TEST - IPR records

Le Courrier d'Ottawa, 16 Oct 1862, p. 1

The following text may have been generated by Optical Character Recognition, with varying degrees of accuracy. Reader beware!

UN JRONE MONSIER dane é4 cegy on en ta: tasd t i gais, [ltalien, Paoglais, ete,, Jui #o ere. 7 Eetire on #'«dresser & 6n barsaof Ontawa 17 avril 1962. _ Nos menbles de salons, de bibliotheqties, de sailes A manger et de chambres & con cher, sont faits ave¢ les meilieuts matériany ot Puprés les m:"l- le« plus noureans. WEIL & BRA 125 ot 197, Rivinguton Exportation por Attend? Pétat des affa public toutes nos mare pria. 0 ""C TOUTES No# MARCHAKDists sowr MB iloPathpstc dn dh o MA LAPIERRE et LEBEAU est dissoute de ob--entement mutuel, Les affeires de 11 ci--derant Société seront »égi6es par M. 8. LEBEAU seal autorisé -- & cet_effet, DISSOLUTION DE SOCIETE assortiment d'opiiq u'e.l Ottawa, 31 juillet 18 MAISCN AUMOND, AUE sussEX 100,000 Dollars de Meubes. PRIX DR,raABRIQUE. EIL & BRA UNSDORF e l gan 20. Bellevue Farm ) Nepean . Orrawa 19 aout '62 | Ssd' puls maintenant entendre aussi bien qu'avant ma surdité. Je n'ai souffert aucune douleur dans Fopération. Wiruiar Beuc. wos m Sal n OLLE CC ony = ho Jour opore sur mes oreilles pour surdité aveec son suceds ordinaire. J 'était sourd depuis 30 ans a part un bourdonnement con-- tinuel dans mes oreilles qui était par-- fois des plus uffligeant. On me recom-- manda au Dr. Stanley, / et jo suis heureux de dire qu'aprés avoir été gous son traitement quelque temps il. & réussi a me rétablir Fouie, . et je' puis maintenant entendre aussi bien Aac. . UNCST Tient des Cnareavt nérk, Hariusacents DExraors, Garyitonrs, Maxteavx, ere. erc Olpt. 'g2 P 0 UR T o u UNtoN moteL. M. ARCHERS, vient @arriver avec un grand Ee ns A société qui LAVUE,LAVUE !! UN_AUTRE TEMOIGNAGE Ex PaAYEUR DU Or. STaANLEY Je cert fie que le Dr. STANLEY a aujour d'hui opéré pour surdité aree sou habilite or dinaire. J'étais tout--a--fait sourd de m . oreille droite d puis 30 mos, et sourent dan Vimpossibilié dentendre de chique coté, . D plus fentend«is un bruit dans ma téte. Ayant réassi je recommande le Dr. Stax tey et jo puis ajonter qu'il n'y a point de dou eur dans Fopération. Cartes d' Affaites Je certific par la présente que le Dr. Stanley ace joar opéré sur ma surdité avee 1e plus grand succes. J Gmis sourd depuis plusieurs années, et 15 minuts apres Popération & mon grand étonnemont et plaisir J'«i regagné Fouie Espérant de lui prouver ma gratitude je re-- mercie _ pub iquement pour !e bonbeur dout je jouis ma ntenaat. _ J'mi 70 ans, et j'avais perdu toute dentendre de nouueau. Temoignage en faveur du Dr Slnnle)', Auriste & Oculiste. CINQ MINUTES. _ Ottama 31 juil862 Le Dr. Stanley a ce jour opéré sds ols JD" OCCULISTE et AURISTE, peut--étre con-- sulté a I'H(_l'l'l'lll. DE L'UNION. Les Mille $. Yanvrigan, MODISTE personnes qui lou bept LUAETTES FiqU8COPiQUc$ LA VUE, L'OUIE, CATARRHE Orrawa 12 Aont 1862 PREMERE CLASSFE Copie d'une lettre A. STANLEY, JOHNLANG s1 Ortawa, 23 aoit, 1862. MONSIER dane éducation dis-- Copie d'une lettre. Copie d'une lettre. n pour le Canada. des affaires, noug offrons an s marchandises & (ris bas is la Ru: York, OTTAW A a Ci--devant existé entre MM uns place on dans un G OR GFE. P 1862 Court--House Xv;'nue -- res de la Prison de la ville CHS LAPIERRE §.]LEBEAU. street, New Xork Le letin, to fran-- lut sont.famitions ET peurent etre gué CatanTige E. KING espérance I 2 ag c e TWt , voisinage de 'am ovh-u'.'ln Canmox et li-- vrées &. tellos piaces sur 148 Cansorx respectife | ro le "...u::u des Travaux Publics pourra I ntie. 1 f';:'!n voir les plans et les spécificatines & co buréaa, ot & celus du Canal Lackine, Mon-- tréal, Je on apres LUND1, le 6 @OCTOBRE, u.'l".o:. poutra se des formules de son-- w t 3 i mrraneanen wtree gorer e .-n-'n- de deor personnen -o-m-..- ' ET uxt 1 ToK Anheicnntgsaadics... S U tant & garantit Pexéeution convenable et aa« Nisfeisante do Fouvrage. Elles doivent Atre adressécs sor soussignés «t endosséas Nowmi~ sion pour its portes d éclwet"* u2 On ITUETY L I | cette petite guerre feminine qul' le | J poursuit jusqu'au foyer domestique, 1 ' | et qui ne lui laisse ni paiX, ni trove. } : i ( De 1& ses "plaintes, ses fureurs, ses 1' vis aux contracteours. J complots centre le faible sexe qui DES sowmissions venant de personnes com-- ] rit de ses menaces ; car ,k'femme,' petentes désirant entreprendré la cons-- \ de France sont aguerries par soi-- truction d'une maniére satisfaizante et !a fo9r-- | xante--dix adb de luttes incessantes. femoes whoirnts on ht 1e 5s | Elles one fatigué les Robespierre et Jusgu's w d LUNDI, 16 20e d'Oewbré pro-- | deg:ae les Fouché. , ain, anvoir : | i i i -- woghite lt amabong, Do puice ds por. | . Do 1n Yie de In fatromabgg, | use. » 4 S-n-ldoCovn'lll . 5 > rolnpadres " =|et c'est chez eux qu'il fant aller 1 de Benubarnois. . .. Troie puires . " + 0 C d1 Erchee /.. Use pant in chercher des legons; c'est doux _ Les portes dofvent #ire comstrales Asson ham'id Bank 22223 JOURNALPUBLIE --«--'85¢. PATRICK BALL: | A y 15 0) ol eteette . | "Ofkirr: |bapaborliduaties de Drugie® =~:+ ; "'r-""h '1: lbldnnm nos 'maitres on T. TRUDRAU, bhmmmd,meeqmm ', Becrétuirs -rm E-g de Machi-- Département des Travnuz Poblics, v Jersbre, sssr=2t.) > > / lma c'est &z".-! ue Hames LARD, JAMBON, FLEUR &c LEDUC & CiBBS, NEGOCIANTS COMMISSIONNAIREs CHICAGO, ILL, Reduction de Prix. Depuis le ler de Mai le prix de passage par les chemins de fer d'Ottawa, Prescott, et le Grand Tronc est rédurt aux Tavx v fTk comme suit : D'Ottawa & Québec,--1ere Classe . .$7, (mmml: i ul Orrawa, 28 Aofit, 1862 _ UN BAZAR s | _ Mais la Rév Chemin de Fer d'Ottawa et 0 | des Italiennes PRESCOTT. vean Toif ds a" ECOMMENDaTrow : Hon. Jas. Swman, J. Avatonn, Eet., MM orxma® & Garrrix, | _ Les bateaux & vapeur en fer de la compagnie | de paque bot hambourg--américaine partiront de New--York pour Hanbourg via Southampton avee la malle des Etuts--Unis et des passagers pour ie Havre, Londres, Southampton et Ham-- 1onc n tC Gnei cmmimbnnnt adhiibtsmhinit at+ | SERAFINO GI Queeeo, 21 aoit1862, Hambourg, Southampton, Londrek ' Les bateaux a vapeur en fer de 8'dresser A. Leduec Ssn d ite, pour ie Havre, Londres, Southampton et Ham bourg comme suit ; Borussia, cupitaine N. Trautmann, le 4 oct Sasconia, capitaine H. Ehlers, le 18 oct. Bavaria, capitaine E. Micer, le let nov. Hammonia, capitaine H. F, Schnensen le 15 nov. Teutonia, capitaine H. Tanbe, le 29 nov. Premiére cnbine : $M15=~ Seconde cabi~. |HOTEL DD CAKADA. Negociants I E Soussigné informe se« amis et lo public eo géuéral qu'il a fait de zrandes ameMora{IOns i 'Hotel-- sus--mentionaé e e tttaee I ons en e se maty --Les visiteurs trouveront toujours ses Omni~ bus au débarcadere des bateauz--a--vapeur et & mcrivée des Chars. Lm table est toujours bien I' nie. . Ses prix sont des plus modérés, TTENTION toute chat de 151, Broadway, New--York 28 aoft °62.------3. m. LES personves Césireuses de contribuer acet patriotique obj--t voudront bien envoyer leurs dous aux Dames sous--mentionnées Xmes. E Swurm, Mnes, R. W. Scort, # o4. Goovwix, 50 J. Laamey, * J.F. Canowany, 0 8. Hamey, PROPRIETAIRE Trois--Rivieres. 21 ao0y%852. Ottawa, 11 Sept: 6: NOVEMBRE PROCHAIN, MILWAUKEE (cwis.) 15 ET 17 P20OVM4$ 6 J48 DANS lo but d'aider d lérection de AMERICAINE BRITANNMQUE iC. B. RICHARD & Boas, Aura liew .au commencement de cabine : $L15=~ Seconde cabine $70------ Extrepont $49. I p Commissionnatres M Diom & Tote! sus--mentionaé | PDISME et & la Revolution ? -- curs {couveront toujours ses Omni-- | . A I'Italie, Diep a donné en abon-- ie In molevnt mofoere dh5 | dance de grands pontifes, . des theo-- es prix sont des. plus modérés. | logiens consommés, dillustres phi-- SERAFINO GIRALDL lqsopl}es, de savants légistes, dha-- M a40SC3 'bmu érudits, et surtout des martyrs m ' _ | et des saints ; MONTREAL. «o0 Ond 0 «> Montréal, lére « « 2and _ © JNO. R. WHITE HOTEL Trois -- Rivieres. RUE SAINT--GABRIEL particuliére dans |'a M. McGILLIVRAY, Secrétaire :» . Trots pafres " @ HT(;* puires '.: .: m-:!rt:lhh. le nd «0 4n In France, cest Pinverse, Par-- nd «.. 4, ; ; i : ére <© .. 4. | mmi nous, depuis deux sitcles, il est ad _8 .. 22| bien peu dhommes qui, mémef sans . WHITE, | le vouloir, ne se laissent enlacer par -------------- |la Révolution. Les femmes, au con-- ' traire, ont l'igatinct de la vérité comme de la charité. Toute apos-- c'BBs' tasie, toute licheté, toute faiblle':se SSIONNAIRES. 'd'eerit ow de ccour trouve en elles | d'inflexibles juges. _ Elles aiment + ILL, |'Eglise et la Patrie, le Christ et _ sa | Mére ; elles les aiment plus qu'elles-- & Cice.. tmemes. nlus ane les efat oc ol C205 I on general et le Have, Oe o ACTT TT 'cherchar des legons; cest d'eux qu'il faut apprendre comment on lhonove Dreu et ses saints. Ts nous enseigneront les beautés des céri-- monies.et la majesté du culte; les regles et la pratique du gouverne-- -on:.da- Ames ; lzutla les traditi-- ons de la picté et de Ia vie spiritn-- elle, si vivantes a Rome. mt rakd i | U lughse et la Patrie, le Christ et sa | Mére ; elles les aiment plus qu'elJes-- Jm{-mes. plus que les richesses, plus f que leurs enfants ; et cet amour leur [ tient lieu de toute science. Elles [ sont parmi nous le plus ferme ap-- [ pui_ de: 'Eglise ot" do ln sociot,. | Catholiques et révolutionnaires, mais 'révolutiom.aires surtout, le confes-- 'sent a leur gloire. La Révolution SWt qu'en France elle n'a pas de plus grand obstacle que invincible répulsion des femmes ; elles sait le nombre de frores, de fils et de maris préservés, arrachés deg~sociétés se-- crétes par de simples ouvriéres, par de aimglea paysannes. Sans cesse le révolutionnaire est harcelé par cette petite guerre feminine qufle poursuit jusqu'au foyer domeotique, of eiiee frsd i e e ues I! est donné midhib inb nsc s c s | son Juif de Vérone, n'a rien dit de trop de leurs conspirations sacrilé-- |ges, et les plus vertuenses sont, 2 | leur insu, complices des Ttalianissi-- i mes, fascinées par un faux patriotis-- ing .| _ A la France, tout un peuple d'hé-- roines et de braves soldats, des corurs * 'dévou'@s an soulagement des pauvres :;'des Sceurs de charité, des sociétés : | charitables de toute sorte | _ En Italie, malgré la fantasmagorie | du piémontisme, 'immense majorité | des hommes incline au Catholicis-- Ime. ** La foi est pour nous une se-- |** conde nature, me disait un Ro-l ** main, et les plus dégradés conser-- vent certaines pratiques religieu-- ses." ! _ Tandis que nos révolutionnaires |frangais sont incrédules ou indiffe-- 'rents, les vrais révolutionnaires ita-- | liens ont la foi satanique dout parle | PEcriture : ils croient et fréemissent | de rage, et Cest sur I'nutel que Ga-- |ribaldi jure qu'ilaura Rome on i2 hore: o xnPminy ! sée,le courage,'l'enti'linem gue la franchise, Tamour P'amour de la justice et ¢ més; toutes les vertus cheve tous les dons du covur, qualités propres a P'action oldb sikld t juc d d i Infe ec qed | _ Pour unir les deux peuples, Dieu ,Heur a donné la foi; la foi, qui peut isommelller en France, mais qui, se-- Murticoman t ts Londcts w4b w 9. f PFOL _iE ! OBL prou véle XVIle et le XVIHe sidcle Sans cette foi latente, invincible comment la France aurait--elle echap pé au protestantisme, au philoso-- phisme et & la Révolution Y _( te; une patience a toute érreurve, une prudence consommée, Tamour (de 'étude, le respect des traditions | la modgration, tous les dons de Piu-- , telligence, toutes les qualités propres |au gouvernement. Il y ajoute le sentiment de la gran leuretdes beaux-- 'nns, toutes les aptitudes Tropres:i la splendeur du culte et & la majes-- |té de la royauté spirituelle ~du { Christ. _ Au Francais est donné Pesprit de 'pmélytisme, de dévouement, d'a-- 1 | bnégation, la promptitude de la pen-- ! sée,le courage, l'entrlinement. la fou-- ,gue la franchise, Tamour des armes, | -- AnbdpladinbtemeAit ied 26 letHem cce 2t 19 009 99° PCCS sommeiller en France, mais qui, se-- mce par nos méres au fond de nos coours, se réveille toujours au mo-- ment du danger, comme l'ont prou-- vita NULOTO Oa Avarare.. PAC DaAXNS LES INTEWRTS PRaNCO--CANADIENS DU CANADA CENTRAE Mais la Révolution a su s'emparer TeaNias d n en ept A 1'Italien, a; Dieu a douné 1e d'intelligence, de Le génie des deux peuples qui marchent a la tote de la civilisation est divers comme leur origine . et leur mission. * AWb de luttesincessantes. | _ Rome cst la téte, la t fatigué les Robequern- et | bras du Catholicisme es Fouché. et la téte restent fidd la vie de la foi et de Pintel-- | Croix, et avec la croix les Italiens sont nos maitres, | Justice de Dien, Ja vér -- an Romain plu' de comprendre 1é-- Souvenirs de Rome. ROME ET FraNCE, (Swite ct fin.) lien, au Romain surout, ' anc l'esprit de conseil et uce, de sagesse et de pié~' atience a toute épreuve, nce consommée, Flmour , le respect des traditions ion, tous les dons de lin-- toutes les qualités propres Le P. !Breéc}nifi;r (i-n;s IV ce et des oppri-- is chevaleresques, cocur, toutes les ©ag +210 90 'atholicisme; que le cceur et la téte restent fidgles et unis, la |croix, et avec la croix le rd e et la justice de Dien, Ia vérité ethlnlibené . |regment sur la terre. . Mais que Rome § (~t'fl1' France se divisent, tout souffre t |In servitade da vienx monde chasse | In liberté, ot Niniquité triomphe, | _ Les deux peuples sont n&euu'm an Catholiciame. Sans l6 ' gonie de I'Italie, les Eglises pafiimh'g'; sont faibles cvmre'%ermur, temoin In viell-- 16 Eglise gallicane, qnand elle oublia le " souil gm"fitru." L'Eglise ani~ versolle elle-- e Innguit et se d6-- chire, . témoins le stjout d'Avignon et le echisme qhi le rnivit. Sane 1P de_ s France, d'autre | part, l'fit 6t lox es some m | Emb témoin ce 'grl:':u. on 1 partont oi In France "n'Antervient | mmancth ho rage n an Framce est lh tomaoing PR». | Ce#s dévouements héroiques sont d'ailleurs, communs chez les Ferron-- nays. Qui n'alu dans le touchant écrit de Mgr. Gerbet. a quel prix le fils de Fancien ambassadenr de Fran-- ce achetait la conversion d'une épou-- se chérie? Qui n'a In dans la Vie du P. de Ravignan a quel prix encore une Is Ferronnays prolongenit les jours de apotre de Paris? A _ Le comte de la Ferronnays ne ss ' vait que faire de sa vie depuis gu'il ne pouvait plus la donner a son pays. Elle pesait a cette ame chevaleres-- que: il se débarrassa dn fardeau en le jetant aux pieds de Dieu pour le salut d'une dme. ind t ui dA hk 0 08 cueil, martyr sans doute de sa charité, car auctine maladie nexplique sa mort subite. 1000 m C mm Em UieT " ait bien prié pour moi." Or, ce monsicur était encore 14 dans son cer-- ons t . I 40 P T NC | de Phorme du grand monde, anno-- : blies par le sncrifice volontaire, Au-- cun des trois n'y était sollicité par le } strict devoir, par Pamour--propre, par les cneoun.anenm do la patrie. Aux pieds de Pautel de Marie de Ratisboune * n tout compris," . et de juif obstiné qu'il était en entrant, €est relevé fervent eatholique, est Phumble tombe de ce comte de la Ferronnays, dont les prigres lui valn-- rent la grace qui u subjugué, MnJ rie de Ratisbonne le croyait du moins. * II faut, disait--il an moment méme' *A M. de Bussiorre, que ce monsieur ensian e uen U Mais la voix la plus éloquente est Is voix des morts. Trois tombes que Je n'ai pu voir sans unc émotion pro-- fonde parlent aux lomanins plus baut encore que les vivants Latombe du bienheurenx Labrc, a tombe de Pi-- modan,'la tombe de in Ferronnays, Chose merveilleuse, toutes trois sont placées sons Ia garde de Marie: In rremicre a Sninte~Mnrie-d¢-s-Monts, Lu secondc dans In clapelie de la Sainte--Vierge A Snint Louis, la troi-- sitme a Saint André. dans ln méme chapelle, Elles rappel/ent toutes troig Ia vie laique, !a vie des diverses con. ditions socinles, transfigurée par le plus héroiqne dévonement. -- (ost la vie (;lll pouyre, Jn vie dn soldat. ln vie Rop esnt en compagnie de leurs maris et de l leurs fréres, seconderont, i leur tour, Paction providentielle. Les zoun-- ves eux--memes y contribueront par cet admirable esprit de dévouement et d'abnégation qui se developpe de | plus en plus parmi eux. i 1 . Hois se lt on ce moment I'Ttalie. Les Fran-- Saises marices en Italie, les femmes que le devoir ou la piété y conduit, Abpohttbera ols " (H--C.) Jendi mlatin, 16 Ootobre 1862. _ Nos religieuses paieront la dette del'Eglise de France envers |'Italie, en étendant le cercle de la charité, jusqu'ici trop réseryc peut--6tre a Dautre sexe. A la VL contempla-- tive se joindra pour la femme une vie plus active daus les écoles, dans les }n')pitau)., pres du pauvre et de |'infirme, prés de ces miséres de l'ame et du corps que Fhomme est inhabile i soulager. Nos femme du. monde elles--memes ne serout%)u Ctrangeéres & Pimpulsion que reyoit' on ce moment I'Ttalie. Les Fran-- idot _ Un des signes du temps cest l'in-- fAluence croissante du clergé romain sur le clergé et les laiques de France et d'autre part, Pinfluence des fem-- mes de France et de leurs fils Shr la société romaine. Cest en mettint en commun leurs qualités et Tears vertus que les deux peuples se com-- pléteront Pun Pautre. \ *wlov . combftinos 6j fi: ligats en ewfitjldl':npom |En"tout ce qui ticut & la vie laigue, & I'.posr.olatm femmes, aux vertus chevaleresques, ils peuvent s'inspi-- rer de ;:'ql"r-nce. et ce n'est pas sans un dessein rovidantiol que la Providence aj pelle en Italie nos re-- ' ligieuses de '&im-Vineem-de-Paul. du Saoré--Cooury du Bon--Pasteur, et ces femmes du monde qu'on rencon-- tre partout ow il y a une douleur & mser: au chevet des blessés de 8:&'&- comme au chevet des blessés de Lorette et d'Ancone. Les _ nombreuses congrégations dhommes qui ont leur silge en France ont maintenant des maisons & Rome. Elles y preadrout la sa-- gesse ot la foi romaines, et y laisse-- ront Nactivité francaise. Les deux peg})lutl y gagneront. | que Sinspirent Mais l?s Iulii ,f & gaguer avec n pireng x rois chrétions. s Italiebs, cux aussi, auroqt avec nous, bien que leur, proprg'® uational soit .un @ppelient toutes troi vie des diverses con-- transfigurée par le vonement. _ Cost ln . vie dn soldat, la vie Frnlcp est le s congregations i leur sicge en naut des maisons preadrout la ga-- _ °2 °7 0C CoOmeurs tres varices,. 11 P'fl'r" ~--Avant de tos "", Ponr ©00 ; 6t in construction d'nn a plusicurs espéces de Toli )lo-'! oignone de tulipes, on doit -- fltet poncean, sur le Rnisseau--St.-- a de 1.1'.1",. des | on rovae pour rejeter conse out, de 344 'pieds de long, pour ardiniers, Tulipa, Gesneriana,.que | raient btre it gl}.%. Te tout dans le 461 Conrad Gesner hm.,;.,mg. conpait & lear ?:h;demmhimmdoo-trb :"r" 2"' Pho a donné nai bi j.:. dqplmg e vatrictés, diverses bi--/Je antour 4 \unx,uponfim-on compte con-- l'nrlu,?ow h 4 o de de Joa nntjuq-'aaldtu-bud-m-.n tours maniaqnce & des Cpotn l lon".l-nnfipr 6 a'élévent gu's $186, mais a 1 ment fol ."'i.",:' f tion de petite rénervhes <d dnin 0t los Bets "'"('f iOfités or m an printemps tous.ces ont 6t6 l an mettre fin " & ahlt abseim o Td P achovés et pavba dennia. sur le Buu;;:-};c;ro';l:' :'t.;"u:nl:: au--dessus . de la Pickanock, pour | is somme de $110.. La constraction d'un pont, :'u.rlle Ruissean --Lépine, %' pieds entreprise pour x un de Dofi sut le MP- ¥ se, pour ; ot la construction d'nn t et pon sar le Rnisseau--St.-- R:onr, de m-'pld- de long, P grl'l':: Ie--out dans hun-u'p de Les paiements & compte de ces tra-- a' :,:" main & 1. s e Sn C Rtmtend j jnegu's la Rivicre--du--Désert, et jai j pris note de la condition de cette rou-- te, do la qualité du sol, de sa surface : ' et des obstacles qu'on y rencontre, afin de me mettre en mesure de faire une estimation approximative de ce l que cofiterait. sur uno moyenne échel-- fle, 'achevement do cette route qui so-- «rait trds utile an développement du pays. \ ! Comme il avait été proposé d'em-- ; ployer une petite partic dlonr:me ; votée pour 1861 & des objets d'utilité ' sur 'Ie chemin dnDésert, et va que inmalis es S Oc q en ies olg MECmation le pflntémpa, je donnai & | La Tulipe ext n DPentreprise une partie des HAVRUX & | angy;, monogynie exécuter en revenant de mon expédi-- ches, enant c tion. . __ | blane I Fintérieur, Ces travaux sont: _In réparation, tieut d'une tuniqu 'exhanssement de 6 pieds et le P"O--| ou marron. La h lonqenll)en'tjmqn"' 170 pieds, du pont| 4" Z°°Om-- 44 M 000000000 AACRCEACN WHTC q"l quelques--uns des ponts menagaient de tomber en ruine ou qu'il fallait en | construire pour ne pu%nwrrompro lnl' circtlation le printemps, je donmai a DPentreprise une p-nier?u travaux & exécuter en revenant de mon expédi-- tion. Au commencement do 2'l;'ovombre dernier, j'ai fait en pen de temps, mais avec soin, une reconnaissance du ch'anlxin lo long de la Gatineau Jm construction et répmration des Bmta sur le chemin Gatineru et du ésert ontrent dans la troisi¢me divi-- sion des travanx pour lérection des-- quels on a fait une petite dépense & compte de la somme votée pour 1861, Lsnt us t 1 on n'wura pas constaté Fexistence de quelqu'étendne considérable autre que nel?&ci.et propre & la colomisa-- tion, rien d'important re peut étre fait ici. L'achevement du chemin juequ'a quelques milles a Pouest, et sur une petite échelle, parait dtre tout ce que Pon peut désirer d'ici a ce que on ait d'autres renseigne-- ments, A Pextrémité de ce nouveau che-- min et dans un rayor de'six milles, il y a beauconp de b@nnes terres pro-- pres a In culture, hien qutelles wrent rocheuses par endroit;--mais tant que Fon n'sura pas constaté Fexistence factions ennemies : le bu de .Juda a vainou. WEas aP inesimie Abstvreh ib baidia 3. lui a spécialement contfiée. Le récent tn'um de Maric est le gage.assuré de la vigtoire de la @roite nature sur le nm::ll,l!rzliume: ot lnéuumel dal l place d'B e prophétise plus--clai-- 'remunt eng::g,nqlfi- lg B. L&nnrd. En voyant la colonne de ITmma-- culée--Conception s'élever sur ln place d mavha Te Ga o t on T oo e en ment dite que contre la Clmgtienté ; moins contre Pordre spirituel que | Pordre temporel, Depuis soixante-- | dix, ans, cest le royaume de Marie, Cest ln France, c'est la ro muté pon-- tificale et Rome yue in i(é\'ulution attaque avec le l':{lns de fureur. Je ne m?étonne pas, dés lors, que les tra-- ditions attribuent tout particuli¢re-- menta Marie, " secours 'des chré-- tiens," ainsi qu'd la France, sotisroy-- aume, la victoire qui va suivaoe rmia combat, Carla canse de la Chrétienté est sa propre cause, la cause que Dieu lui Wcmlement confiée. Le récent $a. Mn poos - Colonisatton. 00. x*" Rapportde A. J. Russzcu Sur les chemina do Cest de--Rome et de la France que viendra lo salut de I'Europe ot du monde. _ Ia victoire pourra . cofter cher, mais elle ost certaine, Aujourd'hui, Ia Révolution engage In lutte moins contre 1'Relise propra. 'M, In France, et surtout nds evé-- ques, ne le cédent o personne, t ai je nocil.olauuun l:om, cest dars Pim-- possibilité de désigner tous. Dans la question "'mli:""es ou F'épée joue un grand role, la France a r'mlifpémn sang et a 'Rome ot a lastelfidardo plus qu'aucune autre pation. 7 noied o oumbty adigh 605 3P PSNECSE Qhand |Pautorité |plm$' du / connu Pape, picrre fondamentale Bigli-- | probat seiptait attaqude, log wltra--montonis, printer cest a di:'?- Italiens, Gufl* Ca-- | pieda ¢ llari (depuis Qrégoire X¥T), do | ges on gliou'e, étaient au premier vang. mings Mais duns la question de l# toyau-- tomu té pontificale, pzlhdinm do In 'Chry. ! A emina de Coloniaation d' Otta-- wa et Ponhac, y Bureau des Bois do in Couronne, t Ollawa, 27 mars 1862, (Suite et Fin.) ouci la croin du Sr'%:;u,/ w" ons ennemies : te Lion de * heusdasl 0 30 me et Rome, is Chine et @sJapon. | Apros un examen minntionx rtion, ninarvhes :d 10 | dute on tos Helnes wl 0 se en ty ons ces Ao es e en CRert. Maric est le gage.assuré Calal o 7 V. oz Mavancny de denx a qnatre feuilles Jancé --:I-é;:, m ampleiearnies, pliées en gouttiore, d'un--vert m-, porte une, ot razement déux grandes, io nerirenage :.clh.'de conleurs tr:_;-;'"u. NB:; ;:Im_ml at, de h.illpup. : ) Conrad (leaner ier S the on 1589 mié le premier connut-- andrtie monogynie, famille des Lilia-- ches, rrfwommt d'une bulbe rolide, blane Fintérieur, recouverth Pexté. tieut d'une tunique d'an rouge brun ou marron. La hampe -itTle, mithie de denx & qnatre feuilles lancéolées, s Lo e d eiel I"] + E ,,_...'..,. Ag I._l:;lwfl CC p'usieurs ponts gur e front dans la partio i ,hlywn hi ' d'()nnlov':',"étuim n'(rm.irnp 2 ce ie nseatt ty | _ D'aprés un examen ntt:mil' ct des 3 renseiégnmn(-,nu, f'ai constaté la né-- | cessité urgente qu'il y avait damé-- | liorer certaines parties du chemin | dans Clarendon qui sont rabotonses et dans le townshi d'Onslow sur-- tout, en bas de Ia lllljviéro-Qnio, on il avait environ quatre milles de chemin ' extromement mauvais, une partie de ces quatre milles pmseant sur un ter-- rain rocheux et rabotenx, et Fautre | dans des terres bourbenses; dont 1'é ,gnut(tjemont, etc., a nécessito :ilu nds travanx. ction de lElr:.i...... P ---»ifl censtPnction _ L'amélioration du chemin de front, dans la partic inférienre le Pontiac, a 6té faite avoc la somme de $1,000 affectée a ce chemin, qui part Je la ligne du comté, entre Ottawa et Pon-- tirc, ot va jusqu'an Portage--du--Fort. Ti se E200900 mumnel ' _ Ces travaux ont été faits pa parti d 'hommes employés au n dirigés par M. Benjamain M d'Onslow, ]mim:l. par son énerg la grande expérience qu'il avait uise dans la direction de char 3m les bois, n su frire produit ouvrage la valenr de la: sommes pensée. _ ges 30 S ow oo otCc e MORennine 180 pieds, et i ln décharge du Lac Wolf, un pont solide de 16G pieds de long et de plus de 26=pieds do haut, sur piles on bois et avec tablier en bois dégrossi.»Le pont ct le;jh)onccuux ont étgfahs de i8 pieds afin qu'ils fussent d'égnle dimension agec le chemin lors-- qu'il sera Clargi par la corvée des co-- lons. La somme affectée & ce chemin était de $900, ct les fravanx ont cofité $785, ce qui lmisse une balance de $115 a appliquer & d'autres ouyra-- o en n oRaVts ére--i--la--Poche, I1 a 6t6é ouvert d'un bout & autre sur une'longueur de douze pieds, et de six dans les endroits difficiles et ro-- cheux ; les cotes ont 6té applanies et les pierres enlevées pour qu'il puisse Atru'rnrcouru ea(vonture. I1 y a été falt des Donoostk masneuee t _ di Ce chemin commence & Péglise on-- tholique, sur le No. 4 dn Nme rang d'Onslow, ot: va jusqu'au No. 28 du 12me rang de ce township oi i1 so re-- lie an ulnl:)min de Masham & la Rivi-- a2 ao0 d s agg M uon Pn ernn tit sur beaucoup de ')onnes terres propres 4 in enultre. Ayant obtena--votre con-- sentement d ce sujet, jo donnai immé-- diatement iatruction a M. Leduc, de St. André--Avelin, de,faire le tra-- cé de cette ligne de chemin en mon-- tant ipnr le. township de Buffolk, et celn daps le but de flprolunger plus taurd. Le résultat de son tracé est tres satisfaisant, mais il n'a encore été fait aucune dépense er travaux sur cette ligne.. Dans in dernidre partio de ce rapport, je reparlerai de ce che-- min etde celui de Gatinean et du Dé-- sert, pour recommandor Pexécution de nouveaux travanx. Dos truvaux de la dernidre swison faita avec les sommes votées pour des années précédontos, les prémiers com-- mencés ont 6té Potwverture du chemin d'Onslow & 'Masham, _ Em L9eP CCC slow, était atesi Q*-nz:mim FLORICULIt LE 3 avantageuse, aprés celle de In Hluti~ neau, & Pouvertnre d'un. grand cho-- min & Pintérieur du pays au nord do i'Ottawa, et que sur le coté--est do la Petite--Nation. ce chemin naw....t. terr Le prolongement d'un autre pont w"wl:"': pour $40, ost lo ,a..};.':':..- yrageactucliement en yoie u-- fi?-:;gv o chomin du Désort. [woveble, pao, ies qeminges pany on probable gimudes caux du ')l""""'"fip'ig fallait, Pexhaussor do 6 pieda ot Pallouger de 70. Ces ouvra~ ges ont 6t6 entrepris pour $320, ter-- minés ot payés depuis, sauf une poti-- in nertia ulipe ext une plante de 'lex m ty tes ponceaUWk mesurant ensemble pieds, et i' la décharge du Lac , un pont solide de 166 pieds de _(;'t de |ilus de 26=pieds do haut, _ot que sur le coté--ost do Nation, ce chemin passerait se e 2LR TULPE, Benjamain Moore, . par son énergic et 'fuire pru;j uire en éte faite par un hAbin & n uids qu'il avait ac chantiers ols ot dé-- y f'ui re-- j La tulipe préfere mn sol substan-- [ tiel nais «ain, L/emplacement doit ' | étre choisi duna le lien le plus a6ré de tout le jardin. _ Les plantes bulbeties | d'ornement, tulipes, jrcinthes, crocus, | lys, fritillaires, menrent troe protnpte-- ment . sous Finfluence de Fammonia-- que. . Tout famier frais, par cofteb~ qunent,mBlé d'urine de bétail, conte-- nant des sels & baee d'amm fe, fllpliqné sur Tés bulbes, les fait grir. ais il no s'ensnit pas que la culture de ce splantes no conporte 1a présence le sol d'.ncnnoupécod'tngn'. ; cacines fibreuses des. buibesont an ire & sonffrir/dans un sol maij gre ui se durcit et ne leur ofio? une alimentation suffisante. . Le mier de vaches, ayant épuisé--sa fop mentation & D'otat de ter-- reau, uflpfiwm" bien-- cet i ne l'unplq.'qu % sec ; i ost .kndn:sl"-u uthR6 anx talipes dont il Jn 'v'fi'ulh dune .manidre: trb« sensi-- posés dans cest-- c Po-- plus tuti-- Cit ment & la plate--bande qlt; re;m;"fe; calenx une formc bowbée, afin de fa-- ciliter .'égoutter i; dans les an-- nées plnv'femws. lear g indispenen-- ble. WeW' FomntAuibiidss Lc .4 h tain d'une--complete maturite. On some an Primemrz, en plate--bande de terre legore mélée avec moitié de terrain de deux ans; celui qui_ pro-- vient du fumier de vaches est le mdil-- leur; lo fumier de cleval et son tar-- foan sout cuntraires a la tulipe a tou-- tes les 6poguer de son existence. . A In fin de Pété, on laiese complétement déssécher la terre oi Pon a semé les tuiipes, on In passe au crible fin, et Pon en sépare ainsi les jeunes bulbes qu'on traite ensuite comine les c#ienx. f.es tulipes obtenues de graines nc montrent leur fleur que In quatri éme on la cinqui@me rannée, Catenz.--La culture des titlipes de cwlenx a sur les: semis Favantage ie donner des résnltate certains et con-- nus d'avance. On ne doit considérer comme mire et bons i mettre en pé piniére que les eaieny qui, quelqnc soit leur volume, se détachent facile-- tnent de Poignon. _ Cotte séparation a lien a Pépogne oi on déterre les oig-- nama anwe fase d l c 1. : e I pmreet e eemiy Senels, Semis. T1 importe de Inisser parfai-- tement marir la graine dans sa cap-- sule nvant de la récolter, Au rieqne d'en perdre une partie, on doit atten' dre que in capsule soit devenue do couleur Urune et qwelle commence & wouvrie dellc--meme, sonl «igne'cer-- tain d'une--complete maturite. . On some an Primemra, en plate--bande de terre legore mélée avec moitié de en 1 Annen es n'en est pas moins un reuso, peu difficile: sur qualité du sol. _ P O oT9 CBP TWY C Toute i| Panuée,' & une collection x mflt: s | dont on ne jouit qu'une fois par > | Tolle ést in ruison princi[»\bronrfh- , | quelle lo prix jadis excessif des tati-- s a considérablement baiss6 ot 'doit ] E:uiner encure. En Angleterre; une + | collection de 600 tulipes de choix | qui coftait encore il y a vingt "&ns | 1000 dollars, ne cofte plug actrolle-- | ment que 400 dollars. . Néanmoins il y a dee variétés tris rarce dont'un seul oignon w(snie $100, 'En France, les coliections de tulipes & ln disposi-- tion de 'commerce se paient $100 le cent, en mélange, . Danalu Perse, les Talipes sont pour ainsi dire, un pobjet de euite. On y célébre toue les ans, a Pépoque do ln tloraison, In fote des Tulipes. «h * A part toute prssiort, la réunion de 600 tleurs toutes diflhmfi" aveec leurs nuances vives, d'une richess8 {n-- comparable, est réellement unc des plus bellcs productions du regne vé-- getal. Il ne manque a la tu'ipe que Podeur ; olle a Peciat des coulours 16-- légance des formes et in durée do la floraison ; elle y joint an plus: haut degré in llmnislence dans ly forme, la taille et la conleur; et quoique pour lo maintenir duny toutela perfection que les umatours en exigent; cilo 'r6. glaigo. dae: aoitre cnesidies es uin' . _ Muitiplication. -- multlplic de graines Semis. | 1 importe de " Al 7'"'2;'1 roal whe ts terte Pax enduallemee ahdolf 4 mesure que 'g'e« '"iuul;dm'. 0t ntroduits s e mm in Bocacnp Ammtooe en ie ,"'d'?'""-' in dépense étant Fr'whne who-- sovre La m h Tlfim' 't mfogin fi:'.'h..;f"';':".r.%.& t exnel ; temps pook cete magnifitae apuie 3 soing assiduy, la T sez de bonre heure an sont insensibles anx On donne ordinaire-- bande qui regoit les ic bowmbée, afin de fa-- t« --La Tulipe 'so ines ct de cafenx. to de Inisser parfai-- graine dans ea cap-- guaL 1 -- es -- différf@nte®y» avec vee, d'une richess8 in réellement -- unc des retions du réone va. 7urneP|'n|.|'w vigd.'!; étant In'mdte, u; platités "@61 so w e climat etla y a vingt "&ns plus actrélle-- ---- Néanmoins raree dont'un 0. En l"mm;.;, d0 jué "toute c "tiilipes ulipe coq

Powered by / Alimenté par VITA Toolkit
Privacy Policy