h6 en d mt t »peur.de les.voirderguir difficiles a gouver-- nercomme l:'o"enkru auglais, . maie, au contraire,, uil don.ionir <ana . cosse .. on ol-niuo:mw-. pour lex faite sorvic an x is deduFrance, dans yoe gusrres truna~ oa .avee "Awn' 'ifit était Jn 1 plrw lut ren: & o aveo »«nademniot gouremeur ot oapitaine--général, 1@b fFui at--pmine besoin d'ajovier ?u'-noun, Ca-- vnaulien intellizent ne so in rappelic nutrement qu'avee désupprobation et regret. o0 ue Uucsioute stast cooulé depuis in fin de l en de {dutte» invernationale 'consominée i g&o. etle--Cimada, sous lo régne équitu-- 'blcatdoux de son quatreme / sonterain an-- #lwis; poot montrer ion trophéus' de ses: ro-- S3 666 pmeiliques/mon moins glorieus et pius otiies \uo tonxsiocomplis pur nox prédéces-- avarepaujets des rois de. France. . La popu titiow frungaise : t -- Cauuda qui, de 1608 a ©1760, n'atuit pas atteint ma%'ém-. #'ost élevé de 1760 a 1860 880,000; Le Haut-- Canaday quisiretiit qu'un ~désert do tem; de fllnnp."l.ulu' et c ui?'nprd- Montoa{m, ",E tait encore qu'un tle, a maintenant une po-- + pulation qurexcéde celle do Mas uehussets, ©l@ile@ plus parfaits oultivatouys qui aient ja-- | y hntwé In twites . Si--le Canada frangais | a hoavee uim jostur orgueil 'soy vieux { val de bantilte, de Camadar mss mou «We M¥ee an égal--plaisir «es ebamps nouvel-- ' lement.conpuia T-; In > forer ,a vouverts do | «wibisiony magiifiques} si Pancien regine 'ast W?:u- les murs de-- Québec, le ; monument de Pérs nouveile et les pont qui ) taverse le ~31. ~lanmpn:, en vue. de ln viu«' +5 reprbseute on Parlement, et dont cha * xz- vingt--quatre pilhure poorrait retemit f Onpendant des houree dans uns mustte: admi-- | )o ration; e voyageor »mportéipar la vapeur a | oAvavers non tubs rotentiasant wur ia route do | #Al'bnlq.- auk eontrées lointunes de POu-- | sumbnases irriidts=4changbes enire: 1' Angle-- terre et ue, jo no puis m'empé-- cher de 'z!" n-n»n':lh m::- . nairsance de Paffiliation nationale, faite aveo 'e.-um @teitl uslien--auss mémo-- CS vons votre autorite, I'h%" s '::I:H;l":mo Cour vie la Préspérité, nous avone vequé noe anodtres de lears tombes ; nous leur xvons distrbu6 In 'Iv bidme ; et cola sana faire " vérite, |sans injustice pour les fhidrtk out des"droite'comme . lex @B¥ors #ix 'ost ufle des fl have o. Fost i'% im, aure un a M. M';M"..fll ll'::l.nl':'(r'.; Ie «joute 'M. McGee, que -- les '*le , & Pembouchure du 'Keort '!mfino. parviendrout jus-- J wl '$bpv'wznmnl & nos amit méticain 'Sait rendrm m'w '::l méilleures 'Qualités du caraetére Anglais. Je suis couvaincu que rien n'6tait ldi de vorre pensée que de donner une portée politique a cette com-- mémoration . historiqhe} mais aprés . jes «ile dasthaintanic inlle. 1 ost instructil de vair a dahg aunsi bante intelligence que «dang l rtriimide q.... T € 08 »au nt,de . Mole, in aille.maime.de is prise de Québec. Dens -- 00 i ',.m_infn;urn pAS:permettre lanx ©0, in ique soue. MV M , Nemir cam dah Montoain--qusti «dang.go« ;?l la vaillo.néine sexapinion, on . o lour nombre.; il fmpey,reag es ;'l"n tighoason, « &w litique. Jusg C gourernés . strio Mb marbiue. Canadions «Pétablic --dor Eooo oo toiiiee Nonobstant Rioheliou, 8 Saailinsonniere 0t autrea eaprits eupérieurs, gui voynient les grandos _res-- .son eroialus de lu Nouvello--Fian-- o8, in ique dominante, 'rurliculldumnm AV 6t Lours X 4 biait de faire 'fk 1e.simple colonie militaire . ot «nc ie colom Bancro . La part prige par g&z Genei h dans les guorree, sous W 000 ; Qurant in guerie de sept . an ?'_ :C* pne.;fi"f."m:.'.'.' 'l.u me . attrai Tfifiu: de .. methe & 'm-u Illr'ndbulop'. "'."'m',lfl_hicm-mnlu prea-- , souvenine historiques, ail jamais dune los limites du Canada, a9 détaite, comme on . 1e ».par in chite de Qubbec. . L1 te voir, par.PPhistoire, do . la """Wn & --Jm . mort ce e n col rangais Semaneges h ¥ in aurait pu "",m,hoflhl' wn m'- dune ||:u soul--nawire; plas d'un sidolu aprés il y on w \; durant in guerie de sept . ans, Y ETPTTDUTT NT + 2008 + Erance, était hors de proportion lnmhn.; ilsy .jouaient un ..role «) igue ;. 'ils Jaissrient par s hex das .disettas . périodi= a.lhh.., saus .commerce, .sans i Ju-qu:m dernier moment, ils fwrent gourernés .d'aprea une _ politique iga do see sor ho vailipn. mokee cett P vty ie TA h to . Sud ?é'f' seng Pak has * pol ont cela m' ,um#:.:"...;".";::"::i et Hn-" ie de 'caux 'gui ne ent ds Injusts ie o dobte Aesindlittices ' 48 04 Fon pourra w et insen-- ?g'l-- Jes phu'nll:'u'.: savons, parce que . ools 4 Ja is 8. manufactures .de La part prige par sentiment 'ot amitib Mrl-li 'X : 45 par_ sen comme vous loade. Cels is ne soyions fran-- ** La bibliothéque-- est isolée dw reste de l'édifice; allo est de forme Girculaire etelle aura vue sur l6 fleuve. Elle poutra contenir 300,-- 000 volumes, et l'on n'emploie dans sa construction que des matériaux imcombustibles. Les amis des let-- trea ot des sciences. doivent se ré-- jouir, en songeant q'zfl- avoir ' 16 have HHHE asmALLE "nhnacs. ' elle * Le site de tous ces monuments futurs est les plus beau que on puisse imaginer, Excepté auéboo. nulle autre ville en Amérique n'au-- i rait pu en offrir unl lembll'Lle. et il a méme dans le pa e qui se | 5éroule aux regards Ju };::ust d:l'hr-- ' ruck's Hill, une certuine ressemblan-- | ce avec le parorama que l'on Bsm | contembler du hautdu Cap--aux--Dia-- 'mrants. . Le pont -- suspendu . et i' les chiites de la Chaudidre font d'un & notre climat. Les toitures élevées dea tours, ornées d'une belle dentel-- le en serrurerie, les flaches ot les gi~ rouettes devront dtre vues d'une grande distance ; !a principale tour aura 180 pieds de hauteur. L'édi-- fice entier aura 475 pieds de lon-- gueur ot sera flangué de six autres tours, Les salles des séances des deux branches de Ia législature se-- ront placées de chaque '6oté de la cour intérieure ; ellés sont de di-- mensions avssi grandes que celles du Parlement Impérial, ayant cha-- cune 90 pi de largeur. L'Hotel du Parlement sera d'ar-- chitecture romaine, et le dessin qui en a été publié¢ dans 1'Mustrated London News, offre une frnnde rea-- semblance avec celui de Université de Toronto, que l'ou trouve dans notre journal unglais. Ce genre de gothique, élégant sans étre trop or-- nd, etse 'rapprochant de Part gree su plusieurs points, couvient assez notre climat. Les tnitnras dlawias Ne SEV O Anltrr talhhnaiatioci Pb ic 35. la riviére Gatineau et POttawa of -- frent aux regards une vaste étendue deau. Jo coté le fond du tableau, de Tautre eaux a 'Ottawa au milieu de la vil-- le et la sépare en deux parties, la Haute--Ville en amont du fleuve, et la Basse--Ville en aval. -- De chaque «coté se trouvent deux promontoires qui se font face. L'un d'eux est nomms Burrack's Hill, et c'est 1\ que doivent s'¢lever 'Hotel du Par-- lement et celui des ministéres. Le palais du Gouverneur Général se trouvera de Pautre coté du canal. Voiei ce que Phon, surintendant do Péducation pour le Bas--Canada par-- lant dans les intérdts du pays (Esnit Van dernier de la future capitale, comue des monuments que . le wou-- gernoment devait y constrnire, _ MM. . Fuller et Johes de To-- ronto avaient déja prouvé leurs ca-- pacités comme archictectes,et si l'on examine attentivement les édifices occupés par, 'Université, etde dé-- slr&emont de I'Instruction publique e Toronto, on pourra se faire une idée de ce que--seront les édifices du-- Parlement une fois terminés. ' Ottawa, car il n'eut Tro;r;c .i':it:'vr"e:f du chez lni, de pareilles comparai-- sons. Nous ne vouloulrpuan répondant au rédacteur du Pays, prouver que les édifices publics sont des chefs-- d'couvre d'architecture, non, mais nous no cro'vom pas non plus, qu'on sl-:iiuo r:du re ces édigcu aux con-- one de granges ou d'écuries. Lor;?uo |'Hon. rédacteur du Pays laissa Montréal, il était accompagné de ses préjugés contre les batisses du ' Parlement et'de ses rencunes contre I! y a quelque , par un beau _'dfin&'finm'tfl p.réSwtmr du Pays notre ville.--Arrivé le & soir il se reposs de ses fati-- du voyl{'. Le lendemain (jour seigneur) il se mit a l'couvre en #'enformant dans les édifices publics Pon construit maintenant, dit--il, dans TRISTE capitale yue I'-'c::iflu «tLPin-- capacité du gouvernement 6 ont im-- poséc au pays,--et & # h. P. M. com-- me il nous l'apprend lui--méme, il étai# encore & prendre des notes dans les pigces du soubassement qui ne sont paséclairces, prétend--il. TE nous sers possible, puirquie ' 1o 3ovoir comme Thomnenr 5:? obli-- ;.unt de combattre lorsque nous som-- es attaqués, m{m sles ennemis' done de notre sont nos ennemis, ue notre mission est de Ia «ufibfiu micux Tl'fl nous sera P,?':"f"' puisque ' le * Le canal de Rideau apsorte ses ux A POttawa au milien de In vil. ' Telle a 6ét6 In. 'pensée--mire des fondateurs du Courrier on créant cet 'd a5 Fa':" dihdnlu:- !;u centre du -- térats wn:o'.'mx du Canada Cen-- tral ot de is ville on il est public. . '.:A mtdt'u-n'l:-u"nn.- oo vigilante u hant da promontoine '.wm h&_'- Gmn-:'uau: :'l::m-m Peonemi apprechers 90 pieds de longueut, sur 46 rerike mm. Ottawa 11 Septothbre 1862 Les 'Batisses du Parl@ment. (Couprier d'Qitewa,) nog Tont cela peut étre. IT ost tout probable que in commission qui a été, pendant plusiours semaiti¢s, oc cupée & recueillit' des thmoignages qui couvrent au moins 300 pages an-- ra découvert quelqties frandes,et nous avons . bien Pespoir que le gouvarne-- meént actuel saura cgl&ior fl coupa-- bleae--Mais nous ne voyons, pas com-- mt.l. 180:3.« qui x:: 05? eious, lui iteote, ait pu dé-- convrir des hnm mfl cela sante anx. youx ts nous avons la ott{.tndo que M. . Bourgeau n'a jamais fait un pareil avancé. Au reste les travaux, de ls cont-- mission n'6tant point encore venus a une conelusion, vu que les témoigna-- gesa nlil:.-nim n'ont pasencore 6t6 reoueillis, nous ne voyona pas com-- ment un rédacteur, on hol':h in-- dividu en saurait plus long sur les frandes commises, les -- commis-- saires oux--mime .3" sauront rouT I.'nfih auront :o:u tous ceux. ont prie construction ie nteps s ' ne it d'heure condam -'r: avoir .h-w dn. "W": 6t las of ficiers ont construc-- tion des sont coupables de evepnicha de r, mais ava fant d bos posic wl on t font @# La commissior continas -- ses {travaax avec activité et de manmére ero uous & rendre service an pnblic eta hmonnmr & «es membres. ' h Bourgeau a, hous dit» on, rendu des servioes. importants on décou-- vraut, par sa perspicacité. dhomme habile t éminemment fi'o"iq" dans son art, des fraudes dont nos lectours mont pas le moin-- dre: soupgon." Le rédactonr doit suvoir que _ les pierres d'un édifice deviennent plew reuses par .llintroduction de toute matidre dilatable et de plus oxidable parimi une coustruction de pietre tol-- L que le fer par . exomple, exposée aux impressions atmosphériques;. on sait que cette innovation, a cet effet et que le tort d'une . pareille char-- pente est d'atre un per plus coiteux :]ue le uyatén}o ?rgl:u'lro; maia dla épense une fois faite, les gages de dul:: qu'il offre, la , agcurité qu'il donue contre . toutes les chances d'incendie, le rendent en définitive, d'une économie innappréciable-- Le Pays disait, ir 3. a quelque temps ; | in in Wiedb arstosn Mais ce west point le parler--Wéclairage, vous -- tard. P Vous n'6tes }voint sincére ici M. le Rédactenr du 'nr, tandis Tw M. Chanvean Pétait, lui, lorequ'il venait iei non cousn de préjugés, dans le but de faire in rapport impartial et non intéreasd. Le Pays sjoute: | . ©* On a commie des bévuee littsrale ment incroyables dune in distribution, . dans. 16-- olmirage intérieut. dans:la mlrunarin. \ans plusieura détails importants ; dana Pamploi de piefres pleireuses, pour nous servir' de Dexpression ondinaire, qui salissent les murs d'un écoulement churgé de rouille, et leur nombre est incroyable ; nous en avons comp-- 16 plus de vingt dans une étundue do mmoina de 800 pieds en suporficie." irs. , C : Aveo.l'argent dépensé, on pourait faire den monulruu splendides, ot. on n'a obtenu que des édifices dun ordre batard, -- sans 5"""'" cumme sahs ¢ffel. C'est trés étan-- uanais cest loin d'étro. beau. ~Or a abusé d'un ordre d'architecture qui ne convient pas & de grands monuments. Ce goure con-- vipn: :'.un nolAta'o, nous ',"I::'fl méme vo «in on laterre dans pendances mzum dunrfoh- résidences do campa-- snu, nous,avons vu de magnifiques écuries dans co style, mais il fallait venir en Canada pour le vc{r «ppliqué aux plus grands monu-- ments de la province: Ou a dit que Puniversité de Toronto était: bitie dans ce slyle.. Rien n'est moing ex-- act. . Luniversité de Toronto est batie dane le style roman assez pur. Quoique ce style svit pesant, ilest néasimoins monumental son apparence de solidité A toute éprenve, g:ll D'est pas--le style des. édificas 4'8;'."" uied e un o e de C'est immense, . mais lourd, . pesani, sans avenne él6gance. Le golt des architectes était exactemeut au'niveau de lour capacité et de leur droiture. <« Los Alifices sont & pou pré« @ing . fois plus ctendus qu'il n"était nécessairey ot leur earactére architectural est faux et nul. . _Le principal édiiije fait face a une vaste figure quadrangulaire, dont les cotés sont bordés, par los édifices départementaux, &%tendant sur un magnifique terrain, an dessus 'de In ville, descondant graduellement, vers In rivigre, ot donnant A is vae lo plus bean dés panoramis, L'édifice princip«l' comprend ' les ge;:lx gl;nqmbra (haute et basse) in ibliothéque et autres appartemients. La tour sera haute de 180 "pieds. Lédifice ost bAtie avec la pierre de l'()tuwnl.k:fw. utoo-u-" ho iu:v;e co que 6 pierre li-- bw%al'Ohh"'.u es Le rédacteur du Pays) de retour dans son sanetum, Gerit : architecturales, sand paraldles sur le continent. Lzs NOUYELLES | Ba¥I8®H DC | raRLENENT Camann, sont uesrore searx gor-- _QUr anxt : #16 cometaurts us ) SaN® xcomere Lr carrror aux % Th L tegtes dmumu H y a rien de m"h"ndg ce Mi&l'&m";"':m 8""_"" Burry, -- elles. unissent . la Lost au sujet do in visite de nos voi-- ols 3 p mibvs min de fer gz Watertown et Post us su On (A continmer .) _ temps do verres . plus #Ottawa janqu'ici, L'organisation de is non Ijie goi o "aame en argent, ressonrces que le Sud n's pile ; "Wanie 11 faut savolr tos wtilteor at no pad les grapiller comme on I'a fait s d -- cX critiqné que celle da Nord on ce mo -- Tentsi: Ls Nord posside ihaxt 1mi Pimmenses ressources en ton, In seconde ville du Kentucky lpl& Loulaville, et de Frankfort, capitale m::dc I'Etat. Le gou-- vernour ot in législatare se wont réfugiés a Louisville, emportant un million on or appartenant aux bangues et los -n:Sm de 1'Etat. Les mnfédét renforcés par n:; nom-- X corpe '-'0?.. vront, ::3 les ordres de ub;%.-ith 6t de Morgan, leur marche vietorieuse, d'un c0té sur Lonisville, ot de Pautro sur Cincinnati, dont leur avant de n'est plus qu'a qd*m nfi'l:, On est tris Ifin ant Nord dn sort de ces deax villes importantes, _ Run, un combat a eu lieu & Rich--, _' ©° _ _ V mond, dans le Kentucky, entre9,000, , Dans le comté d'Ottawa le chemin fédéraux commandés par le général| d¢ Wakefield et Portland passe & Nelson et 15 on 20,000 (ce .,,,fi,, est | travers un des plus beaux terrain agri évidemment um séparatistes ' colés dn Bas Canada. La partie nord-- sous lés ordres de y Smith. Le | est de Wakefield a mmqm toute combat a 6té acharnée et Ia vietoire | Yondue ;""' l'agent dans espa-- demeurée aux confédérés, auxquels, CC dé 12 mois. Dans les environs alle # valu In possession de Lexing--' 48 ce chemin, il y a des indices de ton, In seconde ville du Kentucky | mines de cuivre, de plomb et do, for, aprdé Louisville, 6t de Frumkfort, t plus de 400 familles sont établics capitale politiquo de I'Etat. Legou-- dans ces townshipe depuis deux dant | vivres, muniti ont dit étre énor-- prépare mes ; nmdim:'noon, les gens du | qui on ré Snd ont ?gtnré nnd'uonmi de cent ::osr')]';"; wagons argés tovisionne-- ments. On les disait mm&, mais | bnables, avee ce qu'ils ont enlevé depuis huit | 44i J""E jours aux gens du Nord, i: ont lda :f;"" % noi vivre ent lant pin-- oondt :lleun nmm h | Si le gouvernoment a 6t6 laconi--| que au sujet des affaires de la Virgi-- | nie, it Pest encore bien davantage & | _ Cher propos de celles du Kentucky. 'On ; sait seulement que le 30 Aott, f}mr Dans le méme de la seconde bataille de Bull | Bruyére, KHSm mew ' adtiacisg 2 c db 4 e ul 2 °T Pnb Dhaile st prisonnians. "x;.:fi""; & n rs de ses meillenrs gé-- nm m trentaine de colouefi: Les portes matérielles, en canons, T ER CD ET ER~ s ;nnfe était demeuré au Nord. * | Cest Tundi seulement que la vérité west fait jour, Les haufllu des 27, 28, : 20 et 30 aotit,livrés sur le vieux champ _ "| do Bull Run, doublement historique * dboornuilfiont décidemment tourné :; contre le Nord, qui n'a pu_ garder aticune de ses positions et a du se re-- 7 | plier lentement sur les bords dn --Po. '" | mae, constamment . harcelé -- par les cavaliers du Bud. La bataille d[; Chan-- "| tily a 6t6 livrée le Ler septembre, dans les environs de Fairfax Court « | House, contre un corps ennemi qui " | cherchait encore a isoler Pope et & se placer entre lui et Washington. 2 | Cotte fois, les troupes du Nord, an 4 | prix des plus luunk:perm, sont par-- venues du moins & tenir les gens -- du " | Bud en échec. 2| __ Aujourd'hui, Pancienne armée de *| Virginie, qui reprend désormais le 6| nom d'armée du Potomac, occu t | les fortifications qui défendent Wuie- ; |ington, sous le commandement en ) | chef du général McOlellan. . On s'oc-- | cupe de rbo:funimr, et elle regoit + | chaque jour do nombreux renforts. ' | Elle pourra prochainement reprendre | | 'offensive. J-in Lee lui en laissera--t--il | | le temps ? Do son quartier général | établi & Fairfax Court House, il la |surveille de prés. Dos que ses sol-- | '| date auront pris le repos nécessaire | | aprés la lutte g?.nmque qu'ils vien-- | < nent de livrer, dés que Farrivée de | renforts le lui permettra, tout fait pré | ! |voir que Lee tentera um coup de [ main sur Washington, dont la pos | session doit dtre d'un Igund prix | I pour les coufédérés. D'un lutrei coté, Jackson se trouve avec 50,000 |! homines & Leesburg, sur le haut Po-- | f tomac, o il 'se gl?pare & envahir le|" Maryland et d'ou il menace & l fois | 4 Baltimore et les derridres de Wash-- |" ington. Cette diversion serait ce|P qui pourrait arriver de plus fachenx |© aux fédéraux. § Les dernidres batailles livrés en | 4 Virginie ont 6té des plus sanglantes. | ° On ne connait pas encore le chiffre f' exact des pertes, du coté du Nord ; le mais, & en juger par le grand nombrée f'f d'officiers 'tués, elles doivent étre|< énormes, Une Iramiéra liste de | P blessés donne 4,500 noms ; 2,000 | T# environ 8e trouvaient encofe mercre-- %' di sur le champ de bataille; 7,000 sont tombés entre les mains du Sud, }" qui ont entérré 5,000 de nos morts| 4 et nous ont fait, au dire de leurs offi-- | P' ciers captifs a Washington, 8,000 g:' prigonniers. En additionnant ces| differents chiffres, on arrive malhen-- | reusement & l'énorme total de 20,000 | P' rMAlblI'-un' --d. t ]l'a.'PUnion. T. vant sur le Potomac, 'I'u-ée de V'ior];inio a di livrer d2 batailles successives anx général paratiste Lee et & Jackson, qui cher-- chaient & l'isoler de Washington. Les journaux et les dégchu officielles n'avaient parlé d'abord que d'"lFl-- getients pzrtjoln dans lesquels _ T'a-- wunbaas w q d 0 Lsw DT _ OB LCCCC . 227 UTRDICs r les trou fedérales. si le G z"melnelt dop.wm.m ne 44.'1:0 désoriais le plus indomptable &r' Bi nos généraux ne se mon-- & ls bauteur de leur tiche ; w "J'-" gitoyens n'aecourent pas irodigneut pas loor ns ied t B ignent pas leur or, clen est fait de In répondérance du Nord et i: t rfl:b};-uu.m de PTTnian circonstanges bien Mlanedut in go CCegere et cest agjourd'hui le Sud qui mena-- eol-N:od:P-v-bir. I'qpin de quatorze mois est perdu. Lé guerre recommenes de nouvean dane As conditions de la lutte sont Mu'n,"' 1C) Hiporindbinsmae l |--~ 37-- nouveau _ dans derales. si le gou-- hington loi plus . Eld':nfibl: et Washington. s du Nordigmnn s p.ers.os, sont par-- moins | favorables h iLost yrar hommes et nais le :: occu Wash | ¢ ont en | .; )n s'oc-- | .. regoit | ;. 2. * omment s besoin(a Les colons de leyr odté attendent -mn':ildl'wvl::u'd-mnux A Les amis d-'::y- entretiennent | 'espoir qu'un vigourenx sera donné A in colonisation par mhe ailo.| vation en rapport avesc les besoins | notuols, earen fait do colonisation, | il a'y a point de sacrifice, toute allo-- gution judicieuss ast un gain,."*~ _ | m L'nttention que on porte & l'im-- mi'r:fion de uflm d'autres &q' ne ' sore ds e remibgerege relamtioons sort de nos com; | dflf::#Ulh: h:br lilrdntml'r.l m t e s' miiinrtabe neton t' h conronne -enitmn wéritable bonhenr r onx. ot car ue sotent in force, n Fv'g-r"' ; J:".k rage du colon étranger, rh;! n'est supérieur an Canadien pour l'convre da défrichement. mer la bouche aux pauvres contri-- bnables, en leur répétant ce proverbe qui jnuEI'ici n'avait Fn eu cours for-- cé aux Etats--Unis : Payez at nous se-- res considéri. ,| _ Coux qui ne se laisgent pas entrai-- . | ner par le torrent, se demandent avec , | inquiétude a quoi en seront les finan-- | ces et la prospérité du pays si_ la , | guerre dure longtemps encore, Cest | un goufire qui n'a pas de fond. Le |gonvernement a été obligé de ro-- | courir & un systéme de taxes et d'im-- ts qui greve tont, plus ou moins ; {:dic?ensg:ent ; d'sn autre coté, es Etats et les municipalités, qui font d'énormes saerifices pour la guer-- re, se verrout promptement forcés d'augmenter leurs ressources ordinai-- res, cest naturellement le contribua-- ble qui en souffrira, Comme contre coup, tout va hausser de prix ; les salaires seuls et le prix de qn main d'ceuvre demeureront stationnaires, et dans beaucoup de cas méme, . se-- ront diminués. %e- compagnies opu-- lentes ont 6té les premidres & donner le signal ot & se décharger do la taxe fédérale sur le pauvre public qui n'en pout mais; compagnies de gaz, d'assn rances, de vapeurs, ete. In'y a wune compagnie de ce genre a New-- %'ork, celle des vapeurs de Ham-- bourg, Southampton, Londres et le Havre, désignée de&){uia longteraps | par MM. Richard et oas, qui n'ait| as auginenté ses prix outre mesure. | g:t pourtant elle y autait éu certaine-- | ment plusde droit qu'aucune autre-- pnimlu'il ya& le droit du rlm fort-- car cest Pune des lignes les plus ?o~ pulaires et les plus recommandables |-- des Etats--Unis. Pour en revenir an | qu'art d'heure de Rabelgis que nous | 1 prépare la Fnerre et aux embarras| qui en résu terontmnr tout le monde, | 1 le gouvernement fédéral pourra fer-- | Dans le rapport publié par M. de La iruyére, oon: : P P¥ > Ag i en e ae n "' général ? ré]sondit le colonel du © régiment. xcusez--moi, s'il vous «* plaft, répliqua le général Phelps, & «* votre costume bizarre, je vous avais © pris dabord pour les écuyers d'un @* cirque." Il n'en est pas moins vrai que tons nos régiments de zonaves se sont distingués sur les champs de ba-- taille. 1ois par le gouvernement fédéral, PEtat, les communes et différentcs associations particuligres, les volon-- taires arriveront en foule. On calcu-- le que beaucoup Izun droit a plu-- sicurs 'pnmu différentes regoivent juequ'a $500 au moment de leur en-- trée an service. La ville de Boston, voulant compléter le contingent qui lui est imposé sans mooufixngoln cons-- cription, ?ui répugne de plus en plus aux populations, offre une prime ex-- traordinaire de $200 aux enrolés pour trois ans et de $100 & ceux qui s'en-- gagent pour neuf mois seulement. La municipalité prend en outre soin des familles. Notre boune ville de New-- York, qui ne s'en serait guére doutée il y a deux ans, est transformée en un véritable camp. On revoit depuis huit jouts des légions de zouzous de toutes les counleurs. est un régiment de ces zouaves barriolés que le géné-- ral Phelps recevait il y a un an par cette boutade : " A quand les cm w vaux et les l')nlanqisgfl Comment, Chemins de Colonisation Loin de décourager le Nord, se MA ord, . ses récentes défaites ne lntquo le -- sti-- muler davantage. -- I1 sent que cgite guerre est désormais pour lui une question de vie et demort. Outre les enrolements pour le service féedéral, plusieurs Etats organisent pour leur propre défense des corps de inilice spéciany. La population a été invitée & suspendre toute affaire et tout tra-- vail ti:' trois houres de Paprés--midi, afin de laisser aux citoyens le temps de s'exercer au maniement des ar. mes. Grice & l'imnincnc; du da'nger et aux grosses primes offerte la fois par le Roll)l'nrnmnnnt war. o 2l da, remplace-- * ln gnerre de | . auguel on peut sans in-- justice attribuer une grande partie dl:k.m commises, par M. Hal}-- Bane nul douteque McClelian e t'd-bfi-;.d-m uz:: me de toutes les forces fédérales de ::'nudou. 0.'..'311."3: Fb ver ma:-bhinlum dé-- 'flheonfllzduddu.'ldd).hlhn mfl m p v-ul-:.n Qi;rl':m lnz uiv; tif, 4 rou plan primitif| peut8tre' sorions M ee en en mdit le colonel dl; Nzw--Yorxars aiy hi dteagi« | NOUVELLES DEUROPE EZ La troupe ayant nom : Fraxx River's MzropzoX® TrourE, a com-- mencé & faire son apparition dans notre ville mardi soir. Le Thedire de | Sa Majesté a été bien rempli avant {hier et hier. _ Je "Times" de Londres est plein de sarcasme syr les en&.= Snguils :':'::'ifi*.:': _ Granoe--Bretaons.--Le . Tusca-- rora", qui était & Falmouth T6 28 aoit 'nn@"-*od-pnnir dans lee 24 heures. T1 a demandé la permission de rester ot réparer ses avaries ; on disait Fomeyele ceptres sns mighiree aux min mais celui--ci a refusé de s'adresser & onx. I1 a été antorisé & dementrer tan-- dis qu'un officier irait a Londres, mais il a regn I;',.gim.fim'i" & m tour sans et sang Les journanx zli::m disent pas grand' chose desaffaires américaines. sa que c'était un madrier que on avait placé en travers et crut quil n'était nécessnire d'arréter les chars, gi.:lhenrensement i1 s'aper-- cut trop tard qu'il s'était trompé, | car c'était un homme qui était cou-- : ché sur le ventre. Les roues lui | passérent sur le bas des reins. On |s'empressa d'aller le relever. Il | donnait encore quelque signe de vie, mais il est mort presqu'aussitot. Le malheureux : se nommait '(}h'mpo-' et son occu &A Mtt, m de Plnhr mm Le ma-- tin, on Pavait vudans cette ville, bien enivré. Tl--laisse une femme et plusiears enfants. On nous informe que jeadi dernier, vers 94 he. du matin, comme les chars venant d'Ottawa arrivaient Iprén de la petite ville de Prescott, T »C., le conducteur de l locomotive aperce-- vant quelque chose sur les lisses, pen-- tag~ --Une dépéche regu du bu-- reau du télégraphe & Montréal an-- nonce que toutes les lignes télégr& phiques de New--York ont été abat-- tnes par la dernidre tempéte de vent cst. _ Pas un seul mot de nouvelles des Etats--Unis n'était parvenu a Montréal aujourdhui. ' Lzassociation de la Presse Cana-- diennedoit se réunit & Toronto le 23 du courant, Entreautres questions, on prendra on considération l'aboli-- tion du port des journaux et F'adop-- tion du paiement comptant pour les journaux. £ ho d en n mt We pages de maticres & lire, au liew de 24 comme ci--devant. --Nous verons de recevoir le dernier nu-- méro de P Agriculteur, publié & Montreal dans les intéréts des classe avricoles et ma-- nufacturi¢res du Bas--Canada. Cest le No. 1 de !n série de 1861--62, Vol. XV. 11 est main-- tenant publié par J. N. de Monrin{, No. 29 Rue St. Vincent, au troisieme. Le format de PAgriculteur a 616 agrandi. et contient 32 Smo e o Pm o L 22 9 n uo mm oo n dont 1'Hon. Robert Easten Burns, joge Bane de la reine est chancelier et l'glon mes Patton L. L. D. vice--chanceNer. remerciements & qui de droit pour Peny ce document, ~--Nous avous regu fa ciroulaire annuelle de 1'Ecole de Médecine de Toronto ; cetie école est affiliée & 1"Université de_Toronto dont I'Hon. Robert Easten Burns, joge du Rine Auqas e on d te Snd I 5i nous voulons avoir une littéra-- ture nationale, le moyen de se la pro-- curer est bien simple, c'est P'encou-- rager des littérateurs Canadiens com -- me notre compatriote A. G. La joie. E __----Lord Mulgrave, Lady Mul ve et leurs deux 3!:-ont arr}i'védfié- bee vendredi matin & bord du gueen Victoria. Tis ont 6té requs au débar-- cadgre par le Gouverneur Général, le Maire, le commandant des Forces, plusieurs membres du Conseil et un assez grand concours de peuple. Bg Nos® remerciements a M. rer pour envoie des. morceaux : de musique suirants. The Dream of Home. "Tis hard to give the Hand where the heart can nover be, The Nun's Prayer. The trees are in blossom.. tW" Son Excellence le gouver-- neur général sera ici prochainement ; on fait de grands preparatife pour le recevoir comme il fant. de 5, "g ~ Le Prince N léon, a ajouté urf autre splendide mnt & I:Jhste de ceux quil a faits précédemment & I'Institut» Canadien de Montréal. T} consiahicen una amnorks on ulc _ Plusieurs journaas montréalsis voient avec une joie cxtréme que le vernement ne recommence pas Efi""liw Leur pen-- l'lnhdhieoupnndn, ils ven-- lent avoir & lnn't]:é.'; le ..'4,,;.t du vernement, et ils s'occu; u g:: les travaux a OuuouP:; u}:t 3,'5' m'h" million et demi de piastres provinge. oracle bille, les berce dans cette doure -é-ne-.-m pourtant dé-- courager les habitants de 'Outaouais. (Journal de Québec) . ; que si clest l6 courage onl le#s pous-- e o oi s on Cap Race, 5 sept. car i) ue faut 'pas oublier n une superbe collection vures. I D. _ vice--chance'er. No« @9 t ul is pows envoi de Ja-- A des transports de joie indicibles. Nous on vens entenda un albcrier . * p on Catale 1 1o stt Recreun N Bawerths w i I j ce village ot Sirafec d mormmm.negnn rigoureux, main sonciont sor-- ¥irde point de mire anx balles des cambiniers du *:::fl parvenus & gagner notre fron-- tiére. La plapart travailient pom leur nourri-- fure avee nos fermiers, On nous informe 1".:-.1 volontiers $100 aux nl:u;:m": petits bitiment o fantommvages. Aosstoratives, tieve NFrent On ?porh que le bélier " Mer-- rimac "No. 2 west avancé jusqu'a New--Port et est a la poursuite . des canomni¢res du Nord. Le Gen. Bank est malade tel Willards. Kirby Smith s'est cl;fi;ré de Lexin et m-:'u'hn_nek(ovd et Louisville. gton A Richmond, daus 1e Kentucky, Kirby Smith a complétement baita los fédéraux sous les ordres dn général qui a 616 bleasé Las fedéraux onlrvdn presque toute -- leur artillerie, un grand nembre de tués parmi leaquels les colonéls Warner . et Topping e. darl- 2,000 \prisonniers. Des avis do la Havane confirment la nou-- velle de Parrivée du steamer blind6 Orieto sous Te dommandement de Maffit. Tiois chaloupes cannonniéres appartenant an gou-- vernement fédéral sont & ia poursuite et anr-- veillent trois autres steamers purti de la Ha-- vane pour des places inconnues. D'aprés les calculs les plas soignés, on porte & six mille le chiffre des blesser ; le chiffre des morts & milie et celui des prison -- niers & deux mille, dans les derniéres ba-- tailles. Les prisonniers ont été renvoyée sut parole & Pexception des officiers. New--York, 5 sept. Un émoi considérable régne en ville; i1 est rumeur que les rébelles ont 'attaqué avjout-- d*hui nos troupes sous le commandement du général Gilert & Shellyville. On ignore le résultat, on a arrété plusiours sécessionnistes et des renforts se dirigent a q rencontre do Gilbert. Washington, 4 sept. Nos troupes occupent maintenant les mé-- mes endroite quavant leur deépart pour la péninsu.e. On LoNDRES, 31 aoit.--Le Moniteur dit que linsurrection qui menacait de compromette les destinées de 1'T-- talie est terminée. Paris, 30. Un telégrame (1ui nous arrive, annonce que Garibaldi a été défait, blessé, et capturé. Paris 31. La capture de Garibaldi est confirmée. Garibaldi aprés avoir longuement lutté avec les troupes ro_ya%es a été obligé de se rendre. On a demandé une frégate italienne afin de le con-- duire a Spezzia. ITALIE. Caribaldi blesse et fait prisonnier. 7 Eoo e t ttieey Porooxns.--Les deux assassins pré-- sumés du marquis _de Wielopolski ont été exécutés a Varsovie. Garibaldi ayant lancé une procla-- mation pour pousser les Hongroisa la révolte, le Klapka a lancé une contre -- proclamation déclarant le temps et les moyens peu favora bles. _ Le ministre Ricasoli est allé a Londrés pour conférer avec le comte Russell. 11 regne urrlt;gr'a.nde agitation . eu Calabre. ©Plusieurs villes se sont prononcées en faveur de Garibaldi. ' Les autorités royales sont rentrées & 'Catane et ont fait 200 Garibaldiens prisonniers. Les provinces napolitai-- mnee ont 6té déclarées en état de sicge. efi général La Marmora a été nom mé commissrire extraordinaire & Naples, et Cialdini s'est rendu en Si-- cile au méme titre, Nouvelles des Etats--Unis. tane sur deux steamers le 25 :;fl;, ont débarqué & Miléto en Calabre, 7 Cobarque a M M O 0 e BC ARUUTY. Les officiers de marine comman-- dants au large de Catane ont été ar a oC AR NO Y Andcnalivica d a s d rétés pour avoir laissé passer Gari baldi. Des préparatifs maritimes et mili-- taires étaient poursuivis par la France disait--on, en vue des éventualités ita-- lienmes. On ajoutait que 'Autriche et l'Espagne avaient envoyé des notes & la France au sujet des affaires d'T-- talie. Trarte.--Garibaldi ét une partie de ses compagnons sont partis de Ca-- #enal unc un N®tl I nitadieraic sA sc lc ci ind tions de Plymouth ont été emportés par la mer. Cest I'év&'u de Kilmore qui est le gflmn de 1'Irlande. f BANCE.--Le "Monitear" :m:n-t e paragraphe suivant, qu'on dit éma-- né de la m':!: de l'em;?emur: " En présence des menaces insolen-- tes et des coulézuenm possibles de l'insurrection d magogique, il est du devoir da gouvernemer.t frangais, et son honneur _militaire Poblige plus ue jamais & défendre le Sdn!--P%m. L monde doit étre bien averti que la France n'ahandonne pas coux aux-- uels elle tend une main protectrice gflwnm du danger," dénonce les violations ;'P"m"": des bis des nations par is marine des Etats--Unis et se plaint de Papathie du comte Rulr --Les nouvanx travaux des fortifica DERNIERES NOUVELLES Arrivbe de D Australasian. mflnwmh ves a i de ses critiques. E'.-b-c journal est d'avis que F'affaire de Cé-- dar Mountain est une défaite signalée les alliée, ot Ar La vore pu QuEEnstown *Morning Herald" de Londres Fort Munroe.7 sept. Washington 8 sept. Washington, 5 sept Louisville, 4 sept , a P'ho-- si see propres , ef