TEST - IPR records

Le Courrier d'Ottawa, 20 Mar 1862, p. 1

The following text may have been generated by Optical Character Recognition, with varying degrees of accuracy. Reader beware!

& AUD®, uesre | leer aux babitmy des environs, timént compler 4 * 6t d Hiver oo sement $es amis «t is 1 vient d'ourne fih «i bien con-- frire a ron &-- pied & ne las _ sera doujouns mieux sur ns pre rvyn-'-: * Qu'll en qy u003 1t 3. hex fut, ** 149 ng. IER, ENt e <a, halt io Sinat t de C clg $ CAmmn, 68 &+., &e, Nt tout .ce uoi «. des familles, 8T, 5 Atore Jns tas o + k Wik lt II cat convaigg, Mt Laine, en ville aree unes écaties, ut pout Sean «e 1Enscigns MARTNEq), RAL.' HE, OUSE IERE NERRY El aaly. .. 09 on P N L P IER X 20 der. TK 995 #it Jama, Paits a 1 Prasgy lo: pal ille, <. . Fuil gotier & mon ccr, Te i-'bp'thoou'i'm; Comine i1 a mécounu Trop souvent la verta. Mais va't courage ! passe ; Avance sur la trace De PPapotre de Dien : Comme Jui, dis adien A la vie indolente On vainement souffrante De la grando'Cité. Aves ta pauvroté; To foree, ta jeunesse Et ta foi pour tichosse, Pousse jusqu'ai confins, Oh les autres humnains N'oseraiont apparaitre. L4, tatiendent pout--btro La faim ot in douleur : L4 pour un dar tabout, To verras des 6pines Craitre entre les racines De maints trones matilés, Steriles 6t bruiés. Mais courage ! pionnier! Cest & toi tom métior, Qu'endurer in souffrance. * Val mon enfant, avance !" \ : Dit in raligion, Avee in nation. © Et moi, sans plus de donte, Continuant.ma route, hvhu-nl.u., :l.-'od-.lb-h le bruit de Porage On lo ori du Sauvave. LA, devant tant d®horreur, Je sentin mon ardear En moi préte & «'6teindre. Mais jo--n'ous rign & raindre : Pros do moi, Monseigneut, Voes mitzs un pastour, :'m.-phu oubliant los siennes, Encouragesit mon camt E: calmait ma donlour. Puis sa main toujours sire Guidait ma vie obscure, i Duas in loi da: Seignont, A travers le mathour. Ah 1 que do fois, vous mame, (Car votre grand comar aime Les paurres pionniers,) Que do fois vous venies Visiter loor chaumiare ; Soalager lear misdre, Versant sor lours sillons, Votre Ame ® patemnelie, _Loin #our, brile do sile ; B tit hater is joor > [x fertuné retour. pritizoes.. \ 68 pastaus .0 .\ Le VMV "nm""'" Re %Mdmfiahu .:.a;mud sourounée par un Chosur ui sont : ¢ialement raz':.d.?.-xfi'.'z funds qi im top E.,.';'-,.'t 'adresser & de Lui présen. :al see l&?:fi?-i Pissue . de """""'m"w_ 616 admiso Pordro.eal mxcu.l.a Pio.i-»().:?h.h v"?:v' Indien, Chichima, Le jeane fils PF_ Obccur «'Ouverture. Tnfi&-htu.-*"., Au bon Pasteur; qu'une longue prigre An-dvq:m.m.n' Terre chérie oh Wbm" RéjJouis toi, pisuse et chére euceinte, D'"lu-h,'n-unnhuhn-u, Nous coulcrons, sous s houlette saints, Desjours remplis d'un charme tout nouvean De paix dinnocence, Pendant mon Enfance. Puis pres du Saint bois, Dont les bras on eroix. Abritaient in pierre, O dormait ma mere, 3ai fait ma prigre, Et je adis parti, N'ayant dautre appui, Dans mon indigence, Que la Providence. Jo marchai longtemps !I. fl de mes pas errants En foulant Ja poussi¢re De la ville alti¢re, O tant souffrent en vain Je disais: Canadien ! Ici, le monde encore Retour d' ue Proxxier. Je suis Canadien, Pionior 6t Chrétien. T'ai quitté Tamilie, Chaumitro gentille, «O fai wu le jour. Pai laissé In tour De IPEglise antique, $ OIhllimfllnfiqn Qu'on chante an Seignear, A bereé mon cmar, O Tol! Maitre suprbme | ::':-ih-hu.n !+ tendresso exirime Toujours vellla--sur luf. To dirigeas sa voile, Sur les fot# ofageax ; To 6« briller Pétolle Qui Te rend & nos vosux. amoulte :C tation """,,"m:."k': '::rr-d cinloment 12004E an sont dane les foyere yY d College 81. Joseph. Coufficr » 4 mmare 02. sollicitude JOURNAL PUBLIR Dans Enfunts ¢u Digu, Créateat do n toire, 'Accompliseons ghacen notre métier Le gui travail wat ln sainte pridre : : Qof plait a Dieu, 'to sublime oavrier. de auin yenu remplif ma mission ; Et m'en retourne aujourdhai vers nos terres, En emportant ta. bénédiction. "* Viewx Chichima," va t ¥a dite a tes froren, Q-umulnhmnhl-mr, Le Grand 'Pastout, 16 pére des sauvages / 'Mmth'kflnlhl«ruflfl"fi. Et que bientdt, vers leurs lointains vivagos, 11 onverrs lo pore do ts paiz. % O Manitou t m&hlhuqh"lhltlll Mfi&mp'uf,}'nflmu LA ! fi, de P¥tiguotta ! J¢ mange sand servictie Comme en poorrait m'y voir Me moucher sans mossheir, Pain lo soir en familloy Mais in gaité francaisd Me vint avee le sang ; Je naqais en chantant, Main o'est surtont & table 'Que jo--deviens rima be ; Comme an bon owrrier, "y"".n.'ml. Onb-tgpnun Niest pas benpeoup pios fine Je monde #« chantior, . I-J-h" #on lard sans fourchette, Son pain sans panotier, Sen thé sns sucriers Comme un autre est pionniet. Ma besogne est bien dure : Car, tant que Phier dure, Au bois Ta hache en main, 6 »n chemin, :'mm * Sant q6 Hien he m'affcaic. uhm-h-nh-pn, Sut in neige, wix grands voris, Hnup-hmv_ :::-u'vuohu; en taillact, coupant, . -- Reotcant on fendant, Mol, Canadioh ! fort aise T Je suis Phomme au chantior Cest pourguoi jo travaille, Ei i peu, qoo jo. vailley Je.fais bien mon métier, Quand je buche au chantier. Ald.dcnm' ' ("'Pglthpub-) Cuoen ors Homaes pe C Oble LE YovaGEUr , quand vieat I-ior-un'l'-;n. comique ue *# Le Diable entournée." LB SAUvaGE a C Souvent, aprés Ja Cathédrale, o.a's:"u,u,}:,fi..;,.,., " Ia gloire de notre Cité, "Coit un Poo'ls ie mai da tempe; -- * ~* (Un bon mul toujours, jo mentends.) t'*l' fnit fop do n mundre ; guoun veild cous prélére ; 'M--fi.hm Parmi lee charitables . gene.) Allaz daue une grande villey O% in race des gosux foormille ; e ty Par 10 sauvés ils battent pour Paiter. Loin du bereail, {s poorront a'6carter, Mais & sa voix, He'réviandiont donifas ; Et, prés de lni, pour Tour verlus fragiles, t:w, afiqa sanée, & venir cette maun qui ne sait que benir, Cherchet un peu de se u[ig'u courige, Qui reconforie un chrétien duns Porage, Oh J b'ulm«lniquimhnldl &'ilfi.h'wmi. & son plus humble enfant, . rendto grice au Dieu de la tempéte Qui presorva getie si chére tete ! | 1 Ailleurs, on veut gue ja misére, Pour en finit, passe premidre ; .. Mais, is! Pon nia vous in sert, fi"hlu.mon'.nd-.m. Q--'.-d.)cmh'n-l..u; Bien plus, je sommence & m'y piuire. Par Et, quelque Toin des salutairos foutes Qu'il Foit leurs pas Tailli on a"6loigner, }" li' ""3':'# m'bu-'-r::, Tous ses moyens sont sa parole donee, Sn chirité u: fantaie no mmpoutsé Te vieas pbcheir qui so joua'n sos piode. Ainal bientt Pon a ¥u nos chantiory Réfleurit sbus sn 'piovse houtatto 5* * Nos 6@ruts sort tock devertas sa céndtidte Bs flw 4 .0 NET Asses chinté 1 Que mion u-;;ann. 1 Cest déjd benucoap trop de peine, Que de rester anssi longtempe, Debout, perché sar mes montants. Qui plus qui.moins; 0e nost pas grande altaite Ouf 1 mais artonds. T1 hrext Pb de brebis, Sur yui toujours n'ait ses yeux attendris Le bon p"lo'nr. 11 yeut los sauver tdutes ; ds | ols ABrait' . c LE BEQUILLARD, C est mon mal ; jo Je sens Mais que poutrais--jo y faire 2 Clueqn a sa misére ; ) 00 tout ¥a d travers. {Jo--enis un paavre hare ! Ety sansiaimer in gaerse; Ruand j'ai hamé mon coup, J"'"'" #n peu loup ; Je eherche d tous bataille je boxe--0u je chamaille, Méme quand je travaille, Uu.x'cmm compagnons, Jo siffle mes chansons ; Ma langue médisunte, M Bouffonae ou peu décente, Heurte plus d'un bon econt, Touche & plus dane fleur. On mait 00 q@H ior 66 tie ; En face dune goutts, Pout.matréter & temps, Mais toumons is médaille 1 l n'an--ent pan qui--vaille Sans un tristo fevers, Dune stur ou dun frére, d'adoucis la miadre, . En méiant, a4gurs pleure, Le frait de vie labeurs, Latd, aviton, eanot!1 . . ... Ju me fais; ce. qu'on nomme, Un fllneor, gentil homme, Ou bien, ce qui vaut mieux, D'unipare ma/houreax,. AR€sonoe, on dans io port, Lo tudeau, uuul::; Aree un chant de ; Vole. at Uuldt:'inlm Adors adied! radgun, ©last 1 pour moi den joux ; Le souyenir s'cflace ; Chagun passe et repasse, Ourre antant qu'l peat 1'gil Pour 6viter Uégueil, Aprés maini avarie, Euda Pheure bénie, _ Quand Is flamme patilie, On commence a jasgr. En avant is passé, Pour les rieillos Co sarm quil mieux, 'P"':' 160 vieux, Puis Wu.iq..' Puis eafin in musigue, Cat #eat toujoure par 18, Que le jour finive. Alore sur un oreilis Chacen de nous sompilic, Cest in le bena dté. Mais arrive P6té : NT e Sutis o hn i oo 1. 0 o a .. e o LES INTERM'S'FRANCO-CANADIENS DU CANADA CENTRrAT Bonvent &.Pari ""l'n"nl':: l:. Nows ons de tout, Saluons-- it trois foi ! Otlawa, 4 Mars, 1862. Refraih)--O1 Diea, ' a .Ouu_udbq is now bopane oo Craint do se mulu% Et qutalle me pourra Rébotnultte thot de b Toutefois la douee ; Nous revient, aveo in D'un pérc si computis Ao matheut dan pau Soureht on mous dit q Dascendent toujoure A--la priove do owlui Qui viticibas sans ap Et gui thet on In Prov Sa foi, toute an Anssi demandioss nou, Au Diew qui seal pout Murgeor In dornicre Aoquel obbit 14 nawo Et qui seal garde Jo 'v Pobr 6hanter «a De hiter 1# rétoor ... 3 Conlat i Alors, 8 dotce 'mnu,-..s M-'. Et in.nef chérie, Aprés on doibie De horte purtie Touehe anbn to Temoins de sea rapides, Clest &peine ai to# 6f0yong Qa'un four tiong Y dmeniterons, Oh! Cest que toujoys Vinfortay La vages terrible Du Osean, & rinie pumaible .aulubvuph- CO PRieth Dont un grand et lnnul ewar So piait t charmer wintros Des trop heorsux pedsionnafres Des bonnes S@urs dg Charité, II veut doter leur paurreté Dun asyle un peu.mcins modesie, Ab lieu de la demeyre agreste, Qui vie wommentgrnos duulours, 'i.mt'"" serot les seigneurs D'un bel nu':xlmuu. Main 6 nost rion c-'rl.. jo dis 'Aujo0r@hal Péint mi crable I;i sera presque enviible, otre mainte et mainks douceur, Dolll Un #tahd ot aknlssus ... d teentt 1 cbantore quand on sommeille, Et ronflere peridint uon veille, Moi, dothinie §2, #ang me' Ticher, To faix semblan do toucher Aves le.bout de ma uille ; Alorx, tout redevieut thnguiile, Ainsi, comme on Pa Nit, Te# guoux Sont bien vraiment de gens heureux Sausfaits qu'-lt"lmti.llu. place; He nautendent plus fautrea grice Que d'etro admis on burailie. uS wl cumecs esd Mlhcu-pn-"-bu. To taistione To paix' parmnis nous, Eo faishut tegner Pliurmonig, Surtodt dans notre Myenteric, On--mPentend : cest on de ces maux Fort commun dane los hopitnux. Quand on arrive A ourtnin--lige, Ca finit par ie radotage : Ajore lo vieiliard déatepi Rebrousse ot redevies potit. 1! a soujoure une momptte Qui dansison paurre ¢erveau trotte. hb&hmm,fimunm; D-ln-i-n-n-'q-hn pinson ; pivui CCE Ooor % i db d msdsc.. Aux aotres to bequilland céde 'Wourasis tn 'pas: on ¥orse Peau, Ofi coupe le pata do manchot ; l.'uu'l., quand il ost snns chandelie Jumais pour g¢a n o quereile ; Et 16 #onrd, quelgoo soit 18 bruit Q16 rousThesiona mb acv.: Nt-'-.u--ounm Mulis Pespére que co péché, l'lh-flh':'.:mpnbuu. P-vh".nfi.hme. Qubfihn-m Mu'.imlNu_-vuo,uuu'nplm Chacan tout douix poito son faty ; E4 iméme, al 'besoin, Pob #'enti'aide. Aux aotres lo bequiliard céde I\qunl.puxoqv.n.l'--, ie ul sP" k'.h"'. iabolig ';- L4, vivent wh & lu-l'dhahm, Las divers genres de miséres. Tristo débris bumanitairos. Tétoin® viu jambe Pantrofois, Qui n'eut jamatis 66 de boix, "IC C PDur ¢a no se quérelle ; 16 donrd, quelgos snt io bruit i8 nous assions ufi-"db Tui, en 'denieure pas moins tranquills ' un mol, comime tha 'béquille 44 'Coupter anges umt * Pinfortuna importune, his intfaits. rance 8 ; mfl"; t 1 mlusn., °_ w _" Petsonne de mi-- dats n hromre garde, 1e" foor tromiis,, L4 9D V1endra; Phwnilité mensonwbra +o., ... "+__ UHC _ pro sa loe egouls i iroeer oc at, Bhame daie & Ja face du ; Pas avengle cenx qn t précipiter, ot al se, prince contitine memonter d'dter toute umd: ivbnements ot d' réguliore rh_'." dans is personne de sos mi. n au SnPo!F Cest ainai.que I'Em p & lafoi de sop peuple. . grne Droasa 1 i4 """"" : *210008 ©t des besoing Prruh. M , porniairkels manitre diagir do c j souloment i1 vent 46 Ifofilll«r' de A:Guh e ".':'m Pio X. mais anane. 11 __ 7 ANBGTRDIG Li mais encore il va fusqu'd lul £g-- , mais en vi ' & ,rum d'do-m'lm:n:m x:: u';i" fefmu Auguste T; ot ip de sa main ccur q:inm'm appelés i #tre les continnatours de Pamyre de i P Bt Cette sans de graves prosint ta. leur recards 2. 1. "",MUMIO . Aussitot leur regards so troublent, la crainte l.l:i:':-ih': utu?" d'unod;oil 'ému ent ; quel'on motte des entraves & cette lln!mb"ol Napoléon _ a'em-- presse aussitot d'annioncer aux Eve. qu;d::on Empire de no point se :mdtmvn ® @n cette .aocasion, lt Dant~--ab __22"°°C C0 oL Vimxs; de P.::'u! 'I'W:rol&én {'Il ;-t- taque done wa' n catholicité ot d ses tmetnbres. 'Mais voild 99'uh derc tier acto vient mettro le comble & ses mesures coercitives. Une £;-nda fete we prépare & Home, on y doit cationi-- ser des martyre; 'Lv Pape, pour ren-- dre n nknnmdplna imposante, in-- vite lox nes de In chrétienneté a *e rendre de I11. " A cette invi-- tation les révolutionnairas lovent in tito. vavantans c 2 /0/ C6 . 10v0 eate is sclc lc a* do sanctionner les abominations des Piémontais a N. es ; son couyre Witne delt #660haire iuk Toin, Aprés avoir voulu étouffer protestations de la population catholique frangaise °n supprimant ses orgnnes, il n 6s6, sous 12 prétextes hypocrites, porter ane main sacrilége sur le bien méme du panvre, en abolissant Fune des institutions Jes plus , admirables de Punivers catholique, In soviété do St. Vincant 41 .. .4 +t °* ©00ETG d mer d'une manibre de France, -- Ce n'est io uc it omm " péremptoiroment & coux m ho ,,',""'"" 4u'il vent onfin mor has ToR . NApotkon tm iey ionnaires ma le guic €__A1 3'"7 " m aogen a urBns, d politique »autant que du: nzm ros dum"'mh hex #© L' Allemague d o es uns sités, de ln choucroute, des lou::: de g)otitl sausissons, de gros tonnesux de bid d.«:bou.roum de is sub-- joctivia dn lidvre aux confitn le: moi et le tom moi, ot r m'zu- dirnts le droit dcoauoig: aveo. des plateaux a bouteilles, do se con le nex en toute liberté, de videp nmno .m;m tou dnmm :hqth? ar 1 oo:: fi'i: ?'.m"d. »n bean ciel, ::D: fameux vin t :::% ;'mig un b?nxou"m | it de in segime 0. it d Napoléon III om i de -- belie hm)':t"dag*.?:'"hm i des peuples--car il y ""'T.""' colm--admit chaque nation & ow duoi) "°" Y@ux par in porte grillée U I ce 1 i'm...---m' 8 "L;'-ml"d.fi'mqmllld-nm de la France, 6 » I '" b."l"%' 1 houille, e matelots, "'f""""fid'cflnh do wastas ails de M. Martines de 1 "Un }Wh x 12000 . av---- .------w- Iffea uies far on favear d-hPaM.nlo:.uh l'npnu,l N 6000008 enfants, w e ln::-.h d"lflnn"u écouléan, Tt ol 1. Q2% _ 0. "=@ eimable " u'"'P'"iflwmlufi- '.:'-......-J,,",Ml'q udans 1. qi s on sminte dans le M; Pin En avepu esn bounte &A y,u-m.-.'?..':'.x...... mwi d w la . CC COb8 Sain-- toté, & -waum..,. de lh ln.l?w de: trois cent flr""' venant du D.nl-rd.&m',.'" r)h\rilh de Lyon, M. ml" .E' a 2000 Ill" lfi:mum" do@Pcnvre nb Inhvint ids se lh-- ---- ¥ oici.ume OM Miiner Nvicl l'l'llle Ce n'est pointinsser ponr ) est trop, dit. le bm"' 5 tu nbu.&y,"; refor-- LE oLRRo® Mq"' ereur insulte Sans doute i] vient ':?pnndm i coux on don-- direote PEglin oton, des roast des matelots de wastes colo-- co8se, le .droit re 'do | 409 re 'doe '-v*q. ous ::ufi lin--08t fine Tosst | Posticdir $ab® | poux) A . ( ..: :':lpigd Toni | 000 0t imén in 4 | bure du ter das tité du fum on To io x;!: ture ans efi don Nord de inFranco. an usls d.;-lc '"..lfi". ane 'I'Alhmq'n.' mais particulidroment :"',.:h."lbqua .:.": famier t autre quion megality 299 4* tease an Liu d tité dy qy i2 °"20 1909880, in quan-- tité du fumior.. ot ln :Z de Pon-- n'il W(fi:' surtout 1e E!"' faard A ln perfection) de C ce "n::ulrdmdm y ,:: mm 5'-:-15.4 dats le Nond As L Ir...._ en l-Vou savez tout m-:m'. .:M «que le ost to uel une flu. annuelle nn:::: -'-um'-"flm pul. :'.) * "fl':n"'"d'v menne, hanté un pied denx pouces & trois po..I fure du foro i 20 Ohie selon in n q Gane | tité du famior..ef 14 " 3p0 "& 1088° | YrAi, mais belles ai de . Timporfection don Feaiftcnada l N 0n 80. s6rt . ot bonnes rolative. ment & iinsuflisnnce: de in prépara-- tion que de din ot los fls y subis sent. filntome ae a.. .;___"* *Pparoils de in filature et do tisenge, L'imagination saurait difficilement : [ ABX 'temmp$; anciens a tra-- vers le d's;.i. ou In profusion et Jn complication reequ'ingxtricable ces diversos mnofino- et In prodigicnse varibth do métiors qui fotictionnent ;"thud @4 qui sont en neage dans ufr-?dn. | _~Néanmoine j'admire eomment ici / an _ moyen> d'ontils §{ incom plet ' on | puisse " encore fabriquer des toiles | ©oimpnrativement | irrosmidrea -- i1 . f 6t lo ghtoro 2 C PC T TOOT ivan a it candla it ocieso 8i depuis tette épogue c grossiven :mldm_t enfin lour gg:'i: | brith eat allée en déerol. subrocdé détinitif et Dheond de fctimi | porith ont, all h mg part 2y Jw ohaind 0t do la trime dont les Pattribuer & In dégéndratio combinaisons multipliées PPeSUrent | induatric qi tout au contr uine si immense variété de NUmuts 0 | yang de progrés en progria tous genres, . .. § [vée, comme jo vieny do La simplicité des outils dont on se | Papogée, de 'L perfection #ert encote ufomd hui. en C:m-d-"""n imputer In fiute ans x- In confection do In toile 08 008 | tlony sociales, aus " peetgyt, fos du paye peat donner une idéeo , viles aux bouloversements d'l'm' primitive des appareils anx Criges commercinles 4 | de in ome ot du tisunge, _ | cupidité et & Pagitation rni L'imagination saurait difficilement | "oflu sidcle de Ingubrés ] temonter ledule Fomps) ancieni h trn-- Josernis dire, & Pexeos mon vers le dédale ou in profusion et IIIW & 1t P Hop ntankis complication presqu'inaxtricant. .1 --* | #T6®, t ang u) CCC7CP Finven da--fil qni pat des modifications grossiven a conduit --enfin lour g au procédé définitif et féeond de (c nc) la chaine ot de la trame dont combinaisons multipliées procu une si immense variété de--tisu tous genres. La simplicité des outile dont as en ai c \émr;i;l:n:l': flvil. exclusif des pri hmnm isme, los G} nisme, los Grees a mmhro'vam«m o 'io;'dl: ln qmouille ¢t du ic no fait dition u::':.sm?':'mnflrm« cirattzibue anx femmes 1 et--dit tissnge cup c 4 P CTC CCR Auimmt® a surtout servi d Jzt'mdm roi--de in nature, déchu,© des . inj de lair :'nl:.tn lui-- révolb6, ot i I'Iépo- ne actuelle encore chez log les ;!n civilisés du--monde ot nl::r;,l'l:en mannl maneidus i ora~ 2 0Otftama e eitel 20 Co perfectionner les véetements 'a is / naissance et sost 'abord {dove. %a sous:les climats les moing vie goureux | N-:n lisons que, primitivement, los l:r es se couvrirent 4'6corces; de :4 les ot méme d herbages pgrossidre. ment entrelacés. De nos jours enco-- re certaines es smuy se ser-- vent ce uhml?::.d La M":'ilh- dew arimaux a surtout servi d flmam roi--de la nature, déchu, des "'3 de l'air contre lui révolté, ot i 'épo-- yue actuelle enorpaabas 12000 ) on de To q o0 Coeere come muns, 3 Windustrie--tiniére @8t, .Apr8# ou aveo ~Pagriculture, le plus -- utile de .h-hu\.pnmqu'il vétit Phommne, Un fait surpronant toute fois mais qui ve que la vanité plus gue lo buos:v;om lea denx sexes & -Lbil- lor.' c'est que --Part do confactinnes. ,m" mérité E"'m ptoad tout en mon pouvoir pour r d"«".l' serai-- ample | i de es hm on rendre agréable & vos nom P' en particulier. -- Le n ¥be réservoirs, ln pain Uanada et d 1' 1iege en ot a l"m& Pindus-- ieliniére on co ys ; car un grand nombre de 0'!& m'n.'n.' & publier:des notes sup cette iudustric, -T""u""'fll fl;l:lmh t * """"f""" me rendré d lours frvorables instances ot jo m'estimerai tq":-nh-ru-&- voir satisfil« a [ T '.m P"m o oi o ob l-& P ronds, menne, hante UX pouces & trois pon» d'avantage selon in na. UWimmigration Belge ot Pinda; 4 MM. les Ridacteurs du Courvier "us 81 incomplet ' on fabriquor des toiles 4 grossidren, : il ont "F:flf-'fill compte m des instruments otait (xuirnfit'--]'[;.l-n;:';' 2 énération qu'il était le j si usif des princesses ot | * '(i' ne fait foi in e confirme; or femmes linver # modification« les Grees attribuent d m I"'J':- OM Pinven u métier, l'invention uction de Pindug-- exes 4 a'hnbil-- confoctionhior _ vetements a jusqn'ng | PRDYTC®O8 ce s'on servip ]:m uagn at quelques infortunés ; 71 en Bedan, | Suy moins vral qno co fait d est .mis Lhton'qm-mout ]ot Jnnh'qne ' rité des Flandres sous flature s«:w(fiéulm CC oo PYipdahzvll n o trae celle-- #efomane as 1.... TOVn trop 6tro * | refoulent 6t les priment, T * | faudrait nlljorml:g:ui thhe autre "! un nonvel atelior ot «trtont un " tro plus vaste ot do melllears d "d-h. Or Cost r&ehim.nt c '| l6 Cannda it, a noti profit of & ';-vm&.mn goner, nx |*® lnmidm telqtes ie en wituoan t f autres d'un t nvee ton de voix 'doutenx) me dornniy lg' le ".lhhlh frait blod vA (mhna. 8i par eutendent te poutraiont : ne PM ignorer qu 1 o0 O q tighardia dorivat «n 1080 ; ; (3.) Elle pousse bien en latnens .44 ,q=Ctnont déloyal ds f1. * | latures et dn t an luf:ancnlnb " nes qni en fournieant 4 ul prix an * J«Ii t?d besoing do In vonsom tation | dane ce potit foyor d'industric 6t en | rovogquant In concnrrence ot J6 rac "{-Tu, ont rmdm't( pat n déprbcia-- | tion Ja toiles fines ot Ig dérange-- | ment on l6 déclassement des manu-- | facturiers) In stagnation, Pencotbro. 'ment ot finalement To pungérhmo. | Los conkéqtences efi ont 6t désns-- | troutes, dans Jos Flandres surtout ; | ces cansen, extrinsbquos mMitis Triffnen. tés, Wont g:- rondu To# Belges thoine h:.infl- mals ollas l':- rm:fl wn?n'n in-- firmes on péur m ux dire 'impuis-- sante H-tfi h ob cas f"ml:mu fatiles, Sur th tepeate 400. 0 2l 000Rt® ark rehgfi;fr;;'m'&::"fi'fi atures et dn t angly Tm wien !onrn'uum f! Jeli t?d besoin® d I@ com 600 BP PUUE Jae Charles Y. -- TYnutant ' fant 6bserver qu'alors los prl sitoux étuient tlhma Paisanco, vain, listorien digne de fo rapporte ajoute sous forme ue cette réflexion canstique, fimu-hild n'est pas encore / foree ; " il ost vral, qo los 2 yiemnont pas dmor che To @ il va diner choz les rois, to 6 :li'ent & peu prés an méme," Mlalla: + xBX S e 12 NQCiA, un.petit négociant de Bruges, ztldni.u-l:na eaution pour an, rangon fixde & 200. 000 dueats! _ A ce pl vous mo Flrdounam bien llm"n:u une pe-- ite d"finulon car je crois que lo court récit Pund rfim aventure figinora-- ble arrivée Clarles--Quint in Wlocle et demi--plos turd no sera pas.doplacé iel purce an't Ausias .. _ P8#--GOp eonsuls .47 ) VD--IC!@Daient alors des consuls et lors de V'emprisonnement on de In capture de Jean 4o Bour-- gogue, Do'lu Oe Runondre * 090 n m e qui nous le dit, Dix sept FE""'"' ¥ On)trcteluiat l_nl._ t lors de Femnri plus 'que, 51,285 . habitants m prés le chiffre .de l» ::IE;L go_ Qnséboc.) DnB:-l w on (@) guoigue Brug 4 U .. DRisau'ils "zane Sie ie io Shien To fi"' d""" Nl!lnl:on;, }m; ipalement .'.'3"?!?:? M rgmnied Thy iss manifestement . Ne ie conteste, les Francais. tontan», pous a ns M ooo ite tealoers ne le contost e dee machines mm:\-. PE 4 l Sn iiiias csw dsc 5 mn'o aveo. on ul-g-u'x atteint les ex mites de la perfoction : ~ope e prodait( pas In' d es fines ot lg d déclussement "Jos a stagnation, Pene danela Belgique 108, aux [flnm'l"on;ur hnnluvenannntnr itiquos ermrnm-hlm A Penvieuso nopoues ~ y avoir 14 forfa plus métitaire r une pursille n ce s'on servip s fos ont Yendts in-- nihenx ;'fin 'impuis-- 00 ce« circonstinces rrain trop 6troit, loa :g'l'flml 1 'leur "hui tiie nutee seéne urs a r'cw 6# quo 20fi profit.6f & lenr CC 0008708 y dst arri e viens de To dire, . a l".'"',{"?fion; Wiadk' ; TEA OT aveo un l imo, demiitttdent t € EpOqt® cefté pros. onp;!'ztmlmm dans 10 peut nillement Cino de fol, qi le sou8 -- forme dapolo-- on eanatique, que M. pa# encore do 'cette ui Ey itation rnihouse de 'n(nb?('! lumnlores : au contrnire ks hapelihing ; P( MOolup t M c oc ts de Rapondig, un.petit Tence Ct le ra ' n déprbcia t l¢ dérange nt"des mann-- i) Pencotnbre-- ( l""rérbmo. 1t 6t8 dbens-- dres surtout ; j l'lllil'fIIQum. Belges thoine . Puisante que, plus fl'p':"'""ht. li'-mm('-' de un 'historien. frangais ) Dix sept nations de peut mullement ération 68 Tenr mome dn ORetton® qu'll orfanterie et qu'il jire peéat--otr0 de ille somme anx vir pout r6tablic i1 Wen demenre 0 fait démotitre, ratiquemeht, I1 "@ Ciner chez Iui, & Petoperour un t dessert if lui 30150 Tes lambérnnx AUX contim quolle mOs en conviennent i1 y a ou mt;i.]g.",'; ust Plad Tts ectadines 1;" Au k mome .' rangais, tonjours *\ caviap 77 us 16 r8gne Th" qu'il /48 néces offrir ien plus Gner-- P'."EB', de la 8 Fois ne Ini ; ¥nais qitl re fevn ces jnoil: it e:'ém"fif . 8. 1"'"' 1 il No. L. obli

Powered by / Alimenté par VITA Toolkit
Privacy Policy