<MFi; de is Rue 6 m ce : "Ou : &* sonnes qui d P wwlszomnz-o-(1 s Bureau du Courrier se %. ve-- t Rue Olgrence it / 'Bm'I:nlhonfl, &1 * ce "@ Jactour, . Les feonnes qui dési¥ent annoncer, . O . ~ quelques .affuires d t priés dea'ndres . eer directement au : Propriétaire-- de grands efforts afin de s'assurer P des ouvrages du gouver-- -:li déesnpointé 'duns ses eepérances, il.vet venu se v t en m chambre en mu.m".i." con-- ? sonmissionnaires plus --houreux que lui. s Ge. M..a done dépensé son élo-- «quence en pure perte ; car tout autre que lui. avec peut--itre moins d'ins 2:-.'.-. sur le sujet, anrait suns doute mienx . réussi, d'mhntf plus ue Popinion iqné eat en faveur l'c:.qmp:.bl.gj" es batisses 'Ottawa, et que le gouvernement, par d' du commissaire des Tra-- mmu.t déclaré étre: prot & en accepter une avec toutes ses. con-- _ L'Hon, Commitsaire des Tra Plfi';fl%flt d'l':vungn ';:: Mrhl::' :d(v':rnunln, lui as-- aéna s la défense de son mhnr y :# *Hon, député de Lambtoh (M. MoKen-- wie) dit qu'il n'a pas d'intérét dane in 'ques-- tion at que quant & ce qui le regarce person-- mellement, il s'inquidte poo do résnitat de Hengudte, -- Cola est poswible; mais on chan gers peot«étro-- 'opinion quand on saura @u7il a dt6 un dee sonmissionnaires malheu~ it pources mémes onvrages. --(Boonter, c $!1 n'eat pa« intereasd, 00 s"il n'u e & satefuire, poorgooi a<t=il semmines & Ootnoogi« pour y i Pacouser; pourguoi a es 'officiers subordounes do dé~ * Nous croyons que M. McKenzie 'eat tout nouveau dans la vie gubli- bliqne, ot certes i! en a donné des preuves on cette circonstance en' se '" ; tconu::'wemunrn débu: sa _ carri itique; car' i 'Hobs aétmble que Tout gntre que lui aurait pn joner ce roi¢, d'autant plus jue duns.sa position de soumission-- pour la construction de ces ou-- 'vrages, il devait a'attendra, quon at-- 'taquant, i} refouvmit de lma der bons eoups et se ferait poursuivre 1'6 dm':. les reins. hi pée i m'm nous ol c que dans l'in-- 4 du lEni qui est mécontent . on .quirse--plaint, on devrait toujours se goifi pour avocat un homme gus ne wit pas dans une maison de verre, , et surdeguel on peut lancer des 6t 2:: se trouve ainsi A Pabri nidme des coups qu'il veut porter & autrui. Cest un fait .connt--ici et ailleurs, que le membre pour _ Lambton a fait -- Nous ne voulons point dire par 1d que ce n'est pas un devoir pour le parlement de l'ea"rir de la manig xe dont est dépensé--Pargent du peu-- La de M. MeKenzie proj sant m::nion du conmité sl::r 'l,: %flhfimmxéfliflwd'%wn a d lien & une. discussion des 'plus _vive et des plus. animée dans Jagu fiflm Commissaire des Tra-- "v""]"\u lics ont & uddél'mdro con-- tre les accusations du député de dour nounelle résidence. | Autrement, P t Py tarke t Conrrier b'®ttatoa Kes Edifices Publics d'Ottawa. Nous prions nos abonnés gui sont J. Es Dorion, Redacteur. Ottawa, 15 Mai 1862 .posiquei a--t--il, agprés d'our, EMO (BHeoutes.) gcontar !) anne--Jxi dit on commencant ronmissionnaire. ' 'Cavonon=Vous we Pavex pas Warek dit, voue Pavek dit wa-- i n'Aire pas entenda. : Jo vaie is jous doivent pour in leuzx, drivent mpn'z M l ~Jaut se soumettre d d n .. __...__| 08 668 fanbourge, le ms Adtendré tos entt--pro-- | non.sonloment l-pon:. D ui en Présid# & !* | annfort 'dn dunger, enco "':"'F" nondoret diriger les seco F' ". devrait, en cas d'argonce, '\Wais, a¥ant «j, 1 | 38 Porsonne, so joter dans mill alm que in cham ix édifices d'Ottawn | Ob! non, en Angleterre, on a plas de jos-- ine . discussion des | tice ¢t on comprend -- mieux --1"impossibilité plus . animée dans | de soustraire tovjours a de pareils inécomp-- wmmissaire des Tra. | !0# les entruprizen de ces colossales propor-- A se défendre cun--| tions. (Beoutes, écontez.) ns du député de| . I/on aura 'beau crier sur tous les , tons et faire des tempétes an fond de que M. McKenzie|encrier, on n'empéchera pas la ville dans la vie gubli- d'Ottawa --d'dtre ce qu'elle sera pro-- i! en a donné des | chainement la Carrrars prmaanarts irconatance en' se:| pus Camapas placée on elle doit étre, eneateur an début| dans le Canana Orwmrat, et Pou, olitique; . car i\ eimpdchera pas-- non plus la grande vut ?'tn que lui| majorité des membres de notre légis-- roie, d'autant plus|.latnre de nous accorder Pargent né-- on de sowmss#i0n--| cessaire pour compléter les ouvrages iruction de ces 00-- | actuellement en voie do constrnction, ntl:endl\;;n'on at-- | afin de ne pas: perdre comme 1'a si it de auite de bons | bien dit un de nos confréres le fruit poursuiyre lépée| de tant de sacrifices. i woudront bien se un valsseay qui, en unication que on par is poste, non AVANOR armbes de 14 sar le chanties et devrait intéresser ln eo!rpo?lné;on dthoiw.?hhpunou' verai-- ne, qhel est le membre qui paraisse -'e-u. occuper ]:i moindrement? La ville est sans maire, et copendant un mld.eumemh'c-nhihl;: son devoir au point de pou¥oit ar ranger ou do nous retirer de cette étrange anomalie. _ _~ _ Mais le nombre n'est pas snffisant pour former un quorum, et on ajourne, sine die. "Jl n'y avait done I& ni corps, ni Lamenais aurait pu dire: " J'ai eru voirune ombre ot entendre un .oupi:' ¢'était In corp....oration d'Ot tawa. - Dans le mément dit L' Union de mardi, que la question du sitge du gouvernement gst encore sur le tapis, ht . Avowaly + eb Cumoanedindl k 2 _ _Pour preave--mardi dernier quel-- anm échevins et cunseillers s'assem-- lent an Conseil de Ville pour la dé-- che des affaires. Ce sont Messiours Preston, Traversy, McCormick, Scott, Langford, Turgeon, Graham #t Heney. mangue rmd la tite n'y est pas. 3'ui voudrait aller oombcttr'e nnl'?t:l ef? Ce ne seraiont certainement pas nos édiles. Véritablemen :'ponr une ville comme Onuu,vil ést triste d'avoir un Con-- seil de Ville sans tote, ou %nmd il est absolument nécessaire qu'il en ait une, on l'img'oviu, et il %nnt la lui mettre sur le col--&--chaque. séance comme un chapeau d'emprunt ; ajou-- tons & cela, que sonvent le corps OTTAWA TOUJOURS SANS MAIRE Mais une voix, une seule voix stest--clle élevée dans in chambre, dans in presse on dans ie public pour jeter'le ori de dorruption ot dé fraude t H P'ameublement ni méme | Pornementation niérioure. -- C'est--done trois fvis lo: chiffre de l6valuation originelle. (Booutez! 6c0u-- tez.) fut approqvée ot déclurée suffisante; ils y ajouidrent £72,000 pour P'uchat des propri¢tés environnantes 0t pour les terrassements sur les bords de in Tamise. Ainsip Pévaluation ontiore du codt du palais de Westminnter, appuybe sur los calculs des architectes les plus en 'renom, était de £779,104.-- Mais combien cet édifice at--i! réellement couté ? Nous allons lo voir. It a cofté £2,283,868 ; . Ltexomple que j'allais citer, loreque ym 616 interrompu, n'est pas le seul qui existe, «t si les hommes spéciaux et éminents de ia 'Grando--Brotegne font des errours do --calcul 'wuasl considérablen, assurément on ne doit 'pas'candamner comme des criminels, ' mé-- «#wiavant de les entendre,' les hommes de profeesion du 'Canads coupables do me-- omptes moins grands! (Eeoutex ! bcoutez.) * Personne a--surbment n'oser« mettre en doute ln haute positiou de Sir Charles -- Bur-- ry, comme architeote. -- Son éevaluation pour in constrnction du paluis de Westminater fut do £107,104, Coite 6vaiuation de Sir Char-- les Burry fut. soumise aux architeste (du bu-- reau dos Truvaux Publics de 1'Empite et Grande--Brotegne. . . .. M. Foury.--Quest ce que cols fait t _ M. Cavonon.=--Qurest--ce que celn fait? Cela prouve que i'honorable dépoté veut moue condamner sans nous avoir eniendu. Lo question en débat ést d'u= importance axtréme ot si les honorables dépatés qui condadinont ainsi vealent suggtrer uce meilieure maunibre de diriger les travaox po-- blies, je Paceusiilerai volontiers, dans Pin-- 16rét du gouvernement et du pays.. (Ecou-- piie avaicé que parmi nous, oi les epeciali-- ths sont pius nombrouse ei plus récilcs, on ie prix de la main=d'@urre est plus uniforme et tions, . Ei 1A cependant, aprés ces médomp-- bdd'flouhh.flnfl'.:h&ulh -n'h-p'l-dndmnb-n'- tion. (Reoutez, écoutez.) J'ai sous les yeu Péraloation du col de construction du palais du pariement de ia in 'Augleterre, par exemple, est--ce ot ris dire Wfl.o" #u is sont done las quva-- s. dans ce pays, on dans qBi u'ost pas 08 lear que a'il ouvre ost beaugoup ui 1Hon. M. Srcortz.--Rt oc'est ce qui constitue Pabsurdité do systome. LiHoa. M. Sroorre --Les oolons so plai~ gnont de--ge qu'il lanr est permis de 6riiet io bois de service ot non de le vendre. L'Moo. M. Smerwoon.--Mais 'Hon. dé-- puté me peot pas assurbment donner cette L'Hon. 'M. Sroorre.--It y a de nombreax exemples de colons & qui Pon n'a pas per-- miis de vendre ls bois de service de lours tow pour s'aider & en payer le prix d'chat, Jn sefose & ces colons in liberté de vendra io bais de lours propres terres, sous lo pré-- texi@ quils peuvent ne pas étre bondide, ot que !a destruction de ces bois diminue d'an-- tant in valous dee terres. L/Hon. : M.Snaawoon.----On leut pormet de briler le bois de service. virer as .motion afin ue w 'matibte en soit référde & un comité. M. Dawsor.--Ce dont ce plaint |'Hon. dépifté droit platét dtre 'attribube & whe vio-- lation d réglement maintenant enforee, qu's une défectuosité de 6e réglement ; 68 qu'an-- rait d Faire IBHon. député, o'out 616 de so plaindre an Bureau des Terres et de deman-- M. Dorton.--Jé n sais déja que trop da qu'elle manidre on entend la justice au Bu-- tean des Terres. * Lhon, M. Sieawoop prétend que dans tous les oas, les licenora telles qu'acconices, exceptent les terres actuelioment occupées. M. Domion.--It est & ma conmaissance personneile que des volons drablis depuis 5 ot 6 ans, et'indme 10 ans, ont d s6 rdsignor & voir leurs terres dépouiliées de lours bois de service. Je dirai plus, j'ai connu une personne établie depuis vingt--trois ans, de Ia plus haute respectabilité, dont ia sucterie a et6 détruite. M. Dorton trouve que 1*Hon. Commis-- sutres dos Torros est dans Porrour telative~ ment & ce qui se pratique. Ihon. M. Smzawoop.--Lhon. député de Drummond est sous uno fausse .impression relativement gu réglement qui concerne Foc-- cupation des terres de la couronne ot les drvits dee colons. D'aprés: ce réglement, aucune'licence n'autorise i coupet des bois sur les lots occupés en en voie de défriche-- ment. '(Booutez.) Lecolon est antorisé a couper toute espéce de bois, pour effectuer nes tra¥aux de défrichement, pour construc-- ' tion de muison; bois de chauffage, clotures J ot il pout fairg ©66i sans a'adresser en aucu-- ' ne manidre an Département des Terres de la Couronne. : Telle est la pratique guiy a ma vounaissance, a 616 invariablement suivie, II ost nécessaire, copendant, que des restric-- tiona, relatinement & --la coupe. des bois : de service, soient faites 6t rigourevsement sui-- viee. . Des spécnlatents achétunt des terros dans le.but den exploiter les bois, et ceci se fait &--Pexclusion des colons. ~L'effet de P'a-- t mendement proposé serait de--favoriser ces personnes qui achdtent des lots sans aocune ! intention de défrichement,; mais: seulement | pour en'enlever les bois de service. I ation an k 1 mum"n M. Domiow explique qu'au lieu o il 16-- side, ot do fait tout le?long' de la ligne: da chemin de fer, le commerce 'do bois a ang-- menié considéreblement.. ~On se plunt, dit-- il, que lorsqu'un cofon s*établit' sur un lot, aveo |'intention de le défricher ot d'en faire un '6tabilssoment 'pour' lai ct . sa famille, quelqtes soient les paiethents qu'il ait faite en d--compte sur ce lot;' cependant; tant que la patente dn gouvernement ne Ti & pas dé-- liveé,-- Ia Coutonnie ontinue & avoir le droit de-- donner des licences; pout ls coupe des bois sur ces lots." 'C'est un grief dout tous les honorables députés, connaissont les in-- convénients. . Cest une bien <grunde injus» tige pour 'les pauvres colons que de voir eurs lots de terre envahis par'les marchands de bois; qui, sous Pautorité de leurs licences, ©oupentet emportent la meiliourqualité des } bois. El n'est que juste de demuntter: que: ces permissions decouper .et. enlever ces bois, ne a'6tendent pas--uox lots de terre qui wont actuellement cocupés. * Pespérée qu'il n'y 'auta aucuue objection & ce qu'une mo-- «ifleation de cette 'nature soit apportée au reglement maintenant en force. L/Hon. 'M. Smznwoop.--Et -- do le vendre So. Nolle license no. sera sccerdbe & qui que 06 soit pour is coupe du bois sor des lots de terres occupbs en is manidre voulue par le pretiiier article do cette proposition, si ce west & " Pocoupaat 'Ini--mdme. 5 40. Nulln lisonse ne sera ogcsssaire pour tout colon gai aure terming le paierment en-- tier du prix d'achat de'sa torre, et une : fois 1# paiement acoumpli, i1 pourrd exploiter: le bois sur telle terte comme étant sa propre propriet6. prendre une licanss on permis'do déparie-- ment des terres, pour la coupe du bois sur toute 'étendue de 'la terre qu'il cecnpers, poor les fids.du commtier0d, pour une ou pla-- meurs anndes, moyennant -- un honoraire d'ane piastre, et 1# prix de is coupe du bois sera porte '& son ciédit 'sor le prix d'achat de telle torre. # '-.:.qdu--'-b_u'-p-uu. ver auoun bois de service, pour les fins du commierce, sur le lot qu'il occ ' ainsi, en dehore d-u-huduorni-'m' mis & Haction . du détrichement ; mais i1 | podrra en preadre, comme par le passé, pour | Jn dunstraction des batisses nécc--sires A | Pexploitation de tel lot de terre. | _ Ao, Tout cofon établi sur un lot des terres 'bhm-'.mt.hfl,u hnh-a-hth--u-pu dans un livre des agents locaux on du dé-- pariéments des terres publiques, -- pourra preadre, couper et vendre, comme boo lui s»emblesa, tout le bois de. service qu'il trou-- vera dans les limites do terrain qu'il sera pecupé & dbfricher dans le but de le sou-- metire & la onlture. M. Dorion a présenté une série de réeolations relatives A in coupe des de la couroune. En voici la te-- | te de souscription en fa g'::?.-ru_:"" xt pour s somme is plus f fldlo:'hm-al Te lob :"jl-'::.' re morte, ou n'avons Lum coupt des bots sur 16« Torres qo Ottawa, (H--C.) Joud! matin, 15 Mai 1062 Riond:cl;rpao on effet in véné-- ration Canadiens--Francais it loar mnni uhr.d.ivmmutw:i on t i fnioiipiist oo hatiin o dion uné dgliso et wn p:'ryd'voin"- tablit, on un petit nom nées, «un vi'hgcm Les l:l:&-u so rapprochent, #installent ot se con-- solident avee unc merveillense rapi-- dité ds qu'ils rencontrent ce centré 3 dans le toarbillon d'6-- migrants que orée sans cosse l'dooroin-- Le clergé dont nous venons de parler est un des plus vigoureusx élé-- ments de la nationalité et de la colo-- uigation au Canada :. on a vu souvent duouléucn':.. partir a la tote d'une troupe de jeunes gons et cam-- per avec eux durant toute un hiver au milien de la forét, afin de les gui-- der dans un élablissement nouveau, ot diriger leur'installation ; prési-- dant a tout, -- 'approvisionnement comme a is conduite des défriche-- menta, t courx--ci, i mant hwmmrb,fim nant tout ce travail d'expansion avec une autorité fortement établic sur In conflunce générale. . __ -- _ Cost & M. Stanislas Drapeau, un des agents les plas intelligents et les plus dévoués de la présente co-- lomsation, qu'a g)tmen t honneur d'avoir n-uneip e\t remis en vi-- gueur cet usage vieilli, qui s'est ra-- pidement propagé .onlql'impullion et la direction des curés de paroisse ; aujourd'hui, en maints endroits fonc-- tionnent les associations de secours, par lesquelles les anciens habitants :e eotin;nt l: fvinlrti-snt e: nature ceux de leur qui émigrent, toutes leunneum--imi leurs semailles, a cb par ceux--ci d'en rendre autant plus tard & ceux qui iront s'établir en avant. _ --Ce futune idéeo heureuse et fo-- conde, que celle de faire contribuer ceux qui avaient déjé réussi de la sorte, de meme que les habitants des anciennes paroisses, aux efforts des émigrants nouveaux Tli débutent dans cette lutte pénible contre la véegétation sauvage. Cet usage d'une solidarité touchante oi le parvenu tend la main & celui qui veut mon-- ter, était de tradition ancienne dans Phistoire du Canada. Sous Louis XIV, l'intendant Talon, génie colo-- nisateur miéconu par nos historiens au milieu du faux brillant de nos ba-- tailles, Pavait emfi?' aux colons qu'il établissait aux frais du, trésor ; chacun devait rendre au bout de trois aus, aux. nouveaax immigrants, la mome somme de provisions, et de travaux qu'il avait regus lui--méme. Parmi ceux dont je visitais les fermes oi tout respirait maintenant l'aisance et le contentement, com-- bien étaient arrivés sans autre ri-- chesse que leurs bras et un grand fond de courage. L'un d'eux, sep-- ti¢me fils d'un habitant de la Beauce (la Beauce du Canada), avait écono-- misé, f;wndmt quatre ans, les Frofitu qu'il faisait dans les bois ; tel autre aucien ouvriersur le port, a Québec, flanqué de trois grmf-o pr?onl, avait longtemps gagné au {iour e jour le strict nécessaire en fabricant de la potasse et du sucre d'érable, tra-- vaillant sur son bien seulement par échappées ; aujourd'hui, ils avaient 60 a 60 arpents de terres défrichées, de chevaux, des vaches, des porcs, et déja une construction plus_ con-- fomilla avait remplacé la grossigre et idmltive habitation des troncs d'arbres. dif et laborieux, par lequel la famille humaine se consolide au milieu de l8 nature brutale! Mais aussi que de joies lorsque toutes ces épreuves sont surmontées! on voit grandir autour de soi sa famille, ses champs et les arbres fruitiers que l'on a plantés; les récoltes acorues, les en&nn de-- venus grands et--forts, la femme toute heureuse et figre au milieu de son ménage luxueux d'abondance et de propreté, mettent au ccour de 'hom-- me, sur--le soir de sa vie, une de ces 'iouiumeel dpréohuul, que . double e souvenir des peines 'qu'elles ont cofitées. I B ; les spéoulateurs qui, ne payant qu'un cin-- | quidme do prix d'achat, eulérent & Ja terre | sa principale valeur en ¢t on eole-- | il no devrait plus étre accordé de licences | nduwelles pour ia coupe dee bois, dans plu-- sicurs comiés dee Townships de 'Est. Dans l*lqm seignenries, le bois de service a 616 sicompletement détruit que plasiours des | tarres no sont pas établics, en conséquence | de I'absence de bois poor das fins de cons-- ' truction et pour le chanflage. rmpn' travail, estexposé entre--temps de dures épnuvu.pii'on point que le vivre proprement dit fasse défaut, mais quelquefois on est privé d'ou-- tillage, d'autres fois de bestiaux ; on n's Irorlnt le loisir de pousser ses dé-- frichements; plus souvent on man-- que de semences, et les cultures préparées restent inutiles, une des plus améres contrariétés qui puissent atteindre le laboureur. tue de dés-- pointements, de traverses, de mi-- :_z_nblu lenteurs, dans ce travail tar-- Le plus difficile est done de sur-- monter les premidres années, ot ce-- lui qui ne posséde aucune avance, qui ne. peut compter que sur son : 'por )n iduse, on pris <u dr is bois de service. < LHon. M. Sunawoov.--Los rigisments lw';h* de vendre ie bois de service sur is partic de / terrain qu'll ost on vole de dbfncher. . Lobjet du régioment ent de proleger le goovernemect contre la destruction des bois, agtrement que dans des buts de défrichement, et seciement L'Hon. M. Stcorre.--I! eS tout & fait bien que le département soft on gande contre (A continuer.) (Suite.) ces honnétes: marchands s'étaient '--r',,uelr:- énol:.melh.;: com x fawbiet, shel Teprimotsal #s is justice dans le canton ; udoonfl'r quait singulidrement les dé nhmln malhoureox plai~ deur. ot bien appuyés, les Américains multiplisient les inci-- dents sans rencontrer d'obstacies; ils ne craignaient point les frais, déja soune purtie de son _ Loccasion ne tards point, les Agents de la Conzqnio se présenté-- rent sur un lot terrain apparte-- nant a Dalaire, afin d'y exploiter un certain nombre de gros arbres sur lesquels ils prétendent avoir droit. Le Canadien laissa faire; mais lors-- que le travail fut terminc, il fit saisit judiciairement . les . billots, .comme ayant été coupés sur sa propri6té. . Enfin, un des principaux d'entre ces derniers, nommé Romain Dalaire, possesseur de plusieurs tetres et de quelques économies, voulut mettre un terme & ce régime arbitraire et vexatoire ; il résolut de risquer, a la sremién occasion, sa pauvre fortune lans les hasards et les frais d'un pro-- ces contre ougofiu tyransétrangers qui voulaient s'imposer an pays. . Aux uns elle avait détruit leurs ¢lotures et méme leurs jardins pour le passage de ses bois, aux autres elle ne payait que des a--comptes, dont le solde se faisait attendre 8, 10 et 15 mois. L'année précédente, leurs agents avaient, sans autorisa-- tion, fermé la décharge du lac Saint Frangois par une écluse, et les eaux, surclevées de plusieurs pieds, avaient ruiné les proprictaires riverains ; mais que faire? Québec est a une grande distance, et la petite ville voisine de Sherbrooke a dl;: autorités exclusivement anglaises, prés des-- quelles la société jouissait d?une trop z:;nde faveur : toute poursuite eit inutile et mome périlleuse. Il est vrai que les Américains ne ga-- fmiontpu Sougoun & ce jeu, car es Canadiens firent purement et simplement sauter en une nuit 1'é-- cluse qui avait cofté plus de 130-- 000 fr. SaE ced x:édnit la licence d'exploitation s tous les bois qui entourent Lambton ; or, les Yln(immontrent presque partout, il faut en convenir, une arrogance et une Apreté gui les rendent chaque année de lflul en plus odiaux.s.na tout le continent américain; la compagnie susdite s'était fait particulidrement détester des Canadiens par des actes nom-- breux d'arbitraire et méme d'injus-- tice criante, tant a l'égard des habi-- tants, qu'a l'égard des ouvriers qu'elle employait. _ _ _ _ Durant mon séjour a Lambton, je fus témoin de l'un de ces démélés dont le récit n'est point sans intérét. Une compagnie américaine (on ap-- gelle sp&.iglement Américains, an Anula, lel| habitants des Etats--Unis) ce point im longtemps wat peu & des faite économiq: lith gliwulohd;uoirc'" h'?:{ influence t ciVflhfi:{m P du Nord. Mais nous-- méme, reusement, nous ne pouvons que ler cette WTalpuimtatce do len morat produit uit mu,-w:::l:?nda z&- b.h-nm:'"do l.mll::i... ritains anglais, soit p:n'"'i"'x.e..l': h-hm dlent trop né-- g"'"'"."'r'."'._', longtemps onne, par leur expansion, phénoméne h--m..: .an_u'..:: is inct, et il semble ane im es famane moecie ment son essaim autour de la mére tant ls promptitude et ls mnd pu-ul.m une grande influence dans le phéno-- méne d'élimination et d'éviction suc-- cessive que les Canadiens fout subir ntraine fréquem e partic de son avoir, 6t ils os-- ent : bien le mener juequ'au de ses ressources avant que le que nous aurons & exposer avait \ Les drageons d'un an on doux, enlevés & Prutomne et repluntés do suite en pépinidre, 'dni-nn'hndaumnr- bien pré-- parée, ponvent étre greffés au printemps de Pannde suivacte. On n'obtient pas les mémes avantages, quand ces sujets no sont replantés que longtemps apris avoir . é&6 arrachés. 11 est bon, dans ce cas, de mettre dans Poau plosisurs jours les racines de ces snjets avant de les planter. ( Quaud on coupe ia téte des sujets greffés &n écussons d ail powssant, soit en Mai, soit en Juin, i} fant tovjouts laissér prodeimment, au--dessis do in graffe, un ' bourgeod 00 une ramille poor altiver in sdve. 'On arréte oo bourgeon, en le pingant pour on détourner Tn Wve an profit de in groffe, jobga'a oo qu'elle soit asser forts ipour rabsisser lo #u~ jot Imaidiiatement ° ao--dosssa. -- Qoant anx marceites, #i elles sont faites ave )e joune bois do Pasaée, alies prannent racinss o Les Rosiers aiment une terre franche, 16-- gére, bien amendée d'abord, et entrotenue ensnite par des binages et de bons engriis. IIs viennent bien & toutes les expositions aérées, tomis mueux & mi--solei}, o% leurs 'fleurs passent moins vite. . I! faut les arroser dans les grandes sécheresses, si Pon n6 veut pas que leur sove sait suspendue. On les multiplie soit par drageons, soit par marcot-- tes, dont i1 ne faut pas trop laisser dessécher ln torre, soit par la greffe en {ente an prin--. temps, 0# en dqassonec ail poussant & la meme dpoque. --Ces écussons se lévent sut ratmeaux de Pantée précédente, qui serrent aussi & in greffe on fente, : On greffe encore on écussons ail poussont, levés sur rameanx de Pannée, & is fin de juin, on au commen-- ement de juillet, et alors on coupe de suite In téte da sujet, en ne loi laissant qu'an cil ou une petite ramille audessus de la greffe. Enfin, on greffe en écussons & ail dormant, depuis la fin de juillet josqu'd la fin d'Aot, ot dans ce cas, on ne coupe rien an. sujet avant le mois de Mai de Pannée suivante. Cette dernitre méthode est la meilleure pour le froid Canada. Les Rosiers du Bengale sont des Rosiers Indiens, & fleurs perpetuellement remontan-- tes, mais ils n'out presque point de patfum. Ces rosiers sont trs délicats. . T faut, comme les Rosiets--thé --de: im Chine, les caltiver dans des pots et les. rentrer & la maison, quand i1 fait frord. L. températore d'une chambre tempérée suffit pour les faire fleu-- rit. abondamment tout Phiver, _ I1 faut tenit ces rosiers avec la plus grande properté. Dés qu'on s'apergoit qu'ils sont attaqués des pucerons, ce qui mangue . rarement . d'avoir: liew, on donne une forte fumigation de tabac, qui détruit ces inseates. ' Le Rosier de Damas a des rameaux de graridear inégale, dont les plus longs ont use tendance remarquable & se courber en de-- hors, des sépales on divisions du calice, trés longs et réfléchis. On remarque entre les plus belles roses de Damas, lo 1'Admirable de Damas, blanche bordée de rose; 20 la Rose Léda, fond blanc, panachée de lilas-- clair. Les Roses mousseuses ne different des cent feuilles ou Roses des Peintres, que par Pespéce de végétation en forme de mousse qui garnit la partie supérieure des tiges flo-- rales, ainsi que le calice et ses divisions. En 1771, nous avons regu de la Chine le Rosier toujours fleuri, que on cultive sous in fausse denomination de Rosier de Bengale, charmante espece trés facile & multiplier, et dont les fleurs succédent sans interruption et demeurent épanouies toute Pannée, ex~ cepté durant les grands froide. . Tantot tes pétales sont d'une blancheur éclarante, so bien du plus beau rouge cramoisi et comme veloutés, tantot roses et blancs, d'une cou-- leur assez vive on panachés de nuances plus péles. Le Rosiet de deux fois l'an est nommé valgairement, bien & tort, Rosier des quatre saisons ou Rosier de tous les mois, puirque ce nest qu'au printemps et & Pautome qu'il dotne des fleurs sur ses rameaux armés d'ai-- guillons nombronx, un pea recourbés. . Le 'parfom qu'exhalent ses eorolles roses, 16-- unies deox ot quatre ensemble, est le plus suave et le plus délicieux de toutes les au-- Ares espéces du genre. le plus de variétés, et dans les nuances les plus nombrouses, depuis le rouge le plus clair jnequ'au pourpre et au violet le plus foncés, il n'en eat point qui puiseent rivaliser avec le Rosier de France, auquel on peut rapporter le Rosier d cent feuilles, qui lui ressemble, quoiqu'on prétende que ce der nier soit originaire du Caucase, ou apporte du_ Constantinople par Thiébaut de Cham-- pagne revenant de Jérasalem. Le Rosier égiantier est une espece sauvage & laquelle les borticuiteurs vont demander des sujets vigoureux et de in longue durée pour greffer les espéces dites jardinigres. Parmi les espéces jardiniéres qui produisent Des cinquantes espéces principales du geore Rosa, lequel fait partie, d'aprés Lin-- née, do *Ieosandrie polygynic ot des plantes dicotylédontes, nous en.citerons quelques unes seulement. buissonneuses sont généralement altemnes, imparipeunés, accompaguées de doux stipa-- les folincées. Les fleurs, d'une grandeas remarquable, de couleur bianche, rosée, jaune ou d'un rouge plus ou moins intense, se montrent solitaires on groupées plusiours ensemble an sommet des branches 99 sar de potits remeaux latéragx; elles joignent & Pélégance de la forme, la fraicheur, la grice, im beauté do coloris et la suavité du parfor. Dans togs les Ages, chez lesan-- gieris comme chez les moderaes, los Roses uiupirilap'u;onluamm' associ¢es aux fétes de famille, aux solem-- mités du temple, aux houneurs fandbres; elles embellissent ie front de la jeune vierge et protégent le berceau de Finnocence. En hnbu,oubinbp-noni-,uuphllth- contempler. -- La Rose cst vraiment la Reine des fleure.~---- + LE RosIER. Type d'une charmante famille et d'un geare 1ré» uombreax en espéces et bien plus encote cu varidlés et sous--varictés, lo Rosicr @st un sous--arbrisscan indigéne & iquies los conirées do globe, armé d'aiguillons ssmples, géminés ou disposés trow, quatre et.cing réunis. !ahu'lhuqn'm-d-ugu d FLORIOULTURE pétams oE cutururs. 1 Reqmotiste Frangais de Parin, da 26 a¥vvil nous #64,@MMPADHRA~ .0 o. co ...> . Pridre d'ane Vierge" "Wande * The Blind man and Sammer." remercimenta Pemvoi q ;.dm"_fl'bg ar sous tous les ra gm. On peut ::n;r.:;'m eh-etp . tout osp::o 2t plam concurtine anoroiom tw i"':- tronvc:"u-i dans ce nouvean magasin tpn'-el- mm'l:h-u ne ns E-m,qg'lvfluum Ontréal $ M. Bohrer voudra biet accepter folis : moreeaux de ill. W. Bohrer vient d'ouvrit dans la Rue Brrh, moaison un magasin de musique q'uim':\c-; Cette maniere de rajéunir les Rosiers épuisés n'est point applicable aux Rosiers france de pied ; car ils se rajeunissent aasez @eux--mémes fort longtemps, an moyen de pousses annuelles, qui permettent de sup-- primer les ancienues... Quand la fleur dé génere ét que la souche semble véritable-- ment épuirée, il fant le 'remplacer. Le jardinier doit toujours avoir, en. pépiniére, assez de jounes Rosiers pour remplacer les morts. Par e procédé 'l6w 'Rosiers greffes sont totalement rajeanis ; ils peuvent 1Pdire ainsi tous los trois:ans & perpetaité parce que les souches sont vivement Wollicitées & émettre des jets vigouteux, qui prodgisent & leur tour de jeunes racines non moits robustes; aussi voit--on les fleurs des 'Rosiers soumis & ce traitement égaler ou surpesser les fleurs dos jounes sujets les mieux portants. Les Rosiers greflés & haute tige sur Egian-- tier nont jamais une longue existence. Ce Rosier sauvage a une telle vigueat de veg6-- tation.qu'il produit constamment des tiges secondaires, et cette fmculté devient pour Ini un besoin impérieux, lorsqu'on. limite par la greffe le développement de sa tige principale. Le nombre des rejetons qui sortent de la souche angmente sans cesse, malgré la surveillance la plus serupuleuse ; la téte affamée cesse de croitre et finit par périr. En Angleterre, les , borticulteurs les plas habiles ont trouvé le moyen de proion-- gor la dorée des Rosiers greffés sur Eglan-- tier, en les déplantant tous les trois ans vers le milieu davril, avant la reprise de la vé-- gétation. Ce. procédé est devenu aujour-- dhui d'an usage général : roici comme on le pratique. On retranche avec le plus grand soin les ragines endommagées, on raceourcit toutes les racines bien portantes, on supprime presque tout ce qui 'peut 'exis-- 'ter de chevelu; gui se trouve, & cette bpogue de lexistonce des Rosiers, on nul, on pres-- que mort ; la tdte est en méme temps sou-- mise & une taille sévére, qui provoque une pousse active; la terte des trous est ou te-- nouvelée, on engraigsée avec du famier trds consommeé ; le Rosier ainsi disposé y est remis en place presqu'aussitét ; Popération doit étre conduite assez rapidement pour que Ia racine du Rosier ne reste pas exposée & Pair an--delA du temps rigoureusement indis-- Quant aux Rosiérs en buisson, qui font partie des massifs dans les jardios, payea-- gets, il suffit de les tondre, sans aucunes cérémonies avec une paire de césailles de jardinier. I §hi uP L Prill . Quelques séries de Rosiers, dans lesqueis on recherche la floraison la --plus abondante possible, ne se taillent point du tout ; il suffit de les nettoyer des branches mortes ou souffrantes, et de supprimer de temps en temps les ramemux surabondants, qui ren-- draient les tétes trop volumineuses et trop épaisses. . Il y a des Rosiers qui, comme le Rosier & cent feuilles ordinaire, supportent tres bien au printemps® le retranchement de toutes les pousses destinées a fleurir. Cette suppression les force & émettre de nonveanx jets, qui fleurissent & Pautomne ; cette so-- conde floraison est souvent 'plus belle que n'aurait été celle du printemps dont on a fait le sacrifice. TL ne faut pas cependant soumettre les Rosiers deux ans ie snite & ce traftement, qui ne peot étre «ppliqué qu'aux sujets les plus robustes. Shode viciouso prifiqnée par des nnpracents, et qui cause la pérte .::'fiud nombre de Rosiers greflés. Le lo plus favora-- ble poor tailler les Rosiers délicats, et meme toute espéce de:Rosiers,' c'est celui qui stit immédiatement ia foraison. On peut alors, sans aucun risque, supprimer le bous épuige, et raceourcir au 'besoin'.les jeanes branches qui vienneat: de porter Jear contingent de 'mua,'n les rabat toujours sor unben cail accompagné duue fenille: en bon état ; on les laisse ainsi prendre de la foree jusqu'au mois d'octobre.. On supprime au.priptempe suivant les branches malades ou défectuen-- nes dans leur forme. En général, lorsqu'nne branche fait confusion on qu'elle prend.une mauyajse direction sur un rosier: bien por-- tant, on peul sans inconvénignt 1a supprimer, quand meme elle n'offrirait point & sa base «d'cil pour la remplacer; ie bois du Rosier manque bien rarement d'émeitre plosieurs jets, dont on conserve le mieux placé. Ovawa, 15 mai 1862. wieux bois est rabattu tous les ans sur un jeune ramean de Pannée, qu'on taille lui-- méaie sur un ou plusieure ye@k,° en raison du nombre de roses qu"l.goit donneét Panneé '.""-"'h"-"nh.b.-u.. quelle attaque d'mbord.. J'ai cberve que celle moisissure paraissait avee plus de violence, quand in terre était on trop humide, on trop épuisée, on lorsque les. plantes étaient trop serrées ou mal aéréce. Tamax vas Rosizas. Pour produire des flears parfaites, les Ro-- siers de collection doivent dire taillés aveo beaucoup de soin, nou dans l0 bat de leur faire porter ie plus grand-- nombre de fleare possible, mais poor obtenir seulement an nombre whodéré --de.irds 'belles roses. Le ne im Un Amateun. a 6 noti