Hige mains d'hommes to % ne connaissant po de ir, suivant des rd des prt avonées par Ia ot le ot ne z.mpre?.m I: § x o nt connues r'kl'mfl 3-.-9'_---1-% soe rop nons ne pouvons croiro qum le plus imbécile ent confié--les plans des édifices publics thains d'hommes tout A--fait me connaissant point Part de 'euivant des régles ot des ms avonées par la science ot t _fi'"pr!nnm'ru in-- d _'.' rogles genérales mfi opl c 20 EDCE des formes, des détails, etc. ; il s'est étendit d'apros Phonorable rédacten; !nql'. youloir assujétir un art dun e ntavaiznt pas étudié les éléments anx rfi d'un antre art aveo leque il n'a rien de commun. SWw 22 PSE UETTET & étre Ia buveffe o nous sommes convainon le waz restera allumé jour et nuit. Nous K»- pris des notes dans ceit» piéce ; il elmitdenx heures et demi P. M. et nous an 'm-uL-meo 3u'il faillait de lumiére pour snivre la trace du orayon." D'aprés le Pays, les nombrenses ct irréparables erreurs commises par Hi. les architectes de Toronto, ont démonu."%:c Teu'r tort n'a' pas 6t6 senlement de se montrer ignorants des formes, des détails, etc. ; il s'est étendit d'aprés Phonorable rédactenr *nql' youloir assujétir un art dunt e ntavaiznt pas étudié les éléments, *« Plus des trois quarts de ces corridors et de ces pidres setont obscurs. et comme 1| fandra nécessmirement y passer, on y tien-- dia formément queiques centaines de becs de gaz (ne riez pas, nous ne dison® tien de trop) allumés tout le jour ot in moiti6 de la nuit. «* Nous admettons néanmoins que dans les piéces de pourtour, c'est--a--dite celles i regorvent la lumicre par lea fendtres ex-- &finnqpl. on pourta se passer de gaz de six henres d matin & 6 heures du soir en 6t6, et de nenf heures du matin & 3 hentes apres midi en hiver. . Ceci, bien entendu, ne s'up-- nliane Aufid duducLs 222 ligue gu'uu monbaasement, _ . r o 0!2 nous & montré une . pidce Parlant de Péclairage des corridors, le Pays fait des avancés qui surpren-- dront plus d'un de nos lecteurs quni ont visité les bitisses. l suflit de ies lire. «* Eh bien on na rien fait de. 'vela parce que le bon sens indiquait trop elairement ; et vuiuiJ'idOe lumineuse que Ton a réali-- ES i ND ez CeuX mitres correspond & In porte a'onll'l do.Pedifice ; 0'eat--A--dire que le rez-- de--chnussee de in tour eat percé de troir ou-- vertures ce qui fait T.n les deux anglos ex-- térients movt aupportés aur deux piliers. ** Les architectes ordinaires, ceux qui ne mettent pas lear/bon sons dans lour poche pour dessiner des plans et suitout pour . lea exbonter; euasent tout AimP'emunl prolongé jnequ'au roc ces deur pilliers en les cons-- truieant, en terre, un peu plus forts que dans leur partie .aupérieure. Supposant 5 pieds de diamétre 'a la partie des pilliers qui se trouve hors de terre, il est clair quun -- dia-- métre de.sopt pieds pour In partie souterrai~ ne eQt 616 pariaitement «uffisant pour leur donnt'r.nugc In force nécessnire. D'aprds le };;g./o cette tonr comme le reste de Pédificeo démontre quici comme @ilewrs, les architectes ont prouvé--qu'ile étaient des ignorants, e., &e. Voici ce qu'il dit : «* Nou» voici sous Ia tour d'entree, 8 m?urul au l1:|nlro de ln fagade rire lu.palais léwislatif. Elle a 26 :Mu'lb front sur 22 de . profondent, et doit atteindre.ane élévation de 161 . a 180 pieds. Elle doit servir de portique & Pentrée prin-- cipale et peat adiettre le passage dune voi-- rure parses deox grandes: 'ouvertares latéra-- les. Une ouveiture de meme dimension uo Ins« deux antres correspond & . a porte 3'unll'l do I'.edi_fifl $0'est--hedire gue le rez-- Telle ést Popinion dn savant C'est icisurtont que Part est venne méler ses formes insolites a celle de Fart intermédiaire, et que sans avoir une instruction archéologique aussi smfuld. que celle de Phonorable ré-- actour du Paxa. on a su reconnaitre que 1'oégathré de ce monument est parfaite et ?ue le mur massif de ma-- gonnerie.qui Je soutient n'est prs de trop lorequ'il sera terminé, grecqueretc., ju'lr;g .avoir jetté un flma.w 'eeil ici et 1d ; mais par ?nx;]nl m't ml!lem]ent intéressés ians Ia quéstion, C'est la tour an cen-- tre de h'fl?ptda i)rinciplle du palais législatif. 2 m indathaite: Anllhabdcdd d .. Gfit 6t6 le plus admiré, non par "%:Im venus ici avec l'in-- tention et le projet bien arrétés d'a-- vance ; @est laid, avant d'a-- voir vay et de crier sur tous les tons, que le style de ces édifices n'est qu'nne imitation l;llus ou moins im-- p'rflch 'de Parchitecture romane KeWantrier b Ottatoa Le rédaéteont du Pays P n e oC ses convenances particnlid Les ~Batisses du Parlemont Ottawa 11 Septembre 1862. sinetment de la chose, seulement de 'jmor hant en bas, de |nisser r- des afticles in-- s Wessayer & prou-- 'contracteurs etc., dn fa's y les pre-- N versée Ne § der« m, hm gui Aly (Suite.) *architecture ses régles, son trouve . de destinée _menacé par os qu'ils pen-- ré is -- ""-':.-, ECAE Ninfortune ont gté ECCC COTE mnnmanml'hfiah nous pon-- sons, frous remercions M. le R":» tour du compliment qiril:lenr adres: so. 1 parsit qu'il ny a qu'd Paris\ ob Pron oomdlo Qngi, et'l nty fiee on hommaeque" Ins. otation. no g':_,-,q--; la -- fortune --ot Au nom des abonnés sont tous canadiens--fran sons, fous remercions M teur du complimeint aw Le rédacteur vout nons faire . dire une sottise en retranchant une virgule dans le paragraphe qui s6 rattache A In pierre pleureuse. -- Pour toute 16-- ponse nous demandons an lectear de relire notre phrase, que Ihon, mon-- sieur nous prie de vouloir bien refaire avant que d'envoyer notre fenille a nos abonnés de l'-m , Au nom des abonnés da Pay» q broublfms cuusqr oc asoc® t Tant qu'au ferrain qua descend graduellement, notre confrére a dn voir que cela no venait pas de nous, mais d'un correspondant du Ne York Post. Cependant nous ponvons dire avec Ini quil (le terrain--il faut mettre les points sur les ) descend graduellement, et avec le rédacteur dln Pays qu'il fombe abruptement, cat ns xtb ies it Nous ne disons point cela dans le but de défendre le personnage -- en question, car nous ne sommes pas plus intéressé a parler pour lui que contre lui, mais afin de faire connaitre & nos lecteurs A quel adversaire nous avons affaire, Cest pourqnoi nous nele eraignons pas, ni comme journaliste, dire méme comme architecte, car qus peut le plus peut le moins est une parole pleine: de jactunce de certains architectes prétendus <-Iussiqnes, et nous ne cro-- youe pas qu'il soit nécessaire davoir beancoup de traitos darchitecture en mains -- pour | prouver que -- Thonora-- ble réducteur oest Ini--méme étranger A Part qu'il se vante tant de possé-- der-- Il y a peu--6tre des gens qui ap-- plaudiront A la lecture de ce triste jeu de mots, mais il faut 6tre vain au supréme digré pour croire que cela plait a dautres qu'aux badauds des rues. apporte le mome No. du Pays c{:nrgé- des épithotes les plus | gros-- sigres a notre adresse, comme i celle du Réducteur du Journal de Québec, capables de tuer dix hommes, telles que celles--ci: ** Nous adimettons on toute hnmanité que nous no sommes pas le saeai/ Cauchon . et encore moms un Caveron savant," copie ; mais le Rédacteur dn Pays voulant profiter d'nne petite erreur qui n'est pas la notrejette de hauts cris afin de prouver a ses lecteurs que lui seul n'ajamais erré, que lui aeu? se fait comprendre et se comprend lui-- meme, que lui seul peut se servir d'ex pressions comme celles que nous in e m es Mb Cl Not Il est bon de remarquer ici que le tipographe comme le correcteur d'é-- preuves avaient suivi mot a mot la PC 1O0C! BUIV @« Notre confrere fait dire & Phon. surin-- tendunt de Péducntion que Photel du parle~ mont ! sera d'architecture romaine.'Nous pen sous, nous, que Phon. surintendant a du di-- Te romane, puisqu'il croit voir une ressem-- 'b'ance entre les éd.fices d'Ottawa et los b&-- Jiments de Puniversité. . Si notre confrere avait su gu'il y n autant de difference entre Parchitecture 'romaime et Parchitecture ro-- maney qu'entre Parchitecture chinoise . et Parchitecture indoue, i| aurait infarlliblement retranché 1'i dans ly correction des épreuves ; muis ne connnixsaut pas la différence des styles, il a tout naivement oro que que Pu-- miversité de Torunto était d'architecture ro-- marne. . Autant vaudrait dire que Pég line puroissiule de Montréal est dans le style wreo." * notre confrére " nous donne?flit des legons de frangais (ctest son fai-- ble) lui qui en avait regu de M. Cau-- chon,et qui avait osé vouloir lui en donner, comme si le réJacteur du Journal de Québec qui tenait une plame de journaliste depuis prés d'un quart de sidcle, devait étre 1'é-- léve de celui qui entre dans la car-- rigre comme tel. Nous savions de plus qu'il s'attacherait un peu plus: aux lettres qu'au sens des mots. En 1 voici une preuve. l'on'rtant, en ;épondnnt i Phon, monsieur, nous avons 6té anssi poli & son égard qu'il a 6t6 insultant en-- vers nous dans son article ayant pour titre: " Ze Courrier d'Olawa en tant gue critique," Noussavions aussi d'avance que (Fo t . 1 Le rédactour du Pays a bien dai-- glé.vonlolr nous faire 'une réponse. est digne de Ini, et nous nous yattendions. Nous connaissions notre re, et nous savions par coeur son vocabulaire d'injures qu'il a r6é-- pété mille fois et qu'il a adressé & tous cenx qui différaient d'opinion ave¢ lui, I?om savions que c'est un besoin naturel pour cet hon, monsieur d'in-- sulter tous ceux qui Popposent et de louanger tous ceux qui le flattent. Ceux--ci sont des grands hommes qui connmaissent tout ; cenx--lA nesont que des pigmés ¢t des imbéciles qni ne con-- naissent rien. L/on peut se faire une idée du rédacteur du Pays quand on saura que tous les membres de la presse en général, surtout celle qui l'o pose, ont avoué qu'il était impos-- lil)YO de pouvoir discuteravec lui sur aucun sujet quelcongue sans recevoir delsn part une kyri&le d'injures. 're confrere nous parle aussi de rre de l'Ohio & laquelle il ne lonner aucun nom particulior, Cest sa pierre de touche qu'il e de son revétement en gres du hip de Nepean, rédacteur vout nomns .faire dire Non, ce n'est ru':'tll certesia manid-- ede prouver & ses lecteurs one Fan * qH au-- ferrain qut descena Hement, notre confrére a du e cela ne venait pas de nous, un correspondant -- du New Fuoas " ver & ses lecteurs que l'on les intéréts du pays, et de Les injurcs n'sttoiguent que :xq'-l K 'ni;o'-i'rm' ver gie/ '""i? ogt. plus at P'blaver in man naisa'masi Cof ° DCPIIEJDUUIN ATECENE LDUGInBSH mome, et d'|q.|ovor l; ll.loohnu::' q-:ih '.im.":l q:en sous le prétexte qu'elles ne sauraient aque i race blanche, mais. toujours est--il. at | &tre appelées en rase campagne. is Nudre m,"_"':;;'l" aux bianc, 12 | Plusiours régiments .:t a la veille qu'rle ne 'pourrent jamais lour faire partager | d¢ se révolter parce gu'ils n'ont pas ::::mm- droita . socianx et ' politi« NT)l les Eircm"l.: linats r Jantate us proper oz POvest: s« sovaner-- .,,m:'le d.Zplacfile. "N..h:?": a Ti ddx Abolntonintee ameteatnem tes 197| 606 Cvacud par les feddraux et Louis® monstrances des négrophiles européons. ville, on s'est réfugice la législature Qn':- sache done k a. If&'nu wnioniste, aprés la brr'ut de Frédé-- gouvernement dos Etats +4 a 2::5" par les blancs leur b:: .r ot wicksDutiy, ost Wm ersout d tom-- lour prorection, q@"i! 416 & soutenu, \ist, 7, | bée entre les 'mains des """r' du et rowsours couvenx® rar ues muaes, et| Snd. On s'attond sous pen & Péva-- que les fondateurs de cutte :robliq-. n'ont | cnation 'complate de tout 1'Etat par jamais e Pintention ot prs --méme la . moin-- les fédéranx. :;o':dec de Elooor Ia race noire & l".-liu' Le gonéral lofl.lhn' sur _ lequel 9.».".'1.".._..;.. cartain que ls nigre | "CPO8® tont l'espoir du pays, dans ce qui sur lui la margue de son extraction | moment 16 plus critique de son his-- '?""m""'l'_""!' Sémat | toire, remonte le Potomac avec une atda Unas et n | partio de son armée. Les dernidres "efenen ie i " t reprincti T Riputiizue nouvelles lo laissent & 16 milles sen-- -- E. NL Ihu:'doi'nh:hon, que vien Détroit Mich. 11 Sept. 63. ummnmdo&-: en e eta ty aun sol natal, souffrerait--i1 qu'on le mettre dans Péchelle de Phumanité an meme rang que lo néure ? L Allemand qui a laiss6 sa glotieuse terre du Rhi» pour vemir respirer aur ce continent Pair libre, lni dont le« exploits de ses ancd. tes ont enrichi | histoire lEI monde et nons ont donnée Part d'imprimer, Pusage de la poudre, et dont la litterature nn@s'hm éton ne encore I'Univers, parce quil a ét8 u comme trére sona le drapean lln.liurl'fiL ' voudrait--il marcher de_ pait avec une rase qui n'a rien qui la distingue . ot qui ne peut en aucune maniére lui étre son égal t Non, Jamais. . Jamaia, > Les abolitionistes peuvent done continuer & preober lear dostrine jurgu®an dernier jour du jngement, los orateurs -- républionin« peu-- vent conrit de tous corés, prociamer Pégali-- 18 des negre, entasser aur le dos da people par le ponvoir qu®ils possédent d 'énormes impéts, l faire suet de grosses gouttes de anng, priver les blanes du Nord de leur pin vpo(:tfi.n afin de nourtir, de vétir, d'instraire _ Lamericain, nd sur le sol que ses péres | ont arrose de leur sang pour le délivrer du joug «e I'Augleterre voudrait--il consentir & to soumeitre au méme niveau que le négre ? Les descendants de Lafayeite, * dont l'épée au platean fit pencher la balance," ces bra-- yea ct nobles enfants de la France pourront-- i« tendre la main dPune vraie m-mite ot dune sincére »mitié aux noirs du Sud et sa-- Iner comme freres les négres, cette race in= do'ent», grossi¢re et dégradée ? Lo fiis de la verte Erin qui a fait briller tant de fois par an bravoure et son cournge I couronnie. d'Angleterre, lui qui a laiss6 la la «* perle de POcéan," pour venir chercher en Amérique un réfage & ses missres et jouir dune nisance qn::] ne pouvait posséder sur pnbasnttanbenilh, ids wl w Maintenant jo demande A tout citoyen des Etata--Unia de quelque nation i appartionne et quelque soit sa . croyance politique, . s'il peut de sang froid et sans rougit se soumet~ tre & une telle dégradation ? Et le Congrés, pour manifester son appro-- bation, pae«a un acte qui autorise anjour-- dhui le Président denvoyer des miniatres noirs avx gouvernements de Hayti et de Si-- berie et de recevoir & In " maison blanche " dea ambassadeurs negres. Pilbdbduibmii t 8. id i sfi B snn d sds ' Etits--Unis et de la chambre des représentants ui étarent devenus vacants par la sgcesison flu Sud devaient étre occupés par le © sang sacre" dn négre et que Te noir devait avoir droit aux mémes privildges aux mémes hon« neurs et devait occuper les mémes places, les mémes emplois que Phomme blane du. Nord." Ebus uen oas xRos Ud? composait, qn'il " fallait oter & tout homme blane qui bubite les Etats rebelles le droit de voter, doecuper tout emploi public et . méeme «uon ne devait Baim les regarder comme cito-- ens des Etats Unis."" / Ontre cel« il ent la Kvm!ia-'ue de dire que les sidges do S6 at des nemmen i 1 1 1 nem ces on U Ci'e II y a six mois, le principal défenseur de ln ruce noire Wendell Phillipps fut inivtéd visiter les Erats de POucnt. T1 fut partont bien rccenilli et 616 par les républicains ; et la prewso . ubo-- litioniste d'un commun accord rivalizait de 26-- lo a qui P&'@verait le plus haut. / " Sa hilan-- trophie, selon elle, n'avait point d'bgn)g, son dévouement ne pouvait, étro surpased, sea pen-- s6--s étaient blevees, sublimes, see sontiments gé-- véreux, tout en lui respirait Pamour de In fra-- ternit6 et do N'égniité, . il était le modéle des bienfaitcurs de Phomanité souffrante, see paro-- les devaient étre receuillies avee un . soin tont particulier et gravées dans le eceur de tous coux qii seraient asser heureux que de . Pentendre." Peadant que le_dernier Congrés siggenit, ce mdine Wendell Philipps disait dans un discours plein de.k8dition qu'llllpronongniulevum un au-- ditoir que In curiosité el le fanatisme avaient rendu asses respectacle par le nombre . quile composait, qn'il " fallait oter & tout homme blane qui bubite les Etats rebelles le droit de voter, dPoecuper tout emploi public et méeme Moson e nctt " Pour prouver que ce | Favance est correct et pour démontrer que les efforts incessants . des rapublicain abolitionistes qui sont sous la dic-- tée de Philipps et de Garrison, de Sumner et de Wade, de (}fiundler et de Greeley gni travaille-- lent suns cesse & él6ver les ngres au .dessus et au détriment des bluncs sont nussi correets et vruis, il faut sealement, pour s'en . convainere, joter un coup dceil sur les discours et les écrite do ces urchidiacres de Pabolitionieme. V ouloir done égaliser les: doux races, . Clest vouloir oter & Ia race blanche une partic . de ceite supériorite que la nature lui x donnéo pour la tranamettre & tw race nofre tyfl Tai 'ent sous tous loAuJ)ponn inférienre, afin de les mettre toutes deux égales dans Péchelle des dtres humains. e es e ie avilit les blancs et surtout lea 6trangers ¢lever les noirs ; mais Juequ'd . present efforts ont 616 vains et inutiles. NITDZ®® CADaimser les blancs, d'blever les nlfm afin de les mettre sur le méme pied dé-- galité que la race blunche. De gueique c0té qu'on les envisage, lears fails ef nctes ne teudent rien moins u°& placer les deax races, les blanes et lea noirs, sur une mémé et parlaite bgalité ; ot -- celai qui ; veut examiner la chose do prés et sans passions ne ut nier qu'il y m de ln part de ces négrophi L: une determination bien marguée de dégrader les blancs. Et pourtant, ils sont parfaitement convitiucas que les pigres n'ont jamaiu 616 . et ne pourront jamais étre egaux a lu race domi-- vante de ce pays. Depuis vingt--cing ans, les abolitionistes aes Mepais vingt--cing ans, les abolitionistes Etat--~Unis se sont épuises de toute maniére stt dn Aadasait hstc d cfi _ Le geal désir des ubolitionistes, de cos sym-- pathisurs africains, de ces fbihntmphn byj crites est d'ubaisser / les blancs, dblever Q nlfm afin de les mettre sur le méme pied d'é-- galité.que la race blunche. Fersonne aujoord'bui dans s EtatsUnis ne peut vier qu'il'y a une détermination bion ar. ;::::u lu--part de l'u:k:'h.fizmun qul | ap t an parti repul dégrader . les classes onvrrr'n du Nord, de les réduire & |'état de servage en les forcant de matreber . de pair myec ia race afrieaine. Plus ie temps -M plus tous toacho im solution de importante . quest savoir si la M"n':n doit nnu.i.. sor Je me pied d égalité que la race blanche. qut borr fomenr, ua e T'a ote val, la cause bien simple ! aemable rée New--Yous, 12 Sept. 166¢. ue du savant rédacteur dont Les évenements ccbden * :23. parlons plus haut. 'Tout pro-- | une ulekva r':»dm q':'i'l'iz bient .drl;:lt bablement que nos confreres du 'eile, monsieur, r un -- correspon-- ont teni Ffl parfaitement Tmm mfl"-' qui : paséé. | Les notre coufrére Montréalais, car les sont en outre si laconiques jflnm;:gh'- de--cette--ville=-- se / ot--d'uno tello obssurité;--clles so . «... sont p occupés de la courte | tredisent si souvent Fune l'nu? mais célébre visite de honorable l'"mbl'fl!hmdl_lonn _volont rédacteur du Pays & Ottawa. ~ a'flvld-, nde;'on ne--saurait --devinee _A. CORRESPONDANCE AMERICANE (Pour e C OU LA RACK Nouee f ourrier d Ottaiwa.) 3 ¢ RACK | BLANC sur le mé pour leurs u les prime ..m~~ iges, | mi)lm Ei?cntn y la sitnation est encore plus dé e.. Nashville a été évacug par les fédéraux et Louis-- Cincinnati est menacée par 25,000 hommes et 45 pidces de canon. Cest Kirby Swmith, Pan des plus intré-- pides généraux du Sud, qui com-- mande ces forces. Los avant--postes confédérés ont 6té portés jasqu'a moins d'na"mille do nos lignes. I?ier. des escarmouches ont eu lien et on s'attendait & une bataille. _ Une par-- tie de P'armée du général Grant s'est rtée on tonte hAte sum les hauteurs 5: OCovington, qui défemdent Cincin-- nati. -- Les derniers avis regus de cette ville sont déplorables ; de déconrage-- ment s'est cemparé de la population ; les gardes urbaines refasent de servir aillours .que dans Cincinnati méme, sous le prétexte qu'elles ne sauraient dtre .appelées en rase campagne. Plusieurs régiments sont & la veille de nelrhz'l" parce gu'ils n'ont pas demando 20,000 hommes pour défen-- dre la ville et la: ligne de la Susque-- hanna. _ Anjourdhni & 10h., tous les citoyens de Philadelphie doivent se réunir --on masse: dans les différents districts électoraux, pour étre enrolés immédiatement, sans distinetion d'd-- ge. Le général Reynolds, de la ré-- serve pennaylvanienne, a été appelé au commandement des troupes qui doivent défendre la vallée de Cum-- berland et Harrisburg. On ne sau-- rait lever rsses de troupes pour re-- gonsner l'invasion des soldats de ackson, qu'on peut regarder comme autant de vétérans. En f'ensylvnnie, anxi6té ost gran-- de ; mais on ne s'? prépare pas moins A une résistance lésespérée. _ Harris-- burg capitale politique de P'Etat, est un grand camp vers lequel sont diri-- gées toutes les forces disponibles. Le gouverneur Curtin a fait une levée extraordinaire de 50,000 hommes 3 tous les régiments qui de 'aient par-- tir pour 'faehington ons re%u contre ordre et so.rendent a Harris urg. Le maire de mrddpl\ia, dans un ordre ' du jour publié et affiché hior a minuit. des _ CorrespondancePastivulicrede | | n Ottawa. (H--C.) Joud! matin, 18 Septembre 1862. LA CoP idb vdbenisnni l d 1458 domment exagéré ; 5,000 hommes de cavalerie sernient detmandés & New Market. Plusicurs généraux du Sud Wala rl e o 2 ce e o enes bied du Sud ont levé leurs camps de Eere-- derick, sur la rive marylandaise du Potomnc, et toute letr armée sous les ordres de Jackson en personne, s'est dirigée sur la vallée de Cumberland, qui donne accés dans la Pennsylva-- nie. . Suivant les rapports des Gclaj-- reurs, cette armée se composerait vincipalement d'infanterie et darti-- Ksrie. On donne & Jackson 300 pidces d'artillerie ; mais ce chiffre est bvi-- _ Dinvasion de la Pennsylvanie ne saurait plus otre Pobjet d'un doute. Hier, & 14 h. aprés minuit, les gens Wmsb belint AnibGia Shii se td ton ; le Kentucky peut étre wmldz ré comme perdu pour le Nord ; enfin Cincinnati, Vorgueilleuse reine de POuest est menacée, Ainsi, aprés dix--hvit mois d'une . lutte sanglante et'acharnée, dans laquelle rien n'a 616 épargné, nithommes, ni argent, In situation du Nord est infiniment plus critique que ne-- l'a jamais 6t6 celle du Sud en aucun moment de la uerre. Et tout cela par la faute, fiine tie et Pimbécilité Su généraux du Jord. Des conguétes dont les unionistes avaient fait tant de bruit, il ue reste plus pour ainsi dire Nouvelle d)rléuns, cernée du coté de terre par les troupes du 3ud, et oh le trop fameux général Butler se trouve littéralement enfermé avec sa petite armée, an milieu d'une popufi\etiun hostile, qui n'est tenue en respect que par les canonni¢res fedérales. ui en Pm dn le Maryland est envahi par les sépa-- ratistes, qui menacent dt:]r' coté la Pennsylvanie et do Pautre Washing-- Anp e e se n on Je ticherai néanmoins desquisser en quelques motg,la situation, au mmo-- ment oi je vous écris. . La '}iyinia est évacuce par les troupes du Nord, le Maryland est euubi)knr les sépa-- vadistes Ana d t Nmd mettant mome que les corr militaires soient véridique veut dire beauconp par le coart, ils ne ~peuvent -- nat «U (MONdC,*On ne--saurait --deviner --de quel coté est ln vérité ! h}o.rnsli& te on est réduit la plupart du tem ps sux correspondances plus ou : moins bien informées qui lui arrivent du théatre de la guerre. Mais, en ad. idée des mo: Les cveneinents se s avee une telle rapidité qu'ilg bien diffi-- ::'nu...:. ", pour un correspon-- leuse reine de -- Ainsi, aprés lutte sanglante uelle rien n'a nee, ni argent, est infiniment l'a jamais été ne dans les tristes hasards de Ia gmer re civile." tnine ainsi: * Votre voix ne sanrait étre écontée, car ce n'est plas in voix de I'Italie ; mais celle d'an homme qui travaille a détruire en propré gloi-- re et compromet son noth ot sa fortn En dehors des: ;;;-;'Itulie. i y a peu de nouvelles & d'h.f Les Mon-- ténégrins, rempli d'ane nouvelle ar-- deur pas les appels enflammés de Ga-- rihnltri". ont recomimencé leur Intte contre | M Tures. ".[((T' 6té moins sages que le général Klapka et les Honm?mh, qlfim répondlr anx pro-- ¢lamations de Garibaldi en lni dia-m{ ne le moment rtun t agi 2'6uit pl;len«u::?n. I-Pnoe" Iet.gr'-l:i remarquable écrite & ce snjet 1 gb.né!:'. Kiapka & umwd'i, nwm--l en besogne, et je crois qu'il eer;nsson | encore quelque temps avant que le roi caporal ne fasse retentir du brnit de ses éperons los voites sacrées de Saint Piefre. Tout an plus Vempe---- perenr consentira--t--il a partager la rde de Rome entre J; trompes fi'.nngniws ot italiennes. Mais le pape s'opposera de toutes ses forces aA cet | arrangement, et il quittera platot | Rome que de se voir gardé par les troupes de Victor--Emmanuel. Quant A une division de la ville sainte en deux parties, I'unc avec le Shint Pore et Pautre avec le roi d'Italie, il y consentira encore moins. _ Le cabinet de Turin espére sans | doute qu'en retour du dévonement plus ou moins foreé qu'il a montré ur la cause de Nordre, Napoléon E)I s'empressera d'évacuer Rome . et ' de confier la garde du Saint Pore anx ! troupes italiennes. _ L'échaffourée de' Gnri%:ldi nurait ainsi comblé les | vceux impatients de Victor--Emmanue! et, vaincu, il serait vainguenr, puis-- qn'nrrés tout il aurait donné Rome & UItalie. Mais cest aller un peu vite DOGDCY 222M Cest aler.u La tentative de Garibaldi a son enseignement : elle prouve que I'Ita-- lie est loin encore d'gtre entrée dans son état normal, et que Nesprit révo-- lutionnaire peut y _ rallumer d'un moment & l'autre le flambean de la guerre civile. On avait cru "OF vite au bon sens du penple italion. 1! s'en est fallu de bien peu que la Sicile nc se soulevit tout entidre contre Vic-- tor--Emmanuel et ses troupes. Garibal-- di éloigné, le parti mazzinien découra-- g6, i1 reste les rivalités et-- les jalou-- sies de province & province, . et, par: dessus tout Zome ef Venise / Ces doux mots suftisent & eux senls pour soulever toute I'Italie. On ne sanrait e nier, plus Victor--Emmanuel se nontrera, comme cette fois--ci, anx-- ienx de mériter la confiance des . an-- 1 tres gouvernements en étonffant la | révo.ution, et plus son uple se dé----| tachera de lui: Il peni';i nécessaire-- | ment d'un coté ce qu'il gagnera -- de| Pautre. Cest toujours 1¥ une consé-- quence des positions fausses, Aprés tout, Victor--Emmanuel n'est roi d'l--| talie, on & pen pros, que par la grice [ de la révolution. I m en ette se bornera probablement & prier Ga-- ribaldi d'aller faire un petit voyage i Pétranger pour calmer ses idées, L'Europe peut se féliciter & juste titre de ce dénouement inespéré. Lo tentative de Garibaldi pouvait avoir les plus dérlomhlos conséquences. Déja on parlait de Pocenpation de Naples par les troupes frangaises et de celle de la Sicile par 1'Angleterre. Il n'était question que de manifesta-- tions enthonsiastes ct de soulévement en faveur de Garibaldi. On dontait de Parmée italienne, dont les sympa-- thies pour les chemises rouges étaient visibles. Enfin, on disait tout bas que Victor--Emmanuel protégeait . secre-- tement Garibaldi, et jouait dans tou-- te cette affaire un rG]]c peu digne de lui. Ce qui avait beancoup contribué & donner naissance et a atlfermix' ces soupgons, Cétait la maniére _ pres u<:|' miraculeuse avec laquelle Garibgldi I avait pu se jeter dans les Calabres A | la téte de ses partisans, en . passant, | sur deux batiments, au beau milien de la flotte italienne qui faisait le' blocus des cotes. Les amis de Garibaldi, s1 lui en reste encore aprés la coupable échaf-- fourée qui allait compromettre la paix de I'Europe, n'ont pas & craindre sur son sort. fi temps--des--Sitvio--Peltico est passé, et le gouvernement italien _ On a encore aucan détail sur cet important événement, quiremplit de joie tous les cceurs. On sait senlement que los E'ribaldiem ont été compl@-- tement battus par les troupes royales et que leur chef,blessé et prisonnier, a été immédiatement emmené & la Sper-- zia. I'6tat de snége et leblocus des cotes, ajoute la dépéche, ont anssitot oté leves, Le télégraphe vient "de nous wp-- rendre une grande nouvelle, -- Gari-- Eddi aprés une lutte acharnée dans laquétle i1 a regu une blessure grave, n.2té fait prisonnier ! jamais nouvelle n'avait 6té accueillie avec plus de su-- tisfaction. Lessuium--til n Rennsylva-- " i ; ifl'n.-u a P ub"; par Baltimore, | 4 mm ipoan d dpram e Ain wblu. L..fl'-.nl du Sud 'bat 150, howmes dans le Maryland, et lear arinée s'est divisée en deux corps, il'onron', dont Eun doit envahir la P vanie et .Pautre . attaquer wmfio pag derrigre, tandis que le reste de d'grince du Sud, stationné ',CeflmVer ln wive dmiie du Ne t daon ditk ahiivirban & leurs troupes le nlntpeau confédéré et pmu....,mz la déechéance de M Lincoln et Pavenement de M. Davi &A la présidence des Etats--Unis recons titués. eroire ! 7 C"108C _ 'attaqueralt par devant. On dit qu'une R:L A Washington, les %'n:u du Bud laisserent flotter 1é ten des Etats--Unis, reprendront reste de d'grinée du fim', 'stationné Cenxnvd-ur la rive droite du 'otomac, 'attagucrait par devant. T2O200C, _ ' RETAQUCraTE -- pa n CORRESPONDANCE D'EUROPE (Pour le Courrier d Ottawa .) Mais clest trop bean Pam8, 31 Aobt 1862 New-- Yorxai pour y déplait, 6t yons nous Cest nous donner le 5 «« Pour pousser les Hongrois & llinsurrec-- | tion, vous leur sitez 'exemple dos Setbes, des Greos et des Monténégrins. . Cet exem-- ! ple est en « ffet une legon pour la Hongrie ; mais il lt dit d'attendre on moment plus pro-- ) pice, si elle ne veut pas s'exposer aox mé-- mes dasastres. Les Serbes, les Grees, les Monténégring ont cra devoir répondre a un appel comme celui que vous venez de nous adresser. fls devaient étre appuy6s dane lour moavement ; je crois méme qu'ile vous attendmient. Quelie belle occasion vyous avez mangquée de continuer ce role de libé-- mw vous avez commencé avee tant deolat! Lo sort de tous ces peuples, trahis dans leot espérances, ne nobs réconeifia plus favorables Te ehager mo loroms Poor . uh _ Consolidés 93 318 & 92 | _ Nous avons par 1ZWinburgh, de nouvelles d'Europe jusqn'au 4 con rant, mais elles se réduisent A trt pen de choses. Garibaldi est arrivé & Spezzin . oi il est retenn prisonnier. _ Ses blessn-- res, dit le télégraphe, sont dans unc ' condition fnvorflhse. bomme qui travaille & ;;m}l";i';e -s-nwpr;;;r: gloire, et tu:uompmm son nom et sa for-- tune dans los tristes hasards de in guerre ci-- vile. «* Vour venez d'adresser _ un appel aux armes A la Hongrie. Votre voix anrait pe trouver de Pécho parmi mes concitoyens, si vous aviez poussé ce ¢ri ce guerre & In téte 'le vos volontaires unis aux trompes royales, rouv marcher 'd'un commun accord contre a dynastio des. Hapsbourg. . Aujourd hoi. elle no fln" étre écoutée ; car ce n'est E'n. la 'voix de' I'halie, mais celle d'on J 4 'tudo [ di. Voici le texte de la lettre adressée an & néral Garibaldi par le géneral Kiapka. Quuiqn"il en soit, on avait . encore rien décidé sur ce que*Pon ferait dn héros des derniers monvements révo-- lutionnaires. j NOUVELLES DEUROPE sept 1 Eoc e dn uie Champagne, Capt. Young, Robert Skead, H-- Merrill, Charles Laporte, Juge Armstrong, T. McKay, Alex. Workman, D. M. Grant, Jno Bu-- chanan. Dr. Grant, C. E. Cunnun-- gham, G. H. Perry, J. D. Slater, Edward Haycock, 'Col. Moore, H. J. Friel, Capt. Galwey, E. Sher-- wood, David Scott, Jogtx Rochester ;P Lanigan, H. O. Burritt, J. B. | Lewis Cap Race, 14 septembre. Le steamer Bohemian a passé | en vue d'ici ce matin. Le Scottia était de retour le 4 et le Bavaria le 5. Les affaires italieunes n'ont subi aucun changement. I¥C Voir Fannonce de reau de Curran. h3 Oc se Conetste LOTS A VENDRE par Chs. Spar row, Jr. E¥" Les lecteurs de la ville et des environs voudront hienf'etter un coup dceil sur Pannonce V XGT--(?IN(S TrUB8 i aryaselll.. TS Z¢ Nous attirous tout spéciale-- ment Pattention de nos lecteurs . sur nos correspondances américaines du Détroit et de New--York qui sont des plus intéressantes. _ Dr. Hill, Dr. O'Rielly, P. Thomp-- son, Joseph Aumond, E. McGilli-- vray, Dr. Beaubien, H. V. Noel, Henr McCormick, P. H. Harris, Dr. ]§orion, T. Helliwell, Dr. ~St. Jean, N. Sparks, John Forgie, R. W. Scott, gfeorge Heubach, Robert Bell, Thomas Langrell, W. F. Po-- well, Mr. Stevenson, I. B. Taylor, E. Griffin, James Goodwin, Wm. O'Meara, W. G. Porley, Isidore PS t 9. A une assemblée des citoyens d'Ottawa tenue a 1 Hotel--de--ville, le 11 du courant dans le but de faire les préparations nécessaires afin de recevoir convenablement Son Ex-- cence le Gouverneur Général lors de sa premidre et prochaine visite dans notre ville, il a été proposé par W. F. Powell Rer. M.°P. P. et secon-- dé par R. W. Scott Ecr. M. P' P. que les Messiours suivants fussent requis de se former en Comité et de s'unir & celui formé par la corpora-- tion afin de préparer le programme de la réception--qui devra étre ~faite A Lord Monk. | Fane et un individu nominé Chorel, gqui ont cté condamnés & douze -- ans (L travaux forces paur avoir avance la mort de Jean Crépin, qui les avaieut constitués ses heritiers pour ln petite lagatelle d'uu million et demi de francs. Aussi, pourquoi faire un tes-- tament ¢ et Londres entin, cest un [ membre de la chambre des communes, ' William Roupell, fils illégitime de Bir Richard lg'upell, qui se constitue lui--méme prisonnier et s'accuse de s'6tre npgl grace a une série de faux, un héri de sept millions de france qui revenait a son frere, fils 16-- gitime de Sir Richard. Il faut dire que le coupable n'a fait cet aven qu'-- aprés avoir d?)ensé on aliéne uue grande {artle e cette immense for-- tune. . En fait de réparations, i vaut mieux tard que jamais. éroales t1 rovisions Le temps eet aux procés plus ou moins -cunp.dnleux. ('Kc.l d'tturd M. dlei'rés 94i plaide geatre tout le mon-- a »es L ses ex usso-- eiél'qmgr l: mlihe.':enx ne pourra plus plaider et uccuper le public de ses affaires, i1 se brilera la cervelle. M. Mires nurait été un type parfait pour *u"t"n:. ALyon, cest la femme _ Lempereur est revenu du \ a Suint C'Igm'w 1 we impérial, qui a dssigte & les. marceuvres, et les w Buivie MR chroniqueur, aver be@ncoup téret. Cest ini donnerdes apt militaires un peu tot. regne tonjours la néme incerti sur le sort probable de Garibal Klapka et Garibaidi. * Général ts sts heritiers pour la petite e d'uu million et demi de Aussi, pourquoi faire un tes-- _ et Londres entin, cest un de la chambre des communes. un individu nominé Chor 16 condamnés & douze a ix forcés paur avoir avance Jean Crépin, qui les avaie inquilles et fermes. lourdes.-- Londres "patie? "dn nos devore droit de vous ruppoler et les wuBuivies, dit wer b;."-nup *..., louner des aptitudes ous engage & circonsiances une série de millions de rere, fils 16-- I1 faut dire PAnesllot 4 con--| a (:oulmmg| A trés| en nous: la cime des h i 3 | toire. . Je fls .08 | bavire en r blesstt-- | 45 paraitre s asnalge 2oL M Thomp-- McGil}i- -- _ Noel, --Harris, a toutes des L'hon. L. H. Holton a 616 éla & mite et in division dans 12 Comeit Legiciant La nomination dos candidats por [#6 2O!. MVS a eté tué. Les con-- fedérés ont fait 8,000 prisonniers qui ont été renvoyés sur parol e. Mcmrorpsvires, Kr. Is Sept. Les confédérés commandés par le Gen. Bragg ont ANA(LI:!; nos E):ceu 'ee matin-- on a combattu toute la journée-- Nous a prenons qu'une 'pnrtie de larmée dl; Buell est enga-- gée avec les forces de Brage. cump Les dernidres nouvelles sont en ) date du 15--Bolivar. Le Gen. Mc-- | Clellan téh"gra'vhe au Sec. de la | guerre, que les fédéraux ont gagné ! une victoire et ont fait 1,000 prison-- niers. { u rapport nous annonce la de Harper's Ferry--parles co rés hier matin, aprés un comb pins acharné. ERDET S ST DE in ht it | Beauregard n_|o|;|t Farmée avec corps de 40,000, : B2\ h une victoire et ont fait 1,000 prison: niers. Le Gen-- Lee a été blessé et ; avoue qu'il :';znjt.per'n_iu 15,000 (i) D BC 2O 2CC0er une ovasion et les couleurs de son drap ean; mais comme le régiment montrait peu de dispositions pour continuer le servige, le Seme régiment de milice a été appelé pour le maintenir en or-- dre. -- Cette garde, au nombre de 150 avait 5 recu Pondre de chargé ses armes A balles et a cartouches et surveiller le 1196me régi~-- | ment jusqu'a son embarquement pour Was-- | hincton, ce qui n eté strictement executé. |_ Quartier--général de Parmée da Potomac, [3 mitlcs: aucdela. de Middleton, 14 sept 9 | henres 40 P. M. A. H-- W. Halleck général en chef. Aprés un vigoureux engagement. les corps des généraux Hooker et Reno ont enleve dassaut ies hauteurs dominant la route d'Hta-- gerstown. . Les troupes se sont vaillamment conduites, et elles n'ont jamais mienx com-- battu. _ Le weneral Franklin a éte hardiment enzagé d Pexiréme gauche. Jo ne connais pas encore le résultat excepté que la canon-- nade indiquait progrés de sa part. . L'action a continué jusqu'd la nuit et S'est terminée en nous laissant en possession de toule [a cime des hauteurs. . Cest une glorieuse vic-- torre, Je ne puis dire encore si Pennemi battra en retraite devant on apres la nuit, on x'i! paraitra demain matin avec des renforts. Ji regrette d'ajouter que le brave et habile hb Tib s Abeciicdt ul T NO P T en es se genéral Reno est mort sar le champ de ba taille Lhon. I _ --Le 1196me régiment . recu vendredi dernier, une @aiaa in ns ul alomy € 290000 homines elon le Dispatch de Richmond, Parmée con-- {édéree envoyée contre le général | Pope, était de 150,000 hommes. . L'armee du ge-- néral Pope n'a jamais dépasée 60,000 hom-- mes et néanmoins i! a tena téte & Pennemi peodant 16 jours, avee succés, jusgu'd ce que le manque devivres et Pépuisément de se« soldats Paient forcé de retraiter pour san-- ver sa petite armée, ce qui a été fait en pré-- senee de forces trés supérieures. Crncinnati, 11--Marysville, dans le Ken-- tucky, a 616 prise par les confédéras, Nos vedettes-- venues de Frederick disent ue les confedéres ont levé leur camp & Fre-- ' :'jerick ef sont en marche sur Hagerstown. lis ont plus de 300 piéces de eanons-- Los généravx conféderes Lee, Stownewall Jack~ son, Howeli--Cobb, et autres sout avec eux. Tout le monde croit qu'ils vont en Pennayl-- vanie. --Avant Pévacuer Baton--Rouge, les trou-- pes fédérales ont empgrié la statue de Wash ington, l bibliotheque Ne PEtat de la Louis-- iane et tous les tablemu®, excepté celui ainsi nommé :--« Old public--funtionary." Ces ar-- ticles de pillage et de violence sont en route pour Washington. . Les condamntes do péni-- tentiare ont 616 aussi enlevés pour étre incor-- porés dans Parmée fédérale. . Le sentiment unioniste se prononceé, dit--en, contre de tels procédés. --Avant Pévacuer pes fédérales ont empi tngton, l« bibliotheque jane et tous les tablea Le Col. Miles a été i* de porter les armes se Iél';nissm «« heures, vendredi matin, dans leurs (t respectifs, afin détre préts & pret (* service immédiatement, confo:mér " Pappel qui leur est fait."" Les derniers calculs portent Parm fédérée sur le Potomas & 150,000 h« Selon le Dispatch de Richmond, Parm {édéree envoyée contre le général MODD APYO TCMA nn 1E guerilias. . 11 u'y a pas ou: Philedelphie, 11.--Le M blig Padresse suivante. .« ladelphie: A une heure ave nigre, le gouverneur de la F adressé ladepeche suivante bataiile, bien que Por ment en moment. . M jourd'hui par Morgan "a* Promiet reginent des volontaires de la Caroline du Nord, commandé par le colonel Potter; a combailu avee la plus grande bra-- voure et Phéroiste le plus determiné. Ohaciunati, 11.--Ii y a eu des escarmou-- thes lo long de toue 12 ligne e in meidry West Licking, cette aprés--muidi. -- Les Tede-- Yaux ont Derds dene haw .. . Le premier régi ('.rolilin du Nord, Potter; a combatiu Les Confédérés ont en Washington, Carolive d da jour, pxp server dans le _ Agréez, généra sentiments dévoués. I m eomt C1E souffrent et que vous ue pouy vous irahir vous méeme, "* Quand a ia Hw'm, ¢lle agin 6 clie a monitre deja . c faire. . Mais POUT teuter ce tout en écoutant la voix de odra -- suriout conseil de i"l'lo serait heureuse, le jour elle poovait donuer ia main avee elle contre PAutriche. [ vous puissiez reprendre ce ' que votre heureuse fortune se 1 Mone Sm act d kc tA populations ; formez--ies en compagnies * at en¥oyez--nous 20,000 hommes demain. 11 n'y a pas de temps & perdre, il faut tmmé-- diatement masser une armée dans le Sus-- quebaubah pour défendre 1'Etat, Levez autant d hommes qu'il vous sera possible ¢t envoyez--les ici. Faites que la réponse & cet appel urgent soit prompte et effective. Je demande que tous les citoyens capables de porter les armes se réunissent a 10 heures, vendredi matin, dans leurs districts respectifs, afin d'étre préts & preadre du service immédiatement, conformément a pal P ols on aux ont perdu deux hommes, Les confedérés élévent des ace du Fort Wailace, New-- Yorks 11.--II n 'y a pa ataiile, bien que Pon s'v a «ui fout Peffoi de tous Vounle deves & votre & volfe nom, vous le f Tait, des pouvo du Jes vétces. -- No Nouvelles des Etats--Unis. »Tus pou roire legaux cor rP'O-d-l-nuu gon I% ""A"'"' Anétez--vou #Faits Mivers Turin ce 23 aodt 18§2 * GEORGE (Plus recent.) *s.-- Ne les avez--ro @1 ¥00aséparant, co Bartimore 16 $ hes Oot enrpris la ville de Carolive du Nord, a la poinie fnectona ues s evenemen TC1 Y a pas eu encore de ve on 's'y attende de mo-- t Maysville a été prise au~ organ & la téte de 15,000 'y a pas ou de résistance. 11.--Le Maire Heory a pu-- 102 000» les bons ciloyeus. & voire passé, vous le dever ous le r:et a0x espérances fait naitre chez les peuples qui $ Neus ESmE heure avancée, Ja ur de la Pennsyly par les ('onfécifié. "D} § Youian! trop bater de Pltalic. Ecaitez loin B. McCretrax enaces de guerre civile Je jour de la a main & Plia @ pouvez tromper sans poor combat des --¥ous pas meconuus, !, comme vous Pavez consacres par le vute onire eua 1v drapeay les fortifications en . Dieu ;;nvll:;l: ce jour--!a le rol o sewmblait vous re S KLAPKa surance de mes 1Cee, la nuit der musyivanie m'a --5 Nous avons 3 CENTY a pur 'llf!) eus de Phi e veul, elle doit ce quelle sait e nouvel offort, e ses amis, clle Vietori contemporains ste. Cessez de pour toutes les ept prise Italie un il lutte, ai