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Le Courrier d'Ottawa, 20 Dec 1862, p. 1

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do salles & m 'ut::;-:vllvutn. shor, sont fait | ~ oo tos milionrs materiea wet dPaprés® les --modéios los plis nbuvreant SRB Wos mantdaspries sot Attonda Péiat dee affaires public toutes now marchan, A anciété rl # ¢i--devnat existé entre MM. LAPIERRR ot LEBRAU est dissoute de «e nrentement mutuel, # affaires de 1: 'ci--dewant Société' seront !'hn M. 8. LEBEAU seal aotorisé & PRIX DR !fllqulv . WEIL & BRAUNsDorRr 125 ot 197, lvw #treet, New Xork. Exportation pour is Cannaa. mmma C u2 CC TE M. ARCHERS, vient d'acriver avec un grand assortiment d'optiques. Ottawa, 31 juillet 1862, DISSOLUTION DE 80OCIH TR Le Dr. Stanley a ce jour op éra mes oreilles pour surdité av ec n , sucees ordinaire. J'était sourd depu!s 80 ans a part un bourdonner@ht con-- tinuel dans mes oreilles qui était par-- fois des plus affligeant. On me recéth-- manda an Dr. Stanley, et jél®uis heurcux de dire qu'aprés avoir. été sous son traitement quelque _temps i1 A réussi a me rétah?ir PouT@® et je puis maintenant entendre Russi bien qu'avant ma surdité. Je n'ai sofffert aucune doulenr dans Popération. Wiriax Beut. Nepean _ Orrawa 19 sout °62 LA VUE LA VUE MAISON AUMOND, RUE SUSsEX, 100,000 DeHMars do Moubes. UN AUTRE TEMOIGNAGE &¥ FAVEUR DU Dr. STANLEY, Jo cert fie que le Dr. STANLEY a aujour-- d'bui opéré pour surdité avec son babilité or-- dinnire, J'étaid tout'd--fait sourd de m +n oreiile droite d puis 30. ans, et_ souvent dana Timpossibiliié d'entendre de chaque coté. . De ylulj"lll.ndl'il uo bruit dans ma tote. ___ Agaot réussi je recommande le Dn. Stax viyet je puis ajouter qu'il n'y a point de dou eur dans Fopération. Tient des Cnarzavy nATR, HamtueactyTs »'Exrants, GanyiTores, Manteavx, arc. are Je certific par la préun(er%ul le Dr. Stanley ace jour opéré sur ma surdité avec 1: plus grand succes, J'6iais sourd depuis plusieurs monées, et 15 minutes aprés Fopération & mon rand éconnementet plaisir J'ui regagné FouTs. 5lp6r-nt de lui prouver ma gratitude je te-- mercie 'pub iquement pour le bonheur dout jo jouis ma ntenant. j _ J'ai T0 ans, et Javais perdu toute dentendre de nounean. Olpt, 'e2. OCCULISTE et AURISTE, peut--atre con-- sulté a PHOTEL DE I)IIRION. Les personnes qui lou bept peavent etre guérie en CINQ MINUTES. Ottawa 31 juil862. Cartes d Affaires LA VUE, L'OUIE, CATARREE Temoignage e;--nlveur du Dr Stanley, Auriste & Oculiste. Bellevue Farm euxieme Annee Orrawa 12 Aodt 1862, UNETTES PIROSCOPIQUES P 0 U R T 0 u--TE vu E _ UNION HOTEL BMile. $. Hrarrigan, LA GORCGE; Copie d'une lettre A. STANLEY, -- JOHNLANG Sr Orrawa, 23 aoft, 1862. MoRis'rE" PREMIERE OLASSF, Copie d'une lettre. Copie d'une lettre. is la Rue York, oT TAW A * allaires .noue offrons an matchandi «06 & ta¢ be salons, de biblisthaqies Court--House Zv;'nn." Pres de la Prison d« la ville @« OHS LAPIERRE SILE8RAQ. ET CAma artcms. E. KING espérance JOURNAL PUBLIE® DANS LES INTERETS FRANCO--CANADIENS DU CANADA CENTRAL, Cont qil veilent acbetse a + ** ons 17 Pooet n 1t viteoiitities. .IMION LEBEAU MARCHAND DE CHAUsSSURERs RUE SUSSEx YIS--A«--¥I8 LA RUE YORK . ie "'"D!' ... v:f'vm-hw com Toutes les soumissions doivent porter lés si-- gnatores do deng mulv-tl'u consen« iant d garentir exéontion convenable et sa-- tisfaisante de Nouvrage. .Rlles doivent étre adressées anx soussignéset endosséan Soumi-- siom pour les portes d'écluse." On peat voir les plans et les spécificatines A ce buredd, ot d celui du Canal Lachine, Mon-- tréal, le 0 apres LUNDI, le 6 d'0CTOBRE, uon n eneat S 0d Ton poutra se procurer des formnles de s0u -l:'bu i_-pvi-'u. Magasin de Chaussure DES soumissions vensnt de personmes com-- pétentes désirant entreprendre la cons-- truction d'une maniére satisfaisaote et la four-- niture de portes d'écluse pour les canmur. ci-- dessous' mentionés seront regues a ce bureau juequ'd mudi, LUNDI, le 20e d'Oewbre pro-- eh(l:in, nvodir : anaux de Williamsburg, Une paire de por-- tes d'6cluse. ® 5 ®° Canal de Cornwall . ... . . . Trois paires Canal de Beauharnois. . . . Trois paires Canal de Lackine........Une paire © 00 Les portes doivent dtre comstraites dans 1 voisinage de I'un ou l'autre des Canauk ét 1i vrées & "telles places sar les Canamit respectifs que le département des Travaux Publics pourra le tequerit. / ] Avis aux contracteurs LARD, JAMBON, FLEUR & Hon. Jas. Sx-:-u:,-} Worxman & Gatrrin LEDUC & CiBBS, NEGOCIANTS COMMISSIONNAIRES CHICAGO, ILL. Département des Travaux Poblics, Reduction de Prix. Depuis le ler de Maile prix de passage par les chemins de fer d'Oitawa, Prescott, et le Grand Trone est réduirt aux Tavx v'éTé comme suit : D'Ottawa & Québec,--lere Classe . .$7. ©o a _6 2nd .. 4. © _ & Montréal, lére -- © .. 4, 4 / g «« 2nd «.. 9. Chemin de Fer d'Ottawa et de 'PRESCOTT. le S'dresser a C. B. RICHARD & BOAS 151, Broadway, New--York. Tentonia, capitaine H. Taube, le 29 nov Premidre cabine : $115=-- Seconde cabine $20----~ Rutrepont $40, Les bateaut & "J d pague bot ham d New--York nour E Qurseq, 21 a0011862, Hambourg, Southampton, Londres Orrawa, 28 Aofit, 1862 Prois--Riviéres. 21 'aodt 1852 A. Leduc & Cie Do n en d pague bot hlm'url--hméricn'n. ariiront 1 New-- York pour Haw: bourg via Son(t-mp!on beo In malle dos Etuts--Unis et des passagers per le Hdre, Londres, Southampton et Ham-- verg comme suit ; Borussia. enpitaine N. Trautmann, le 4 oct. Sasconia, capitaine H. Ehlers, le 18oct. Bavaria, capitaine E. ,\t'eer. le ler nov. Hammonia, capitaine H. F, Schnensen e 15 nov. Quédec, 2 Octobre, 1862--27. Negociants Commissionnaires en general 28 aodt '62.----3. m Ll Soussigné informeses amis en général qu'il a fait de l.-"."."l'tl.- & 1'Hotel sus TTENTION chat de IPPont uh abfundr@Acemaiii c adil 2 Les visiteurs troureront toujours ses Omni au débarcadére des bateaux--d--vapeur et & rivée des Chare. La table est toujours bien 10 Ses prix sont des plus modérés. THNlAY 6 MaAMe: 15 ET.17 RUE SAINT--GABRIEL. AMERICAINE BRITAN MILWAUKEE (WIS) AC --reat courayt PROPRIETAIRE: REcoMMEMDATION : . Sxean, J. Aumonp, Eer., MM M Toh MONTREAL. SERAFINO GIRALDL HOTEL toute particuli¢re dans Pa JNO. R. WHITE, P " 208L ordwmsceU 08 uiteg, ibowms®. (.3.0) awart0 * , our ¢n fer do ln compagnie Ruoedtat. " T. TRUDEAU, Becrétaire amis et le public ot le Havre comple grandes --mentionné UE Pour faciliter la --circula-- tion du Courrier 'pdrmi Id classe agritole, nous infor-- mons sles cultivateurs . que nous prendrons toutes especes de produits, th paiement de se e en EL w na ble de Penvoi du dit jonmat EW Nous avons adressé pour la der-- widee fois d nos lecteurs, les comples . qus vous sont dus. # Aux Cultivateurs. _ 4°© Tout souscriptear <ui chan go de localité, sans en donner evis au propriétarie 'd'un journal at qui est cause que le journal Ini ost adress¢ au bureau de poste, de sa ci--devant résidence, est te. 2° Tout souscripteur qui ne transmet pas les arrérages qu'il doit, au moment ou il envoie son ordre de discontinuation, est ex-- posé d recevoir son journal et d' payer tous les numéros transmis, Jusqu'au payement de tels arré-- rages, _ \ 3° Toutsouscripteur refusant de prendre son journal au burean de poste, ou il lui est adressé, est responsable de Pabonnement, jus-- qu'au payement des arrérages ct ordre de renvoi ; renvoyer le journal, ou refuser "de le prendie au bureau de poste n'est pas avis que la loi requiert-- 1 _7 Lout souscripteur qui ne doune pas ordre formel de dis-- continuer Fenvoi d'un journal, est censé continuer son abonne-- ment. McArthur, Robt. McCracken, John MeDonell, Ranoid MeFarlane, Crawd T. Warwicker, Thox. Wamsley, David West, Jn. Jumes Welsh, Mrs. James Wh cler, Moses Loic»aa cernantles jouxr.an X Valiquette, Favier Taylor, Mics Elizabeth Thompeon, Otis * Tuylor, Miss Julia Thibeaalt, Augusta Thompson, Mary Elinor Trerney, Miss Ann Turgeon, Chas. Sache, Chas. Schramm, Mr. Scobie, Walter Siguin, Edmond Reed, Capt Ticers. To Quinian, John Paul Peter Paquette, Etmelic Paulo, Andrew Pearson, Mrs. Harriet O'Brian, Moses O"Connor, Richard Maskell, Edwd. Moss, Miss Mary A Moffatt, Alex. Morton, Dr. Nantel, Alphonse us 6i T Lane, Alfred Lalonde, G. Lealic, Geo. H, Leblanc, Louis Lefeore, Hypolite Jean, Andrew Jobnson, Jobn A Kelly, Mrs. John Keuse, Andre Kealy, Darby _ Hays, Thos. Harris, Thos. Haberiin, Jus. Hatch, Thos. Hallpenny, Joseph Didtin, Mre: Bliza Darion, iss Elizabeth Filiatraalt i to Floren, Goorge Gamble, jr., Mrs. John Gagne, R{rm Pmt'e'n Gibson, Mrs. W. W. Graham, Edwd. Davis, Duatien Delaire, Olivier Carden, Geo. Carle, detemish 6. Carline, Hugh -- Cuoy elB Cl , Mdile Julie Rustman, Daniel Eilis, John Eastwood, Thes, Evans, Samuel Caldwelly James Lottres non reclamp'es au Bu-- m_'fl'owhmiuhr + u*l' _ Armatrong, Charles MeTavish, John Maloney. Patrick Rouleau, Alexis Bweeney, Wm Koowles e Nesbitt, Jobn Nye, Mré. Sophia Woodland, it Mo Gravelle, Edmire McGregor, Robt. McKenna, Bridget McMahon, Margaret 'McBRae, Losad" Vaillant Whelan, Mick Wilkine, T. B. Williams, John Wilson, Mrs. F Wisden. Mr. Sims John Smith, Lawrence Htevens, Benj. Stokoe, D. Roche, Thos, Ross, Harriet A Quigley, Mre. Mary Putving Pierre Philline, Miss Elizabeth Prevost, Autoine Purdie, F. W , O'Neill, Dennis O'Neill, Mrs. Elizabeth Lemieua, Augurtin Liddle, George Little, Sophia . Lafleur, Joseph T Cur, Moisert, Mesurs Mowatt, Robt. Molton, John P. l_l:-rny, Wa. Kits, John 1. Kimber. Jobn King« George . Thos. C. Jobnston, A. R. Jobnston, Kennedy HMurris, John Hackett, Andrew Hickey , John Hobart, P A. Huoter, Capt. Grabap« Jumes Griffin, H. Grace Thos. ol ey, Elizabct Fraser, Dr.'(2) Grifith, Joshun Dodwel, Sophin Dunne, Mary Annc Il)nkin. jr., James ims, Alfred D:'-:u Mrs. Mary ol ey; Elinabe th Crow, John G. P. BAKER, Ottawa, (H.--C.) Samedi matin 20 Decembre 1862 Augt Capt ne yous, mesictrs, t manqueront, :lmi d::'m, pnmfi'lgn i '; um sinoble dabilscamartt. . Sn 1o prit--il en sonpirant, pmisje.commen-- cer tout cola sang savoir qui jo Iaisse« Ti io Pn l6 Anie 1 « répartit le vieux mar-- régnaient partou l id yie uty l B1 Diex me vie, dit--il an gonvernenr, je 'm:u d'imiter, & %--Pét?ngoyr& Neeuvre d; Lo;-h Pk h hotel des In-- 'v,dtdouh'ulrmnr.w.ubh né ime manqueront T blever Tos Tttments ; mfi Big omm it Suivi de son escorte, le czar visita toutes Tes parties de l'édifiue. Ba pers-- picacité, son esprit analyse lui fai-- 'luicntjuger, Jurenx qtte les explica~ tions qu'on mmm de lui don--= ner, de la n té des choses qu'on faiemit passer sots ses yeux et des améliorations dont élle !uicnt sus-- ceptibles. Il voulut topt voir : les dor-- w"?é';"vu' Ie.u'i-iniu, ri;flmo y rie, ise, et jusgn'au cimetidre q ut entourait alors l:ql:ablmenu de l'%o- ' tel, ot qui, de&»m'., fat converti en promenades. . Le--czar. parat émer-- veillé de Pordre ot de Is propreté qui \ --Vive le roil vive In France ! r6-- pétérent les Invalides. --Adieu, mes vieux camarades, dit le monarque en«so retirant, je ne vous oul):l{icrni pas. --Du vin, demanda Je czar en ten-- dant de nonvean son gobeiet au ser-- gent quile lui avait donné ;----mos awig, & In santé du roi, d l2 santé de la France ! M --Mes camarades, reprit--il d'une yoix de Stentor, Pierre de Russie boit & votre santé--! Et il vida le verre d'un seul trait. --A.la santé de Pierre! s'Gcrigrent evxn}uu les Invalides ; puis tous le saluorent. ' Alors un sergent liti donna son gobelet d'étain.' Pierrele remplit lui-- ménte de vin; puis élevant le gobolet att--dessus de sa tote: .' _ --Non,non ... s'6criale ezar en repoussant doncement le flacon que tenait le goftvernent, Cest un gobelet pareil & celui de ces braves, et de leur vin qu'il me fant. Un laquais a l« livrée du roi (dans nn temra-li, les inyalides étaient ser-- vis par la livrée royale) lai présenta uu gobelet dargent, et le marbchal vup¥ut lui verser du vin de sa cave particulidre. _ _ Cependant, surmontant bientot cette emotion: trop vive, le monarque reprit son humeur de,soldat, et ZIe- vant lui--méme le bras : --Ii n'y a que des Frangais pour saisir et fairenaitre de tels A propos--, Mon cher maréchal, vous me faites plelgrer d)u bonheur et de joic. -- --Mes amis, demanda--t--il A haute voix, donnez--moi un verre! _A cette sebre muette, inais subli~ me, le czar ne résistn pins ; i1 se pen-- cha en sunglotant sur Pépaule du gonverneur ét= In] «it d'une voix étouffée : A Paspect de ces iofiues tables oi quatre mille convives prenaient un repas sain et frugul, & la vue des soins einpress(s dont les plus vieux et los pias intirmes étaient Pobjet; an millieu du calme ot da sitence «ui n*tait troublé que pat la voix dun sous--officier qui('inait tout hant Phis-- toire des grands capitaines, Pierre ne put maitriser son émotion; une larme roula dans ses yeux, et atten---- dri il s'appuys sur le bras du vieux maréchuj; mais bientot cetto éino-- tion devint plus vivepet ses larmes counlérent avec abondunce quand il entendit que le sujet .do in lecture était la relation'de 1& batuilic de Pul-- tava que lui, souverain vuz"ugeur, avait gagnée naguere contre Charles X11, roi de Sugde. A co pussuge, que le sous--officier lut lentement et d'une voix, accentaée: ,, ... Pierre, ,dans ,, cette journée mémorable, sacquit ,, une gloire immortelle. i se battait ,, comme un lion, et aprds la victoire, »il étendit sa sollicitude paternelle sur los blesss des deux partis, ,:tous les invalides se levérent en silence et comme un seul lsopl_me, en portant & & leur chapeans Te tevers de la main gauche, tandis que de In droite, 6]6-- vant leurs gobelets, tous fixérent leurs regutds sur Pierre le Grand. ' --Cest «done nu réfoctoire que je venx' allér les voir. 'Allons, mea-- sieurs, uimna-t il en prenant familid+ rement le bras du targchai venes avez nous, si_ vous n'avez ricn de migux & faire. Pierre descendit lentemeut i' sea-- lier; carle maréchal do Belie--Isle métait plus iufi:mbe, et suivi de Po-- tat--major de Photel, du marquis_de Charnancé du comte de Saint--Flo-- rentin et d'une meute de valets, i1 entra dans le grand néfectoire. chest un soldat, et non un empereur, qui vient aujourdhui 'visiter les vieux soldats f:-anpain. Je ne veur %n que vyous dérangiez ces braves.... h sont--ils en ce momnt t demanda-- t--il avee vivacité @ux ufficiere. --Sire, -- répondit le gonverneur, cest Pheure J():Odmer; ils sont au ré-- feetoire. DE PIERRE l-'l',fi'lllll APARIS [( --Nou pas.... non pas, mon cher maréchal, interrotpit encore le czar en souriant ; je vous ai dit que je n'6-- tais qu'un ::oldn; je vous rgpéte que uky Tos. coara ce Ficrot Poutliot on du inrdgr Litterature. UNE Martinite d'Ottawa . Vous nous avez battus & Crécy, Poitiers 6t Azinoourt, cest vrai, bona d 2. 'Oriouns, & Bruge: # . Po. a y 'a» tay, Formigny, Castillon; si bien rendu, qfi""M'l talln déguerpir jnign'an dernier; 'Vous étiex mattres do i# Normandie, un asses bean mor-- centh, nous: rous en=@wons chassés ; nons vous avons chasds de Anjon, de in Tournine, do in Guienne, repris A *A brile int un journat 'de Paris, ls Aiomaly, re pond singi : \| mine la Méditerranée et posséde l' Al-- l fvérie. 1! vent maintenant Naples et In Sardaigne, et peut--6tre lea anra--t--il | un jour, La G rLcc, la Syric, Snez, | quelie belle perspective pour laFran-- |eo! Quelie perspective aussi pour l' Anizieterre! Et quand on pense que le Grande--Bretagne a dépensé 15 milliards pour empécher le promier Napoléon de fairece que le troisi¢ j me exécutera des qu'il le pourra ! Nous recommandons cet argtiment (aux partisans de la paix & tout prix, lqui voudraient voir |'Angleterre de-- jvenir une province frangrise! s ,semblent ne prs comprendre que si P'Angleterre -- doit dtre un zéro par-- ' mi les nations: si l'Emperctir, parl'T-- tulie et is Méditerranée, peut domi-- ner l'Europe on, pur.une alliance mé-- lnag(-u avec in Russie, devenir le suze-- Imin dn _ continent, et de |d fomenter -- une conlition contre I'Angleterre, les lnrmempmu qii nous cotitent tant de milliona deviennent inntiles, 8i pré-- ventuon vant mieuit gue guérimon, i1 serait assurément bien préférable d'al-- 'lcr an devant d'une invasion. an lieu de l'attendre pour Ja reponsser ! Que [I'Anglcterrv- se rowvfenne que cest elle qui, en défendant se« droits, A, duns les temps pasaés,, donné de s6-- véros legons & in France ; Crécy,Poi-- tiers, Azincourt, Blenheim, Trafalgar, Waterloo, mmFHmm, In J:ugede P'An-- leterre dane Phistoire des revers de f- France. L'Empereur a publique-- 'ment déclaré qu'il était uni & son ar-- mée par un principe et un malheur cotomuns. Le principe, cest le na-- poléonisroe, Cest--A--dire in »uwpui- on de 1'Enrope ; Je malheut : Water-- loo--et Bainte--Héldna. -- Verbwn s1--| @I/Einpercur, dit le Murning Ad vertiser, poseéde Rome. Cette ville qui, de fait, maie non de droit, Ini ap-- particnt, est ln clef de I'Ttalie. T1 do-- Tout scuvage qu'il était, le czar tint, denx nng plus tord, la promee-- se qu'il avait faite nux | Invalides, D'aprés les registros ie Photel, cing~ nante picces de vin d'Erivan arrive-- rent au Hiavro--de--Grice le 14 wep-- tembre 1719, et furent immodiate-- mont expédi¢cs sur Parie ot regues a Thotel le 23 du méme mois. vait pique. . Ne voulunt ni prondre le pis sur Lonis XV, ni passer der riére un enfunt. . Picrre prit lo pur-- ti de s'emparer du jeume roi et de le orter dais sos brsw pour entrer dans f:\ galerie, su grand scandulo dos courtisans, qui prétendirent que ce monarque n'ctait quo sauvage. } Loraque les hubitués de NCEil--do-- Beenf virent le wonargne moscovite entrer dans le salon d'l%urcuie' avec le costuind gn'ii n'nvait pas jugé n pro-- pos déchanger contre un mutre qui fat plus en harmonie avee gon rang ot sn renomince, leur surprise fut gravde; umis elle augmenta bien da-- vantuge lorequ'ils le virent affecter, aux yeux de la famille royale, une sorte de hauteur qui indiquait ussez %w le refue que Jui avait fhit Louis 1V, vingt--huit nos auparavant, P'a-- I\'uil: piqué.' Ne youlant ni prondre: I s im on enin o n e lniene Et aprde avoir saiug les drupenux qui sinclinaiont devant lui, fium pressa lo maiu du maréchal, adressa @u% soldats un signe touchant dadien, pais mouta dans la voiture qui avait amane le marquis de Charnaneé et le comite de Saint Florentin, pour nller & Versailles ol toute h cour Patton-- dait. * on ~tous ces vieux solduts 'étaient rangés on bataille. Le war, étonné d'un aussi prowpt ruasemi)!emuut, dit en souriant ; :do"E" vérité, on marche cn.Frnm]'e de surprise en surprise, monsieur le lnuflkgul: noue ?nln'l enfants du Nord, nous ne sommes abssi in-- génioux, clest pouvquuir\'oul ap-- prendrai tont d'abord que is vous nomme chevalier de l'urnre de Saint-- André, ot que je vors enyerrai, aussi-- t6t. mon retour dans . mes étate, cin-- quante pigess.de vin .d'Erivan (1) pour Pusage de Pinfirmerie de Photel. Le gouverneur avait en secret Por-- dre de réurir les Invalides avint que le ezar ne quittht Photel. Apn'!&fi m'régrinl.tioun de Nempereur, M. do e le--lsle le conduisit sur Posplanade grands empires quand les grands hom mes ue sont plus, _ quis 3! Vu_nmnleé. qui L'nilfance anglo--f; ancaire EMILE MA D SATNT--HTLA NeX protége les emier | _ Que le Morning At oi8¢ -- | bien, ce west pas aver urra'l | qu'on in.'inm]:» In ~F iment | sommes 4 Rome au n --PMiX, | gocial ienacc, an nom ¢ de--| tion mise en cause, an 1 Hs| tiunieme, dont nous w 100 §1 Let noue'o raabisenine " T surce et froida, constate anesi le relA-- chement do_ |alliance frangaise, ot cest méme |'un des gricfs de cette fenille contre le eabinct dont Palmers ton est le chef. . Voici comment le Morming Hera'd appricie In politi-- que dn cabinet P-fmernton-kuuoll: Par son attitude malgraciense, dit--ill a to.lement affaibli l'alliance frangaise, sur laquelle 'fmte sa force, était basée, que cotte alliance n,éxint plus--que de. nom... Il a mal hm toutes les qnestions de fimhfiqu 1 rieure et extérieure, & donnfi aux Italiens espoirsurespoir d'avoir Ro lancer dans F'embarras. ' Ta encon-- gunrla-nglluynnnieda Piémonptais. lans loa provinaas mpdlwur'& le nonvean roynume italien ; il a flert que Von mit A exécttion 1scn lo sentence prononcée voutre nn p« vre %de,fl «@6 "{ eur Ja . foi «d'an-- fux témoin.... Qu fait Padministration de Jord, Pain ners 'ton 4 Rion. . Elica un comptesérighx | i--'mfl «t eots dn-- quel i! veiuer, . None gommen| con 'en cas ute de cette. "fl ' r.' TE [ 1 Jns an. a pdifié ® * | | L'Angleterre, de fait, . pecupe ITr-- lande; mais en a--t--elle ledroit? Qu'on le demande aux Irlandais; qwon in terroge le suffrage univergel, Vargu-- ment sans repligue ; wil ly condmnne, s'il In repousse, qu'elle se soumettre, gqwelle rende & o'lv-mému In nationa-- lité irlundaise, alors noug Iuirecon-- naitrons le droit de bl&mar Poceripa-- tion de Romo. . Mais si, pour ses in-- terets moreantiles, elle reste A Corfoti quand méme;, gi, pour cquserver son rang dans le monde, u]lpL iarde 1'Ir lande, qu'a--t--clle & dire d fi'occupnl tion :Juqllb)me? Est co que si l'Ttalio donne I'v:xmnph'. qn'nlh-l' rappelle le lord hnut--comtnissnire t ses sutelli« tos ; qu'au nom du droit des nationa-- lités elle sacriffe une position straté« giqne dominant la routedé Constanti-- nople et des Indos. (]ni !i repous droft ? 8i on Ini do rester : prithons pas ? donne Pexem Lu Grando--Bretugne, de fait, 'oe-- cupe Corfon, opprime une nationalité qui ln repousse; imais en a--t--elle le droit ? i oui, n'avons--nons pas ce Ini de rester A Rome, oi nous nlop-- lzrfrfiun: pas ? -- Si non, qu'elle nous lités, lo droit des peuples; ete.. Or, nous sommes a Rome par droit de conquete, nous I'avons enlevée das saut song les balles révolutionnaires, @ puisque Victor--Eannanuel a lo droit d'étre & Nuples, de porter dans le pays la rutine et l'inumum. de fusil-- ler sous lo nun de brigand quicouque Iui resiste, n'nvons--nons pas celui do roster & Ifome, ou nous protégcons, au liou de fusiller? ter soug lo Iui resiste, roster i 1t au liou de Bi cos chiffres flagelient un pen la morguo britannique, en . revanche notre honneur militaire ng s'en trou-- ve pus plus mal. On weure pert dére pas toujours guatre--vingt wmille Prussions dans ses fourgons. -- A bou entendenr salut ! Lo Morning Adverh'cT prétend, aver toute la presse révolutionuaire de Frunce (tonchant et. patriotique accord !), que nous sommes a Rome do fait, muts non de droit.. Voudrait-- il nous expliquer ce qu'il entend par droit? -- Aux temps Pobsqurantisme, pareille question vit oté--ridienle; il y avait alors un droit publig internati-- onal reconmu ct admis par tous Jes peuples civilisés ; -- innis @njonrdthni nous avons le droit du plus fort, le droit du suceés, le droit des nationa lités. lo droit des beunles, ete . Ov. franguise nelt id Quiberon 4 Ls Mormny Am o'nt--il jamain entendu parlor de cette 'qxpédition, ou oi) 1e sovla pas uns poutte decang anglars en revanche Phonneur ~de 1' Angletarre coula par toug les porea# Waterloo! Eh bien! bong alliés, que prouve Waterloo t cest que pour lgattm 66,000 Fangais i faut 180,000 Anglo--Prussiens. . A Trafalgar, cest vrai, |vous avez triom'\hé; wais en cdt--il 6t6 do ind» mesi le corps d'officiers de la marine frunonise --neit vas néria Ouihason & lak us t agn t 02 OW Apmrme Viciosa et détublir son petit--fils sur lo troue d'Espagne t ties A Bh.msm. ;1'3'-»"" *m:,n'if: pti géné Y 48 hdnsw C 0h us 40 4 P .. i Poitiers, Agincourt sont vengés, glo-- rieusement méme ; nest--o4 pas votre avis t * * (o ow v : ind |rzopis oi wall(y'¢ gion, sous les traite--danc femme an vieage noble et les youx levévl v.'r:' l': F W une crolx sur mmppnh, S A sos plods, & rombre & m',wmllo, #'abrite le ; m mort, , reposant m;: voltime #.q leaquels i1 a 6 sea JOUrR ; ... . _ lucks s ._" Au litu de -- dresser:: orgueillouse-- ment une. statué snr un sépulere, le '-cnlrtmr, «'inspirant vec bonheur de in Y:mt- chrétienne qui a animé toute la vie dnjournaliste marseil-- lafey t composé un momument trds--re marquable ~qui--semble avoir tradnit dane la pierre des . convictions ot les aspirations do :Pécrtivain. La Reli-- ' ** Bes nmis--ct il ne comptait pas aprds trente années de luttes, un senl ennemi dans la population marseil-- lnise--sea amis out voulu consacrer #a pure.némoire par; in monument éri?(: sur sa tombe, it clest an ciseau de Partiste & qui on doit la statue de Crillon & Avignon qu'ils ont con-- fi6 Uexéention de co.travail, dont 1i-- nauguration aura-- liew le 19 de ce mois, jour de la--mort d'Abel. --On écrit t la Arance contrale: i+ Mereredi prockuin doit avoir lion A Murseille Pinangurstion du monu-- ment élevé pur souscription dans no-- tre métvopole maritima & la mémoire d'HonrynKobel. Je regrettable rédac-- teur on chef do in 3'% du Midi. en ng en e e onl * devaieut dtre postés le long du bou-- f LMN! du P:'in?.o Elm lgsmoment w e Pemperébt. 8i le pre-- + mieg.m;udt son cou?', le uognd ' | devait tirer & 'son "tour; puis, s'il ; échoualt encore, l¢ troisleme aurait ; | pris sa place, 'ét ainsi de suite jus-- § gu'q\ quinzi¢me, | J'ai aussi enten-- | du dire.--mais jo ne sais ce qu'il y a de fondé daus ce bruit, que tous | | les conspirateurs ont échnrpé. et que le gourernement est sur le gus . vive. |Quand aux Parisiens, ils sont, de-- | puis Pare de. Triomphe jusqu'd la Enrriéra du Troue, et depuis Mont-- martre jusqu'd. la barrigre du Maine, | sous Vinfluence d'une--prédiction sui-- | vant laquelle une terrible catastro-- phe devait arriver vers n fin de la décade qui a commencénvec la des-- truction de la --république. Je con-- vais plusieurs personne qui sout tel-- lement impressionnéespar ces ru-- meurs qu'elles:ne veulent pas assis-- ter & la cérémonie qui doit avoir lieu | le 7 décembre, domnllu crainte d'd-- tre atteinte uelque projectile égaré. Des m. m"la-t-o{; ('dt. out aussi refus6--de commundereurs toi-- lettes de cour; jusqu'a ce que la pre-- midre semaine 'de décembre ait 6té traversce en stireté par le gouverne-- ment, pour n'avoir pas leur garde-- robe montée en objet de luxe dans le cas of une catastrophey publique surviendrait d'ici--ld. E'émotion qui réegne ici ne petit s6 comparer qu'a la panique gui s'est ré;randue il y a quelques inois dans différentes par-- ties dlu Royaume--Uni," quand plu-- sieurs préedicateurs A sensationavaient aungncé gue, suivant les supputa-- tions des prophéties, la fin du mon-- de devait arriver A un jour détermi-- né. L/empereur, a ce que disent beaucoup de ses sujets, est sous l'in-- fluence «.{'uncdupprcheusiuu -embhlo- ble, au sujet de ceque lui réserve la fin de Iu&cada.wfl &. lui--méme, en montrant une certaine croyance & in destinée, . contribue a faire naitre la auperstition populaire a laquelle je viens de faire allusion. " | une: chote~ trop~sérieuse pour me | faire |'écho fle simple on dit. Mais, } au point oben lomhm main= ; tenant que j'ai--raison roire qu'il |y a du-- vrai au ford de'tout cela, j | n'ai plus--les mémes motife pourh{ | siter & entrer dans@quelques détails. ** L'histoire ost %uo @uinze hom-- mes, arinés de qlm ets, 6t que FPon dit 'btre 'genéraletment dos Ttaliona. ration :l]u &VJQQvu"d--;l;:Pdnu;E > 'al e a:;r on.d::il ru::l: ue j'.z entendu citpuler de h&o en bou» che & ce sujet, pensant que ' o'tait Cdm li" * Mard rh--u"-- impr&vn% E{':AH{ pm" d'acoré-- diter le flu qni s'otait répendu, qu'un wol qfl a i du corpa ayhit tiré gut 'ompereut dane la soi-- %rp"t;lflmtm.mp-h rem» pM E m C0l , -- AUK~ uglies . j'ai . fait, Ali\uiw dans ma fiemiém Slettre,...comme étant lm cause de l'ajournement.de \inaugu-- ndance Wul a 6t6 Adrdéato do Px. laissoné Nous W'Mb drés Pextrart @uivant "@"tne corres-- CQonaplet oqntre in vie do Napo-- * Touh ie wlshbes 6 boll .uebr04 .3 .4 ng eUOR, mitam iboms® es 1. nl¥tres _ font mm ioi Sn uistres 'sont us

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