velle--France et qui venait voir et ju-- ger par lui--méme ses freres du N]o«- veau=Monde, connaitre l'influence, le commerce, l'industrie lg'e ces pnuv;;: Esquimauz, vivant sur ces e im des cabanes ci et id .'-ia I:' surface ces quelques cents arpents ige, appartenant autrefois a fou s."ffi- jdii Louis XV de glorieuse mé-- molré, Depuis son retour en France, M. Rameau s'occupe spécialement, et T'on pourrait dire presqu'exclusive-- ment de la Colonisation Canadienne, de notre industrie domestique, et il e:lb!i' une l'ddo d;études l;_ll' le dé-- pement de la race frangai lm?b l'Europe; car eomm?'l": dit, un de nos confrores Louisianais : M. Ramena suit aves une émotion r Pexode wulio:;l ilvgnontre .proscrite repousaés de la Virginie, menacés d'dtre vendus oomn?: os-- la Pensylvanie, accueillis au Maryland,: dans la Caroline du Bud et dans la Géorgie; fondant a : Domingue la Bombar-- dopolis, (qui : fut lors du as des 'blance; se fixant en Lowisiane, aux Attakapas et fondant :t"mn St. Jacques et Ascen-- sion. . in s'incline sur les re« gea . par les vaincus et temble Jos reoncignements ot do-- --.\Cest avec bonheur que nousavons salué--son arrivée sur notre table, d'antant dpllll que nous avons été heureux de voir parmi les noms de ses collaborateurs les plus distingués, celui de lanteur des Frangais auz Colonies, M. Rameau, que nous avons tous vu, que nous avons regu & bras ouverts, car c'était un frore d'outre-- mer qui avait bien parlé de la Nou-- L'Economiste Frangais du 10 avril, e politique des Colonies Fran-- :fi. public & Paris sous la direc-- tion--de M.Jules Duval nous est LW Le Bureau du Courrier se trouve--maintenant Rue: Clarence prés de la Rue Dalhousie, a la résidence (du Rédacteur. Les personnes qui désirent annoncer, ou transiger quelques. 'affaires quelconques sont priés de s'adres-- ser directement aut Propriétaire-- K¢Conrriet ®ttatoa Wm{xzflhfiiflqml'ou ie tang ies * * _0 *~ Nos m?l"f voudront bien a; rappeler qu'il faut se soumettre nos Mgl'om d abonnement--qui sontQCFeParasuss p'avaxncs._@21 Ceux qut nous J?'m' pour un semestre ou deusx, doivent compren-- dre--qu'il serait enfin temps qu'ils se ~mrendissent d nos justes deman-- . .'&'h ods de quelque différend en-- tre los res des écoles catholiques -'.Ufl sbparbes et les surintendants lo-- cadx coles communes on autres autori-- the 'mnuicipales, l cas en litige sera rea voy 6 an surintendant en chef de l'éducation pour le HautsCanada, qui en décidera ' d'aprés Péquité ; i1' pourra 'néarimoins dire appelé au --conseil 'de 1instruction publique dont le jugement sork figa! dans tous les cas. ' 22. Dans toute école catholique romaine sbparbe;.auoune régle no sera mise en force pour-- ou la direction de --taile école, ot aucan: ne isera introduit ni prohibé sane ion des syndics d ces écoles gatholiques romaines séparbes. Colonisation Canadienne. J. E. Dorion, Redacteur, Ottawa, 8 Mai 1862. # > 'p-or'upl de y :n"n-,-'m'- amunes,-- ne seront point obliga> r les écokes catholiques romaines Je# syngies de chacune de > poutront prescrire Pobservance res congés on vacances qui lour r-bhu pourva toujours que jours d'boole, dane toute bcole . romaine séparée, n'exceds pa« asuf jours dane la premidre muitié oi @ent seize jours dans m-mm colonie nomade et serout 10e Eu'bfiolpqn 'btabli dans cos missions; y 3 + Brde > wm- fautil & un pan a yu qi | vent, les députés Hant--Ganadiens ont *.'l"'.'l!':é'- [ivatione do o6 gonre aves se voix & demandé anx tants du Bas--Ca-- nada, s'ile lum':én& sous quelqne rapport par l'intolémance de lears compatriotes catholiqnes ; on m'a in-- variablement répondu que les catho-- liques étaient les hommes les plus to-- léranta; qu'ils faisaient & toutes les .'.'dflflh hw Ni berté d'action, dans I' de leur wua---mcmm mé & leurs enfants. Trop son-- Jo ngren' e, dit--il que les Hons. méssieurs qui ont Mtq Papposition & cette mestre, n'aient bgu manifost6 des sentiments fl" libéraux_ envers la minorité ique du Hant--Ca-- nada. Qu'ils nr:m'llun done le noble esprit de 1i té des catho-- liqnes du Bas--Canada. Ont--ils refu-- 86 . d'6tablir des écoles protestantes, dans Tour spotion 1 Bion ds Tfois, Fal Lorltgne j'ai présenté cette mesure, dit M. Scott, des membres de Poppo-- sition ont accusé le gouvernement ; ces accusations sont injustes. En 1859, un projet de loi semblable fut soumis devant cette chambre, et le gouvernement, en masse, a voté en s faveur. -- L'année suivante une me-- sure analogue fut de nouveau pré-- sentée et le premier ministre m'assura que le gouvernement lui donnait son assentiment et son concours. La loi que je soumets aujourdhui a son en-- tidre approbation. Je prends done cette occasion pour déclarer empha-- tiqtement que tout reproche adressé aux membres de Padministration, re-- lntivement a ce bill, est injuste et malhonndte. M. Scott pense que les sentiments hostiles .,"; éc:hl-d'hpnb:, notl:t u'entidrement di lans le mt-(}.nudn. Le -n:!nnndnt de Péducation, M. Ryerson, est favora-- ble & ce systame. _ omcs Fuluité de cet habile homme d'Etat, wi parcourait triomphalement plu-- sieurs , cointés du Haut--Canada et se prononGait partout en faveur d'un systome trds--libéral d'écoles sépa-- La passation de cette mesure amé-- liorera la position des catholiques du Haut--Canada. M. Scott a déclaré que Fopinion du gouvernement était favorable & son %())ill. Nous n'avions Fu besoin de cette déclaration, car la connais-- sance que nous avons des idées libé-- rales de 'Hon. J. A. McDonald, ne nous laisse aucun doute sur see sym-- thies. Dans le temps méme o% ,: organes de M. Brown faisaient dee offorte onrages ponr miner in po-- Depuis ses: chaussures juequ'd la tqu,l sorte de bonnet qnijmm sa tote, il fagonne tout luiaméme; quand I'hiver si long rend on ce climat tout labour des ohnmgl impossible, i1 uti-- lise son temps dans ces fabrications domestiques. -- T tire toute sa nourri-- ture de ses récoltes ot deses bestiaux; ce méme bétail lui fournit le cuir et les étoffes dont i1 se sert (il tanno lui-- méme ses dgnmx et file sa ldneg ; la fordt lui me les matériaux de sa f'h.im, dor],é:.l:lomfln et ?e son s ln≥ e et au sapin che il emprunte son sucre etpn f&: son ; avec les os, les lgruuu et autres débris du ménage, il fagonne lui--mé-- me son savon et ses chandelles; me-- nuisier, charpentier, charron, peintre et vitrier, il no lui resto mzue rien & acheter que les .objenfrem.ul; or, ainsi qu'il arrive an bout de q:eléu-; années & économiser le capital d'une houndte aisance. il se procure de largent par la vente du .m d'énble,'gelt p.truu et de | exvedabt de: 205--reoaltes. «of o onl Discours de M. Scott sur le Bill des Ecoles separees. lus i1 rounoii. par son -- industrie, rw!unt' rer des pmuih brute ipoli prés toutes: les nécessités de Vexis-- tence. Par la riguenr-- méme du.climat, ls rudesso de sa 'n':' ot par ses mtn- des simples et industriouses, le Cana-- dien u? éminemment propre & sur-- monter ces difficultés de la colonisa-- tion, +I1 demande du reste & la terre pou de revenus en 'argent, il attend surtout des: matériaux ; pour le sur-- (?dutflum en moyenne on ne peut pas 6vi & T rnnomm m Preos n une pour former un nouvel établissement ; encore faudra--t--il se résourdre, pen-- dant les prenfidres années, & une ex-- wa-zumduotlnnvhut- ble régime de privations. Mais cette nécessité se retrouve dans toutes les colonies du monde ! chement ; dés qu'ils arrivent & avoir fait quelques barils de potusse 6t mis leurs semences rre, ils peuvent se considérer n:::i"rh J:.bh. sauf maladie on aecidant dans les ré-- de tels (A continuer.) 6 T UrbpLn As . & ' "uef 2 B" oo pima frere gue is demane -- ** Comme probablement ces ouvrages n'a-- vaient pas é16 prévus, on no s'btait entenda wveo les entraprencurs, ni sur leur valour, oi sur la manidte de los mesurer ot cas derniers «* Quand jo pris la charge de Commissaire des Travaux Publics, en juillet dethiet, jo trouvai les plans des édifices d'Outaouais diya arrdiée, les contrats rolatifs & coux du Parle-- ment et des départements publics signés, les travaux de construction considérablement avancés ot des matériamx on grand nombre préparés at en voie de préparation. * La grandear de ces travaux ot la déponse qu"ils avaient déjd entrainge me portérent & consacrer sans retard autant de tempsquo me lo permattaient les autres matidres impor-- tantes ot ines autres devoirs & 'étude com-- pléte dos détails: tel que étendoe de Pou-- vrage fait, le montant des paiements, la pro-- portion PPouvrage encore & faire le montant de 'appropriation non encore dépensé, etc. * Le résultat do cette investigation me fit connaitre qu'on avait fait des ouvrages con-- sidbrables; autres que ceox mentionnés dans 16 contrat ¢t que lee paiements avaient ab-- sorbé, on & peu prés, Pappropriation. La discussion a 616 soutenue presqu'enti¢-- rement par les dépuiés .du Haut--Canada. Toutefois, monsicur McGree n'a pas oru de-- voir garder le silence dans une circonstance si solennelle. I! aé6 éloquent, mais son éloquence était empreinte d'une menace si foudtoyante qu'elie a beancoup contribué & faire veter la preeque totalité de Popposition du Faut--Canada on favear du projet de toi de Monsieut Seoit." Noml -mpmn;m du Jtdnmnil de Québeo la partie du rapport du minia-- tre des travaux publics qui a trait aux biatisses d'Ottawa. «* Le projet de loi de monsieut Seott dépu-- 16 d'Oitawa, au sujet des écoles séparées du Haut--Canada a subs sa seconde lecture avant-- hiet. . La majorité en faveur du principe que comporte ce nouveau projet de loi a 616 écra-- sante el siguicative. . Ce vore équivaut pour ainsi dire & une conségration du principe de Ia liberté de conscience en favenr des catho-- liques du Haut--Canada. _ Les dernibtes heuros de Ta séance de mer-- oredi ont 616 consacrées dit notre confrére & Im discussion du bill des écoles séparées. BSnivant nous, M. Seott a parlé beaucoup trop longuement pour faire valoir une cause gognee, cat la majorité de in chambre, i1 le sait, est on faveur 'de son bill, qui, du reste, ne inodifiie pas exsentiollement in loi exis-- tante, mais 'en perfectionne seulement le mécanisme. Le principe des écoles sépa-- rées non--seulement se trouve dans la loi ac-- tuelle, mais encore il a tellement fait de pro-- grds dana Popinion que le Surintendant de Plostruction publique de Haut--Canada ne craint pas de Paffirmer tout hant. Méme ceux qui, par principe, par antipathie oo par la peur des électeuts, ont parlé hier contre le bill de M. Soott, méme ceux--lA ont parlé avec une modération & .iaquelle les murs legislatifs n'6taieut pas habitués, et ce« ln augure bien pour Pavenir du pays. . L1 n'y a que M. Fergusson qui; dans son rude lan-- gage, a conservé les allures brutales des. haines pansées. Mais il passorn, lui aussi, car ls justice se.fait jour et la conscience du eatholique ne sera pas exposée & périr dans ces écoles dont est bann1, en principe et en pratique, enseignement religieux, mais on reste en permanence le préjugé et Pantipa-- thie contie le catholicisme. traité celui du Bas.daus un esprit de justice et d'amiti6, les choses auraient suivi un autre cours. Plusieurs fois, pendant cette ses-- sion, nous avons g'n srplmdir & Pex-- ression de somblables sentiments. Seci rouve de plus en %l)ul Ia supé-- rioritg de la :rréunut on actuelle du Haut--Canada sur Ia précédente. A part les grits encrofitée, lo libéra-- lisme fait d%r progrés dans les esprits. Nous voyons par le Journa! de Québec que le bill de M. Scott que, nous publions sur notre premidre page au. sujet des écoles sé-- parées passera sans aucune difficulté. i Personne, d':nn: lo;otu ehqbn&ditf , me possession de 'sa Te cenaes mpri ies n'une m religi est pos 3&, en Canada, Je Imdor:l': les eatholiques du Bas--Canada ont ja-- mais: opprimé ow tenté d'ogpri-n leurs co--sujets protestants.: : J'ai--con-- nu bien des catholiques; et jen suis venu & l'opinion que leur église ex-- erce la plus heureuse influence. . Je fais cette déclaration le plus impar-- tialement du monde, car je suis mem-- bre de Péglise CAngleterre, _ _ ... .:Ces idées sont élémentsires, non 'uuhmt au point dommunhnligu, wais au point de yue de ls stricte justice u: de la &o)dchmw n. Clom ment tout it t--i se fi)urvoy:r'jml'lpo lgi':?';:'mln&: en contradiction &ves idées? C'est _ M. Rankin a laissd tomber de sa bouche des paroles infiniment élo-- giouses et pour Ia religion catholique et pour les catholiques eux--mémes. -- Sot vine 16 fynatisine soul x Nous lisons dans la Réforme cette heure. ' La discussion scet toute entidre entre les députés n Hant--Canada, t je le constate avec esucoup plus de modératoin que o de l eglise d Angleterre. ' Bi le g?l_xp-le du finfi Canada avait Edifices do POutaouals. Les Ecoles Separees. dn Canada dans cette branche dn commerco, sar le revemu provenant Oe monsieur donne dans cette lec-- mm'-l.l':lhm"nh connaissances qu'il a aoquises dana .vid\.nn&h-r'hm du Canads dans cette branche dn * J'mi fait prépater pout Votre Excellence de grandes et magnifiques photographic® des Sdifices parlementaires et départemen-- taux, tels qu'ils étaient loreque fut arreté Pouvrage. Un diagramme qui accompagne ces photogtaphies indique les points on alles ont ét6 prises et les portions des édifices qu'elies embrassent. Nous accusons réception de Ia lec-- ture délivrée a 7 Hall, Ottawa par Cheo. H. Porry Rer. Vice Président de Passociation des Inspec-- tenrs de terre de cette et de I'Institnt des Irb"d ot ds architectes Mw nhmhm de TOttaws, sur le commerce d'en-- trepot du Canada. . ~ _ =_ "* La aubstitotion, avant que j# sois entré en charge, de la pierre de 1'Onio et de Na-- pean et d'autres pierres & chaux que T'on pouvait se procuter dane le voisinage, a aussi beauedup contribué de Paugmentation du coft des 'bitisses ; mais on pensait que le style de Parchitecture adoptée rendait ce changement 'inévitable, la grossidre pietre a chaux otintailisée du voisinage ¢tant re-- gardée comme impropre ainai que sa cou-- lour aux petites et délicates moulures et an goure gothique. *# Les apendices relatifs & ces ouvrages sout trop volumineax pour entrer dans le rapport général do département ; ils seront sonmis séparement & Votre Excellence. «* On m'a fait rapport que tous les ourra-- gos on! 616 faits avec beaucoup de soin et loraque les 8difieda 'seront termings, ils an-- ront une apparence imposante et feront honneur & la Province. «* Une antre portion considérable de Pex-- cédant trouve 8a raison d'dtre dans les moy-- ens adoptés, (subséquent d la signature du contrat) pour mieux protéger les &difices contre le feu et qui consistent dans Pemploi des soliveaux en fer dee planchers concré-- fiés etc., eto. au liew du bois, dans Pagran-- «issoment de quelques uns des édifices ou on avait besoi de plus d'espace, dans Paug-- mentation des dimensions des murs en bien des cas, pour plus de solidité, et dans Paug-- mentation des fondations trouvdes nécessai-- res & la suite des excavations. «* Tous ces ourrages ont concouru & aug-- menter considérablement la dépense. -- ** Cest le systeme d'égout. de chauflage et de ventilation, adopté qui a causé la 'trés grande--somime d Pexcédant de la dépense sur 'appropriation en exigeant des excava-- tions profondes ét étendues dans le roe vif que devaient hvw les canaux d'égodts, les conduits dair "chaud et d'air froid, etc. De méme. im quantité de magonnerie et d'wvn'-fl brique a 616 considérablement augmentée (ainsi que le prix de la brique surtout) poor Pérection d'un nombre immen-- se detoyaux et d'autres ouvrages dispen-- dieux requis par le aysteme. «* Ces_ derniers ouivrqu ne forment pas pattie des contrate, «* M. Killaly prépare et fattends instam-- ment un rapport complet et général de toute Ia dépense jusqu'au premier octobre dernier, j le soumettrai & Votre Exoelience aussitét que je Paurai regu. <« Dans ce qui précéde ne se trouve pas compris le montant du contrat de M. Garth pour Pappareil du chauffage et de la ventilu-- tion, lequet est de $61 285, et dont $35,170 28 ont éte payées & compte. «* Dans ce rapport M. Killaly évalue Fou-- vrage fait et les matériaux livés josgn'au ler octobre & $1,363,597 55 ; les prix pour tous les ouvrages nommés au contrat sont réglés par le contrat méme et ceux des ou-- vrages extraordinaires par une cédule qu'il a faite aprés avoit examing im correspon-- gdanee qui a eu liew entre le departement t les entrepronours sur le sujet, avoir entendu Pexplication des contracteurs et uvoir pris des thmoignages pour s'assfrer du coit da transport et de la préparation des tnatériaux da minage dans las carrietes, etc., etc. Ofteouais pour y prendre les arrangements erdounés et faire son repport. lativement a ces divers points; jo erus qu'il ne me restait plus d'autre temede que celui de soumetire toute Puffaire & quelqu'un qui n'aurait préalablement pas 616 concerpé dars ces ourrages ni en tragant les plans, ni en les ondonnant, qui fut conséquement en-- tidrement désintéressé daus lo résultat, ef dans le jugement et Pintégrité duguel le gouvernement put avoir. confiance. . Le ehoix tomba sur IPhon. M. Killaly, et ce monsieut regut instruction de se rendre & @* Par suite des différends qui existaien entre les entropreneurs ot les orficiers du dé partement, il me devint évident que nul ar-- rangement no serait possible entre oux, re-- fair« on & fairg, (06 iusistant toutefois qu'on #'on tint strictement aux. prix statués pour les ouvrages nommés an contrat), de faire faire un rapport complet de Péiat des tra-- veux et use estimation de is somme qu'i taudrait pour les. compléter. Hes© ' . je ourai at-- soo titre se -- également aux outra-- ges mentionnés 40 contrai et sex oovrages # Avant devsignor los contrals, les ontre-- preusars protesiérent conire is cédule, affir-- mani qu'elle no devaii point affecter ies ou-- vrages exiracidinaires, mais simplement les més mu cootral,' Cols fut admse par ie de-- paitement qui reconnut que les mote * e aus-- 1i pour cunrages extracrdinaires " avaiont 16 laissés per mégarde dans le titre de in cédule, ot, en consequence, les officiers do département rapportérent les cuvrages exiru-- ordinaires et le département les paye & des prix bien autrement élevés.que coux. de is cédule. . Mais\ les contractenrs objectérent méme & ce« demniers prix qu'ils declarérent in;'u.-ul-h-n;mntanu-mph-: ments progressils. \ ** Sous ces--sirconsiances, je crus qu'il blait sage d'arréter les travaux de prondre les moyous de protéger les batirses contre les r:-- goours de Phiver qui approchait, de faire etablir des prix équitables pour les onvrages tioes progressives étaien' injustes ot dispro-- Quoknec, 24 avril 1862." «* JOSEPH CAUCHON. " Ministre des Travanx--Poblics Jeudi soir le 23 nft., ont liea une i o mariaiks 'on or-- sous le nom de Société Bienveillante et Nationale de la St. Patrice. -- Les officiers suivants farent élus : Nominations. |l. golée, ni Phumidité ne puissont les at-- W#oors. teindre. Son Excellence, le Gourerneur Général, e ty Daums, a bien vouin, par minute en Conseil du 24| Pendant le temps que les tubercules du :"-"" 'f"'"'- approaver les nominations | Dalhia passent en pleine 'terre, ils ont sur-- Cike 5 4 o vecgss tout & redouter les attaques des larves du Comté d'Ontaouais. -- Maniwaki : MM. Charles McArthur, Mortis Lynoh, André | B220¢t0n (/rappe--abord) counves sous le Comté d'Ontaouais. -- Maniwaki : MM. Charles McArthur, Morris Lynoh, André Auget, Benjamin Rivet et Michael Moore. n«n comté.--Cameron et Bouchette : M l'm?- Nanlt, Joseph Gronix, Gabri-- ol Neven dit L-:'.J.h Johnson et Thad-- deus Lynch. Méme comté.--Wakefield : MM. , Tho-- mas Cassidy, Michae} Plunkett, Patrick Far-- rell, John Iolly et David Cahill. ":ho u-u.-'fi.' ot Kmlhl:gl: . Joaeph Lafrance, Augustin tet, Paschal Barde, André 'Boismenu et John 8OCIETE DE BIENVEILLANCE e Contre--Kerr, Preston, Abbott Bérichon, et Kennedy. Propoué' en amendement par 1'E-- chevin Porkins, secondé par 1Eche-- vin Skead, que le mémoire de A. Workman Ecr. soit référé au Comité de la Finance pour qu'il en fasse I'IJ)- m: la prochaine assemblée du 'I---As:;ztb. Pour--Perkins, Con. Seott, Skend, Lanigan, Heney, Traversy, et Tur-- Pro 1'Echevin Preston, se-- ooudégp:él?t%fiillet Abbott que le mémoire d'Alexandre Workman, Eer. maintenant lu, soit regu et réfé-- ré au comité de la Finance avec ins-- tructions an dit Comité que les bons mentionnés dans le dit mémoire soient liquidés de snite. o Ti fut alors proj le conseil-- ler Abbottl loeolfi:é l:-alre conseiller Kerr que 'échevin Eea occupe le fauteuil.--Adopté.-- Le Président présente un mémoire d'Alexandre Workman Ecr. deman-- dant certrins bons de la corpora-- tion tenus par lui comme streté pour Pargent avancé par la Banque de Montréal et prélevé sur des billets promissoires faits par le chambellan de la ville, et endossé Enr Pauteur du mémoire. _ Le nombre des bons de M. Workman s'éldve d 126, mon-- tant en tout a $13,223 50. Hotel--de--ville, 28 avril 1862. Présents :--Les Echevins : Lees, Perkins, Skead, McCormick et Pres-- tonm ; les Conseillers :--Seota Lang-- ford, Lani Kerr, Abbott, Graham, lionnady,g.}li'eney, Turgeon, et Béri-- chon. Les minutes ayant été lues. . Le Greffier de la cité annonga au Conseil qu'il avait regu un manda-- mus du }ganc de la Reine qui annu-- lait Pélection du Maire 30 la cité d'Ottawa, et qu'en conséquence il se-- rait nécessaire que le Conseil se nom-- ma un président. _ Nous espérons que la mesure de M. Scott sortira vicldrieuse des épreuves du comité auquel elle est raferbe, ot que la troisi¢me lecture en seta facilement obtenue. M. J. Smith, boucher, a aussi déménagé ; il a changé d'étal ot s'eat transporté dans la Rue Sussex, porte voisine do la boutique de M. N. Germain. L'Hon. Sol. Gén. Ouest M. Patton, a é1é élu pour cette division. annonces que M. 'Chs. D. Reymond bijou-- tier ot borloger a déménagé de is Rue Sus-- sex dans la Rue <Clarence troisizme porte de chez le. Dr. Dorion. M. Reymond a prouvé en mille circonstances que comme cavrier il ne pouvait étte surpassé par ces ri-- vaux. Nous les journaux « Nonali pee ptos 4 Sarde saulles & été élu président de 1'Incti-- migh o O k Phea aud ler t de 1'Insti-- gnsud ie Di préad --Nos remerciments & qui de droit pour Penvoi du Rapport du Commerce «t de la Navigation pour 1861 et de plusicurs antres documents parlementaires. tention la plus sérieuse de nos légis-- reuse L"n:b'hu de la ;l:uen'w- Le commerce tout iculi tfopet in Craute minke dhe nes Pimportance qu'il y a de ue point Taite driker io lols debier. _ ** _ Le commerce tout particulier d'en-- _ Nous eroyons done ave seur qi Pepimait nvam Je vendre aux immigrants d'Enrope qu'avant d-ndfiun-.beulouo?:wn, ne fut--ce qu'su point de Péconomie moins faire comprendre & ces person: F1 s P EGPSENT iA C3 ;i:_ll'-hill y l wans % +A adinmae dn P. O'Mears, P, Kildoff, ot genéralement, ils ne compren-- l-?,.'- a-nn.'ripmloh.'u murché, qu'il est du devoir ver nos foréts de is destruction, en sysnt des reglements 'ris . en force John R. White, John Eowaro Sarru, Eor. Président ; P. V. Flynn, M. 0. Gara, Nos lectears de --la ville liront dans nos M. Porry ajoute aue is vaste ma-- | landais, Allemands, et Norvégiens | ©CONSEIL DE VILLE. Division Saugeen. s agiral lor Vice--Prés. ; ant. Pat-- vent lui faire découvric. La traisidme nuit, il veilla wveo de in Intlidre, ot ptit 1s con-- activement in chasse & ces insectes nuisi-- Nu.----bli-l-lipn.-li-p-. qui s'en prennent, comme les perce--orcilles, mox boutons des Dalhins. 11 y a qoeiques années, M. Pirolle avait rega d'Angleterre un Dalhia nouvean dost il attendait in fle-- taison aveo impationce. La piante ne por-- tmit gue trois boutons. Pendant deax nuits consécutives, M. Pirolle vit deur de ces boutons, devork par an que les recherches los plas mhintioases no pa-- rent lui faire découvric. La traisidme nuit. mnom de furcs ou tvers blamcs. Un labour préparatoire, | profond -- ot . trds soigné, par tranches tres minces, permet bien de dé-- truire tous ceut de ces insectes parvenus & Pétat de vers blancs; mais le meilleure moyen de destruction pour ces ennemis du Dathia est peut--dtre celui quindigne le c¢-- lébre horticultent Frangois, M. Pirolle ; i1 consiste & planter de bonne heure au prin-- temph, on fraisiers ot en laitues, plantes dont les racines sont recherchbes avidement par les larves du hanneton, Péspace que les Dalhias doivent eccuper plus tard. A me« sure quan pisd de fraisier se fane at langnit, on Penlave ot P'oh trouve Jes larves réunises n grand nombre sutoordée imracine.. La courtiliere on taupe--grillon, . heareurement moins commune, main plus destractive en-- core, les perce--oreilles, qui mangent les bou-- tons ot les fleurs des Dalhiss, se détruisent besncoup plus difficilement. I! fant donner Aprés la floramon, il n'y a pas d'inconvé-- nient & laisser les tiges se faner sous linflu-- ence des premiéres gelées blanches, qui mne sauraient atteindre les tubercules. On les,déterre apris avoir coupé les tiges fétrics, ef on les conserve dans du sable sec, on méme simplement & découvert, sur des dres-- soirs, pourvu qoe ce soit dans un local on ni In gelée, ni Plumidité no puissont les at-- teindre. Les tiges de Dalhia doivent étre solide-- ment assojéties & leurs tuteurs par des liens qu'il faut visiter souvent, surtout aprés de grands verits et des pluies d'orage, parceque Pinsertion des tiges sur la couronne est trés fragile et qu'une fois renversée, une tige chargée de boutons ef de fieurs ost & peu pres perdue. L'art de Phorticulteur ajoute beaucoup & la beaoté du Daihia par une taille raieounée qui, ne loi laissant quun nombre de tiges en proportion avec sa force et sa hauteur, lui fait former une téte ¢lé-- gante, 0h le feuillage est ménagé pour faire valoir et ressortir la richesse de in fleur. Oa ne peut espérer une floraison parfaite en laissant développer tous les boutons de cha-- que tige ; il faut supprimer tres jeunes cenx. Pon juge superflus ; on a soin, pour ne pas déparer la plante, de couper les pédoncules de ces boutons le plus bas possible dans Paisselle de la feuille on ils ont pris nais-- sance. On peut modifier & volonté les di-- mensions d'an Dalhia parla taille. . A Pépo-- que de la mise en place, on a soin d'enterrer les tubercules assez profondément pour que les deux yeux les plus voisins du collet soient recouverts de trois on quatre ponces de terre. . L'effet de ce traitement doit étre de faire pousser & la plante une forte tige principale et deux drageons. La tige se taille au nivean du sol, lorsqu'alle a atteint Ia hauteur de neuf pouces. Huit jours aprés cette taille, on retranche de méme au nivean de terre 'un des denx drageons. Le seul drageon conservé, affaibli par les deux per-- tos successives'de séve que cause & la pian-- to une iaille opérée au moment oi la séve est dans sa plus grande activité, n dépas-- sera pas la hautenr de trois pieds, et no for-- mera point une touffe énorme comme si la plante avait éte livrée au cours naturel de sa vegétation. FLORICULTURE-- DALHNA, pétams pe cvuturk. Les Dathias mis en place dans un sol bien préparé n'ont besoin d'dtre arrosés que dans le cas de grande sécheresse, long temps pro-- longée ; on leur donne alors un peu d'cau, mieux le soir que le matin, et Pon cease; dds 'qu Phumidité de Patmosphére ie permet. 'Des arrosages trop fréequents 'et trop abon-- dants n'altéreraient pas d'abord les dalhias dune manidre bien sensible ; mais lorsqu'a prés leur floraison, i} s'agirait de retirer les tubercules hore de terre pour les conserver, leur substance charnue se trouverait telle-- ment aquense, qu' peine hors de terre, elle commencerait & pourrir, 'et qu'on perdrait ainsi presque toute Ia collection avant le prin-- temps suivant. Dans les terrains trés secs sujets & se gercer pendant les grandes cha-- leurs, on peut conserver au pied des Dalhias un degré dhumidité suffisant pour se dispen-- ser de les arroser, en y déposant une petite quantité de fumier d'étable qui servira de gooverture et «'opposera & I'6vaporation. Mais ceite pratique, bien que bonne en cer-- taines circonstances, est quelquefois dange-- reuse, parceque s'il arrive quelle soit insuf-- fisante et qu'il 'faille on venit & des arrosa-- ges méme trds modérés, Peau venant & tra-- verser la couche supérieure du sol trop fortement engraissée par ie séjour du fumier, porte sur les tubercules un excédant de. nourriture, doot Peflet inévitable est de ga-- ter enti¢rement Ia floraison ; la plante alors s'emporte, ses tiges et ses feuilles forment une épaisse touffe semblable & un gros ar-- brisseau; ies fleurs sont rares ot tout--&--fait insignifiates. \ L'lnstitut Canadien Frangais d'Ottaws, offre ses plus sincéres remerciments & R. W. Seout, M. P. P., pour Penvoie du Bill conceruant lea écoles séparbes dans le Haut-- Canada. Anrh-.ul du. Commis-- x'ni"danun- is Coaronne, pour Pan-- élu l.m-zuu' Guigues sera absent pendant Ta quinzaine. Sa Grandeur va visiter les maisons des Rev. Péres Oblats, dont il est le Provincial. A. une assemblée .du Comité de byie, Robert O'Reilly, Eer., a été P. H. Pidgeon, -- T evamiah Suifiven, W H. C. Carurron, dernidrement subitement ot fat en-- terré & la hate. Plusicurs autres Mlmoflnmunenqfih par le coroner, un jary fut asser-- menté et la bidre fut ouverte ; mais le wadavre avait ét6 enlevé ot is mopsnsai's. SA un La bidre vide fut trouvte dans ane ----Le :'Londo.l'm Pv-"rl: pors ou'en rerpectable habitent de --Une lettre de Mgr. de Montréal, datée dam;d'l':nn avril iel]'me;: et recue i ier, 'A -i::;tneenr du Dioeér.t mnofinit son heureuse arrivée dans is Ville Sainte, avec Mgr. de St. Hyacinthe, Mgr. de Hnmiltm': ot les prétres qui accom tent LL. GG. & leur dé-- part dum Au moment de me séparer de vous, Inissez--moi anssi vous dire combien i1 m'est pénible d'abandonner cgite parois«e, méme pour le court espace pendant leque! je. vais j m'absenter; mais affection que vous venez de e témoigner, et Pattachement que vous venez de me prouver adoucissent de beau-- coup celte séparation, car yous savez tous, combien il est doux & un. Pasteur do laisser derrire lui des enfants qui ie suivent dane ses dangers et périls par leurs prires et leurs yooux. Elle m?est sans douté bien chere cette terre que je vais revoir aprés de longnes années d'absence; je sens déja mussi ce que mou coour éprouvera en revo~ yant une vieille mére ot duutres parents ot autis qui ious me sont bien chers.. Mais soyez convaincus; qu'au milieu de ces allé-- gresses, volre souvenir m'accompagnera partout, et, quoique éloigné de vous, vous serez encore l'objet de mes vesux et de mes pridres. Taperons done 6t prions tous ensemble que Marie, notre Mere commune, veillera -rmdnrl-ipndulnhl.w, et que bientét j'aurai la consolation de me revoir au miliea de vous, pout continuer & travailler ensemble & ia gloire de Dieu. Nous vous souaitons done unanimement et de tout notre eur un joyeux et henreux voyage, un prompt et heureux retour : ce sont les veeux. que forment aujourd'hui, et que formeront jusqu'a votre arrivée, ceux qui ont été Pobjet de votre paternelle direc-- tion. Voici Is réponse de M. le Curé : Brex Crens Parotsstens :-- Cest done au milien des plus grands re-- grets et du deuil général de vos paroissiens que vons allez entreprendre un voyage doutre--mer qui ne Imisse pas d'éire rempli de grands daugers; mais confiants en la Divine Providence, vos paroissiens ne ces seront d'adresser leurs prigres au Trés--Haut, afin qu'il raméne sain et sauf,--au milieu de ses ounilles inquidtes, lear vénérable et digne Pasteur. Nous ne voudiions pas ici blesser votre humilité en vous rappelant les acte« nom-- breux de tout voire dévouement, pour la provpérité matériel!e et_ spirituelle de notre parvisse ; mais le Temple biti par voire hé-- roi@ue abnégation, 6t 'empressement aveo lequel tous vos paroissions s'assemblent autout de vous, & la veille de votre départ, parient et parleront & votre louange avec beaucoup plus d'eloquence que nous ne pourrious le faire par nos faibles voix. d'Aylmer, . les Canadiens--Fran-- gais, aprés la lecture d'une adresse présentée par los Irlandais : Monstev® us Curg,-- Permettez--nous aussi de vous expri-- mer toute notre--reconnaissance et notre gra-- titude, et de vous offtir avec tous nos res-- peots et nos vaeux. |'hommage de notre sin-- cére attachement. Dimanche dernier, Padresse sui-- vante a été R{résenbée au Rév. Fran-- gois Joseph Michel, curé de St. Paul --#* Voyez," dizent ceux qui veulent phi-- lesopher & tort ou a sais0n sur touies choses, ** veyez le Dalhia, qusile tize grossiére, quelles fewlles 'lourdes, quelle absence de fantaisie ! Tonjours des ponpogs, toujours du velours, des rubans, jamais de gaze, ja-- mais de dentelles et jamais de parfum. Cest ia fortune qui se pose effrontément snr les épaules d'un rustre. Vous faites. valoir in variét6 des couleurs, vous, granda ama-- !Dln du Dathia; c'est ce qu'il faut repro-- cher du Dathia ; roild le trait distineti(d'une basse origine. Le Dalhia ressemble aprés tout & I'humble pomme de terre, qu se con-- tente de son hamble position et de sou mé-- vite réol. Le Dalhim se teint des couleurs dautrui, parcequ'il n'en a pointqui lui soit propre. Le manant revét Phabit des gon-- tilshommes, il n'attrappe ui lenr élégance, ni lear esprit. Rouge, blanc, jaune ou pa-- maché; il est toujours le mdme, tonjours insipide. Cependant vous savez que per-- sonne n'a va le Daihia bleu. Onne le verra poiot! Vainement la foule des jardi-- niers et des chimistes, courtisans de la for-- tone, travaillent & lui donner cette coulear qu'il envie. Le bleu, couleur céleste, ap-- partient aux humbles. Liserons, violettes, pervenches, véroniques, . clochettes . des champs, bluets, flears des haies, fleurs des rochers, fleurs des herbes, petites fleurs qui vous cachez et qui ne voulez point briller, Dieu vous a colorées d'azur, & cause de cette modestie Sainte! Diew ne permet pas & Porgueil de revétir le charmant et glorieux embléme de Phumilité !..... I! n'y aura jamais de Dalhia blen ! ! ! Ariste d--u?" Une poignés de »'fi.d--'- de pate, sous de :"*-(- puissant d'nttiser les limagous, gt par consé-- hb'" Rereazous ¢a & £a son 1« Daroin On se dispute pas des golis ni des cou lears, / Le Dalhia, maigré ces beautée, no pial pas &tout le monde. Dans un frais parterre, moitié bourgeoie, moitié rustique, fih&.fi-tfi--ht--'u.-fi suriout les roses, le Dalhia doit étre rure, pour plaire & ceox qoi is détestent. 11 fant bien avooer qu'il donne prise un pee & in critique. 11 ressemble assez & ces grosses belies dames qui moot But qu'un saut de Puzrridre--boutique et de in manufacture & ia W.dolh---xhlh-m'm.,a.p tinenies sans esprit, riches sans élégance ignorantes sans simplicité. Ottawa 8 mai, 1862 Un Amatevn MEILLEUR ORIGINAL DJ SPONLBLE | A " Cal vill du Will