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Le Courrier d'Ottawa, 24 Jul 1862, p. 2

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_1, bien voulo .finmloplu yeh eonvent que des servi Tnnotnriote proiqes o ue tou oulea jone im wie intéressée, a'oi ellement dans toutes ! 'administratif.\ Pour sa Par exemple, dit un de nos conféres de St. H ie pour indiquer de suite Pune des de notre organisation 'politique, quil eat ds notre devoir d'examinor; nous croyons qu'il fant de toute 'nécessité % fonctionnaires ministé-- com quen d:h,on ,du bu-- reaux: ux, coux d'entroux gue in fon at Ia malhonnéteté ont tonchs, imowpaeité ot inutilité sont recon -- Nos affaires gouvernemenitales & Pheure qu'il est sont loin d'étre des plus « émou-- ventes," iquelles intéressent jusqu'a un certain p'glfllwl ceux qui demandent une mfi. sur le nombre de nos officiers pu-- et des émoluments de ceux qui ont fait fortune sous 'ancienne administration. Le gouvernement actuel veut avoir & son servi~ ce que ce qui Ini faut de serviteurs, car sans det économie, i obdre & ces finances t eraint de so laissor aller rapidement vers P'a Depuis ns le patronage s'ost roé sur m-i'h':m uh'u?h q.n'm:o vt:fi;blo fourmillibre d'-planmumtnim, sane wutre qualifioation, dans la majorité des can, Tamaien mavinen feo Toomm ks tos Tee roucs ~ es bas--fonds hmm& wane autros 'itres, bien vent des services d'une honnéteté e, rendus, sans autre recom> nm;nn que les menaces impératives de la parti-- , #est implantée gradu-- toutes les régions du corps ~ Pout satisfaire les exigences pre des créatures, le parti consorva-- te e bien entendus, n'a reou-- e , décence, moralité, expé-- """J" #conomie, tout cela a 6t6 is de 0016 « sans vergogne ; pour Nloigner le pl he chuts mévitahle, ar pourvoir plas immédiatement i sos be-- 0 'i ire des dlections notam-- mont--M. Cartier et ses colligues ont on~ > reffices pablics. . T1 ost tol burean, t Toutsouscripteur refusant de prendre son journal au bureau de poste, od il lui est adress6, est mponuble de l'abonnement, jus-- qu'au payement des arrérages ct ordre de 'renvoi; renvoyer le journal, ow refaser de le prendi c au bureau de poste n'est pas l'avis que la loi requiert 4° Tout sonscripteur qui chan-- ge de localité, sans en donner avis au propriGtaire d'un journal etqui est cause que le journal lui est adressé au burean de poste, de sa ci--devant résidence. est tenu _ 29 Tout souscripteur qui ne transmet pas les arrérages qu'il doit, au moment ou il envoie son ordre de discontinuation, est ex-- &recevoir son journal et d er tous les numéros transmis, u payement de tels arré-- ,www Nous sommes a en «attendre des réponses.. 8i cllesne nous (parvienment pas prochainctient, nous serons dans Pobligation d agir en consé-- 4. . Nous avons adressé des comptes & un grand nombre de souscripteurs, il y a Ke Gonrrier ®ttaion ' 19 Tout souscripteur quine donne pas ordre formel de dis-- continuer Tenvoi d'un journal, est censé continuer son abonne-- ment, ; APVI8 AUX RETARDATAIRES. Lof concernant les Journaux. Ottawa. 24 Juillet 1862. J. K. Dorion, Redacteur, msable de Penvoi du dit jour-- DERNIER AVIS, le faire sous le plus m'w n'ont pas de 30. Un ditectour de ordres, il y a doux ans & t annoncer, affaires _ de s'adres-- auPropriétaire-- ~du Courrier se mau A1 oemployde, (plus 6e par le World, nous hhnz-i;-&n res M. Jefferson Davis vi.': P 'ee JEr" 1 t rase .. | reconnaissance de is confédération du 8®!8ud, Le demande serait acc ce fi d'une liasse volumineuse de 5: la cnua.y compris des lettres des ues | consuls de France ot d'ml;tmo & gr, | Richmond, attestant I'u ité des (c6 dto{venn du Bnd dans leur résolution o4 | do former un gouvernement séparé, C5" | ot témoignant deé leur ctpmté' *¢--| minintenir leur indépendance, I! y wurait un autre document, purement . _ '| explicatif des mouvements militaires des confédérés, et : tendant & pronver ent | que le S-da pgqu toujours battu pq, | un ennemi de beaucoup supérieur en ide hommes, en matériels de guerre, en nrfi.t et on ressources detout genre, lus CC o oo [ TSE NOR OBTOUF §Onré, f Eh traite notre cof-- ; dfi-'w w 'ruwnot pour titro : Le isier ont. dos filnn inté-- liro cot ul:lzl:':?::;:m :"' ' mt on le lisant tont anssi bien qu'en le man« _ Ainsi nous ne pouvons faire autre-- ment que de le recommander lui . ot sa troupe a l'@dmiration de nos com:-- triotes et solliciter tout le monde & F:noonngcr par leur présence. =--0-- t Notre feuilleton qui est ind-- dit et qui est du & la plume de notre collaborateur ot ami de St. André Avellin, mérite d'6tre lu. La littéra-- ture canadienne, comme on l'a sou-- vent r.mmin', S'affranchit lentement de tous ses langes de Penfamce. Elle lnisse la voie de l'imitation pour s'in-- dividualiser, so nationaliser ; elle s'a-- vance en chancelant encore i1 ost vrai vers dos régions nouvelles; devant elle s'ouvre copendant un horizon plas 6t plus neuf comme on pourra Pépisode en question, \ Il&mmn To va ?:F s'6manciper 'P'fl "ru'n ot Voild ce que M. Hanchott nous promet. 24 _ La Momicdela Virginie est une jolie farce qui fait bi]en rire;l car qui ne urrait _ rire lorsqu'il apper-- it fl) Geo. Hill et mmut lo: pp\Sil ?':nnmd soit dana cette farce, ofim. Colleen Bawn imitant Paccent irlan-- dais, il yous fait rire & yous en . tenir les cotée. Nous devons ajouter que toutes ces idces renforment un sens moral, Ellu rappellent les hommes au de-- yoir.en mettant devant lours yeux les grandes legons de la morale, la beauté de la vertu et lo chatiment des crimes. rsonnes qgl sont ravies en \'0yl\nt f: belles scdnes qui plaisent & la 'vue, pendant que les acteurs rendent aun parfait leur interprétation. . me actentr dramatique. Mile. Fanny B. %rica ost toujours accueillie avec le plus grand plaisir,ct sait le reconnaitre pnrqn manidre ha-- bile avec laquello elle accomplit ses roles qui ne sont pas les moins diffi-- ciles. . Dans le drame_ vaudoville " The little treasure" elle a su s'attirer Vad-- miration de toute Passemblée pen-- dant qu'elle représentait " Gertrude" mingi que M. Crossen paraissant sous le nom de Capt, Walter. _ Le grand drame, Cormxex Bawn, attire tous les soirs des centaines de M. D. Hanchett, rencontre un vi-- ritable suecés dans notre ville. Lun-- di, mardi et mercredi, il a remporté de brillantes victoires, et a recueilli plus d'une palme sur son chemin com-- me--acteur dramatique. 1e lotire Particutiine 4. Heporcon une léon III lui--méme, pour Inianz: qu'il y w neuf mois, Vopportunité de la in teamibapanes : \ et approuy plu-- sieurs consoils de cabinet, t que, sila délibération n'a pas 6té suivie d'effet clest que les revers de Port Royal et du Fort Donelson sont,. yenus faire eraindre nu %nnmcmem frangais .que le Sud ne fit pas en lat de lutter 'eontre le Nord et de maintenir son indépendance. . Le président du Sud terminerait sa lettre on faisant obser-- ver que les dernidres victoires des confédérés et le rapide épuisement du Nord doivent convainere Pempe-- reur de 'université du sentiment s6-- cesgionniste au Sud, et des ressources des Etats séparés r résister aux envahissements du Ilord et maintenir l'indépendance qui est Pobjet de lours vooux. 5« Nous apprenons avec plaisir, et nous:sommes autorisé & dire, que les arrangements que notre gouverne-- ment a l'intention & ce sujet sont en progrés et sont de nature & satisfaire tous les vrais amis de la colonisation. I n'y.a que les ennemis du gouver-- nement actuel qui seront mmécontents de cela, et qui le seront n'importe de melle mani¢re Porganisation ait lien. %'au done & tort qu'un journal de cette ville a dit que les arrangements en question avaient 'déja ou lien défi-- uitivement." Colontsation et Emigration. On lit dans--le Canadien de mer-- L'ow trouvers sur notro . pre-- eux qoi ldi ont dit : * Pus nous serons conlent de vous." Theatre Royal. une dépéche de Le plant arraché . aveo précaution }nnb:'h:.plullwnn arrosage fi-ivm doit étre immddiatement / transptanté, «ans @qu'on laisse ses racines «e Mbtrir con-- taot de Pair. On le dbbarasso soignense-- Mdn.uu-l.hilh'::nn ou pour-- ries; on ne Jui on laisse ordinairemant deax, y compris celle du ob-r;mt autres sont retranchée. | N faut ausi recon m..l-'. hu-.:h: ere pouces. cette ::0 préparation | résalte de Ja ordinte gfiuin'-"'m' pMt is piantoir ; cetdant tris frequem gut hait mouvent 'pbrs wfip--. racines, soffisam~ it rcsourcies, no tardent pas & en pro.. .vM-.. jation. --Le. ettmin. doit tre inze avance bon m A g:bhb':'::m h-mwth:'-l dante de bon fumier rml,«m wox une I atre pieds ot an Uensten ue ierenne Be albary pids o » >, On imult lo fraisier on pat semis "!"."'!'m. men®t . ...0. > Mortrerrcatiox | bes Fraistems.--Cest au sein d'une terre noire fermée par la dé-- composition des feuilles & des herbos, acou-- llullz:.dopuis Ionl(nu années, que le frai-- #ier végete si admirablement duns les bois. Imitons done la nature dans la: préparation du sol de nos fraimiers, faisons en sorte que les débris des végétaux l'umfimm de beancoup sur io fumier Pécurie. Lo fruit du fraisier, qui végéte au milien dace dernier engrais, n'estjamais ansai parfumé. . 11 en est ainsi d'une fraise ombragee ou exposée & la grosse ardeur du soleil. _ Le trop Pom-- :ll:"n'uil &se qualité, autant que la grande n France, et principalement aux environs de Patis, la fraise des Alpes remontante, eonnue sous le nom de fraise des quatre sai~ sons, comme nous Davons va tantot, a tué pour ainsi dire toutes lew autres. . Elle: est la premiére, comme précoce, et la derni¢re comme tardive ; elle Pemporte sur toutee los fraises, on saveuret en parfum ; aucune . ne résiste mieux au climat et no se maintient mieux sans dégendrer ; ajoutons & tous ces avantages sa fécondité s'rodig'nun, ¢t nous ne serons pus surptis n'en . rencontrer bientét presque pas d'autre sur les tables les plus somptueuses comme sur les plus modes-- tos. _ 89. Fraisiers--ananas. -- Les: queues de ces feuilles sont tres allongées, 13; flours sont hcrmarhmlile-, les fruits varient beau-- coup dans lour formes sur s méme pied, la peau est lisse, brillante, le. core de T'ombre d'un blanc un peujaune, du coré du soleil d'un rouge pile mélangé de brun et de jau-- odt ne. -- Son eau est abondante son p;}fu;ui rqlpmshe de celui de 'ananas. Mn es t --Deux u'l?m:o:: sur 'l;u ran r Midlan ion, (H.--C. ce m' Gamble et WMJ Gamble est opposé & la représenta-- tion _ basée sur 'la population ; M. McMaster est partisan ou-- tré et acharné de cette question. Il va sans dire que le Globe s'oppose a M. Giamble z.r le fait méme que ce monsieur & des vues politiques plus ;um- et plus sages que cette feuille uribonde et égoiste. Lo fraisier dont le fruit est si delieat et si rfumé, se plait «t no réussit bien que dans Ep:yc tempérés. . Les bords des bois, les mont:finu sont son pays natal, et oest . de es endroits qu'on |'a 'transporte dans nos jardins, on la culture et la fertilité du sol ont singuli¢rement influé sor les qualités de son fruit. . I nest point auss: parfomé Txa sar les montagnes ; mais on a Ja facilité de le trouver sous sa main. 2°. Le Fraisier. Buisson de Gailion. Les fruita de cetie variété sont . tellement semblables & coux des fraisiers 'des Alpes dos Tmn saisons, que . lorequ'ils sont cueil-- lis, 1l est impossible d'y remarquer la moin-- dre différence ; cest . exactement Ja méme fraise ; sculement la plante qui la produit n'a pas du coulants. gu {raister sert admi-- rablement, comme . bordure. & garnir | les platebandes le long des ullées, mais s'il n'est int paillé de maniére ou dautre, il riaque 5: briler, en dépit da tous les arrosages, et de laisser des vides qui nuisent vu coup--1'-- wil bien plus encore que la vue de la paille, du fumier ou de !a . mousse. Les: fraisiers de cette variété doivent étre déchirés tous les deux ans et renouvellés au mpyen de nombreox rejetons fournis par leurs soaches. 8i Pon attendait jusqu'a la troisigme année, les touffes seraient devenus tellement ser-- rées que les jots sortantdu milieu s'étiole-- rnian'i comme des curs de salade et fini-- raient par pouvoir; sns donner aucune ré-- colte. On ne doit ps oublier de les fumer et de les arroser largement, si Pon no yeut pas que leur fruit dégénére. Lundi dervier a eulieu une as sembiée du Conseil de ville; I| pa-- reitrait que cette fois il y avait un pa':. -and-lo' amig nous ".b:: m &. Cl & ?:'" dernier a pl'?m tes--coutures. I! y a plusiours espéces de fraisiers. . |! y en a qni n:urmduinn\ qo'une fois Pan, il y en a %ui produisent lplumeurl fois, it y en a ui ont des coulants, il y en a qui nfont point 30 coulants, i! y en a quideviennent striles s'ils ne sont changes de terrain tous les doux ang, dautres qui sont toujours fertiles pourya qn'ou les soignent un peu. 4 Décrivons quelques variétés renomméés. 1°. Le Fraisier des Alpes, ou des mois ou des quatre saisons. . Fleur, & cing ou six pé-- tales, zlul communément & cing, égaux, arrondis, disposés #n rose. le calice composé de plusieurs piéces qui se soudivisent. mu renflé dans son milieu alongé & son sommet et plus large d #a base, . Feuilles, de méme grandeur que celles de fraisier commun, couvertes en dehors et en dedans, d'un poil court et peu épais, dentées en manitre de scie sur les bords. . Port, ses tiges on mon-- tants «*6léveut d la hanteur de cingou six pouces. et sont peu rameuses. Lu%uutom Daissent dos aissollos de feuilles; il y en a de trois eapécos ; les uns--poussent des filets ou coulauts trds déliés, les autres des mon~ tants t les troisiémes peu nombréuses, des @illetons faibles, & moitis qu'on n'ait Patten-- tion de réchausser les pieds. G. W.-- Baker Eor. rbr- de notre maitre de poste, suquel il avait pré-- vedé comme a est mort le'22:cou-- rant & W townskiip de Ne-- HORTICULTURE. FRAISIER, te d ln Bt. Patrice it a u le 5 d'a : du c'-: Otawa. (H4C.) Joud Ea hiver, les seroot .mis & Pabri sous des chissis, up:.pdfl--.'urqc'h ne souffrent pas trop de froid. 11 importe hdqnhphfln'm'-.-.ol-lr ::-rm-".wh- us ne possible, apres froide, malllnahmmn-m on sur des conches ohandes. y _ Mamine pe rortre is Pratsrka.--Vou-- lez--vous manget des fraises de bonne heure en Mai? il faut foreer los fraisiers. Poor cela, il fant mmhlh'-lulnpuhnr tempa avant Phiver. On choisit du plant de do_u:hm.;in dd:-itwm:.'.OI_ mot de trois & ci lants un six pouces de plvb:afirufuh Nd' diamétre & sa partie supérieure. Eumdut-n-- lit les pots doit dtre in plus fertile dont on Siop-.(hhd"uunnnbflum m'd-muh:,hm l'i-nuh-::-'. vent a%y rencontrer. mgl-'n'-ulhnmnnh- arro-- sage an moment de sa mise en pot. . On on-- l'"':' dn thoe w otl-p-: e ; on arrose souvent ; les bontons des feuts ot las coulants sont n'm:c, & mesure qu'ils so --nul.l Ea , les pots seroot mis & Pabri sous Plusieurs espéces de fraisiers qui figurent dans beaucoup de collections p&ninm un grand nombre de pieds stériles. Persuadés que ces plantes sont réellement mdles, les jacdiniers oroient nécessaires d'en conserver au moins une partie pour féconder les autres. Or, ces plants ::m nh'viln, nayant par conséquent truit & noorrir, t um.:'uun&lp:anbmdama de mlflu,mqui #'omparent promptement de tout le terrain mux dépens des plantes fertiles, et bientét ces detnidres se trouvent annéanties. 1 importe done d'arracher tous les pieds sté-- tiles et ne prendre des conlants que sur los pieds fertiles. int 3 Toutos les espéces de fraisier craignent singuliérement le voicinar de I'Nh':l':llc, vaigairement nommé sofei/ ; un seul pied de cette plante peut, méme & une certaine dis-- tance, tuer plusieurs rangdes do frl'r-'i'r. Cest & la fin doctobre, dans les années ordinaires, Quon enleve les detniers cou-- lants produits par les fraisiers d'un an ; ce fraimiers passont Phiver en cet état, sans antres soins de culture. . Au printemps, on donne un bon binage, pardessus lequel on renouvelie le paillis, et ?'.on recommence la méme culture que P'année précédente. . Je vais consigner ici deux observations. . Si Pon enléve le fruit saus couper son anp-- port, comme la cuisiniére le fait souvent dans les jardins de 'amatenr, pour s'épar-- gner la peine d'6plucher les fraisiers, on tr:n- no, & la vérité,peo d'ébranlement & la plante, mais le support qu'on y laisse--entraine sou-- vent, on se desséchant, la perte de toutes les fleurs et de tous les fruits portés par la méme tige. I1 peuty avoir moitié de différence dlans les produits de deux fraisi¢res de méme étendue, cultivées du reste aveo les mémes soivs, dont Pune sera récoltée maladroite-- ment, et Pantr@®par des mains exercées. La manidre de cueillit les fraises influe beaucuup sur la durée et Pabondance des récoltes. Chaque hampe porte plus ' on moins do fleurs qui se chargent en fraises, et murissent Pune{aprés Pautre. Quand les {ruite provemant des premiéres fleurs qut se chargent en fraises, et mdrissent une aprés Pantre. Quand les fruits provenant des pre-- migres feurs sont--mfrs, il y a sur la mrmc tige des fleurs et'des fraits encore verts. _ 11 no faut jamais compter sur la pluie pour se dispenser d'atroser les fraisiers. Les vienx. jardiniers disent que le fraisier aime mioux Loire Feou du puits que Feau du ciel. En effet, dans les années ou les pluies d'6t6 sont freqnentes, les fraisiers jaunissent et ne donnent qu@fdes fruits sans saveur. . Dans les intervalles des pluies, le jardinier doit forcer les arrosages ; il n'a pas d'autre moyen de combattre Peffet pernicieux de la pluie en 616 sur les fraisiers. Quelques jours aprés un orage, un jardinier oxpiri- menté peut affirmer, sans risque de se trom-- per, en voyant deux planches de fraisiers, que Pune était séche et Pautre moniliée au moment oi elles ont toutes deux regu la pluic. . Leur aspect est trés différent ; leurs produits ne le seront pas moins durant le reste de in saison. . Il ost tres probable que. ce singulier effet est dd & la grande quantité: (électricité dont est chargée pendant Pété: Peau des pluies d'orage. Ti importe done de moniller copieusement les fraisiers, lors-- qu'on est menace par Papproche des nuées: orageuses.. \ Sored, Progviemen melmaes' 4 pe au priblemps gat snjet & sortic de terre, com-- :'.12'.:'?':&'??-:"-" reponssait , soil & Dantomne. La plantatio P iihiimgy pellt feire pogher any d "iet dessus ; il importe done que ie sol soit n'"u- hJ-"::hhq'uuhh- bour, ei que les racines a0 moment de la Lo distance poor. les {nusiers . peut--dire F'Wpuou tout seus, . le i c o on enc isE s a5in uo) ain. especes qui ne remontent Enthese ge-- nérale, 'automne est lnflla du Fh*p pour planter l# fraisier= ne produiseot quune fois. . Mais les remontants, wle«u PA, sont si fortiles qu'on s' & peine d'une différence ap-- préciable entre le produit defiuitif des plan-- tations faites #oit ao printemps, soit en au-- temne. 8i vous planter Pautomne, i} ian-- :;ul:ogmum:rhdo précautions, & cause rigueur Phiver. Les jeunes pi aurout A{'l.illl de quelqu'abri, wrants Les plantationade fraisiery au printemps se font & Ju fin d'avril, quand la terre est dé-- golée. . I1 n'y mn_-vuz't les faire plus t6t.. Le plan mis en pluce a Penireé Ottawa 24 Juillet 1962, de la bonne saison profite immédiatement. ou, comme disent les jardiniers ; if part fout de suile, et ne resto point & languir. "Its don-- nent quelques semaines plus tard que le plant d'automne, »Le printemps mrlu fa-- vorable qu;'l:'.lzqmun & la npnu"u plaat venant uches do fraisiors rvas s:uwllwu. comme le Buison ou Ellm Dans ce cas, on choisit pour déchiter le mo-- ment ou la vegétation cammence & y deve-- lopper les premiéres feuilles nouvelles. 11 ne fant pas craindre de-- mettre en place le plant de ces sortos de fraiviers, quand méme il n'avrait presque pas de racines détachées du Talon ; la reprise est assurée, pouryu que la transplantation ait len iminédiatement, et en terre suffisamment arrosée. Aussitét nprés la u})n- du plant, quelie qu'en soit Pespéce, il faut, avant de lui don-- ner les premiers arrosages dont il a toujours besoin, pailler les planches de fraisier, dans le double but d'y--maintenir une fraicheur nécessaire i 14 végétaiion, et d'obtenir le fruit dans un tel état de propreté qwon n'ai pas besoin de le laver an moment de s'en servir, ce qus lui te toujours une partie de sa valeor. . Le paillis le plus convenable se fait avec du fumier long ; les arrosages font rbnélmr dans la terro toutes les parties solu-- les ot fertilisantes de ce fumier; la paille brisée qui reste sur le sol forme une excel-- lente couvertare. On aura soin de ne pas laisser les ccours du jeune plant engagées sous hrilli- j ils ne tarderaient pas & pren-- dro Je dessus, maix ils auraient beancoup i en souffrir.--Lorsqu'on manque de fumier long, des herbes seches, du'}euillu, de la mousse, »i la proximiré d'une forét &omsl de 8'en I'Pprivinionn'r en quantité suffisante, uvent former d'excellents paillis; chaque r:rdinier se décidera d'aprés les ressources & sa disposition, mais dans aucun eas le sol de la fraisi¢re ne peut se passer d'une cou-- vertare quelcongue, «i on veut avoir de bonnes fraises et en abondance.-- Les fils ou coulants se montrent en méme temps que los hampos ou tiges & fleurs. Loraqu'on tient & Ja premiére récolte, quand q sont des fraisiers remontants, on retranche les coulants a mesure qu'ils se montrent et PPon favorise le développement des feurs et des {ruits par des arrosages frb(fionu. On peut mouiller les fraisiers en plein soletl, pourvu quon mouille largement ; ils n'en profitent que mieux. 60 ure avites plkMles,s'i) nest pas te i a 1 ~Afarn . y aivle -- Un Asaruon mu:mmhm hflth:fl: _ Comme de raison en arrivant dans notre permanente capitale, yous de-- viex yous attendre & rencontrer M. et ln-MOrBiqn. fE:T aurait voulu vous rouge 'antre mais de vous avez Tune dn fulte irger aveainiponts qul Je n'ai point encore eu Phonneur de me faire connaitre auprés de vos lecteurs comme correspondant quel-- congue pour votre intéressant journal. Mes occupations m'ont obligées de faire taire les sentiments qne j'6prou-- vais & la lecture de chacun de vyos Nos. P. 8. Si vous me faites Phonneur d'une ré-- me M. le conseiller jo me trouverai dans mllnuon d'entretenir les los lectours du * Coutrier" sur le grand sujet : " La maison de brique de la rue . George." M. le Rédacteur, i Privés de ponts, cela les oblige & faire une route presque double et vous lo savez mussi bien que moi M. le conseiller, les routes ne aunt pas toujours propices mux transports dans lm saison des pluies ! _ Quoi, pour votre entbte-- ment vous seriez cause que les travaux seraient arrdtés cet automno, et ces paurres familles des carridres seraient les premi6res victimes de vos idées arbitraires ? 11 est vrai que cela no vous cecupe guére ; Je vous ai déjé fait ces ob}.odoulhvnu- aves r:xnd- que vous vous en fichiez bien!... Réfléchisses un peu mon bon M. T*** et puisque vous n'avex plus de pro-- Fm'. dane les rues St. Patrick, d'Ottawa et aré, sacrifiez an moins votre caprice ou votre ambition pour le bien général, et le bien Atre de vos compatriotes on particulier. Ce fesant vous nures l'uillno de vlu électears, j'on suis us que convainco. Alors, en vous voyant :'hozl dira : Voild ce bon M. T+** cet homme si populaire, lami des pauvres gone | ! 1 Nee anetl Ensuite, que M. le conseiller considére e dommage Tx'll ferait aux pauvres ourriers et & plus de 30 familles canadiennes occupées aux carriéres de pietre ct de chaux, elles 'nl n'ont que notre ancienne voie courte et favorable pour les transports des matériaurz. _ N'avez--rous pas connaissance M. le RéGac-- teur que on était alors oblig6 d'aller chercher les passagers de l'autre rive en chaloupe jus-- ue sur Im voie ferrée? Considérons aussi les gépflnlel qu'il faudrait faire pour hausser de 4 & 5 pieds de terre un chemin de 4 de mille ot le rendre praticable, ensuite, n'oublions pas qu'il fandrait aussi arraoger le chemin de la rue «'Ottawa & la Cathédrale. T1 faut que tous ces travaux soient approuvés avant de penser & construire le pont. Que de dépenses, que d'en-- traves, dans un moment aussi crhi:\u comme celui--ci od les travaux sont suspendus. _ Mais raisonnons : L'expérience du passé ne nous a--t--elle pas démontré (le rrinump- der-- nler surtout) que Peau s'6tendait trop loin pour que l'on puisse changer IQ_ pout, _ Eb bien, monsieur le conseiller préfére «on idée barogue au sens commun et w la saine raison.--Pourquoi? 11 no le sait pas, ou, si vous le presses de vous en dire im cause, il vous répondra qu'il veut avant en voir le plan, Mais cest une défaite absurde! sachez--le done électenrs : le conseiller en question a toujours 616 opposant & la reconstraction de notre pont des le printemps dernier. _ Du reste, Fou sait gu'il a un grand nombre de propriétés dans les rues St. Patrick et d'Ot-- towa ; il est done facile de sedouter quel est son b? et ln cause de son o?ulln- achar née ! Mais pourde conseilier du quartier By Jignore, et tout le monde doit sussi ignorer *n'lll peurent btre les causes qui le portent & »opposer & la construction de notre 7 A coup sir, ce ne sont pas ses M;':'ll n'en a plus dans m&lmhu ! La derni¢re maison rue Paré, du 06 6 Sud ne lai appartieot plus ! | ! Eh bien, nous malbeareuz électears, com-- ment avons nous oubli6 si facilement tous ces petits écarts, tous ces chitemux en Espagne? Voici, nous avons aimé & croire que ce bon monsicur en devenant :,f' aurait aussi acquis plus de poids dans ses idées, que sa taison au-- rait murl avee l'Age, mais hélas L... ... ....... Quel malbeur pour nous de avoir élu conseil-- ler 1 A la premidre assemblée il a refusé de voter pour la formation d'un comité & cet effet. 'nu'.fiil.ql'flmb-m--" m&--h:'w" lhztlln soncit--yens, qui n'ont pas comme T '.:"r" P""r.Y':l:---Jo A---:-l done lupbd-l.-:.!nh on qusire de nos t tou-- Poomeaih Moticantinnes uo .e post du Rideau, depuis que nous srous ou le malhour de le roir emporté par les glaces. (Je dis $ on 4 membres pour is raison que souvent ces MM. sont trois et tantot quatre, vu le diéme est souvent & Q ) Tant q-,:.-l MM. les Irilandads ; Les couseillers Kennedy ct Heney jo déctare je w'ai absolument rien ihlna--ou;r'hh-mqutu. Les électeurs Irlandais peurent is discuter entrcus mais pour F'interdt de mes compatrioies Cana-- :ino.j-uylhmuunlhm leur con-- wite. Celle de écherin du ier By cst bl&ma-- ble sans doute ; nh,'mdnhm elle est presque excusable... . Quel est Phom-- me qui ne chereberait pas ses intérdts? ou dis-- k:flifinllmmmuhnuhifl po -- Partout et toujours ce Monsiour a 616 en contradictions avee le vrais intérdts de la cité ot do see co-rl.r(:u. Pour preave :-- O'ulrc son influence qn'nnu avons 616 obligés dériger un lostitut dans le champ! Voyez--vons ce monsieur nous avait fait com-- prendre les délices que mous pourrions un jour :ofin, u:'l.l::.l 'l:o(:n'uucnu une pépiniére e jounes nement allignés, ou nous y jouirions, dlldl-('l';hll n-a.'" mélo-- dieux des petits oiseaux!. .. Voyes--rous, nous d'sait--il encore avec emphase : La science aime In solitude. Ce monsieur, (tout le monde le sait,) a des goits tout--&--fait particuliers pour In vie champétre.... 1 ! 1 C'est dommage pour lui, et encore plus pour nous, que nous »yous 6té obligé d'abandonner un si beau plan pour louer le haut da marché ; et, pour comble de malbours 8tre contraint de démolir cette belle: b&tisse enchanterease pour Ia trausporter rue Bussex ! Quelle idée bizare, extravagante que celle de vouloir annuler le port du Rideau afin d'en constraire un autre au pied dg la ue d'Otta-- wa ! Voyous électeurs n'est--ce pas li le com-- bie du ridicule? Ne pourrions--nou» pas dire avec raison que ce conseiller a perdu Fesprit et quil ressemble par ses procédés & ces navires sans gouvernaile qui I' nroyent au caprice du vent, toujours préot d'engloutir ou de se brizer & lm cote ! Quoi, cette rue Rideau, oi nous avons fait tant de dépenses, cette rue si belle, ai centrale qui conduit i Montréal, a Kingston et partout, serait privée d'un pont pour l'amour de quelques ambitieux extravagants ? Oh! i1 fmut eapérér que lO.l él'c""l"l" opposeront ! Du reste no serait--ce pu détruire le ccsut de notre ville, le'point de vue le plus pittoresque? J'en appelle au public en général ! _ C 0R RBE&P O N D A NC E 8 des choses is d'btre signalées ; car, :- coniredit le :'nfl-..u du poot est motear le plus urgent qui seul eap propre 4 faciliter notre commeree, nos roie» de commu~ wications ¢te. cte. II me semble.qu'il est de mon dévoir comme maiiére dont s9tré Conseil font les af-- ts inss hk At medcopmia e in it M. le Rédactour Ottaws, 23 juillet 1862 Ons. Larorts La rumeur de la résignation du gen. McClellan est contredite. Le fameux général Jackson se Wim de nouvean vallée de Shennandoha. Nous ignorons jusqu's 1 poict'mdfloué,;:?u fi:ll'e' cette nouvelle donnée par le té-- légraphe américain. dsrigera de Washington les mou-- vements des différentes armées fédérales. chef des armées du Nord. Les généraux McClellan et Pope con-- serveront leurs commandements respectifs, etle général Halleck Dans le bulletin télégraphique d'aujourd hui, les no:vg:ll.ea p%li- tiques prennent le pas sur les nouvelles militaires, qui sont nul-- les. Le télégraphe nous annon-- ce en effet une nouvelle politique importante ; il ne s'agit de rien moins que la' nomination du gé-- neral Hiniiock, comine general on Le vice--roi d'Egypte a promis & la ville de Manchester un nouvel appro-- visionnement de coton pour l'année prochaine. Le North American a rencontré PAnglo Saxon le 17, se di-- rigeant & 'Est. L'amiral frangais de la Gravidre est arrivé a Cherbourg pour se rendre dans les eaux américaines. choster. Une assemblée tenue d Hock-- port a envoyé au Parlement une pé-- tition pour demander _la reconnais-- sance immédiate des Etats du Sud, afin d'obtenir un approvisionnement de coton. Le prince de Galles est sur le point de visiter la Russie & bord du f:cht royal. _ N ue Le Times s'cst og'poséila demande d'intervention des habitants de Man-- Dernigres novyeLtes rar ts "* Nornt Axcerroax." Une correspondance du London Times dit que le connge des volon-- taires fédéraux est au--dessus de tout éloge et que leurs défaites sont dues & 1 ignorance et a l'ivrognerie de leurs officiers. Le steamer " North American" a doublé cette pointe & 11 heures A. M. Les nouve?loes ne sont que d'un jou'r plus récentes que les dernigres. __ Les nouvelles des séries de batailles livrées devant Richmond ont excité la plus grande sensation et 'on pen-- sait qu'il n'en résulterait que la guer-- Ottawa, 22 juillet 1862. P. 8. Veuillez au nom des cana diens du Canada central, remercier yotre correspondant du Détroit E. N. L., Pautear sur la FZoriculture qui signe un amateur, votre feuilletoniste de St. André Avelin, M. de L. d'Al-- bany et autres, remercier ces MM. pour l'intérét qu'ils prennent dans le succés de notre cause en vous aidant dans vos travaux pour lesquels les canadiens de cceur vous doivent leur meilleurs remerciments. En réponse nous dirons & notre correspon-- dant que nous sommes et que nous serons tonjours prét & recevoir. toute critique nous concernant méme et touchant les articles qui nous sont envoyés par nos collaborateurs, pourvu que ces critiques viennent de per-- soonages reconnus par lenrs talents litterai-- res et par leur responsabilité personnelie. Hors de 1& i nous sera bien permis de rire de tous ces prétentieuz qui connaissent & peine leur propre métier. -- Servant la cause de la vérite, nous me reculerons devant au-- cuns sacrifices lorsqu'ils s'agira de défendre T o oo o on io on ols C CC C Mais M. le Bédiu:teur, p;enez cou-- , votre journal est aimé par ceux ;n"g'e ont de l,'oédueution Noeppremié- res sommités écclésiastiques et litté-- raires comme nos premiers citoyens qui véncrent notre langue comme notre nationalité, vous ont prouvé dé-- ja leur sympathie et sont prots a vous donner leur gntronlge, parce que vous méritez de les recevoir. Tout & vous, les intéréts du Canada C;r?ml_e;vd;;x}o;o; publiquement tous ceux qui loi nuisent. Je ne venx pas par IA, M. le Ré-- dactenr blamer ceux qui n'ont point I'nnnuqa de lire un journal et de pouvoir le juger ou l'ln(nécier dA sa juste valeur, mhis je blame tout spé-- cialement les ignorantins c.--A.--d. les personnes quin'ont vu les colléges qu'd distance ou leur intérieur qu'a Fex-- amen des éléves, de se poser en ]'l?" souverains sur des questions qu'ils eomlprennent comme un mysfére et qu'ils connaissent comme nous con-- naissous MM. les Aabitants de la lune. jours afin de ;vc-- faire "7'::'.'9.'9:1 partout. ,' Organe des to .du Canada ml,vo-@ unique-- ment ses intéréts. is vous ne pou-- viez satisfaire & toutes les exigences. Ceux nieritiLnienzleplp, et je Cl momern ai 'aw tre '-d@:&mdoquui. :dntd-}fiaah'd:-'muvflh 'Ottawa, parce qu'ils on on-- 1:".! pariant ils se levent sur le bout J:-dotht--uduflpud. Tet des 7 pour des 8, lorsqu'ils cherchent a prouver guun journal francais devrait faire son apparition Nouvelles des Etats--Unis ARRIVEE DU NORTH AMERIC AN EUROPE. Cap--Race, 19 juil Fraweor. Trnk t graiedl i what ds Parmns m on Etate--Unis. Ti doit rester dans cetto i radieee aroane. lfl.--m s Washington, 17 juillet.--Le congres do-- rant la Mh'-r,:i'u- .nnpu environ zr l'-r'ot on poz: oin '.o?:'m marine. congrds ajour-- n q".o'-d'hi. LInquirer" dit que 16 général E_fl_hé.qpmd_l#mmr @" Si les forees unionistek / attaqués, -n-nnhm-unflfi'l"'my. #* Stonewell Jackson avee ls thoiti6 de son armée, est revenu de Richmond, dit--on, et marche de ce c6té." ; 63 _# Les bureaux du télégraphe ont 616 éloi-- gnés on préevision d'nm, attaque. Les sé-- cessionnistes sont dans |'allégrease. .. démenti aux romeurs contraires qu'on avait essay6 daccréditer. D'aprés les feuilles vi ientes, il y a em ce moment 4,400 isonniers Fédéraux dans Tenceinte méme :I Richmond. * On antionce que Iu'-t-rn- fedé-- raux ont 6t6 ulhm- hier soir devant Win-- chestor. On a appris par 'différettes voies que les prisonniers unionistes étaient fort bien trai-- tés & Richmond. Ces déclarations, multi-- pliées et confitmées, donnent un éclatant Le Sénat a voté d;ur 23 voix-- contre 17 Padmission dans 1'Union, comme Etat dis-- tinct, de la Vir"ini' occidentale, . Avant le vote définitif, Passembiée luiuda:u doux amendements portant que esclave n dans le nouvel Etat aprés le 4 juillets, 1863 serait li-- béré, et que tout esclave qui sera 4g6 de moins de dix ans au 4 juillet 1863 devra ans-- si_ étre --lib6ré ; cez qui auront aiteint a aqudn-' ll'thvin't-.uu. seront li-- La Chambre a voté un bill frappant le suere d'ane taxe additionnelle d'un sous par Le con a recu communication d'un m la Pdmont, recommandant . le votre :'un ifl allouant des compensations mox Etats qui aboliront Pesclarage. bérés & vingt \d'ame avec laquelle vous avez nup' 16 los épreuves et les privations pour la g::voure avec laque!ie vous avez marché & chu]na combat, il faut en avoir été temoin pour les apprécier pleinement ; mais la nation recon-- maissante n'hésitera pas & reconnaitre ses obligations et & vous accorder ses souvenirs chéris. On peut bien dire de vous que vyous avez assez fait pour la gioire: mais le dé-- vouament d la patrie en souffrance et & la cause de la liberté conatitutronnelle demande de vous defnonveaux efforts. : Ne vous reld-- chez en rien de ce qui pedt--assurur vos suc-- cés dans Pavenir. . Votre grand objet est de chasser les envahissours de votre sol, de por-- ter votre drapeau au deld des limites de la confédération, et d'arracher & un ennemi sans seruple la reconnaissance qui est le premier droit de toute société indépednante. livre. @« Soldats! Je vous félicite de la série de brillantes victoires que vous venez de rem-- tter, protégés par la divine Providence 'E:mme Président des Etats--Confédérés, jo vous offre les remerciements du pays, dont yous avez sauvé la juste cause avec tant de fermeté et dhéroisme. . I1 y a dix jours, une armée d'envahisseurs de Llncoup supéri-- eure & vous en nombre. ot en matériel de guerre, serrait de prés voire capitile et se vantait toot haut d'en faire la rapide con-- Enéle. Vous étes allés attaquer Pennemi lans ses retranchements. Avec des mouve~ ments bien conduits et une valeur ui bra-- vait la mort, vous Pavez chassé de ses fortes positions, et repoussé de champ de bataille en champ de bataille & une distance de plus de 35 milles ; en dépit des renforts qu'il a re-- gus, yous avez contraint & ohercher un abri sous ses canonni¢res, ou i1 est encore, sa'bais-- sant devant Parmée qu'il a railléo et mena-- °f° d'une entivre détaite. Pout la grandenr M N d en O ns tnp e W T se in onnie mss let ; *« Les mouvements de notre armée pen-- dant les doux derniers jours, -a'%' pure~ ment stratégiques. . Il n'y a eu aucun com-- bat d'importanee, et on ne doit en attendre aucun de quelques jours, autant du moins que nous le font présumer nos renseigne-- ments. I1 nous suffit de démontrer: 1o que McCiellan a été battu devant Richmond ; 20 ue Phabileté supérieure de nos genéraux a gépué les plane gu'impliquait son change-- ment de front, l}'lui hu?ra un effort hereu-- léen Eonr recouvrer ses chances évanouies, un effort qui demandera du temps, de la pa-- tience et une énergie croissante. C'est pour lui une impossibilité matérieile que de re-- cruier & temps son armée pour reprendre bientét Avec vigeor sa marche sur Rich-- mond. I1 peut ne pas demeurer oisif, mais il ne saurait dépioyer la méme activité que nous, _ A aucune période de Phistoire de ia guerre, le gouvernement confédéré n'a fait preuve de pqu- daudace et d'énergie, et n'en a inspiré davantage aux chels dg notre ar-- mée. . . Le gouvernement confédéré a cess6 tout pour--parler avee le reste du monde, i1 ne compte plus que sur son droit et ses pro-- pres ressources, et il est déterminé & aller juequ'au bout. _ I1 serait imprudent de rendre poblics les mourements o?érh en ce mo-- ment par notre armée, .Qu"il suffise aux ci-- toyens de savoir qu'ils sont url, bien con-- duits, et essentiels an succés de la lutte." A la suite des batailles 'devant Richmond, M. Jefferson Davis a adressé & ses troupes les félicitations suivantes : faits sont loing d'btre rasgurente sur Misuintigte -- Sniepubire mevrow n vici;entre gutres, un extrait d'une correspondance publi-- te dans 1'Evening Post : j @* Je vois que les journanx s*éfforcent do douner une boune tournure & notre retraile, e Pappellent un mourement ~ stratégique. Nous savous mieux & quoi nous en tenir ici-- Co qui peut sealement nous servir d'excuse, Cest l'indomptable courage avee lequel nos soldats ont combattu dans chaque engage-- ment; mais appelez cela comme vyous vou-- drez, notro retraite n'eu a pas moins été une désastreuse nécessité, qui a été bien prés d'aboutir & 'unéantissement de notre armée. Qui est responsable 7--. . . i+ Je vous répéte du rasio que Parmée est épuisée et ne peut se remettse avant un Bon mois des effets materiels de cette ré-- traite. Cest décourageant, et la confiance diminue, mais que voulez--vous ? Aitaquer maintenant, sans d'immenses renforts, ce se-- rait courir & une inévitable défaite." Quand a la situation deT'armée du Sud, dit le Courrier, voici les seuls renlei?nementa que nous puissions recueillir, et que nous empruntons a 'Enguirer de Richmond du 9 juil-- Rien d'importaut de Farmée gd-'w'mhn et de Farmée du d'avouer d.m' -giu-' .;...: ceux qui out quelques soucis des a ion & Cette nouvelle a fait sensation . Washington. lier leur défaite devant R mais la vérité se découvre Le Sénat a voté Philadelphiec, 18 juillet 1862 ; 16 juillet Forry; «* Harper's « Jarzzmsos Davis."

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