Le Courrier d'Ottawa, 15 Nov 1862, p. 1

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w«e--MAISON AUMOND, RUE SUSSEX, wour®s Nos Mamcnarbiees soxt _ Nos meables de salons, de bibliothé de salles & manger et de chambréh & chet, sont fait? wveo les meillonrs thaté t Papeds Tow mhodéles To« plas nowe PRIX DE,FABRIQUE : ( W EIL & BR aUXSDORE, 125 ot 127, Rivingeton street, New Xork. Exportation pour ie Canada. Attendo Pétat des affaires, noue offrons an public tontes 'tip« marchandizes & trés bes oiaanae n es 2e scz DSS soumissinns rensnt de personmes com-- --g=. 1 pétentes désirant entreprendre Ia cons-- A société qui a ci--devant existé entre MM, | !"2¢tOn d'une manicre satisfaisante et la four-- L LAPIERRE ot LEBEAU est dissoute de | N#Ure de portes d'cluse pour les eananx. ci-- onsentement mutuel, | dessous mentionés seront recues a ce bureau 'b::.:filnld.ln ci--devant Société seront l{;m:"' mids, LUNDI, le 20e d'Ocwbre pro-- » t ind , sa¥voir : eoahc.w M. 8. LEBEAU seal autorist & Untent ds W i inmatmes Fras lgul yc 2l M. ARCHERS, vient d'arriver avec un zrand assortiment d'optiques. Ottawa, 31 juillet 162. sucees orcinaire, J était sot 30 ans A part un bourdonne tinuel cans mes oreilles qui fois des plus affligeant. On 1 manda an Dr. Stanley, et heurenx de dire qu'apres *: sous son traitement queique A réussi d me rétablit Pou puis maintenant entendre . guav.nt ma surdité. Je n': auctne douleur dans Popéra Bellevyue Farm ; Nepean < > Orrawa 19 aont '62 | mes oret stteees of oreille droite depuis 30 ans, et souvent dan Iimpossibiliié Wentendre de chaque coté. D jlus Jentend«is un bruit dans m tete. Ayant réussi je recommande le Di. Sray vey etje pais ajonter qu'il n'y a point de dou cur dans Fopération. -- DISSOTLUTION DE SOCTETR Jouis maintenant. J'wil 70 ans, et 'ay dentendre de nounes Je certific par la présente que le Dr. Stanley ace joar opéré sur ma surdité avee le plus grand sucees, J'étais sourd depuis plusieurs années, et 15 minutes aprés Popération & mor grand ctonnement et plaisir }'ai regagné Foule Espérant de lui prouver ma gratitude jo re: OCCULISTE et AURISTE, peut--étre con-- sulté a PMOTEL DE LUNION. Les personnes qui lou hent peurent etre gucri¢ ¢n CINQ MINUTES. Oftama 31 juil862. LA VUE, L'OUIE, CATARRKHE Deuxieme Aunee TIAWA 1J mont 62 ) > I Reduction de Prix. | _ Depui le ler de Mai le prix de passage # hi ~~ | par les cheming de fer d'Ottawa, Prescott, |rt Je Grand Trone est réduit aus ravx | bérk cormne suit : |_ D'Ottawa & Québec,--lLere Classe . .87 y 1 ie a i a.4 is 4 rapbrdbal budlingd brurabetb»iBrwdl. PREMERE CLASSFE Tient des LA GORGE Tenmwignage en faveur du D; Stanley, Auriste & Oculiste. 100,000 Dollars de ...'-, Cartes 0 Affaites Le Di Olpt V aUTRE TEMOIGNAGE C PAVbUs DC i. STANLEY Je cert fie que le Dr. STANLEY a aujoo i opéré pour surdité avee. son habilité o LUNETTES P[ROSCOPIQUES Mils 3. Parrigan, Orrawa Aokt 1862 Copie d'uns lettre A. STANLEY, Vis--a--vis la Rue York OTTAWA -- JOHNLANG Sr OrTawa, 23 aoit, 1862. HAPEAUX D'RTR, Hammzzaents p'Exraxts, Ganytroms, Maxtravx, etc publiquement pour !¢ bonbeur UNION HoTEL Copie d'une lettre. Copie Fune lsttre. Stanley MODIST! be tout--u--fait -- sourd . de CHS LAPIERRE 8. LEBEAT itendre: ausst bi ¢. Je n'ai soufl is Popération. Wirnast Beni v ce jour opere sur surdité avee . son 'était sourd depuia urdonnement con-- H bibliothégque, se Avenue son d# la vil me recom-- t jeo suis avoir été l ks mm to espéranc :'ndt ) KINC JOURNAL PUBLIE DANS LES INTERRTS FRANCO--CANADIENS DV .CANADA CENTRAE b--toe od De '*.87. PATRICEK HALL \Chemin de Fer d'Ottawa et de PRESCOTT. _ On voir Je# plume et les spécificatinos 'Wee .."'n'f.. ot & celul du Canal Laekins, Mon-- tréal, le on apres LUNDI, le 6 @OCTOBRE, 64 om posirra s¢ procurer des formmies de a7t-- -nw ns ¢ 7 les soumis¢iona "o.w loaat-- gnatures de doux personnes conmen-- tant & garkntir Fexécotion contenable ¢t sa-- tisfeisante de Nouvrage. Rlies doivent étre adressées aux soussignés 6t endonsées Sotuni-- »iom pout les portes décluse."" Avis aux contracteours. LARD, JAMBON, FLEUR &c RECOMMENDATION : Hon. Jas. Sieap, J. Ausonp, Eer., MM Worxstax & Gatrrm, Canauy de Wiliamaburg, Une paire de por-- tes d'éclune. Canal de Gornwall . .. .. . Trois paires " " Canal de Beaubarnois. . . . Trois paires * " Canal de Lachimessr>. . .. Une paire " " Les portes doivent dtre construites dans le voisinage de i'un on I'rutre des Cansox et li-- vrées & telles places sur les Canmax respectifu ?ne Ie:'t'rm-n\ des Travaux Pablics pourra o requerie. LEDUC & CIBBS, NEGOCIANTS COMMISSIONNAIRES CHICAGO, ITLL. Hambourg, Southsinpton, Londres ot le Havre «Les bateaux & vapeur en far de la compagnie e pagute bot hambourg--uméricaine pariiront 4e New--York pour Hambourg via Soutbampton avec la malle des Etats--Unis: et des pussugers pour ie Havre, Londres, Southampton et Ham-- bourg comme suit ; Borussia, capitaine N. Trautmann, i« 4 oct. Sasconia , capitaine H. Ehlers, le 18 oct. Bavaria, capitaine E;Mirer, le ler nov. Haimnmoniag eapilaine H. F. Schnensen LE Soussigné informeses amis et le public en géuéral qu'il a fuit de grandes ameHoratHons & PHowl sus--mentionné --Les visiteurs trouveront toujours sos Omni-- us nu débareadére des biteauz--a--rapeur ct & rrivée des Chars. Ln table est toujours bien nie Ses prix sont des plus modérés. HOTEL DU CANADA.| LES personnes césireuses de contribucr aces patr.otique objet voudront bien envoyer leur dons aux Dames sous--mentionnées ¥mes. E Swrtu, Mmes, R. W. Scort. Ortawa, 28 Aofit, 1862 A. Leduc & Cie Trois--Rivieres, 21 noit 1852 emidre cabine : BEMD=-- Seconde cabine ©70------ Entrepont ©10. Jresser 10. B. RECHARD & BOAS Negociants Commissionnaires en TTENTION tonte: pari Otfawa, 11 Sept: 62 NOVEMBRE PROCHAIN. ch 151, Broadway, New--York. S abld '62.--8. m. 15 ET 17 RUE -- SAINT--GABRIEL MONTREAL, ULOVAS 6 JAAUEL PROPRIETAIRE. Je Gouffit Y DANS le but d'aider & lérection de MIL WAUKEE (WiS.) UN BAZAR Aura lieu au commencement de HOTEL SERAFINO GIRALDI Par Trois -- Rivieres F. Canwiny, capitaine H. Tanbe, Montréal, i1186 LNE BRIPANNIQUE JNO Ames, R. W. Scort, a 50 J, Laaaey, ul " 0 8. Hawey. M. McGILLIVRAY, T. TRUDEAC 2nd lere W1 iere dana Becrétaire: goneral rétaire 20 #ourment ot v#rité; Paris, ches 'Muillat, li~ braire--éditsor, 15, rae Tronchet. 1062. .. Rien no pout Atrs plds avantagens & an lppre:fi que depimrw im bon maiftre, qui non--seulement lni a -- dra l'flu\ mait ui Iwi mm méme v}:e ;::'ré 'I.'Imérft g#'il lai rtorn, h h m ue fl verths chféthm;.w pidg Cest ordinairement aussitot aprés Ia premidre communion que Porwrier, encore bien jeune, entre en appren-- tiseage : i1 sort de lécole, il a regu les ingtructions du catéchismeé, et n'a eu lo temps de se pervertir -mt jenties gens d'un Age plus avancé ; mais cest alors (%ne 1e 'danger ecm-- mence, et qu'en bien pei de tompa'il peut perdre toutes ses bonnes dispé--~ sitions & Ia vertu. t Consells aux Apprentis et aux Ourriers de tout age. sions ; de la conduite q;'fl- tiendra alors dépendra tout son avenir, clest-- A--dire son bonheur ou son malheur. Nous empruntons le chapitre stii-- vant A un excellent petit ouvrage, vient de paraftre, (fi'.\"fi une pl bien comntie et aimée des onvri (1) _ | Pré L'époque de l'apprentiunfie est In plus importante dans la vie d'un on-- yrier; car 'c'est Pge ob lo: joune homme est le 'rlun susceptible des bonnea comme des maun¥aises impres-- _ Ces sentiments, je le sais, sont dus a la confiance ¢t &A Pestime que vous m'avez toujours témoigné en toutes circonstances et que jem'é-- forcerai de toujours mériter. T. E. Car»pzur. _ J'ai visité mon pays et jai eu de grandes jouissances en y revoyant mes parents, mes amis et mes com-- pagnons d'armes, mais je reviens an Canada avec plaisir et--je ne regrette nullement de Vavoir adopté pour patrie. -- i La nouvelle preuve d'estime que vous me donnez aujourd'hui m'est bien sensible et je vous en remercie sincerement. _ Aprés le bouheur de revoir ma famille, celui de yous ren-- contrer ici, me fait grand plaisir. Nous venons d'éprouver un grand danger en mer et je rends grice a Diew de ce qu'il a bien vyoulu dai-- gner nous protéger. ; Ce fait prouve que on ne pourra |Jainais uccuser notre population ru-- |rale, que le sentiment de recomnais-- sance est une charge pour elle. A In vérité, Pesprit public, le z&le et la | libéralité qui ont présidés aux actes | du major éampbelt depuis qu'il ha-- bite St. Hilaire, sont d'une nature telle, qu'ils restcront & jamais gravés dans le cceur, non seulement des con-- temporains de cette paroisse, mais en-- | core de leurs arridre--neveux, car le | couvent, Pécole publique, Paméliora-- | tion genérale des terres, impulsion donnée & Pagriculture, resteront tou-- jours comime un monument vivant | dee efforts constants de ce digne ci-- | toyen a P'égard du bien--btre & la fois Hones Dieu, dans sa bonté infinie, en con-- tinnant de vous protéger, minsi que les votres exnucera la prigre des (}m- bitants de St. Hilaire, qui en ce jour vous soubaitent la bienvenue. . P. A. Sexfoar, J. P., is espérent que votre voyage a été heureux que partout vous avez rencontré les personues ot les faite destinés & Faccomplissement de vos veenx. tss mm Le bonheur qu'éprouve, ea vous voyant, la vertnense compagne de yotre vie est amplement partagé par les habitans de cette paroisse qui sont a meme d'apprécier tous les jours son caractere noble etgénéreux. comprennent de combien ils vous sont redevables et saisissent avec em-- pressement Poceasion qui leur est of-- ferte aujourd'hui pour vous renou-- veler ce tribut d'hommage et de re-- connoissance que vous vous étes si Jpustement aeg us Présentée au Major T. E. Campbell, C. B., d oceasion de son retour un voyage en Angleterre. Mazor, Les citoyens babitans do la paroisse de St. Hilaire saluent avec alYégresse votre heureux retour parmi eux. Ils religieux et matériel des habitants do 8t, Hilaire, Voici cette adresso et la réponse qui s'en est suivit: (1) Auz Oueriers et d beaueoup Pavutre db du retour du Major Campbell d'Eu-- rope, aiusi que ll'admsse qui lui fat im-aenu-e r&r les habitants de St. lilnire et la répounse du Major. Les habitants de cette paroisse aux-- quels se sont joints prusieum cito-- yens des paroisses -- voisines, lui ont-- présenté, & son arrivee, une adresse de bienvenue, qui fait autant dhonneur & celni qui en a été Pobjet qwanx habitants de cette intéressan-- Nous reproduisons avec plaisir du Courrier (': St. Hyacinthe les quel-- ques remarques suivantes a Poceasion St. Hilaire, 18 oct. 1862 Mes chers amis, Adresse de Bienvenuse. Reponse Apuzssr Ottawa, (H.--C.) Samedi matin 15 Novembre, 1862 et autros Le dimanche, vous préférerez a tonte antre distraction les joles de la famille ; cest avec elle que vous ferez votre promenade et prendrez votre repas. Vous éviterez aussi les hon-- toux axcds do Pi orloetd!lg'dé- lmq-i cout:nm l6 gain de in Bi vous dtes bon épon« et bor pere, z{h les futifgne' de la journée, votre assement le plus donx sera de vous retrouver én famille. I1 n'est que trop commun aujour-- dhai de your des parents abandonnés C ¥ieillesse par des enfants ui n' eux ni amour ni respect. D'of cela vieut--il1 De la mauyvaise éducation que les parents dourent aux enfants. Elevez done vos enfants avec le lus grand soin. Enseignez--Jeur de Eonte heure Vamour et ia crainte de Diew. Donnez--lenr toujours le bon exemple, ne faites ancune action, ne prononcez en leur pr('wncn aucune E:rnlo qui blesse la religion et les mnes mcsurs. I! est horrible de penser qu'il y a des pdres et inéres qui engagent leurs enfants, aprés la premi6re commu-- nion, a ne plus fréqnentéer les offices du dimanche, et a s'affranchir défous les devoirs de religion. Dieu per-- mettra qwils expient ernellement, dans leur vicillesse, le crime qn'ile an-- ront commis en pervertissant eux-- momes lenrs enfant«. _ Adimez par--dessus tout votre fa-- mille. -- Soignez la vieillesse de votre pére et de votre mére, si yous n'avez pas cu chagrin de les perdre. Vous serez traite par yos enfants comme vous aurez traité vos parents. Calculez done ce que vous gagnez, et faites en sorte que votre dépense soit moind4e que vutre gain ; déposez ce qui--vous reste duns une caisse '6-- pargne, Avant de se lier damitié avec un de ses compagnons, le jeune ouvrier s'assurera d'abord de quelle réputa~ tion il jouit. S'il remarque que see maniéres sont grossidres, aontiuuga- go immoral ; s'il apprend que sa con-- duite est peu réglce, il doit prendre Ja résolution de ne pas lo fréequenter, ne serait--ce que dans in crainto de compromettre sa reputation,. _ 8'l avait 'imprudence « on faire un ami ggne liaison produirait bientot sur lui es offete les plus funcstes. Wargent mal scquiy ne profite pus longtemps. Bi grand que soit le gain, les mau-- vais jours viendront, et Pon ne trou-- vera alors que ce que |ou aura sago-- ment économisé. Qest devenu. ce jenne homine qui donnait autrefois de si belles capé-- rances ? Le plus distiugué & l'école et dans Patelier; il a frequenté des li-- bertins qui Fout détourné de ses de-- voirs; il est ouvrier nigiigont, sans économic, mauvais époux, mauvais rére de famille ; il brave aujourd hui a honte et le mépris de tous les ou-- vriers honnétes. _ Bi beau, si sain que soit un fruit, on ne le placera pas impunément A coté d'un fruit pourri. Une probité sévére et une écono-- mid bien mesurée sont Ja richesse de Pouvrier. _Du choix des amis dépendront les | conversations, la nuture des diver~| tissements, et la conduite boune uu{ mauvaise comue dans is bonne for-- | tune : il partage les doulcurs comine les joies de celui qu'il aime, il ne donne que de bons examples et de , boms conseils qui fortifient dans le | bien et éloignent du mal. | Le vice n'est pas moins contagienx que certaines maladie=. Aprés 'accomplisement des devoirs de religion, ce qui' importe extréme-- ment au jeune onvrier, cest le choix de ses amis on de ses compagnons. Dis--moi qui tu fréequentes, et je to dirai qui tu es. Qui se ressemble se rassemble. Un jeune homme no saurait vivre isolée;il Ilni faut des amis, des com-- gngnunn de plaisits qui svieut de son ge. 0000 _ Quand un apprenti sura travaillé tout Ja semaine, il pourra se divertir honnétement avec sos amis, mais il n'oubliera pas de s'acquitter d'abord envers Dieu do ce qu'il Ini doit. 11 se rendra exactement anx réunions d'a;l:rmntis dont il doit taire partio sielles existent dans le pays qu'il ha-- bite. Duns ces réunions, fondées {\our les jeunes ouvriers, on regoit 'instraction religieuse, on wm:gol. messe, on fait Ev bonnes lectures ; nlprés avoir ainsi sanctifi¢le diman-- che, en peut délasser Nesprit et le corps par la promenade et les joux qui n'ont rien de dungereux. _ _ _ _ L'amour du travail est une garautie de la bonne conduite de Papprenti; Cest surtout la fidclité aux devoirs de la religion qui préserve sdrement un jeune fxommu de ce qui pout Poutrai-- ner au mal. Si un bou maitre toinoigune quel-- 3uufuil de la sévérité, Pappronti ne loit pas lui on suvoir mauvais gré, ct comprendre au contraire que clest pour son bicu, Aussi longtomps que durera Tap prentissage, il devra téemoiguner a son maftre un grand attachement et une confiance entidre, lui demander sey conseils et le satisfaire par sa docilite et Papplication au travail. L'apprenti qui a trouvé un pareil itron a trouve un veritable trésor, E:u' une aussi bonne direction, it de-- viendra un ouvrier habile et un hon-- néte homune. o ses Celui qu cilite vers In patr clamer tous uel-- --PFormez l i ne-- désonire de €, ut cst la ruine ¢vst . gans axcenp 8 ' et soir, de . ) environs. Lf; ! tour pur I t Pgurlh: p< °_ | gles obse --150 1x | _ Toutes les personnes intelligentes |que je puia voir demeurent convain---- cues que nous tonchons & la crige su-- | préme, et qu'elle tournera & un ima-- § l mifique triomphe de in vérité et du j 'gnint-Siégu. | _ Comme nouvelles reiigicuses, je | vous dirai que nous avons eu au @e-- | !ul, le 29 septembre, le baptome d'une |jeune juivro de Génes, hériticre d'une | maigon fort riche, qui a fait de grands |sacrifices pour répondre & illumina-- |tion intérieure dont Dien l'a fayori~ 'sée, Déj@ son frére lui avait montré |Pexemple. Le peuPlu était nombroux | & n cérémonie ; il a fait éclater une [ joie ninfguliére, qui se traduisait par | des acclamations, ot des viva/ réité-- |rés.--Hior, aujourd'hui et demain, | triduum d"expirltion, & la Minerve, ',Euur la profanation . sacrilege de la |Bainte--Vierge, a Turin. Les mira-- cles se umfiiplicut A la chapelle de .Spulétu dont je vyous gi raconté, dans |le temps, la découverte récente ; les | dont ahufint pour la remplacer par | une grande (glise; A Rouwre seule-- 1 ment, mnlgr? les besoins tonjours croissants, tne souscription . a déja | Frofhit 6,000 tr. pour cet objet. Non, | la fot nest pas éteinte:en Ttalié, et lo lrpmteflumi.np n'y regne pas anco-- I¥e. | un qti a dit ndion & une superbe car-- irilr?mifinin en France, on il était | déjé capitainc. . I1, donne trente mil-- | le francs aox panvres.tons, les ans, ; pius dix mille france . an . denier, de | Bnint--Pigrre, ot no se réserve qu'ate | somme bion moindre pour ses propres besoing, . I1 est. bon . que de pareils exemples soient pnbliés ; ils. congo+ lent J- déluge de turpitudes %ni for» ment le plus net du bqnf igtori-- |@ue coutemporain, Ces nobles et g6-- nérenx enfants ont mdm-- s rrhln®t whe yeue 4G In noo ¢ hlap t prokc hi on Nesso do " on pays, quiven Parmi nos jeunes Frangais dévoude & li défense Jw Ponfibg, il en est { _ Dés le lendemain, il a voulu visiter | Velletripville travaillée depuis long-- { temps par les unitaristes ot nesez mal | famee comme esprit. Il y cat arrivé A Uimproviste ; f')uccueil a 6t6 anssi chuleureux qu'a Castel. Le général | Cordova, administratenr du chemin | de fer, apros lui nvoir fait admirer le | magnitique pout en for construit sur \un abime par la compagnie, a obtenu \de le conduire jusqu'a -- Valmontoni \dans lo wagon 'pontifical. La voie \n'est pas encore ouverte, et on atten-- dail si peu le Souverain Pontife, que lo chef de gare lui--méme s'tait mis au lit pour reposer, | suivant Pusage italien. . Chaque _{'onr, ce sont, matin et soir, de nowvelles excusions aux |environs. . Le service cat fait tour & tour pur In troupe frangaise et par la garde pontificale, suivant les r8~ gles observés &A Rome. Ce matin, ??'iv IX a dd aller dire la eainte (messe a Galloro, célébre sanctuaire de In sainte Vierge, présd'Albano ; c'est en méeme temps Ja maison de cnmsl- gne des PP. Jésuites. Demain, di-- manche, il la dira & Péglise de la pa-- roisse, pour repondre aux pieux dé-- sits des fideles. Ce petit vill.ge do Castel--Grandolfo, ou Je suis allé hier est aniing et brillant comme une ca-- pitale. On a remarqué unc entrevne du Pape, qui a duréJxIna d'une hen-- re, avec lo ministre de Prusse. messe a Galloro, In sainte Vierge en méeme temps L'mmour véritable de la putric est insépurable do Pamour de la religion, Tout peuple civilisé doit avoir pour devise cos donx mots, et les inscerire & la téte dn code de ses lois. Los cunemis d la religion sont les ennemi~ les plus dangereux de la societd, 'car saus religion, les lois hu-- muines perdent leut plus grande puig-- satce qui est dans lw conscience ; i1 wy a pous ni mosurs, ul probité, ni jostice, ni amour des hommes entre enx. -- Enfin, souvenez--vous avaut tout que cest Dien qui a créo le mmg que lui seul peut le: conserver 5c' lui aussi qui a fondé la société hu-- wixine, ot elle ue peut subsister sans Iui --Formez Poreille unx dogtrines de désorire de d'anarchie, leur triouiphe cst la ruine de la société, rour tous sans uvv'm'on, wussi bien le pBuvre que le riche, Aimes votre patric, soyez hl" sa gloire,contribues a s« prospérité, et rmr celn ubservez les lois, respectez 'autorité de ceax qui gouvernent. Cette patric est la mere commune; nons sommes tous ses enfants, elle doit a clnque citoyen aide et protec-- tion, aucun ne lui est étranger. Celui qui necomphit ses devoirs en-- vers la patrie pout sans injustige ré-- clamer tous ses droits. L'abbé Martts pz Nomtn DIEU.--PATRIE Rome, 11 octobre | . On dit 1:0 pour détouriier l'atten-- ; tion de la J;olico, les Irlandais (mvaient allumé de grands feux dans |les cherninées de leurs maisons afin I de remplir les rues de fum6es et de faire craindre ainsi un incendie gé-- [nénl. Uéntgnnd nombre de person-- nes ont gridvement bre'ilm. Les Irlandais auraient smccagé plu-- sieurs boutiques et jeté les ntrcl?nn- dises dans la rue. im troubles con-- tinuent. Les magistrats délibérent #'il faut autoriser T'intervention de ' la force militaire. Le Times nows apprend que 8. :}m. 16 cardinal w=m| a ndn-lé. s68 une cironiaire r los onmep:el":rendn 'danw hnpm:luu- tiers de Londrés habités par les Ir-- landais .pour les dissuader de tout pmj::l de ,tlémmniirn,do :;turo A troubler Ja . tri illité lique, Cotte Sunple Iflrmon. notw I'&r-- mone sans hésiter, sera d'un effet plus sir at plus mflc&u los miesu~ mbm«u is ~police. Dernid n'w--t--il pas soffi do m paroles de doux protres ca-- es pour arracher ime troupe m" 1 -:"fiuv I ona d'une lutte ¥# dare lo .t% une autori-- Des troubles graves ont on lieu & Birkenhead, par suite d'nne rounion dont les meinbres voulaient manifes-- ter leurs sympathies pour Garibaldi. Les antorités avaiont pris toutes les précantions voulues en entourant la maison o% so tenait la réunion d'une force imposante d'agents de police et de soldate. Ces mesures n'ont pas empéché les Irlandais, armées de gl-- tons et de couteaux, d'attaquer les garibaldiens. -- -- Notre conviction bien établie est que si les abolitionistes parviennent & renverser 'esclavage dans lo Sud, le Sud no souffrirr pus plus que le Nord au point de vue pécuaiaire. Les hommes sensés du Nord feront bieu de réfléchir uvant -- de secondor les abolitionistes. Les meetings garibaldiens continu-- ent dane plusieurs villes d'Angleter-- Iabolitioniste qui a réponse & tout affirme que lo travail Tibre suceddern an travail servile et que tout marche-- ra eomine par le passé, . Mais il faut r«mr le croire, ignorer complotement oe expériences frites & la Jamaique et a ll}n'(ti. Le Sud n'aura plus rien pour acho-- tor les articles du Nord. C'on sera fait de Pitmense commerce qui en-- richissait les . marchinds da Nord. Chnandidres et muchines & vapeur des sucreries, charrues, voitures, outils, chaussures, vétements, meubles et autres articles de plantation, tout ce-- la no sera plus en demandc. Les marchands du Nord ne le sentent pas, occupés qn'ils sont de satisfire Aux immenses réquisitions de Pétat do guerre. Lo coton se vend & New--York cin-- quante ou soixante cents la livre. Il a 6té importé d'Augletterre pour ali-- menter les usines du Nord. }E:,rs uo eo stock . sora épuisé, -- doi vian%ra Papprovisionnement, | si le syst@meo du travail du Sud est anéantit Que devindront les villes inanufacturigres de Lowell, Lawrence, Nashua, et.1 Le coton dn Sud a été l'épinn doreale de tout le rézime -- manufacturier du Nord. -- Que le coton séche et périsse et le marché le meilleur que le Nord ait jamais eu s'évanonira commo soug la bagnetto dun enchanteur, Dans la criosade que fontles aboli-- tionistes contre l'eoo'fnvnge, dit le Pi-- cayune, fils paraisseut perdre de yue les conséquences de cette croisade, en lupgount qu'elle réussisse. Qui y perdra? Lo sud, prétendent--ils. Cor-- tainement, s'ils renversent le systomo do travail qui régne au Sud, le Sud recevra un coup qui transformera en déserts ses champs de coton. Mauis ce coup nenveloppera--t--il pas le Nord et le Bud dans une ingime ruine ? Jackson est invincible et comment ses soldats sont des héros et souffront sans murmures les plus rudes priva-- tions auxquellos des trougeu aiont ja-- mais été soumises. Quand la paix se-- ra rétablie, ce sera un honnour de di-- re : " J'6tais de l'armée deStonowall dackson. Lims soupare ox Jaoxsox. 3 Dans ;2:: Tarmée : de B:MMnlI ; m it an correspondant du K ~!Ihymar' , on entend rqg< ment proférer un jurou. . Partout rd-- gne un religienx euthousiasme qui tait de chaque homme un héros. C'ost ce qui nous fait compremdre comment bulfindistoitenhisPrabidhy t hn ts B acadcias 4+ .20 a peu de jours, a Londres. Mne Ross descendait en _ligne directe de Walter, baron lo Kincardine, petit-- fils de Robert 11 d' Evosse. --Le dernier membre de Pancienne famille royale écossaise des Stuarts vient de s'éteindre. Mme Sophie Ross, dont Ief&e a été porto--drapean & la bataille do Culloden, est morte i1 presque comme du deshonneur, et quoi désormais le considérera comme un glorieux devoir et uns honorable carridre. moarale dont les journsax ,-#,,,,,' missements. 'Sutter, qn'I avait is de la.-- morphine dans le verre de son camatrade, lui donna les soing les plus touchants, et, sous ' prétexte 'de le ranimer, lui placa sous le nez un fla-- con que le patient respira a pleins poanonts Or, l6 flacon Mu&\fdt aa rendorngr 4n ples prifons s'en us ::nmoil. Ainsi ~:£ contre k surprises, Sutter mit la, main ay m butin qui . J' evec .une $0vix de tote mptcns . de toute ; uns grando valour Butter, en provision de Whiver avait obtenu depuis quelques jours l'autorisation de lui tenir compagnie. Vendredi de In semaine dermere, lorsque les deux employés furent réunis et les portes closes, Sutter of-- frit & son col]:';uq de le régaler de cidre nowveau; Is proposition fut acceptéé, ot les denx conptres vi-- dorent ensemble quelques vorres; maie Lowell fut bientdt pris de vo-- Vor av carorororm. Un hor-- Iogor suisse, nommé Charles Sutter, était depuis six _ semaines employ chez M. Win. Kirkbam, joaillier, ; Springfield (Illinois.) Un teneur de livres, nommé James H. Lowell. était également attaché i 1éotablis-- sement, et couchait habituellement dans le magasin. FANTASIE DIYVROGNE, ---- Sam iel Jones a vingt ans: il est nc dans l« Massachusetts, et i| porte Pnniforme d'officiers de Parmée des Etat«--Unis, trois choses qur devraient suffire im bonheur d'un mortel. MaisSmmnel n'a pas les gouts de tout le monde ; il veut des plaisirs qui ne soient pas ceux du commun (Il'-i marbyrs. et il en invente dont jamais personne i4 eu Pidée avant lui. -- Un dos jours de 1a semaine derniore, il ctail Jans un omuibus de Brodway, Pidee lui vint que le trou par lequel les voyageurs passent leur argent an cocher, était une cible, et le voila qui incouti-- nent tire un pistolet de sa poche, et a'amuse & faire fen i travers le rond. . Heureusement Sammcl ctait ivre et me tirait pas juste ; il attei-- goit seulement le cocher a |opanie et le blessa léegérement ; quelques pouces plus pres dn centre, il faisait mouche au milieu de l'épine dorsale et le tuait. _ Le juge Breiman, infor-- mé dePaffaire, a demand/ n jeune officier du Massachusetis nne cau-- tion de $500 qu'il n'a pas pu fournir il attendra en conséquence . sous les verroux le jugement qu'il devra sn-- bir. --(Cour ier des Etats--Unis.) Les injustices commises vi commerce canadien diuns lc ment des droits de dowine aur _ les articles importcs d Unis ont attiré Pattention vernement qui_ va, nous un extraordinaire de In (/---- olle, preudre des mesures des' ordres pour que Fimpd finlnrisé p::r lu di--prm-iu u papier monnaie amor I@ une bonne nouvelle faits qui viennent de se révélent un état dechli préjudiciables & notre c La commission pour Pérection d'un monument & élever & la inémoire du }xrinwljoin't u constaté hicr le chit-- 're ?_Q'Mtemt Juequici la sotscription rub ique. Co chiffre est de 53,008 ivres, Cest--a--dire pros de quatorze cent mille francs. ministres réactionnaires et anti--ita~ liens. I n'y;fifil' hh:h :o;lm;udri- sordres, * h @-- + DumuinMniiniionma prisés par la poli¢e, 'I est vraiqueta pluie, 3ui a tombé par torrents une rurtio e la journée, ast venue en aide aur agents de Pautorité pour dissiper ta foule qui a'Ctait rassemblée. out ici c occasion'd'éta-- on IP Sep aibetiente D en _A No. XXXm Yviky 'fl ienbath q ce si pocue, hA travers le Bamuel cuair e : il attei-- y va i o Sucetef : Rot du Tds JA

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