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Le Courrier d'Ottawa, 15 May 1861, p. 1

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eat d NEUP, Irablace 6, -n-.: brouses pra> "m ut . Pouvric biea con-- v6, se riet du i Pex» fort do bawid uce old * pourv & rfi'i: z lontréal et te «de. la carre to fe., &o. e serge ine . venant e cour spas & hon éta-- [ me laiss ille avee ) éouties, Mitisson "J TEr v".q' T RE BROWy 4 Te public LE, ! comply 104 #1 d coglgyy ct B« den. 90i qat L3 ~aniopatione x i w oures ;'«- titre la confiance J" tout :'... h+ LUMMENT ou vermont og nexay. La mailleur remide encore ie tthu matiome, in Roideur de Jointurts. lt On hous a rapporté beanooup de oures as-- complies pat cet exceient remdde, et nous référons nos lecteuts & notre almanach amé-- rieats Jue los suonin.et devumee nommte n t un' en cous qui on é'l-."fi' demande. sommes certains qu'il opéreri tout 'he qu'il est an pd¥voir de in mededine Baume Pectoral d'Ayer, pour la mam---fi..up.-... --'.---p.p'-.l.---bni-':dnu soulagement, malades une phase nvancée do nette derniéro maladic. Ce reméde si oniversellement 'contiu surpasse tout antre par in cure 'des mmuyx u ' NOUVEAU PAIN KILLER has viho i rin, Mn Ars inb ui w 2 M:i;:"m : Jn rhun'. ..Ohtfluu ':'o t_les bmdu, n'l'- men l-ib et maladies 990 ToA 96G#Rit® aroirs ancAdsta _ Dyspésie, affection dé ecur, abeds, épi-- tegele hanieur Somibre, Retrelgien ane * de gorge ot des affections puimonaires, gu'il ost inatile do reptoduire io Peridenee oo os vorls que pour 6# taftes de in ost sans vinlhnoh-#m bedameginieiine mb' hhfl.: n'aieut point fait une expérignge de ses effets. C-n"w., fatais révaltats de ces maladios Pefficasité de reméde, nous no pouvensfaire joste main :'ind: fnlnr'lq ,l}.vd. M. ia;y;';l";.;.-fi. ite osage de rotre salsoparei!lp on me di-m;lu'il connaissait umv«pm. rations no pourait pnflm que du + poirrcgind :+A hq anlsopareille gat mi'n 1 a loment ;'n! sens mufl-':u un -nm. o me seos rajmuni, ot j|.|j= sous oc.:-ppofl,din'u.':m: vyous. Tamours cancéreuses, _ * 6largement" nleotes, carie et exfoliations des os, 6?'&.. a TaPporté beshoout e adrak'ss.. ;itfimpm * 25 o6t--am. Jules Y. Getchell de St. Logis, écrit co qui suit:--'Jai été, durant des années aftlige d'une affeotion du fole ?i avait com-- piétement détruit ma santé. . Aucun reniéde ordinaire n'ayant pu me suulager, mon bien-- r. 1. C. Am,---lufiaur, J'ai 66 affii-- g6 pendant longtemps d'un ' douleuredx thamatisme chronique ccntre lequel avaient échou6 tous les efforts da la medecine. / Pai eu recours & votre 'salsepareille dont une seule bouteille m'a 'radicalement guéri en deux semaines, do sorte 1:"" jouis metu= ellement d'une bien meil mmg:-- vant d'avoir 616 attaqué do cette . Jo peose que¢test une merveilieuse meédo-- cine. i ghsle oy nulle trace n'cn & la santé on '-l.u somaines. Jo eais daillears que d'apréa Jn formule--que votre agent m'a remise, que .votre préparation, oufi-d-v:::hh-nl,-:-.-pnthflm grand reméde, et je n'ai pas, on conséquen-- ce, 6té étouné de ses heureux résultats. Tout & vous fraternelleme 1t, G. V. LAIIMEI'ILM. D. Rhomatisme, goutté affection du foie. Tudépendance, . Preston, . Connectiont,. 6 uillet 1859. x le méme mai par le mercure, et qui avait ét6 la proie drh'nq\uu .ufi::. aAln suite de Phumidité, a 616 également rendue Wbininr 1 on fpont reudiudes ccccl 2 d 2t nériennes.. L'un de mais. malades avait dos nwm'n:w.'hhupuu"mmn 616 gu cing somainos. \Une antre -unqu:oh-'unu_lfp_gydgd-ufl hi ar m' rridiahet uit 2l Nouvelle--Oribans, 25.a0ft 1859, 4 'x:fu&"l? _Aywa-.--hhu,mm. rmdo l'.m::iu de rotre -hp..m- lal clane on mentoum -- exbdes idE CIn areille une tumenr ovaite aus avait ina~ «alsopareille une tumenr ovaire qui avait 9u°& présent défié tous les ".?:h z.f.'fi desine, mais aprés avoir emnlovk enia s. . aego d on t tPRe® Atoir employ6 voue to-- ndd'dlnnldx-:u iln".:.u symidme de la maladie," Maladies syphilitiques ou merourilios. d e n hideu: flemente du cou que on fi.m;xlkmhhu&huu E-':'inhm.,_a u':;;;,,,, bama, cite. le cas suivant ai .. dans ma:famille, an : moven do vate Bronchite, gultre ou du:cou. * llohln."lhu, de m'm éorit ce qni suit:=' Trois bouteilles d.m.u. salsopareille m'ont compiétement ghéri d Sb e e t CC Ifiounedis tomet arfine ment la cure de violent lli-b:lo & h's.lc"u- do .mém#" reméde qui on dutre guétit les 'Calvitie, Manx d; vrait mon corps. h.o'u..utullo-zuu vaincu qug cette terrible maladie est de mon t&-:u Vous pouver me en vous déclurant que jo ' comme Pun des plus Phumanité qui ; et je suis ave6 ' serviteur. durant un mois dans 'une Cuiliéte & th6. Je * i is boutoilles. . Une liase 4t blaniches reuprade in piaie oo See" lon s exed n rum':c'..b 'dans 'une E Jo suie ar0e repeiinaitiingg toue devant jo suie avee rvileur, o Alfred B. Tallory. Erésipéle on fou de St. Antoine, Dartre, sures uiches de rousseut, pustules, ot tout los M hm# p N vedat cas ts ¥., on dato du 12 s@pt@mbre 1859 qu'i "«en date da 12 septambre 1859 qu'il a guérison des luves, Lo mal de Tote ot les maladies' dos Tnaatins. cares Eedige parun Comite de Colloberatours. , Manx dyoux, Hydropisie, &o. _ i Aatere is Frogle wl o 5io. 8.°C. Ayer & Co,, cas de maladies v6~ :} & * h ', im' ds Coutrir e ~ot TAHITRN A T. DITDT TT' n a arss ) s s --aaiime _ 1 D o e : ¥ ama J. FREAM votre sal-- DAYER savoir : e pFoasome::> UBLIE DANS LES INTERETS FRANCO--CANA DIENS DU cfif C"'"" h.:ir que pendant les dour recommandé 'usage «n ?#"" : Samonge dn Dr. , pout in des Poumons, ot & fua . connaissance, . i boutsillas ont 46 buss par mas tous en ont ob-- i *= u-lu.-: M_LT_,_, Wit dire déniasée, Cos remédes Flfi-nliufi_flnu- tend. | Ts sonlagent. #loi-- mniciranit maa n curant ainsi anx 6t anx In consolation et le cothfort. comth de W N. Y. 10 mate 1857 nl 8. W. h'rfiCu: Jo suis heu-- en ies ma Jow 1e hhhqr.,h"wh';'uul-'; ladi-- forn usn m ho uce S'exorte bien ceux qni souffrent q-:f'.".':.u... wsige de cetle mededine précimuse. Mmhrfinp-n:o-u;a"w' il faut faire usage des : Mm:l'm-h. rfimn_,: » An:u oxicenes. Pour gubri¢ "fipw Brile-- ment destomac i1 Hn-:gl:dn __ AWER®S ox:cuanes. ® Tous sivére P len e wage ge i *n 499 Rawmeé de--Cortstér Skvage da Dro Wistary Pour gobrit is 'Tour cHiaide, Ia Grippe on N. ¥. 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Les véti se reconatesent ala de BRYAN qui ext apposée sur chague PABTILLE. \ 19 mars, GRANDS REMEDES! 2000 k de enreout git jamate 6t3 présenté sous ie mom Je i pis" Carre Menrccars a are Decovvants zx 1737, et.est lepremier article de ce genreout LESPASTILLESPOLMONATRES DE BRY N. A Vendre & Québec, chez 0; GIROUX, "J. MUSSON, & Cie., 1. Soulagement on Dix Minutes ln maladie In guruntissons. Aon de faire & notre reméde ung réputation 'so dépoos gorantios mais ooX dgthecthnon seulement qu'on on fasse 'Pessal, ot -am troavé P'anbh::w-m mi-h' P ,, om l en er n P rer o + «n faire Pd nous qulorisons tous Mo%, Agents & 'aux ear argent' dans le cas "ou is uis k E.e;-.-.'-_:v:w- prreg Aperiinres .. 1 9 fév. 1861 loue Mnas un moment q# Jn Pape en ie E % , rue S-lrtgqn',s '-:;-m ues MRIOTn & Russtor Oorne: des Hranches, i1 fatt faire J. E. Surtu, M. D dn Drs Wistnry Moptréal, C. E. 107-- dm--135 adu qu'il nht pasexposé Eie dipia e i t n wapte ut < hm Comiee h o Sa A onl e contl-- plus ontiore. _ _ ___ MeatSul, 0 erem D99 M. J. B. HUSSON, a Phonned'offrirses '-nl'.- e libéral ;mb':&.ua rli-. pu-r'ud-.u--i---u n't.-lu'":'u' prond hfllfl de leur jours servit les M':mhw Tok tgurgnt prergdonicle sihotpouth J. B. HUS&ONX TWin o aote oo iprteen ie O PM Pain d: suif on graines, Proort 11 a obtenu is MEDAILL D'OR de Plnstitat Américam et des prisariout o i} a 616 exposé. ('truppnnil%bnn-dhm- bn-lu;ourlu.:.'ld,r-?nh,hl.-.: tréal,) s'adopte rapidemnt dans Eub!)i-:.-nu Privés et Pubes, comme on mhmrlnmin:mnmbh.a ;r-nxn possession du Cost l'-roili Mhm,h front (I sligenyt wo hormer w4 ',,"",;;!'".-..- is climate 6 & in pl ique et in plus 4 10 Ds aoonemnigne is ns gréable que Pour dos appareils oa des reeignements L w wihy vairimg 4 BREVETE POUR LE CANADA LE sOUS LB PLUS COURT ELA -- lhpp-lu-yl'ur PElixir. véritable . ont & garanth ot »igng 46 mon nory --A la plaime sovtN ol e doietol h Gtrmkk, J. BOWLRS et 8. STURTON _ . Cest un controrigon, Ou p wie ml Je reconnaitre ao i':' ';:,'E enons: dindiquer, et t :qu 37) ot cents rhuhmc."Nm- rellement, Jo dit Curtis n'ose pas signer le mb:: N. H. Dows, parce que ce semait un fanx, GARE A LA GONé'%flAmN DU JAS-- POR CURTIS! \ a.l{;.,i': V..'l, D ~.'.:.......... ;::u- Po t a sur le marghé un i conttre-- ;:it dbfl'l' ps ,::cpnr (m.'.d-h&hgd'- . 4e oynn i. a mixin rouge. . Cest Un# om Ou pout uns» VAPPMEIL 10BM les Manufactures, les Motins d Scie, les Phares, les Hotels, ".':"!":':" Tt n'y a que depais n?n wiola seale~ ment ;'u- Eou avons C les 'bouteillos d'essai, et nous Pavous fait afin que yous ruul'! iet essayer cet excellent mne%o a peu ls fraye" Rue Criig No. 142, cheM Garrn Montréal 16 Février 1858. Le priz de cet article est de 50 cents $1 la bouteille, et. pour les boutcilles dessai 25 cents. neur, Si vous 'vould# essayer PElixir de N: H. Downs, ot si on ne le vend pas dans veire localitépriez votre Droguiste on voire mar-- chand.d'on demander une petite provision A mes Agents, J, M. Henry & fils, Water-- bury, ¥t. et n 30 rue Sain!-;'oui Montreal, dn 3s M. 8. Ben & tr2. Commbill, Boston;: Mass, on do C. W. Atwell, Porland, Maina,' on de Lyman, Navage & Cie. Moatréal, Ca-- nada, on de Barnes & Park, 13, Rangée du Park, New--York; ou des prinei Dro-- uiste (en gros) de Ia Nanuu.-m"', &uuYorl ou le Canada. _ Iis vous fourni« ront des cirulaire & .demande. a NMV L BOUTEILLE D'ESSAI, 2 CEXNTS, A.Vendre a Québec chez 9 fév. 1861 10 Décembre, 168. Breveté aussi en Angjeterre, aux Etate--Unis et en Fange. & Yos amis ot 'connmissanoes ; ot rappelot 'mmq-dwulmnn: un médion= ment qui remplit tout c# que disent sos: pribtefres il oat dane veurd mgege it old Ch u_ 12 OB 220M Achetez--le, et 2"il vous fonuula, !_Ini":l:: rotour, lo recommander ©! 1's vous diront fl-'\l'on 1e meilleur remé~ XIORS, pastuie a ie nb An on Soueten o Anajene BOLODE: maladies qui tontes tendent & 1 i almanach remplide certificate: ons personne ne croie 1 gilnu fin'flz -oidu"'z'xuhi'ul'. "'3'.- nw ud S is vous diton ons vet to metiioar vame LA LUMIERE ARTIPIGLLE biioirc codets dn -- tne eomrernemran es s w an de plos que si» -o:? W Sile wa "o ue io Cooneand iuet "en argonts, Gaz d'EEla'rage, ppioer in 2 Sethi W.'Fowt's 'ot Clol} Baion, propri-- déwail, pu JOHRN mtegon rosedtn nds' LFS ot Mme _ ARDOUIN 8jaov, 1861. NOXTREAT rribedy . wl en w sc uk E. BEAUANN, Agent pour o BéCanada. POUR LE ,.pour ce ¢t -- les Villes, 106 12n. les_O 1'Huile, le flgf-".V.-fiadT; certificate: que il faut queique qui--peut étre in ront de in satis-- éth les premidres vietimars de Viny» "fl'&yl-epq-i, seaux !"l'W»'W' rives dn Bt. Lagront, ote, ut anr fangathgn 'vq-dl.u:'l:"-r,wnv ' tance d a passé comme un métbore, »ans que me ie e yee ont 6té 1 hi & o proaptane Noms le disions ; --4 cing conts li e nemen mt aoogl uit péricur, étaient alors plasieurs Nations Moue es Algongninn Ait j Arc ont les Algonguing BSupérieurs. !Elh'n' ":l'm dant Join dn .fla.".:,"lg...f'm m-d"-:m potir 1 6 n commune et sans énergie dans Jn yig Mais alors, quel titre avez--¥ons en réerve: pour L Indiens fibres, qui nm demandé no;r: uan:_e ...: # se 108 'fordal qui hmm pat m'mfl um:iummu:!&.m ndn-f:; --Buns dotite Ns seront Lerplis--saigen Eh bien, fose réclamer fonte votré canse commune, de léur attachement !ll- R:m',ns'e?:ur reconnaiasance envers nous, avant ou aprés leur con-- varllm,--ruhque nous leur avions conservé in pumd méme tempa mmkfil lymnr:nllvb 'distribnons--lenr dos ""..'.'m ot de Trokbiges, (Loe Peuples se déplacent queiques fowu. mmimu-}rz"f nnais '""b,t'&'.fi'-';?g ces a, ot mt hn yelipead io ol 0C 18 80.-- Cc fut un des beaus _d.'h'?m de n'avoir point ¢ & son arrivée in faibieae an fi onl 14 an @ renx. | Tt on tar ,_ u; rith et nos Emibents | mous appe-- laiont & dominer ces %l:' ts, 6t Iinfluence unitive de ls Religion devait lentement it cts pan-- yres san avec los em: par ooméqt:::,:mm m ees avec nous, avaht lear conversion, n'ont 6té a':'du soumissiona #; toutes e -lllnm conversion, n'ont 6t que des fruits plus ou moins | ln guerre, et _ refoulde jusqu'au Lac !8\1%'. Tes A 'jm"i"m'.'t,c thsy is fay x En hi augl Y r, mals ils so mninlmmt, lfll'\}mu, on s'appuyant sur In frikhcaiso.-- & leur anti our les Troquois, of 2 io en fls Fout e Trequois, no Jagques découvrit le I'm:nibd 'froquaise :rm séparé, ou peut--6tre sEparait--clle alors les Nations Atfion an doux g-me- Pune était a 1'Est du Canada; 'autre avait' 66, n }z ancantic, nom pas, sonmise, imgls.déplacée par \Conséquemnmcht Jes los wijtos furent do notre C6té. !Elge'\-lnnnt ou nos amis, ot ' nos nfiifiu,whienx encore.--Toutes les 'tribus, arrdtées et fixées dans nos climata, depuis ui déterminer, l])g.fleudfut a in race Algonquine: 1e voit & In + blance do lour dia de leurs Z: bitudes, de leurs superstitions cunnneJ 70A ME Te aP enmecrofaevin dn ud hi hcc eepompans t ses vict ies encore pplplhne's',nohu-ic de leurs pays leg peuples qu'il ne g:uvnlt exterminer, et 31: voulnit--il, le barbare? si on continuer contré, nous son ditre do destruction, de mal et de folie, / '{ kader, ralliant m] Krabes m '| Sahara, ot t ~ ; Foul ue hoii mt m faone tos * no sa e, car | il étain h;'mmmp:hln:' ot fleau : daDimqfirluN'mniu T1 était | venu, récemment, des i | 5:»6. de' Pextrbims Nord--Ouest, soit ces plaines, dishéritées des biens |de la'. nature, on Te Scioux l8ve, en-- core 'de nos ;jours, la chevelure du nier qui --Les flmvnqn' n'avaient pas 6 la pensée que los homtmes pilos voulussent s'emparer, a onx da térritoire, et is a'in-- uictaient ai de 1a présence ma-- &rlelle des f::?éum, quon les en tendait dire :\ ©Qu'importe qu'il| vienne in peuple de plus dans le Ca-- | nada ? T cht nsser vaste conitenir | tous los peuples."--Et m & Pars | rivee des I'Troquois tuait et scalpait Tes homimnes dans nos forbt«, ! TWeA ® ib ayeo nous ; | d'a¥olr payé i Pavatice sihs one 1 4 p 'm,nou. dnd;p.',uh:m'_':gu,'? ts w06 de ln France | matBrial« que nous ) Aomop e brusior quo 1'Troquois ett |--Parmi' ons N T 9 e 4 Mdluk lmlnh une o'é':itdupqnoam n-m.' ryfab(nie f "':' fi:.-m:g""'f hon :-gtél;bmouua u;amn'f'. F"" ln. l_n'r'"o ':'h"filqfl" Providence JMu T'a vfi;:)m .a: do . g ;;dufl !":: mwdme. Cétait mlrdu moire, comme nous honoroas Abd--e}. eured, o Hon Portewe ot los avnx | A $.8. 1 r r:.._'_w » mais ne s'angantissont jamais.) sérieus, main '-nrum' mtmm-vu avec quel soin,il examinait les signes de la nature,derridre lesqueln il voymit toujours qnelqme genie théchant -- on bienfaisint ;-- yous saver atisal Veo qupna'lmglsun Tui qut vie Wnviltt ni lire ni écrire, if ex n"!mnlt #a pen-- | she par des f I'fl tmhulcm- | tout & aw pé , €était pour expri-- mer, par T6 edstir une affection, par la téte nnoHidh ou--une mpe:;i.tiun morae: : LOttawak, sopes--on stie, at-- tachait une idée, une hante idée, une 'H'::avm slt nationale & la ma-- los ga [Rribu ; Aarchoin Jf:'l&""'d ar. rivée dos Francais, notre flouyo était «4 pouygir de Pennemi des -- qt': maik fl'.-imn des N ' an Bupérienr, a t f lee Imkwh sur . soe bords. , ,:t'n @aient--ils pas de ce nombre doute; puisqu'ils ont 'clquk,(l 1664, v-'),hloq'vqr '&:?ufil, anchant gn'lb avaign 't ngtemps terfitoire de ennemig, il fallait qu'ils en con-- pussent particulibrement le chemin Pom: In onoe Be eree oys point du cours de notre fleave !-- un signe, ou burlesque on sérienx. Comment ! clest que o front dé convert est noble; ¢es chevenx dé tions, elles nussi, appelient les Otta wake In Nation drn'T'thw Relovés rangés de lenr position nutarelle, sont un Signe: on buri@iue 50. refigux. plfi:t naturelle. lla Indiens dl" Ca-- No portaient les veux loi | sans culture et dmuhr dimm l-uuslhl,d ;'il n'y :zt qu'utne l(ll;'l; exception & cotte , cost que hommes et les: femmes_de I;' tribm des Ottrawaka redresanient Teurs che-- veux sur la tote, autrement dit, ils ' B(mhlméul.«-n :m;lll«.; a (gvmvm, ne mots chez, les Bauv M ofaommuvafinz-\mm, ai non dAn.?'l'o monde sensible?, La distinction dans Ja chegclure fnpr'lt assez los Indions pour leur faire au pouple le nom . de Son Oreille, Que lfi»ju? toute matériclle qu'elle 6tait, elle frappa méme les ]flmq,mlaltda- |unealion gm Yous fait. palpiter, avee |rainon's lle a été Jn |de mwmfim x..am.:"fi l'Amérique da Nord f"--@Now vail-- lants Ottawaks," * ()flaw: on Otawak, dans tous--los mm raink o m ifrodion i--tamwak--an vout dire Oreille ;--en 'Maskégon, Tatodl=ai ¥eut dire Oreille:--on mwé Ni g:ra veut dire 'Mon , Kita-- Ton Orcille, 'O--faiak, Son Oréifle, a lui; ainal des autres lan-- gues. De ce que le# préfixes et los aflixes des mots ont pu changer, on no peut inférer que leurs racines aient aussi changé: () vouldit, dire Son ; Tawak, Oteille. _ Le mot et le nom d Ottawak ou d Otawak veulont dire Son Oreille. Et d'oi ronnit venit ce nom !--Distinghons 16 mot d'avee le nom, (-'un;'d-dimvh cause g cétte ation d'avee Tpccusion do cette :F}::'Luon. _ La causoyclle était sim-- 16 Mai, -- 1061 de vous Inisser 6blonir par To m'glorieui dos Alfm';-?' d E4t : ce« faits vous sont milenx con 'Réfléchissons :--No su is pas i de Efim- Bauvages l'flmlfigmw parfal detlv-hgsn&t In civilisn-- tion, Pintelligence surtout des avan-- :sq do }méunvwota,.... 6t se rait &n vérité trop exiger doux, 'Ayez it | mier 'choo 'des 'hordeé iroquoises'; \\avor rédult Tour uon sht mowd xt inconnu, d cing'} dé les avoir eon-- ®" tratntes d' »arreter duns. lo i esn eaetee Ple mh": Canada ' et Pavoir pro-- t | bablement sunvé Is vis de nu'm 0 | wmiers colons, assur6 par t & in F 'f 3 découyczte de notre,. pays, e:# i | davolr payé i Pavance, sins que w d'Ottawak. --La voie qui menait de Montréal an Lac fat romméc Ia Route hax Ottawaks. | | J¢ prends a Phistoite ce Vain dire. lavznkn !udi::"qiidodu- cendirent vers nous dt Lac Supériour, ¢e furent les Oftawaks. Les premiers Indiens qni s'exposdrent & l& mort en traversant le any-du Iroquois pour avoir Pumitic des Francais, ce farent les Ottawaks. Los Indiens du Lacgui '::' fiMtd:el présents pour avoir &0'"' notre Reli cefurent ;':h tawaks. Ianfim'lelll';n« se servirent igner les Na-- fone sn' tas Seperiont mt colm FW n dn poi_Jeu avons rerichin. +Parmi ces' Nations, i1 y en avait sEresnies avalk o |--car partiealicrement. Comit vall e 'Whionk t n mc d pous #on gloire, c'eét" davoir 'sdutéhu le pro-- fait palpiter, avee --® J'aitmne ~mioux dtre _ dans " chausses que dans celles d -- Cumosses que dans celles dn "Frangoin, Tranche.Montage ! " p0 oee o on do ge dhvotion in grome reille :m b7g al:.uin, tar voick. ce que Jorami i a répondu > w s,-,:'T, due Fruauh rend grhces A votre M " IL nie pout accep-- " ter Phonneur que votre KZ'.'.., affec» " tion lui destinait," * uk m:.ll:'owdlo'. llg.?'i_rn deve. nu. ver n i1 a sourt tout dfim'.'flh encore i1 a bais los O Litteratare. Fonilleton du Courrier #Ottawa. "Bile foi voulalt cela, continua "fl\.'fi", le roi ayait comté sang C BE Eanara.~No# lecteurs suront dans to ¥1, Ter/atinés, 66 ligng, 4s oatme Loo vure, le _ul-mn.,mqumnfi au lien du nom de Onamrtaie. A conmuntin. puis, | décidez yous--m&mes n plus %'"do question historique de notre 6 Pourquoi les Offawaks n'an-- rajeut--ils on on sentiment, an moing lndza:inuhle. de la beauté? dites--moi : pourquoi ce sentiment de 1a bennté, gudqu'lmnunble gu'il soit *mnr des Smuv eat--i1 n6 dans leurs ccours A ()m 00 nous som-- mes!--Parco n}n'flu :ldunt les plus des peuples aborigones. ge'dunu et Messicum, ces conmi-- dérations ont été sérieuses, peut--btre trop sérienses pour une Lecture. Je vous remiercie de votre indulgence a m#Geouter, mais jo me propose de m'amender dés ce moment, comme dit I'Acte de contrition, Je com-- mence Thistoire. des Ottawaks an point diod f'avais semblé partir. L'HOMME DE FER 29 © eat bele, toujours1! ;a:ll btilllg:;:nmm pour I'exfl(' !! Et lerthvited's Ar db t a.8. 22 0d ©UX CNO-- veux l;?rhéz & in figruire fidnle, au casfi¢--tate levécontremoi : votre mons-- tre 'f'a B':: existé, Bes chovenx sont Jo l'Ottawak, sn flfivm est de }I'Yroqm»lt:on hras est do 'nos pre-- miers allice,. T'Ottawak devrait avoir C unltuu chose du désordro do la bac. e'un ot Arml?u chose du désespoir d'Hannibal. Jo tournerais -lusrou statue vers 1'Orient,, et pourquo{1 Ah! In patric eat belle, I;ngp emporté & | Babylone | les moffarcye aveo [d o C taaie + it eA diea i LC (Génie dn Flouve--Bruyant, -n:' ln plaine qui &'6tend entre los Chan-- ('Héru e'% In (#tinau conférant avee lo Génie du euve-dnlme, son tribu-- taire, ¢t avec 1e Génic da Ridean,. n;tflourl ieux, Enfin, POttawak aviit mflm Lac, comme tin der-- nier souvenir do ioh]po&thu;g. § une couronne,--sek thevenx vx:, g'(;' méme qfi?tuéq avait empon_é.g: i6 'son . pBre 6t res matos, mamg que lc? enfants d:f.:._anvdent meure du Gfle--i--nm'\;,' é'flu: découvrait, mon plus pour entendro {'en grondements 'de mnnol: mu!figln et In voix :u Fleuve, oomn;t,:"u dilet. tanta t:mdu:e ol en héeé)::lnt los fugues de erboer ;, tantot eontafiz)ldt avee o efl nos stalactites vivantes ot dhpta, tantdt elle s'asseynit avec sa nagane sur lem table &fimu ot} hous 6levons i ; car, on avait vu de E 'disait--on, 1n nult, & 1n clarté 6fin¢;elhrjge 'de Paurore boréale, 16 --On Fier--d--Braa i' A raignoire Hent Te dé de ta comversation. CE M PCUYOns. 106 ner qt comme un |gne de P résence du' Gémic que ation Sn ce peuple donn&l notre fleuve, itc (eakos me n ou!, cette chaud n'il voyait ln'gju Inmdnturb&:u m'ni]hu des eanx' mubissantas' Atair Ts (A.. BOre 2 Urowle, par hasard t ['o"ru:hu;:f umzn hong-- pe oo on t e r:"fils E:u un pgup]. superstitienx et mis. oi P""W %':'h" z nons no poryons les 'expliquer que h 4 o moe bois appellent encore Nn it nhags os antaes forin d'mhmu nous de 11 ost Do f uen toure sarte todl 200 M ovet o oi) de Teur silence, -:d. anté-- um;x'mm'n&n moins une partie du cours de notre flouys, ou al tonnces, ai obstinds ow les noms de Poronto, Ni f racoul, Stadaconé, 6te.--Gualle T n [Qntpedt Lwomen Aiteatienr ie fleuve, car los Sauvages disperids dans PRAmERX . rakTk. Etientic m'a gliess a Por mujrissantes, était In do-- un Banvage nux che-- re _ dans . mos celles dn ; due seufeur, | _ Vennient ensuite Polo l0 bouviar-- engraissour, Matholin le pasteur: des Tnlterc es * cA na-:,'DLu Td. a grosse trayouse, mattre ndoux le _ reboutonx _ (rebouteur, chirurgien vilageoia). * ® IA ln tote 'i- mhmmm t im vieux mnfle: 213':'", lo mari et la femme. Ma; thurin étit pour les beeufé de labour :;udnn(:)zakt'rdt; Goton tenait it comime vlmm:x nwld-.law;:.vdt 1: rante ans qu'ils s'mimsiont et ap bat-- taient avec fidélité. . Ferragus et Dame Loyse, placés '- métriquement aux. deux. coins dn ,fi:yym- et dormant dn méeme sommeil (_lr:né.' glm pf;mms ?z'vhublnblo, tm'::mt vélé an plus naif des grammairions l'dt_vmhg{'e fesppanto ot anthenti-- que dn mot chemet. \ Dautres chiens de --races mélées Egndml leur vie sous ia table, entre jambes des convives on bien se disputatent un fond d'écuelle sur In terre battue et montuense qui faismit office de plancher, Bous In cendre du foyer quelques tisons fumaient. Le soleil se glisanit oblique; détachait In grande crémail-- lére de son fond do suie dinmentée, ot donnnit & ln epirale de fumde qui montait avec Tentenr .dea tons 'de perle et dazur, auns contredit, henncmx{) plus gaie «quo la salle a m . _ D'abard il y avait le cuivre m' des chaudrons ot bassina qui reluisait allegrement nu soleil de midi jetait doux larges rayong par los fendtres A barreaux de hfi\"n mmni'l'._'an lumidre des my-- vh WEatomes, qui | joyeusement tourbillonnaient, 8 j,'y " Oui, oui, ajouta--t--il on sonraant tout hant, ot wtju' fois sans railler, ot si tu avais autant de finesse que tu as de vaillance et. de loyauté, mon ami Jeannin, ce ne serait pas une mGsal-- liance pour l6 vhm-nlfisr qui épotise-- rait ta fille 1" Jeannin étendit. la main pour lo saisir, 8 l'ox'pliqum-tu les billovesté« que tn, viens me chanter depuis un moisy méchant lutin 2.,," commenga-- t--il. _ Jeannine, {;fl;(-;n--n. en 'prie, no ine ]r:firl'm pas : il fant que fe vous par Te nain rimit & !a barhe du bon Jeannin. T1 etit mieux fait de regar coté de messire Aubry, qui tout bas a In fillotte : Jeannin -- troasm}lit et nain en face. --Fiord--Bras :'-:nwmiml"'" thi 'bon .m. n wu Q ann fouaty fe Weathin® w un chm':l}o'r |wdlita A'nbry fit de loin un sighe & Jean nine gni baissa les youx. Lane BA SW T . T " Quand In porte fiit retombée der ridre ellé, dom Sidoine regagnn sa ro-- traite, afin de donner un coup Post & certain manuscrit du XTo :Ioh Marcon de Saint--Laurent J:z sa volée, sans songer & tirer les chevenx do. Fier--a--Bras, ~--Soble dame, dit --mnitro "Eh my, Pintendant, vous plajt--i1 oir l%'hfli mes compt«é t , J Reine n'npgfin sur lo bras mdgede thaitre lamy ot sortit de is chambre. De méme ?:'uno odeur 'd'ambrofsic restait sur pas mage do Vénus, dle méme uno douse musique de 'clefs vibra encore dans Pair un initant apréon le.départ de In jolie chitelaine.----~ " Je vous prie, dom Sidoine, reprit la eblteth'qionu un verset & notre pridre soir pour l6 salut de notre seignieur le duc en ce monde et dans Pautre, '~--Noble dame, dit maitro Belia * Dom 'Bidgine, dit: Mme: Roine, veuilles nous réciter les Grdoes." 'Tout le monde se leva. Lo chupe lain prononce Poraison latine & han 'M ;'h -ifl 'nu m.d-.: passionnée. Mme Reine Pattira sur "*"Aubry se chchait pour soutire ot -,yvu éc;ifm mfi.'? ol Tribpmeit with, mrletl sn meep oi heureux. J+ G. Charpentior, *TA t Ue Pike-- i regarder du disnit y»

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