Le Courrier d'Ottawa, 12 Jun 1861, p. 1

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a éte-- o insiie + Atre do-- Jn -nvi(h-n'n 'vient. d*ouvrit & ai--biew" con: ON, OND, ANT IER w 2C WE i 4. BRoWwn fass 22 + usni un choir Stové, on fer ot do y ad'ae yiot on us , pour loure AU®, ainib' ot i4 Olirir ce neo Prits § 1, LE is NOUVEAU PAIN KILLER Brutures, de mal de Tite at los '--.--.:n méme do familles qni .:l-'x--. C:-c chacan I-'~= resaltate de ces maladios sinsi fin.&-.--p:v-:' sesarer U ~ m':d.:-q : hm-'...ri"l.-nh I-.'.1 i KX ' r-.on'nnh-.-.h"u- ie geare ha~ main: mrmntee necramdic d id c main: le Dr. 8.--C. . Ajet & ml-"u-. ye ts 'ousg Prix 25 cents par boite. 25 oot--am. _ Dyspésie, affection d . 'Io:nnmw-o-:.bnnnl"b,n., *pt Dcn--mo--odconlddhum 616 opérées pat in issance ultérieure de m-fla& l'l:mhn.ou'- ";I:'"M"r-w-huma.. 0s son erfloncte. Tos Besoint U people long:emps 'réciamé ce reaidde, et nous "':'-F"l-:-u-bh- *il ost an pouverr de in médécine de faire. On nousa rapporté beaucoup de cures as« com ©xcelent et nous reintiit atients ie eiesetelt on l:a-h qm.- ie z.z::ir'mh l':c." hrd un r ceux qui en fout in demande, i it produire que du bien. rations n vail wre -- rhce & DF," v-n"fl-tp-mm qoi m'a ubri a tellement parifie mon j sens actoellement un m me seus rajmuni, ot ja. pourraie jamais, ,-m'i_- ce ummn,din-nud-rnh-.: nledtes, garle #4 s¥inhenose es oo Jules Y. Getch#ll de St. Lotid, borit ce qui suit:--©Pai éte, durant des antiées allliyé d'une affection du foie qoi avaiteom» pictement deétrust ma sauté. . Aucun remdade ordinaire n'lyu;r me soulager, mon bien-- aimé pasteur ie Revd. M. Eepy m'a conseil-- 16 de laire usage de votre saiseparsille en me 1 disant qu'il connaissait que toutes vos prépa-- pibadirgbassccscd 2 d Co reméde si universeilemont . ecann """"w-'.--u ar~go ot das Jl--hu,p'u ! » : 'ile do reproduirs i6} '&vidence do as nie 46 pour -.-'.. ion, i | can. rival dane monde fi --..---o.nu--am.._. deux semaines, de ._....._-..W.-n ux semaines, de sone que actu« el emeat d'ane bien muflun'nnu gqu'd~ vant d'avoir 616 aitaqué de cette maladie. Jo peuse que Cest une murveillease méde-- cine. J. FREAM. Bsccd aha enE eeriy Baume Pectoral d'A; in prompte w-ab---&,"-:-....... munzfltfi'u-:'n le nlagement maindos pbase mnote de cone derniéte maladie. seule boutsille 'm'a radicalement oo ea en e eee e mt Thomatisme chronique contre lequsl avaiont échou6 tous ins effurts de ia medecine.. J'ai eu recours & votre salsepureille dont une Edward S. Morrow, de Newburry, Ala-- bama, cite le cas suivant j--* J'ai. guér. dans ma famille, au moyen de votre sal-- ealsepareille une tumeur on:zri avait jus-- xfl'flpfiwldflwulu' de in me-- ine, mais aprés avoir employ6 voue re-- méde durant six semaines, il ue restait aucun ' symidme de is maladie." Maladies syphilitiques ou mercurioties. Nouvelle--Orians, 25 aodt 1865, D. 16. Ayu.--"ouiour.r suis, tout= a--fait de Popinon do votre agen lonlllluz- r'ur_t de l'nz::u:ill de rotre salsepareilie. ai dans ma opéré . maintes ot maintex cures ap'u': in cas de maladies vé-- nériennes. . L'un de mais maladés avait des wlcéres au gosier, & la bouche et an nez ; il a ét6 guéri daus cing semminas. Une antre attaque de la meme maladie n 316 égulement guéne et nulle. irace. A'en resta aur son vi-- sage. Une femme traitée aupacavant pour le méme mai par le mercure, et qui avait 616 la proie d'incroyables--souffrances & la anite de Phumndité, a éf6 également rendue & la santé en »emainds. Jo sais dailleurs que d "Is que votre | agent m'a remise, que votre ion, sortie de v::bm_hin, no peot dtre quun rand reméde, et je n'ai pas, on uen~ 5-, ie founs de see beireas ..:."?&'.E I Tout & vous fraterne/iement. 6. v. LARIMEIJ.M. D. llhnumiuu. goutte Al-mc: foie. M g udé e, Preston, ectiout, juiliet rt--a Dr. J. C. Ayer,--Monsicur, j'ai 66 affii~ g6 P'_'_'_,!Jz:g';'p d'-;'d-u-mul rmives art enb\ inflmalt ril ce ies bwacins. Calvities Manx d' H &e. Lo Dr. Robort d Proble uu'": Salem, N. Y., en date da 12 septembre (qu a goéri ndie*ru un cas dhydropisie gui Ts vole reirepmrerfin. It s qpoie Gniemient vot a la eun"fl-: :'m' Irésipéle & fortee doses 'd:n méms v'gmhhi qui en outre gubrit les ione or. Hemmainy oo on gonfomant de cen, buton Si , Texas, ce gni .::r::--??m bouteilles de vutre sal-- #alsepareille m'ont complétement guéri, du hidoux gonflement du cou que Fon w znn ¢t dout jo souffrals crueriement ux ans. é16 outiérement gubri, . d'ai. pris e remede selon votre pn-.nnu-. ::Eudn--n duraot un mois daos une 4 thé. Je nen est pri wois bouteilles. Une peau lmumufl'b'hphhwn-n-- vrait mou corps. . Je suis actuellement con-- ;:inou que celte lon;ch maladie est chassé mon systeme. . Yous vez . me orvite. en vous |'Mclamnl que j-'"'fl conmidér». comme I'un des . plus grand bienfsitoore.de Phumazité qui aieut exiri6 dans .ce sideie, #t ju suis aveo recennaissance ¥otre dévonk se vilous. Js sang, et in :m.u-n&-'m c o :m-*:t---uuhl-.uuh Oakiand, Indiana, 6 Juin 1859, ; ic.h-:g;ibm- ie markes sns ie madee serofuieuse m'ayaut 66 tranmise, j'ea ai. souflert dusant. de longues années. 'h-lullchhhncnuu_.u mains ot aux jambes, tuutét alteignuit '|'estomacy la téte et dlos oreilles qui n'6tait plas qu'une mninte Bot it ht reage m afom movulp naites . hmd foutth oo uccapimie ay »jo . me suis dans un journal io Gaspe! Messeager dn porer oi nerenbeeh m min t ragpey --ony Jeon | h s Alfzed B Erésipéle ou feu de.St. Ante Redigo par un Comitc de Collsberatours. ue toutes vos prépa-- Courrics We \Offama *BANBN £ T: DITDT tG n i «53. o. . s y e t e e f . 4 am a' J <% d'ai: pris ce remede DVAYER ' 4. £« Surtm, M. D ie prtson mmes d mm Baumse dr 4s * Fewsage 4o' 1 Wistor, poor in fi'h-:q ma connaiteunce, plosioam umssc . o PR Smeennntnny nicoeminntt Passer ons t ma connaissunce, bouteitlos ont "hfi-%l.nm-b- tonn.de bone: rhee itats, Arodnketendine t o iene on Tmuhtane Nes 'plus ratisfuisants. imgesee mak mam Feaaele "aeuat t tend. 1i .uil _ s Loul L 2000 gnlon on at-- '-nd. hlh mmw'.h;-{::', ~-H-l'mm=m consolation et ls comtort. '%'fu'm"fl" 10 mars 1887 W. & Cie : Je suis heo-- de dbelurer qus j'ui fait usnge des pronree mt es on de in hflim';m $Mndi-- gesvion ons du Foie, et j'en a1 Can. remides produisent Peffet an'on on at hlf"vivn"nauuum"nhtfn il fant faire--usage do Basese de Oortalee Sauvage dn Dr. Wistar, Pour guérit Is Tous criaide, ia Gri hll:'i' des Branches, i1 hu"l:: Ramme de Corteier anvage dn Dr. Wistar, h.'thm.." A in Consomp h""fl-"d:- ie Pour guéris lmum,.»afi,'!l Tau Hnuq-d. A Algll. ogucnn. Pour wobrie P Asthime, Actlité on lo Brile-- uulmum--pa. * Tt irg> +. ~~" wiromazan } /n h.: en( e JOURNAL PUBLIE DANS LES INTRERETS FRANCO--CANDAIENS DU CANADA CENTRAL Emds t en'y T PAES AT Bavao® et Cie., par Catren, Euy Cie ot par Lamrrovait et Canentul. 308. MOSES, seal propriétai . sea irg N. Y. A v_n'drui fl-mfil. p UEs PasTiLiEe POLMONAIRAEs or Bavayx Sont garanties devoir donner satisfaction &A tout te monde. rattifies roumonames oo anyaw Toute personne devrait avoir une boite des PAsTLLEs PoiMoxaires on navan Tout voysgwur devtait avoir une boite dos t les maladies c:--desns dans l'es-- W pace de dix minutes. Lss PasTiLH® Pormowaines ox mavan Bonlnnh-h'trr toutes les classes et toutes les constitution, _ Le PASTIGLES PuUMonaincs o savay Se recomandent aux Chanteurs et Oratours. Les pastiices Poimoxaimss e parax ' Sont (aciles et agréabies & prendre. LES PABTILLES PULMonairEs oz Bavax Font plus que souiager, elles gubrissont promptement pour toujours. GRANDS REMEDES:! 19 mars, Goérissent 1'Irritation de la Luctio i Amycdales, Gaérissent les Les PASTILLEs PoLMoKaimEs e muvay Guérissent le Crachement de sang ot les -- Douleurs de Poitrine. Guérissont do: 'I' Asthmie. uit jamoie 4é griecnté flu:l"w ailleure ; toutes les au AMERS Oxicenes. LESPASTILLES PULMOY AIRES Boulagement on Dis Mintes. DE BRYAN. rumuits Pocmananuts DE BRAYAX ape on Sald Datit dtonr ons, on nption sembiait 608 Goonte, is effectus e gare com-- Pour une boite des PasTiLe®s PULMonaimes oe BRYa Personnes no refusora de payer _ _\ _ Vimgt--0ing conts, LBS PASTILLEs PULMoNarmzs px BRYAN L# PASTILLEs PorMonaiazs on geure, . t le de :préférence & tout e 3B > u." i désirent e e y -- Aptonsons: -"-'mu--mn sn« achelonts leut . argent duns: ie cas. on ils Un otnin s o, howe ty mane ie pour 30 sous, et nous J. ...lh. 4 . i":n'g-fl-ww',&v!hu ;"Amvo'-' Vatre tout dévond ts PASTILLES PDLMONATRE br mxvan LE PASTILLES Poimonaiazs DE Cerre Mepzome a are Dacovy """!"'y-hmaq ! jamaie 44 préscnié sous ie nom »nnemment 9u'on on fasse Pemsai, et 41 ost troure Apréffeable 4 ienthane avigle do to Nous s'avons clest tentative 16 ""'mo-a-r Pintredection dan vou. | vean #u semede contre ioute dou-- ' | leur dane up... momont oi le pays ost wile-- f '-(lv.h de tunt. de lmt de cetle | eapéos ; of nous avons retardé HPintraduction profmed """,':n uprés avair résolu de te soumetire aa public ; nous avons consulté un grand nembre do médecins éminents, et m-" :-".'" "."é':.' "'ul':'d":n-h. de 'Conire toutas douleus, dos remédes, "----q-h'in o=-"-h= moas pourions: Apporter 'au nétre rfl-wh. i hn.-: toue ; car wous avone sles remédes de cette sorie m'n&hlmmnin lears wous avone fait Persai de cet ; quelques change~ ' o-mlb ot nous sommes @ n'..mp I'i-.::-' 'x( reputarion des kutres, i '#'.Illdnfll senlement gu'on on fasse Pessai, et ##il est A Vendre i. Québec, chez °-°llwx' J. MUSSON, & Cic., 1. 3+ H. MARSH, J.'s. BOWEN; T'fln.; STURTON. 9 for. 1861, 107--12m. ent es comentcement de Consompti '"::ulhdmduhnm. pties Nous s'uvons Médetin & Exster Corner Watkes or mavaN , dos Bronches et de Montréal, C. E. Decovveare zx dm--135 Rochester, t Lymam, BRYAN M. J. B. HUSSON, a I'honneur d'offrir see plus sineéros remereiments pour encoura-- '-uh"r'lt"uuqab--o-b.aln r"-m troin années qui viennent s'écouler, et il prend la liberté de leur -n.ur'nn,mpvh'ud.h- jours prdt & servic I.muh NOCES, itiers on soupers de soi 80U8 LR PLUS CcoURT DELAL | Ses barvants sont des plas attentife 6t rien ::z:o ""hmhl Montréal, 8 mare 1061 * pase "! a obtenn.ia MEDA Plostitat Ambricain et des a 46 axu. Pour ils no de &0 sujet, I:m t Nermbre. igse -- _ | WEwé, mais 4'Evangile. / D'autres 10 Décembre, 1858, voix aimées d penple se firent en-- Preveté aussi en Angleterre, aux | tendre anssi : y harangua alors chez E Uni F les Ottawaks, rame on le fait chez 'tats--Unis et en France. les p.,.up].,; ci¥ece, Il"flA)'l'lt dans les . L moments de réfution, _ Plus de fes-- tn's to ow se Nee Tek Emige t bfons | im pive dasmblées, plus de con-- |M.|') l'l-h)fll trée l'.pl'hm( dans --les *lll, Rans qu Uz'{lt un dl.')lfl'l sur filbh':nm.nu l:riv'- u":uhli.--, eo::: 3 ln reli?on. \" x&:';'ui m'a obligé, peut I» voir e gertificats ot an dit le Pore All . 1669, p. 19), Petd Ailarimian's biccien i | o pay 1RpP C ade io T plus sir ut ie plus effectif qu ait encore 66 instruire." . Par teop l""K"' ré-- | mventé. 1t s'adopte & tous les climats et 4 | sistance & In ils semblnient tong l-r)-. atterda quil nest yu exposé | avoir perdu cette pmibilité des cconrs a ére dérangé par to froid, ot qu* extrait le générenx qui_ avit plusieurs fois h"bbfl-kn".nq-ihronli- t Ara oy h watl ensent, comme in Soienre dn bois, Ia Résine, | ChCZ CUX, €Xxcité fitintive ct Phé-- in Houile, in i les Os, 'Huile, le / roilsine ; mais ils no puvaient se roi-- ] Pain de solf on do graines. Proport. dir contre Pexemp I'nutorité de j LA LUMIERE ArTiFiCIELLE :'e:dml:fil-;. '!e Mf'?fldl}'fi'nd. d'a ; bxonon agreable bor ué ensuite torienx. _ . :'.:':.w.. ue #1 is plos 49 Dien me garde déonloir compa-- | q Il a obtenn.ia MEDAILLE D'OR de|rer la -vgvm humte & ln sagesse Pluntitat Ambricain et des prix pariout ou i1 divine; Dieu me gat d'attribuer a a 416 ':z:-& . la sagease humaine dODttawaks leur ; ':'". m"" des rense1gn6006nts | con vergion _ tardive gependant ---- i1 ' m'est permis de vousppeler ce que z , E. BEAUMANN, nous avons dit, an eonencement de | 4 Agent pout le Bas--Canadt. | cotto Lecture, teucht la q Rue Craig No. 142, chez M Gartu, comparative: des £Plu lnlflu. en Montréal 16 Février 1858. Je veux vous fairt adirer avec quel | fp se doteninnge, -- | tact, i 'f- puis :;I:pn«k::::i, Ce-- | py Ini qui dispose det ntae choi-- J. B. HUSSON; «it u..qjo'r- conforiéint aux di In sitions des peuples individus, | 44 mmumuy uy cce s+),: Dane none na» 10e TT 1 s o o e neetnp ons _ Cest Pappareil & Gaz ie plos simple, in plus »ur ut ie plus effectif qoi ait encore 6t mventé. 1t s'adopte & tous les climats et & tong I-rp. atleudu quil n'est pas exposé a dtve dérangé par io froid, nqu':n'ur-u le io Gaz de toutes l=s sub=iances «9i le conti-- anfiadd. smess ie merll l2 U CET appareil (dont un modéle fonctionne tous les jours an No. 142, rue Cmig, & Mon« tréal.) a'adopte trés rapidement dans los Eiablissements Privés ot Publics, comme on peut le nirr les certificats ot anicles de p-'!:uu: on in possession du Suussigné. E. BEAUMANN, © Agent pout le Bas--Canada. Rue Craig No. 142, chez M Gartn Moatréal 16 Février 1858 BREVETE Pour LE canada is 10 Décembre, 1858, Prevoté aussi en Angleterre, aux Etats--Unis et en France. Pour les Maisons privées, les Ms'rm'm' les Manufactures, les Moulins Scie, Ta Phares. tos Thish: Lo m mt _ BOUTEILLE DESSA1, 25 CENTS, A Vendre & Québec chez 0. GIHOUX' J. MUSSON & Cie., J. $ BOWEN, J, ©. BURKE, 4. H. MARSH, J. BOWLES et 8. STURTON, V'APPARIIL ABBN Rappelez--vous que PEiixir véritable est garanti, ot d..b:?o mon nom, & la plume. I! y a sur le marohé un petit Elixir contre-- fan hbnqn'lp' Juspor Curtis, de Saint--Al-- b'nfi-'u il. n'est pas agn4.de la main de N. H. Dzwn-. il porte J; Cantisy & Pencre d'.-?,.l mlll'nnn it afin que vous s:(umfi.'h essayer cet excelleut n-é?h A peo 9 fév. 1861 Le prix de cet article est de 50 cents a $1 la bouteille, et pour les boutcilles TaN NUT ¥i. et n 30 rue Saint--Henri, Montreal, C » dX Py hos V on ou -- s o me, on de Lyman, . avage & Cio. Mostréal, Ca« nada, on de Bumes & Park, 13, Rungée do Park, New--York, ou des prineipanx Dro-- luicu;on gros) de ln Nouvelle--Argleterre, New--York ou le Canada. . fis vous fourni= rent des ciroutaits & demande. 1 eaing ot 8i on ne le vend pas dans vorre lwoali6, priex votre Dn.-t':vm- mare eband d'en '--nh'"u::'{.i. proviaion & mee Agonts, J. M.CHenry & fils, Water-- Ia CONSOMPTION. Achotes-- le, ot s'il yous .Mm:h-m&hm" ter vos amis "W vuuqu-,qundmunvn-: nm-- ment gui remplit tout ce que disent wes pro-- priéaires, il eat dans votre intérét de ne m« mais le changer, pour ce q-ip-h-hs- neor, ltnn:'v_n_l:c_o'yg P'Elixir de N. li.' Gaz d'Eclairage, U aty <omai hake 24c ic d' whose de plus que cela, demanderz & vos voisins qui ont fait sage de ce médicament, ¢u.n°.'.¢ml'.'n.-n-uu..... ? contre ia TOl %nllwlli.l-l'u:. IONS, PASTHME ot toutes les Maladies z is _GORGE, de it POITRINE, et des MONS.. maladies qui toutes tendent & is nn¥reniibrnine c2 °) U T 1 qed P0 Eues thire. . Que..dire de plus? Vous faut--il un #srand almanach rnn'éi de certificats que mu ne croie ?. 81 vous faut quelque ie nlue cmeiduts 74L it a en Phares, les Hotels, les Colliges les Villages ct les Villes: 4 °... ol Vwfl':'fi-- . dans tonte in Nou -- us de trente {' ' "F'MJ-':uunll:: usage; nous ne un sout 'l"bmmbbuhu:-uuw leur agent. Nous ideons plus quesi, aprés en avoir d..'., use personne veut qu'on hn rende sou argent, le a'w @u'k le domundor anx Agents on Propribtaires qui s'empresseront de Jn satis-- MONTREAL ViIvE LE ViEuX AEmeEDE ou vermont |\OONTRE La ToUX. Satu W. Fowis etCie., Boston, propri feou Nohb Satmost finor LF3 +i thue ARDOUIN. pria dori stt Pevrelopge te sgnate o P Elixir Balzamique Vegetal 8 junv. 1861 OU8 disson« au dessai 26 cents, . POUR LE 106 12m wu au pablic que cette méde~ nom, & 'a plume. N. H. DOWVIIVS. Dieu alors, porbattre en maitre In anperstition et| fonglerie, se ré. r.fil:- p-d-nmg(b'n: un miracle, mais un @@ mirncles écla-- l-mn'wp' Kou wost plu a convertir grands comme la Mm;lt victoire de Tol sera un de ces J ' Ce sage vidard, c'était notre A7-- I se kagouny de \'ttawa (22. 1669, p. 20), | Trop faible prdant sa vie pour Pem-- | P porter sur l}flo'm&éa dont Jn m-'r'qu chanceté laiss dans l'errour les trois | vo tribus des Ottwaks, il secoun les 0# | de prits par ses irniéres paroles et les on porta & se re, on pas & lui-- | oo méme, mais i'EvuurilL P¥ ampras Pz 100 PXCOWOOTT TOTT PVI | thme, dont il seservit -vnnu,ieun- | ment pour la Foy; car il parla & tout |ce grand mondea la verité d'une | voix mourante, mis d'un ton de Ca-- | pitaine, et en teries energiques, leur | declarant qu'il avit vesen Chrestien depuis longtemp: et que mourant Chrétien, iFw teDit asseurs du bon-- heur promis & tos les Croyans ; et qu'eux au contraie, Jlll' ne vouloient pas écouter la parie de Dieu, seroiont tourmentés aprésleur mort paur les Demons, bien ply cruellement sans comparaison, quls ne tourmentent un i::'uoin, qued ils le tieunent| entre leurs mais; qu'au reste il|| mourvit . volontigs dans Nesperance | du Paradis, et qu--s'ils estoient sages, | 1 ils ne différerden pas davantage de | suivre son exomle, Aprés ces pa--| 1 roles qu'il d@nad la Charité de ses 1 (}mqaatrickorl smgen tout de bon & | r soy--mesme, e/npria s'estre confessé | c R'qw 4 qUrg fois, ib rendit son | r me . .. P (Las Peuples 1e déplucent quelquefois " Dieu nexnnoing 'd-:w si bien la derniere ann( de sn vie, que con-- tre sa contume, il se resolut 3'h'¥ver- mner proche de in demenre du Pere Alloéz, sans dotte par un pressenti-- ment de son botheur, afin 'Fulm as sisté en sa dernipre maladio Gt en an mort, par Je Perp qui ne mangua pas & ce paovre vieiflard. Comme il fut Kmt expirer, i} fit son festin d'adieu une grande 'm'mlxléu, qui fut con-- vuuqlug' pour wla de diverses Nu-- tions, .C estoit pour garder leur con-- Ottawa, (H. C.) Werered! matin, 12 Jhin 1861 dn Aetadifitsins i dR nées, n'avoii en aucune demeure stable, mais menant une vie errante su w bois, rodoit tantost 'un tantost de Pautre, en cing ou u'.xvoena lisuds de puis. f n oomP 20. HDr w l o . "W "C6 Vieages des In-- | terminer enticrement la irgunle. diens f:. pour que ces paroles avait| Oe consoil se tint dnni:o automno causée dam lours ccours. de 'année 1868, tandia que les Sau-- Le Missionnaire partait, mais un | teurs ne so déclarérent Juétiem que secident ménagé par in Providence/le 11 Octobre_ 1870 (R. 1670, p. s8 Parréta, 0t 1671, p. 30). _ Dieu voulut dans sa Voici uneanecdote, écouter In bien: | bonté que les Ottawaks fussent r6-- "Cest ce qui est arivé (R. 1668, oomrem&delour initintive a deman-- p. 21) en 4s personne d'un des plus | der les Ouatamis ; a'Il leur accordait considerables de ces Peuples, lequel | la gloire d'@tre convertis les premiers, estant !ll)(" depuis plusieurs an--| I1 voulut de plus que la tribn des Kis: nées, n'avoi en . nucune demeure | kakoumacs, ia tribn du Grand Fleuve, stable, mals--Wmenant. 106 via arvonse se in 109 MHE NC _ _\ Ciciuneanecdote, écouterz--Ia bien : " Cost «s'.qui est ».r'iiré (filflf&, 21) en 4s personne. d'un us &uuidul'lblu: de ces Peuples, l«':uel POTSEVE Cl P un Smd LEZ _ On t lire sur le# visages des In-- diens K"' r que ces les avait "".""'.!9":" Toure pogey." _' on fraj Pautre: * Aprés deux ou trois ans, 8'ils no sont convertis, je les nbandonnerai et Firai ailleurs . .. Vous, je vous aban-- Hown vous dorme. -- *Je vais partir an Sault," ditil, # que les Sau m'y ont ap-- pfil pour entendre |a Borne Nou-- velle. SUJET :-- d'Ottawn ot los ampe ns n o hi Suilé et fin. Oe mépris superbe était le plus lide rempart que Penfer se fAt oon« truit dans le combat spifituel. |___*-- 950000000 WR t + mrsor Fo ced Le co:eg'de ': Nation #'6tant as louez a'y présenta (.l'lm li'*"'é'.'}mo"'?)- +4 * 'l"nR ApS &i;ié'mlh avait dit i ses potres : an ne vous écouté dans un pays, sortez--en (Mat. 10. 14 * I1 prit alors en frappa les semelles Pune contre I'E_t je ne veax. rien par aur #. 1. Obint. Profsseur au College de cotre ville. dOttawa. nming 8c6 sandale« emporter de Messicurs, soyons en . M'lfiwfln]u'.' 'adieu | leur tribu, et en p t con-- | titude d'antres Otf r Na--|saient & euy, Qu r code | voir, Mesdames et | we-- | Yres enfants des boi r:mt dans le sein de 1E d'une | Qu'il est beau de lee e Ca-- / enfants des bois, a' leur | semble des trésors d stien | nir les frores dea 1 irant | les Fils: de I'Eglise bon-- | Jésue, les prédestin j ot | royer--vous qui cou ient | trines huletuntes } ient | larmes silencienses les | devennes modestcspe sans | désormais les esclave tent | mais leurs égnlos? V ent | qui @'Cloigne avee e il fi(?icl qui sourit ';lif nce | et le Martyr des Otta zes, | nard, descendant glo de|de ses enfants qu'il pa-- | Peuple de cette vill ses | porter le nom d'Outs n & |ritier do ln use c asé | cos Hl?UVt!flllmlmfil on / recevoir le frnit du pr _ | waks & Québec. In I'I:»i hant comes d Tis oo nsc 2. @99 9 ils furent ugm* 116 aequirent en un jour Parmée et. In diplomatie, le gon-- vern@ment et les institutions de la France ; ils mid&émt & In gloire du n!gmde*mio I¥1... Les Ottrwaks n'ont 6té anns doute que lon plus betite anfenie J2 i) Wce lae on Cmeott recevoir le frnit du présent des Ottn-- waks & Québec, la I'I:;i, ses cruvres ot ses récompenses { | _ Maintenant, leur disait en 1669 le Pére Marquette, vous no faites plus ' qu'un nvee les Francais, puisque yous vous étes convertis. Est.ce setlement rde cette manitre que les Ottrwaks ont vu I'accomplissement de leur se-- condederiande & Québec, celle davoir dos Francthc.awian mss 3 * x_ 6A OR ®EmD'e des trésors de n grice, deve-- nir les frores dea peuples chrétiens, les Fila de I'Eglise, les héritiers de Jésus, los prédestinés du ciel ! Los Yoyez--yous qui courbent leurs poi-- trines * haletantes Voyez--vous _ les larmes silencienses do ces femmes. esc ns 1 w 2 C IRTT |eeuios ressources !--Tous les ancien | de la Nation de Kiskakoung, s'étant rendus & la chapelle du Pare Allouez, firent 4eur déclaration an_nom de lear tribu, et en présence d'une mul-- titude d'antres Ottrwaks, qui a'nnis-- saient & enx, Qu'il est bean de los voir, Mesdames et Messiours, cas pau-- vres enfants des bois, se grouper enfin dans le sein de I'Eglise CltK:;anel Qu'il est beau de les voir ces pauvres enfants des bois, n'enric'nir tous en-- semble des trésors de In grice, deve-- nir les frores dea peuples chrétiens, los Fils de Eesn las nalnd ces L0 0 ECCE 07 UUT 0O Nig kukoumacs, ia tribu du Grand Fleuve oit Phonneur de se convertir la re-- midro des troismézibus Ounouer Elle se convertit comme N atioft, o deux antres n'eurent pas cette gloifg, Cétait T ans apres la mort dn Pére Ménard (1u'ils firent leur abjuration et cette déclaration fut charmante maie simple . . . Que pouvait--on attendre de pauvres Snuvages réduits & lours | TWS 1 M Les Ottawaks au contraire se con-- vertissent sans qu'ils mient 6té ni Pobjet ni les témoins de miracles, Dien les Inisse pour ainsi dire & eux. mémes ; clest par In sugesse de leurs vieillards, cest dans un conseil qu'ils décident de renoncer & l'idolztrie. ' Voiei leurs résolutions (R. 1669, p. | 19); 10. Abolir les sacrifices qu'l& ' svaient coutume de faire & leurs Gé-- | niess 3. Refuser de se trouver pré-- | sent ouxnhremitiom ninefonns»u C les autres Nations voi;ine.; 80. Ex--|© 200 :f> E06 pouvalton attendre pauvres Sauvages réduits & leurs tos ressources ?--Tous les anciens ln N':t'inn de !(iukukmmg. #'6tunt 7 REENT NOCDONY tiPoarhtus 14 4 PCV Ce® CmmCure --Parce qu'ils étaient to ronple orl si.niu\jewux dire le plus ancien Lac ... cette maladie n6 les atte-- quera point, comme I'Ange extermi-- nateur n'attaqua Pm les Tarachtes quand il ",muz.- e dguil tout Pem» pire des Pharnons, # ancantissent jamais.) i#ullhwe elt la uuh'dn.'nE-' wfi;'& Nations environnantes.-- rqu ceftte prédilection pour les ml des / Cant® qu 1' contemple t > cette ville, toi qui nom 'd'Outaounis, sois ] ' '/'hr(rtiv;m; du prése la l!:n'. w ce moment . Cer sym-- lu'm,---pnim_m présent des Otta-- ol, ses cenvros ot aoaita e eith 8e convertir la pm' " CC Zours marls, oyez--vous Satan *# Voyez--vons ette assemblée, 6, toi qui dois ounis, sois Phé-- t de la Foi de cos pan-- | P Keranfln .I' olique t | ! pauvres | tous en--| 11 e, deve-- | P irétiens, ;I" tiers de | M L1 Los ti is poi-- ln ous -- les | &1 emmnes, | M nt plus | lot :c maris, dis s Satan | de ez--voua | PP mblée, | VC né M(_._ con miliey | me o 1--() | m e y s _ In moine qui avait 6t6 soldat dans sa jeunesse, car il contait de bonnes histoires du guerre et nuse) dd'"tmr. Bea jam bes fl soixante r'l';'ll nient peiner grandement qnan montait les centaines de unr&m qui conduisaient & son réduit. Mais i1 était encove vert ot i1 avait du con rage. On Pappelait frore Bruno. Ses l';wfiol;fio , w i 2 Em 29 Com On voyait de la Ca in Houle, les cotea t{e Cbcrmdx,m'l:ol:;hd&ne ot les fles, quand le jour était clair. Cette odlu?e éait ai hant montée qu'elle at-- teignait presque la base du Campa-- nile. Un panvre vieux moine con. vers Phabitait, g100 £ °CC CTOR CC v e YHL.--Compére (Gillot, &nnfe et mystérieux. s | _ Le mont Saint--Michel était comme | -- Quinze on vingt cellul t | un §hm sombre au milien des gro-- | 806 le corridor. Notre , | vee inondées de Tamidre, Bur le ro. | #urcot brun marcha de : | cher noir, les hautes et fortes murnil. 2"."',"'- lisunt les noms |les se dressmient, surmontées par les | Ccrite sur chacune dolles | édifices du monaatére, an--dessns des. -- " Frore Pacdme.... fri , lm-l- Péglise a'langait hardiment, | Frére Hilnire, " otc. _ n--dessus de Péglise, In Merveille to: | ., I1 pussait. Ce n'était | nait en équilibre son campanile fier, | Pacome, m '_f'@" Ar couronné par la statne d'or de 1'Ar. | frére Hilaire qu'il voulait change, ment rrlrr Les vitranx de église brillaient| _ Enfin, il lut sur une de comme autant d'étincelles an milien | Portes : " Frére Bruno." de cette masse d'ombre, et in statue | 1J s'arrota, et sn main ailée de St..Michel s'enflammait de larges manches de son st tons les rayons de midi. tirer la petite corde qui p I! y avait an dernier étage des bh-- | dehors et qui communiqua timents qui servaient de retraite aux | targette intbrienre. Mais m relirieux une petite cellule dont la| sita au moment d'ouvrir, kngm étroite ouvrait sur In baie. | prit A écoutar j CCC PCOR ouvralt sur Feuilleton du Courrier d'Ottawa. LHOMME DE FER. PrORa0 Hieg: PARYIE, les bien-- | boies nous an tire lu';i:: veeay ; 0c :m"fi o one aux | aux conséque is tribu | dont ils ont 6t passant | Nest--ce pas, ¢ los 6 Wimes Eoi n s , gnciemse de In V(erfie Immaculée, e | élevée entre les tours de notre cath(. | uJ |.| drale, et cherchernit & Phorison les | VA . | brillants clochers de nos églises nom. | tot & | breuses. Dans le feuillage d'arbres | mm . |séculaires qu'il murait respectés, le| 1 y f'enne Sunvage placerait Fimage 4e | de. | n divine Madone, tenant dans les | éch | bras son divin Fils ot retenant avee | et s | lui leruban qui tiendrait & leurs| 1 pieds un doux agneau.--No Poublie | fute as 6 jeune Outrouais, loraque ta | gnai ;mclm jt;'yen-e. abattant les tmu an-- finlli' tiques, propare les radeaux que nous | feul lancerons sur toutes les mers . du | tous globe.-- Nobles édifices dn Parle. / heur ment Provincial, ne Poubliex pas, | _ Lo loraque, devant yos ornements, aura / tait dispart la derniére maison de bois | me | de nos premiers enfants.--Magiques prov pouveirs deau, . qui toujours nous | gui s verserez _ |'abondance, -- (!:uumm.-llv cor comme vos flots, étouedissante com-- | moine MO ¥08 cusende« s vane us qs ce )w c § | Religion mlholiquetelviflution, , | telles sont lee deux idées, ées en . | traite sur la -E:m de . | ce peuple md.d-euduems ; | tot dans In tombe, B'il ressuscitait In vi&:_d celn était possible, ah ! '| clest notre pays onnhntuur, aus trefois le sien, que ce miracle s'opé |rerait! Vous le verries placer sur le roc qnilorlt duflohdlupiod de In ca ® statue d'un . vieillard, A_:'mmz des. deux mains une ' de Croix ; avec le pied de g:vlilx, il écraserait In tote d'un in-- fernal dragon, qui, en se tordant, collerait son sceptre sur le rocher, Bous les areades du Parlement, 1a | Sauvagesse & Ia nagane contomple-- ! rait, ave¢ des yeux humides, l'imnge acieuse de fn Vie Immaculée, gl:s'&! entre les tuun-'fi: notre cath(. | ® 2ru!e, et |chmlmrnit & Phorison les | 3 Loo uol ioi t uZ Litterature. VIII mmtant d étincelles an milien masse d'ombre, et in statne St..Michel s'enflammait de rayons de midi, D\ \Dhbnbah tacdhahsist .. d 'mkiué chose . dans i""m '::ldcll t ou dira--t--on '::' 'l'!llir, vonk Je a'si puw jei & déyoiler / lea re" $ t démont U°, 068 calculs étaidnt indlsne-daflmt.mv Wimisg ap o ". "0C PROpYO hom,| Cest to ' &Lfil!&.hmamh' Je Iroquiois, ot phhhth-unhg-. &d l8 guerre avec les Nadonessi, étaient pé, ce intermingbles ; Pexistence de nos co-- comme :.(')n'ir était ménacée |:rd-m nation mflubfl vale: on, s'attendait devnhudol.p-nd- lndml.: llull.l,o vilisés et eatholiques; les plus incré-- | Cétait . dules convenaient qu'au ntoins les | rappelle :i:"."h seraient un lelquwg :'vém:":: roseaux, pour arréter l'inondation v duet:fipem:':h':';gl? hauteurs des ter-- | cisaille ; urent . et caloi -- dn ) Aanarsa my.30°0-- 57040 . était _ sen cours d lthnmeto-ldd-dn-uuu Tempéchai li-hégfl- ont 6t6 en zni. n polntdeel;:'r?m'm& cause hhltn- leur | . "Oui, oui, bien ! disait--il en arran sions, Bnequn dlon : e daaitt 1 g:-?m._' se on etrhette ' w wuxe s Ates donte ons rremne aite id t on morn o m on son nom ve que un hom: fetsrerns aorancges w ':'::l: aveo les Nldon.-'i','éuiom[pé, Cest fini! Lnn humanum, intermingbles ; Dexistence do nos co-- comme dit le prieur, perimeni louies était manaake _ __ 7 20 CE UA .i;": veeur Wi?bu. en m..'h:.'fi'""""'":: (l).t::'nhu w.' h'.,.u"' l."' "&&'Nh Bavette, dhiklhe ied ?2".'.'2",'." des 'événeinents | flux de nars., _ N MMF, Alusion an Suite Ottawaks furent--ils COUZETmSWite com-- vous dont Jn voix ®, au .é;romi«'r Ot-- w pensée de se dé-- mieux entendre : Jes plus incré-- | Cét 'au ll:;)uu les | rapy in -- clayoni avai er Pinoudation | Gév uteurs des ter-- | cisai urent--ils j'ave ces 7«&5 du a ue -- Pavenir, akee. ho 16 fifi participation bre occasion I | ttawaks ont | chose & I'a-- lhi'ung.h.mh ' e i W' sit uc m:-rha;l': notre homme au -nn::hhn, qiluvdtd'fluz. t se retirer :ujo-qudxt" ® ractére ost il I! s'arrota, et sn mnin sortit des arges manches de son sureot pour tirer la petite corde qui pvndlitpn dehors et qui communiquait avee 1a targette intbrienre. Mais sa main h6-- sita au moment d'ouvrir, et il so prit a écouter, * pussait. Ce nétait ni & frére {l'lmme, ni & frere André, ni a frore Hilaire qu'il voulait présente-- ment rrler. Enfin, il lut sur une des dernidres portes : " Frére Bruno." _ Quinze un'v_lnm cellul sur le corridor. Notre surcot brun marcha de porte, lisant les noms caleals | de Catiche, qui t frére d:hfigm qui 'appelait,.. Ce personnage avai lure qnelque :fi:.e de étrange et mystérieux ( _ CBmCCCRTCE Cu 'Jnhulpnilunt mo-- |narque de ce sidcle, 1 portuit des | chnusses étmiwe' en futaine grise ui accusaient un long u ot se ;'Aiem an jointures de m.;:'l::ba ml:' gres. -- Bon surcot de drap brun affec-- tait au contraire une certaine am-- pleur. -- Sa coiffure était un bonnet & bateru, dont les bords replice carré-- ment formaient cette visi¢re tomban-- te qui caractérige encore de nos jours les bevnntiém ru pécheurs montois. Bur sa poitrine, entre les plis de son surcot, on apercevait les denx bouts Pune chaine de fer, qui devait soutenir un objet caché :snn- son sein. mot gui n. *_;.., We YittcndP vtha s w Te h uvh' e non'l'dtt aqu%ga!u"-' s Magiickeedan o) . me étaient | pé, cest fin}} hm humanum, nos co-- eomme dit le prieur, perssverare nation | autem diabolioum /..., Qnol?on'un odiges |trompe souvent. de bonne 11 . Et hs, ci>/alors.... mais voila! Je croyais que incré--| Cétait en Fan, vi --huit, t je me ns les |rappelle bien & K:'r-t ne o'était nnage | avant ma ?m avec &knou de lation | Gévezé, qui me douna un coup de s ter-- g:hdllniooupurluhin.ponreoqm J'avais crié & an ménagére en sortant .&:.: du u],nt duMRopfio-: Dieu yous venir, 'u-de ma jolie Catiche, et ca me es re-- | fait souvenit' de son frore.... Io"fl%re plunle [in Prostill c 99. Rel thas, l TN€#e, e costume de not fuisait, en vérité, point In magnificence du 'Jnhu narque de ce sidcle, chnusses étrojtes en 4 All pélerins qui afflua 'll;ielqnu' ahnées aussi un vassal d France. En adinettant c these, le costume 2o 229000 DCVE ant le duo monotone, se lancer finuia le trio et aborder méme les dif-- ficultées de In partie carrée, | Entre tous les mortels, ces bavards sont heureux ! La_chaleur que frere Bruno met-- tait dans sa discussion avee lui--mé-- me Pempécha d'entendre un bruit provenant de la marche d'un homme qui a'avangait avec précaution dans le corridor. . Cet homme n'6tait ni un moine ni un habitué dn couvent, car i semblait aller un peu & Paventure, Ce pouvait étre un des hombrony . u2k ae 22 m PERVOET --| _ --Bon t lev:l'ldr.rtllil se met e en colére pour rien} on discute et , | on ne.ompu! Clest ma manid-- [ 19 & oi.....si_tu veux to fhcher jo , | n'en suis rlu- ! s L'incerocnoenrlqni frore Bruno |avait aroué. loyalement qu'il _ se |trompait était !gém Bruno Ia 'Ba-- vette. L'homme & qui frire Bruno reprochait avee mu&nflon ses em-- }'-ortumemu était pareillement frére Bruno, Le bonhomme était arrivé & cette supreme perfection de la science ba-- vardequi se passe de réfillqneod pla-- tot qui se Jn donne. Narcisse wai-- mait dans le miroir des fontaines. Le h-un:l' parvenu au _ summum de son art, n'n pas méme besoin d'un écho pour prolonger son ingénieuse et solitaire causerie, 11 cause, i1 discute, il prouve, i re-- fute. On a vo dea hrcskis ie 48 ng |. 0(0 8. S B SHGC (pM _ ----Mais gi..., --Que nenni! que nenni! je n'ai pas la berlue ! --&ul' entdté, ce vieux baudet ~--Bernard, quoi done, mon vieux | --Non, mo(nl file, co" m'otait pis poitrine, entre les plis de t, on apercevait les deux ne chaine de fer, qui devait un objet caché fim- son dans sa cellule, ce qui ne Pempéchait poil (4 coume) e gui ne Pompchait Ce sobrignet falas alh flax de paroies qui était h;g M:u incurable de P "d. vers, c'"'i"MPfM'bomoe.'nb vait le diner wait lo diner des maftres an manoir 1 ljOG , C pouvait dtre vassal de In suite du roi de I+: C Charpentier, it étre un des nombrenx v-fl'luliem_ au mont depuis #A mnin sortit des WPETD Tt rulbaisadr uds sc i4 he, qui était lors l6 beau-- 'hiig,""" et m-'nppehh.-. haliis avait dans son al 1e tret NU!I? homme au noms de religion cette derniére hypo-- Aset t cellules donnaient EC le notre homme ne point d'bonnouri frore André. sn OUl, Oltl.... Oul! CVeat Véflh')la}}le;t porte . en on on--

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