UN JRUNE MONSIER d'ane édncntion dis-- dte ""'""'"f dant us -:n-.dfl. '.'-m Gain, anglais, ote,, lat sout +440 e piaitadh is :i Sec SActs.; avoine 41,oh. ! 50cte. Avoines--Par 34 Ibe Feree--Par 60 lbe .. LARD _ POIS--Par 60 Ibe. . .. .. . .. BLE--D'INDE --Par 56 ibe * Jw ty sn t * BLE-- _ s em Cns Antomne . .. . . par 60 ibs. _ Printemps . . . . " 60 ibs FLEUR-- Pour faciliter la circula-- tion du Courriee parmi la classe agricole, nous infor-- mons les cultivateurs que nous prendrons toutes especes de produits, en paiement de 1 leur abonnement, Farine d'Av. par 196 Ibs. 5 50 Flour de blé d'inde 200 lbs 3 00 Seale par minot 56 lbs. 0 50 Orge . © 48 \bs. 0 00 Sarasin © . <© 44 lbs. 0 00 Extra pr quart No. lw,q. Ion Fine MARCHE DE NEW--YORK L Nous avons adressé pour la der-- micve fois d nos lecteurs, les comptes | yui vous sont dus. _ 4° Tout souscripteur qui chan-- ge de localité, sans en donner avis au propriétaire d'un journal et qui est cause que le journal lui est adressé au bureau de poste, de sa ci--devant résidence. est tenu responsable de Fenvoi du dit jour-{ pnal. o ~ Lougsouscripteur refusant de prendre son journal au bureau de poste, ou il lui est adressé, est responsable de l'abonnement, jus-- qu'au payement des arrcrages et ordre de renvoi ; renvoyer le journal, ou refuser de le prendie su bureau de poste n'est pas Favis que la loi requiert, PRIX DU MARCHE. 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' T¥ Le Bureau du Courrier se trouve maintenant Rue Clarence prés de la Rue Dalhousie, & la résidence du Rédacteur. Les personnes qui désirent annoncer, ou transiger quelques affaires uelconques sont priées de s'a-- gmtser directement au Proprié-- taire--Rédacteur. Aux Cultivateurs. a 85 Cartes d Affaires ler. Orrawa, ler. Oct. 1862. 1 10 0 00 ' "Wo croyet pas cependant que Pior-- Fotere, yom wiiee tam toreys" ans ; fnua-'s .'.mn&o.am; i Unveny o( en on Sede D'aprés le proverbe gui a bu boira il buvait raide et sec & rendre hnit m:nh sur douze & un capitaine E'» ais en retraite ; puis, tLuud il bu-- vait ainsi, il noyait dans le . vin blen de son verre le souvenir de son pays :ttlt:n mhlcoi l m&nrn'n:: sa eille.mere .qu'il avait qnit m] plenrant, et les pienx conseils qn'efe avait molés & ses larmes. T I " ourqnot Frerrot n'était--il pas heu-- ' renqumpuce Qn'il cherchait le hun--! heur lA on il n'existe pas ; parce gu'il j kdcmnndnitldafollujo}e- qui ne j le donnent point; en un mot | 3n'il avait conservé, sous son uniforme | e troupier, ses gotits et ses hnabitu-- | des de pékin. i sans cesse, une 6 la tote du soldat Malgré tous les avaptages dont il jouissait au eorrs, Pierrot n'était pas complétement heurensx ; et cependant il aurait pu l'étre autant que peorfec-- tion danis' le bonheur est tflmoe possi-- ble en ce bas monde. Retenn par le froin de In discipline militaire sur le plan incliné de ses passions, il était: constamment en lutte ' @vee ses ins---- tincts, anxquels bien sonvent il cédait sans songer awx p-:nieiog\s suspendnes Comme vous le voyez, rades. notre ami faisait f les honneurs de son nom, tant an besoin lui--méme « toms. JOURNAL PUBLIK tts [ ~zar-- Feaill rier se| _ arence | L g M , d la ---- Les oncer, flaires Ne rie: le s'a--| que j'ai l opri6-- | au comm militaire, W.J une touc! iment | serons :i.I , annces de in ooe chretrong ' tueuse, m plus sentiers d des mauy ~~-- | impétuem eunesse, . aue Jmundonn 1 r la le plus fra l'efll- du payl.l cription, g Di c c en d stt 'd'nn Robert--le--Diable quelconque, il! enleva tous les suffrages en exéou-- | tant, avec autant de verve que des-- | prit d'Apropos, des: variations de sa ! composition sur le théme si connu; de : ' Wt ver surtout, lui procurait, indépen-- damment d'une permission qui sou-- vent dépassait dix heures, les moy-- ens de satisfaire en grand toutes ses passions. _ Iembouchure de son ophicléide était pour lui celle du. Pactole, IIl faut avouer que, sans' étre d'une force de Paganini, i! con-- naissait assez les ressources de |ins-- trument pour aborder les plus gran-- des difficultés. Cest ainsi qu'une | uis Pach an e 1 SE Je uty Emm esn e erine fois, dans un concert au bénéfice q. 2 S0° 20 PPDG Pourg uoi Pierrot n'était-- I HooNoyion o antem COmnet , | dagrément le flageolet, la guimbar- de, le mirliton et toute espéce d'ins-- { truments & vent. Cependant Vophi-- cléide, instrument précieux pour la | musique militaire, 6tait son instru-- | ment de prédilection. Entre la the-- orie du i{:nt.sain et la méthode de |Partiste, Pierrot n'hésita pas, car il savait que la position de musicien au régimeut est appelée en certains cas & jouir d'une indépendance re-- lative, dans les grandes --villes sur-- tout, o les salles de bal et de spec-- tacle, sans compter les bastriugues. font une grmd'; consommation de mélomanes. Quinze jours aprés son incorporation au regiment, Pierrot, tout Ee neuf habillé, remplissait, en chef et sans partage, le role de pre-- mier ophicléide. Ainsi qu'il Pavait |, prévu, cezteJmaition devint pour lui une source de douceurs inconnues 1 au commun des martyrs en pantalon garance. . Presque chaque jour, I'hi-- ! P No ns 1 iss ~|impétueux auxiliaire, la fougue de la , |Jeunesse. Pierrot était, nous en de-- mandons mille pardons & sa mémoire *|le plus franchement mauvais sujet ~| du pays, lorsque la loi de la cons-- cription, glissant dans sa main un numéro infime, l'appela sous les dra-- peaux de la France. Jouissant d'une | santé robuste et ne manquant pas | d'une certaine éducation, bon musi-- | cien et d'excellente humeur, Pierrot cultivait avec amour le vin, le jeu en un mot toutes les passions mau-- vaises et désordonnées gui sont au fond de la bouteille. Avec ses goits et ses inclinations, vous comprenez bien camarades, que notre ami Peirrot , dut trouver durs et longs les premi--| ersjours de son a;g)rentissagc de sol-- dat. Le moyen d'aller au cabaret, 1 'je vous le demande, le quand,jour dés f 'cinfl heures du matin, au premier |, cridu coq, un caporal vous apprend | , a envisager, d'une téte haute, sroite I et fixe, le noble métier des armes ; | le soir, quand le tambour de la re-- t traite vous rappelle, comme des pou--| p les, au quartier, o@ la salle de police | ; attend sans fagon les retardataires! l Ainsi que nous Pavons dit, Pierrot t était artiste; il jouait avec assez s ho €F 1" NC Ne iez pas au nom du personnage que J'ai 'honneur de vous présenter | au commencement de cette veillec / militaire, car a ce nom plus ow moins | comique, j'en conviens, se rattache une touchante histoire. Nous K.»- serons rapidement sur les premi¢res annces de lavie de notre héros, élevé chrétiennement par une mére ver-- | tueuse, mais entrainé bientot loin des | sentiers du bien par les séductions| des mauvais exemples et par leur |. , une épée de Damociés, sur LE MUSICIEN PIERROT. Au clait de Mon -- ami Feuilleton du Courrier d'Ottaws. us le voyez, chers cama-- ami faisait franchement Se Couttier Litterature. Pierrot , en -- lechan sur tous les il é;aiij CORRESPONDANCE AMERICAINE Les désastres de Bulf Ran, de Ball's ies ?'t'mc»a o demiare-- Y an ce meont is rofraite procipitée do Pope | _ Cest un fait singulier que depuis ;qls la guerre civile est commencée, | malgré les erreara les plus graves, les omissions--gans nombre et néme les crimes les plug sérienx, commis dans la gestion Su affaires militaires, il n'y ait point en encore la moindre investigation sur la condnite d'an mm en . chef qui a commis Pane on l'autre de ces fultc? hormis 'on excepte le général rélnom'y I:nt les erreurs Tt lea bévnw; 0;|t 6t si yes et si palpables que le Prési-- dont | Lincoln a old forot Pat Popinion, publiqne destituer 'de son com-- mandement. | _ Trois jours apres, il s'approcha de la table sainte, et regut avec les sen-- timents d'une foi vive le pain qui donne la vie éternelle. De ce moment--la, renoncant a ses vieilles habitudes, il divorga complé-- ment avec la bouteille, ne vuu'nnt plus, dit--il, dautres canons que ceur de E Fiplise, cent fois préférables / ceur du marchind de vin. | _ ----Eh bien! mon ami, lui rprétrc. étes--vous heurenx d fait ce fi!reminr pas vers Dieu ? --Oh! oui, mon pére, rép avec effusion Pierrot, car votr nediction vieut de mettre en cceur le eiel que vous venez de cher." Nos Generaux et la guerre T000 270770l, mais nous Bavons (lue lorsqu'il se releva sous la bénédiction du prétre, son front était rayonnant de gonheur. Nous ignorons la confession de ami Pierrot, mais nous savon lorsqu'il se releva sous la bénéd --A genoux, mon enfant, et com-- mencez au nom du Pére, au nom du Fils, an nom dn Naint--Esprit........... ----Depuis montré dans cing minutes . --Depuis nion. --Que désirez--vous, camarade ? --Me confesser. Y¥ a--t--il longtemps que vous n'a-- vez approché des sacrements? --Depuis ma premidre commu-- (P. 1 en t td Paccentuation de la voix, qu'il appe-- lait avee raison la -- musique de la pa-- role ; puis, cuptivé par fu choix -- du| theme, il écouta avee une plus sérieu-- | se attention les poétiqnes modulations ! qui tombaient de la chaire sacrée, | _A mesure que le protre (h'-velup-| pait son sujet, Pierrot, de plus en plus attentif, clout sur la place, (er-' rassé pour ainsi dire par une clarts subite, dans humble chapelle d'un ' hopital, comme saint Paul sur le chemin de Damas, Pierrot sentait | vaitre en Iui le principe d'une vinl nouvelle ; ses yeux. dewniée J» .i | A¥ail tant dPonction dins si voiX, t \d'inspiration dans son regard qua il s'élevuit au ciel, dout i! décriy les"Joies divines, il y uvait | tant de gique dans son argumentation, .( tout Fuuditoire semblait suspend ses lévres. Pierrot préta -- dabord Foreille Paccentuation de la voix, qu'il apy lait avee raison la -- musique de ln j r::lc; puis, captivé par furluux « ExC InUr our le C p@8, en signant cette trois mois le not 1 rait en celui de re'u';i"n regimeDt . tenait . ale Clermond Ferrant, 1 iuh"idu, allant voir sor clarinette, malade d sans but arroté, | par u de simple curiosité, di oit, devant un certain valescents, un prétre | iélicités du cicr Vorateur sacro navi (La fin au prochain No.) DANS LES INTERETS FRANCO--CANADIENS DU CANADA--CENTRAL Mon pére, écoutez «Sm' a célébréles pompes de Sut evantera . plus que les louange Dieu." tr ourrier d Oftawa.) que . vous me Pavez es joies du ciel, il y a tenait alors garnison & Ferraut, lo premier uplhi-- nt voir sou camurade, . la malade & Phopital, entru, rete, par un muu\eluenl' uriosite, dans la chapelle un certain nowmbre de con-- | un prétre prochait sur lun' cicr i-- Pierrot -- 4 Coffol ho se doutut nt cotte lettre, quavant u Létre so change~ .no!'fu fh:'aoA rangn --moi, Ini dit-- lui dit le 1x daavoir suspendu & notre Ottawa, (H.--C.) Joudi matin, 2 Octobre 1862 1 is O eg e e o B Pm d oc ic sn U To c td ECAE Gt 17. Tove chant qne tot on tard justice Ini sera J blit P'unité dans Parmée qui venai faite, il recevait suns sourciller tous | de so faite battre t qui renfuyai les traits qne la haine ot Pinjustice l précipitamment vers la eapitale. pouvaient diriger contre luf. Me--| Le dimancho soir, le jeune généra Clellan ferma Foreié & d'injustes | sortit de In vilie pour se mottre sur l accusations qu'il pouvait facilement | champde bataille et sauner la nation | faire tember sur Ia !a tote de ses ca~ | car c'z'dt ni plus moine que le saint | lomniateors : mais il préfera se rési-- | de la nation qu'il portait ce soir 1d anr gmer A un silence profond qui confon--|ses épanles. Durant le trajet pour dit plus tard «es ennomis. T1 vittom. | se rendre . sur le théitre de ses ex ber de ses maina son commandement | ploits, un incident eut lien qui pronve sana mnrmitrer : mais quand i1 vit que | combien il est aimé de ses loh'l!l' sea vétérans, cétte grande armée qu'il z;clle conflance il lear inspire, et qn avait si bien agnerrie Tabandonner | fournirait ansei am magnifiqne tablean pour aller ob€ir a un --antre général |anx talens d'an @rtiste nm%flcuin. qu'une fansse politique ~avait > phres| _ Landi soir, une division de 'armée andessna de loi ; quand il fat déerété | da Nord arrivait a Rockville nEré- q9'il no devait pivs étre an milien de | une longue journée de marche. Elle ses braves snldate qu'il aimait tant ot | était uho de celles gui avait combat-- dont il était si ardentment chéri;| to A Richmond, qui avait marché de-- quand i1 les vit partir pour allér aur gvin Harrison jnequ'd . in : forteresse un ohnm}r de bataille quon lni avait| Monroe depuis" Aquia Oreck jusg nA mdung défemdit de visiter ; qnand dn| Harrenton, et qui, Mu:k\ ford do sa'tenti, isol6 -- de cenx avee | tant de tristes' .m 'fim il avait > jfuréde partager le | sous le Gbnmgvp, 6t lnfortane In défense de | s'abriter sous lea mmoh"flw T8 patricy il -.-g' lo bruit du om--| ton. % déjoner ence ct public. it | ... .. ou6l 20 12200 PHCIEE pour Ture | ca lt | ouvrir les yeux aux autorites militui-- | tou it | res. -- Dans une lettre trouvée sur sa | te it | personne, tachetée d son sang, adrea-- | me 0-- | sée & sort frore, écrito «a erayon quel--| _( e~ | ques heures nvant > : sort sous le dra l"(! peau du Sud, ayant cto fait prisonnier | pr t-- | aprés avoir été mortcllement bless6 | pla sur le champ de | bataille, il disait en | ent teriminant: " j'ai combatto couri--| 8 geusement, et je mours sans erainte, | nee . | Je tombe victime de imbécilité de | fore Pope et de Ia trahison de MeDowell? | dice . | Le Colonel Brondhad est mort des| x de suites do sos blessires reenes anr le | bore , | ehanp Chonneut, sou tcgiment a étG | com 4 déciinc, dos milliers de ns braves sol-- L. dats ont mordn Ja poussiére : voild | den tont. d'in - Les géenéranx P. pe et. MeDowell | romi | conservent lear cpaulettes et . conti--] vien nuent &A recevoir leurscing &A six cent | 16 de piastres par moix, désir | _ La inalheurense rivalité qui existe | sn d parmi nos généraux en chef a 646 on | tie d grande purtie In canse de nos . terri-- | dadd bles défwites, Les vides de ln perple-- | I1 n's weant iment in, ne s de Xit6, c méme re : je le de-- s je In suit ! sulites do se champ dhor décinc, dos dats ont m tont. ve quals savent se battre, sont mal commandés, L mort du brave Colonc ton F. Bradhead dn Dé vient de tomber & la tate de rie, composée preaque exel de canadiens--frangais, d'alle | Peuropéens, devrait suftire } onvrir les yeux anx nutorite res. -- Dans une lettre: tron: personne, tachetée deson ga; sée i sort frore, écrico sa ora ques heures nvant :: ort ao peau du Sud, ayant cto fait p aprés avoir été . mortcliemen sur le champ de bataille, i] teriminant: " j'ai combatta geusement, et je mours sans Je tombe victime de Tinbé Pope et de la trahison de Mc Le Colonel Brondh d est m Ih[rCs par moik, La inalhenrense rmi nos générai inde purtie l c s détwites, Les 6, de Pinquictus me de la haing c, Au liew de ire tout le ut en effet & | P me purle passC, aux men de conduire nos srmdes s de bataille, que peut--on nou de la honte, das défa pertes continuelles. incapacité et Dignor nueront a marcher In téte | ront toujours la porte au diocrite c marquern nos géner Et puis de rivalit brillants exploits rds ol pissés sot une noble cun de 1 s¢es verne seinl d'éjn\-u;- rencore de et de terribles perte: 8 "MCe per faible MIMIIILDSAPVGILAIN nc ammsscace de Washington, sont l& pour rmnvvr Pincapacité de nos clofs . mi itaines : cependant une seule investigation . a eu liew jusgu'd prosent sur ly condui-- | to des généruux qui commandaient & ces batailles. ' _ Toutes les défaites ont prowuit dea. vffets funestes & lu cause fédérale, et ceux qui en sout aujourd hui mFolrf sables sont encore a lu téte de ar-- | mée du Nord, et le pays doit -- done | s'uttendre & voir verser de nouvern | it inutlement s st112 de nuk hrsome i Id PTGaW t melhbanats ul e la haine ot Pinjustice l précipitamment vers I;cnyitaln. ° liriger -- contre luf. Me--| -- Le dimancho soir, le jeune général na Poreillé & d'injnltu sortit de ln vilie pour se mettre sur le qu'il pouvait facilement cbnmz'd: bataille et sauner ia nation : sur In In tote de ses ca~ | car c'était ni plus moine que le salnt _mais il préfera se rési-- | de la nation qu'il portait ce soir d anr ence profond qui confon--|ses épanles. Durant le trajet pour sesennomis. T1 vittom--| se rendre sur le théitre de ses ex-- nina son commandement | ploits, un incident eut lien qui pronuve er : mais quand i1 vit que | combien il est aimé de ses 'OMH"' cette grande armée qu'il z:clle conflance il lear inspire, et qn agnerrie 'abandonner rnirait anssi on magnifiane tablean t le tort possible. ffet a été mis en jen pour plans, détruire son influ~ scréditer anx yeux da is Ini, towjours calme et onflant a {'nvenir, ct an-- our l'ilueréif du pouple et du gou plus aux, 8'il y avait entre e *et plus de patrio mmencement, . ils lear rang le déme our ne soutenir et will rdu ble ut fé 1 fait old ux anx nutorités militai-- me lettre tronvée sur sa thetée deson sang, adres-- re, écrite s erayon quel-- ivant : sort sous le dra ayant cto luit prisonnier té mortcliement blessé de | bataille, il disait en | f'ai combatto courm-- f 'ifl meurs sans l'rai"'('. time de | Timbécilité de trahison de McDowell,* froudhoad est mort -- des| lessires reenes sur le| eflicace lison "Tead on Detroif, qui ber & la tote de sa cnvalle- e preaque exclusivement Afrangais, d'allemands et devrait sufire pour faire | sueees sussi aurait plus uronné leurdévouement car nos soldats ont prou-- ent so battre, mais qutils Nss us anei torien n 220CC f Tete et forme-- s In porte au mérite et an enconragements pour nbition n'existeront ja-- taits d'urmes, . les plus s mt -- 1 uto, cos aetwites ct des melles, ' té et lignorance conti-- | ircher ln téte et forme-- : l porte au mérite et an enconragements pour nbition n'existeront ja-- faite Puomas 4oi. ©cement, 18. nvaient rang le démon de Ia ic soutenir et défendre ot In gloire de leur urait pu-- espérer de s quelques beaunx faits ie belle distinction mi-- D s seront toujours igno us silence, ot In mé-- le talents militaires fpul de la jalonsi lonnent leur sentre nider tredéchirent es dun do le vent vour sans car ils craignent levant ne les it par tous les rréter dans . sa pour réussir ile it tomber Iui ujours he it entre eux moins de patriotisme ; si alite utssiere qwelle »lonel _ Thorn oc tne v --1 on ne prend | McClelisn ne devait plus reparaitre vendre notre ar~ | sur la scéne publique." _ Mais aprés 'elle ne fern nu-- / que les combats livrés par Pope fu is officiers font | revt si désastrenx & nos troupes qu'-- m permet, com-- | elles furent obligées de se replier et nemes wenéraux | méme do se réfugier sous les canous en sur lo champ | de Washington ; quand le dangrer fut t--on espérer, . i Jdo\'onu imminent et la cvapitale nssié-- iofaites . ot deslg't'c; quand le d(-murnfenwm S'était | tellement emparé de Ta nation que norance conti-- | tout semblait . étre perdu, cest alors téte et forme--| que la main do la perfidie devint pa-- au mérite et an | ralyscée ; le eri dos passions fut étouf igements . pour | 6. Tout les yeux so tournérent vers n'existeront ja-- | McClellan, toute Jn voix dun peuple mes, les -- plus | implorait son patriotisme et le secours it toujours igno | de son brus. lence, ot In mé--| _ Force fut done fuite de le réinstal-- lents militaires | lerdana an position -- premidre afinde us le front de | sauver le gouvernement fédéral qui | sous toutes les apparences, devait su-- ntre eux moins | comber sous 'opée du Sud. qut existe ' ef a été on | nos terri--| In perple---- | jalonsie et f lc onng/wits echecs | Nommes avait abaissé? .. * ? | _ Cest dans ce moment a'n " oy ons wuple et du gou-- | nemis se . réjonissaiout d 'mflmt n devrait, ce me | Le " petit vulmml" n'avait pas une euses recherches ' garde pour Paccompagner, ' ~ «léfaites pas--| _ L'idole de l'urmge ctait tombé, j _ Cen était fait de lui selon eux.' & i on ne prend | McClelin ne devait plus renaraitea be ut se any ae q eqiegs o2 J 9n Y OMW 9 MIEFADENE six cent | 16 de In Peninanle, malgré son ardent désir dinttaquer Richmond, on le Inis-- 1i existe | sa & Alexandric rvec une petite par-- r été on | tie de son srinde, et. vendredi lo 29 > terri--| daodt, il était sns commundement, perple-- | I1 n'avait que qnatre vingtn hommes onsie et | sons ses ordres. Pope, qu'il avait sup. leur vi--| planté, se faisait battre & peu de mil-- ider et | !es d'Alexandrie. _ McClellan était ent . et 'dnnc entidrement abondonné, IJ n'6é-- le leurs | tait pas duns une position & faire en-- los fuit" vie. -- Aussi se« ennemis qui le ero-- riz sans | yaient enti¢rement disgracié se ré. vignent | jouissaient--ils A comr onvert de m , ne les , chute. ! 11 ys doit done c de nouvern de nus braves ler les méimes eviics de nos t Pempécher wlants écheos tre | capicites de McClellan et lui donaer| _ L'histoire nous enseignera aussi tai-- | toute la part de louange qu'il méri-- | que, depuis que cette guerre est com-- rsa | te pour avoir dé]ivré?e gouverne-- | Mencée, nous navons découvert an-- rea-- | ment de Pinvasion de Pennemi. cuns nomverux sentiers on inventé rel--| _ Oi serait anjonrd'hui Jn nation aj | aucuns nouveaux moyens de défenses, Ira |agmlitiqu(~ abolitioniste eut toujours | excepté nos cannoni¢res et nos béliers, ier | prévalu, et si lo Président n'eut re | aussi_ sont--ils le_don d'hommes qml ss6 | placé le commandement do Parmée | avaient é6té jugés sages et ingénieux: en ] entre les mains de McClelan, avant leur existance. 3 n Si en ce jour lo salut du pays ost Puqrqnui en est--il aingi? Ne dirait-- te. | nccompli, 'eost que son _ sorf a été | on point que Phabileté et la hardies-- de | forcément arraché des maine des ra-- se militaires ne sont pas a Pordre du 1.' | dicaua qui avaient placé le pays il y |Jour ? Nest--il pae déplorable que, | es | a doux semauines avjourd hui, wur lcs | dans un pays si fécond en invemion, le | bords dn précipice et . de sa ruing | 6t 8i avancé dans les découvertes qui ' t | complate, regnrdeln le progres matériel, et qui l Ihistoire do McClellan pour les | & des institutions et des habitudes qui j 18 | denx derni@res semaines 4:il'péfillunl(- lui sont toutcs particulidres, on ait | d'intérdt; elle ressemble plutot a un | négligo une des principales branches : 11 | roman qu'A une vérité. On se sou -- | 4€ Son existance, le nétier des armes, | i< | vient encore que, quand il fat rappe. | °t d}""" ai peu d'encouragement au | 1 it | 16 de In Peninsnle, malgré son ardent | $6nie martial et inaritime? ' désir dinttaquer Richmond, on le Inig-- Celui qui ne connait point les res-- " e | sa A Alexandric avec une prtite par-- wm,qus la malice, |5,l.l{:;"!ifl et une /C n | tie de son srmée, ct vendredi lo 29 POHW'BO meequine ont fait jouer,] --| daddt, il éctait sane commundement, | Croirait que dans toute notre grande [ II t'avait que yquatre vingts hommes | ¢t vaste armée i1 n'y a pas un seul | t r sous ses ordres. Pope, qu'il avait sup. homme qui putisso s'6lever et com-- + rlumé, so faisait battre A peu de mil-- mander, et croirait aussi que In capa-- | 2 t / les d'Alexandrie. McClellan était | cité militaire no peut point se trou-- t |donc entidrement abondonné, IJ n'6--) ver dans los rangs de now volontaires, | n > | tait pas dans une position & faire en--[Mais qn'il faut la chercher 8018 1€ | o4 t" vie. _ Aussi se« ennemi@ qui le ero.. | chapean dn %nérnl qui a regn lon'dn | yaient entiérement disgracié se ré.| parchemin & West Point. a' }.wuissniem-ih A comr ouvert de si l Le pouple est alarmé, et ce n'filt'.( | chnte. pas inutilement qu'il s'agite crie et Id.' | _ La patience et son patriotisme ne I demande 'Tle le gouvernement suive | 1,, | l'abandonnérent point au milieu de I une nonuvelle ligne do conduite, qu'il Jcal toutes ces épreuves. -- Plus on voulnt [adopte un nouveau systeme qui OD'J naf Ihumilier, \plus il se montra grand *'"c"""z!'""' le talent, recompense-- aus patriote. A)x je ne puis, diuitfi. dé-- rm 'le mérite et élovera une pob'e am ) l fendre la patrie avec mon épéce, du , l'"'""_'v et surtout il veut résolument | di moins on ne in'empéchernit point de ; 99e Khomme qni a l"'"""é PBT 808 t | no, servir avec lo fusil." !Iento militaires qu'il est digne de la i'md Lundi le ler Septembre, sur In de. ( position qu'il occupe, soit laiané libre, [ troi mande du Président, du peuple, de lfl" on ne vienns plus dorénavant { L Imuu- la nation, i1 fut mandé & 1 / #mettre anoune entruave ,'14'" Uexbou | thos "maison blanche. Le mardi il tra.! Hon deses plans et projels : cat il est | ", | versait le Potomac & la tote de toute | ramintenant reconnu par tous les | cho 'armée deVirginie qui le regut avec 'ho'"")fl sensés, justes ot honnétes | Low le plus vif cntfou-iumc, Sa pnésen--,'l"e, #i la politiqne n'eut jamais as-- ; 9 ce donna dn conrage, de Ia conflance "?"'"l"fl homine, le drapeaun de U 'hM et de Pardeur anx w'dn', et il réta--| "ion flotternit en ce moment sur le [ rvie blit 'unité dans Parmée qui venait | dome de In capitale de Richmond | ot | lon d:'m faire battre et qui *enfuyait "h reconnaissance de toute une nation | °C op oo en n 1 L -- Il nest point patriote, il est un t | traitre le:citoyen mnéricain quine t | voudrait reconnattre -- Phabilité et les e | capicités de McClellan et luj donner -- | toute Ta part de louange qu'il méri-- | te pour avoir délivré?e gouverne-- ] ment de Pinvasion de Pennemi. | _ O serait anjonrd'hui Jn nation si | Ia politique abolitioniste eut toujours ' prgvalu, et si le Président n'eut re placé le commandement -- do Parmée | entre les mains de MeClelan. Si en ce jour lo salut du pays ost accompli, clest que son sort a 6té forcément arraché des mains des ra-- dicava qui avaient placé le prys il y | a doux semamines anjourd 'hui, sur los bords dn précipice et de sa -- ruine complete, Ihistoire do McClellan pour les | denx derni¢res semaines 4:sl'pétillunl(- J d'intérdt; elle ressemble prutot & un |! roman qu'@ une vérité. On se sou --| vient encore que, quand il fat rappe-- | 16 de In Peninsnle, malgré son ardent | f désir dinttaqner Richmond, on le Inis-- sa & Alexandric rnvee une petite par. | 8 | _ On avait enfin compris . qu'il my avait que lui qui pouvait commander In (eunf!iuncc de 'armée dont Penthon-- sirsme pour son chef ne connnissait point de bornes. Du moment qu'il fut proclamé que McClellun nlLtit prendre le com-- mandement de l'armée, tout devait changer de face, Le deuil du passé fut oublié dans la -- joie dn présent. La tristesse, le découragement et l'in-- quiétude qui régnaient par tout le Nord @@vanouirent devant le triom-- pho deses urmes et les retentinne--' ments de sos vietoires. | _ En proie aux éinotions les plus vi-- ves devant un ennemi qu'il ne pon-- vait combattre le repos auquel il érait conduming fut sa plus yra de mortifi-- cation, Y uvaitil en el& poar le patriote et lo soldat une position plus triste et plus pénible que eplle de ce géuéral en chef que Pinjumtice docl hommes avait abaissé t t que ses solduts devaient déployer en face de Pennomi, cest alors que Mo-- Clellan sentit son cosur se fondre de douleur. non qui moissonnait ses braves com-- pagnous d'armes ; quund des cris de Joie on de désespoir retentissaient a ses orcilies, s'imaginant Phérvisme nllait ])l'clllll't'!rlt' ;;l.l.l.ll: 'armée, tout devait . Le deuil du passé fut t ot l'in-- t tout -- le le triom-- -- reparaitre Mais aprés (..... Alors, avee notre gloriewse union r6-- | timg intégrée dans toute sa force, et ghe doe L ilhcnuulbvr&nlnlonudn Jn !c'fl. 60 | trac Sud et du systéme abolitionniste da Nord, uhi fona serons préte & demander répuration & PAngleterre ot A ia France poor les insnites :: dont ils nous muront lhi': wt l rfi q-'ilnzt"duo'b Imun-r:: an'a Vgiet, desprbn lo Horald de New. "%% York, quels eyniont dtre les résul« | ppag tats de in victoire de 'armé du Nord' 40 dans le Maryland : | dune louerait en ce moment sous l'étandard de la paix la gloire et les esploits de George B. )(gcClollnn. Détroit Mich. 19 Sept. '62 200 / influence d un systéme répres-- 'sil' a, non senlementquis de coté des hommes qui avaient pour enx Popi-- nion publique et qui avaicnt jeté la consternation duns le camp de Penne-- mi, mais méme qwelle les a person-- ncflemunt embarassés, pour no pas di--. re persécutés. I on oae on ty tempétc affreuse, sont allés & cing milles de distances dans une légére embarcation, entourés de toutes cs-- péces de dangers, enclouer les canons de 1'Isle No, 10. Les journaux en ont mentionné le fait; et tout s'eat borné 1i, mais chaque fiénérll qui a cormis une bévue & Bull--Run ou ' aillours vccupe une position impor~ tante et est mome chef de division, Lhistoire de cette gnerve fratricide prouve aussi que la politique agissant sous Pinfluence d'un systome répres-- | ~ | somtmeil profond avait & peine com-- t monoélrép:nr leur force abattue --| qu'une petite compagnie d'hommes e | & choval. entra dans leur camp & la s | lueur du crépuscule. Dans um ins~ e | tant, tout le ou-r fut animé. , z s |cris do © George! (George! Vor fla-un'd !'mbn:i:uim t. Le ~fsoldat await oublié see * | saluer (!.ghfifif' ~Tea >| mations de joie qui sortaient de la poitrine de ces homines qui s'étaiont précipités hors de leur camp pour le yoir passer pouvaient étre entendues & une longue distance sur les rives du Monocacy. Les soldats de 'armée du Potoimac connaissent leur chof leur général et le général connait see soldats. ' Depuis huit jours il a livré dix batail-- ' lea et les armiés du Nord ont partout |. triomphé. l Persoune ne peut tracer Phistoire | I de notre armée sans dtre étonnée de : rencontrer si peu d'actos de rare sa-- F gacité, d'aventures saisissantos ou d'andace extraordinaire qui puisse la caractériser, Pourquoi done cela 1 rnrwqu'un n'a jamais encore récom-- 6 e mérite et donné de Pencourage-- a ment & l'ambition. $ En effet, a--t--on rétribug ces braves | 4 et courageux .'.?ldm qui, pendant| 03 + M en ues une nuit terrible, au milien d'une MNRELNcthN T A peine ent--elle deux jours de re-- de i. wb pos pour " se rétablic qu'elie fus obly~ | sat mentiye e dBts , Cotit Mbellion du Sed o . A peine eut--elle deux jours de re-- Le chomin Gatinesn st Cou tracé sur Je (terain mame par.. chette at Aylan, depuie lea » gan, . sitt Jn lmfla 4* Des travanx sur le chemin de 'ffoat dans la partie supsrieure du comté d# 'Pons dans la partic inférieure de Pontiae 3° Lsuvertore do chemin Masham . 3° La controction" ot réparation de poot sur chemin Gatineau et da Désert. Les travanx exécutés aveo les octroin dar goot antérieurs sont : 1© Louvertare du chemin d'Onslal . 2° L'amélioration du chemin Thorne et Ja constraction de trois milles pott le_ con-- tinuor f'asqu'au chemin Gatineau et Cou-- longe, dans le township de Leslie. 1© Dans la constroction de dix milles du chemin Gatineau et Coulonge, township de Low. & Les travanx faits aveo les sommes affec tees pour Pannée 1861 consistent ; Les travaut dont j'ai & faire rapport se divisent en deux classes; ceux faits dans lea comies d'Oftaws et Pontiac avec is somme votée pour 1862, et coux faits aves des os-- trois d'argeut antérieurs. 2° L'ambéliotation du chemin d | guear, mais ce cas advenant, nous |en ferons un analyse ausei com l8te | que possible. Les premidres ognor- ; vations donnent sur lea travaux ac-- complis, sur In nature des terrains &A travers leaquels paese le «grand che-- min Gatineau et Coulonge. _ Elles désignent ensuite les endroits avanta-- geux & Ponverture de nouvelles rou~, tes. | _ Nous commengons -- aujourd 'hai Ia ublication du rapport de M. A, J, Ytuucll sur les townships de Pontiae 'et d'()ttnwa.' Nous serons probable-- ow e m 1 ment forcés de l'uhrrré;gz"rw:nf °6" MCHm® Alail unejeune femme de vingt--deux ans, ostimée de ses voisine; sa mort & soulevé une profonde indignation, qui nurait 6té 616 fatale aux meurtriers a'ils avaient 616 découverts. I1s n'ont pas encore 616 arrdtes, smais on supronne des nogres que Pon a vus roder aux environs dans la journée du dimanche. Chemina de colonisation d' Ottarioas et Pontiac. La victime était vingt--deux ans, ost Mme Jones avit 1a téte fracassée, ot sa persanne portait des, traces évidentes dee derniers outrages, . Les enfants, un potit gargon de quatre ans et une petite fille de doux ans, étaient horriblement mutilés ; leurs tbtos avaient 616 brisées contre les ro-- chere et ils blaient méconnaissables. Tragédie.-- La -- ville d'Otis, dans . le cotaté de Berkshire (Massachusetts), vient d'étre saisie d'6pouvante par suite de In dé-- couverte d'un crime atroce, commis dane des ciroonstances qui attesient la plue hor-- rible dépravation. -- Dimanche dernier Mme George Jones était sortie pour aller aves see deux enfants se promener et cucillir dee mfres dans un bois situé & environ un demi-- mille de sa maison. Elle ne reparut pms dane Paprés--midi jon la chercha dans in soirée, ranis en vain, Enfin le lendemain matin, on organisa une battne générale dane les environs, et on ne turda pas & découyrie les cadavres enfouis sous dos feuilles dans !a profondeur des bois. ouvertare du chemin d'Onslow a VoubutBlls o 1 °* 'es opérations. Le cadavre de-- John Brown doit avoir trerssailli d-;r sa lombe & Iavue des hommes au caur fai n quicom--~ mandaient nos force sut le théalry de see premiers exploits ; certainement san Ame a marché vers un but trés minime, si dlle n' pu inspire rplus de valeut ot de résatins ** ;';flan lit dons le World do in méme # Hham R id Shout "'n h-u'-:::. Em : | Prrene daks io aank qpare 'm-u-iaimbuu quia 616 commise en maintenant dans son --com«~ }undo-opu- officier coupable d'inconduite . a Bull Rugy ve quti aurait dd lu» atprer 'eh'al-.d -xin. Co défaut de dvfi ie marmpivein prranre P panled C io 6 otut; sat in cause de Colonisation POTY Mr.irepritupe Wooniallicaaicsss ... de McClelian n'net pu produire d'Eardley & ~" Cooroaire . ."'u d.ll*q ¥ Lutis'h :'::r:.:t.::.r:.,, _ hom competanty |w»)>>; de front sa lon-- savantes qcot