beautés poétiques de cette fote relio-- tnn-a; ni est deveritie urie des plus 068 ;u. de famille, disons son origine 6t 'adaration qu'cli¢rappglie. Si le printermps parséme les champs de fleurs quand v!:ant le riant . mois de, mai, le catholiciseme répand sur la tristo et froide saisou de lmer, sur lestnois:de décembre et de janvier, do saintes ftos, qui sont comme des fleurs dans la vie du pouple chrétien. Voyez quelle succession de jours jo-- yeux : '}Va% les saints Inuocents, le premier de D An, et les Rois / ... Lewour ors Roms a surtout un fnnd attrait ; mais, avant de nous aisser aller au plaisir de peindre les «e T0in pour adore hone;, uuruu :;-tul. terre danalle se e comme ln MoM#; mos péres n'étaient prs pos-- mbrmam:m les y une étoile s'est dans'le & mharch6 devant eux, comme ln defen avait jadis En faisant venir antour du bercean de onfant Sauveur les étrangers et les gentils, Dieu 'a voulu montrer que fous les homm ?cmm les Tatlons, Stxiont destings & is connel -- tre, & Taimer, & le servir. L/'Eemua m®, cest la Maxtrzstation de Jésus Christ d tous : ds ce jour on les Ma-- vi de nation, plus de nk'h onl"p""?{a f'E"'p-?uu rist, g m tous na-- honczouuw, g'a été toutes les nations de la terre. Ainsi, la fete :P'Am des .'""m nons, car nous descendons decenx qui sont venus 5?'3:;0""?' v'eplI- .du:.ruwi'o n'y a plus on e clage de nation, plus ie I"!'.'Pr'i' Eiernité, nésint, passé, sombres abimes, Que faites--vous des jours que vous engloutisscz S'est onfui le dernier soleil. Prés du foyer, secle, inactive, Livrée aux souvenirs puissaniry Ma pensée erre, fugitive, Lonptemps de la flamme agitée Suit les caprices éclatants, On s'attache & Pacier mobile Qui compte sur Pemail fragile Les pas silencieux du temps. Un pas encore, encore une heure, Et aanée aura sans retour Atteint sa derni¢re demeure ; L'aiguille aura fiui son tour, Pourquoi, de mon regard avide, La poursuivro.aussi tristement, Quand je no puis d'un seul moment Retardsr «a marchs rapide? Du temps qui vient do s'écoaler Si quelques jours pouvaient renaltre, U n'en est pas un seul pout --étre Que ma voir daigndt rappeler ! Mais des ans la fuite m'étoune ; Leurs adieux oppressent mon caur Ja dis :U'est encore une flaur Que P&ge enldve & ma.courome Et livre au torrent destractear ; Cest une ombre ajoutée & 'ombre Qui déja s'étend sur mes jours ; Un printernps retranché du. nombre Je ceux dont je verrai le cours ! Ecoutons !>.. Le timbre sonore Lentement frémit douze fois ; T1 so tait... Je Pacoute encore, Et année expire & sa vois. Cen ent fait; en vain je l'appelie, Adieu !... Salut, sa soour nouvelle, Salut ! Quels dons chargent ta zrain f (Quel bien nous apporte ton aille ? Que!s beaox jours dorment dans ton seiut Qae dis--je ? A mon &Ame tremblante Ne révéle point tes secrets : D'aspoir, de jounesse, dattraits, Aujourd®bui tu parais brillante; Et ta conrse meensible et lente Peut--6tro améne los regrets ! Ainai chaque soleil so lave Témoin de nos veeux insensés ; Ainsi touours son cours s'achére, En ontraant, comme un vain réve, Nos vaeindégus et dispersés. Mais ux rance fantastique, Répanespésa clarté mugique Dans dant t du sombre: avenit, Nousla nuid'année en aunée Jusq guide ore fertunés Da ju'a Paure doitpae finir: Fait phm- aus heures du sommeil, Et du demnier fils de Pannée Déja ia rapide journée LE DE OU LE JOUR DES ROIS Literature JOURNAL PUBLIE DANS LES INTERETS FRANCO--CANADIENS DU CANADA CENTRAL A. oz Laxartnx. Mor. Xe Coutfrtict \Oftama'" = To m mit ce fevenige on ts divinité du foyor paternel. Ses petits-- enfants, qui uis 1 emps ne rbvaient qq- 137&'.'. ltte::'u:a, egswu- raient ses genoux et le rajeunissaiont de leur jeanesse ; les fronts respiraiont In gaieté, les coours étaient épanouis, Insalie du festin était merveillense-- menit décorée, et chacun ait un vétement nouvean. An ebo':.«;a ver-- " Tandie que la statue de Marat rm')lnpgit celle de saint Vincent de Paul ; tandis qu'on célébrait ces pom-- pes dont les anniversaires serunt mar-- 3uh dane nos fastes comme des jours Pbternelle donleur, quelque pieuse famille chomait en secret une fite chrétienne, et la réligion mélait en-- core un peu de joie & tant de tris-- * Les ccours simples ne se rappel-- lent point sans attendrissement ces heures d'épanchement o ils se ras-- semblaient ll::our des g:teaux qui retragaient résents des in : L'stonl, retiré gondmt le rentengz'e P'amnée an fond de son apprrtement, reparnissait dans ce jour comine la "© Ceux qui n'ont jamais reporté leurs cceurs vers ces temps de tl:i'ol'x un acte de religion était une fote de famille, et qui méprisent des plaisirs qui n'ont pour eux que leur innocen-- ce ; eeux-lg,o sans mentir, sont bien & sltildre. Du _moins, en nous privant e ces |iml)lu amusements, _ nous donneront--ilsquelque chose ? Hélas ! non! Ils Pont essayé, !a @onventi on eut ses jours sacrés : mlors la fa-- mine était appelée saente, et 1'Hosax-- wan était changé dans le cri de mve la mort! Tout nnsa qui réunit les familles au nom de Dien, toute féte qui rap-- proche les parents, toute réjouissan -- ce qui est partagée par les maitres et les serviteurs, par les riches et les pauvres, sont b Amées & tort. Ecou-- tez Chiteaubriand : " Lorsqu'on chan Pusage de-- ' veillor la nuit dans l'égfi?:e, on s%trone va pnrugé sur Pobservation du jeine qui semblait devoir étre observé lit jour précédent, comme on en usa 'nux autres veilles de fotes; mais rnrce que ce jour était eomrris dans 'espace d'entre Noél et de IEpipha-- nie, qui était considéré comme unc féte continuelle, cette considération fit quen plusieurs endroits on se crut dispensé de jetine, sous prétexte dhonorer la fate, ce qui e'étendit me-- me juequ'aux religievx." Tauteur du l vre dont f'extrais co f)uuge s'appuie de Pautorité de saint ierre Damion et de saint Grégoire, gur reFrett.er Pabsence du jeine.-- on zéle ne va pas si loin ; je ne puis non plus partager son indignation contre _ le repas du géteau. ... I1 prétend que Porigine de la royanté de la fove est tout a fait impure. Ce-- la peut dtre vrai: mais la part des pauvres, la part & Dieu, que V'on: fait our le EMeau des Rois, In sanc-- tifie. Et s'il none cite de vieux écri-- vains pour prouver qu'il y a un res-- souvenir du paganisme dans cet usage, je citerai, moi, le chapitre snr l:fi des Row' dans le (Gine du Chrushameme. " La veille de I'Epiphlnie, quoi-- que des plus célébres depuis son ins-- titution, n'avait rien dans les com-- mencements qui--la distinguat des au-- tres. On passait la nuit & Néglise, en prigres et en lectures; et ce qui la rendit ensuite plus auguste que tou-- tes les autres en Orient, ce fut la grande cérémonie du baptome des catéchuménes, et le grand nombre des luminaires, on quoi elle égalait les veilles de Péques et de Noél. guidé les soldats de Moise. Nous de-- vous reconnaissance a Dieu de ce pro-- dige. Sans Pétoile qu'il a fait briller & leurs yeux, nous sérions restés dans les téndbres et Fombre de I1 mort. Nous devons doue chaque année, \qumd le jour des Rois revient, aller au pied de ces aftele qui représentent la créche de Bethiéein, udorer celui qui est né pour le salut de tous. Et si rouse n'avons nt mzrl:e,m e scens, ni or & offrir, ne nous découragcons pas ; souvenons--nous que les bergers ont adoré le fils de flu-ie avant les ma-- gee ou les rois. Et, eux, qu'avaient--ils & lui porter en homwmage, hors leur pnn&&thflrfoi!.. R Dane les premiers sidcles, depuis la_nust de Neél inu{u'-ux jour de UEpiphanie, ce n'était qu'une fote continuelle, et dans cette sainte joio qme ressentaiont nos devanciers, ils n'avaient pu trouver une place ur la mortification ; la vigile des 'I)l?m'a n'avait point de jerine, et voici ce que nous lisons & ce sujet dans 1' Z7is-- toire des fétes de D Eglise : " La veille de lb:i:lpiph Des guerres signalent déja sa nais-- sance, celles d'Amerique, (f'e la Polo-- gne, des Indes et du 'Mcxiqne, et le congrés qui doit se tenir a Paris, ne serait pas non plus d'un angure bien m%ue si le mot céléblre que ce aont iplomates qui font les querres et les genéraug q?u fr/)'nt la p«z'Zr. devait y recevoir son application. Il n'est 'su encore dit, oermdm, quele génie e Louis Napoléon ne aurmontera point la gravité de la sitnation, et cette vité pent--6tre méme, en domin-%?le- im-mt-nu des divers puissances, terdra A farire trouver, dans la sagesse et la _ modé ratian t¥" Toute communication que on nous adressera-- par la poste, et dont les fraris de port neseront pas payés, sera refusée, _ On apportait Pimmense giteau de-- vant le curé, etnotre sceur, celle qui remplagait notre mére, priait le vieux pasteur qui lui avait fait faire sa pre-- miére communion, etqui Ini avait enseigné la charité, de imarquer la part des pauvres, et lui recommandait de la faire bien grande. (A Continuer) KeGonrie ¥Ottatva. Jeudi matin, 31 Dacembre 1353. Depuis que nous avons vieilli, nous avons vu des ambitieux désirer des troubles et des bouleversements, pour avoir la chance de gagner des sceptres et des conronnes. _ Nous, nous étions lus innocents dans nos désirs . c'était E' travers le plaisir que nous voulions parvenir au pouvoir....Et puis, la cou-- ronne que nous ambitionnions n'ap-- partenait a personne. Je me souviens que co jour lA nous trouvions que le premier et le eecond service énrnient'z)ien long. temps ; l'ambition des enfants appe-- lait le dessert, car cetait le moment du giteau. Le curé, invité & !a féte, quand nous étions tous autour de la table avant que nous fussions nesis, disait le Benedicite. Notre sceur ainée était assis en face de notre pore, car notro inére atait été appelée & Dien, ot depuis plusieurs années, cclébrait ton -- tes las saintes fétes dans le ciel C'était une belle féte sous le toit paternel.{Ce jour--ld, on mettait des allonges & notre grande table; car notre p&rch conviait nos parents et nos amis. Dés le matin, le boulanger qui, de pére en fils, servait Ia maison, avait fait hommage d'un gateau fenil-- lieté, grand et rond comime le bouclier d'Achille. 11 avait peut--otre dit tout bas au maitre dhotel dans quelle par-- tie so trouvait la féve qui devait (ruu- ner la royauté; mais personne de nous no le savait. codtaient ni soupire ni larmes: on se passsit ces sceptres, qui ne pesaient point dans !a main de celui qui les portait. o _ _" Souvent une fraude qui redou-- blait l'lllérresw des sujets et nex-- citeit que les plaintes de la souve-- raine, faisait toinber la fortune & la fille du liou ot & un fils du vpisin dor-- niérement arrive de Paripée. Les jeunes gens rongissaient, embarrassés qu'ils étaient de lenr courogme ; los méres souriaient, et Paieul vidait' sa coupe, & la nouvelle reine. " Or, le curé, prévent a la fote, recevait, pour la distribuer uvec d'autres secours, cette premidre part, appelée la part des pauvres. Des jeux do Pancien temps, un bal, dont quelque vieux sorviteur était le pre-- mier imusicieu, _ prolongeaient | les ;)lnisirs et la maison entidre, nourrices, fermiers, domestiques et maitres, dan-- s::i'eut ensemble la ronde antique." ksA tinlidit idb 4 e 474 NEqUC." En lisant cotte délicieuse dee('-'riptiun d'une féte que nous avons tous célé-- brée, chacun de nous rappeile ses son-- venirs d'enfance. L J. E. Dorion, Redacteur, 1ces, terdra a faire trouver, sagesse et la modération , une issne pacifiqune anx pins Ottawa (H--C.) Joudi matin, 31 Decembre 1863. §18645§ _ La lettre da roi Guillauma parle ensuite des traités de 1815, qui no sout pas enti¢rement déchirés, selon lui, dont certaines clauses ont été violécs, il est vrai,mais dont les bases doivent étre conservées. Faisons remarquer encore que la let-- tre dn 4 novembre ne disait pas antro chose. Ie discours impérrll-leul a déclaré que les traités de 1815, n'o-- xistaient plus, et cette déclaration était comme l'opinion de la nation franGaise, dont 'empereur est l'inter-- préte; mais la lettre invitait los autres souverains & formuler lear opinion. Enfin, le roi Guillanme reconnaitra ue dansl'état actuel de 1'Enrope, il i'1 est nécessaire de fonder un nouven Paris. Mais Sa Majesté croit -;{u"';;e rennion de ministres serait préferable A un congres de souveraine. La lettre du roi Guillaume de Prusse & 'empereur Napoléon, tout en myant Ia forme un peu doctorale qui eat de tradition dans la diplomatie grufisicnnc, est affectuemse, Le roi e Prusse rappelle son lgjonr A Comp-- égne, dont il a gardé, dit--il, le meil-- jeur sonvenir, et il exprime le désir qu'il avrait de venir de nouveru & oc ooo e e oob e La Belgique est trés nette dans sa déclaration : elle formule son consen-- tement en cing lignes. Le roi Léopold, arbitre éventuel go tous lss différends qui surgissent, ne pouvait refuser sa articipation & une réunion destinée s assurer la paix du continent. La répounse de la Russic est, a peu de chose prés, celle que des analyses ont fait connaitre au public. Aussi courtvise que possible, olle ne signali les difficultés que présente la réunion du congrés, qu'en manifestant aussi Pintention de rechercher avec la France les moyens de les faire dispa-- raitre. Nous croyons savoir, de Elna, que le langage tenu par M. de Bud-- berg a M. Drouyn de Lhuys a été tout & fait dans ce sens, _ La Suddo et le fiér;;fil;;(;tdllérunt, avec espoir de voir traiter au congrés Ia'auestiou. du Schleswig--Holstein. question, dans la lettre du conseil f6-- riéral. du Faucigny ou du Chablais, contrairement aux affirmations de qn?lq}scs. teuilles étrangéres. _ La Suisse est prote a purticiper & un congrés qui devra lui garantir on-- core sa neutralité. Ti n'est nutllement I o en e sls La réponse du Saint--Pdré est aussi aftirmative que )»ossiblo' Toutefois-- le chef de la religion catholique, res, tant fidele & sa inission et & sa politi-- que parle de la nécessité pour les l:euplcl de se réunira 'Eglise Uni. déplore les tempsinulheurex que tra-- verse I'Eglise, rappolle les promesses qui lui ont été faites, promesses qui doivent lui dter toute crainte ponr Paveniv. La Suisse est préte & purticiner 4 -- L'Espagne félicite Pompereur de son initiative, lo romercie de son invita-- tion, et toat en faisant observer qu'ulle n'a aucnn intérét majeur & défondre, elle so déclare prote & se faire ropré-- senter ot & concourit ainsi a la grande couvre de pacificatiou générale. Cotte déclaration est wusai celle du Portu-- gal. . Les réponsos. des Etats secondaires sont toutes affirmatives, et ne varient que dans Pexpression. -- _ I'Italie udhore purement et simple-- ment. Plus que toute autre puissance, elle comprend Putilité du congrés. old [ XPWE 0n Cot -- _ La réponse écrite par le sultan n'6-- tait pas encore urri\'&. On sait soule-- ment, que dans une conversation avec M. le marquis de Monstier, ambassa-- deur a Constauntinople, Sa Hautesse a annoncé son adhésion dans los ter-- mes les plus aftirmatifs, on ajoutant quelle aurait ainsi Pocemsion de sa-- tisfaire au désir qu'elle a depuis long-- temps de comnaitre personnellement l'empereur Napoléon, Erandes difficultés. Lo roi de Hollande est le seul mo-- narque qui n'ait pas encore exprimé sa manidre de voir, mais ce retard est di a des canses tout a fait étrangéres & Détat des reations entre la France et le royaume des Pays--Bas, aussi bien qu'a l'5tat des relations personnelles entre Fompereur et le roi Guillaume, Ces relations n'ont pas cossé d'étre amicales. Nou« croyons savoir que lo gouver-- nement frangais connait aujourd hui les réponiflje tous les gonvernements europécns & la lettre do Pempereur. On parle aussi de M. Kierzk .P""' erakowski La Presse de Montréal dit qne M. Cusimir Dessaulles, lo frére dn grof. fiet actuel de la paix de Montréal-- :n"rrob.bloment le candidat minie-- tériel & la prochaine élection do la La messe de minuit a 6t6 célebrée & la cathGdrale et dans toutes los églises de cette ville avec beanconp de pompe. II faisait un beau clair de lune, 5: sorte qu'un grand nombre de personnes de 11 campagne ont pu y Cest par inadvertance que nous n'avons point annoncé dans notre dernier N}qun'il avait en ordination faite par Mgr. I'gv. d'Ottawa dans la chapelle du_ collége 8t. Joseph de cette ville, Voici les noms des ordi-- nants--Pour _ ia Prétrise--Thomas Duhamel--Pour le sous--Diaconat, Frore M. Derhnuel 0. M. L. Le di-- manche suivant aprés la messe, plu-- sicurs des amis dn Rev. M. Duhamel Iui firent visite, et lui presentrent une adresse de congratulation, & la-- quelle le Rev. Monsieur répondit avec beauconp de bonhenr et d'apropos. Tous les amis de M. Lazure doivent faire des efforts incessants afin de faire réussir sa candidature. Son Comité a été & Pcouvre toute !a semaine et nous apprenons avec plaisir quo ce mon-- sieur gagne considérablement du ter-- rain sur son adversaire. Lundi et mardi prochain sont les jours de poll. 11 se--, rait bon que los partisans do M. La-- zure s'empresseraient do faire enré--. gistrer leurs votes dos le premier jour-- afin de donner de suite une forte majo-- rité en faveur du carpmat pu rEupos "Nous souhaitons ?uu lo Courrier nous annonce bientbt P'élection de M. Lazure, quiest bien digne de cet honneur et de Pestime de ses concito yous." La Presse aprés avoir rcprordrnri-t- notre compte--rendu dela nomination, le fait suivre de la remarque snivante: Nous extrayons la phrase sui-- vante du discours prononcé par M. Perrault, député de Richelieu, au banquet d'Ottawa : --"* Dans un tour récent que j'ai fait en Europe, je n'wu pu rencontrer dans Yea capitales des pays que j'ai visités des constructions comparables i celles élevées dans cette ville pour la Législature, [Tonnerre d'pplaudissements,]" droit internationnal. Le Wurtemberg et la Saxe ont adopté une forme particulidrement bienveillante, L'Autriche félicite l'er wpereur et trouve le projet Er-.ndiou mais sa répoase s'arrote Ii. En réalité e cougrés offraie,°t see observations s:uvout se résumer ainsi: Lo cabinot Vienne vondrait que chaque ques-- tion soummise aux conférences . no le concernét ou bion qu'clle fit d'abord rflm gon avafitage entre elle et la noe, do telle surte quo les autres puissanced h'dnuentplmqlu'l, sanctionner cos décisions préalables. _ Adin de suivre la vieille et bon-- ne coutume, nous adressons aux abonnés du Cowrrier les souhaits de la saison "Une bonne et heu-- reuse annéo" le renouvellement de leur souscription, et i ceux qui nous doivent depuis l'établis-- sement du journal de faire aveo nous, un parfait acquittement. l OOAE ShpfinvacDhoitittitbbiii® cmd dint Tout le monde connait uu%ourd'hui et pout juger ia conduito de l'Anglet -- erre. Dans sa lettre, in riene remercie d'abord Pempereur, le complimente maieson devoir est, dit--elle, den ré -- férer & sou conseil des ministres, dont tout le travail #'ost borné & énuinérer les défficultés, & ne signalor quo les inconvenients du oonsréu, ot cufin a se montrer satisfait d'avoir bien ter-- miné sa thche en ce qui concerne la question polonaise. Le Solleiteur--Général Onest est nom mé, g'eyst M. Abert: Norton Richards député de Lceds. O rdin a t i o n. A. nos lecteurs La Mairie Rougemont da'in--"Récit d'une expédation de chasss au.inc "Sept houes-- regu trop tard pour d# No. I¥7" Pour se faire faire des hardes & la mode du temps, alleg chez Chs. Lepage, marchand tailleur. I¥" 11 y aura jeudi prochain le 7, une représentation drama-- tique donnée par les amateurs du cercle littéraire a I'Institut Ca-- nadien. KA¥ Caron et Cic-----Epiciern-- peuvent fournir d leurs pratiques tout ce quipeut étre demandé dans leur ligne. Es On vient de" chez Charboneau et Cie gnifique choix de groce queurs &c. 1#" Ceux qui aiment d avoir des liqueurs de choix doivent al-- ler chez Chs. Sparrow, Jr, M Ceux qui ont besoin de hardes faites &c--doivent wa-- dresser i M. M. Pargng, Lazure et Martineau. an, t¥" Ceux qui désirent avoir d'excellents fruits &c pour | les fotes doivent aller rendre visite a Monsieur E. H. Doucet. Ce Mr. a aussi des bijouterics, montres &c d'un haut prix. de intntiiioniteth ds hi d GeeaiLil) + derni¢re semaine est celle des dé-- eistons suprémes, _ On a révé, on a cherché, on a consulté directe-- ment ou indirectement ceux aux-- quels doivent s'adresser los -- ca-- deaux projetés ; les détermina-- tigns ne peuvent plus étre ajour-- nées: les retardataires ont besoin de conseil pour formuler leur choix. Nous nous permettons de réclamer pour les livres une rnrt de cet argent qui se gaspil-- e en frivolités, car si vous con-- naissiez les jolis volumes de la Pacacio t nCP m C 20 C ETT IT DAVANCE ;--Le prix de cha-- que livraison sera de trente sous, Lorsque nous aurons recu le ler, No. de cette importante publica» tion, nous nous empresserons d'en parler suivant son mérite, {vOus accusons réception du prospectus d'un nouveau journal portant le nom ci--dessus, La lit-- térature francaise avait certaine-- ent besoin d'un organe qui fera tonhoitre dans notre jeune pays et a Pétranger, que nous pouvons qultiver les lettres tout aussi bien toi que partout ailleure, Quoique nous. ayions déja d'excellertes publications -- littéraires dans le diocése et district de Québec,nous sommes heureux de vyoir les Montréalais & loeuvre dont nous saluons les noms avec plaisivr. Ce sont MM. N. Bourassa, (prési-- dent du Bursuu de Direction), D. H. Sénécal, Adélard J,. Boucher, E. Lef. de Bellefeuille. J. P. L. Desrosiers, M. D : W-- Passla "La Rovue ETRENNES DE 1864.--Cette « U" vient de" reeevoir s volumes de la : Rose," vous ne passer la fantaisie V Cie, un ma-- groceries, li--