TEST - IPR records

Le Courrier d'Ottawa, 8 Jan 1862, p. 1

The following text may have been generated by Optical Character Recognition, with varying degrees of accuracy. Reader beware!

les lignes fiow, eneurs. esnbes An sous-- unissions poor écues & ce Bo-- EAU, e 'ile ts t Aolscg seront heurout des .ourrages EDDIx, RHIERS, as ut Boom: UXE memu #8 froRtidre oy L3 o 10X tn n de JANVIER cluses at Pos-- de Saint--Ga-- anal . Lachi-- 0. dos . places ra anssi don-- onnew . solva~ 8SALUT w oi es e qu'un cer ires de is ¥vice au gou ne démontre fille NOU r Taw VELLE® faites . con-- cea g.l_l'n- en vue % 1005 no py-- mercidy Jour de P'de qui doivep ; FER de 1s pro. C l2 dame Posuyze Lmmeyt ou veamout ve wearey tuh wlilie, riplal steer» wnir L ntet onl' } réclamé ce reméde, et , nous Tare: atonn ho wveoie ue e bes _ Banme Pectorald'Ayer, pour, ia prompte Co reméde si anivemeMempnt | . noenetomtoe vermiquo im hk o Mss 1 eat dv'A'l- fi te monde civilisé. '?-- T hn whmé: ds familips qui ies e -'.;ln- toute in w'::' ?-'?l. avait I-.' Jave dou iatontinnce 32 ow it yonin et font un piaien derfoofi To ol oeils NOUVEAU PAIN'KItALER com fent remmede, el nous\ référons nos Jectoure A h ame~ in onlet injus HriE rairis a font un piaisir defourhi (HE z]---v--v n.tfi*."! r,;.hg.v"a; ment, croup, pulnfonie naissante et pour soulagement malades dans phade "_.hbaa'.:bflh-dd: PWd Pré 1e Dr. 8. C. Ayer & Cmy % n'.""'u 4 /7 Cioee 2 Digws vewe seleopateille qoi m's guéri a telloment ue ;-' sons mfi?'ufltmg e me sens rajmuni, et j trais jamais, sous ce rapport, dire un,: d-"b';-n d-wn:u"' _ Tameurs cancéreuses, * élargoment" 16 de taire de salsepareille en me dieant qwil noresizenh ue tootes Yos proge~ cine, i J,? ».I '{J'.',Vl J . Getche $ c e »elum 1 Sb ts lR P aflig6 d'une affection du '"1:1' plétement deétrait mt santé. :: n reméde ordinaire n'ayant pu.me soulaget,imon bien-- aimé pastenr le Rerd, M. Espy m'a conseil-- 16 hm:q.donu-uhg:o;fl.en me seule bouteille m'a radicaléthent "gubr on "Bemeth drang" es rmap frmd, sqrig e t 'une bien , vant davoir 616 nlllq::'dl cette .,mln.". Jo pense que c'est une merseilleasd thedd/ cine. par ah faw! uillet 3806 : > 5515. 00% w , 'rm- T4 .'D:. J. C. Ayer,--Monsicut, j'ai 6té affli> pendant rhamatisme chron. H lml hhuh-l-ofi;': 1|Mo. "Tai le méme mal 16 'raeroure, at qui avait be herproie afimoroyavies souffrances & in sgite do Phumidité, a 66 également. rendue & in saoté en quelques semaines. Je sais d'aillqurs que d'aprés Ja formale gue votre m'i'- remise, que votre pfirllion, de T'i-, Jaboratoire, ne peut .u;'". grand rem: et je nai pas, en conséquen» ce, 616 étouné dn,:u hozmu résultats. Tout & vous fraterneliement. G. V. LAIIIERd, M. D. ?.h-nuum' ..a;lu ul'-o\a.n u foie. § l"?ldlnu, reston, necticut, uillet 1859. Prr io cantt paf boite. Dyspésie; ' affection da' éour, abeds, \ept wal 'He Dents, 1t Conturions, lis .!H_-..:'-nl de .fic'h'. e qni suits=>*' Trois bouteilles do;J:.nn.;l- alsopareille m'ont . complétement g 4 idear. gouflement, N'on appélte ;mr:'u dont je uo:lrhm'w 'deouis mh»um%;fl'% F"wz-::.m 2 d in mas wome" Fertinthon Pinct o 500 aincu que ceite terrible maladie est chassé lamon 'spstéme. : Vous pouyez me croirs on est pris que trois bouteilles. _ Une pean ion votre pééworiptiou, (ch potiigs déseg ot is plale." To ho meadines" onl t iihptiven wee ay vonenits 1e mat 1. C. Ayor & Coy Je me fais udevoir de recounaitre ce sirait. -- Enfio, je me suis | , :.:. '3" u-u"Wf'E n oys ieveenenen on pna it gALSEPAREILLE ' PAYER ie scrofuleuse m'ayaut 616. ranmise, puritior Je * ot/ poutla prompie _u'q':--'---'u ie '.h-..--',p.nl-.nu_h hes de tm pesus Oakland, Indiaoay 6 Juin 1859, ' connaissait que toutes vos prépa-- ewadl --produire aue in bien AT ;A m * s _ + > ' P ile. JOURNAT PUBLIE DANS LES INTERETS T MM i romfeiniannoik de ln i j 5o aiink oxicenes. remddes produisent Peffet qn'on u:d. 1is soulagent coux qui a&:';'fl: Suren sion: aos raticdes 1 on adiigit is curant ainsi aox ot aux afflighe )n consolation et le comfort. Clyde, comthde Wayne, N. Y. 10 mars 1667, e A.'lo oxicenks. Pose potele A athimg. Pdgiditt o le Brile: MOSBS, se i"iw' pribtaire Rochester, fl. Am lontréal, par Lv-u: Bavao® et Cic., par Cartza, rnlv Cie,, ot par Lamrrovon et Campaert. 19 mars, dm--135 ¢*} Pour guérir an m LaoXainks pe BRYANX *Sont faciles ef agréabies & prondre. PurMoxatas pe pxvan fmmp;u due -nl-'.-r, ;l'l_u guérissent y omptement pour toujours. :'A-'rmm PorMoNAaiREs pe mrvax Sout guraitties d"u'\': douner satisfaction & a tout le monde. 4 P'%gnu.- puratonaiazs pe savan 'dute personne devrait avoir une boite das 4A U PAéHuiild rvcmtonames on anvan 8 *o.l veyagour devrait avoir une boite des "Phofitoes Purmanataas o maayan / Guérissent Dlrritation do la Luetie et des Amyedales, LES PASTILL®s PyL¥oNaiazs DE nryax Soulagent! los matadies ci--desus dans l'os pace de dix minutes. Les PASTILES PULMONACREs D nava® Sont un bienfait g::r toutes les classes et toutes les constitution. -- P #isticcrs Povaconatazs oe navax Se recomandent aux Chanteurs ot Orateurs. Cekein Sm on m o te Les raSTILLEs PULMONAIRES m pavanx Gubrissent de TAsthme, des Bronches et de { 1 | 1ino#,. POpprossipus, . , :: ---- LeB PASTILLRS PDLMORAINES DRSGRYAN Guérissent le Crachement de sang etles s ; Donlaurs de Poitrine. L48,PASTILLRS. PVLMDNAIRE DK DuyAN Goérissent les oodtednarintdeConsomption CrrraiMancom® a #1s Decovreats zx 1237, at eat. ll,fi.d-d-u':w-pi «it jamais #6 préscnté sous le nom de " ras-- vhtks f Al'l:," soit dans ce paye ou ailléurs { foules les autres pastities naire sont des hnlfm: reconnaissent d /n e de BRYAN qué est apposée sur chuque PASTILLE. LESPASTILLES PULMONAIRES | _ A Vendre & Québec, chez _ 0. of , 3. MUSSON, & Cie., J go_'yn_gs?g.fu.fyaun. 3.'s. BOWEN 6de W N. Y. 10 mare 1887. "'fi':"w loznp@_x ~Jo suie hen-- i xde M, HENRY & #ILS8, Watecbor ME'% tuo &hll-q, vis--d~via 1 I9F n'on en faaso l'essai, ot s'il ost trour6 pigférable & ieat autre artiole' do e goate, T""""" de ' préférence '& tout antre. _ Afia que: les personnus qui désirent en faire: lesiai ne courent agonn houe dobmems ht nos Acoalt, A remette aor sol ie cas Wen deraidut pes Satislatis."| Nogs donmone und graride' bouteilie wieoy rempli do tant do rewrsdos 'do corte ':ohul------ldl&uu.n. i enghent Pel M Arec, "teoia ie m te uhm ons Phicos yrhoue a @r gropriduiren: <de Linimients t de romédéb, gonlre lontes: douieuss, des pine populaires Vess Pioiafelecer Lropgednetive dPun nou-- Soulagement on Dix Minutes. x do, déclarer qus j'ai fait nsage dos EJ PASTILLES PULMONAIRES be mRYAN E. BURKE «t 8. STURTON. . 9 fev. 1861, 0 ~~~~ 407--190) N REMEDES ! M e s LEs PASTILLES PubMONATRES x »avan weabeptpdicndaP hetvsclnt taoe t c acaces Nous #'avous que ©'est une tentative thmé~ + * >**=Pour une boite des PASTILLES PULMONAIRES br BRYAN PQ'- ne refusera de payer _ AWenVingt--cing cents. _ _ ~~ Votre tont dévoné. DE ~BRYAN. J H hiiies Shum Cats: thaladie d faire usage de J. E. Surtu, M. D Montréal, C. E. Waterbory, i vio ht Phige estion, i} fant ' Cl'l'npp'nng:u-n-aul-lonolioo- tous les jours an No. 142, rue Craig, & Mon-- Tresh) Aadople tris mpidement uns 18s Etablissemments Privés et Pablics, comme on ';n hnlrrl-uuil::u ouni::-'- n)"."-.-----fll RT M__'. H tons les pays; attenda qu'il n'ost pas ox 'M':" .Luh'.u,-q.'-fl.mm lo Gaz de toutas les substances qui le conti-- ennent, comme ia Bcieure de bois, la Résine, in Houille, hzfl" los 'Os, PHuile, le Pain de saif ou gtaines. Proprt. V'lnbtitut Ambéricaim et des prix partont on i} a 65 epos6, h J. B. HUSBON WHAVOTIL DL LA LUMIERE ARTIFICIELLE i [ Jn plos secopmigne. t s piie sgrbable goe _ 11 a obtens is MEDAILLE D'OR de & co sujet, a' BREVETE POUR LE CANADA LE 10 Décembre, 18658. Breveté aussi en Angleterre, aux Etats--Unis et en France. 0. GIROUX, J. MUSSON & Cie., J. 8 BOWEN, J.'K. BURKE, J. H. MARSH J. BOWLES et 8. STURTON. Pour les Maisons privécs, les ins, i Mimuamwit ho Mostien d dae . les Phares, les Hotels, les Colléges, 1 y a sur le marché un petit Elixir contre-- fmghqndir Jaspor Curtis, de Smint--Al-- bua mais il n'est pas signé de ia main de N. H. Downs, il porte J. Curtis, & Ienore rouge, : Cest une contrefagon, on peot faci-- lement le réconnalire au signe que nous venons i'lfliw, ot rr lo fait qu'il ost margué 37] ot 75 cents la booteille. -- Natu-- rellement, le dit Curtis. n'osc pas signer le non":: N. H. Dows, parce que ce serait un a GARE A LA CONTREFACON DU JAs-- POR CURTIS ! Rappelez--vous PElixir véritable est garanti, ot si irm nom, & la plame. e N. H. Do'&'w"s. 11 a is mois soule~ poaiges fom sn d 0 t tle: d'essai, et | nous l'avons afin vous znll" iez easayer cet excellent n-x'lpu rais, _ I\ y a sur le marché un petit Rlixir contre-- Le priz de cet article est de 50 cents a $1 la bouteille, et pour les bouteilles chand d'ea demander une petite provision d mes Agents, J. M. fluxllh. Water» bux'\'t. et n 30 rue Saint--Henti, Montreal, ou de M. 8. Burt & Cie., Cornhill, Boston, Mass, ou de C. W. Am(l%:qhfl, Maing, on de Lyman, Savage & Montréal, Ca-- udt,.idc'lmn & Park, 13, Rangée du Park,; New:York, 'ou des principanx. Dro-- &-i-. é- gros) de la Nouvelle--Angloterre, lew--York ou le Canada. . is yous fourni-- tont des circulairs & demande. Si vous v:lox-hyw I'Rlixir do N. H. Downe, et ai on. ne le vend pas dans votre localit iez voire Droguiste on votre mar-- chudm.udu uné 'petite brovision L'APPARKIL --ADBHN persoune veat qu'on lui rende .son arzent. Sile n't qu's io demander 24y "AnAiEnnt neor. E/ ext Dappareil 4 Gar lo plas simple, i lus wir ot Mallq-r'-:mu: Fautk "it vadopmw 3 us Tos ciminte o 4 Montréal, 8 mars 1061 de 4 Agont poor io: Bas--Canada. Rue Craig No: 142, cher M G 1arn. Montréal 16 Fevrier 1888; . ~-- ne mnoerainle ot & toypoure N OUS diseane sn public que cette méde-- muw_mlqmm CONTRE LA TouUux. Blixir -- Balamique Vevetal Sarm W'- Powin :st Cis., h-u.n daul . 1 ooob Sadbes on gros o e ::-mhi sor Penveloppe ia signature de L. LFS ot Mme A ons d 9 lév, 1861, Gaz d' Eclairage, A Vendre & Québec chez dessai 26 cents. ARDOUIN, POUR LE is oo das K. BEAUMANN, 106 12m comme donnant une dans toute in Nou» t plusde trente ans, Ottawa, (H.C,) mereredi matin, 8 Janvier 1862 Poloe ty on Li he attt on -:':-Tumn l:nl':. umt dn eesiint ns sn daimtie" 2 «~HABRDES D ENEFANT de Mimonaion , _ CY MobERES * ¥. DOHERTY: l ths qoantlly oo m qnli'dt: :t.';'c:(.l' vendu a das ga CASIMIRES, ot «ARTORFES A VESTES, qui peut entror en compétition, Cables, Ancres,Clots & cheval, Cions tnillés Cheines, Clons & river, Scios a Movlin,Far un blm."A'eior, Fo'r'hlll»a, V'" du CA;ldl, Vi-- tres, peintures, Huiles, Vernis et incosarx, Chandrons & stiore 6t d potasse, Hachen, F1 sils, Poudre, Pelles, Beches, Piques, Podles m'-uvim ot l9 CELEBRE NA-- DL 1 !1 @ufin toute sorte de Ferron-- HABRBREPAITRE netie. Quineaillerie ot do Ferronnerie de toutes especes, --8 AY OLR-- ef mux matres personnos ¢u 'ils cmploion', is nécemité de ne point uu-ruo mu, @t de ne poiut zo. rendre .eoupables. d'mpro K8 Lea commercants de bois sont priés de bien faire comptondre aut Sondoctbnn Aos Snd en mR t grande partie, des nrbros et des arbostes ~_"_ "A BON MAROHE, Venasz d Pensvigne de lagrosse Taridre RUE 8SUS8EX OTTAWA. PAl 1e présent .nnlu-a:;; l.l ¢st défen-- du de cireuler dans Tenceinte destiné & ::'nmn du"ldw..; nmn-tl}o'- sut le :rou Barrack" on Major's Hill,"; c sous peine d'dtre poursuivi aveo (onl:' I: rltf gueur des lols ; de nulfe sux cloturés, aux arbres ou arbustes qui #'7 trouvent. La beaut6 do lE t choisi_pour les batiments huwmuw dépendant; . en Weadtle rasitaica c c l td T 1 ETMICG partle, des nrbres et des arbastes qut eroissent sur le penchi( du dit lieu, le [';u bllcmnqui-d'nm-flhr consérvation. t aussl, certaines Terres de i8 Corire tadd e tai 'ovves roune et du Clergé, sujottes & 6tre _ repriscs par; défait de m-t, duns les em do Lanark, a-v-lmuz . Greenville, umberinnd, -- Durham 5::":"', Victorin, Simcoe, York, Peal ea Une 'siste des terres devant bife offertesh verite serm sous rc déporéc, pour btre dite buée, ches les différen ts agents loenux deeci que co-ll'.ll_l_".'\'fl"l-.' c 2 2 aarle BUREAU DES~TRAVAUX Pusiios AVERTISSEMENT. vacantes et m.;"'"-'l:;;'l;: dabs les -*"00!'0?":( de NOVEMBRE prochain, 34 adast cemccucc e 22000 C Ein t D G ELK ET Y Ortawa, 16 mai,. 1061 HBNRY J, FRIBL, 4¢ ot les environs. Batisse de © Z2 Union," Bussex et York. K. F. M'D00GAL, Capital £300,000 sterii + m&:w'-::u':?; 'The Queen D. REYMON & 7 a Phomen e pvennaniiler a Orane: '.'}:'.wb'(hlnllbh- appré-- A n valeut ce o--qu i8 f ies ks Ts h das "'":-'fl'm.':fl In reparation VENTE DE8 TERRES PUBLIQUES. Qusnec,,15 aoht 1861, Ottava, lo 13 Avril, 1860 Un moutin a soies situé duns lo vilage de Gloucester. Amumhupmm-)_- chaussée V'établisement --pourrait devenir une boune source de revenus. Rue ~Bussex, (Otlata.' © soussigné viest de ' '.,gnu'-mu,mz"" Ottawa, 28 aoht 1801 LA YBENTE des TERRES de is COURONNE LE FEU, KLLION, 372 °0 09 Pn dn P umaliccca id sls Buildings, Liverpool. piREOTRURS, President, wlgl.xulol.mu. Eeq . JOHN YOUNG, OMAS KAY Eq N: rggnn. Req. l;fl:uuuon,-fi. Banquiers, BANQUR de MOLSON, . * . Secretaire revident;.--et Agent General, A MeK. FORBES, Keq, Montréal, S'udressor & ce Bureau. Oitawe, 5 Nov. 1861. ©~ (~ (22, lins. Un BUREAU DES --TERRES Par ordre, COURONNE, * (Signé,) ~P. . YANKOTG A YVENC RE. AVIS®, CommR® : .., ET SUR lA . MIE. JONN MorRTS, * > Surintendant DE niéon," eoin «des rucs » »lgent pour Ostancd, ; Queen Insuran« CotmNEsT C0--CANADIEXNs DU CANADA CENTRAT C'mpany 22 in «lant, popr avbit dos . rboscignoments sur «qmalques personnes de coue familiay clast a voie qboj'ni arn; devoir m'adratser. . Nous veparierons . do --eeta . anquisition, . 'Co: qui m'intbresse le plus din« ce moment e«tde #avoir ®i Touh cofinaisnet l6 lidu do la retriite do! Mmia.at Mile --do' Saint--Mairioe, in fille 'et }h Youre do: Vansion 'baton, mort rbrota-- tommatrement il y a--une visgiaine d'annden: On m's dit qoe cot de . .. dames Atatent un Sore dats le pays,\ot j'si pensé qoo vous, qai btes das notables habitants. . . . . G"mwfi*.dhhhm hommenaves un 'ealime | parfait ; ®t copen-- _ Non pas que je eroie an moing nux. bruits ubsardes que: l'on fait dourit depuia lo retout de nosroin legitimen.. Qaoé qu'on: dise, jo suis sdr quson ne reviendra pms sur la venty des biens nationaux. On avait vouln m'ef-- Tayot 466 dojet, 6t 6"obt pout céla fne mal gré mon Age 6t M@® infirmité«, jo snig all6 adjourd®hui a Clermont pout m'informer da co qui so palme.. 11 est cortain que noire ru toi Lowis XVIIE no. souffrira 'pas qu'on quidts dout qut bnt 'achdte of payk d'ar-- gont dyint cours des bighs dout l'etmt a'était empar.... Jo n'ai dont rien & ciaindre & on #ojet, contivaa t--it"d'an ton de vivacité que démedtalt sos perdles; sependant si quel-- m personne do Panciemma famille do Saint-- Matrice wynit envie do (faire catre acquisi--. Pais se reprenant nussitot, comme: a'l eraignail par sa précipitation de inisser voir un trop grand désir do vendre sa propriéi¢, it ajoutn d'an ton plus frod : Voun voudrie nchoter is chfteau, s 'écria | aveo le plus grand ampressement Je vieliard, l dor': les traits ohangérent tont A coup, . Oh ! nous nous entandrons, monsieur; jo u6 .lr-] mande pas mieux que de m'outendce avea ~--Monsieur Michelin, ne vous emportes pas trop contre vplre. fils dont Panour ast fort excusable, je yous assure, s'il S'agit de In jolie petite personno que jo vidus d'aperce-- voir iei il y a guelqees instants, et pent--dre sussi n'en vondrez--yons pas au hasard qui vous a foroé o . descendro danas ceite riisé-- mable anberge, lorque vons, saurex qn (| 'y troova un--voyageur qui vient do faire plus the cent lienay loht exprég pout avoir avec vour uh moment d'entretion..,.. 11 est inutild de vous dire que ce voyageur c'ast moi. _ En pronongant ces mots, i1 sortit & pas Jenis de Ja salle et laissa Pancieu notaire toh stupéfait dune réponse aussi noble que vigoureuse.., I1 semblait auss) qu'il y avait dans le timbre de voix de Claudo quelque hose qui avait frappé Michelio, et il cher-- hait d rassembler ses souvenirs quand le jeune voyageut, auguel i! n'atait pas fait nttention jusque--li et qui était resté specta-- teur muet de. la petite scéne précédente, approcha de Jui at lui dit d'un ton oi se trubisait . involootairement / peut--6tte -- une sorte d'impertinence : --Monsieur Michelin, quand j'ai dit que jo alavais pas vu . votre fils anjourdhai, f'ai dit la vérité. . Pour ce qui est des irnobles projets que vous me suposez, voici 06 gue j'ai & répondre : votre fils sait bien quiln'a, pas dépenda de moi qu'il ne remit jamais le Je,pied ici, on sa présence n'est pas agreable & tout le monde, et celle que vous appelez une péroropnelle he pourrait que fai le plos grand hooneur & la famill$ Michélin si mlle épousait le fils d'un.... enfin... suffit, BSenlement, puisque vous affimez qu6 M. Ferdinand est. entré duns ln maison, ot jo vain m'assurer qu'il n'y ost pas caché & voire insu5 ef ai cola est, monsieur soyez assurd que ni moi ni personne ici no cher-- cherout & le retenir malgré vous. h6« entidres, moi malude 6t goutteax; & Bniut--Maurioe! ot véas waver pas houte d'nne parrdille conduite ? Dapuis Jongremps jo youlais venit voir par 'moi--méme ce agi attirait Penlinund gant cotto bicoque doit jo savais '& peine Texistince, quoiqu?alle -- mit fait antrefois partie de mes Gamminés, --6t jo suis enchante 'que 16 busard mait proéare Pogcaiion do vous diro votre fait.' Comment t toute & I'heure en passant par ce chemin que je ne prends jamais pour retouner ghest moi, je vois toler autout de cette maison mon Gls, que jo croyais tranquillament au chatemn depuis co matin .... Je Te reconniis, je Pap-- pelle,... mais bast i so sauve a tontew jum bes, so réfugie chex vous, 6t quand jo viens le rée/amor pour lo ramener chex moi, vous we répondez que vous no Payez pas vi T al-- lex ! alleg ! cost indigno I vous devriez rou-- #it ... ) -- Maisje sais commont vour Pévex ansoreelé, voyez--vous ? at ai vour on yotre petite soite avez pu concévoir la pesés ue jo le laisserais s*ecannaillor, vous vous tés trompés . , .. Tonez--vous pour avettis. *' ~.Ko parlant ainsi lo vieux Nichalln)fip- pait du pied et semblait en profe & ta plos vive colre, Clande lo laissa achever sa Ton-- goe diatribe, puis i1 répondit d'un ton ¢alme et ferme & la fois: ;/ L'angion notaire a6 retouran vers celui qui venalt do lui ddressor Ja parole, 'atin> cha sur lui -n'm*t'cpn veprit d'un tou de plus en plus animeé : v=Ah! c'ast dong vour, monsiour, qui étos Je mafire de cette anberge ot qui chercher & débaucher on fils de famille 'pour (hw ' faire $pouser quelque petite perdunetie que --vous avex pour tiile. ) *ui e 'do : ¥én nouvellas, allet je siis maintenant 64' va mon fripoo do jeune homme quand il me luisse des jour> Mor LAUBERGE DE LA BARONNE Feuilleton du Courrier d'Ottewa. e 1Offama. Litterature. (Suite.) ~| ~Bopposen, monient, que jo rois encore " | quelqua chose comma 'intendant, homme d'affaire de, Mmo In barotina 6t qu*eile mait * | chargéc da soin de vous interroger. *) -- Voue! an fait pourquoi forain--jo un myx-- ® | tdre dune chose qui, j'imagine, sorn un peu *\ plas tard comnue de tont le monde dans ce paye 1 -- Je ¥ionn iei, monment, pour deman-- & | der & min tahto dn main d ma cousine, Milo P [da Naint --Mavrid#, «t termes d'an tostamment !| do notre onele commun, Je grand--prieur, * | mort en exil dopuis deux ans et qui me laimse ° { uns fortane do ceut mille livres de rentey & condition que jlépquserai n fille du baron \| son frere. . J'mi parlé comme un procureur ; © | dtes--vous satisfaif monsionr ? Le lendomein--an lever do jour, pendant qon totit ie monde semblait encore dormir & Pauberge do Clande Mignet, !6 vieux Mi« helin, mation! comme 00 I'est & la campa-- ane, procbdait déja i »a,toiletie dana in pe-- Wite.shambre o% il avait passé one noit agithe. . Les premiors rayone do soleil, im-- #orsant les ridenug & cartenux. rougos de ia fandtre, a'apanouiasaignt sut }a lit reevovert ®n camaion gba penait de quitter lo vieiflard. Fouten a'habillant i1 -nthn encore vive-- miimt préogoupk das idées qui na Navaient Claudé resta un moment immobile de sor-- prise ; mais i se remit promptement. Demain matin vous verrez votre tante et ' votre cousine, mongiour o chevalier, -- Main. ou done t s +/ --lob weloi!Pas de. mauvaise plaisanterie, monsiour. lo cabsrettier ; vous savez dejA jo no les aime pas.... [ Monsiaur le chevalior peot étre sir gue ' in madamé ot mademoise/le do Saint-- Mauride a'ompressetont. do tenit in patole du eabarettier, dit Claudo on s'inclinant ; et maintenant, ajouta--t--il aprés une pause, js dois annomebr & monsicnr Je chevalier que io souper est servi dios sa chambre, 1t saloa d'un aif froid ist poli, et il no re paritpaw do in soirbe, L thovalior ot .M iolinlin so mgardérent avéo to plas profond btonnement ; ni I'un ni Pantre n'avaient tromé le mot de Peguime. Je vous troove bien hardi, monsiant Nx intendant; etje no puis comprendre d'o vous vient le droil que yous vous arrogez. Jn malue le neveo de mon nncien maltre, dit Clande en a%inclifant respectueusement ; cependant, je le prie instamment co mlax-- cuser &i j'insiste pour savoir précisément la cause de sa visi(6.~" dy vous Paurais déj dit, imonsianr, si j'n vais au quel intérdt vous aviez & me fair ceite question. Quel inférér! Jo suis lo chevalior I-?u.rn: de Saiut--Manrica, 6t jo suis neven de Mme Ia baronne ! Lintendant du baron de Saint--Muurice s'écria Pétranger n comble do. Tbtoon ment ; comment aubergista. . . . . iel f Alor monsiout, vous pouvez me dire, vous, que sont devennes madame ot mademoise! de Saint--Manrice ! Je no me trompe pas? dit--il on le regar-- dant fixement ; 0%eat lui! Pancien intendant du baron do Saint--Muutice! Au fait jo me souvieus.... mais jo ne pouvais croirc... Claude Mignet, . . . . Oui, c'est bien moi, monsiour Michelin, je ne vous supposais pas si bonne memoire. Michelin dirigea sur les triits do Paubers giste un reflet de la lampo et ponssa un er} de surprine, Yous monaieur Michelin, dit Claude aveo force en regardant en face 'ly gros Richard, yous enuchgriéz sous le méme toit, vous mangeriex & In ndme tuble que.... Cest bon ! c'est bor ! dit 'to notnite d'un air préccoupé ; oest trop nous occuper de ce garuement. -- Jo le retrouvarai demain an hiteau, mon cher. Or, comme j'al des affaires importat'es & trmiter aveo monmeor que voigi, aywz done la bouté de fnire mettre mon cheval & Tecurie, jo souperai et je cou cherai ioi. Jo doisaroire, dit to joune homae en ron-- gissant un pea, qu'ellas ne . sont pas dans une positied desfartune tros brillante; car les documents que j'ai pu . me procurer sur | ¢lles mtant Meilounés par le chof de bureau d'un ministere qoi avait va une pétition de in baronne;/'dans IngobtHe alle Amplorait in munificence royal¢, "Lm 'réponse a é1é adrossée, dit--0n, paste restunte & Clefmont, et une es domestique est venn cher-- thuflum ce matin. . Jal done per-- dlu toutes treges de ' ces dames depuis cetie dernidre vile, étJ'ai pensé que vous, pro priétaire actgel du ehi@tean.,.. Enfin, j me suis trompé ; jo vais que yous ignorez tout ; mais jo me:metipai.en campagne ; clles au-- jout sans doute oure une généreuse hospi-- talité dane quelquo chteay du voisinage oi eltes vivent paisibles et ignorées! Oh! jo les trooverai !-- it faut que jo lea retrouve ! Uut, ouf vous les tetrouverez, dit Michelin aveo emprestemetit, ot si vous voulez, mon-- siout, que neus aeus eniendions & propos de celte... vente... jq pourrai ensuile vous aider dans seite reghgrche, monsivut, vous accom -- pagner.... Le jeane homme se détourna aveo dégodt de son--interlognieur, commé6 in de ces hommes doot on--n'a plus cien & attendre et ' que l'on cesao de ménages. dés qu/o0 men a plus besoin. Mais en ce moment Mignet ' entra, fenant und lampe qti jotr une vive glarté dans toite In salle; Monlhpl Micholin, dit--it, jo no vous uvais pas ttompé, votra fils n stest ~pab retrouvé dans ln maison que j'ai visitée tout entidre. 8'il y eat entrb un coment; il on sera ros-- sorti mans doute pendant : que nous étions a causer i¢i et i1 sera retournié chez vous. wempht & 'esuse'de ma goutle, ot jo suie meul, ob }'btudie Tos anciennes loiw/ /. : -- Mais--étes--yous git au moins qu'on n6 vons @ pas trompé et que ces dames sont en Au-- vergne ? | Je n'aifunais enitendu parler de tout ceci. une 'fille® Vous 'm'apprenéz des choses toutes nouvelles poor moi. : Je no suis fixé l"*fl"l-fn chiteau ; ju aore zes Comment? s'6cria ie ¥ieilurd, la batonne de Saint--Maurice existeencore? Eile a ccuper de | Micholin jeta un regard indifléreot, sar Jemain au | 0e beau paysage qu'i). avait dejd vay sans ® j'al des | doute, sous bien des aspects divers, mais j1 monmeur | abaissa promptemont les yeux sur le petit rire mettre | jardin qui a'étendait an--dessous de Ini ot ef j8 cous | qui, nouw Pavons dit, ng ' se ressentait pia trop des ravages de in saison. . Dax 'crysan-- lande avec | th&mes dotés ou bieus; ces dernidres flours e Richard, | de Pautomne, ormaient eveore les. platés-- toit, vous | bandes ; la rosse coulait un perles liquides : sur les feuillos jaunies de Ja vigne ol retom-- 6 P'auber® | bait on cadence dana lon alléos & chaque sn un on | souffle de In brise. . Mais ce qui attira sur-- [ tout Pattention de Michelin, oe fot une joune le regar-- ' fille coquettement mise, quoique aveo la plus intendant | gracde simplicité; elle sortait ) du payilion fait je me f situe d Pautre extremité du jurdin t elle ire... regardait derriéte 6lle, comme si elle nvait bien moi, | eraint une aurpriso de c6 6616 ; puis, qhand Osa!* PM® | olle so crot bien siire de no pas btro obser-- vée, elle ntaasit sur un bane rustique t allo Muurica ! ' se mit & pleurer en silence ; on e dt dit qu'alle I'bonn-- | avait cherch6 In solitude pour denner un 4T Alots: | tibre cours & uire dawlour longtemps. eante-- 008 90 | nne. -- Elle reata un moment absothde daos emoineln ' sa douleur, ctouffint avee son monchoit les | nanglots qui sombiaiont a'échappor thalgre hn i }h-- | elln do au poitrinie oppressée. me faire ' Lancien notuire Poxnmina aveo im vif 1| étonnement on proie & une grande .ingor~ r Eugone Mitude ® |_ Copendant une sodne trés vive, quoique & | voix basse, gvnit lign entre lea denx jeunes gone. . Augustine aviit pris an att 06 digni~ 16 froide 6t sermilait répondre avee duretb aux supplieations que lui. adressmit joune Michelin. . Le vieiliard no savait L que pétwer. * ' Ah! ¢a, so disait--i} & WMIU ent cotte joune fille? Sermit--ce in grisette dont mou fils ost ameareax, on bien.... ot #i o'btait Pone ot Pautro, Wintitii--ti on so retifunt ¢ivemont ie l fandire ; impossible. Cependant les paroies 6nj iques de Mi-- pcl:"hui'l au soit, I'ilfllm% donx dames dank dmto anbergo.... Pardien t Daflaire est--asses nn-mm'--- do la vérité. _ Cot etourdi do wan «'un ange pare «wune petite pa Panbergista, jo Au 616 un twit h parst _ Oai, oni, grommelait--it .qutrg mey t.u. 'do doit otre otlo. Cekt ' M sdrement Mile de Saint--Maurice ; in fille de co Mignet no pouemit ~avoir ung Mclée gonrnure ; . at d'willeurs jo reconnnia fos trails de la baron-- vo.,,. Ello ost vraiment trds bien, cette jo and flls 1 Cai dumes sont \done atrivées T Mais comment? jo n'ai pas entendu de voiture s'arrétr A la porte, ot Phabitation in plos rapprochée n'est pas moins de deux louens dici... . Voild qui eat bizarto ] . . . . Mais que peotelle done avoir & pleurer minai, cette panvre enfant ? Ah ! si rtonsiour mon fils avait le bon esprit do se faire aimer En poursuivant ces réflexions Michalin achova sa toiletlo ot savange Mh'*'. quil ouvrit avee distraction. / La campagne était fraivhe t embsumés; et une brise, ya« nue des montagnes apportait jusgu & --Phably tation le# nentours aromatiques "den smpitiss A Phorizon, -- d*épmis 'brouillard® sortie 'des Puys, dout los ¢imes blauches reapiedie~ saient m9%. rayona do csoleily'. Au bas de. in haine, dans |'immense étenctue do in valléey des twintas bizacros, dos mccidents --do..Ju» midre, coloraient de mille manidrea les «ba~ saltes brones, los : lavige rouges, los scorics blanchatros qui maillaient 98 ot 14 ontre-- los les ajoncs at los bruysres. On. voynit déja de nombreux troupeaux de baufs s"&rancer lenternent dans le lointain vers les riches péturages qui courrent les: volouns. :; f€saunce uic o Pn o7 CHme [ Pon n remboursait qub 6# que 16 thitemi Saint--Manrice m'« vohét?, ; * Odly it te-- faut absolument. Ju'vais partur 'go --matin encore au chevatier,' car hier ay itte révélation bizatre de Poxist tante et do 'sa' consine 'Puvait' bou! 1 i ne m'booutalt pas. ~ Aujourdhai to"il sern plus onime, ot puis jo no me rorai punopripum-orhpm.... un membre de is fumilte do 'Buint--Mi ib naura pas & eraindre detrg dey ~plus tard par' le. gouverniem@nt; 'au . lien. qud on o e Ee & tout it afost pas st . c anmm::nnfi-"':nm': urlo-nmndub('- d'émigrés, 6t wlore» . |Ma foi, décidément, j6 m*y pords ! Quelta inconcevable avent ure 1 l!.-',lm-l-inqi arrive oi no sait Pou pour épouser une cou sing gu'll n'a jamais vae ot qu'on ue connait nulle part ! une grande daine qui est cachée: depuis long--temps: suns doute i' quelques: pas de chez moi, ."1"'\""" gound son 'existence, et qui doit appatalire ioi ce matin, comme par in verts de 1t ba« guette d'an esoamotour, saf Pinvitation Pun malhourens gurgotier ! C*it indéchiffiable: | Mais qu'ils s'arrangent ; ce ne sont pas 1& mos affairas.... Mas aflaires, i wiol, wont 'de youdre & oo petit orgnaillenx do chevitior ¢e ohilteau que mos alodx Ont habité; Ovi," yraiment, i1 faut due "on id hi an as it pas quiile depuis in veille, ot if murmutaty aveo un air d'impatisnce ot do eolures . > meme itendi1 it6 de | tout & reil, an liew. da n'nmu\nhov paysanne, comme la fille de jo ne craindrais pas tant qu'on vente das biens nationan ! insiaut, comme si son yen eiit par quelque bou génie qui a'6-- 'exaucer, Ferdinand Micholin coup dans e jardin, #'6langa o y 2+ Oy B1 partur 'go --matin or ay itte y tante bou 1 i ne ai to it no me rerai NC1 2V . un Suint» Mani i «ey 'plus 'au -- lien. --qud.

Powered by / Alimenté par VITA Toolkit
Privacy Policy