_~*3© Conquérir les Etats séparés 'au moyen . d'armée d'iuvasion. Il n'est pas douteux qu'on peut attein-- dre ce but en deux ou troisans avec nv's"nénl joune et oa':ublo. un Wolfe, un Desaix, un Hoche, et avec 800,000 hommes disciplinés, en esti-- mant qu'il en faut un tiers pour les _garnisons, et un nombre plus grand pour les pertcs par escarmouches, sicges, batailles et figvre du Sud. La destruction en hommes et propric-- fi:"-:nit effrayante d? I'Inutdre odté, ue parfaite que fot la discipli-- :0 mnlz. de Denvahisseur. P . ** Lacouguéte parachevéeau prix d'un énorme carnage jour le h':)rd Quest, sans compter une dépense d'au moins $250,000,000 quoL en seraient les benéfices? Quiuze pro-- vinces _ dévastces! non pour Ctre amenées a vivre en bonne harmonie avec leurs couquérans mais pour dtre .un::uuu pendant des genérations | grosses garnisons, avec une n-. qudm"o'lo des revenus nets 'ou des taxes qu'il serait possible de 'léur imposer, avec un protecteur ou un empereur a la suite. »2©Collecter les droits sur les marchandises etrangores en dehors des dout le gouvernementa prx;:' doinination, ou fermer ces ports par acte du Congreset les blo-- euere c 1cco20 .04 000 .000 00 'a;.l.: Mettre de ode' ln vioillo(l!'é- bation et en prendre une nouvelle --celle de punr de 1'Union. --Adop-- ter les mesures de conciliation pro-- posées par M. Crittenden ou la con-- 'vention de la paix, et jo réponde sur ma vie que nous n'aurons pag' de mouveau cas de secession, muis au '@ontraire un prompt 'retour de la plupart, sinon de tous les Etats qui se sont déja jetés\hors de I'Union. Fuute de qml'!lue mesure d'une (gale bienveilliznce, Je reste des Etate & escluves se joindra suns doute & la confedération : de Montgomery en .nlm de soixante jours; alors cette wille, enclayce dans un pays étrauger demandera une garoison 'wrmnmm- te d'au moius. 35,000. soldats pour proteger le gouvernement dans son enceinte. "®4 °> Dire aux Etate séparés : Sceurs eutbties partez en paix ! «Je suis etc... etc... f * Wixrigup Scort. -- Lemoment est aux lettres écrites mersux. . En voici une de f ,. e get Kearney, qui justitie pleitement : que yous disiez dans Mour um uo ignobi ># Nous so e une e $ .M' ,,:4 @5 Mzfl', atc. MeUlellan.« ,':.finnquuj'.i a L ue nous j is Mn wies prooies iovee mor. us grande effusion. de sang. X carnages .S3um-- _ Are. ont ou le dessus a Find et :::l'i l'(')ihio. (zn -- re de certain s 0 hm. les relevés éleoto-- «¥aux n'étant mn complets. o on movrat to-- 'n@ dernidreifient cA New York, i! a %* ih x Mousiour :--Dans V'espoir quesous un jour ou deux 1e Pr(mi(r:nt se sera heureusement tiré de tous les dangers qui le menacent personnelle-- :Ql. et se trouvera i';uullé zos;me successeur, honoré du gran us-- hington, aveo vyous comgo chef de son cubiuet, je vous supplie de me Awisser yous répéter par gcritce que &I\m ai dit aupamavant de vive pix sur I'état d'avarchie de notre 'Union n?u'u si heureuse et i glo-- riguse. . Pour faire face aux exigen-- ces ;::lordimirn du moment, il «me e que je nesuie pas coupa-- : bie d ln'o'l'aujen Iimiullnt le chlo'l.x du Pv'gdeut & l'un des quatre plans d exoide :. . ... .' ._ nu n i "'llziewxorfi, il a ttre la f de .r'l.:augnntion de il in par le éral Boott & un ' ) politique éiminant. Voi-- _ I qui n'était, hélas ! que $rop prophétiyue. _ _ _ _ _ t, les élections tien-- Rigk: :..7,.3 ns puraissent L avoir Propsiseamieny !mfiymi;w bevues ; i a fait mt son corps & 4 n Shenundoah. n-- pis; c est un l:h vie de # .. cgpiels 2/ aujourd --hui mmill: g Dy--po t ont ob M. Lin-- *Mmm& cheval ow en o se | voiture,il court ls poste dans les rues !":' escorté d'une garde d'environ une but whho'ounlhn,donhmdl" rontidres en avant ot "le reste en arridre. i is ma-- | Pour:une reisom quelconque, M. Lin-- Il," coln stest laissé persuader que sa vie e de Mc-- | serait -d-xhn-'fl marchait tout e du | seul, comme t ses quinze pré-- ml' Mlhwnlm&d Por-- jusqu'a ce jour Ymnvée dtre inutile. il fant que M. le correspondant de 'Ordre soit sous linfluence d'aun bien terrible cauchemar pour interpréter d'une manidre si étrai les nom-- breux rajiports 6t los r:x;nentn let-- tres qui nous arrivent de cenx de nos compatriotes et antres de cette cité qui y sont déja rendus ot ~qui : tows sont heurenx de Vavantage signalé ?:.'Hl constatent lA en : rapport . avec perspectives de Phiver a~ Outa-- oumia. miqu® tusi, jo Bi M. le correspondant de 1Ordre était dans la nécessité de se joindre a nos nombrenx compatriotes qui lan-- guissont dans lPinaction <et sous le poids de dém:- énormes <dans les diverses mai de pension de la Busso--ville on attendant que MM. los Bourgevis du chantiers viemnent choi-- sir los "k- robustes et les plus vl:::. renx d'entr'eax pour les monter les fordts on hant de Ia rividre Otta-- wa ot ses tributaires avec le mince ealaire de $10 on $12 par mois. Pout-- dtre, ibt,'c'il no redoutait pas un tel m le m\':lflh! dn'.udd'uu préférerait--il mussi lui a'en aller soit en Ponnaylvanie ou dans TOhio avec wn salaire générenx d'une Je voudrais savoir sur gnello anto-- rité s'appuie le correspondant d'Otta wa pour informer le journal -- 1'Ordre de gontrfi! que nos concitoyens émigrés et émigrants on Pennsylva-- nie soient forcés en arrivant sur le territoire américain & prendre les ar-- mes pour suivre les destinées de Par-- mée fédérale qui ne peut ni ne veux cominettre d'oppression contre ancun individu né soit au Canada ou dans toute antre place étrangére & 'union, quand on a pas méme encore insti-- tué Ia conscription pour forcer, méine les enfants du sol & proter leurs con-- cours an guutien de leur gouverne-- mont et de leurs institutions, et con-- tribner & réprimer la rébeilion en noyant la portion rébelle sous le coup d'unG:l_l[J;'?Ofi" numériqne qni a pinstré ot dix centins par jout -- avec une pension mmnmtm rer, pour des hommes, lea na & neuf piastres par mois. T1 aimerait Pourrais--je compter sur votre bien-- veillance pour la rectification par les colonnes Jo votre journal de certains avancés finx qne vous avez repro-- duits du journal 1'Ordre de Montréal ot qui dans certains esprits crédules pourraient jcter le tronble et la dé-- solation ; parmi ceux surtout qui ont des parents, des fl)'oux, des enfants, des frores émigrés depuis pou en Pennsylvanie pour travailler & ce chemin do fer Sle batit en ce moment la compagnie Cunard que tout le monde connait. ue le rapport de ces gons n'est &ub-i-higpxomx o':n pourqt:'i nous laissons parler notre correspon-- dant qui' dit pouvoir 'appuyer ses allégués sur des faite, et sur les af-- fldnlviu de personnes les plus respec-- tables. M. ie Rédacteur, Au moment que nous recevions la correspondante suivante, | favorable au mouvement d'émigration qui a'est fait. vers la > Pennsylyanie 'depuis quelque temps, 16 ~télégraphe nous apportait la nouvelle que trois hom-- mes d'Ottawa venant de l'ouest de ls ~Pennsylvanie étaient arrivés a Preseott et rapportaient que ce pro-- jet de batirn'était sutre chose qu'une vrage pendant quolTxn I{wnr ot pendant ce lemr on lies solicitait de s'enroler dans |Tarmée ambricaine, leur donnant du whisky, et leur faisant mille promesses. _ Peut--itre certainement un précédent l:*- ble que le premior magistrat de cette ique se.mette. & ~imiter .de-- in sorte les souveraing -m&hu, et a'l-- magine que sa vie peut étre menacée comme la lsur, T1 est pourtant difficile de yoir quels bénéfices le Sud tiserait de la mort de M. Lincoln, qui serait tout naturellement nmpful par M. Hamlin. On ne sait uoi :des g-uop zél6s se sont mm dans la e 3!1' la vie@a Président coursit des angers, car jamais idée plus ab-- surde n's troublé une cervelie hu-- maine." KeWGonrrier b'O®ttatoa Samedi matin, 25 Octobr e Le chemin de fer dela Pennay!-- vanie. Les travailleurs avaient de Tou-- J. E. Derion, Redacteur, l';'"': donte ~pas, :. llbl.m"fnzi- t ot serein quo los longnes et r&-h.guum'- tos lvr,:h :I'::huu de ses as-- musice 'de personwes qui venmect . Jamais je n'ai la vue de ma | Inttear s Seman en enteriinies" Ancp oplel vio un tof harne d'idées pédunteagues, | an cr00--4 Mucevtlicitations de mes compagions # j* nn pareil amas do ntonstrucsitie, qui | tonnerre me dbewai A descendre areo dux. % | bevap To m'as soutent enteods dire, chere P** D'Ont pw mmome on sems l 71-"-1. on ot tous coarir dy wh atibe , avait 'i-.p:; m'*w*'"'" derndre oux ot trds affanidos. malades d'émigration. M. Robillird, comme bien d'autres ont 6té trompés par defimamuil et par Tappas (du vil métal qui ne se trouve tou-- jours, méme en terre eszx?, com-- ie on pourra en ju a descri tion queit; donne Lg:xrm nd-rél:' par lui et ses compagnons do voyage. Pour revenir an Cariboo, i} mm's fallu mon-- tor eaviron u*':u*-nb. & travors les montagnes : lee door min'Pmm- contriou les mineus & p'cin chemin, la faim peinto aut ia fluure ; nows aviona b.en fuim nou«--mdmes ; oar nous avions imi. soix Ante miiles sune pouroir nous procu 6t de vivres, ai 00 a'eat guan morouah de forsure. Arex. ot mus duot autres compagnons ; dporsé« par le mangue de nourritmie st par h:a:-mamhh' ln or redercéudre le pays. . Alors j?¢-- k:'."d.u;:*n" ":'l'::nnr seal la te par courn« go. Aiex. ploarait ot il ...1:57-"-. que j'on fisse autant. 7 Au moment on nous allions noue aéparer, une dovsaige dhommes swat arivds, qui descendaient des tmines, its avaiont dew vi-- uu*:hu--l- brae; ie n avarent fit qu"de tual repas, lt veille: rboltement hm--n.mnbwu.qr mes qu'ile ne trowveraient pas de provisions n desoon.Jant, encore pour soitante milles. Iis nous deat aussi qu'il y avait eucore Ts neus dient aussi qu'il y avait eucore une Senuuaé . de Persoimes' qui "venntect Comme ma derniére lettre était de Cali-- fornie et que je ne t'ai, pour ainsi dire, rien dit de ce ry-, je vais commencer par mon armivée & Vaucouver. . Arrivé & Victoria, je me suis engagé pour huit jours, comme on disait que o'était trop tt pout (mouter au Cariboo. Jo travailimie, ot bien fort, pour deux pinstres par jour ; Jn nouriture me cou-- wit une piastre ; ce qui me laissait cing che-- lings par jour. L'on':cnnu. ce n'est déja par si bril-- lant qu'on vous io nvrt---u- Canada ; puisqu'on nous disai® quen ml eing prasties par jour dune la morte: h _ Ceat eneoie pis avjourdhui ; car on no deane, aur geos de métier, qu'une piasire et demi® par jour, et encore tous ne le trou-- _Pour moi, ja vais partit demai aller bbhrh.':- de ';-wo 'l:r. %:'lu., pour nme pisstre la cords, enviton & cent milles dior. Anjourd"hui, je suis heareux en recevant ta lettre gqai -'nppnnddm tu es en bonne santé 6t Pétat de ma chére petite Albertine, aingi qu@ do toute ta famille. venant de Monsieur H. Robillard, wdresséea son épouse. Elle aura pout--dtre Peffet de guérir un grand nombre de nos compatriotes qui sont Chare Epouse. Je suis arrivé ioi hiet soir de in rividre Tbo-_pufl"dgn" Im Colombie Brifanique. f serwcmel de leurs travaux ; pour leux raisons, d'abord : & canse de !a luusxonlion des travanx . des . bAtisses rur ementaires qui Iniset comme on o ni§ méme en Europe, une mniti-- tude d'onvriers do tous genres sans emploi et soupirant aprésdes régions meilleures sans avoir% leur diaposi-- tion les ressources suffisantes pour vu{uger et chercher de Pocenpation ailleurs. Nouvelles de n Colombie Bri-- tannique. ment . hien grand pour concevoir qu'ici Ylutbtqu'lillrun ils .comble-- raient le vide qui était laissé dans le Qrd-z-th manne . provi-- --lw d'un hiver yui l'ul.ut utaouais sous des . aus-- pices te sans la perspective d'nncums travaux pour fournir anx exigences du tomps. Vote couvre .":::'d. patriotisme! on voit que vods aimez & retenir les compa *'-"tm bien d'autres que mm:'.:. ceux qui sont refidus la, est bien u::vi.bh et ces hommes ont agi on se dévouant ainsi tor ves.rares chances. Oz':md le pan¥re ouvrier poot ici gagner suffi-- samuient pour sa u'd:o"nh-p peudant shacun sui~ veut Q"Moumr-biua de-- on frrcrege s o o wine par jour, ous M. le correspondant m&vé'::ofilm girculer de wanvais bruits pour . détourner nos tout homme ""f:;.';'fl': Prvadhem piiy ts dotmithes Phots Loue t pher dor Distwirés ot des Tmalptned o M on in Ottawa, 22 octobre--1862 Nous publions ci--dessous une lettre J Victorta 4 Septembre 1862. Larrzatene Ottawe, (H--C.) Samed! matin 26 Octobre 1862. p le sour travaux ateniue des coléres," qui contient de nouvelles tirades contre' Ottawa et sea habitants. J'ai ln avee Trh"h Pays dol:nmfild:.! eourant, nn arti-- ole ayant pour titre : * La plus in-- (Du Journal de QuBbec) M. Ib'a.dln.'.nh. un acticle nr-h a "::0 .lny'- dinsulter in :'p:hu.n francaise d'Outaouaia, celle--oi a'est. réunie en assembiée pub :que, le 13, danala aalle do Pm uen mne en l."-diilo les resolut.ons -u'ln-: + (Ci suivect les résolutiona) Nous avons aussi appris que le News de Québec avait aussi parlé en favenr des résolutions passées & I'Ins-- titut Canadien. __M. Dessanlies est en train d®universaliser wes titres de :oblorse. ll::d plaisit & faire u;:ml: I?'Cm nll'n:z h WNIh que lui a onse: 0 ; s08 compu-- |riu;:- d*Outaoums ont trouré ce brevet on reg ; M. is Rédacteur, Eoo en o e en emiay. Kt vorld uor;;c gagne M. Dessaulles aveo sea injures debitées contie tout fe monde,i propos de tout et & tout propos ; i! a aujour dhus toute . une nouveile population contre Ini. Voicice que cest que de faire Io'fnoa tapageur et do battre la groase caiwe dans les journausx ot & in porte des églines 1. . . . . Les Candiens--Frangais d'Outaouais se sont mni-. le 13, dans la salle de I'luuli:ul-Cn- ien pour protester contre un article inju-- rieux a.'.mr.,:. Dan« cet article, M. D{m- saulles s'criait avee ce ton de moigue in-- aultante qui lui ost famnilier qu'il eet ridicule d'.nvl?-t dans une ilation _ comme celle d'Otawa une mlmh bublhlhb?u comme celle de notre legislature, d'aller enfouir de pareils moyens dinsfrustion--et cela dans un pays o% ils sont rares--dans le recoin le Eu- reculé, le moins civilieé du pays et une population qui, prise en masse, 2'.:0 nullement préparée & en faire Plusieurs des premiers citéyens d'Outa-- onais rimnlhp-nb, aprés quoi dea mo-- tiong unnl'nadu. déclarant " que les avancés du lacteur du Pays sont faux et nuellement appuyés sur des faits, qu'ils sont malicieux et ni rh- ni_moins que la plus 'z.".i"! des insultes jétde & ia face d'uu peo «Que les Canadiens Frangais de la ville d'Oitawa réunis en assembiée publique, -T-'- avoir en communication d'un article ditorial publié dane le Pays du 11 cocrant, déclarent unanimement que les avancés du redacteur Je ce journal sont faux et nulie-- ment appuy 6# sur dee faiie, qn'ils sont mali= meaX et sout ni plua ni moina 1\30 !n plus wroseiéro des insultes jettce & ll'lncJ'un peuple ; que lés canadiens de cette ville oroient devoir au nom de leur nationa!lité protesier contre les avancés du rédacteur de ro)'o-rnnl qui ne counait pas la population qu"il accuse d'ignorance, n'ayant en lui mé-- me aucun rapport avee aile. (Pas--6e)." Les fameux articles de M. Dessnulles sur les bétisses d'Ouawa, renforment tant de fausserés et dexagérations ; Particle dn 11 ©ourant suriout contient tant d'insulter contre les habituns d'Ottawa, que les Canadiens Frangais de cette ville ont erd devoir s'us-- semmbler le 18 courant dans la »alle de PIns-- titut--Canadien pour protreter contre la_lan-- «age iz':'rioul des suadits articles. Entre autree lutione passées & cette a--sembiée noue trouvoue la snivante : Fondant deux mois que j'ai travaillé sur In route i ent descendu environ deux & trois mille minears, tous sane le -n.uu;lacul le ys ot coux qui lesont encouragéd y venir. E ville de V?euw'u ost remplie de m{mh ot il n'y a pas douvrage pour fi centiome par-- tie, ga se concoit facilement. Aussi, on nous traite en conséquence; pendant les deur mois que nous avous travaille sur ia foute, nous avons 616 jusgu'd trois et quatre joors de suite, n'ayant que dus feves a man-- ger: d'autres jours, do bacon pourri, sans pain nifeves ; des paiato», on n'en a jamais vur Adion, trés chére P*** embras«e, pout moi, ma chére p«tite : Alibertine etta mere : mes respects & tout ia famille ot aux amis qui s'informerent de'moi. Tu diras & B. qn'il u ou ie nex plus long que moi en res-- tant chez lui, ot tous ceux qui ont fwit comme wut Je Uinclus mon portrait, et j'espére que l'u: prochain, tu pourras voir Poriginal. Ues mines ne sont pas si_ faciles a trouver qu'on nous le disait ; neuf claimes sur dix ont evuté mille piastres. pour les ouvriers sou-- lement ; avant de savoir s%il y a avait de Por. Ainsi, un homme a toutes ies chances do :.nln sen quatre & cin(\? cents piastre. Dans tes les mines de Cariboo, il n'y a que viugt claimes qui paient. _ Eu attendant je me dis ton tout dévoug et infortuné époux. CORRESPON DA NCE ifi:fii'--'m TI;.I--'. "f- tiers sout marlé« com-- me Mmoi, i s ont laiasé leur chere moitié dans Fennui pour se reudre geciaves oux--mdmes aunbes, of ra r Pentna Apslguer auubee. o rpportant pout miséruble, des chevenx gris ot des membres rhumatishs, , L'ls's de Vancourer ainsi que is Colom-- bi¢ sont dnm- totalemens composes de . wiron re ns is dn es hn unseul endroit on un homme pourrait s'gablis et prendre doux centiaer s de terre oultiva-- ble. . Sun« parier du, glimat et des saisons ; c'l.ur:-l trows mois 1& L-,uq.qu"o- «ppelle, me 1 ut 1 Iflz tous les l::;:a.r'- & p-:'v'iabu m somt énormement chéres : ia fleur se vend tro cents piasties les deux cews livies, le reale e« propurtion, . De sorte que les Jé-- c-u d'un -inl'l':. en meitant lout au plu« ix, sont si% piastres r Co-:..i'- vois, il est n-«"'i.la wfih::-- me d'aller an Cariboo, a4 n'a quatre a ging cenls piastres dans sa poohe. _ © _ (0de ne'uae pas ho neal qut~ stent tat 6 on » ne mm« béter, -llh-::-u-."h mai de Pun ne yaérd pas io mai de Peutre... 11 y a qnvitin r:.'_,v"-_'g.1m; im ie is oL cce prces ";r"m;fi---lm vrai; mais il n'est pas donne & tout le monde de s'es procurer. On a exploré is pays & cinquante mulles topt autoor et on n'y trouve plas rien. REHABILIT A T 10 N. (Du Coutrier de 8t. Hyacinthe.) (De n Minerve du 21 courant.) LES CANADIENS p'Ortawa. Opinion de la Presse. trous Hoxort Romictamo. wno arme chinoise ne pénétre pas ; I'le'llthlrlmp vous . recourc® eaques, | an croc--en--jambe. 3 sans coup, s ||ib'mnhte. 'otre _ plume g ofa --he, é.oile le papier ot no pas réumib, courir droit; votre phrase est incer-- a-- | _ Tenex M. Dessaulles, jo crois que is | rotro magae what donadta® i ot la ooaios de notre ville. Pourtant il devrait savoir " ane los ininras annt preférence a Ottawa a obligé bon nombre de ses amis politiques . & . lui dire dc'::.vnd&w' davoir le sang moine to on un ol datk 10 inthrote mbure 4t Mone: ml parait qu'il n'a pas encore tout promis si on peut en j la dernidre .v.a.J.:' d'imimr r": vient de faire tomber de son a'-}mr il devrait savoir " que les injures sont les meilleures raisons de cenx qui n'en ont pas." Tant qu'a vos injures, olles nons font que du bien. _ Plus vous les ré-- péterez, plus vous nous éleverez, car il -M:Ii.uiooums que M. Des saulles faisait tort & toutes les emuses qu'ill embrassait, qmnn rfiwl d." i. ¥ouloir prowner que Mont vrait étre Ia " elpinl:" des Canadas de ©tre 'a " capitale" des préférence f Ottawa a Ce monsieur wulipe en état afin de démontrer que c'est mal. Hormis 'que le dictionnaire mente, M. Des-- saulles a raison (car il veut avoir rai-- son contre le bon sens méme.) Votre réponse & notre protét con-- tre vos avancés est si boiteuse, quelle tombe d'elle--méme. La feuille d'an-- tomne qui tombe de l'arbre dans le moment, descend moins rapidement vers la terre que cette élucubration qui ne peut sortir que d'un cerveaun malade. Il suftit de lire cet article gonr se convaincre que celui qui l'a crit ne posséde Yoint le septieme sens que on dit étre le sens commun. _ Dans une des résolutions proposées, M. Dessaulles critique une phrase gni commence ainsi: " La société t. Jean--Baptiste est en état de prou-- ver, etc." _ Si Sir Edmund Head a dit an Bas-- Canada "vous dtes la race inférieure," en revenge, vous avez renvoy6 cette imnéme appellation aux cavadiens dn Haut. " race inférieure" navait point droit de le faire, & plus forte raison, vous eanadien--francais qui portez un nom honorable, vous neveu du grand homme et du grand patriote qui de meure qu'a quelques pas d'ici, qui sentez couler dans vos veines le m&-- me ung que nous, avez encore bien moins droit de dire que les canadiens du Canada central et d'Ottwa sont lesnu?'ms orvirisks du pays. _ Pon mfavait ditel spirituel, Ccrire ,?p-ifl- platitudes, inventer des mots qui ne se trouvent dans ancun ;wu-luu et encore moins dans MANUEL DE POLTESSE, mais dest Lp--:in M. ie. Rédactent ; slors & g00i tert d'avoir une 'dduch" tion si ée et ml Ne pouvant par une seate pensbe, il veut se fa're remarquer pa> an mot ou du'l'onnT: d pic, erc., vant !d, que le savant rédac-- mm lor:'d. e?nnuller les diction naires qu'ildevrait se : procurer de suite, car & en juger par ces mots qui n'ont pas designification, Fon dirait qu ce savant a vendu les sisns il y a déja queljues années. _ , Ainsi M. Dessaulles, & pic, ne s'ap-- plique r- du tout an sens que yous ronL ;i douner, Puu 'g'a.na lEoima, 542.A pics'em ue I'on parle demdpio? L'on r?;" sexprimer ainsi conmme vous verrcz a la meme page : " La carridre de l'am-- bition aboutit & des ros coupés d picj; lail fant s'arréter, rétrograder, on se }i)récipiter." Vvild une phrase que Pon dirait avoir 6té uilrbe expr%- pour M. Des-- saunlles. Puisque la gramde majorité des membres du Conseil Légis]lati!' vous a donné ce nom que vous portez si hant, n'est--il pas permis & vos com-- patriotes que vous insultez de la ma-- nigre In plus grossigre, en leur disant qu'ils ne sont point civi/isés et mille autres niaiseries que vous tirez de votre propre dictionnaire, ne leur est-- il pas permis, dis--je, an nom de la vérité de protester contre vos avan-- cés 1 Montrez--vous beaucoup de ju-- gement vous, en venant ainsi inaul'ter toute une population ? -- Si Sir Edimund Head dont vous parlez et que vous condamnez, a don-- né aux Bas--Canadiens le nom de Pourquoi donc éviter une expres sion qui est d'usage pour en intro-- duire une qui n'a pas de sens? Un mot nouveau n'est pardonable que quand il est absolumont nécessaire intelligible et onore. Ainsi M. Des-- saulles, je crois qu'il n'est pas néces saire d'étre un écrivain bien distingué ur renverser d'un seul coup cet gghl(nudm de mots ronflants, ces grandes phrases déplacées qui ne veulent rien dire et qui prouvent chez vous un grand manque de jugement, car pour posséder cette faculté de l'Ame qui sert & juger sainement des hommes et des choses i1 ne fant point avoir marquo an front ces deux mots écrits en caractéres inéffagables par vosconfréres du Conseil Législa-- tif: " Insuurev®r poBuc." Ces stiginates 18 M. Dessaulles sont éternels. géan Sontre le gouvarnement, ot que ses -- pridres ufiw".-pnhflfiltclfimn. tendues. La Dircusioncajoite : " Le d-- manche 4 courant, un déeret 1 procka-- M-:-fllbnhwwmhflvn de «4 hothmes, & ion senlement des désertcure de mu d de vraitemblance duvair panicrpé a In 'detnid--e . insorrection Ln Discusione, journal de Turin, dans un --!i-b"\-.-fi:umq:.'u r: :llu':::b. fille d Mh.-.:u. avant de quitter Ilralie poor lo Portagal, a implore ts parton des personnas coupables __Au mérme restaurant . L'on pent se procurer lee homards les plue délici-- eux ot les huitres les plus fraiches. * Nous aprreuonl que l'Hon. M. Dorion a du laisser Québec hier soir pour s'en revenir a Montréal; et que sa resignation, qui était depuis qualquo temps entre. les mains de \'Hon. M. Sicotte, a été définitive-- ment acceptée par Son Excellence. Les journaux nous apprennent ue l'l'u. A, J. &nit&.'lrmnmr- &énénl du Nouveau--Brunswick a aussi tésigné' sur las méme question et poor des motifs analogues & coux qui ont fait agir M. Dorion." 13# On trouve an Restanrant Lafontaine tout ce que l'on peut dé-- sirer en fait de gibiers rotis tels que : perdrix, bécassines, etc. -- Le Pug----jugé par Mathilde au prochain No.-- I%~ Vu la longueur de nos cor-- respondances d'Europe, des Etats-- Unis et du Canada, noussommes for-- cés deremettre au prochain No. plu-- sieurs articles preparés pour celui-- Alexandre MceDonnell sergent dans Partillerie américaine, et firficde Sam. McDonnell Ecr., du Portage-- du--Fort est arrivé en cette ville mar-- di dernier. toire populaire des Pape, pat M. Chantrel aru . il est intitulé : Pz Y3} a Nopotion RF. Le vingt. quatridine et dernier, consaeré tout entier au pontificat de Pie IX; pa-- raitra dans quelques jours. _ La rumeur est courante que les juges de Montréal doivent se réunir afin de décider sur la légalité ou sur le droit que peuvent avoir les avo-- cats de porter la moustache en cour--Il parait que lejuge Aylwin---- prononcez--Est loin--d étre en fa-- veur du monde luid (Mondelet) O Catilina ! (du Pays) quand met tras--tu un terme & tes fureurs (1) Ume phrase du Pays du 23. ®... Et s'il croit (le Journal de Québec) quelques fois, avec dos idées incohérentes, des phrases qui n'ont ni queue ni tote, des expressions qu'l ne comprend pas lui--méine, &rire du styie brillant et profond, il a incon-- tesblement anssi la haute capacité de faire du sophisme & la verge et de la falsification a pleines colonnes. * ... Sa vanité furieuse de parvenu mal léch€ (le rédacteur) et surtout sa grossigreté, proverbiale, ses allures tonjoure brutales et son mangue abso-- Iu du plus ordinaire savoir--vivre dans toutes ses relations publiques ou pri-- vées, etc." * No. 2--On fait venir mussi des tromretw' et des Bugles pour la for-- ce volontaire, lesquelles seront distri-- buées aux troupes, batteries on com-- pagnies, qui a'en ont pas encore re-- ga du gouvernement. Les nouvélits upportées par le Be-- variz nous fout connaitre q: le roi d'Italie a signé un décret accordant une ammistie & toutes les personnes compromises dans les actes et tenta-- tives d'insurrection qui ont en lieu dernigrement dans les vinces du Sud, a l'ut:gion des mmnn de l'arumée roy: Nous lisons dane la dernidre Ga zet'e Officielle Vordrze suivant : * No. 1.--Son Excellence le Con-- mandant en Chef désire faire connai-- tre & la force volontaire.qu'on fait ve-- nir d'Ani'lehmda livres ayant pour titre: "Field Exercise and Evolu-- tions of Infantry." Aussitot qu'ile seront regus ils seront distribués com-- me suit : trois copies & tonte compa-- gnie armée avec les carabines Entield, une copie & tout commundant, officier d*état--major, adjudant et maitre d'ex-- ercises. Vexetmple des §écrivains ::?fx rn?défi wl'.miné lu?l: 'eu-- Les Siciliens ont été désarmés en conséquence de nombreux | assussi-- nats. Important pour les velontaires Perards, yous v W -- wué#uu-vmuq..:t une chaire de professeut afin 'hr-wirflulouvm!! ,,\_" 2us ne nous faites pas peur, M. Dessauiles, dans la * & faites n & tout le a tandis que vous rien & is eri et 4 yue votre style anra tous ses Correspondance d'Europe. Nous lisons dans le Pays de Jeudi: Le vingt--troisi¢me volume de ? Z7 Ainsi, an revoir. Un memmus oe 1a socibré St. J.-- B Paxss, 2 Octobre. ville que vous in-- us pour nous .en: shent d 'btre nrise & Pbyard du.comte André Zamaiski ca'on aen 'ove A 8 1 1t-- Péte:sbourg mm-:mh- .-u:'v,\: reap=dasen, oo ob -- pats6: le grand--duo Constant.a eorait man-- ince do Hobeulohe a 616 relot6 de «es :-eliomdn plh':fl d;'.mh'l';d fi.'.'o Biamark accepte le portefen! mivistre d'Eiat ; le successour de M. Yon der l!ry: nest encon dbsizgné. Ds son 6 4, Ch-m:. forte do son droit et de Parsem:~ meit du pays, poor-- ui avec calmc s tra-- vaux, attzndant la réalisition ce la menace de d.sso!ti0n quon Inisre sa«pendue sar sa teto. M. de Bixmark représente une "-lai- que plus tranchée it pits décisive & Pextb-- near, mais son influence & Pintcricar n'est pas sonveraine; suttout en cas élections ; --i Pon syoute que M. de Roon, le ministre do In gmeir». ganle --on portefenille on com-- prendra de suite in per 6e poliiqn « de n orice misi--terieils eil; '4.:.-- quil faut gjourer, qant J"fiJu ques-- tion, & css chang --movts de personnen-- A cd6 de la gu wtion prussienne il no faat pa= onblier en A le que--tion hes -.q-"..:uloi-n 5 m:u.fln & Pordo do jour. h Sleetions sout & pen pre« um-t-u-w ¢.-'havnmh~umm Ma-- fich do M.mit u.ce ser it . o sonati tuonne! mos--th, qi igne p w qui tuonne! most #h, Pannut om or e . La sitoats n d 210 270 CDemin, puison n y met plus de mlv;tére ;--on ajoute que le Jn@ ral Halleck est si convaincu de la chose, qu'il ne pronouce pas un nom avec plus d'armertume, et qu'en ac-- ceptant le commandement en ohef de Parmée, il a fait Ia condition que Mme Lincoln quitterait Washington pour retourner & son habitation de Springfield dans 1'Tilinois, ob elle est, on effet, exilée da:uio trois se maines. On voyait hier, a la ported'un burean de jonrnal de Nassean s reet, une affiche intitulée: " Afme Lincoin tmfinue;"mi-r'len éaéorr:hh par la police, sar Nordre du vot-- 'IIM':;." 6 Les nouvelies de Berlin sont sujourd'hni dune certaine gravité, L« -....i:?.' est on La situat> n do is Pologn« ne cemble pas levoir a'amdiv ret. Une mesare de rigwenr 'lent d'ltre nrise & Plyatd do comie Andrb disso'ution. M. Von det Heydt a donné sa démission. _ Aprés bien de« hésitations. ie !ea drup_é!;: :+ Comme le Nord no snnrait étro le E- mier & reconvalire cetie indépendance, ['Ea-- tmpe doit enlever la piene d'achoppement en reconmussant les Egnlu-('on&"'h. et le Nord pouria enauite suivre son exemple." Je trouve également dans le T m' un pa-- regraphe qui iniéressera peut--étre. nos lec-- teurs. . 11 s agit de Mme Lincoin, et ces Ii-- gnes sout traduites de Im correspondance new--yorkaise du journal ang lais. land et a Phabileté relative de sos ehu{l, mais ils engagent le Nord & profiter de «es derniers avantages pour conclure une paix houorable. Le'%'nmu ne croit pas ln pmix possible sur une autre base que Findépen-- dance du Sud, et il termine son article par cette phrase significative : 'es preocupations se partagent en Eut d'une maniére & peu prp:- C:a'le. amm'lv'r talie et les Eats--Unis. Jo crois que la ques-- tion de mediation on dintervention fail peu A peu son chemin. La Patrie de Panis, ap-- prend be bonne source que la reconnaiss«n-- ce du Sud, " Sar Ia base des fonds accom-- pris."" sera tres prochainemeut miso sur le ta~ pis, OAngletr:e et la France agissent désor-- mais de concert das.8 cette question. . Les jour= navx anglais rendent rjuniice a la valeat dé-- ployte par Parmée fedéral dans le Mary-- Le Bund, journal de Berne, ordinairement bien renseigné pour tout ce qui a trait a P1-- taiie, aprés avoir signalé le_refroidissement des Italiens & Pégurd de la Fiance, qui tent en sumpend la 3u¢linu romaine, piétead que Ratazz: est décidé & le prendre sur un ton plos baut avec le cabinet des Tuilleri s ; cepeundant, sur Passurauce donuée par 1' Es-- prit pnblicque Pempereur veut en gwir aveo les ésistunces du saint--sigge, In feui'le de Berue entrevoit une solution prochaine et datis un sens f@vorable anx arpiation@ de P'lalie. | Le Bund semble admeitre comme une combinaison assez probable que un donnerait au pape |'lie J: Sarduigne pour rosidence. 11 y a déjd longtempe que cette idge avait et6 mise en avaut ; toutefo's il no serait paw impossible que de guerre insee on se vit forcé d'y revenit. Natureliement, fi;l;:irnr. je ue voue don-- ne lontes ces rumeure et ces commentaites da)'ournnux qoe pour ce ou'its valent. les autres putssances, la pl-e: qui loiest as-- signee par la Providence et par e droit pu-- blic ct vational 'du _monde civili«6. Elle ne saurait pvu-dte'g:nn a uln congrés dip'uma'i-- ne que pour réciamer les cousc mi-- :]uml?u de son unité. Elie .fl.-... un jour que son @urie mest pas uchevée et que Rome ne sera pas effectivement la ca; i-- tale de Pltalie, * Le poutificat sera plus libre. avec P'ap-- pui du royaume d'ltalie que par toute autre combinaison." avivie. Le gerant du journal is D.rito vient d'dire co» damné & dix--hu t mois «e pr son ot 2,000 (--, damende «Nonse & be por-- uuwny.k,-(lngsu de 1'Opin 0 «, «e PEspero, de ia Guzitie de Turin, & trois jou's do amuson ot 50 it. «d'amende pour avoir L'eiat do Garibaldi s'ost amélioré, et sa blessure ost outsée dans uue voic reguli¢: +. M. ie doctour Tronsseau ot is céicbre «hirur-- z"":"h,"buum: les Spezzio pour iui douner »oins. Le bruit, peu unthentigue + probabl« suniout, a'eet répeadu qu v-u:'l--u-l m-'-u'uh-.,-nuu ame d: une long«econférence. Cette visite ll.l"oo;:..-l.-bnpl-_ |p_-'_.- '-p-tmi ie «. iwours prononcé par Garibaidi & Palerme, die um cln-uc"r.' persunne de Pempereus des Frarg de. | . = _ nole suivaute, qui produit a .e ceriaine sou-- sation dan« le monde diplomotique et répond plus on molus -"T iquement anx | asser-- tions du jovinal de M. de Laguéronnigre : * 12 mité de In monarchie nai ona'e no peut étre examinée dans un cong:éw diplo-- mautique, ce méme q@'elle no pent servir de lexte aux solutions chimériques d'écaivains étranzors qut tie +6 it pay & méme de con-- ual.re les véritables condifions de Pesprit public dune nowe pays. ** L'umite e--t indépendante de tous et de tout, parow qu'sl.e ¢--t le principe et in base méeme d nclue mourement nutioual. #* Reconnue par les graudes puiusances, I.. monarchie ilMionn'-nur- ;m:. comme :-t. ih-uqu.-.-rh »h: «n « n-:'l. Conlorti, ministre de _ is justice, et coulie, pas intbrious, son poriefeuil c & N-- cret & catie nouvello, cest que Victor--Emaa-- La presee i allenne est tnnjoors fort La Guzette Uffiziclie de Turin, a pub'ié is du Vari--