon ; mais qu'est--ce que cette femme? Cost.une veuve. -- Et qu'eat--eg que ces enfants f Ce sont des orphelins. Le mort a laiss6 cela derrigre lui. _ Venve et or-- pheling, clest--d--dire-- punis, 'et pour-- tant innocents. . Oiest votm'iustiuei i Mais si. la peine de mort n'est pas | juste, est--ce qu'elle ost ntile. Oni, | dit la théorie, ]e cadavre nous Inisscra | , tranquille, Non, dit la pratique ; | , car ce cadavre vous légue nne famille; | , famille sans pére, famille sans pain ;| ) in t & 1 ffl Bf D T C Y sokd® Cmm No oo e ovet c esn Ese [dl'bats, devant tant de crimes nés des brutalités de Pignorance, un avocat crut devoir gt pouvoir .démontrer la nécessité de Penscignement gratuit et obligatoire. _ Le procuroungénéral l'interrompit et le railla. Avocat dit, il, ce n'est posnt ioi la Chambre, Non, monsieur le procurour--général, cest: ici la tombe. 1 Hefiqifiu::il;;aé Z,T;.}TJJ;: ébats dane ucle, parenthdse il somblait réeulter dos n'vfl:'n'om' 'un nominé Rabet, que 2 guillotinés des années pt'oéde:u'tes, &oedu- ot Goske, étaient peut--étre innocents \qul peut--dtre !)--au milien do ces " Ces chemises !y corde avec hYulh ila pendu hier et avec laquelle il pen-- dra demain ! .. , : Tant que la peine de mort existera, on aure froid en entraut dans une cour d'assises et il y fors nuit. f En janvier dernier, on Belgique, ll'froqu: du' dbhu.d de Chnrlm'»y_.-- & des chemises l4 corde avec jour _ je demandais & me digait: Avbnez et Je ne sais pas, mais 1A a l'Age d.e cing un trou 1 n'y e pus de pétt le. Je l6 dini-i{y rlpvn X:fimmxl_- Belgi= 23;' P me: ¢r«m'm"?fi:§ 16 ; qu'il me' is de To ré: péter lqll Sfla't ourdhiti, -- La ndenr d'un" petiple ll1£e mesure Fi&l'n@a Mr quie la dent d'un hotihit ho ' se nsnnfi"wfi le. T'anidné mestre Cost la quantith d'intelligence ot la quantité ga vertn. Qui donne un grand , ex grand! Les petites ndflbm%c Mn&b joar oh, & edté pzl:fimnmu'm' Y ter re 'qub a'obetinont dane -- ne, dane la guerre, daté® _ Quoi qn'il en soit, monsient, cette question énorms, Je meartre légal, (v;;:- allez ,}i '::o;mer de nonvam. ! Ne 6z pre prise. " Que lek h:m"mu de bien n'm-bnmm &A la S TTE TT Eschyle, Bophocie, Tewic, Job, I'y- thagore, Pindare, Pluite, Lncrdce, 'Vh-{ll, Juvéna!, Dants, Cervantes, Bhakespeare, Milton, Corneille ot Mo lidre. Oe serait & s6 tenir les cotes, Tons les hourmes serienx éclute~ raient de rire; 'Tous les gone gravee hansserniont l6# 6panles ; Johflull anssi bien qne Prud'homme. Et de plus ce serait le chaos; demandez & tons lea parquets possibles, & celui des: agents J: change comnie & celni d('l] procurenrs d roi. M id ied dnR Al II ferait bean voir une aociété née et une civilisation condnite 2 1200 000C ASRTION reau, oi en serions nous ? une socié-- té n'ayant pas Ia mort r . code, quclleyohinpn::. | la vie, ql:,:llc uto-- pie ! 1'u'ut-cc que tous ces faisours de réformes sociales / dn(rlm. Gardons--nous des poétes. qu'il faut au genre humain, ce n'est pas Homére, c'est M. Fulchiron, Je sais bien que les philosophes font des songe--creux. _ A qur en veulent--ils? V raiment, ils prétendent abolir la peine de mort! ils disent que la peine de mort est en deuil pour I'Eumunité. Un deuil! qu'ils aillent done un peu voir la foule rire autour de l'échafaud ! qu'ils rentrent done dans la réalité ! oi ils affirment le deuil, nous constatons le rire. Ces gens 1& sont dans les nuages,. Ils crient & la sauvagerie et a la barba-- tie parce qu'on prend un homine et qu'on couvre une téte de temps en temps. Voild des réveurs! pas de mort, y pense--t--on? peut--on rien imaginer de plusextravagant ? Quoit plus d'échataud, et en méme temps, plus de guerre ! ne plus tuer person-- ne, je vous demande un peu si cela 'a du bon sens ! qui nous délivrera des philosophes 7 quand aura--t--on fini nfe- u{-céme-. des théories des impossibilités et des folies ? folies au nom de quoi, je vous prie ! au nom du ro'rél! mot vide, . Au nom de, l'id&l * mot sonore. -- Plus de bour--| Cest &A un certain' respect mysti-- rieux dela viequ'on reconnait lhom-- me qut pense. . _ _ _ Non, ne nous lassons pas de répéter ce cri: Plus dréchafaud ! mort i la mort! Il y a rr(\a de Paris un champ hi-- deux, Clamart. Cest le lieu des fosses maudites; c'est le rendez vous des suppliciés : pas un squelette n'est l&.avec sa téte, Et ln société humaine dort tranquille & coté de cela! Qu'il y'ait.sur la terre des ¢i-- metidres faite par Dieu, cela ne nous regarde pas, et Dieu sait pour-- quoi. Mais peut on songer sang hor-- reur A ceci: un cimeti¢re fait par 'homme ! Vous ne vous étes done jamais penchés sor I'inconnut "Comment osez--vous 'précipiter 1& dedans quoi que ce solt? Dés 'x'io sur le pcv% de nos villes, un ¢chafaud apparait, i se fait dans lex téndbres autour de ce point terrible un immense fréemisse-- ment qui part de, votre place de. 'Gréve et ne s'arréte gqu'd I}icu. Cet: empiétement «'-tonneqll puit. Une exécution capitale, c'est la main de lm société qui tient un homme au dessus du gouffre, s'ouvre et le lache. L'homme tombe. Le peoseur, a qui certains phénoménes de l'incounu sont perceptibles, sent tressaillir la prodigieuse obscurité. O hommes, qu'avez vous fait? Qui done con-- nait les frissons de Pomore ? ou va cette Ame ? que savez--vous ? [A eté suuvée par la souquenille du | torgat. Sana les ~cirvonstances atté~ nuantes Rosalie Doise, quidet vi-- vante, 'réhabilitée' et Nbre, serait & cette heare, comtme Lesurques, un squelette sous Ih terre et un spectre: an chevet das juges. Récapitulons. o Aini' toutes© les «questions, tontes sams exception, se dressent avitour de la peine de mort ; In question s0-- tiwle, in question tnorale, in question g;fllmphique, In question religiouse; lle--ci surtout, cette: dernigre, qui est l'insomdable, vous on --vous coinpte MAh! f'y i wi voulez tw mort, 'aves--vous it Aver--vous--médité sur cette 'brueque 'chnte d'une huamaine dans Pinfini, chute inattondue des pr ofondeurs; ap rivée hors de tour, sorte de surprise redontable faite au : mystdre ? 6'01:! mettez un prétre !d, mais' il tremble antant que le paticnt. -- Lai aussi, il ignore. . Vous faites rassureurer la | noireour par Pobacurité. + ' condamnuer Pinnocent {u":x travanx foreds & perpétuité, et Rosalie Doise oltes, 1# justice 'anjourd'hui pour no oo ce o e -- rociété ic raPr L2 M""'""T'i.; io attociiion qurlet utoua enthousiseme ausx érix de : Vite P Emporour 1 Puie W senties, los grands 6t t :;",'!'Nf-.-r'h#-!m it einarihe dadutaiyy oAne m ced d ced telots, ot nyant-- en této de oapitaine 'dt vairseat Bourgeois, « commandant :g'ak.l"ork. Arrivée on face d w«m« «olumne se formm® on F et, an: milica d'un -- ailence, lo commandant > rappelay on qualques: 'parbles veruants (ueagbh 200 Pat 1'6pée. Nos gou~ vermania prendront--ils ca fhit pour b..se da leur netion t L,e people exigera--t--il qu'ils #y eonfotment ? Lo tempw nous démontrara de la répdose a cette querntion Il?m- 3::1 Jn puuhduupqru' 1 Dimdgrité dé cette nation. . Hélas! n'est--ce déja trop qu"J faille soumeitre & de :..fin..m. le sort des Etats--Unis ? Que I'on #uppore 16 Nord ot lo Bud chan« nt de 'réles, Te Sud pourrait--i au ug der E';dunfl Jumais 1 I ne faot pas se Ubguiser ceite v'nun'ul;u nous ne ponven sou-- mettre Pesprit du Sud par 1'6pév. Nos gou~ vermania prendront--ils ca fhit pour b..se da lgur netion 1 Le peana' Avioues ulA Homie semaines : on ll'l;l:";' ;;rchxl:r ces de celte pétiode pour un-- d'armen, i nopoe s e en mntet tépassent cent fois celles: dn Sud, ut 'par Pappligation de cette puissance, nous momm-- mes eOrs de forcer Peunerni & mettre bas los ;mmn. Mais celu n'abaitrhit pas Poaprit du La Russie ot P Autriche ont--olles southis lm Pologne ? Eilles wont pas;616 ot clles ne so-- tont jamais capables de briger--Posprit de se nobre peuple. LAngleterre lnl»ufiu subju« n6 l'm-nde' Elle a'essny6 d'y parvenir gnpmn sept sidoles; les Irlundais wont enoore aujourdhui des rebelles. L'Irilunde, in Hon« gie> In Pologne sout eu. In possemsion mili-- Inire de Neunemi; mais un pareil élat n'ast pas la paix, Gest Ta @ierte, Then sere de thEWE #Wies'tious: at he sil.. CANADA CENTRAT (Nous trouvona' dans un journal de Bostan, Ip Goston Puoty les réflexions sinvantes sur Je résultat probable de _ la lutte maurtfidre ui desole fiu Etats=Unis. _ 8i in presso du ?Jurd était moins uveug 6e par la passion, ai ulle ue donmait la peine de regarder un 'peq dans Pavenir, elle verrait que les 'ennorhie du Nord ne sout pas ceux qui proposent une trove dans le but de terminer le différend & P'amiable, mais teux qui poussent le you« vernement de Washington & une guetre i outrances qui finira ~par dégenbrer en une, guerre mans quartier t i w o uo dn o e «O' peuple de Geneve, votre ville est sur un'lac de l'Eden,' vous dtes dans un 'blen béni'; 'toutes les magniy ficences de ta créfition 'vous environ. nent ; la contemplation habituelle du hean révale lo vrai ot iu%ou ds devoiré ; la givitisation doit dtre har-- monie comme la nature ; prenéz con-- acil de toutes ces clénietites inorveil, les, : eroyez--en votte ciel radionx, la bonté deacend de Puzur, nboliseez t'e--\ thafand. No soyez pas ingrats, Qu'il ne soit pas dit qu'en remerciment ot en 'échange, aur 6ct admirable coin do terre od Dien'montre'a Phomire | Jn splendent sacrée : des Alpes, 'Ar--f ve et le Rhodne, I¢ Léiman bien, le | Mont Blane dans une uuréole de' as' leil, Phomme montre & Dieu la guil--f lotine 1 i ioidl ET TT 'r'l'v Lo 'faive reviyre soug in aspect votreau le vieil antagonisme instructif : Ge-- nave et Rome, et d'offrir aux lfii'lnh ®t i In méditation du mondé civ i"l d'un 'coté | Rome et 'sa -- papauté qui condatnne et damne, de Panutre Ge-- ndve avee son évangile qui pardonne. ie El s m \ 1 thics Ed k' pél * pél chics ln ; de ...t.;{';g;.'.;'-',{gt';' 'r:.lt ldl_!'lple'%QAO. sorait grand dé t dans la mort, elles z d:]womnnt nllmu t f:m-iw abhorreront .10' v€; \l"lw Péchafaud, ghri:onn Nf"'t'h' souriront, 'sercines: ' comme '&t Les mots sont vaine .si ! les: HGuut sont pas dessous. -- T ne suffit pasé--. tre ln xubliqu, il faut ~eneoré Btre la liberté ; .il" no suffit pabd'dtre la déemocratie, il fauteticore 'btre "Phu-- imanité. Un peuplé doit étre un hom, mey'et ui horime doit étre fine &c.' Au moineat on toute?Barope regule! il serait benn que:Gandve avancat, Que ht Buixse } son@ge, ot votte noble petite réqmblique on partioutiert/und r\éedbllique'jlq_lne 'on face des thonar--' La conquete du Sud. Wt ie sdfoman utlo on in nouguete, / iJ «tinfetice. 1| n'y avait ¥tunten depris queIquem 4 39 b,u .}]!mhmu v3l se ;d.}{.,'n '_'Jié'.'fi-'.,.'.. weur w S suspension P 0 b do | thrvibe ati ...m Appréaisyoe 'm" cRotid Tectivement lr';hhht 'pr)m;;%'n:: L'Mmkflum 16 likté ci--des-- .%MM('MMA,'W'Q [m princs | Albrt w \priv: un M&::n Frédérik Rowam, 6 m hhm@? v 'aw;uu.o'm cbutts'et. aghe» parttralles ; n 94 & *"Ce lives a 616 choisi; pout hn ti8#8)¥on,, Reragrreniryenr 'whites 46 eonfori or dBdthemt in i) 1_ * Gne 6eliv¥e s6it de Zachokks d 48 i Whine l'fit,.v adit sorti do ro-- iess re vit e dom sta . La.reine d' Anglotrre f dinbsoat on oA TorBatuits) omm Msm ente eP 1+ r""fiqp'bnflfimm 1 n t PBE 1 ul#pl&o blindages plus solides. , Umjen-- nlL eutennhi de vaissesv, yient d'mmir tu ;\\iMilb;c te la mariné Jn'n :n}t m do 10,000--fr.. poor 6k périmentor it lm-. de boulits d-:'nwmnm persér Tob > 6ui~-- rassen les plus 6pmjaps,,, snteAm On dit: que No: famidin Weddinedlycs ccl 202 C 0EC OM los viesdinix d goetre pout m zfi:': volnérables, Jn dionce «o Payth ," dou» j on tes, trouve: ie mdyon €8 'Wihidre %,mquu plus solides., Umvjen-- Ne (Heutenaht da estlll l " i2200 IMETET nous ? on '1[0!;.-:;00:; n POC" l'mnrter a une nouvelieear-- casse. La lettre par laquelipreHe ex-- pligue a sa fournisseuse Joé motifa de cette ladrerie.se termine\ alugi : | "*V¥ons' concevez bien qu'ilome faut , yiger & 'économie, Les impots pous fuipent.. Mon .mari se grauve coupé J'. 190 dollars a. cause~de la faxé sur, 'Jq revepu. . Ab |.ou" allone-- Dt NC RCCEREUIMUUR l'éconamie, , Quand le mieuz blom ira de 1a maison Blanche, ne faut--i} pas que 12 famille ait de quoi: vivoter & Paiso, daus l'Illinois, dWautent plus que le Président . est, patfaitement s0r de ne.plus;6tre choui pourtenir les réneg tru char de 'Etat f Aussi Mume Lincoln ao--t elle déErni n vieux @AL.Ot, en a--t--elle:envoyé I¢ velout &sa. modiste A New::Yor{. pour l'adapter & une nouvalla any. MADAME, LINGOLN x7 La bfiért DK§ TEMRES~pMme Lincoln--me bait point,les chapeaux do. ia--honna.. f.i_ Mang To d i8 ID monP °+ {uagu't péééent ln grandé ,i'¢m"*po- ig ée I'Amérique. -- Cette année on eatimé qgie de 700,000 & ©1,000,900 cochons seront vendus pendsqgolt saison de Pompaquetage. . ; *' --On écrit de Londies )0 UR ?flcni DE :.;ulcmd.'.--, $ Cago eat 'devent le plns (1 tant marché au lard dy n'n'ond'q. GBD npée dernidre '514.000 -- cochons om %té »lh;tsuh 'dar(;l catte'vil)g.' cg qui dpn- ne 38,000 de plus qu'd' Cinciunati Thknti'A nMunl: v.' .(!.;.u..:_' L'Jfim' 2 --On, lit ) "A la demande'du colonel c;?&mhhn- dabt la garriibbh angliise 6t dé * ou-- «verneut dePile, M. do Rdng\fimm a mik & lidieposition de 'F'aumdhid@du régiment de SuinteHélére tho wille «do dn --maison do NewfTouse, flgnr y dire la messe» anx-- soldnts icatholi-- ques docee régitnpnt. (Cotto uvesre, & luquelle : le commandant> consorya-- teur | ot 008 soug--gardiens assistent dhabitude on grande tenue, «s6 dit tous les .Jundis, pave que «l6 «diman-- che, Poftice ast, oélébré% Jamee Town Pour Jeg, habitants catholiques de cette. localité, Peoieet t Sfreite e k Nce EN T NOR uns e Napoléon ; cettd.yisite s gocou dank l6s mémer formeg qné.fi'pla 'l'é(iulpnge de In .Porte, et. los tle In Lotre no 'se mohtré":;' moins S(hi_rfl'f fi;l'egnppl:tet@?l\q' Doh ecy CCE C | de 'Euperour; NnPoGu m quant d Sto--Hél&nd. Tis l'fl..'%l- hnhntul'hmothdi.q:l,n le chez lo,commandent de Rengamont. . Quelques 6 ApTGS, lo., rt A vapeur l'fi venat d? % Chine,mouilia en rade de. ameg t le'fimwunt do. valsseau upin, commandant cg trans Cb .. init see hommen on pélcriqr;qpumu » ge 1;( ispol&ém 4 cg:tdym[p !MWR: ns (68 mmémes . forme¢ qn f Péautsada ons (U qh OPF 409,00100 ; d Bnimrecs buoain lrie véf ho .c c do t Rhgporen oo oceo m dlpar Lemjéme : four, /10 edntiitands k Bourgeois ot las p}w',:'.:.'m de son -- bord mmt'ilvwm par. 16 vieg--consul ' de'Rrinée; 3 sa if um 2 ad 0B 20L nreireeiaie, furont dis ."':"":"dewd.h' 'hmu: is front. aussitot--ane grande opmpon-- l i daon 10 Courrier d' Hévre eapre gyu'on blinde et, quon) oui mx'?h fruetre nougfi:_»m;;: -- in @4 qhtfl;uux de la--bonnes fai-- mais, elle.aime encore i mieux du char de 'Etat 4) Aussi neoln . o--t elle déEmiwun @au.et, en a--t--el onv.:{é ?xu modiste A New--York, 9 C 1i 104 Wl 2 e * J four

Powered by / Alimenté par VITA Toolkit
Privacy Policy