s _ _ effomiineche ons L t ; Vlarence [s fi' Fug. Dathowsle, i. is f Nmim'm;.-l_';';morde nos J-m;n sur Iu'dépd'ah:ou :blé';rbj s n son . ,"m'; 'dlinterst. i L ; > ,.'...:....".."'-.'!.:':.'.m.':'.....,.i:': 4 Ja: ci ce ~meurtre Stant 'dane sa 'main 2!':."2 Thag : do' ses frores la hrh"qnl -fi' & ot : sourd g&fi oupe To ot is fool ix tels que Pope, MoDowell, mr-ndl 3:m?"3hh, Siogd: be.,-ou':ailiéu en 'p}\éoon par . les do Stonawall Jackson, aid6es de Pavant--guide da Gon. ine. ~ »Hélas! les dernidres nouvelles qui :'-'flumt ds Eml.-%:i:'. .I?i' ug 8 + Beyodic ns | l nA rgpend fa Nid (Dananzi.) "Brise le 1e faiblo,hélas | 1' JBt u--:.'u {mane; pm': l::_:l;':;. "4° Tout souscripteur gqui chan-- ge de . localité, sans en douner avis au propriétaire d'un journal etiqui est cause.que le journal luj; «ést adtessé au buream de;poste, de s ci--devant résidence. ost temn, "fi'fifl@qmble e Fenvoi da dit jour-- \3 9,--Toutsouscripteur refusant de prendréson journal au burean de ol il Ini: est adressé, 'est mmble de Tabonnement, jus-- qu'au payement. des arrérages et ordre de, renvoi; renvoyer le Journal, on refuser de le prendie: au buteau do poste n'est paslavis Gttre In loi requiort. | 2° Tout souscripteur quine transmet ypas--les: arrérages qu'il doit; mu moment ou il envoie son ordreide discontinuation, 'est > posé d recevoir son journal et d syer tous les numéros transmis, f:qqu'&n payement . de-- tels n.n'b-' t 1 °. Tout souscripteur :qui ne donne pas ordre formel de dis continuer -- lenvoi d'an journal; est cetlsé continuer son abonne-- ment. * KeWonrrier b Ofttatux ~K3U" Nous prions i fi*q:mflow o e ouloi) fre sous bien vouloir le fo |obsirinnt tciomplhe o Ancartciniath cntotsresaci i on transiger -- affaires gflanqgu pn?;xg;e;e s'adres-- Wm au Pfofinéf-lil?-i Loi concernant los Journaux. réaidence. . du icteur.. . Les personnes qui désirent annoncer, se rendissent Le bal est plus quouvert Ottawa 4 Septembre 1862. #* La igterre, co grand suicide e wkurice lmpic € mitle bire ... . * 4. 6. '.l'kl, Redactear, AYABLSS D'av ite . devant dos dents, tiant du voudront bien se (Viovor Hpgo.) [thime....."] R a;..;.;.';.."..;.;.'.::;;..r:&;'" T:'"B".; Meeetees on oonele sn Rroporent at -- Pressott". {applaudiasements.) «t he Paieio®it : -- Lo personne qui doit 16-- r" fer y# 'i- E-"";"'""' Main ;;;;;mlinrwnloN.bla Wa ect t p wmi'n TuhY * ** 000!'"9' Stablissement sur tous les antron Cgafli.- de hoi o io Tokks vateio on | n imr en ie hn ns Saagenitomghs" . Cobte manee fue | sain . Aove on on ehdeaid e vor, shatee 'E.' au nmin d'npgudme;: Caeaditns rempli dok m-,-'p.;'.:'.dr:: Places ' r rea du ','*' ho ¥~ C "0;;":'-» d'Al:.y répondit an nom d! hx .?':fié w ":""'::"m : E'h ho a OOebpet e ant auol| aioutt pou Eoi dn Prerknnt hn pa stt ies mt mrerstie fame o ~ Lo président _présenta -- alors, aux hotes, R. Boll Eor. M.P.P..comme étant le roi de notre s:nd chemin de fer canudien. 'M. Bel} wavanca et proposa cette santé * sugsds au chemin de for de Rome 'Watertowh ot Ogdenaburgh." " Cotte santé fut hotes" 'Nou® voudrions pouvoit te-- uire en entier les remarques \si F t -- ai.. remplion d'apropos de '\nonl.'.plfld-t en cette occasion, , i f " ) y pu'zwr Davie 1: Poukeaep-- sie ml'i-um'"' aveo h»' neur pour luisméme st pour tous ceux qu'il représentait en cetté cir-- resiets. i \ .oondurh le président dos Etate~ Unie, ot i espérait que 6e sentiment amical--qui s'était <manifesté dans cette occasion continurait & préva-- loir -- aussi longtemps que la terre tournerait sur s9n.aze. (applandia-- sements.) L'Hon. Juge termina en' disant 'qu7 Ccétte nouv:il'le] uniolix t:llm. oux et.les citoyens la ca 6 perma-- nente des Canadas cinl:entonit de plua en plus. cette : union commer-- giale, qui existera en autant que moua serons de plus on »plus amis pour . notre --avantage --mutuel. ; II ajouta Tu ln position de ~Gouver-- neur de l'état m-w-York était la secondeaprée le président das Fiata. STAUs Ce notw commerce sur ce d mflrru%dnbriodn. Nd:l ....I."m.. r!uni, aujourdhni afin de célébrer 'la réunion de gubrml-' Le chemin de fer de' Rome T.nown ot Ogdensburgh est le Iroisidme en longueur dans Pétat de New--York, il n'a m mo'i'..a. a;zrm milles: 'Nu'enm;rlm ':: iemin so sont btendues ! yusqu' Meint.Enimant. dunk uin l2 ETT Saint--Lanrent, dans.différentes 'parties:da Canada ot jusqu'a votre ville mérae,; (ap-- plaudissements.) . quatte es fhrioe usmy it y P NCY C WT dans les-- heox ou j'entends 'p'-'om-ou son nom» mon ¢mur palpite d'émotion« Voyez aes --laoe, ses montugnes, ses tividres, [see villes, sea villages, ses canaux, ses chemins fi:'Ll' lipno'od' communicatiohs télé-- d Co t Pontraptise .des m&f'%&flmtamw.@fi? jo e ' e » m heox u'i,m-nd- Py mis nt, ot Omrertnre d unelepe dirvate oo shomis do for entre on i mm ho mopner .'.""1""'!"*';:,'('%%& \ _ Déjélo drupegu des Etats confédé 'fi% ube ' foid | an (essas des. e F de 'Manassas, ot sera va bientot, «sur le capi« tol de Washington. v:,.*g.'m faute?t + T tds vigie 1e Jrhone de viclon 4. ias er le jonenur T. Linools, . " * * !E'pl:'m uvdth.m &Qd:.,' ie P s Poltanenae / De plus le sang, et la 'raison de ce Mr. lo Président ot messiours :----Ce n'ost int aveo une émotion ordinaire que je me ve _ re & -- cotte: aantés : Quoi-- m.i?: ire 1'énergie, ot Pantraprise .des PR e a vu souvent sa cons-- ' @ alle 'a perdu (ffrrmn Pn cbs--de 'oppression lui ont to.run ronda Pénergie néeessaire pour la re-- To Rebitinte dn nord do TAmect. VISITE DE NoS vorsmns santé suivante fut: " A nos Lour: reception &.,.4. aifes 0t an nom des aiis J# iWous Yothertic anse; (Swite et fin.) Ahuh: imble dans les une, u produite (dass "1d ie dntiewt gnie dn "quul. au milieu du choe mmes d'un incen-- vikee: (Mp» | nows soemip oi on © e PC ETE ate eontedd"Ime homme public il avait fait T6 _ _ a0 Cesshs | sion, mnlffin de ma: carridre a 'Manasas, | €il 'sjouté Pon: dit -- Bell a rempli Ur 10--6APi~] son dovoir" To 'sarat aanbune w2 Pl eet impos-- LR TCO Svanlages Géxira« ie n to iar im |!'~~%fi:~\m.¢;,.: | lt Abogane on s uo tte ies mame : | Cete institution qui est. I'murre do_ son $ .ump\:'auu,m'm...,. pric ::ade-p::nuolh I'-.-::'$ miniatration nows promet nn sdeods brillant ie n ertenyst i en ast | honore par ses talents at par 1e ""7& : -..bludwun.::'hiuq hi ne in Bs s ronnmins pan tous Seur qui les congmissent. .. ... ' Maintenant il ast de |'avantage de tous nes compatriotes du Canada central 6t de in ville Mmbg.?m «onstance woffre ou't lst Mun-'-'*&fi.fih e Lon i6 «e Tri® uno idbo dos | sacti-- hm S oimitorent fes nds o ioh !'lg'.fl. (al BOUP ) Ini ©Ausbiks oo mt egita tds DLR q. L1CRTRMEtSmMent pour | fui donet toute in perfidtion ot los avantages dixire-- Ajontant grandermient & son 'intérdt, 1 e cos doux sclenbor. muiBu voeale et inatrumentale, at 'o'ft' ce 'on enseigne erdinairement len ::ill.un- maisona d'éducation. Un appareil considérable d'instr aments de :h_!fi:_..'c_fl'h facilite beaucoup; on Ce collége que nous mvons visité a plu-- sieura reprises ot dont nous avons pu_cous-- Inter lee sucote, dans les exaniens publics auzquels nous avons avsité a paru : réaliser tout ce qu'on peat espérer de mieux d'une institution do W Ln semaine '.l;lh.: nous avons s et une graphie do. nllhn m-: voit.--que le ime des comprend les. quatre mm l'mb., Anglaises Latine . et Greequey lea hématiques, in Rhétorique, hld_innuhl:mh_.dn in philosephie, in esw ara e tm La reatrée dee éléves a ou liou avant--hier, et hier on ouvrait les classes, A:firdn ces derniers feux de paille, il fallut dire adieu a la table et con-- duire nos visiteurs au débarcadére du chemin de fer. A la " Presse" ot & la ro:rérité d'Ottawa" furent proj s ot bues & différentes reprises ; plusiours des messieurs présents y repondirent avec d'autant plus de bonheur que le Champagne coulait a flots, ?lilli' 'tiller.lg:c rit de plusieurs orateurs 5{1;:: lu] £woun étaient d'autant us . Gloquents, triotiquer» que gourl-, vll:1 que la fi?:zh de ce liq:llldg ' passe vite du cerebrum au nostrum. | devenir-- un --sujet du. moilleur des monarques, 6t de la plus vertueuse des femmes. ; _ M. Jaxes Brooks; du New--York \Express, répondit & ce toast et fit, mous zonrrionl dire, le discours 'le plus: élégant de--la f'onrnbo. Aprés avoir discouru sur Te sujet en ques tion, il termina en disant, qu'il était tout & fait satisfait de la justico: an-- glaise, et que--si--Pon. venait & dé-- montrer . dans le eoub!r des évene-- ments,~qu'une ue ne -- vait subsister, mhunnum-' devenir-- un sujet du . maillanr . Aas College 8t commerciales entre et le Canada." __ M. MoGinuaynay comme santé -- _"_Exmuiol?'o ('0 relations son devoir"" je'serai content et heu-- reux de mourir.® (Vife applaudisse-- wents.) won couvre, et d'avoir fait conscien-- cieusement son devoir. Pour lui, i1 pouvait dire franchement, que 'com-- M. Bell termina en disaht que ls @ompagnie pouvait se glorifier de trs,. Ainai nous elmes & souffrir tous les em-- bartas ;M'&:m.:- M'(._')-."lhc-l.i-d- directeurs, nous av ompagnig, ici, mf'" mm:&l. ls une 'w':, uous avions la d'Dxford--ot je aills heureux'de voir 16i le Reeve de on: municipalité--et fimes tous » '-l?ctuu:"n (A':n:::o men Le in fut tri66 le 2 Sept. 1 le slocugh in sttb 9 o son premier trajet P"uq-a'uuunu-u:af'ur.n.' ol on harbomen (o 4 mae lebras qui fut plus heareux que moi de Pentendre. ¢'tait une entroprise municipale, Eh bien tlle thit iny veite Pn devaal wewle * conséquemment elle ne fut miFune m I'an comme & l-m; T eem sees in fml; comme partani d' it eadioit lant Prescott, a un: '::l.u uotile ' blans se Ts OH NO pedt t6 lo dissimaler, sefte Epatee 'dans caite partie d (ays In ion ot & | Joseph d'Ottawa. Fin les Etats--Unis 6 waues ast dos ank Amadcld dunsle iem ps Ottawa, (H--C.) Alexandrie sont coupés, ot lo g@néral Pope: a mime par tidgotpbeynvee Wanlling! m ho Ausaacs romged ie insl efyind w °+ Anbuairenmigers 0t il est placé ontré Washington %%U& partic | de in Foonprorign is aorins NWode :»-""'n'.'m..?.':.. est * 'On sait depuis ce matin PS se Te ln: rorfeditts Ob riginn" blablement pased cotte rividre en plnsicars androits. On broft que Jack-- son se trouve en pefwontic a Manas-- pé le fil c'él'rpuq""_' "-2': A rant --de se tniul':d.:kmil hwdlm; et arracl ©parcouts Tails du chemin «to Riec.. Co noup de '"ifl-tl'ph-hrdiqni-iz enoore dté tonté dopuia lo | de hmm. et Pon m inkaa es t To res de 'armée du général Pope une expédition qui a tourné & leur avan-- tage. Un corps dé 400 cavaliers com-- mandés par g:uart B'est jetésur Ma-- nassas n?fi avoir att wn convoi du chemin do for d'Alexandric. Td, les gons du Sud se sont andruh de z::-m'- considérables® d'approvi-- nements, is ont bfidavngon,1 incendié plusieurs: bdtitheuts et con une Hfino de 'dépéches sans 1a contro-- let. ucpmbb toutefois' qn'an moment ob 'ma lettre vous parvien-- dra, le u'tégtphe yous aura appris le <résultat de i bataille. Bi ¢lle ma in -- tourné ; pour lo--Nord, on © n'aura tfillo peu ou point de détails ; mais si elle a.. 6t6 gonblu aux . unionistes, yous pouvesz, yous attendre & des rap-- porta et pompeux. luk;mhlnum de la bataille ( dn mnutieie augure pour los armes Lest_»ngdlrg ont fait sur les derrg: ' Les derniéres nouvelles de Parmée fédérale en Virginie vont juequ'a hier 27. & midi, Elles annoncent qu'une bataille sanglante se livrait a finnu- sas, On oroyl?:ll uné affaire générale sur toute Ia ligne, et des corps nom-- breux de 'troupés s6 "mettaient en mouvement, pour y prondre part. I} est douteux quon ait " des détails on des avis pogltifs 'avant | vingt--quatre ou quaranté huit heures, car le gou-- vernement, qui ho'ml't l.m de bonnes raisons pour cela, e piéser une lianpoodt 'dépéches unlgu-éomrb Le Rev. Pore Guillanlt de Buffalo est muintenant~ curé de 1Eglise St. Joseph. Le Rev. Pare Coopman d'Ot-- tawa doit aller le remplacer. IW" Le canal Rideau est mainte-- nant ouvert et navigable. Nous voudrions pouvoir on : faire un résnmé mais le manque d'espace nous. oblige deremettre crt ouvrage &nu prochain N ° . arrentown, évacué par Jes . fadé-- sante narration dn vo qu'il fit en Acadie on 1860. La tf;'fi: cette nar-- ration se trouye dans le N° . du 10 aot, de 1' Zconomiste. I¥ Le bruit court; dit le Commer-- cial Advertiser, dans les centres bien informés, que l,"Hon wohn A.. McDo-- nald éfium bientot la seconde fille d'un Député représentant un des comtés voisins de Kingston. M. Ramean a publié dans l'fiw francais nll,m intéres-- d m PCTTTTE RUBTUOPr lement pleine que des milliers d'hom-- mes acconrus . de tous ; les points du diocése et méme de .Paris n'ont pu pénétrer dans Penceinte, t Nous apprenons par l'Ordre de Montreal, que .Pétat dg" santé de Mgr, de Montréal est toujours inqui-- étant. Lo maladie ost grave, et lo traitement des mbdéein;z joint anx bone soins dont est enton igr.,n'ont encore amené ancun mieux sensible. __Co chef d'cauvre d'aoam, dit un de nos confréres, gu'il. fant. lire, relire et conserver,..contient le récit des mémorables egr'monm de In ca-- nonisation des martyrs du Japon : et en fait connaitre le n;.. 's'.n 1 renferme . également de utes considérations sur ls . papauté et . sur Padresse des évéeques an Souverain-- Pontife,. .. La cathédrale d'Orléans était:tel-- maine prochaine et ln suivante--notre ner intégralement & nos mn le magnifique discours de Mar. Dupan-- loupe, éveque d'Orléana qui aea taut de retentissement en Eunrope etiqn'il a prononcé dans sa Cathédrale, & son retour de Rome. ieseyeiip.smeyis m. done 4* cet établissement Ffi' année tont F'encou-- i6t6, 'i v--q--;.--F--w- des vérités de la Foi. On s'occupe de Correspondance Particulicre des Etats--Unis. ' i m le &-v.n;,.';om tutrices. fl, s'ocenpent done ..,;'z Periunel At Uintimittiogides jeouee _ . 12307 C308 @ 1 ownitte, le soin des Looo rpaglintet on sic. bien sa fondatrice, is Sainte ree Madamg g P: sia"l® s le 1e / o oodioare o en + loakk le but de Cette ibsti tutlon soif comme lo pratiquait si (Pour te Courrier d Ottawa.) IW Nous mettrons--de coté in se-- Ce graund Otablisscthent &st outert | ! Wwv( $ Jeudi matin 4 Septembre 1862 Naw--Youx, 28 Aoit 1862. mieux sensible. vailler aveo Pargent de PA asgertion maledroite quia> tie par le ministre d-qlu re Ceat ainsi--qu'il sest Inissé aller qu'd dire dans une réunion pwid quil t'mng:itmiofifne,",;.:{" 6t6 ':na.h-fi..w-fl'.,'.' ::'g revenus sur lours pas apris Hfifi-.:dmm de VictonEmmandel. g s ses propes irréfléchis ot hantairtie, "% mdcontenté ménre ses arvis les 'plus fiddles o€ 5es partisans ies plag" sdige quels comptait Garibald loogs or aemnnangs" Sot P re. S'il entre dans ses vues Pévacuer Romé, i ri'a certes pas besoin d'un prétexte comiie celui--ld. La folle entreprise de Garibaldi parait décidément avortée, 6t cost un 'grnnd 'bonhent pour l'Ttalie, qu'el-- l6 anrait.jetie dans des embarras de toute sorte. Les régiments sur 'les-- id "TO0pes do Jn tille Iter-- lhorf:'fi:i:' on nP;t di se rappeler, avant de faire ol?nrir ces bruits, que jamais encore empereur ..n'a céder & ne manifestation de ce :: w o2 e eE DOl cil par Napoléon TII, a laquelle elle wdt F. rnj é):prémx. te phhlqu'ble ur ra Tgnos troupes de la ville £om new:.. is on huralk Mb sn ns 21-- Je vous écris le jour méme de la féte de lempereur, fite ?ni met: tout Paris en émoi. Une foule énorme de vinciaux et d'étrangers ost arrivée 52. la capitale pour y assister. La revue de larmée et de Ja gude na-- déwfil cln été |nag'nifiq:lo. ét.nl:dm 6, le prince im s'6tait leh-vdm dm{:fld' son |. pére,. L'enthousiagme a 6t6 grand, et on n'a pas poussé d'autres cris que cenx de : "* Vive l'Emperent, . vive l'Imgén- trice ot le Prince . Impérial." 'Cest dore & tort que whin:d fln]lintu isaient pour aujou i méme wgmnda manifestation de la garde nationale et de l'armée, en faveur de Pévacuation de Rome. On préten-- dait qne cotte manifestation préparée par lnr Officiors, aurait 6té vue de bon Dans--tous les.cas, New--York-- et les autres villes de.l'Etat assignées . aux volontaires comme lieux 5 rendez-- vous, fourmillent --littéralement de soldats. Mais ce ne sont plus:--les uni-- formes pittoresques et variés du com-- mencement (ri:'?n guerre. On est plus Fodeste aujourd hai. O'ellt. & peilne si on voit passer par ¢i A quelques uniformes de zm';uu a':'cllle c?mueurs de 'Vincennce. Hélas! on no regarde p}ng la guerre comme une partie . de plaisir. lex--vous, Je.me suis fait soldat volon-- tairement, parce qu'il aurait 6té honteux pour moi L tomber & la conscription." Vioild des engagements &ui sont plus forcés que: volontaires. lez 16. Mais il faut reconnaitre anssi que 12 erainte de tomber & la conscription est pour quelque chose dans cet em-- pressoment. . J'ai vu plusieurs nou-- veaux enrolés qui m'ont: invariable-- ment dit a peu prés, ceci : " Que vou-- Les enrolements marchent toujours & souhait.---- On no saurait -- nier que Venthousiasme des premiers jours de }: guerre ne se soit en partie . réveil-- Mais Fadministration a laissé le pu-- blic dans la plus complete -- incertitu-- de. Le télégraphe s'est tu sur toute l ligne, et comme es correspondants rlmculien des journaux ont 6té po-- iment priés de quitter les camps du général--Pope, on n'a rien appris les jours suivants: > Les journaux -- s'élé-- vent avec raison contre cette ignoran ce dos évéenements dans laquelle on laisse la.nation, et qui fait plus --do esd a un ygH 1 tort que de bien aux intéréts K 1'Union. > 10 Cenx rives du . Rappahannock: Beaucoup de blessés sont' arrivés & Washington avec des blessures frat-- ches et on cite des officiers tués dont le nom n'avait pas 6t6--' mentionné apros V'affaire de 'OCedar Mountsin Nadministratiom a Tnisaé lm .ws ral Pope et Pabandon : préci fes doux mhiee o Annppainen -- A défaut de non le phe nous.envoie: de:dhlm":i';al'; gu belle venue, pour amuser les ba-- ude et les eolporteurs de nouvelles; Cest ainsi quhier i1 annongait que, & la suite dfune querelle entre le géné-- ral McDowell ot Siege!, qui --lu? re-- gz.ochait de ne pas lui avoir envoyé secours & temps, lu premier avait 6té tué d'an--coup de pistolet par le uaond.bhbkflm_ lfimzdb. toute invrai-- sem Welle n'en -- a moing u-li,ul gn":d"hnoi dans P;: public, surtout parmi les Allemands. On eroit toujours qn'aprés 'fe com-- bat indécis de Kduqlonntdn, il y a en encore une affaire Ollgnue dans laquelle Patrigre sl:dv. de opg oon;- mandée par son lieutenant iege!, aurait be'::ooup souffert.|--Cest . ce second combat qui aurait amené le nouveau mouvement en> arrigre 'du CORRESPONDANGE D'EUROPE (Pour le Courrier d Ottawa.) de Virginie..D'autres prétendent que n meorfince do s grane" Maicer pundnhi-é-ool_u-nd.m-l, | Femodh ho Sopotiy ah cce . orlg | mc Sigs O apociorfméraux Pope, Burn-- de Virginie..D'autres pr &"".""'"fid'.@nfi, male on siseme Puniforme du Sud. Ls popu-- inion,'tet couer t Porels on ient sur lui et sur see m + nd P n pariait depuis " quelques Paris, 15 Aoht 1862 ordy m demieios s vecpbitine wi in le _ Parmée '-"'-:w-tdn-':: in santé do n: Le minisite, en rhpondant & ce toast, a es 5; K parld ~.fi- qe6 PAngleterte -:: t parmi ces a': :."'::,,,,'"' padl nepnntvegele niqpairy h pal oo y ud waug ' --Dnhanldudnnfihm,-hm In Halle des Contaliers de cette ¥ille, un F.l'w-l methbros de la cor-- dfludt Patmi ces detniers ne u..l. o in Ihouhth h ts Chawrins dor rommunat® uy.mum commission dans Parmés, loraque in laire atrive & Plge: de Pobtonir. --La reine vient, i ses pa-- gos M":."Mfi.; ston. _ Cest une situation & une somiasion dute Prrmeo; Nérque is "ure" a e l e mm ty AURUS Ges publications rappelleront an pu-- Hiop;o'il-u'nu depmm efltépdn Détroit tout une pépiniére de pré-- tendantsiqni ne demandent q:'i fai-- re parler--d'enx. > Cest Ia senle con-- ::Inion qui reste aux princes dé-- 1 CAAdimD : Aubrevent bved ht3 i de dépéches. On dit que le prince prépare une brochure sur la sitration aux Etate--Unis ; il ne faut pas s'at-- tendré & des vues gprofondes et & des appréciations impartiales. _ Son pore, le duc d'Aumale prépare de son coté une hifioin de l maison de Condé. AECADGN dat Sutpheie ind t rabidioictd genne- princes n'ont rempli d'un bout Pautre que le role assez secondaire et peu dangerenx, de simples porteurs bord. Ce dernier, qui se trouve en ce moment & Londres, vient d'avoir une entrevue avec la noble et digne veuve de Louis Philippe; mais les prinees ses cousitis Pont évité avec une affectation qui a 6té remarquée et n'était guore & sa place. Lecom to rendu (E'fs part prise & la botailr-e des sept jours, devant Richmond, par le comte de Paris etle due de Char-- tres, qu'a publié le prince de Join-- ville, no fait pas grand honneur & son talent comme militaire et comme écrivain. Il--résulte en outre de ce récit assez bml, et valgaire, que les f ~OD IESROAERNI®Ahiintbacmne siaint gne 'd'Amérique avec des sentiments tres bianv:imlm A Pendroit du chef de leur famille,.le vicomte de Cham-- S'il faut en croire quelques corres-- pondances, les princes d%)rlénus no seraient pas revenus de leur campa-- m l® § uo e on e R Setét; mais: on craint Peffet quelle produirait dans le Nord. De plus, cette reconnaissance ne ronvrirait pasiles ports blogués et ne donnerait pas de coton ; ce serait done en pure rem qu'on aurait jeté de Fhuile sur e fon. Les affaires d'Amzri ue préocen-- pent toujours beauwup?'Enrope, qui souffre énormément des longueurs de cette lutte fratricide. On se de-- mande avec anxi6té' comment et quand elle finira; ce que le Nord fera du Sud aprés Pavoir conquis, car cette guerre a di étouffer les sen-- timents unionistes quiy existaient peut--dtre. . Le Nord devra avoir constamment sur pied une armée de 100,000 . hommes au imoins ur maintenir le Sud. On dit que g')m poléon III ne serait Y;s éloigné de reconnaitre le Sud. De son coté, le gouvernement anglais se fait pen a peu & cette idée. > Dans des meetin tenus derniérement a Liverpool et%l Sheffield, plusieurs orateurs ont énu-- méré les motifs qui doivent détermi-- ner PAngleterre & reconnattre la con-- fédération du Bud. Cette reconnais-- sance n serait certes pas un casts PS T 10 souscrive & cot arrangement To _m . Hs S$1 vOnc probable que, malgré les ins-- tances de notre pienuse impératrice, Napoléon, satisfait: de la conduite tenne par Vietor--Emmanuel vis--a--vis de Garibaldi, npfellen ses troupes dans un avenir plus on moins éloigné et consentira & co que In garde du Saint--Pére soit coxfiiée & un corps moitié italien et inoiti6 francais. Mais il est peu probable que le lgjpe la Guéronni¢re, ayant dit que nous étions & Rome pu{ devoir e?qne nous resterions désormais par honneur, L Constitutionnel, dans un article émané--du ministére de lintérieur, a désavou6é cette assertion. Lo journal semi--officiel :dit que Pocenpation de Rome par nos troupes est ume né-- cesaité temporaire et: non indéfinie, ue la France doit protéger des alliés ?u'blen wontre des agressions venant du dehors, quelle n'a pas & les proté-- ger contre leurs propes sujets. -- ('est reconnaitre en quelque sorte ls sou-- veraineté du peuple romain. Il est done probable que, malgré les ins-- tances de notre pienuse impératrice, Napoléon, satisfait: de la conduite tenue par Vietor--Emmanuel vis--a--vis 1 b 12.2.000 0 dbul raisonnable, dans tous Iu:'u, uo le premier. gn'prét?d méme qnaxl lw rai6 asses di ir es Em-!hh,.:lr'mmm' l'r'v?mlmrez, il a déja passé plusieurs années. Le gouvernement américain qui manque avant tout de bons généraux, lui au-- rait fait de magnifiques propositions, 3:'il Acceptera peut--étre en désespoir --cause. La tentative de Guribaldi n'en au-- ra pas moins fait faire & la question thgm un pas de rplus. La France journal nouvellement foudé, sous les i del'impéntriao', par M. de hgnm nwantie aul 0 20f : e enet ve M BB reste plus anjourd'hui & ce dernier que trgis partis/ & prendre.. Oéder, ia maih genérense que lui ' Victor -- Emmanuel ; pousser juequ'au bout sa téméraire entre: P:z, soulever Ia Sicile, fomenter des troubles & Naples, se faire lalli6: des: Bourboniens, on enfin quitter l 'Ttalie. T1 se résoudra peut--6tre, quoique & contre--cceur, a ce dernier' parti, PI"' releonnahls dink siok 120500053 5 RPP® 74N0ON a pius de « aliéné P"fi'i' inju-- : Guribaldi ne peut le détroit de Messine: nafi':.'vu >4 voulu allumer, circonscrite dans ses b}fi:'m dellememe, par suite du découragement et de la .L fection des volontaires qui sont enco-- ': réunis antour de Ini. bp.. ....z Prstion date plimicits villes. o on trsutres iimlhmn 6t Mes ' sine, n'ont ti. Décidément le peuple l"r:l @ plus de confiance Amgleterre . Lowpres, 9 aoft Frénigre dit fort Ridgety «6 LY"_'o""---"'-' en route pour le fort #" Dans une letire As Une dépéche de Saint--Paul, Minne-- l"h,dl Jeh':)hdt. donne les détails sni-- vante sur le massacre des blancs par les Sioux : "* Des personnes arrivées ici la nuit dernidre, de la rividre Minnesota, rap-- t que les vedettes évaluent i Mnombm de blancs tués par les Sionx. On pense que plusieurs missi-- onnaires ont été ansei les victimes des Indiens. ~ "LeGeorge devait partir en octobre 1861, ?:::yh Etats--Unis, mais il en a été empéché I?arleogh- ces jubqnan 6 courant. 'églipage du navire a subsister Phiver ernier, grace & Phospitalité des Esquimanx." Massacre des blancs par les Stoux son et la baie de Frobisher | _ " Le trois mats Gegrge Henry, de | New--London, est arrivé ici de la baie |de Frobisher & court de provisions. M. Hall de la nouvelle expédition a |la recherche de sir John Franklin était & bord. ©Lexpédition a perdu un homme le premier hiver; ila été gelé & mort, D'aprés M. Hall, I'expégiiion avait réussi & déterminer le sort des deux navires de sir John Franklin, quia péri au milieu de ses efforts pour re-- venir. M, Hall a eu connaissance du sort de cing hommes qui ont passé jadis par Frobisher, et il a relevz ex-- actement les places du point de leur débarguement, '~s§. Hall a exploré plus de mille: milles de la cote, y compris les dé-- troits de Frobisher, qui finissent par une baie profonde, par 63° 48° de lat, et 70 de long. O. (de Green---- wid?i " M. Hall a égatement découvert un immense glacier et the montagne de fossiles entre les détroits d' ud-- 100 0 ELC RCCE DAE RLIN.---- Nous recevons de Saint--Jean de Ter-- reneuve la dé%éche suivante'intéres-- xmnter au plus haut degré : 6 w o C °9 M 0 _ La soirée s'est terminée lord Palmerston a la dame ¢ flield. oc se uen td ' Wesclavage n'est qu'un prétexte. Le Nord déteste le negre plus que no lo déteste le Sud, et si le Nord étaient réunis derhain, Pasclavage serait rétabli sor des bases plus fermes que jamais. L'affaire du Trent doit apprendre a 1'Angleterre quels sont & son égard les sectiments des hommes dn Nord. Pn e (xrplamliuemefr;l; La soirge Sest t _ Les hommes du Nord de PAmérique, a--t-- il dit, ue seront jamais nos amis, mais nous pouvons faire nos amis des hommes du Sud qui sont, non pas, comme on l'a prétendu, Ia 116 de 1'Europe, mais des An Tais. L'Amé rique, a--t--il ajouté, n'a--t--elle p-{r.nnl agi on-- vers nous & cette occasion, tentative qu'e!le fait de rétablir Tunion par la force est dinillears une tentative immorale qui ne saurait pas éire couronnée de suceés. (Non non ! et applaudissements ) P ol en e xn oeniets mins ij j _' 4 ng!eterre, et qu'l exa-- mine si le temps n'est pas venu ou PAngle-- terre fora bien de demander aux . grandes puissances de 1'Europe de 'reconnaitie la We in e celaeen s T °2C _ APprovation et Ta sanction du peuple anglais. (Applandissements.) * Tout le monde doit désirer de voir finir cette facheuse situation, toot le monde doit espérer que de meilleurs sentiments et des sentiments plus charitables se feront jour de Pantre coté de 1'Atlantique ; et quoique jus-- qu'ici nous n'ayons pas revendiqué que les animosités qui existent entre les partis aux prises perdent de leur intensité, eapérons que la paix ne tardera plus 4 sorti de cette zholunle guerte, et que Pannée prochaine noumne verrons plus la continuation de cette effusion de samg qui inonde le sol amé-- ricain." . (Longs applandissements ) M. Roebuck a parlé ensuite. -- Lhonota-- ble représantant de Sheffield a fait un ap-- 1 au noble lord _ poug qu'il pése mirement f:s conséquences do ce qu'il appelle la « neulrallilé" de l'Angleterre, et qu'il exa-- convaincu que la conduite que suivie jusqu'ici est la seule qui 1'Angleterre, et qu'elle continue voir Papprobation et la sanctio uglfls. (Applaudissements.) Lx sort oz smm 1 Lo ECCC lass. d' un soulagement aux -ng'n..., n.m'x que les aggraver. . Le gouverne-- ment a pensé qu'il était de son devoir de eonseiller & la Reine d'observer une stricte neutralité dans le malheureux conflit qui dé-- sole en ce moment le Nord de I'Anzriqnc. (Applandissements.) " Cest une chose pénible, certainement, que de ronger & a perto hommes et dar-- gent efaux autres manx qui sont la consé-- quence de catte. thcheuse guerre ; mais quel-- ques sincérement que nous devions regret-- ter de voir, sur Pautre rive de PA tlantique, nos fréres subir de grandes calamités, que!-- que sensiblos que soient pour nous--mémes-- les conséquences de in lutte engagée, jo suis convaincu que la conduite que_ nous avons luivieljulqu'iei Cfl'lll.lellh qui convient a 19A molhiana n onl is h in " * Je suis convaine, a--t--il ajoute, que les anglais et les victimes ellos--mémes de cette erise reconnaissent que le goovernement avit sagement en ne cherchant pas & diminner la détresse par des mesures de guerre qui, loin prremmant wpltcgn t s caphiult P0 ge Emt 1CEeTe t freuse qui désole les districs :.:.:f.h...,,.. en Angleterre, en conséquence guerre d ique, in d'Amérique, et de la fagon héroique dont supportent leur sort les ouvriers In crise cotonni¢re. . se o2 C PR ser le superflu; & payer les choses ce qu'el-- h-ulonnnu:-dfi-i-bhnd':.. %u---funhd---h-pi.u. witimal ser le superflu gitimes. iflalinintiniitet Abfice t _Le noble lord a parlé ensnite de in misdre af-- d e nantiss 2 ue e gent dans ses poches, mais .& . le dépenser gement, prudemment, & propos ; c'est--a "'"h"'pu-"rlo nécessaire ot & repous-- aorl, 5unZ q -- " _ RECBSKAITE us En prenant ces mesures, |"Angleterre I-'luflai_-l-nl'b_;.: Peeong mie bien entendué on -- compromise ne eon-- siste pas d'aprés le noble lord, & garder Pas.. nout doas se uit . 10 fétetece, a--t>il dit a d'autant plas besoin dPobserver une ulmha-'oih.?:'.t. le est une nation . i ieuse, dont ri-- chesse dépend de ia liberté des mers ot de Péchange de ses produits avec le monde u. 2 madee et son indépendance ot & L'Angletecre, u--uqd-:: d'observer une unm. le est une nation . i % et a'a it de toute agression contre. sns voisins, quelle no doil ai defier at imsuher" mlpohqnu-p'h!"nd-'u at cun magalt t M doit éviter de n0 gouverneur lettre datée du 21 et , et qn'n!b'o--;lh};: 3; 1 Pn . °C ferminge par un toast de a la dame du maire de Sho-- imer le sort des deux John Franklin, quia de ses offorts pour re-- 11 a eu connaissance + provoquer des guerres inutiles JOHN FRANKLIN.-- s ouvriers que "'PP'WV > a--t--if ajoute, que les & fo