LIMIMENT OU vermont ot uexay La meilleur remide encore pour e Rhu-- 24 beres en ," Brulures, ls mal de Tote ot les . maladies dev~Intestins: Oe LE NOUVEAU PAIN KILLER 'ns que d'am«orer lo public qu'il posséde rrbnfimmmhv:u ?:?l :nit lote« qu'il opérait des curea qui ont sequis & juste titre ia confiance de tout le geore hn-- main, mnpm Dr. 8. C.. Ayor & Co., Massachosetts. Prix 25 cents par boite. 25 oct--asm. Cé remdde si-- universeliement . connu #urpasse tout autre par la oure des maox de m- et des affections puimonaires, qu'il est inutile de reproduite ici I'kvidence do sa vorta que pour ces sortes de rhaladies, i1 est sans rival dans le monde civilsé. . Peu d' communautés et méme de familles q-lx: n'aient point fait une expérience personne| de ses ;'5'.... Cmmp:he-n connait Jea fatals résultats do ces maladies ainsi que l'lcmouiu de "'1.' no:'- ne pourons faire plas que d'as«orer lo public u'il posséde kt_-p_oflo_-vmmhv:u qt'fi avait lors-- _ Baume Pectoral d'A fer, poor in prompte goérisson de Rhumes gnid', influza, enroue~ ment, croup, palmonie naissante et pour le soulagement dos malades dans une phase avancée de cette derniére maladie. j oo ie n De nombreuses cures de ces maladies ont 616 opérées par in Yui"m ultérieure de cefte médeciue. Elle stimule vigoureuse-- ment les fenctions vitales, et combat des maladies: gne |'on vrait eroiré an--dela de son ntfle-oilb. {: besoins d peuple ont loagiomps réclamé ce reméde, et nous sommes ceriains qu'il opérera tout le bien qu'il ost an pouvoir de la médécine de faire. On nous a--rapporté beaucoup de cures ac-- complies par ost excelent reméde, et nous référons nos lecteurs & notre almanach amé-- ricain que les agents ci--dessous nommés se font un plaisir de fournir gratis & tous cous qui en foot la demande. -- Dyiz';i;,_ affection da cour, abeds, épi l-p':u umeur sombre, n_hnlgie, éte. Tumeurs cancéreuses, _ © élargement"' ulcéres, carie et exfoliations des os. Jules Y. Getchell de St. Louis, écrit ce gqui suit:--"Jai été, durant des années aftigé d'une affection da foie qui avait com-- piétement détruit ma santé. -- Aucun reméde ordinaire n'ayant En me soulager, mon bien-- aimé Fmaur le Revd. M. Espy m'a conseil-- 16 de faire usage de votre salsepareille en me disant qu?il connlimmnc toutes vos prépa-- rations ne pouvait produire que . du bien. Grace & Dieu, votre salsepareille qui m'a gubri a telloment puriGé mon uuiuqu jo me sens actueliement un nouvel homme. Je me sens rajeuni, otje pourrais jamais, sous ce rapport; dire assez de bien de vous, " ' Dr. 1.°C. Ayer,--Monsieur, j'ai ét6 affii-- g6 pendant longtemps d'un dovleureux rhumatisme chronique contre lequel avaient échoué tous les efforts de Ia medecine. J'ai ea recours & votre salsepareille dont Tine seule boutsille m'a radicalement guéri en deux semaines, de sorie que Je jouis acin-- el'ement d'ane bieu msifioun santé qua~ vant d'avoir 616 aitagué de-- cette maladie. Je peose que cest une merveilleuse méde-- cine. Rhumatisme, goutte affection du foie. . Tudépendance, Preston, Connecticut, juillet 1§59. * Edward 8. Moniow, de Newburry, Ala-- bama, 'cite le cas soivant ;--@J'ui guér: dans ma famille, av moyen de votre sal-- satsepareille une :umeur ovaire qui avait jus-- gu'fa présent défié tous les efforts de la ine-- lecine, mais wprés avoir employé voue re-- méde durant six semaines, il ne restait ancun symiome de la:maladie," Maladies syphilitiques ou mercurielles. Nouvelle--Orléans, 25 aodt 1859. Dr. J, C. Ayer,--Monsieut; je stis, tout-- a--fait da Popinun de votre agent sous le rap-- })orl de l'nsl'gclcilé de votre. salsepareille. 'ai dans ma pratique, opéré maintes et maintes cures dans,les cas de maladies vé-- nériennes. | Lun de mais malades avait des ulcéres au gosier, & la bouche et au nez ; il a été guéri dans cing semainos. Une antre atraque do la meme maladie--a 6té également guétie et nulle trace n'en reste sur son vi-- sage. Uno femme traitée auparavant pour le méme mat par lo mercure, et qui avait 616 la proie d'incroyables souffrances & la suite de Phumidité, a 616 également rendue & la santé en $uelqnfi semaines. Jo sais d'ailleurs que d'aprés la formule que votre agent m'a remise, que votre préparation, sortie de votre laboratoire, ne peut étre quun grand reméde, et je n'ai pas, en conséquen« ce, été étouné de ses heureux résultats. Tout & yous frateruelfement. Alfred B. Tallery. Erésipele ou feu de St. Anivine, Dartre, Caivitie, Maux d'yeux, Hydropisie, &e. Le Dr. Robert M. Preble écrit de Salem, N. Y., en date da 12 septembre 1839 qu'il a guéri radicalement uu cas dhydropisie qui menacait d'itre fatal etce pur le moyen de votre salsepareille. II a opéré 6zalement Ja cure de violent Irésipéle & fortes doses du mémy reméde qui en outre guérit les éruptions orinaires. Bronchite, goltre on gonflement du cou. Bebuton Sloan, de Prospect, Texas, éctit ce qni suit:--« Trois bouteilles de votre sal-- aalsepareille m'ont complétement guéri du hideux gonflement du cou que l'on appelle guitre et dout je souflrals crueilement depuis deux ans. jen ai souffert durant de longues. années. 'huadhhlahnihi-nx mains et 'eox jambes, tantét aticignait Pestomac, la 'Mte xt les oreilles qui n'était plus qu'une seale ':Iu. Toutes les. médecines ordi-- uaires f'ai fait n-r ne m'ont procuré aucan -lui:uu. wout au contraire ly mai empirait.. in, jw --me suis réjoui de voir dans un journal le Gaspai Messonger in pré-- paration de votre salsepareille, et vous con-- uilnné, de réputation j'en ai envoy6 cher-- whar & Cincinnati, j'on wi fait usage, ot j'ai 16 eutidrament guéri. J'ai pris co remede selon volre preseription, en petites doses et urant un mois dans une cnil'l':'n d thé, . Je Ben est gd- que trois bouteilles. -- Une peau liase et blanche a remplacé ia plaie qui cou-- vrait mon corps. . Jo »uis actuellement con-- vaincu que cette terrible maladie est chass6 de mon systéme. Vous pouvez me croire en vous déclarant 'que je vous considére comme I'un des plus grand bienfaiteurs de Phumanité qulwgul;n_ existé. dln-'--u.o.;id.e': et je suis avec reconnaissance votre dévous seiviteur. votre salsspareilie '."W noi. : Une mnsdio mfoiieme n Bfam We eas io n nenapce on tm | OM mum;nm ""'"-'i::---nu.r-d-.uuln Oakiand, Indiana, 6 Juin 1859, J. C. Aysr & Co., _ Je me fais un devoir de reconnaitre ce que Pour purifier le sang, et pour ja prompte Redige par un Comite de Colleborateurs: G. V. LARIMER, M. D Courtier J. FREAM ' Ee A m Nn' thok + Pop ty snnterie JOURNAL PUBLIE DANS LBSs INTERETSFRANCO--CANDAIENS DU CANADA CENTRAL «B bdas pir tds pationt®, oi tous en ont ob-- :n'- S e résultats. "DEEO.':;;::&, "l: on ; sambin lbelarbe, Exeter, Me., 30 septembre. w«nim que pendant les deux MQW Pasage du Baume de de ier Saurage du Dr. Wistar, pour i. Maladic des Pournons, 6t a ma connaissance, plusienrs bouteilles ont Li uiletEemIce, plusteors roux de décldfr qus j'ai fait vsage des Amers Oxig@nés dans ma pratique pendant :-lm;; dernidres l:;n:u. Tr le I'r;itl.:rnl la ie, la débilité genérale ; 'lndi-- sm'rlpu.'lfimom du Foie, et j'en m enu les rhanltats les plus ratisGusants. J'exorte bien cordialement cear qni souffrent de cette terrible maladie d faire usage de cotte médecine précieuse. Cen_ remddes produisent Peffet qu'omen at-- tend. . Is soulagent coux qui -ov}um bloi= gnent la maladie, rappelient & Ja santé, pro-- eorant ainsi aux malades et aux affligés Ta consolation et le eomifort. Clyde, comté de Wayne, N. Y. 10 mars 1857 '1"_. S. W. Fowle & Cie :, Je suis heo-- Powr #ubrir PAsthme, PAcidité on le Brize ment destomac i1 faut faire usage des tion, il fant faire usage des _ ___ _ _ Banme de Cerister Sauvngeda Dr. Wistar Pour guérit PAamthe, 1/nd.gestion, 1| (nut faire usage des AMERS OXICENES. TRC TT Nnb Reds h c diea mtc cAdia d il fant faire usage du 0 Banme de Oéflsler Sanvage du Dr. Wistar; Pour guérir la Touz crizide} Ia Grippe on Ia maladie des Branches, i faut faire usage du Banme de Cerisier Seuvage du Dro Wistary Pour :r_ritn'h prédisposition a la Consomp-- FeahlgevP sat hh snihcittier Guérissent Ulrritation de la Lusite et des Amycdales. -- LE8 PASTILLEs PULMONaikes pe prvan Soulagent les maladies ci--desus dans I'os-- pace de dix minutes. | ies PasTiLes PuimoNatr®s px sayax Sont un bieufait pour toutes les classes et toutes les constitution. Les PaSTILLES PULMOKAIREs pe BayaAx Se recomandent aux Chanteurs et Orateurs. uks PasTILLES PULMONAIRES p® Brvax Sont faciles et agréables & prendre. Lks PasTiLLes PPLMoXAirs be Bhyan .. Fout plus que soulager, elles guérissent promptement pour toujours. LES PASTILLEs PULMONAIREs pE BRyAX Sont garauties devoir donner sausfaction & tout le monde. PaSTILLES PULMONAIRES pE BRyAN Toute personne devrait avoir une boite des PASTILLEs PULMONAIREs DE BR¥AN Tout voyageur devrait avoir une boite des PasTILLEs PVLMANAIRES DE mrayan dans sa poche. f Pour une boite des | PASTILLES PULMoNAIREs D »RYAN Personnes no refusera de payer Vingt--cing cents. JOS. MOSES, mlrpnM-ira Rochester, N. Y. -- A vendre Montréxl, &n Lysan, Savao® t Cie., par Cartcn, Kenay Cie., et par Lamrrovon et Campaeic. .19 mars, dmn--135 our gubrir un Rhume on ine Tou.r sévéres LES PASTILLES PULMONAIRES DE BRYAN Guérissent de |'Asthme, des Bronches'et do I*Oppressious. Lks PaSTILLEs PULMONAIREs px Bxvan Guérissent le Crachement de sang et les Douleurs de Poitrine. LEs PASTILLES PULMONAIRE oe Bryas Guérissent les comencement de Consomption et les Maladies du Poumon. Cetre Mebrcin® a ere Decovverte ax 1737, et et lepremier article de ce genrequi ait jumcis été préscnté sous le nom de " pas-- TILLE® PDLMoNaieRs,® soit dana ce pays ou ailleurs ; toutcs les autres pastilles pulmo-- naire sont des contrefugons. Les véritables se reconnaissent d la signuture de BRY AN gqui est apposée sur chague PASTILLE. trs PASTTLLEs POLMONAIRES DE n¥A Guérissent les Rhumes de Gorge et do Cer-- veau,les Maux de Gorge et les Enrouements. GRANDS REMEDES ! LESPASTILLES PULMONAIRES Soulagement en Dix Minutes: DE BRYAN. 0. GIROUX, J. MUSSON, & Cic., J BOWLES, J. H. MARSH, J.'S. BOWEN J. E. BURKE et 8. STURTON. 9 fév. 1861. 107--12m. ADTS: _ 0d que les persounes qui désirent en faire Pessai ue courent auoun ?im.ua, nous antorisons tous nos Agepts .a remettre aux achetours leur argent A£ml le cas ou ils uen seraient pas satisfaits. _ Nous donnons une grandg boutcille pour 30 sous, et nous la garantissons, J. M. RENRY & FILS, Waterbury, Vi. Et 30, rue Saint--Henry, vis--&--vis 'Ainé-- rican House. We sc 2 en y ies nous avous vendu des remédus de cette sorie depuis plusieurs années, et nous avons suivi leurs 'E"Ii nous avons fait Pessai de cet article, et y avony apporté quelques change-- ments, puis essay6 ensuite, et nous sommes certaine que cest le meilieur reméde qui puisse étre fait. -- Nous n'avons pas, Pinten-- ton de faire & notre reméde une réputation wo dbpens des @utres, mais nous demandons seulement 21-'011 en fasse Dessai, et s'il est trouvé préférable & tout antre article de ce genre, c:!pbyu:la de préférence & tout NO oo 3 Seep Cmm PVAE 7 RNDMRTOT du nolre longtemps aprés u:u"x- résolu de le soumettré au pumle ; nous avons consulié un 'nnd:ruh. de médecins éminents, et Nous a'avons que c'est une tentative temé-- mire que de tenter Pintroduction d'un nou-- umh-tul-dhmlflclhn- leur dans un ~moment on 1e est telle-- meuk "'J"" tant de n--':n de ceite espéce ; el nous avous retardé Pintroduction LES PASTILLES PULMoNaIREs Di BRYAN AMERS OXICENES. Votre tout dévout A Vendre & Québec, chez E. Bovorm, Méretin & Exetor Corner. J. £. Switu, M. D. Montréal, C. E. afest épargné. poor.donner in sausfuction Ja plos entiére _ M.J. B. HUSSON, a "honneor dofftir «es plus sincéres remerciments pour Feacoum-- gemtent Tibbral %n'il a rego de ses amis, ot du public, W.)l es trois annibes qo viennent nh-'.onu:;', t il prend la liberté do lear angoncer qu'il eat, comme pat le parsé, tow» jours prdt a servic h-dz-hh NOCEs, fim ou sonpers de soirtes, Ses servants sont des plos attentife 6t tion I! a obtenn la MEDAILLE D'OR de Plnstitut Américain et des prix partont on i| a 616 exposé. Pout des ;i-pm-iln ou des renseignements & ce sujet, s'udiosser & !a plas économique et la F'on connaisse. int enté. . l a'adopte & tous les elimats et & tons les pay s, atteada qu'il n'est ra exposé & étre «dérangé spar le froid, et qu'il extrait le le Gaz de toutes les substances qui le conti-- ennent, comme Ia Scieure de bois, la Résine, la Houille, la isso, les Os, 1'Huile, le Pain de suif on v.F::;r-iuo-. Propert, © LA LUMIERE ARTIFICIELLE CET appareil (dont un modéle fonctionne tous les jours au No. 142, rue Craig, & Mon-- tréal.) --«'adopte trés rapidement dans Jes Erablissements Privés et Public®, comme on peat / le ¥oir par les certificats et articles de journaux en la possession du Soussizné. 80US LE PLUS COURT DELAI -- Cest l:i[;l;-;t;ni.é' Gaz le ';;l;-'-;'m;l-. le plus #dr et le plus effectif qui ait encore 616 int enté. . II a'adopte & tous les olimats et & Montréal, 8 mare 1961 BREVETE POUR LE CANADA LE 10 Décembre, 1858. Breveté aussi en Angleterre, anx Etats--Unis et en France. Pour les Muaisons privées, les Magasins, les Manufactures, ls Moulins d Scie, les Phares, les Hutels, les Colléges, les Villages et les Villes. 0. GIRQHX. J. MUSSON & Cie., J BOWEN, J. E. BURKE, J. H. MAR J. BOWLES et S. STURTON. » 9 fév. 1861. 106 12m. E. BEAUMANN, Agent pour le Bas--Canada. Rue Craig No. 142, chez M Gartu Montréal 16 Février 1858. Rappelez--vous que PElixir garant, et signé de mon noin I1 y a sur le marché un petit Elixir eontre-- fait fabriqué par Juspor Curtis, de Saint--Al~ bans, mais il mest pas signé de la main de N. H. Downs, il porte J. Curtis, & Penere rouge. . Cest une contrefagon, on pout faci-- lement le reconnnitre au signe que nous venons d'indiqner, et par le fait qu'il est warque 374 et 75 cents la bouteille. . Natu-- cellement, le dit Curtis ose pas: signer le nom de N. H. Dows, parce que ce serait un fauy. GaRE A LA CONTREFACON DU JAS-- POR CURTIS ! BONAVENTOR MALL, L'APPAREIL AUBIN Le priz de cet article est de 50 cents a $1 la bouteille, et pour.les bouteilles 2 dessai 25 cents. II n'y a que depuis quelques mois seule-- ment que tous avons adopté les bouteilles dessai, et _ nous Pavons fuit afin que vous puissiez essayer cet excelleut reméde a peo de fiais. Si vous voulez essayer 1'Elixir de N. H. Downs, et si on ne le vend pas dans votre tocalit6, priez votre Droguiste ou votre mar-- ohand den demander une petite provis'on a mes Agents, J. M. Henry & fils, Water-- bury, V1. et n 30 rue Sain!-finnri, Montrealy ou (L M. S. Burt & Cie., Comnhill, Boston, Mass, ou de C. W. Arwell, Porland, Maine, on de Lyman, Suvage & Cis. Mostcéal, Ca~ nada, on de Barnes & Park, 13, Rangée du Park, New--York, on des prineipanx Dro-- guiste (en gros). de la Nouvelle--Angleterre, New--York ou le Canada. . Iis vous fourni-- ront des circulairs a demande. _ N. H. DOWNS. BOUTEILLE D'ES§A1, 25 L'EN'iS' w vos amis et connmirsances ; et rappelez vous que, quand vous trouverez un médica-- ment qui remplit tout ce que disent ses pro-- pribtaires, il est dans votre intérét de ne jr-- mais le changer, pous ce qui peut étre infé-- 6AE POP NY en Avediehoinp tb a; ts * mt ~"._ cine s'est vendug dans tonie in Nou-- vellp--Angleterre, pendant plus Je troute ans, et d toujours 616 garantie comme --dounant une entice salisfachion & weux qui en ont fait usage ; nous ne »conbmissous pam un sout cas 00 les gens aient &6 mécontents et aient redemand6 leut ageat. Noug garantissons de plus quewi, wprés en avoir fni?uq.. une persoune veut qu'on lw. rende son argen!, elle o's gu'd le demander aux Agents ou Propriétaires qui s'empresseiont de ta satis-- faire. Que dire de pius ? Vous faut--il un grand almanach rempli de certifivais que personne ne cioie? S'il youy faut quelque chose de plus gue cela, demundez & vos voisins qui ont fuit usage de ce médicament, et ils vous diront qu?ti est le meiliour remé-- de contre la TOJX. is RHUME, les FLU-- XIONS, PASTHME et toutes les Maladies de la GORGE, de la POITRINE, et des POUMONS. maladies qui touteg tendent & In CONSOMPTION, Auhetez: le, et a'il vous ontente, veuillez en retont, le recommander Lo: seal Baume vé:itable ost celui qui m'-hit sur Penveloppe ia signature--de I. o Sera W. Fovu'vaf'i;:c Boston, p:pr: mires. . A vendre , on grom détail, par JOMN MUSSON, JOSEPH BOW -- I.I'S.l':-o ARDOUIN.. ' 8jaov. 1861. VIVE LE VIEUX REMEDE OU VERMONT CONTRE LA TOUK. Elixir Balzamique Vegetal N OUS dissons ay publit que cette méde-- Gaz d'Eclairage, B HUSSON, A Vendre i Québec chez MONTREAL POUR LE plus agréable que véritable est & In plume. MARSH, (b "'MM maks ne 3'..45."'.-70)'";'..) « Vorla done qni est bien.... Maintenant, regardez--moi bien en face, mon compere Gillot, de Tours en Tourame. C# que je vais vous fire est pour votre salut. Allez vers mon ami Jeanmm, puieque Clest yorre envia, mais souvenez--vous de ne lai rien demandet qui swit contre le devoir d'un chrétien on Phonneur d'an Breton, ear il vous casserait les deux bras, les deus jambes et Ja 1éto. Tenez, jo vous préte mon ro-- waire. . 1 le conmmit biem, par mon saint pa-- trou 1 Vous l0 lui montrerez, et vous ini direz : "Je viens de Ja part do viewx Brano, "* qui conte de «i bonnes aventares !" ----Je n'y manguerai pas, répliqua Gillot, @n recevant.le rosure & grains d'ebone ; grand merci, mo» cher frére, et an revoir ! _ «-- An !l:nlr i k n Gillot se dirigea vers ln porte et sortit. "Mold1 a'bcria Bruno en les«ppelant ; _ un peu, mmon com-- z_""?'tu""..s& in aite" ds Phistowe. ds joueur de fidte du cousin de in __-- Maitre Olivier la Dain y pourvoira, jo Yous To promicts. chansiée Oui«da 1 cest pourtant plax difficile que de créer un cheralier: elies sont toutes prises. _ -- Je demande qne, si faire se peut, on fmeite ma cellule an rez«de--chaussi0. En bas, on trouve plus de monde i qui parier, et quntquc je sous naturellement taciturne.... _---- Vous aurez use cellule au rez--de-- _«~ Et que demandez--vous pour priz de ce service I Peru dans in 86 pére. _ lez--¥ous in'ucerbditer, comme votre. ami et compagnon, auprés de {'homme d'armes Jeaunin t Frera Bruno bésita un instant. #* Apiés. tout, P-nn-l i1 tout hant" (car penser tout bas, Cest Perdrs une bonine oc-- casion de jouer de la langoe), i): no peut en arviver de mal & mon ami Jeannin. E d ici que M. le Dauphin futar et Mine Aune de Bretagne, sa femme, quiest & naitre, arri-- vent fi Page de rai--on, il coulera bien de -- Ecoutez, intefrumpit gravement Piotre Gillot, je passerais 1¥ deux semaines & vour admiter! Je me connais ! Et jo serais chai6, voyez--vous. . Jo faix done effort sur :Iwi-mlno,. elje me prive du resie. . You-- T I ues lnriel -- Et de légérete, mou compére ! _A six cents pieds an--dessus' du sol! Cest Ia hauteor de ma cellule. -- De rlu on plus ingénienxet spiituel ! --H6! bé! quand on sy met, voyez~ vous !... Cela me fait souvenit d'un bon mot qui m'échappa en Pannée de ln mort du feu roiy Pavant--veille de la « hfkndeleur. -- Don-- daraine, le tailleur dg Villedieu, me disait.... =-- Exceilent frere Bruno ! fit Phomme au sureot bron en lui prenant les deux maius et dun accent péuetré, je n'ouls jamais Am qui vive phusanter aussi agréablement que vous ! Et Pon peut dire que les fondoments de celte grande affaire E'Elul auront . 616 jutés aves beuu,coup de gaiete. _ -- Revenons & notre mariage, j'y consens. Dans troms on quaire mois, Charles de France et Anoe de Bretagne nuitroot. L premigre chose & faire, si j'0e vous donner un conseily Cest de les baptiser. Apics quoi on les mettra en nourrice. . Au bout un an et un jour, on les sevrera. Mme Anne de Bre-- tagne dira papa en langue gaglique, et Mgr. le Daophin de France criera mammam-- mammmam ! Ce sera le bon moment pour les accordailea ! L um en PC TR TET Bruno d'un air bien honnéte. ©Ceat surprenant, dit=il, quel plaisir f'eprouve & nous eviendre discourir ! ~-- Alors done, mon compere, laissez--moi poursuivre.... -- --Je le voudrais, mais je ne suis qu'un pauvre homme, gagé pour obéir.... mon inaitre est sévére. -- Eh bien, mon compere, reprit Bruno, Jail fas plus d'an manage en mavie; Wabord celui de Guinou Murtelousou : du bourg de la Roule, avec Nielle Baroux, ma niéce & la mode de Bétons (qui est dans \Peveché de Renues, derricte Saint--Grégoire) et ce lut une belle noce, assurément, oni ! A telles enseignes que le sire ce la Motte. de Vauvert et de Brcous, donna dix anyes dor & Nielle pour parer sa maison. Cetait ce sire de Bioons qui alla'! en q}{n-rre avso une épée de douze pieds, cm ne Thibaut de Champagne, et qui disait 2 sa {emme, la-- quelie élait une Querhoént do baese Bre-- tazne : ©# Madame ma mie.... * Mais Gillot ue voulait pas savoir ce que le sire de la Motte, de Varvert et de Broons disait & ea fenme, gui était une Querhoént de basse Bretagie. _ 11 jnterrompit le frére n e 1 Lo frére Bruno resta un instaut bouche béante, considérant le parchemin d Pierre Gillot avec de grands yeux ébahis. 4* Ah | uh 1 dit--il enfin, voild ce que j'ap-- pelle_uno boune aventure ... Mais, mon compere Gillot, que parlez--vous de Mine la reine qui est enceinte ? 11 nous faut un Charles et une Anne : vous avez deja Mme Anve de Beapjen ; ctest & la Bretagne de nous fournir un Charles. . Et, par mon salut, Gillot, Mme Marguerite do Foix, femne du due Francois, est enceinte uussi; Cest. elle qui fournira le Charles ! ; ' -- Non pas 1 s'écria Uhomme au surcot brun avee vivacie; mon mulue, ou, pour parler mienx, le maitre de mon majue ; tient & dosner le mile ! _ ** Mon bon frere provonqqstil d'une voix tremblante, une saiute r.:c%u des bords de la Loire a fait une pareille prédiction;... et les noms qu'elle a dits sout sur ce parche-- min bénit. Répétez ceux que prouonca M. Hue; nous verrons si ce sont les memes. -- Charles et Anne," dit frere Bruno. Pietre Gillot ouvrit le parchemin et iut : © Charles et Anne !" X. --Comme quoi frere Bruno trouva des noms maa'-ozmicu pour ie chien du joueur de flite ct différents personnages. -- Un mauage ! répéta Pierre Gillot, dont P&motion était extraondinaire : ety par ha-- sard, a--t--il dit ie nom des fixncés ? ---- Oai bien, il les a dits, répliqua Bruno. Pierre Gijlot ura un petit pam?mmiu de in poohe de son sucot. Les dents de Piarre Gillot claquaient et il était tout bléme. " Aliex toujours 1®® dit--il. E1 il ajouta tout bas : « Les rois sont moriels, jo le sais bien 1' -- Cent vous qui le tou:ez, reprit Biuno, remarquant J.:" trouble aveo ell:.n?:ntnl £ ie contine, i) di e.tout ce vieux Jui:n-nn\ r-,.ofif'.qfi' dienit.... Mais your muvez coupé le fi de mon inspiration . et jo ne sais plus comment le renouer. En un mot comme en miile, M. Hue nons annonga tres--olairement qu'apres le déces de Louis X1, il y aurait du nouveau; que la Bretagne ue serait poiut conquise par 'e fer, mais bien escamotée, qu'un mariage se ferail.... #* Eh bien ! mon compére't s'interrom pit Bruno, quavez--vous done ? " . Feuilleton dn Courtier d'Ottawe. L'HOMME PE rER. £itteraturre. ranutes eammos. IX.--Chartes et Anne -- (Swite.) Je veus bien, moe comn= _ Bes beanx yeux baisacs avaient ..:.a. q-pal-p-p.:'n. llhrpl,' -; » nd un ra a it RuMits Tabee, on royah biew poote avait plewi6. dinterroger son petit cavor. Navait--clle pas 616 blevbe avec Aubry ? Quai done eit~ elle aimé, sinon Ini, son compagnon d'en--* fance, son frere, son seignear ? Mai«, depuia hier, olle avait appris_ bien des choser. Eile avait apprin gn'Aubry ¢tait le fiancé de sa belle counine, ':nhdc Maurever. _ Elle avait appris que Mme Poine c--aignait ea fen'tre onverte, sa fend-- tre & elle, Jeannine. . Hélas ! bélas 1 swit= on bien in route que fait ie car avant que Feaprit a'éveille ? A son insa Jeannine avait . puiegu'eNe sonffrait anjourd" hi {l y avait deus énormos chftaigniers dont les troncs jumeaux so reliaient par on bane de movcse. . Jeannine était assise sut is bane. Messire Aubry se tenait debout de-- vant elle, les maina jointes ot les larmes aux yenx. -- -- C'ctaient deox enfants, Aubry plas enfant que Jeannine. lis étaient beaux et bons, . Jeannine di-- »ait vrai, la pmuvre fille. Hier, elle ne sa-- vait pas -- Oe e Hier, elle ne prenait pas méme sonei pais ~ To ne m'aimes done plus, Jeannine ? -- Heélas ! messire Aubry, je voudrais bict ne plos vous aimer 1' ~-- Eh bien | messire, aujourd'hui la noble dame de Ke-%lriou, ma mailresse chérie et respectée, m'a fait voir que je me from= nine ? !ant, etil me semblait que ;c puuvuilvn;r;n Iaute deviser avee vous.... -- Eh bien! Jeannine. ma balls Taan. --_ Mais il faisait frain sous les graics arbres, dont le« bougue:s s'étageaient sur in rampe nord--est de la montagne, et descendaient en maxzes ondulantes et confuses jusqu'aux premiers chaumes du marais. Lu / fo:ét était déserta. _A peine satsis«ait--on dan« le lointain les notes, perdues de quelqun com-- plainte bretonne, Inissant tomber lenicineat In mélodie somnifére de ses cent cinguante couplets. . ** Messire, disait une voix bien douce sous In feniilée, ot Ia douce vorx tremblait F messire, Cest la dernigre fois que je. viens A votre rendez--vous. Hier j'&iais uno en-- MDbali/Geratalh mt ie Le soleil brilait la pelouse maigre de la plate--forme du Roz. -- Les bestiaux rumi-- naient & Pétable. . Aucune figure ne se mon-- trait aux fendtres fermées du manoit. 2! se Irappa le frout en homme qui ac-- couche d'une idee. © Saint--Dieu ! @écria--t--i1, pourquoi ne lea hlpn-c-rlis-lje pas moi--méme ? -- Voyons ! j'appellerai le ministre En uerrand, la fa-- vorite Mme Flenr--d'Epine, fa cousin Artus, Inzfluuur de flte Jeauno Pierre, et le chien Médor.... Cortainement les Macédoniens, hommes et betes, n'avaient pas de plus bemix nome que cela 1. 11 se frappa le couche d'une idee. Et il ajouta en forme de résumé final : " Un 3, un 4, un 0.... Phillippe, 10i--de Macedoine, pere: dAlexandre le Grand.... sou ministre (pas de nom encore, comme cest incomplet!), Ja favorite du ministre (de nom pus davantage 1), le cousin de favorite (dans de pays--ld il« n'avaient peut~ etre pas de nom !), le jouent de flte...."" HExoonioont I Les soudards centinuaient de s lisiére des gréves. "* Cost beal, peosa frére Bruno, piquer une épingle dans la manche Iroc, afin de songor & jui demander du chien, quand il me rapportera i Les soudards suivaient & peu prés la méme direction que le bon compere Gillot ; mais ce dernier n'ctait dvidemment pas en lour compagnie. 11 pmasa lo Couesnon & gue entrer dans les terres, sous Suint--Jean, A qua'ro on cing cents pas, i gauche de celto troupe, un homme. chevauchait tout sonl sur un bidet de bien humble apparence, 1 portait une casquete dont i« visicre des. cendait sur ses yeux, un surcot brun et des chansses coulenr de poussidre. «* Tiens ! tiens ! so dit frére Bruno 3 mon compére Gillot n'a pas perdu' de temps ! Le vorla qui cheming vers le mancir du Roz.... Mais oi vont le« soudards 2 -- Ta no m'aimes SEDTOVIDT Comninthi airtieds Nee us hathit i In greve avee distraction, fut aitité par les brillantes étinceiles jaillissant des casques et des cuirasses d'une troupe -- d'hommes darmes. . Cette troupe sortait da Mont-- Snlnl~h'1iclml et so dirigeait vers lo Coues-- nbdiniessedinns s ET en n e n non, . Elle était composée de soldats du r. de France. _ -- Eh bien ! tais--toi, voila 1"' Frere Biuno haussa les epaules on homme qui ne veut 'ms pousser a bout un adver-- saire trop ardent. En ce moment son regard, qui_ parcourait Newrassesealisn in coadnl 1 e m en en Sn | l vint staccouder contre Pappui de sa pe-- tite fendire. Mais il gardait (L la rancume, et le premier venu aurair pa voir qu'il avait quelque chose sur le caur, | _ 4 %ng fois pour toutes, dit--il, apres un si~ lence trés court, mets plus . de modération dune tes paroles ! 8e facher comne ce'a tout rouge des les Prelniam mots, Cext da mort des discussions ! Quanive--t--il ? .On est obligé de o taire, alin do n'en pas venir & des extréemités tovjour#[Achouses. L'habit que nous portons commande une grande ré-- Serve.... 'Ffi n'es pas méchant an fordy mais tu es inconsiderd.... * -- Allons, vas--tu nous precher un sermon d'une heure ! * Smss mences ! ~-- Sije veuy recominencer, ioi -- Nais--tu ce que jo ferai? jo ies oo Bruno fit en méme temps un geste de diguité, comme pour meltre fin i querelle iwopportune et malseante. tut de part et dautre. Le fait est c semblnbles discussions dégénérent ; eu luttes ucharnéesy et que, sans sa l prudence, frére Bruno se seruit expust pnfll('le lui--méme aux chevenx, --~ Cost toi qui as commencé ! -- Bon ! bon ! moi, je ten préviens, jo ne me dispute pas sur ce to-- l8 1" -- Mais tu ne to ooni"ru- done jamais t s'interrompit--il avee colore. -- Me cornige: de quui ? -- Tu sais bien ce queje veux dire 1... -- Mais non ! -- Voyoun ! ne mens pas au moins { =-- Comme. t ! vieux coquin, mentit ! ---- Encore des gios muts ! | Mu Muis le compére Gillot était trop . loin déjd cette fois. i'rdro Brumo ne sut pas lo nom du chien. -- Voild comme une aventure perd | la moitié de son prix ! grommeia--t--il en ren-- trant duns sa ceilule; j'aurais dd lui de-- mander cela avaut de lui donner mon ro-- saire. Eh bien ! = Dites--doue ! lui cria frere Br Trogue Pompie, abrege par Justin, d'bglisg T ° -- Nou pas, que je sache. =-- Et le nom du chien, vous uverz de me le dire...."" ---- $40 avant Jésus--Christ, mon frdre. ~-- Biew, bien ! cela suffit ; un 8, un 4 et un 0.... meroi !" Giflot de--cendit les p®mi¢res marches de Pescalior. maliresse du mi Jo en fais juge ! To voild qui recom~ Wa doine. Jeavniue, ma bello Jean lui crin frere Bruno, co abrege par Justin, élait--il istre du roi Philippe de rapportera mon Bruno le vit le village de de suivre la ate plein l';" d veite ite. . On se est que de ent parfois sa lvunble hier, jo vais de mon le: nom w dirai oublié ne se promdne pas encore dans les bois et nows avons do temps devant nous...."" Le siffet, pointu comme une aiguille, lan-- ga l0 refrain ai cooumu : *J¢ ten Hok rel Bentseé., i --La! I! voici bien les. amoureur ! Vous étes si accouturné de songer & votre p:zhh-uu, messire Aubry, rv- voyez partout das angos !.... Mais Jeannine _ Non pas, non pas, messire! Vous allez, vous eftez, m:i n"ul: lo.n'( cela est bm; fait et finira, n it a Di comine i| faut !... Qaand Jeannine, ma E:n'ulllo.m d'Age h nimer, j'espére qu'il se trouvera nussi quelque vairiaut homres d'armes pour Jn servir ot demander #a muin... Elle mest pas mal venue, ma petite Jeaunine, n'est-- ce par ? -- o Offa "Jo vais.... baibutia--t--il, j'ene ; est--il dé-- lend«; :- chercher Pombre quand il fan grand solel Aubry qui ,;lreml godt aux promenadas so-- Inuiru'? ertndiea 1 nous verrons gravé brentot aar 1'6corce dex hétres le jol: nom de Borthe de Maurever 1"" Aubry demeurait devant Ini tont déconto-- nanée. 1 hi c uid hsn oo tout fut inutile. . A bout darguments, i1 se mit & genoux sur la mousse. .A cet instant, le siffiet fantastique jeta un appel aigu et entonna Pair 'de ?'ccuyer Ronan de Prerre-- fonds, qui tua sa fille: Yolauda et le gentil Ovivier, dans ln forét d'Alengon : * Ronan ceignit ra Ionglm ¢pbe Et mit gon chapel & Penvers, Criant & tort et & travers : Vites--vous ma fi.le échappée 1..." Jeannine comprit et sesquiva, légére comme une bicho. Au bout de quelques secondes, elle avait dispura derriéro lew pousses drues des chenes ot des ehitai~ gniers. . Aubry fit machinalement quelques pour s'loigner du lieu d rendez--vous. fn':. trouva face & face aveo le bon Jeannin. Celvi--ci navait pr}in}l;fi;;:q ;q;::l:c;: vers st n'avait garde de chercher sa fille bchappée. _ 1 y avait deux grosses larmes sur les joues de la prauvre Jeannine. . Aubry la pria et In,nnppliu. de changer de résolution, mais -- Non, pas au revoir ! répéta Jean..ine, mn grand"mere Fanchon Lo Prio! habite Ia ville de Dol ; je vais demander, das ce soir A Mme Reine, la rnrmiuion de quitter «a maison pour aller demeureraveo ma grand'-- mére. . Je prierai Dieu gour vous, messire Aubry.... et pour Berthe, votre cousine.... afin qu'elle vous aime et que yous soyez bien heureux 1" Messire Aubry devint ples Nnige qa'ane On put entondro comme un éoho étouffé de ce petit rive strident et se que nous avons «cja oi plusieurs foin. . Puis le siflet acheva Ia premi¢re strophe do la ballade : @* Fillette, va cueillit les flours, Laubépine et la marjolaine ; La chitelaine Répondit : Meurs !"* Aubry et Jeannine savaient tous detx Ja poésie do la bailade. Pour eux, le siffiet parlit. Jeaunine rajusta son voile et se leva. _« Adieu, Messire Aubry ! dit--elle. Quoi! pas méme .au revoir | fit le joune homme avee tristesse. --Quand jo lui dirai qu?il s'agit da bon-- heur de ma vie...." Le sifflet chanta la ballado du Huelgoat : ©* Jouvenceau gfllo & figro suzoraino. Disait je Paime, 6 ma meére, ot jo meurs ! Que repondit la chteluine 7...."" "Cest le nain maudit ! s'cria Aubry en coldre. Aubry voulut baiser sa main. . Elle la re-- tira dovcement. j (* Maisje no suis qu'une vassale, repril-- elle ; je ne puis pas dovenir votre femme. -- lluulquui vela? se récria Aubr{, mon pere est murt, je suis chef do ma maison..., -- Je no puis pas, interrompit la jeune fille, parce que je uo veux pas susciter un fils contre su inere. -- Ma mere consentira.... -- Jamais ! prononga Jeannine en secouant la téte tristement. mon maltre et mou seigncur, car jo vous aime...." _ -- Ecoutez--moi vous ineme, Messire Au-- bry, interrompit Ja joune fille. dout la voix élut tremblante et basso, je no veux pas rester longtemps avee yous desormais, et. il faut que yous lisiez wu fond de mon cour. Je suis venue pour cela, ien que pour cela ! Si jétmis une noble demoiselle, jo vyous di-- rais: . Je suis & vous ; npres Dieu, vous étes prie 1. _ ---- Sur:mon honneur, a'écria lo "onnu homme, je u'uimerai jamais que vous 1" Comme Jeannine liait réponire, un petit 'bruit se fit sous la feuillee. En méme \Iempu un aifflet aigre et pergant moduia lo vieil air du pays de Combourg. > . #* Le page dit & la donzelle : + Toujours ! Toujours ! "Il y a quelqu'un dans is, fourré! dit Jeannine eftigyee." Le sifflet se taisait. ** Quelque pMtour xiui passe.... dit Aubry. -- Nom, mon L.. l 1y a qu'un étre au monde pour siffler.minsi 1 -- -.Ecuulcl-mui. Jeannine, jo yous en Le pauvre Aubry resta si triste que Jean~ thine lui rendit bientot sa belie main blan-- che, Mais 06 n'était pas pour capituler. «* Berthe de Maurover est votre cousine; murmura--t--elle ; _ vous . Paimerez _parce qu'elle mérite d'dtre aimée. Elle est belle comme un ange ! s'gcria * Moi, je ne veux pas 1 dit--elle d'un meount résolu, tandis que sa paupigre se baissait et qu'une larme perlait a see lougs cils. Elle n}m:l'nA::b'r'; -l.o:d"l':l'n;nl, puis elle lui retira sa main blanohette. XI es es P e t Oh ! le réve délicioux qui rnu dovant les yeux de Jeannine l t'l'n 'ame, ot heu-- reuso | anvige ! ot bien aimée ! Pourquoi non ? 11 Pedt fait, certes, il I{:Ld:',il.dll n.'lyl.il pas vingt ans. Jeanuine était orgueilleuse un petit ; elle ¢lait coqueite juste ce q:".il faut. croyex--nous, elle était sincére, digne voube, pure comme les anges, et P arderament, * Et si jo veux to faire dame ?" ré Aubry -prél- un silence. . fola ! dit--il gaiement, voilt messire « &oulu-m;I; v-'uln Aubry, 'Opt elle,.il n'y a point au monde dg,, jeune til phla':hllnyni Inollicure guy Books Je 'Maet rever.... l"--ll y a toi, Joannine ! interrompit Au-- > _ -- Ob d moi, dit l-| Gllotte en soutiant, jo ne suls qu'une vassale, messire. -- Elqll jo veus to faire dame ?"" deman-- da Aubry en lut prenant--Ja main. Un incarmat plus vil vint & la joue de la joune fille, Je vous dis qu'elle était boune. Mais on est le oaur dépourvu d'ambition ? répondit point, . = _0 _ _ > Aubry T:. p;--il le main doucement et la contemplait en extase. APa P ied Ell:lbnh.u ses grands yeux huides et no -- 0i ie nain siffie micus gu'un merle. o ow ritiond L... réepéta piouse u ; P.Et: , d6-- | ie ootho, "ix aumve shiétiee poqeeent II 1 s'agit Parracher i souche.... Turgnin avait-- il song6 a cela ? © ¥ a--t--il done de Jn . sous ces belles bowhuhml m& vnl'- Bras Wheler 1 thtn do" sote bas: Rates biew J mo;n"bv-. 1| ---- mont se #. com-- pére lm;.' M-m m prenant y mmfi un peo. Revretan.... Sa 2 W* vour. * a toutg ts P'-l i¥ ...-J.n&L & lii:l'm Pierro Gillot Theha 'incontin@at) in bride ot vida los dtriems, Jeannin donne, gon abe-- vai au palefrenier, mit Jn .& in main en imntli-unhm "m a man-- ger do Roz, a II fit moitre sur in table di¥in et des confitures. tripij Pierre Gillot le considérait tonjours. Et il penisait. y * ¥ a--t--il.done do In: cervalls anus ass dd ndaa' Vl;;--p'mc'"" "-n---"%-- ...Seule-- '-::I:'l, --.';w ll'nu an 'pied do chine. -- Veuillez metire pied &.terre, mon com-- ljugno_n_:'_' dat Jg.u.imj »_'_'!r" bas "C'ont cela! c'est cela ! songent--il en-- core, pendant que sa lévre tombunta se plis-- sait en un sarcastique sourire; om connalt la taupe & «on non,flllid-lp d en poivridre 1 Notre--Dame de Tours! Ces gris et ces giroueties qui ctient ao vent cumme des fmniolc éml mauvaise -;l:;r" de ufitub--- merie ! Crogbavi. sieur t Gorge-- Chande, Prchenctie ot autres lieux. " Cousta du roi, pardisa! An|. monsieur sdint--Michel me roit en aide ! je h}l licherai_ dame Bourgooi¢ie aux trousses | Et si dame Bour-- gooisie fait in rogue, d'autres viendront gui aiguisseront les 5-:1. de Jacqnes Bonhom-- me | h6 ! he ! bé 1 I} se prit & vin-uruu, "Qm vivia verra! C Tlmh coupait avec sa bagoetio les hauts pa rome= patent Péquillibre dune son e Cest toute la sdience de tegner.... T-Dh- 1 les petite sont toujours: los amis da roi ! les homme--ld est connu du due l'm:fi(:, connu de M. Tanneguy, cunnu de tous grands vassaux de gr'ugnnl On le laisse, parce qu'il n'est point gentilhomme, tenir le man-- chon d'une douairiére de petite noblesse et apprendre le métier de casseur de bras & qugique héritier de hobereau, niais comme toute une nichée de buses | Ah ! Pasques-- Dieu ! Pasques--Diou t le mond e estfou | ot lo jour viendnhoi la roture on coldre inu-l; wra quelque bon engin r remplacer oonl: dolqnol compére Trn:n PEtmite, in-- quello besogno va lentement et pénible-- ment & mon gré !"' Jeannin tourna un coude de la foute, et lo manoir da Roz appare aux regards de Pierre Gillot. _ Aubry avait 'profité de I'ufldonbm #'enfoncer .dans la foret. Mais les rvuvlienl végéter tranquilies. Le nom de a belie Borthe de Maurever 'te mienagait point leur écorce. Pierre Gillot, dependant, poursuivait son examen sans mot dire. *+ Voilk done, pensait--il, ee quron fait des braves pons au pays de Bretigne ! Cet $ e e oo dn --Venez done, dit--il, mon compagmon.... Je vais vous conduire au manoir t vous donner lm collation de mon »micux, cur jo sum ce Jo:flnh que vous venez quért." _ ie e e Maitre Pietre Gillot do Tours en Fourai-- ne, valet d'Olivier. le Dain, batbi@t du roi Louis onzieme, fit un eaiut honnéie ct tout plein de décente réserve. Aprés quoi, ii se pril & considerer Jeannin. L'homme d'armes examina le rosmite et le reconnut, 11 prit le choval du voyageur par Jn bride. -- ** Le mancir du Roz est Id, au bout do cette avenue, mon homme, disait Jeanm/a au voyugeur. Jo vous prie, qu'y venez--vous cherober ? ' J'y viens chercher un hommé d'armes nommé Jeannin, natif du bourg dee Quatre-- Salines, en greve. ~ De qualle pait ? --De im part d'un bon religioux qui est son compére, et qui m'a remis s0n Ollrln, afin que f'aie cr%u:u mauprés du dit Jean-- Hls nin ** Mensire, messite | _ dit--il .& P'oreille WAubry qui aavangait pensif et sougious ; nous en verrons bientot de bellos. Mais je suis un homme et ju m'iniéresse & vous ; nayez pas pour 1" Aubry ne put s'empdcher de soutire. Le nain mit sa téte rouge dans une haie, qui gaida bien qugiques cheveux arépus, ut parsa de lflu}u_l'%&. . _ Dans sa surprise, Jeannin ourtit a0e deux mains. Le nain sauta sur 10. gazon et se prit & gambader sur la mousse. / *' Hola! mon raalize ! cria, l pour aller au manoit du Roz, a'il ¥eue glul | chappe T"" dentaddi--t--4f. hy Aulalbry était i tm .::." % & & is in, sur la route de l'l-lyom:r'u'n.b'gnbm-ccg:.m. en ge momentsur un vre mflulm pays avranchain. mu homme--li. tout le long du chemia par o ilh-r- r gogner le manoir du Roz, »I a das r;:mn- @or, non point & ses talons, mais mmieh? ten vstecint oar brededulee ds ul o a'at aux w romitre Jeaunin, si maftre Jeaunin voulait !" Aubry haussa ies gpaules aveo hurieur. © Par le di.ba! tu texpliqueras; cette tois 1 w'écria Jeannin qui Iu{nml- poig-- nols. -- Mon brave umrqm répondit le nain, la lisidte de la t est mf l'vmilq pas, sur la 'droite. Vary. "'n In route de 1'Islemer, ie bonhemme st son mé-- chant bidet 1 Hagher E D Jeanniu, sans ligher Fier& Bras, so diri yers n lisiére du bois, A peine «p-':h"' les deruicts arbres, qu'il apergut, xi bas de la montée, un voy:'ur vétu d}n,nm :ubr:m de drap bruu et doiffe d'une oasquette teau. on face. -- Jo voux dire (que vous vous,e bien .'..'..:':'z."n:.,-mgg;-- J;:.muin lo prit sea bras ot le régarda 1 i 'branche o8 it a'assevait. :ll lumh:wm"lzu:nq.u J im, * cali-- ertaegees pnprgrmpactieg in whg e f ooo y on n trvout 1 o blens methint on camntoies t t |l|w:'ul ::u.u b::'mm':u sa 1 & Phoure te 4 -"&'.'-' veut--tu dire T domanda tu paries topjours en parabolas. . . ., _ e aenions ds gher te d on j t e lPrv- la téie et la bain Pet e3 | Encdtinper o igh omm cNbins wb ioh wani. + ~g mossice Aubry songe & sa t milets in ie t 1ée, Joannin, mon ami1~\/ --Oa laisso.co nain. b'nthuvw le j.m at, bavimig |wo uo t y : <+ ++ P W l-';::':.'. Lul fllll.&.r p -" :':"u:":'fi'.ke -7;- -»E J. G. Charpentier, Imprimenr, "Ho! ho! dit + Fiepie hrgh se Wrominnr To uy «d . uy J 4 Ageg questoue shose qui m'é-- es k