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Le Courrier d'Ottawa, 25 Oct 1862, p. 1

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UIsS ULs atua ne, . asnt fls aousigl s c1CCE0tes & 'cou-- 74 les *'" _ Ne# menbles de shlon, de d salles & manger et do" chambrer 9 ueP A société qui a d:vvut existé entre MM. L LAMIIII ot :.IIIAU cat dissoute do Ouzentement matuel. Les afféires do 11 ci--devant Bociété seront mn M. 8. LEBEAU seal mutorisé & -M'... B DISSOLUTION DE 8s0CIETE M. ARCHERS, vient d assortiment d'optiques. Ortawa, 31 juillet 1862 MAISON AUMOND, RUE sugsex Vis--d--vis la Rue York, O@TTAW A Bellevue Farm ? Nepean -- Orrawa 19 aout '62 ; 100,000 Dollars de Moubes. Le Dr. Stanley a ce jour opéré sur mes oreilles pour nurdJité avec son snecés ordinaire. J'était sourd depuis 80 ans & part un bourdonnement con-- tinuel dans mes oreilles qui était par-- fois des plus affligeant. On me recom-- manda au Dr. Stanley, et je suis heurenx de dire qu'aprés avoir été sous son traitement quelque temps il & réussi a me rétablir Pouie, et jo puis maintenant entendre aussi bien. qu'avant ma surdité. Je n'ai souffert aucune douleur dans Popération. _ _ Winmax Beru. Olpt. 62 Po UR T ou Te v UNION HoTreL. Woapruwes .0 .00 ' ___ Ayaot réussi je recommande le D. Stax-- ui et je puis ajonter qu'il n'y a point de dou-- ear dans l'opération. * JOHNLANG S». Orzawa, 23 aodt, 1862. UN_aUTRE TEMOIGNAGE EN FAVEUR DU Dr. STANLEY Je cort fie que le Dr. STANLEY a aujour-- d'hai opéré pour surdité avee son habilité or-- dinaire. J'&o'h tout--i--fait 'sourd de mon oreille droite dcpuis 30 ans, et souvent dans Fimpossibilié dentendre de chaque coté. De plus fentend«is un bruit dans ma to te, LAVUE,LAVUE!! Cartes d Affaires Vent ces * Cnarzaox Pirk, Bastouemerts »'Emmarrs, Garstrones, Marreavr, erc. erc Je certifie par la présente que le Dr. Stanley ace joor opéré sur ma surdité avee lc plus grand succes. J'éiais sourd depuis plusieur® munées, ¢t 16 minutes aprés Fopération & mon grand étonnement et plaisir J'ai regagné Poute. Rapérant de lui prouver ma gratitude jo re-- mercie _ pub iquement pour ie bonbeur dout je jouis ma ntenant. _ J'ai T0 ans, et jlavais perdu toute espérance dentendre de nouueau. _ h E. KING. Temoignage e:--mve-r du Dr. Stanley, Auriste & Oculiste. OCCULISTE et_AURISTE, Em-nn con-- slté i PMOTEL DE LUNTON. Le: p. teonnes qui lou hent peurent etre guérie en CINQ miNUTES. Ouawa 31 juil862. -- BMille $. Frarrigan, MODISTE LA VUE, LOUIE, CATARREHE .llhln-.-m "el 7. So dog ddiA T U L LUNETTES PiRO3COPIQTES Orrawa 12 Aoti 1862, PRIX DR,FABRIQUE: Copie d'une lettre PREMLIERE CLassF A. STANLEY, Copie d'une lettre. Copie d'une lettre. , vient '_'-r;lv-cr-;v-:e un grand Ix _ Court--House X';:;&;u Pres de la Prison de la ville G ORCG EL OHS LAPIERRE 8. LRBEAU. T E vu E. autorisé & JOURNALPUBLIE DaNs LES INTERETS FRANCO--CANADIENS DU CANADA CENTRAL » dosndes Sowmi-- io pour les portag Bhaip e 10 000060 Soumt _ 1iitH les soumissions doivent porter les si-- "'-"-"z-fll"::dnc:-m taot 4 garantic Petécution convennble et sa-- tisfaisante de Fourtage. . Rlleg btre Adreseées auy soueiiene, . o it Agivent btre -- ,_;.___ en =: soumia 1e on apres LU\ --v-.-.uatna l..;-' tréal, apres ND1, dfnm.ml--mhu-- » NoX t* Techine........Une paire * @ Les portes doivent dtre -m.f;. dans le Fom Antaiits Piacerner los Canone reape l viéon & l|.|flé "ru-"mnnn nfll:'k pouera On'-nnhi:rh- et les spécificatines A ce burean, ot & ai du Canal Lachine, Mon-- 77 W vpn Aadahar s3 h400 c Cemtous mentionés seront Jusqu'a midi, LUNDL ie amox de Will w h::"-d-:.. inmebarg, Une paire de por-- anal de Cornwall .. ... . . Trois «/ (h'l".llhfl.'l,...f'*:::" it 'Canal de Lachine. .. ... 0. taa PP ul & Avis aur o't;tvr'l:t'un Whaas Llcan 2 DOIPCCTICTE 18 cony-- truction d'une maniére satisfaisante et 1s four-- llllll'._,-.:.hl M_'!!_p. Te# canaor oi chain, savoir Département dos Fravaoy Poblics, uéiesi ocomn nc .. | | Hon. Jas. -S-l::,-; Workmar & Garrri LARD,JAMBON, FLEUR &c. LEDUC & CiBBS, NEGOCIANTS COMMISSIONNAIRES CHICAGO, ILL. Reduction de Prix. Depuis le ler de Mai. le prix de passage pat les chemins de fer d'Ottawa, P':seott, et le Grand Tronc est réduit aux tave »'été comme suit : D'Ottawa & Québec,--1lere Classa . .$7. #€ & $ 2nd ELEA « & Montréal, lére © . ; 4, 4 &A # 2nd _( .. 2, JNO. R. WHITE, Chemin de Fer d'Ottawa et de| PRESCOTT. Orrawa, 28 Aofit, 1862 A. Leduc & C $70------ Eatrepont $40....-- _ Sdresser 20. B. RECHARD & Boas 151, Broadway, New--York. -- Les Dateaux & vapeur en fer do In compagnie | de g-qu bot bambourg--américaine pariiront | de New--York pour Hambourg via Southampton | avec In malle des Etats--Unis et des passagers I pour le H&vre, Londres, Southampton et Ham-- bourg comme suit ; J Borussia, cupitaine N. Trautmann, le 4 oct. ' Smoniu,clpilaino H. Ehlers, le 18oct. . | Bavaria, capitaine E. Mieer, le ler nov. | Hammonia, capitaine H. F. Schnensen t le 15 nov. f Teuionia, capitaine H. Taube, le 29 nov. ' Premiére c:b.l'u'c :_.llb-- Seconde cabine : Hambourg, Megociants Commiasionnaires en LE Soussigné informe ses amis et lo public e général qu'il a fait de grandes amellorations i 'Hotel sus--mentionné --Les visiteuts troureront toujours ses Omni-- us au débarcadére des bateauz--a--vapenr et & barrivée des Chare. La table cst toujours bien I' nie. . Ses prix sont des plus modérés, TTENTION chat do HOTEL DV CAKADA. 28 aoft °62.------3. m Les bateaux & * --Parce que LES r'm:;u L'u&;'-u :I. contribuer ltou | _ Parce gue c tr.otique objct voudront bien envoyer leur | 4 I g:u ::'x Dames sous--mentionnées. * esprite P"l'""m Kmes. E Suitn, Mmes, R. W. Scory, .( q4 $ous le '-'Ot' " _ J. Gocowix, 50 J. Lamoy, ne savent pas " J.F. Camowacy, © 8. Humav. { valable & leur « M. McGILLIYRAY, ,_ Les subaltert Secrétaire. infirmes révond &8T. PATRICK HALL SERAFINO GIRALDLT Quanec, 21 andt1862, Trois--Riviéres, 21 aoit 1852 a Eex de tentes désirant entreprendre Ottawa, 11 Sept : 62 NOVEMBRE PROCHAIN. soumitsions rensnt de personnes com-- PE T T MILWAUKEE cwis. 15 ET 17 RUE -- SAINT--GABRIEL. VEOMAS 0, PARUBER ..~--~; AMERICAINE BRITANNIQUE Pac ordre DANS 1o DWt d'alder & 'érection de Ié @» -_'_"_"1_';'__1*3 tikie 'OF _ Coutrier UN BAZAR Aura liea: au 200M mexpation o ' S"nm. J. Avaronn, Eet., MM PROPRIETAIRE. Southampton, Londres et ls Havre MONTREAL. HOTEL ront reguss & ce bureas [vl"h"On.hyn- T. TRopEAX, particuli¢re dans |'a commencement de general inn, le 4 oct le 18oct. e ler nov. Schnensen ie., Des plus solides raisonnements Cest 1A ce qui reate : parce que. Un pen plus tot, un pen plas tard, mflly.du, g:;'mdm que : Aox dont on se Lflflntwmdfln. gent ? pay6 t 0 0 > 0 ~----Je n'avais pas dPargent t --Ponrquoi n'aviez--vous pr HDunnt --Pourquoi Ini devez--vons denx termes --Je ne I'ai pas payé au jour dit. --Pourquoi ne lavez--vous pas _ --Poi:m?n;i' _ morl propriét fait--il froide mine ? ---Le lui dois .donx- termes, savoir pourquoi, yons ne saurez pas ! Qui a inventé ce mot f Les pédants, sans doute, pour ne pas rester court devant un problé&me posé, On répond parce gue, on croit avoir repondn quelque chose. Parce que cat au fohd de tout. Parte gue est le detnier mot de toute argamentation un peu loin poussée. Exemple : Cest !a planche do ealut dre [ 307 . C amie Gevient ministre ; vyous lui demandez une petite place de £150. --Impossible, mon cher. --Pourquoi ? --Parceque. Admirez ce parce gue, et les résul-- tats quil entratne, I1 clot toute discnasion, I! prévient toute réplique, Bien Plus. il dégage toute respon-- sabilité ! l L arce que est synonyme de " je ne sais pas" ou de "vous ne sauree pas," _ Cest Pultima ratiodes grands, et le prima ratio des petits. Cest aussi la ratio des nédiocres. Quand un directeur de théitre vous renvoie votre manuscrit déiment ca-- cheté, le glns souvent il vous refuse ; ponr%uoi ' --Parce que, T 10. _ RI'ourqn,oi M. G. C. est --Parceque. Un de vos amis devient vous lui demandez nna n tre ? droit 2 Parce gue ost la raison des forts. Cétait cellé des tyrans, alors qu'il y avait des tyrans. Si on efit demandé & Néron pour-- gnui il faisait britler Rome, il aurait it : parce gque, Cétait g\ réponse que ferait un chef darinée Eaus troupes, si elles s'avisaient de le consulter sur son plan de campagne, _ --Parce que.., Pourquoi famez--vous au bureau malgré la défense ? Parceque... Parce que ost la raison des forts. Les subalternes, les dependants, les infirmes répondent parce gue & toute adimonestation un peu vive de la part du au't)érionr, maitre, chef ou patron. ----Lourquo avez--vous laissé bri ler ma cotelette ? LFarce gue cst la raison des faibles ; esprits pusillanimes ou casurs timorés qui, sous le coup d'un flagrant délit, ne savent pas trouver de justification valable & leur conduite. --Pourquoi m'as--tu trompé avec ce inilitaire. L/arce gue excuse leurs fautes, légi-- time lenr caprices, et donne & leurs folies une apparence de motifs séri-- eux. arce que Les enfante et les femmos pris en uq?nvention répondent : parc eguea qui ;'Icur fait reproche. Larce gue / le grand mot | le mot lniverwl' Du vocabulaire, le plus élastique et leglu- précieux ; le plus suscepti-- ble 'intorprbtasim;l (fivenesl 8'il n'est le fond de la langue comme Gwflgpour les Augll:g, il ost le: foud de Ia raison humaine, cest mieux Ad Parce que. Pourquoi restons--nous & tel an-- Litterature. Feuilleton du vourrier d'Ottawa arce que, onrquoi allons--nous & tel en-- PARCEQUE. ==209 w monl propriétaire me pas dar Ottawa, (B.n)hodjnun,asomh.m ux tentatives, faites par Pon-- | fait son apus.qnt [ NVOTOs , Puis olle a | Stowart avaient 3 | _ _" Deux tentatives, faites par l'en-- | fait son chemin, paison A'y met plas | monvements de nemi dans is suite pour yous snivro d--mm----o- *flhqn le Nous verrons: si an--delA de la rividre, ont abouti & sa | ral llock ost --si convainen 'de is anspices amdner, complate déconfiture, et doux fois il chose, qu'il no prononce rnu- tate. -'.Jrnpori avec perte. i ave¢ plas 'd':w_ q-.'c"" 2- t i ""'\ma a.pfi a" ko a-fl- 't flfi N t ie n ce ns :: c is on ced Eukss jJour snivant, pour renouveler la Intte sur !e méme terrain, ot le lendemain seulement vous vous étes retirée sans Gtu'i'liuiétéu\ travers le Potomac. i w' PP " Sur le chun:i» de bataille d burg, an moins inférieurs er rre :an tiers & vos adve yous avez resisté depuis 1 joequan coucher dn ;gefl & le mée tout entidre; vous avez ré tontes les attaques sur toute Ja qoi n'avait pas moias de quatr les d'étendue. o nnae en e cne? haad s A [ * Sans une haltc, sans un repos, | yous avez traversé le Potomac, vous | avez emporté les hauteurs de Har--' Mana per's Ferry, vous avez fait plus de | dant de [onm mille soldats prisonniers, pris ; Londres plus de soixante--dix pigces d'nnis,lo- $ We [rie, tons leurs fusils 6t | toutes leurs | dent ost munitions de guerre, | re Mme " Tandis qu'un corps d'armée se son, O: couvrait aingi de gloire, 'autre assu-- | avec ath; rait son suceds en arrétant A Boona-- | litaire, boro le« armées combinées de Penne-- | plus im mi, qui a'avancait . sous les ordres de ¥6d6nux son général favori an secours de soe | fedarh. camarades nssiégén _ * Depuis vos grandes victoires au--. tour de Richmond, vour nvez battu Pennemi & Cedar siuuntnin, vous l'a-- vez chaseé des bords du Rapahan -- nock ; aprés une lutte de trois jours, vous Pavez enfin vainet dans les champs de Manassas, ct yous Navez forcé & chercher un abri dans sos for-- tifications autour do sa capitale, e ce neiainll $3 ane Huunmmafa . ainh adressé & ses troupes lordre dn dont voici le texto : . | A un corps scientifique de Puris; il a été publié dans le temps dans los An-- nates des Minesct a mérité de la part , | du corps des louanges et des remerct-- ments & son auteur. Il se propose d'en faire dane peu un autre qui pif-- raitra en temps et lien dans le Chro-- '7 nicle. Comme on ne se sert pas on France d'huile de charbon on J'ulnm [ huilo qui soit & meilleur marché que f l pétrole, cette dernidre, une fois in-- troduite, deviendra bientot un moyen | Péclairage, comme elle Fest devenue | partout ofr on I'a easay6e, ' © On tire uussi dix alluwsplwluits,; outre Phuile déclairage, _ de Phuile brute, et tous on presque tous ces produits sont séparément plts préci-- cux que lo premier et en F rance, seu-- lement trois par cent environ de la pétrole sera perdu. Les frangais, cro-- yons--nous, sont regardés commo.les plus grands chimistes . du monde, et il n'y a pas de doute que s'ils se met-- tent complétement au frit de Phnile de pétrole, la France sora définitive-- ment le meilleur marché quelle puis-- se tronver en Europe, les frangais trouvant tonjours a appliquer los dif-- férents produits & de nouveanx usages, | De plus Ia pétrole n'c«t pas sur la lis-- | te des huiles sonmiscs i un droit d'en. | trée. -- Cest grice in linron Boillean, & ses roprésentations et & ses efforts won m accordé cctte exemption. '%ous avons trouvé dans M. Boilleau tine personne tris agréable et comme il était seul et tonta--fait étranger parmi nous et qu'il n'est resté iej que '3 doux ou trois Jours, nous avons con-- c senti rveé plaisir, sur sn demnande, a nous . constituer son . cicérono pour|, Poccasion, & lni expliquer les princi-- C paux détails qui pouvnient Pintéres q ser et i lui donner toutes les statisti-- | / ques et autres informations que nous | ,, rouviuns Jui donner et qui pouvaient 1 'intéresser." 1 o opaico o ce encnnt C70 Springs Chromiele, nouveau journal publié dans un vi"fi;v oi s'exploite sur une grande échelie Phuile de pé-- trole, dans le Haut--Canada : --** Le Baron Boillean, Consul G6-- néral de France, résidant & Québec, était dans notre ville samedi dernier dans le but de visiter pour son propre compte la place et d'outcnir des infor-- mations relativement & Pexploitation de huile de pétrole,envue ds Pétablis sement d'un commerce direct de cet article avec son pays. ' °* Le Baron est un homme de scien ce et désire se mettro nu fait de toute chose nouvelle on utile, -- surtout de choses dont los sujets dn souverain w'il représente pourraiont tirer pro-- gk Il a d6j@ fait sur Phuile do pé-- trole canadienne un rapport basé sur ds informations obtenites do difto-- rentes sonrces.Co rapport était adressé 008 Avez -- 616 sur | _ Des ignorants : | _ Et des sote, Le rempart & Uabri duguel so re-- ' tranchent arguments faibles ot molles convictions. Je ne sais rien de plus commode ! Gamazt Guiiemor. Commerce dtrect de petroleavec Ia France. Nous traduisons co qui n vietss Orpr® n sovk, 2 octobre. le wén champ de bataillo de Shra-- J moins inférieurs en nom-- vos . adversaires. L'i général Zee a lous avons con-- C sn demande, & cicérono pour iquer les princi-- vaient lintéres utes leg statisti-- mations que nous et qui pouvaient s do difté-- tuit adressé Puris; il a EL OS irtille~ | _ "...... Et non--seulement le Prési~ | _ Cette s leurs | dent o8t taxé d'incapacité, mais enco. | tes ont | re Mme Lincoln cst aecusée de tralhi Darmée mée se | son. On s'est demandée longtempe | beanco ® assu-- | avec sthpéfaction dane le moade mnil-- cursion toons-- | litaire, par qrel canal occulte les lett. . 1 'enne-- | plus intportants secrets des géuéraux | droite « res de r'démx ient dans le camp con-- triangl de ses | fédéré, mumu de Washington. | sommet | a fuit prouve. Le président me char-- commode ! ig de l:oul remorcier llt dee vicrmwor, _ | Etate-- Confédérés 'pour nortol | Gclat que vous aves fait refaillit eur . | nos armos. troleavec ' 5* Mais si vous avex fait heancoup, ; i1 vous reste beaucoup plus encore & | accompliv. L'nnomr noug lmm; suit du 47 | de nonvean d'ane: invasion,Fet °"i 'au_ journal | sur votre courage et vogre patriotis-- i s'exploite | me éprouvés, que le pays t#urne les uile de pé-- | yeux avie mu?lm. pour sa @olivean-- m : | oo et Sun salut. -- 'Vos expl passés Jonsul Gé--| me donnent in eonih:re jue cette A Québec, ' conflance--n'est pas mal pluein, . edi_ dernier | Sign® : Ronert E. Lox.' jour e is on qui sont prosque tortes -&mion?ltel, étaionit snspectéas ot rigonrensement surveillées ".mni. restait tonjours & savoir quiles renseignait, et le soup-- _ !* Los chirugiens se mirent & Poou-- vre; Popération dura qnarante ininu-- tes, pendant lesquolles le mnsicien imperturbable ne cessa pas un instant de jouer du violon, sans manquer une note et sans faire un monveinent de douleur. _ On trouverait peu d'ex-- emples d'un pareil héroisme," _ * --Maintenant, aller--y gaiement, fit le blesse :--et il se mit n accorder l'instrument. " On tronva un violon ct por'ta. _ * Dans la inatinée qui svivit la ba-- taille de Yorktown, Jeus la curiosité de visiter les blessé. Parmi coux qui 'devaient subir 'amputation, se tronvait un mu--isien, qui avaient regu une balle dans lo genou. Snivant I'usage, les chirngions prenaient les dispositions nécessarree pour prévenir des monvements qui nuraient pu go-- ner Popération loraqn'il #'Gcria :»-6ue ' faites vous doctnm--Mon ami, il est nécessaire qne vous soyez attaché.-- Non, certes répondit le patient, je ne 1e souffrirai pas. -- Vous ponvez in'arracher le coeur de |a poitrine si vous le voulez, mais _ il est inutile de prendre tant de précantions. Y a--t-- il un violon dans le camp ? Qu'on me l'apporte. Ux storctkx.--Un hororable cito-- yen appartenant & in magistrature ra cortait Pautre jour Pétrange épiso-- de que voici: Manaiae Lixbors a en me U 1P POVE délivré de cette captivité qniyrnpgelle A Enro'['m P'emprisonnement de Oris. A l';nro&)c Cempriso tophe Colomb. ** 20 somptembre | & in suite duquel i1 est blessé ot pri-- sonnfer. Garibaldi a combattu (innl tontes les batailles livrées pour Punité italionne ; Garibaldi a donné d cette unité deg millions de citoyens ; Gari-- buldi est le vivant symbole du désir universel de la nation. Tl a été ren-- versé pendant qu'il marchait non con-- tre vous, mais pour donner satisfac-- tion an droit prochuné par yous / et nié par Pétranger; co n'était point. pour Nétranger; ce n'était point pour changer Pordre de 1'Etat on pour combattre votre programme, . maie bien pour établit solidement l'un et Pautre. Messieurs, vous pouvez ju-- ger que cet acte, bien quo désiré par toute I'Italie, est prématuré, mais uon conpable ; vous pouverz empécher, mais non punir celui qui a essay6 do I'nccomplit. _ Toute l'Italic est blessé of einprisonnée avec lui. Nous de-- mandons, Messieurs, In liberté de Ga-- ribaldi an nom des désirs do I'Italie, au nom de la reconnaissance que vous et nous lui devons. Nous deman--| ('ir')'vm qenvironnc 'des siens, i1 soit| | suivante de Mazzini | & qui oHe est adresse guinons -- que . clest 'Italien t | _ On nous transinet pour la publier, }dit. lo Morning Advertiser, n lettre * Messiours, Joseph Garibaldi est sérienusoment mulm& t prisonnier. Ce n'est pas le motnent de discuter les carses qui ont amené ce résultat. Nous disons qu'il y a dang la vie dos nations des actes et dos hommes qui ne peuvent pas dtre sonmis anx lois communes sans déshonnenr ct sans ():r_ime. Tel est Garibaldi ; tel est acte 'a.leck cat a1 convainen 'T.'hv nudt old ";"l;-v-----n--': qu'il no prononce pas an nom | tate. _ . __"""*'* 108 »dme n tisme. Thistoire conserve ane L¥COLN.--Un correspon-- New--York écrit an Times de Lazzini. On ne dit pn; adresséc, mais nous pré-- Cest an -- ininistdre Joakric mazzno." on Pap o e es In | tous 1 on l:h.n it | _ 'On va-- i 8| Strem la mé~ U Sud, mais qui avait deux heures de retard sur oux, est arrivé précisément au moment oi ils retraversaient la rivigre, aprés avoir fait 78 milles en 24 heures. Les gens du Sud ont été chaudement bombardés et ont répli-- flué vigoureusement ; mais avec peu 'effet de part et d'autro. ' Les dominages infligés au goaver-- nement par les cavaliers du Sud ne se montent pasa moins de $200,000 la compagnie du chemin de fer de la vallée de Cumberland perd a peu | pros $80,000. | Cette fois encore, les sbcessisanis-- | mac qu'ils ont retraversé pros de 'embouchure du Monocacy, aprén une marche de 90milles en 24 heures, Le général Pleasanton, envoyé pour couper I.I retraite aux cavaliers du Vers 9 h., ils ont quitté in ville, rabattant vers la froutigre mar lan-- daise par la route de flettyn('r'urg. D.n-fln avirée, lea confédérés ont traversé le chemin de fer de Balti-- more & l'Ohio, détruit la voie et le fiélégrlp"l.e, puis piqué anr le J'oto-- Au matin, ils ont incendi6 les ate-- liers ot mugasins du chemin de fer de Cumbefinnd avec le matériel qui 8'y trouvait. Celui--ci était du reste peu considérable et ne se composait guéres, dit--on,que de quatre vieilles locomotives. Ils ont en meme temps fait main--basse sur uelques appro-- visionnements d'unirtlarmeu qui res-- taiont dans les magusina de 1'Etat. Ces habillements, quelques centai---- nes de paires de bottes et de souliers et 500 chevaux, forment le total du. butin qu'ils ont emporté de Cham-- bersburg. | L'occupation le cette ville a eu lieu saus obstacle. En absence de tout moyen de défense, les habitants n'ont pu que stipuler la sauvegarde des propriétés particuli¢res. Une dé-- nutltion ayant & sa'téte le colonel cClure et le juge Kimmel est allée A cet effet au--devant du général Stewart, quia accordé doe suite la: rnmlu deiand¢e, en se réservant e disposer a sa guise de tout ce qui pouvait otre considéré comme pro-- pricté publique. Cet arrangement conclu, les confédérés sont entrés vers 8 h. du soir dans Chambersburg et y ont passé la nuit. Pa io S e ty mm VTSICT en Ponnsylvnnie par le corps de cava-- lerie confédérée quo communde le gé-- | néral Stewart. Cest le vendredi 10, au matin, qu'ils ont traversé le fleuve, non pas aA Hancock, comme 'avait dit une premi¢re dépéche, 'mais a la chaus-- sée n. 6, entrece village et Wiiliams-- port: Débouchant sur le territoire pennsylvanien r.r Clear Spring, ils out suivi la vallée de Blairet étaient maitres de Mercersburg avant que leur présence ne fit annoncée. Elle n'a été connue, tant n Hurriuburg que dans lParmée fédérale, qu's une heure avancée de I'npr{m--migi et loraque. déja Chambersburg était pour ainsi (Jiiro en leur poesession hy Ao en ocm 60 New Yorx, 17 Octobre. Le fait qui a le plue vivement pré-- occupé Popinion puhliqllv, pendant la der'mém huitwine. a éta mme insirrainn _ Eueruaxt nosouws.--Le cél@bre éléphant Hanibal, upmrwnnt A ln ménf&k de Van Amburgh, se tron-- vant & Cadwell (Illinois) a tué derni-- drement un horame qnl' le efiuhnh en l'abseuce do son cornac. M. Van Amburg lui a fait scier ses donx énor-- mes dents, & quelques pouces de la machoire, pour --le laisser désormais sans défense, et prévenir lo retour de semblables accidents. Mume Lincoln rait Washington reveapict s eat, on eflet, exilée d-rh trois se« qoi wne affiche intutii6e ; " Afme Zincoln !m'lhnn; ® md'o'llut étd arrachée par ll:!:gt.lu Vordre du pl'voo-l Correspondance Particuliere des (Pour le Courrier d' Ottawa P O+ 4 j y CS Pss T a ies Etats--Unis 4 L¥ Tron subaiste t 1it6. 'Jamaie l w'y a ue de procuret dans cet 1 '52:':5"%"'*'*,.3" ic wil. En faient en bgn.1 d'&mq ont créé dans 16 rot nowvena A ce q tion subsiste pour WASSTGRE Dib ininth oi at 14. Li dtre a--t.il rétrogradé vers le Slul afin de mettre son butin én shreté ; pout-- btre_encore a--t--il vouln gngner du temps et donnor i Arrby Smithy ui n'était pas & Porryvilio, le temps. soit d'arriver & son secours, sout de tenter uelque coup de main sur les derridres 30 Buoll. Quoiqu'il en soit, i1 est cor-- tain qu'aucun combat n'a été livré par ce dernier depuis morerodi, qnoi-- que l'on considére toujours & Lonis-- ville. une nouvelle bataille comme imminente, " Les unionistes évaluent & 1,500 tuéa ot blcsé: Tenre pertes dans Pn« 1 oi onl en enoure, Peut--Ctre le géenéral lonisiannis makt-- il pme vonin compromettre sa.petite armée dans un combat définitif ; pent-- étre a--t--il rétrogradé vers le Smr:fln Mdeus 1 : 1 du sud--onest, ce qu'il nest p S PC 2t vers I Brazton By combat do MeC tuient vantages marguen, . ]| In retraite de Brarton signalée par mucun dé lui ait pria aneun eanc peau, ancun | trainiu«). Lo q ce t Reimy) cA } suivre In dépéche ci--dessus de réflex ious et de commontuires tres judici-- enx, que fe erois -- devoir vous trang-- crire. . Tls jettent quelque four sur In situation du Kentucky,plus embroni]-- lte que Jamais et dont les journaux américains ne se rendent pas bien compte enx--mémes. Je cite, * Le général Buell ne parle pas de vietoire; il fait méme ohsorver qure le corps Ml'(/'tmk. qui ® Cté d pen pros senl engagé, n'a pas_remporté Pa-- vantages marquen. 11 no dit pas ane ~ Je n'ai pas ened taillé de nos pertes, des sans nul doute, déplorer ln mort de " Les généranx J jo regrette de le dir morts, I Sn e C " Les divers« corps a leurs positions durant 1: h. du mating ils @6bran} taquer, mais il n'y out ( escarmonelies aver Parr Pennemi, qui--se retirait tion de Harrodsbury. _3 | 43 .. _ PV "0 CorpS Gilbert, it cha directement de 8 pringtield a Por ryville, ot arriva ls}l & °2 milles do la ville, ol il trouva Pennomi en' for ce, La colonne do gnuche, sout' le général McCook. arriva do son "cdté vit position pour attaguer ot rou. finu mnnaispl'qnm en.qf(vro'e. 4 bu, McCook m'envoya domander--des renforts, et j'uprri- queo la gauche s'était battue plusicurs henres avee acharnement, -- tandig que n droite étaib tournée et serrée do pube. "Je pris immédiatement dee régiments du centre et envoyni des renforts. Le inéral Crittendon, commandant de fi:ile droite, qui marchait par la rou-- te de Lebanon, refut Pordre de se h&-- tor, ot dattaguer la gauche do enne-- wmiy maie il était imposaile quelle prit position assez a temps pour ame-- ner un résultat décisif, " Le combat a diré juequ'® In nuit. Le centre y a pris quelque part. Partont Penneini a été reponasé, sane que nous remportiony davantage tth-- portant sur l gnuche, se ae I'm-rdd do la oau.'lquw dndSA;d. & T | *Lergros de 'nrméeuemr'lm sprnigtfild, ol on le suivit, " Te m tre, formé par le corps Gilbert, 4 cha directement de S"wingleld l Por ryville, ot arriva lo 7 & 2 milles do la ville, of il trouva Pennomi en' for ve. La colonne do zmuche annel1-- CE LHP SeCored .Y dict To péobe adhesséc sur cctie atfifrgiget o a Fhmee o ateimeret s P le wb 1 0j ' lsrv i i i "Je vous al * 'avis fl mouvements de Parmée que jo com: miande, depuis son départ 'dé Lon\ U ville. 'Tous lu'tmn, on a pl '# moins escarmouthé 'Aves n xt ennemie. ' Depuls lors, 0 i " que les confédercs donnoral & ba-- taille & Bardstown, M€s # ."" y sont arrivées le 4 conrant ol * P rige dduoral Buci J.".'g guétre®@ Washing '{1 Snss SU8 Corps avaient gardé positions durant In nnit, ct & 6 mating is @'Cbraninjent potor at-- lecorsamice, imes " ourrier des Etats-- Unig fait Wakla'a i0 1 Signe dn , des vBtamonts ot dn 6 continuer In lufte, q n battn en retraite urg, dans In direction Dans quel but 2 Cest as filr'i?f' do dire encore. méral lonisiannis mact-- "Foyai des renforts. -- Le ttenden, commandant de qui marchait par la rou-- ou, mf"t Pordre de se h&-- quer 'a gauche de enng-- était imposaible quelle dedhoralyl es plus grl:in.d;"fi va «ang,dire. .. Tackson et Forrill _ qne la blesanre neore de rapport dé-- es. Elles sonb gran-- te, ct nous avons & de bons officiers, ..' c Juckson et Terrill, dire, sont parmi les Cut que quelques Parrigre--garde de tirait dans la direc-- --dessua de réflex twires tres judici-- evoir vous truns-- velque four sur In 'l\'y.ppm embron{l-- D. C. Buir \ Copart de Lonjs-- )éu"' OII. h t ou avec (mo lt s donne it Ta b Z . Més "."".' y m.mrlutl e "' 18 + 2070re, quon ", ancun dra-- c Le soir du ©. les tron et (71'itlenm le dn victoig A _ renouveler t s'attendaient out soutemue, gfr'nfléml(-meut wbriquces des le annongant oinmencé jen-- remport6 da. ne dit pas que Bragy wit éti sordre, qu'on Voiet Ta ods Lc

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