net de M. Lincolo densait 4 is Tribune de New York an privilige tout pastioatie..... Co * in emreciiend ¢n stan t Cigann 1e & in survet lance gu) @vait tous les aotes joorndux: et--agjourdbui méme on permet au traiire Weadeil Phuilipa d'aller de ville en ville. prociamant pasiout que " lui/et ses co--egiteiours sont <les an tours réels de is guérre, q0"ié~ veolent in désunion, Panéantizesment de is Consiitv-- tion, la destruction du gouremement a6n d'vbtenir 'Pabolition de Pesola¥age." -- ~ Lhistoire roprésenteradens .le. premier: winistre du.cabipet de M. Lincoln, M, Ser. ward, le Secrétaire d'Eiat, comme uh homme partial, tyrannique et parfois injoste, se servant de sa posiiot 'pour exercer on pouvoir abitmire, Petendant sussidoin gue ible pour favoriser ses partisans, préfé~ soutenir son parti que de »auver |'Usion. M. Seward a certainement pmouvé par qufil veut! quel = Ja trahisob i-t; it jeige dans les cachots, mais qu'on per-- mette & !a trahison du Nord de'se promener 'partour, donnant des lectures méme dans la capitale des Erats--Unis." +-- L'histoe ne mauguéra 'pas Penrégistrer tous ces faits & son égard. . Les géuérations futuses seront étonnces de voir comment un homme de distinetion tel que M." Sewan! ait 616 si aveugle, si partial, et se lamento® roat de savoir comment, dans les temps i@Pune crise si terrible, il n'ait pa s'élever au--de--sus de Prsprit de. parti-- pour . ue woir et n'embrasser que toute 1'Union. . Je veillerai done avee une attention toute: particuliére les résultais de ges mesures ex< traordinaires et inconstitutionnelles sur notre »ysiéme gouvernemental, parce . qu'eiles offrent le probleme politique le plus intéres-- saut de notre sigcle: car elles placent véal> lement en dernier vessort devant T% face du monde cette grande et importante question de savoir si le-- peuple dee Etats--Unis est capuble de se gourerner par Ini--m&me. . Si, en temps de paix, elles ne servent jamais de piécédents au pouvoir arbitraire, nous . n'uurons qu'd--nous téhiciter, parce que nous ferous mieux qu'aucun autre peuple ' ait jamais fait. Si aussi clles cessent dex-- ister avec la guerre, si le peuple exige que Tadmimstration rende an compte fidéle de sa gortion et fasse tomber sur clle la respon-- sabilité de tous ses actes, enfin i elles sont désapprouvées et condamnées, parce qu'clles ont éic mises en force sans aucume outor.14, et qu'elles ne peuvent étre justifiées que par le cas de néceesite, la foree des circonstan-- ces, alors daus ce cas nous n?avons rien a craindre pour le futur; mais si au contiaire elles sont regardées comme de légitimes fonctions gouvernementales, constitutionnel-- les, des pouvoirs que le gouvernement peut user & disciétion, alors elles seront certaing-- ment une calamité publique dont il sera impossible d'apprécier et de calcales touter les conséquenors qui «en suivront. Cert done le devoir du Congre« de faire un examen sérievx, rigide et impartial de toutes ces arrrstations faites sans forme de proccdure,. . Le Cougrés doit dire & Hadmi-- nistration, © prouvez, justifiez vos actes." «* Vous avez agi sans autorité. . La nation siége ence moment, eile tient une enquéte eur vetre conduite, elle insiste et veut savoi? ce que vons avez fait." Si Padministration . pent_ prouver _qu'il y avait nécessité argente de .meftre én) force ces . mesures 'exifwbrdinaires :et hmm tionnelles, alors elle sera justifiée et exemp« te de blame; mais si ancune nécessité ex-- istait, elle aurait done forlait & son devoir, violé la Constitut or, outrepasse se« pouvoirs; alora non seulement elle doit étre révére-- ment censurée, mais elle doit étre condam-- née, réprouvée par toute la nation améri-- caine. 1 Sous ¢e titre les journaux écossais nour apportent la relation d'angoisses supremes endurées par un jeune Anglais qui, atteint d'une affection léthargique, avait 616 plongé vivant dans la tombe, puis arraché & la térre et tranaporté dans un amphithéAtre pour y étre sonmis& «es opérations anatomiques. Le jeune homme, sauvé miraculeusement, écrit lui--méme le journal de sa mort. Voici cette page saisissante : «* A la suite de fatigues longtemps soute-- nucs, j fus atteint d'uhe fiévre nerveuse qui épuisa rapidement le reste de mes forces. Chose étrange! il me semblait qne ia vie, qus abandonnait peu & peu mon corps, se ré-- fogiait tout euti¢re dana rags faciités mora. les. Reduit au detvier degr6 de Patonie phy-- sique, jamais je n?avain éprouvé plcs de for-- ce. on meme d'exaltation morale. * Le moment de la ctise définitive arriva je me sentis comme emporté dars un tour= billon lumineuzx, au millien doguel flottaient les figuies les pins fantastiques ; et tandis que mon corpe était agité de fri:onnements convulsif«, & mes oreilles retentissaient les éclate et les sifflemenis d'une affrense tem-- péte. Je me crampounais de toutes mes forces & la v.e qui paraissait vouloir m'6-- chapper, loraque, enfin, mes sensations da-- vinrent si cunfuses, que je. m'abandonnais majgré moi & cet état qui n'btait pas sans dougeur, et je perdis bientot tout sentiment de Pexistence. # Je nesais combien de temps jo suis demeuré ain#i, quand tout & coup je me ré-- veillai dans un calme presque extatique ; mon coips était parcouru par une foule de sensatitns. volupteuses, el mes sens, ainsi qne mon intelligepce m'étaient compléte-- ment rendus. «* En ce moment, 'le médecin, s'étant ap-- proché de mon Jit, laissa échapper ces mots : Tout est foi! puis il recourit ma_ figure d'un drap, et mes oreilloa forent frappées par les samglots de ma famille éplorce. !* Alors je-- voulus parler; faire on mouve-- menit, jo sentis avec horreur que ma langue érait fi1ée & mon palais, ef que m--s mem-- bres, qui percevaient parfaitement ie con-- tact des cossertures qui m'enveloppaient, enlaces par d'invisibles liensy se refusaient A exbcuter le moindre mogvement, * Le lendemain, on ensevelit mon corps, ot dorant trois jour» ontiers jo restai exposé pendant que les amin de ma famille venaient fa re leur visite de condoléance, Jentendais ot je comprenais tout ce qui se prasait antour de moi, et, de minute en minate, fe--pérais prcuiir igo c ofi mm n 6 'péeiit sur moi alfa '"M A.A;?'F Ati @ Le mhatin dit qubtridnie jorit; jo fos rernis &ntmaine des e--évélisseors, qui me traitdren: avee ia plas grande britalité ; ot lorsgoe Pan d'nx.p-r-hn'm;'- wne Bide trop étreite, pons--a de son genou ma poitrine, jraptvarai une si ervelle: torure que ous Détroit, Mich : 2 avnl ©62. Un homme enterre vivant. Pespoir un insiant qoe la possibilit6 dtexpri~ i Sn A Poae dowicurevs--ment dans ma 1éte, comme un wias foubbse m'annoncant le destin qui r0"6-- tail thserve. #uidht lentement dans ie bais. . 1f me secait impossible de touver des te:mes pour expri mer ce gue men &me conteusit Mbfi@ reos i de dé«espoir.; Caaque coup wihrail sans expoir d'Gire eniendn, }}vais pa pousser quelques gemi--sements! mais won ; tundis qye ma po.tring et mes épaules étaicat écra-- was dans un étroil enpace, tandis que jo sen-- tais ma rétg et mes meinbres moustris et de-- ehires par le dur contact et par les aspérites de }a bigre, il nie fullait rester immobite et 4 Bieaidt on me souleva, on me déposa sur l6 char fundbre gui se mit en marche et arriva au cimeti¢re. -- En ce moment, j« vou-- lus tenter un dernier eflort ; mais oc fut tou-- jours en vain. . Je me sentis balancer au--des-- wus de ma tombe quialinit '?englontir, el tandis qu'on me € lentement, j> distinguai le htuit:'.'-l"-nui on froissant ler pasois de ma fosse, sans voix, . Je nuotais jumais cru gne, sans se brises, un ecur plt éue laboure Paussi épouvantables angoisses. " Quand je fos parvenu au foud de la fossse, jentendis la voix grave et soleonelle d'an ami; il madrssait un tendre adiea qui par-- vint juxgu?A moi, et bientdy um freeas $pou-- vantable qui s'éteignit pea & pea comme les roulement« Wintains du tonnerre m?annouga que ma tombe venait d'étre comblee. _« Tout était done fini! J'étai« done pour toupours séparé des vivants! Commeni ne suisje point mort en oet instant terrible ! 4@ Je ne sais combien de temps je restai ainsi. . J'arais esperé que mas angoisses ne seraient pas de longue duree et qu'une prompte aspbyxie éteindrait et . mes sensa~ 'tions et mon existence. J¢ mbtais encore trompé. -- Je ne pouvais faire aucun mouve-- ment, mion ecur ve battait pas, ma poitrine n'6tait sonlevée par avcune respiration, et pourtant je soufftais ; je vivais car mon in-- telligence et ma mémoire n'avaient tiou per-- du de leur énergic. «* Cependant, mes tristes pensées furent interrompues. par un bruit lointain qui, d'abord, me plongea dans une au xieté dont jo ne pouvais mie rendre compte. Le bruit se rapprocha insensiblement et je sentis mon cerceuil arraché des entrailles de la terre. On Pournt, et je pergus Pimpression qui me parut pourtant dé'icieuse, . illuminée qu'elle était par un rayon d'espérance. ** On me transporta longtemps, puis on me laissa tomber sur un marbre humide et giace. Alors j'entendia autour de moi une multitude de voix. Des mains me palpaient en tous sens, et un de mes yeux ayant 616 ouvert par hasard, jo me vis an milieu (Pun amphithe-- Atre de dissection et entouré un wrand nom-- bre de jeunes gene, parmi lesquels je recon-- nus deux de mes auciens compagmons de plaisir. . Je ne saurnis dire si, on cet instant la terrenr Pemporia en moi sur la joie. * Certes, ma situation . ¢tait devenue moins orvelle, car il pouvait se faire que les expériences suxquellvs on allaitme soumettre me rendissent & la vie, on an m«ins elles de-- vaient me donner promptement !a mort. * On resclut dabord de me galvaniser. L'apparei) fut préparé, et, d la premidre dé-- charge do fuide, mille éclairs jaillirent de-- viint mes yeux . et _ une commontion terrible Abranla tout mon étre. . La seconde dechar-- we fut plus énergique encore ; je seutis tous mes neifs vibrer comme les conles dPune harpe, et_ mou corps se dressa sor son séant, les muscles contractés, les yeux ouverts et fixes. « Jappergus, en face de moi, mes deux amis, dont les traits exprimaien t Pémotion et ia donleur, ils. comaudérent avec. instance que l'on mit fin & ces hideuses expériences. On métendit alors sur la table. de marbre ; le professeur s'approcha de moi, le continu & la main, et me pratiqua une legére inci-- «ion aur les tguments de la poitrine. «* Au méme instant une révolution épou-- vantable s'opéra: dans tout : mon corps ; je polisea: un cri terrible ; en méme tempa les mss'stants luiseaient echapper des exclama-- tions dhorreur. . Les liens de la mort étaient brisés ; j*tais renda & la vie. Un message de Bon Excellence communique la réponse de Sa Ma-- jesté & l'adresse de condoléance qui lui fut présentée & propos de la mort du duc de Kent. Québec, 28 avril. L'Qrateur déclare qu'il n'a aucune objection & la reconnaissance des pétitions contre les membres rel[;ré-- sentant les comtés de Perth, de Ber-- thiér, de Peterboro, de Shefford, de Verchores, de Drummond et d'Ar-- thabaska etde East Northumberland. Sur motion de M. J. Dufresne Pordre fut donné d'apporter .devant la Chambre le retour des livres de poll et les papiers concernant l'élec-- tion de Montréal Est. L'ordre du jour pour la reprise des débats IHPL motion de M. Mc-- Gee demandant organisation 'd'un comité d'immi&ruion et de. coloni-- sation fut appelé. |_ _ _ > _ Les débats continuaient lors de 'envoi de la dépéche. Et la Chambre ®'&journe. Le steamer Nova--Scotian parti de Po{:)hnld est nrrivg mnderry, le 10; le steamer i rti de New--York est arrivé le 11. L':w glo--Sazon rrti de Portland 'le 29, est arrivé a Liverpool le 16 ; un 'ac-- cident était arrivé a sa machine pen-- dant la traversée ot il fut foufe de continuer sa ronte avéec un seul en-- gm. Q-vlfonrluuh Parmbe du Pote-- mas, prés de Yortion, 24 avril.--Le temps est redevenn heas et is routes commencent A a'sméliorer. P _ Ou ponrsuit 'rapidement les prmfi pour metire & exéoution les plane u;- mandant en chef. P Denx deserienrs do 6+ régiment d'Alaba-- ma sout entrbs dn« "noe liynes biet.. lis ¢vainent a 100,000 hommes ia force des cun-- federbs ot disent qn°il« ront occopés & cons-- sruire des ourrages on arridre de lours lignes -m'" les. . lis nont en ancune: do de Jefferson Datis. CHAMBRE D'ASSEMBLEE Nouvelles des Etats--Unis. NOUVELLES D'EUROPE. ener, ai meme b'.'.."tfl"ffi "7u"' e | eat anivé oe svir de Hatteras aveo 141. sol-- |"98s surncy as mey 6n mm e is We che do o e de in | Neoveiie: ane on ie aeaiane part do (law k partie de Elizab rendait aux, quas Bumside avee d. On disast le weuiral 25.000 L---»c,.- tlai d. pu?: Ouy le 19, gt y avain dail t vee foree ...a.fi..' te confocérts Chi 24 avri'.--Uue dépéche spéci-- alv-d-('fio. maude que le gévémal Brizg a iransiécé le commaudemest du fort Pillow Pittsburg Landig, 24.--Ue poti a 66 envoyé en reconsaissance ce matin s0#8-- in condudc du genéral A. D. Sauth ; il a muua~ TA les lv:nl-pmho eunemis, an nombee de 150 hommes gui ont pris Jn tuite préoipi~ tament, . Le pahi s'est avancé & pied jusgu®i Pea Ridge ety a troové 3,000 ou 4,000 hommes en ligue de bataille qui au premi¢: feu de notre artilletie out décumpé, abon-- donnmnt leurs toutes, leurs équipages de camps, des lelire & demi icrtqu et autres choses qui indiquent une grande sarprise, 11 a eté trouvé aasez de tentes poor loger un®# division. . Touta eté trouve inoundi¢. . Nous avons fait 12 prisonniers, @U aueun deux na exprimé de regret de se voir captif. . Its out dit que Iys geus du Sud. commencaieat & eire futigués de ln gueire. . Ls routes #'a-- méliorent rapidement. New-- York, 25 avril.--Nous avons un rap-- port founi par le Coufederacy d'Ablanta, Georgie, et portant |*Alabama et Pouest «e In Georzie sont completement au postysir du géncral Mitchell, dont la ruilon actuelle a Guuter's Land est telle qu'il peut immédia-- tement sayancer sur Rome, prendre. cette viile, incepdier lek fonderies, prendre pos-- seasion du chemin de fer et des engins et non s ulement occuper les communicat.ons et | a moyens de. ictraite du géuéial confédéré Kirby Smith que Pon disait en marche sur Huntsvile, muis laisser en méme tempa comp élement expo<es les forces confé--iérées qui ront & Kuoxville, Greenvilie et Cumber-- land Gap, ainsi que toute Pouest de la Vir-- L'fi.mminer deRichmond, du 22, parlant des affaires & Yorktown, dit que nos troupes ont coupé un canal entre la rividre York et la riviére Warwick, et contribug mutérielle-- rant & angmenter le furce de notre position. Ii coustate de plus que dans !a nuit de sa~ medi dernier, nos soldats out éte vccupés a élever le« retranchements et que le diman-- che matin des batteries s'élevaient &' moins de 1,000 verges des confudérés. Fort Monroc, 25 avril.--Le D i4 Bcook de Noifolk de ce matin cortieet un télegramme transmix de la Nouvelle Oriéans, en date du 23 avril, comrortnm que le bombardement avail continué »ans relache an Fort Jackson, Ce journal repré--eute les confédérés dans fo:t comme p'eins dardeur et de confiance dana le suoeés. . Les assiégeant« out tird 25,000 bombes dout 1.000 »out tombes dan« le fort. Les conlédéré« réparent les bréches aveo promptitude «t du. mienx qu'ds peovent. (ls penisent que les munitions des fédcraux vont bien'ot étre. épui--6es, et is se flaitent de pouvoir teuir eacore longtemps dans la place. 27 avril--Le sacrétaire de la guerre. & Washington a recu un télégramme de la for-- teresse Montoe lai annongant gu'il avait été requ un numéio du Perterburough Ezpress. ol il éiait dit que In Nouvel'e--Orléans était prise par les fédraux, avec une graide den-- truction de propriété ; tout le coton et plu-- wieurs vapeursyces munitons et projecti-- lex de guern' @ia ent dotruits. Le 26ubral MeDowel!, de son eté, telé-- griphait la nouveile qui . lur venant Pune mutre source, prise, dit--il dans le Richmond De--path. Ch cago. 22 avril.--I! y était arrive. des nouvel!es confirmant qne le« confédérés dans le Tennessee, abmndonnaient le«: positions actuelies, et gue Beamregurd avait envoye une grande partic de se« lorces & In defence de Memphis. . _ Toutes ces nouvelles méritent confima tion. --On parle en Angleterre d'on amende-- ment que le Parlement doit faire a Pacte concernant le mariage des rois. . Au terme de cet amendement, !e jeune Prince de Gal les auia pleine et enti¢re liberté de choisit une compagne parmi la noble«se --On dit que la cé'@bre cantatrice Jenny Lind est & prendre des arrangzements pour faire vu voyage dadieu en Amérique. --On dit que les réparation« que Pon a faites an Great Eastern achécent et_ que le vaisseau--monstre prendra . bientot la mer pont faire un voyage & New--York. --Quelqnes journaux disent que le_gou-- vernement francnia a défendu aux officier« de 'armée doccupation & Rome de porter les médailles que Frangoi« II leor avait données apres Ia prise de Gadte. --Une cinqnantaine de travailleurs ont lais6 Boston, ces jours derniers pour ae ren-- dre anx mines d'or de la Nouvelle--Ecosse. --Le Congré« confédéré a résolu d'admet-- tre en fmnchise les productions-- de tous les pays, exceptes ceox des Etata dn Nord. -- Denx officiers dn Snd, faits prisonniers & !a bataille de Pilo No. 10, sont parvenus & #échapper durant le trajet, et se sout enfuin & Windsor dana le Hant Canada. La chro-- nique dit quils y vivent trés gaiement. --La compagnie du chemin de fer central m de nouvema rédvit ses taox de (ransport« entre Rochester et New--York. L'impdt sur In fleur a é16 baissé de 70 & 65 ots par quart. ,_A Lothiniere, le 23 du conrant, Dame Henriette Giackmyer, Agte de 39 ans, épou-- «e de 0. Chavigny de la Chavrotiére, E:'r Elle Ininse, ro..r regretler sa perte, une hom-- brense famille et un époux imeonsolable. Mére vertuense, de bon« sonvenir« bien remplie par vertus. RUMEURS DE LA PRISE DE LA NOUVELLE ORLEANS. A"l -lpub_rn-nm donné que les temes dans le Town--hip de Rudeliffe, dans ie Comte de Renirew, Haot--Canada, serout offertes en vente ie ou apres le Qua-- :ll'dw Mar daprés in e;:dfiu. "'".'i.'i" t Argent comptant @n #'adiessant h Tao-- was P. Fagwon, Kon., Agent do Départ»-- Thom dox Tones do io Cobrontt 4 Chiniart. TERRES DE LA COURONNE. DEPARTEMENT Aaits Divers. \»Aatteras «he caancatiere e «éviial Reng, a 'a téte de fiah d--purgué & Elizabeth ah Cily y Oait arhvce, m m:hq fi:w ANDREW RUSSELL, tendre épouse, elle laisae et Pexemple one vie |exercice de toutes les Quebee, 17 avril 1862, LOCATION B NS TERRES DE LA COURONNE LOGXATIONS DE MINES, GOUVERKEUR GENERAL ¥es Cpangements suibants. Compagnic bBssurance Ropale Capital--£3,000,000 et un Grand Fonds de Réserve. C ETTE COMPAGNIE continue & ASSU-- / RER les Batisses et toutres: rortes de Propriété« contre les pertes on dommages par le feu, & des conditions des plus libérales, Toutes pertes justes promptement (églées, sans déduction ou escompte, et saus référer en Angleterre. Le Grand Capital et Ia conduite jndicieuse de vette Compugnie garantissent |a plus parfaite wareté aux assurés. II west rieu chargé pour Police ou Trans-- forts. Les avantages suivants, entre un grand nombre dautres, sont offerte par cette compa-- whie aux persounes qui se proposent d'assurer leur vie:-- Parfaite shreié . pour Paccomplissement des engagements euvers les poiteurs de Po-- lices. Une grande réputation de prudence et de jugzement, et la plus libérale considération de toute question lige aux intéréts des mssures. ar " M aoofe e onsel en n t Trente jours de grce accordés pour le paiement des primes de | renouvellement, et pas de retrait de police pour ecreur non in~ tentionnelle. Polices échues pour non paiement de pri-- mes peavent étre renouvelées dans los trois mois en payant la prime, et une amende de dix chelin« par cent, en produieaut dos pren-- ves satistaisantes du bon état de la santé do |'assuré. (Signé,) GEO. SHERWOOD, ler Mai 1862. Commissaire Grands Bonus déclarés en 1855, «e montant A tfl{uv cent par année sur la somme assu-- rées faisant, sur les Ages de ving! & quarante ans, 80 par cent sur in prime. . La prochaine division des profits en 1860. Etampes t Polices données gratuitement. Tous T:: frais de Médecins payés par la Compagnie. Participation des profits par les a«surés, so montant aux deox trers du montant net. Référence Médicale--J. A. Graxt, M.D. H. J. FRIEL, Agent LE SOUSSIGNE a honneur d'informer ses amis et le Public en général quil continvern son Ecous do Damaz comme par le pas«6 dans la (Hail 8t. Patrick,) Rao 8t. George, tous les lundis et vendredis. MANIERE DE DiSPOSER {1 introduira avasiplosieurs . nouvelles danses, entr'autres le magnifique Quadrilie, intito'6: " the Que:n's Lancer Quadrille," qui sera dancé par 16 personnes. J. B. CHAMPOUX. A PRIS mmh? maison qu'il a acheté dans in Roe York, ancienne re-- widence de J. D.: Robillard, éer., voisin de Isidore Traversy, ber. C tour raks bk 1A Rue Dalhousic. A quelques pas du Marché, OTTAW A. Taux de Primes favorables Son Hxcoellence DEP A RTEMENT Ortawa, 24 avril 1862 Ortewa, 17 avril 10608 CEcole d¢ MWDanse. QUFBEC. 21 AVRIL 1862 RUE GLARENCE DEPARTEMENT DE LA VIE LIVERPDOOL ET LONDRES. DEPARTEMENT DU FEU ont ivk avrozisis par LE DR BEAUBIEN. EN CONSEIL: Or. Drotrion. Déxtx aomctirr, DANS 1A Professeur (QUL ont acheté dernidvement un établissement de MARCHAN-- DISES SECHES en Banqueroute)--étant encouragés par la vente rapide de leurs effets depuis qu'ils ont ouvert, (grice aux Dames et Messicurs de la Cité d'Ottawa et des environs) ils sont déterminés a ventre & bas prix leur qu'ils viennent de recevoir seront vendues d des prix si réduits qui devront encourager le public & acheter, et & leur accorder de nouveau son patronage, et de tous ceux qui désident faire des bous marchés dans leur achat de Leurs effets ayant 616 achetés avant In hansse des prix sur les marchés d'Anyletarre, ils sout en etat de les vendre & plus Las prix que partout aillours. PIERRE DUFOUR Manufactureur de ¥oitures DETE ET DNHIVER Rue Rideau, Ottawa. TIEM' eonstament en main un assorti-- ment considerable de Toutes les commandes <et . réparation® qu'on voudra bien lui confier seront faites wveo promptitade, et aox prit les plas mo-- KARCHANDISES DU PRINTEMPS. YoITUREs DE TOUTES SORTES de main gu'il vendra & bon marché. HJ"fl. INRCOIVENT MAINTENANT Sans Rival de nos CAFFES UNE PARTIE DE LEUR IMPORTATION (DU | p, moolna; ac Java et ao ia J A M ALQUE. PRINTEMPS Broven, Buonanan i& ()lsm., & Rue Sussex Kearns & Ryan. M. Doroun a anssi des voitures de secon MARCHANDISES SECHES. Ottawa, 10 avril 1862 Ottawa 26 Mars 1862 at n'ow Gout ToUT NOUVEAU COTONS DE FANTAISIE 6ARLIAND, MUTCEMOR & CHH, CALICOTS QUIL NE CHANGENT PAS (UNION TWEEDS) MARCHANDISES SECHES COTONS BARRES ETOFFES POUR PANTALONS D'ETE MAGNIFIQUE CHALLL DE LAINES Warchandiscs _ Nouveli¢s ANCIEN ET NOUVEL ASSORTIMENT. Bas pour Dames, Patrons de Robes, &0., &c. ARGENT COMPTANT. UNION BLOCK RUE SUSSEX, PRINTEMPS, PRINTEMPS, 1862. GUILLAUME PRES DU PONT Troisiéme porte de la Rue York, RECOIVENT MAINTENANT M 0 D E S . A BAS PRIX. GARLAND, MUTCHMOR & CIE, LEUR DO ET DE DE Un jeune homme possédant toutes les qualités nécessmires pour le service d'an magasin (n'importe lequel) désire engager comme Commrs. 1 peat donner les meil« leurs recommendations. . Pour plus amples information«, s'adresser an bureao du Cour-- rier d'Otiawa. Ottawa, 10 avril 1862 KEARNS & RYAN Srrcatio® Dewanxpé® Désbwacentent. T. W. SHEPHERD. Rux Riozav, Ortawa 2s. 0. prorre de M. Wude-- T 5Jd per verge 94 Th QUATRE JEUNES TAVRAUX Pesant 10,000 tbs. ! qQuaTrRe Macwiriques moutoxs. Pesant 700 the. 1 1 DEUX IMMENSES VEAUX. Pesaus 500 The.! 1 ! Bograissés par M. JOHN GRAHAM de NEPEAN. L'Etablissement du" Sous--signé, sun Li m Cote Ouest de la Rue Dalbousie DB CBTTB VILLE. p ot de voir at juger par lui--m&me. _ La viande acheté a cet établisegment est envoy6 duns toutes les parties de la ville sans aucune charge eatra. © C000 _ >_ Pour in qualité comme pour le prit le sous--signe d'iln toute ..m-pf:m. Que jo old de In Verte Brin Oeln ne sigpibie en rien ; Ranges--ou> apprentis de moh métier J'ai falt to seevice, jo suis boucher Ainei peuple de in ville d'Ottawa, Approches, vo'yu, me voild, Propriétaires d'Hotels et de Tavern Eatres, venes voir votre ami. J. Duvanx _ Avant Pucheter ailleurs, le public est res-- péotuensement prié daller au "ES magnifiques asiimaus sont supgrieurs C en gnnm ot en qualité d auoun autre vendu sur ce marché, in ® Wfagasin de WWusique MAISON LAPORTE. Rue Sparks. LE boussigné informe ses amis et le pu-- blic en géneral qu'il ouvrira vers le milien do mois prochain un Nown au Maga-- sin de Musique, ou i1 tiendra un magnifique assortiment de toute description et nussi un chofz de morceaux de musique voonl et instru-- mental. s TENUE PAR &. R. BAMILTON. Tient constament huites fraiches, liqueurs do toutes espéces, etc. * A CELULQUI PLAIT A CHACUN CETTE magnitique place, connu sous le nom de Locianew H6-- TEL, dans le village de Thurso, C. E., com-- prenant une solide Maison en pierres, em-- ployée comme Hotel, appentis, étables; ot & peu prés 60 acres de terre, toute faite, ayant un débareadére pour --les bateaux & vapeur; traverse et quai h l -- Pour informations, s'advewser au proprié-- taire ou par lette, franc de port & André Gallipeau, Hotel Lochaber. Ottawa, 17 aveil 1862 m DBUX walsons, dans In Rue Sas-- sex, & quelques pas de Ia Ca-- thédrale seulement, et -3mlrublo-om bien situées pour ceur qui désire--mient tenir des Maisons de Pension on des Hotellerics. -- _ Pour conditions et loyer, appliques sur les lioux & -- CE JOURNAL SEMI--HEBDOMADAIRE ET HEBDOMADAIRE, Le Ortizew, semi bebdomadaire, parait tous les Maro1s et Vawbnznis, et est envoy6 par Jn mal e, ou r-r les cour iers max aboonés de Im ville, a raison de Trots Prastmms paf aunée, payabie d'avance ou Quata® Prasriee a drédit. Ottawa, 28 mars Eet poblié & I'établissement de In Presse & Vapeut. est publi6 tons les Simwous matin-- Prix : 'll.:-n.l.m at demi ($1,50) parannde on $2,00 t. f ROAST BEEF EMPORIUM. MAGASIN A BON MARCKE Ottawa, 3 jaoy, 1862. E: on choix de Lravevis. Ouawa, 18 far. 62. Thurso, C. E. 10 avril 1862 ©o1Ns DRA RUK .... . .4 CUMBERLAND & CATHOART 3 vAril. 1862 LE MERITE EXTRAORDINAIRE 1t EN kaT AINSI AVRC NoTik MELANGE Ports vommng oz t'Horm Ma rrmews. U |on tient en toot temps lea meillenres THE OTTAWA CITIZEN Le CITIZEN de ia semaine SALON AMERICAIN, A louer ou a vendre. CARON & CIE., NoUYVEAU Rue Rideau--Ottawa. D'INSTRUMENT® PBUVENT ETAE YUD a OofTAYW A. Doit appartentr Rue York GROCERIES A LOUER, oT y e# Mme. R. MoBmur War. Bounxn, 4¥in® 99