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Le Courrier d'Ottawa, 20 Feb 1862, p. 1

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r'.""'#.': NEARR} Teilwik on ville aree IER, AL & dPHiiver conse. dtze 'de is si bien:om-- Loas CCter sls 259 wonge, AUD, amis e is #t do covlow, fhite a ty Brulures, ts mal de Tote ot ies . UmMent oy VERMOXT ot nEexay ,,:'r" parle Dr. 8. C. Ayor & Co., "i'.':" hoite. * oct--zm, *' pia cees 4 de remide, ovus he posvons taire Plus guge 'nasurer le pablic rm posséde To i e w t To w aaue, i:: z".nfi-. 66 tost is genre ha-- LJ -'&"" BEs C MCY OB -."l Ioeis fresiom o igriaarts ces sortes i x:"hb"dfih'. se njajeu: Sintités ot méme de h-dl-ri de ses shety, ""-uvz::mh h.:' Comme connait los ,.,'_"*'l:h de ces maladies UgJ pias ou2°A® temdde, nous ne pouvons fair mal de Dents 6 Baiabsccon uc 222 ORCTORC® ment les fonctions vitales, et combat des maladios Pom it "ervire au«deli de 'son -':m. mo-h. do peuple ont loagtemps téolams ce remdde, 6t nous sommes certains gu*il opérers tout 1e bien qu'il ost an p-mvdf;hlutm: de faire. M.qhhr.um-hn,-m': MOnt Auais e y uie h Dhasics is d P20 EP &wimsson de Rhomes froide, ' ies tran mener a Yan066 de c0tte detnigre malatia® 6 Nmd COs maladio. hn "'m Univorsellemont "='Patse tout autr®' par' la cure de Jules Y. Getchell de St. Louis, dorit ce qui-- suit :--«Paj été, durant des années lfl':i:m~ affection h Toie }ni avait com-- plet detruit ma santé, . Ancumreméde ordinaire n'ayant pu me soulager, mon bien-- aimé F.M' le nf-'a. M. Espy m'a conseil-- 16 de faire usage do votre salsepareille en me disant quil connaissnit que toutes vos m- rations ne pouvait pm?niu que 'da c Grice & Diew, votre salsepareille qui m'a robel n ¥ethisave flns ELC C 2. Oe uit 29 PC RONU~ dilement d'ane bien m"iwn n,:u "A-- vaut Pavoir ét6 aftiqué de cotte -nlmb. Je pense que c'est une merveilieuse méde~ cine. Indépendance, Preston, Connecticut, 6 ndance, ston necticut, uillet 1889. .. h * 'Dr. 1..C. Afl:,---xoua'd:fl, )'z:hl afti-- pendant gtem un urenx fimlltlhnc chmmqup:vnh lequel avaiont échoué tous les efforts de ia medecine. S'ai ©u recours & votre salsepareille. dont, une seule bouteille m'a. reicalemeat guéri en deax semaines, de sorte ue je jouis actu= dilement d'ane bien miflun santé gqu'd-- vaut Pavoir ét6 aftiqué de cotte -nflmb. berlianiaiisd par jo. meroure, et qui avait 6t6 in m'i':l incroyables mlnn':'u & In suite do Phumidité, a 616 également rendae &4 la santé en 'wkpun-ius. Je suis @ailleurs que d'aprés la formule que votre Agont m'a remise, que votre préparation, sortio de v:'n hbomouo,' ire, ne pout dtre qu'un grand reméde, et j n'ai en conséquen~ c, 616 étoon6 daj:u hos:;x résultats. Tout & vous fraternellement. 6. v. LANMEI& M. D. 'lh::mnlifmu. goutte affection du foie. le méme mal / 6t6 in mni:'J suite de Phnmi "WG NCn dnld Wlb trachini aitsines ta c d a--fait de Popinun de votre agent sous le r-'p- Fm ?nn {'ei'mhb de votre salseparcilie, ui s ma ppéré maintes et maintes cures u':':'u?::'ou de maladies vé-- nétieanes.. L/un do mais malades avait dos ulcéres au gosier, & la bouche et an nez; il a 616 guéri dans cing semains. Une antre atiaque de ia meme maladie a 616 égaloment gn&-c:' n'!.l- trace n'on reste sur son wi«. . u u sage. 'Une feame traitée auparavant pour vooine, mais «prés avoir méde dgrant six semaines *ymidme de la maladie," Maladies svDhihticn e\ Edward 8. Morrow, de Newbarty, Ala-- bama, cite le cas m:Iunl Fnanel J'u,mvi dans ma 'f'nmilln, au moytit'l dn.imrv"":l.: salsapareille une tumon; ovaire a 1_\:" présent défié tous les. -@3.;. la me» ts e d s Aiiy + Erésipéle ou fou de' St. Autoinie, Darire, Calvitio, Maux d'iqx. Mfllnpg'-, &e. Le Dr. Robert M. Preble écrit de Salom, N. Y.,en date du 12 septembre 1859 qu'il a guéri radicalement un cas d'bydt-zm- qui menaait d'6tre fatal 'ot cg moyen de votre saiseparcilie, I1 a w::igd.-l in cure de: viclent Jrésipéle & fortes doses du méms reméde qui en outre guérit los éruptions oninaires. Bronchite, goitre on m&mnl du cou. -- Bebuion Sloan, de peot, 'Texas, écrit ce qui suiti--* Trois boutetiles de votre sal-- salsepareille m'ont compiétement guéri du hideux gouflement du cou que l'on appelle goitre et dont jo soutlrais erueilement depuis deux ans. Maladies syphihtiques on mercurietes. Nouvelle=Origans, 25 aodt 1859, (D;. dJ Il;?. Ayer;--Monsieur, je suis, tout-- h B e e LE ETT T comme IPuni dos ph: Phamanité qui alent « et j suis avee 'reconn servileur. Ao e mm t hnd pirait. Je me suis réjoui de voir ;n'uiflifi.h'ww')'s p.m-nd'..':.'l.m,"-'"- naissant 'en w.émmfi'dfl""'fi é16 enti¢roment g i J\lwfi: p selon votre prescription, on doses et durant un mois dmww}u. Je en ost ue trois ue peau uumnr e plaie qui cou-- sul s fmpnertt uit siciete t se de mon um.'vapunx me croire en vous déclarant que je vous w Pan des plus grand bi de Phumanits qut sieat eef200" dene ce sigcie, et jo suis avee reconnaissance vatre dévoué Lbdings nawsitic .. -'---' -u votre salscparaille .»..?.:' moi. U Takiot alle tlmak .."'% Tie it los oreilles qut parks on f--fiium_~f""'-_fi,q ie Leun soulagemane LALl infi oementnadon o ad h rJe ne suis réjoui de voir journal le Gaspe! Messenger la pré-- uprés avoir employé voue ro-- Allred B. Tallery. a de ;'k Antoinie, am, 12 septembre 1859 quil a : un cas d'hydmlru. q.ll.l atal ot c@, 'par le moy: uts des manx mon sang que je CouPfter Alfred B. T J. . FREAM » il ne restait gucun ufoue tae y teilles, . Une peau dak e fhs in :-|.~ '.-t -' ' 1,, ... , Exat8t, Mo., 3 * certifie que per "--:. S rbnty airovombu m*'h des , pour ma "'....""":nlgi' hfi_?_!,, tR N aE Ts anmdleas o. c 0000 CCORpet TK consolation et 1e comfor. is' Clyde, comt6de Wayne, N. Y. 10 mars 1657, 'L'.".'... w. h:m_cmfiu-n: ftsopitines na m Pssn de ia Dnh. I-Mh':m;mm. ; affections do Poie, et j'en a1 celte médecine précieuse. woage Votre tout dévous. * 0s A#AAMWA4 JOURNAL PUBLIE DANS LES INTERETS FRANCO--CANA DIENS DU CANADA CENTRATL M Cos ® -----.._;.- a tend. . Tis soulagent coux qui soullrent, io. lflnthfi:flmmhdhm AMERS oxicenes. Pour gubrit P Asthme, P Acidité on le Briiec-- mont destomac i} faut faire usage des AMERS oxicenes.. MEHHP. on Abskcas c Pour guérir is Thus criaide, in Grippe in -'{"41. des Branches, i faut faire w lu fi-:':mhv-.fihm Pour arréter Ja isposition & la Consom nh-m.--pa:.. ' Pour .milfil' faire usage des Pour L 2 7 fendre & Montréal, ftr Lxam, Savaow et Cie., par Canten, Keeny Cie., ot par Lamruovon ot CamraciL. 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Lks PaSTiLLES PULMONAIREs pr BRYam Guérissent do l",Aau;-.,du Bronches et de TOVT budianAal 2P d Teronnoissent d la signature de BRYAN gut est apposte sur chaque PABTILLE, Yflll Wunnll":o." mdu;;;,'"; ailleurs 3 toutea les autres imo-- nifl»'t&cwww i lat sanmaaisn d is VR PS rfflmnm.t;;muu il faut faire usage da me de Corister Sanvage dn Dr, Wistar, Carre Menicunt a are Dacov 1737, 6t eat le premier article de ce ait jamais 614 présenté sous ie nom Soulagement en Dix Minutes. LESPASTILLES PULMONAIRES Soulagement en Dix Minutes. DE . BRYAN. | Pastiuure PolManatn®s pe mravarx A Vendre & Québec, cher 0. GIROUX, 'J. MUSSON, & Cie., J. BOW; J. H,. MA J. S. BOWEN Fa n."n'!'fi_;_x oo m aRukio® ' rigan House, Ceporn C oOP ECCC M W 2" Semlonl pas satisfaits. Nous donnone is a id 30 et nous "'l'lnjfih:nu 'e _ pour 30 sous, .A"' UBsaaiL samohc oR Bs en fairp To NP# 1€s 'personnes qui désitent EP oRmy CORTUTE llli.l'.-}u....'-.': nous wid:::. fout 20# Agents a remotire aux ao! argent nen """l.l"numh?:." 10 248. 0h ils geure, employez--le 'de antre. Aflu que les pe anioge / 4Cl RO® Svous fait Possai de cet '.,.'M,,. Sl J avons upporté quelques change~ Soiia 99 pou e merlions mauttn n es ts io Neunarne pas Pintdla: 8y dépons dos abtros, maie nous" donpetneet sealement qu'on en fasse Dessai, t a'll ost trouvé p"f'nbhi tout autre lfl'lh»dflu' geBté. "emninc.., . 1. 30 AUIe P IT T "Donls. ot de das "'" Tontes dod-w,. des remédes, wet woue sommies arrives & .;'.'.:'-'.'!.'u"..': «8e nous pourigns au notre due améliorations S" I-.m-u tous ; car 3:"""' "'l"-'ll-lh-lum Lapuis plusieurs années, et nous avone . PastiLhes PULmoName®s o® Bavam 9 fév. 1861; Exetor, n'-.'--p-h. certifie pendant les dear 1'5'-"'...,."""' 3 des Primom, a's e ont ' dour on m semblait Stre deciarge, io Meinkis & Rester Corner HENRY & PILS, us gaic4 5 0 10O+ Waterbury J. £. Surtu, M. D. Wlhlhq ¥t. o Yiegerg j 'Amé-- Montréal, C, E. 107--12m. Decovrsats in préférence & tout dm--135 » Wistary x'm.:-'"h': it satiefaction in 'hl-fll. * page M. J. B. HUSSON, cl'hll'-',l,"f'nu l":ofl libéral t:"h.!'h." b':n;b.d'. m années I'm :neu.r'"q il prend ia uhm: '--':' leur annonout ost, comme par -o-l servic . las de N lpors prit 4 servie on Pijeunts e ROOES, J. B. HUSSON, 8OUS LE PLUS COURT D&Lai oo moae s P'lnstitut in plus économique et Ia plus Pon connaisse, eP s srequas uic oc ui +ds a Wrape tréal,) s'adopte trés rapidethent "'dans . les Etablissements Privés t Publics, comme on peat hvoirrlunm'flmu 6t articles de journaux en la possession du Soussi¢né. tous les W 7 ° u2 8 Possession du n6. _ _ Cest Dappareil 4 Gaz l plos stmple, ie plus sor ot le plus effectif ui ait encore 616 -nru. 1 #"adopte & tous les ¢limats 6t & T90E To Tedinhone s ulc ~Bb+ CET appareil gfim un modéle fonctionne tous les jours au No. 142, rue Craig, & Mon-- téal,) sadopte trés rapidement dans les BREVETE PoUR LE cansoda is E. BEAUMANN, Agent pour le Bas--Canada. Rue Craig No. 142, cher M Gaarn: Montréal 16 Pévriot 1858. NNAVEMTUN MLL Pour les Maisons privécs, les Magasi "'Mw-v-,law..:'sd,, les Phares, les Hotels, les Colléges, ho. Wsnsl ic o 0. GIROUX, J. MUSSON & Cie., J. S BOWEN, J. E. BURKE, J. H. MARSH J. BOWLES et 8. STURTON, L/APPARIIL ABBIN Rappelez--vous gue garant, et signé do" GARE A LA CONTREFACON DU Jas _ POR CURTIS! 10 Décembre, 1858. Breveté aussi en Angleterre, aux Etats--Unis et en France. fait fabriqué Le priz de cst article est de 50 cents a §$1 18 binteille on iinows Jasi Lis in . hnve Wls can c0a CCCA 109 Walem ) ¥t. unwmmflnfi.m, ::'LM. 8. Bart & Ci C«-':ifl,m, Mass, ou de C, W. M":fl. Porland, Maine, ou de Lyman, Savage & Cic. Moatréal, Ca-- nade, ou do Barnes® & Park; 13, Rangée do Park, New--York, ou des principaox Dro-- &M' (en gros) de la Nouvelio~Angloterre, lew--York ou le Canada. Ls yous fourni~ ront des circulairs & demande. 9 fév. 1861 ce sull ou de graines. Propurt, . LA LUMIERE ARTIPICEELLE localité, priea votre Droguis chand d'on demander Sue € vos. amis et connaissances ; ot rappelex Youe que, quand vous trouverez un médica-- ment qui remplit tout ce que disent ses pro-- pri€taires, il est dans votre intérét de ne ja-- mais le changer, pour ce qui pout 6tre i-h- neur, Deli vous voulez --T.y.ul';flixird:n N. H. wns, ét si on ne le v pas novom' localité, priea votre Droguiste ou votre mar-- ~ OUS dissons ) qu0 cotte made-- 4\ cine stest "w\-noh Nou» ot & topjours "".'.Ullli. o'n'::o'z--m" entidre salisfaction & ceux qui en -nlml aaoijho "':'hlu ru':u:u.:t ""--l" ul f""'---m de plus que si, lp::n l': usage, une perwonne vout qu'on lui reade son argent, Propuitelive ge M"'T"'"'m' o whuge faire. hgb us ? Vous. faut--il un mm--,g,. de certificais que personne ne croie ? S'il yous faut queique chose d-.ulnlh;.lnc ul;..donndn & vos volsins qui ont usage médicament ot ile ::udin-t'u'uml:;dn-rn-:: de .contre la 'I'OI'X., le RHUME, Jes FLU~ XION8, ot mfi Maladies dr?)t?uoug nfatint mot dgent't mal terident in CONSOMPTION. Achotes lo; ot wii rous 'mub, weuiliez en retonr, le recommander Feregpee i03 dy nppicdsash inss Gaz d' Eclairage, VIVE LE ViEUX Remeve oy YERMONT CONTRE La Toux. MONTREAL A Vendre i Québec chez DEN. H. dessai 26 conts. POUR LE des renseignements PElixit véritable est mon nom, & la plame. 106 12m. nom, & la plun N. H. DoWNS agréable que ue : Vegetal petite provision ----Pout--Otro. Et d'ailleurs, que | faire, comme n voulez--vous t z: sais "',.q:: un mariage d' mable pour les vz:.x princes | 'hui la sotte a russes, allemands, goths, bossus boi.| 82f le point de teux on manchots, que nos méres se votre part incll mt-imi?cflqmr". Ang. | Pit, deseapeis t si In mienne dit--olle en riant, mais | Provds rien & c .m-l:"mdbm'hdcm que «--ll ny a ri '"'%. b:-m'tm-dmah défaite, * | N9i "'fl';. ce qt se pourquoi vent--olle done | MAFICT : je me so défaire do vous 1 . ride et qu'il n'a --Parce que cenx qui posséden ne fhit--ce v?e six mmeq"vm de m:-' te, sont In'hnimt pius riches vivants gargons ?u'fln no le seraient avec sei-- nmflh ivres de rento ot nzfemmo oger, vétir et nourrir, mére sait merveilleusement cela, aussi olle: a placé ses espérances :'fllnn' ot pour essayer de Peffet de mes char-- mes, elle me méne depuis deux ans & toutes les ambassades afin 4'y ren-- contrer des étrangers. --Pourquoi des émngm 1 --Parce qu'ils passen r plus ;'ichel et moins bons mfé"@n que es Frangain. prends pas !a logique de--c0 raisonne. ment. Ottawa, (HC.) Joud! matin, 20 Fovrier 1062 --Non, pas du tout. Ma more a un trés--beau douaire, et parait riche ; wmnhg"ddafibruo:dumn !;'):: mariés et en possession it héritiers. J'ai dix mille lifr'; de rente, pas davantage: done je ne puis plaire qu'a coux qui n'ont" rien. DDRer & mol L'nrithmétique est Fennemie jurée des jn::-h filles ; Cest un tif assur6 contre l'a-- mour qu'elles pourraient inspirer. ;('kpmuhnt vous étes riche, je eroj e ba C CT O UPS@enmt WET ur trds--riche voulait--bien devenir z:l:mant amoureux de moi, ma m&-- re serait la plus beureuse et in r)u- triomphante des méres. Pauvre lem-- me ! elle attendra longtemps. Les jeunes gens ont trop bien appris I'r rithmétique depuis nn temps pour songer & moi. L'nrithmétique est Fennemie jurée des jounes filles ; Cest un 6 tif assur6 contre l'a-- mane adlathe 22009 .00 . --J'ai appris tout cels d'une de mes amies, laquelle:® 6té ainsi con-- duite & épouser un homime qu'elle no pourait pas souffrir, ot avec qui elle est fort malhcureuse, parce qu'il . ai-- mait passionnément--sa fortune et qu'il se souciait fort peu d'allo, " --Vos mariages d'!::limfion sont trh-g,hhnu. ---Alll trop, je vous Passure. . ~--Alors co n'est pas un mariage d'inollémion qlio_vou :K':-l =Non, non! je ne asse riche otse ne d'ooll m"pre'::lu de personne. _ On réfiéu souvent de-- vant moi qu'une fille bien née ne doit avoir rucune Préférenia Aana 1n Jeulement, si un vrand ccour. . Beulement, si un grand P --Et pourquoi cela 1 Je arco qn'il faot bien marier Feuilleton du Courrier d'0ttawa. La Demoiselle a Marier. Litterature. BSigne de son épreure Signe do son ue S'agenouille, -r:m.'r'; Et Pespoir sur l bouche, Comtempler du tombenu, Bous les ay.ru qu'il touche, Le soleil qui se coushe Pour sé lever plas beau. Mhiminck & morts, Et 'ime M':l:lh Des vagues de in vie Oroit y toucher les bords ! C'est Fenfant qul dhresse iniiaran on vi se i L'nflu ux:' -ufi:".. Bon amis du Scigneur La fenbtre est tournés Vers lo shamp des tombeaus, :)i Phorbe Ibl:ldll" ourre aprés ruuo Le sommeil des hamenar. Plus d'uno flour nuange Os voile du sommell ; I,: tout 'A-"l Innogence, § tout dit : ?'m Tout parle do réveil | Mon qil, quand i} y tom Yoit Famonreux o!{un *e Volet de tombe en tombe Alusi que in colombe, Qui porta lo rameau. On quelque paurre veure, Aux longs rayous du soir, .'..'_',','2 pierre neuve, g-' P""""".'l'"l mur accon luun--'u. vide I.n-hu'-', P------v-;; Pm fuséan lourd ; A ¥iewom Muso, _ (But: on dhe.) omnatage. ne, an ty faabitss mh' penser ; g-u{ se a'n #'achove peut son réve Et le recommencer. Ls slecher 0u ¥Blage We ho Que -quv.m j« Bs t is Toallh., &!'. Ja chaumi¢re A la matson do Dieu, inomorico m z".u voyen l" vo foule Dans les plous saniers ; fmpfomertien, 3-! roule ot Pendant qu'elle chemine La RETBAITE préférence dans le Doesit. de mes char. | puis deux ans | 6# e afin d'y ren-- ; -?r-v to on r plas | "* llcnrtco:nl;'u Th o trompor, ¥ T e on m vz:'x princes | 4' A.9% Laxawrmne MNC Abod INRMEX a ut 496 ) m me t a )o rom rondage us uj'.;vutn.ldbdmuum'.. :'."'f"' ne ?I'M comme nous autres An'l....' £ "."q"' un mariage d'amour, & faire anjour-- x princes d'hui la sotte affaire que vous dtes d rensd PCVe PPOTUE resowb? T ri 'n'ont| , Diann baisas ses regards sous 1 m man sos re sous ceux i wont de son amie, sa poitrine se soutenait ne com.| Oppressée de sanglots ; mais elle re-- Rug ts £iPonore : -- vre erbsture! olle a viglll sous le has. marier sur le point de conclure?} y atil de votre part inclination contrariée, dé-- pit, d";':'?'-'f-' * En vérité, je no com-- prends rien & cette décision. -lf'um Ffl]l ;:In ]Bllll: en voyant iana, t elle croy-- lnit'qu tflll 'l:rmu coutaient y;vmr elf:, ia jeune avait u quelque us S ae meaianit Perte qunque ped on, répondit--elle, i1 ost arrdté, etheunirudoitu signer co soir : ce serait une esclandre ; d'aillours que gagnorni--je &A attendre? ce maringe est encore un des meiliours do 'ceux u'on me rondqnhlwfium ; g)nc-tdi:m en sera ce qu'i m:r: rit brusquement ; o " 11 faut rompre ce hnxfl ® xi to cssuya 'R!l::';k!m Diana. comprendre l6 danger que qua n'est plus temps de le E:ir,tgr C devenu coupable. . . ." to leva los youx sur L . . . . ot vis qu'elle pleurait, nsc d 1 n contes mar Rouctanple: on --Je le crois." Et mademoiselle de Buss , ln tote appuyée snr sa main flhld danser un do ses petits pied's dans une ca dence rapide, ainsi qu'il arrive quand , | on veut p:ir::.trn bcflmaln dabon;: . | que ce t on éprouve une f Sg(mmnmm?m y* f "2\10"0 folie reprit Diana; en | vérit Marguerite, Je ne vous com-- prends pas. _ On voit bien que 4 vounnm.finére encore ce que Cest que lo m .5"; ses difficultés, mn&gneu, son despotisme. . Vous ne comprenez pas & quel point il fau-- drait profondément se convenir pour l', trouver longtemps heureux. Ce n'est pas mome touf:nn assez d l'a-- mour pour opérer une compléte fu-- gion de. deux Atres ; il pout s'étein-- dre, ajonta--elle d'une voix profondé-- mont triste, et montrer qu'on sest Glnnfi-moat épris quand :Im »'est eru faits Tun pour Vautre: voryez-vons, Marguerite, il faut dtre de a mome lph&rn,dumOnop-y'monl pour gin-- 81 dire ; autrement on souffre chacun dawte i: F NJ ----Mlais, ma pauvre enfant, vous 'qnl n'aimiez qs: les extrémes et a qui le médiocre a tou;.onn 6t6 odieux, comment allez--vous faire } --Je n'en sais rien. f «Je ne vous donne pas deux MJ pour mourir de dégoit et d'en-- Bul. EeB ie Eh non! i} n'ml}'n'nt sot, mais il n' point desprit; i} n'est pas bon, du moing de cette bonté forte ot géné-- rease qui n'appartient qu'aux gens d'élite, mais on ldit aussi qu'il élyfllt iméchant ; i n'est pas grand, i g'.:upnpetit; il n'agnllirutro-' mement 1;:r\nrimzinl quu?u'il vienne, comme Potit--Jean, a'Amions pour dtre swisse ; il n'a pas un grand nom, il n'en n'negu un trop oficur, il oat dans le medium de tout ; et jusqu'a sa voix (car il chante) asubi cette loi fatale de juste milien dans lequel i1 semble avoir 6t6 pétri de toute étor-- nité: cest un baryton, la seale voix pour laquelle je me sente une aver sion prononcée. fi-t-iii:l'--;-prn pour défrayer tout ce long tem| ue vyous passerez on-- lemb'lgl Oldg':(;dq monde ? la 44 ols aenie 70 belle et large existence ozmm. mone en Angleterre, mais zom yre mesquinement pendant huit afin d'en pusser quatre & Paris venablement. POCL 20000 CCCcésttrement 3:' nous r:iau ensemble beaucoup temps cam , non poury avoir une be}lo et ll:;}}hunoa ozmm. on la _ ----Non, je dirais qu'il n'est niriche ai puuvre, si ce n'cet qu'il n'oat vrai-- ment pa assez riche iqhunm:g rds po..rdvli.vn dane la hante l:o;a':'" &m son ) va et. :;.n:'fl_ faudra n&se--imtr'""(mnfi que fous ' DTE =" "me mere . ne P'P'msmn-fllu do. ;il:l'lh, elle l':AAl'"&:-"'.l: ': f\'om sori6té francaise ost aln~ es mds }guerite, & qui fai yu 'de tout, antres |Paon ie t ie h ts tour i n onl "I _ tup Foue disier e rrare n 0 ne , ~~Sabdl.Deniep .' _ it ¥oild bien .ure question . dAn--| li'd.h'v Non, il n'ost ni beau 'ni K ~Est--il joune t "&N' vienx ni jeune, trente--trois '!-_u_'.':m'-i.'. ~--Mais, quello nécessité 1 le de Bussy, ln tite nain, fniud danser pieds dans une ca ai (iu'il lrfiv.e-qumd mariage, i1 le qu'il pour lady our y vi« uit mois, nos espéranges t nos illusions ma wukus 3:2.0.07 .00 9 T999 12VOR O6 ma mére & me voir titréo. Cest une véritable désolation : mais que faire } il faut s'accoutumer & tout ; méme & vieillir, reprit Margnerite avec unc moune charmante ; et jetant un coup d'cil & ln glace de sa toilette placée vieA--vis de t causeuse, ollehnunt a'ams:ehor sourire, oar ro qu'el vit n'6tait rien _ moina que vklz assurément. -- Cependant, M&Hw le jour irrévo-- cable q m' :'duo l'-' fillos majeures, aprds avoir tous los nanfh des temps m ot pré-- sents qui pouvaient nous rassurer, nous avons repris peu & peu chacune Casfe yc e WE --Eh bien! aprés celui--ld, ne vint-- il pas quelque noble et bean préten-- dant --On m'a proposé pendant denx ans d'exmllnnl;l pp-'r!il :p;: disais non, parce qu'anoun n'était Pidéal que mon imagination avait forgé, et mn mére ansai non, qu'aueun n'6 tait ni due ni prince, et que le rrln«- Frédéric avait 6lévé trés--hant le din-- pmson des espérances do ma mére ; jo ne ponvais point, & son avis, dtre moins que duchesse ; los panuvres md-- res s'abusent sonvent beaucoup ; dore-- fus on refus, r ai vingt et un ans. Cette année--lM ,nt bien terrible, f'al-- Inis Otro majoure ; majeure, clest 1A un mot 6pouvantable pour une jeune &-mu. Et pour éviter d'atre pu-- ide fille majoure, je crois que nous nrionln renoncé, moi & mos rbves. et dOfftama ~ mais elle pni--fic'f{{fs,r;i: ;l'lnte: cependant elle so c it : JC REChiIP ce i tics 0e 18 + n'aime ')oint un homme blond. * ~Allons, allons, c'est une bonne raison, dit T)innn en riant & domi. ----Quant & ma mdre, olle 6tait d' ne joie contente, digne et pleine de convenance dans le monde, mais qui dolatnit newinte tuss anoul t * 0/ pourquoi, répondit Mar-- guerite en soupirant, parce que j'a-- vais un brin de roman dans le coour, et que ma mare avait dans la tote dix Frflm J'ambition ; & mon entrée dans e monde on me trouva jolie. . . «Je yous trouve encore plus char-- mante cette année. _ --Oost possible, mais il y a buit aus qu'on me voit, ut cela me fait perdre infiniment de valeur; enfin, n'importe ? aux premiers moments de mon npgurition, j'eus, comme di-- uit the Tnoto. le bottharr ds «112. oo tmetity IP gon que jo n'ai point de chance de mieux faire, puisque jo suis arrivée jmqn",iei sans changer d'état. EyE 1 P OB ~Pourguoi aussi no vous étes--vous pas mariée plus tot ? ----Oh! pourguoi. rénandie w -- touy @141 0 _ ; TUZHIDTS All}, . gout toux, -dmuiquu ou. sourds, qui ponseront & moi: pour mas vertus, parce qu'ils aurout besoin de cata' Plum-,} de'tisanes, et de soins dans urs vioux jours. Hélas! hélas agul ma demidre année do jounesse comme fille & marier, et j'en venx profiter, --Pour fare une belle tin, mi" ment | --Que voulez--vous, Diana? lea cha. w MGdent Onabe sns lratbudishicnch us 1 . ne tiendra qu'd moi de eroire. qu'il \n',.p)ucn monde que des hom-- mes de cinguante ans (bien conser-- vés'd la vérité) ; ensuito l:,h.q" an-- née comptera' quadruple, ot on de--temps jo d.ev?mdm'p une _,m,P;: mérite, ot jo ne devrai plus 'aspirer dnlanv semwi ds 22000 EC quaux venkk de soizanto J ul ie mmadoud Pol e oo P CCAUT THson-- nable, laou.,)'wnN-: ¥ous kdh-tnflduu,ulgul'uhd. Jtn-.q---h-q-olg veux blonds et une certuine délica-- tease 'S'M"dfll toute ma per-- ' wingt--cing --auront sonné, wurai perdit toutes les .chances de me -ll'hrfljflluflu.,mmpm, sera plus «pour moi qu'aux hommes d'fl_qlllllllbe @nB au moins: nnia ai perdues : ) o § 2,__"% _ 1ORS voild perdues ; c'est un indice certain que vyous alles vous affermir dans vo-- tre folie. c =Folie! folie! demandes a ma mé-- re ai jo me fais pas une action raison. rppoaruidficctias i. 1 nand un céliLataire pass S'dh:'in "m choull dn Aran Poglirie 40. frow smit D. indlai Innd t 'Nfl;iquur(luwmuh Hrommatan , pe h . o) o) 2 °5 dRMTABHO--cing ans, erchar & :-e-d in afllln:lz.n la charmante nais d'une fille & marier Seopee malgréses quare sont arrangées en Frunce de fa-- parut npsvreuéo et sonf. pendant elle so contint et vyous tiez, Marguerite, nons ':at tréo-h'long] 6t jo pend: Ccant un coup toilette placke ®, elle no put , car ln figure -Iltllu.,un'm_ noi qu'aux hommes s an moins; puis, ai darriver & trente, il , Diana t les cho-- ; 0t jo la vois ' Beauregard.--drt Z'Qqu--m Ia plus haute expression de Phonneur, I1 est un modéle des plus rigides ver-- tus, ot i1 commanderait le respect, lors memom ne .Ial dkth'\-& son ta. nost ?rn%:?i: T:'il out l'ldoghzld- ate, qui le suivraient jusqu'd Ia mort, nona;lnllmont par uina dans an capmcité de général, mais encore par ment remarquer par cent d'ontflcluma ro®, le type du guertier accompli, Beauregard va décidément com-- mander 'fl Columbus. T1 emm@ne ivoc lui qnlinzo mille vétérans de annseas. . Los journaux virginiens s"mccordent & regretter lo départ du vainqueur de Bull's Run, tout en laf soubaitant de nonverux triom; sur les bords dn Mississippi. Le Book de Norfolk so fait particulidre-- pas flatté, lo général en chef des Etata confédérés serait Fidéal du h6-- ros, le type du guerrier rccompli. Beaureaard va AbaiAkmase 2.__ Voicice qu'on lit dans le Courrier des Etats-- Unis, qui reproduit un trait de Beausegard fait par de 5: Book de Norfolk. Sice portrait n'ost Bninw()nlherinm samedi soir, et q1 lmiro, ils furent e américaine, pene dans un ctat 'll'iw " L/autre cae, qui nous a 6t6 rap-- porté, est d'une nature différente, quoique, comme lo premier, il semble roquérir exercice de que'qne vigi-- hm(-elluiuclle il n'cst pas pourva au Pont de Suspension., gl est établl qu'un officier non--commissionné et un soldnt du 30e régiment, appar tenant & un détachomane ult 259 a td U FOC CCE tradition de» fugitis qui échappent de Pun ou de Fautre ys, est celle renferinée dans le mK: Ashburton ; ot cela regarde seulement certains criminels accusés de crimes spécifiée dlas'lg dispositif de cet acte. AAOIREN nllbietrardnilba i BE 0.4 d'hommes dont lintention était, s'ile eussont pu, de violer lo droit dasile en Canada dans la personne de ce dé-- sorteur, Nous n'rvons pas besoin de dire qu'il n"{v a pas de loi d'aprés la-- quelle un déserteur américain, rn- nant refuge au Canada, puisse otre forcé de mwl}mtfi'. La seule Io{'ol- istante entre los deux ur Pox-- tradition doo & tirm ?'x'-}'? 1 manata 320000000 2902 °99 G0UK, Dimanche dernier, un officier reeru-- teur Américain, accompagné de deux ou trois autres personnes, traversérent Ie Pont de suspension ¢t vinrent en Canada, dans l':' desscin de prendre violemment et illgfidumeut un déser-- teur de armée fédérale. Le fugitif protesta contre cet acte attentatoire, et, sollicitant Passistance des person-- nes présentes fut délivré des mains _ Nous traduison du Toronto Leader: " Des r-p}ooru ddk;nu de foi nous mottent au fait de doux eccurrences ?ui rendraient désirables qu'une garde ut placée au Pomdoouq])emion aux chites de Nimgara Vnin! las ts i Mn o o e e ete en parle le jour, elle y réve la nuit ; tous ses amis sont en campagne, et nous no passons jamais une semaine sans faire au moins une entrevue, ---2\1'&(--00 qu'une entrevue? dit lady L . . . . sans espoir s'est em J'ai done ainai gagné ans, autre année futale de dix mois que j'y suis mére a quitté totites ses ot un désir gfln'mé, une tion, q000 WPP PCETCC 00 teme qui nous rend stupides & "'l':m.- devant les homines, i1 est trde-- Sifllcile & une jeune fille de faire sor-- tir son roman de létat d'abstrac-- We . ----Vous vous vantes, ma chare on-- fant, reprit Diana avec und certaing PédM&nterie de femge maribe, i argucrite rougit et craignit | d'a-- voir outrepaasé sa pensée, mais elle continua--Vous voyez qu'avos ce '{"é"'e qui nous rend 'stupides & wiaiafe davame ts gccll . OECOW h us caf oa COICCRE Sn riant dans sa jolie figure 't" nous sominés un peu com: en-- tent avec o il ; " T1 no Bmlao'ro, dmrfi::u-. lni.fl.:'lp';: vien." tos passablement bons mots qui ne trés chAtiés ; mais ~--~U@I,, OB parle .do tout --Pourtant j'ai out diro qu'd Paris ln ounvl-da{ dtait souveit trds li-- " + bre, et je pense ue vous deves par n L . us 1. " Tt France \os fouty ue eX frove E'M"'fi S mear do fes o) ;o uc fuent do no pafler ceteentndr chomin taleanty votrui4eR? cela nn Eho rencontre W"'r"l'""s na en rongissant, --Oh ! jo croia ~--Qne saisjo? cenx--ci no me plai-- (La fin au prochain No.) --Et d Ningara. Voici les faits, comment : n'aves--vous ainai gagué vingt--quatro née futale depuis ;;; que f'y min':fug;., ma C l|m véritable ac-- ne. , dit Margucrite on iparéo Wolle ; elle lle y réve la nuit ; en campagne, et uce £°C" iren bant ho No. XLYVL iflirldanu' Puic. cn~ i est trde--

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