+ --Contricet 1 Ce reméde si universellement connn surpasse tout d:-"su:tuioul. cure des m"x' de gorge et pulmonaires, qu' est inntile de reproduire ici l:vflnu de -l vertn ces sortes a Sit sats 1i ?al. dane io monge ohiting.. Fou do'gmlm': ot méme de fi-ill'-g n int fait uns expériands personnel de ses m. Comme chacen connait lea hul-r-'nlhhdoounnh'inn'.-'p l':flh-iu;h u-dt, n': n p'dlh-fi' plus que d'assurer io i1 posséde muflmm tohte la vo':n ?"?I. avait lors-- qu'il opérait des cures qui ini ont sequis & joste titre I-mk tout le genre ha LINIMENT DuU vERmont ot nEnay -- Dyspésie, affection du omur, abeds, épi-- lepsie humeur sombre, névraigie, oto. De nombreuses cures de ces maladies ont 616 opétbes par la puissance ultérieure de cette médecine. Erl:. stimule vigoareuse-- ment les fonctions vitales, et combat des maladies Pon m'm'l croire au--dali de son .&:&;w. besoins du peuple ont longtemps réclamé ce reméde, et nous sommes certains qu'il opérera tout le bien qu'il est an pouvoir de Ia médécine de faire. Baume Pectoral d'Ag:v, pour la prompte gnénisson de Rhumes froids, influza, enroue-- ment; croup, pulmonie naissante et pour le soulagement des malades dans une phase avancée de cotte dernidre--maladie. PrT' le Dr. 8. C, Ayer & Co., ln_-g_lh':-hm.. M On nous a rapporté beaucoup de cures ac-- complies par cet excelent remdde, et nous référons nos lecteurs & notre almanach amé-- ricain que les agents ci--dessous nommés se font un plaisir de fournit gratis & tous coux qui en font la demande. e LE NOUVEAU PAIN KILLER Le meilleuy remode encore le Rhu-- -m'---.hllcid-raL..h mal de Dents, les Contusions, les Brulures, le mal de Téte t les eu recours & votre salsepareille dont ung seule bouteille m'a radicalement guéri en deax sefmaines, de sorte que --je jouis actu-- ellement d'une bien mniflenn santé qud-- vant d'avoir ét6 attaqué de cette maladie. Je pense que c'est une merveilleuse méde-- cine. . J J.. FREAM. Jules Y. Getchell de St. Louis, écrit ce qui suit:--Jai été, durant des années aftlig6 d'une aftection du foie gui avait com-- pletement détruit ma santé. . Aucun reméde ordinaire n'ty:u_l' Pu'm'o'w:h'm,pm bien< aimé Fwenr'le Réevd. M. Espy m'a conseil-- 16 de faire usage de votre salsepareille en me 16 de faire usage do votre salsepareille en me disant qu'il eonnlhnmna Toutes vos pybg.- rations ne pouvait produite que du bien. Gr:oei Dlileu, votre I;;l-cpnnifle qui m'a uéri a tellement purifié mon ue jo lgno sens actuellement un noumm,a. Je me sens rajeuni, otje poutrais jamais, sous ce rapport, dire assez de bien de vous. " Edward 8. Morrow, de Newburry, Ala-- bama, cite le cas suivant;--«J'ai . guér dans ma famille, av moyen de votre sal-- salsepareille une tumeur ovaire qui avait jus-- 3u'a présent défié tous les efforts de la me-- lecine, mais aprés avoir employé votre te-- méde durant six semaines, i} ne restait aucun symtome de la maladie."" Maladies syphilitiques ou merourielies. Nouvelle--Orléans, 25 aodt 1859. Dr. J. C. Ayer,--Monsiout, jo suis, tout-- d--fait de Popinon de votre agent sous le rap-- j;on de l'etgucilé de votre nlupmilll:. 'ai dans ma pmul]ua, opéré maintes et maintes cures dans les cas de maladies vé-- nériennes. . L'un de mais malades avait des ulcéros au gosier, & la bouche et au nez; il a été guéri dans cing semainos. Une antre attaque de la meme maladie a 616 également guérie et nulle trace n'en reste sur sou vi-- sage. Une femme traitée auparavant Mr' le méme mal Par le mercure, ot qui avait: été la proie d'incroyables souffrances & la suite de humidité, a été également rendue & la santé en ?mlqm semaines. -- Je sais d'ailleurs que d'aprés la formule que votre agent m'a remise, que votre préparation, sortie de votre laboratoire, ne peut étre quun grand roméde, 6t je n'ai pas, en conséquen-- ce, été étonné de ses heureux résultats. Tout & vous fraterneliement. G. V. LARIMER, M. D. Rhumatisme, goutte affection du foie. Iudépendance, Preston, Connucticut, 6 uillet 1859. Dr. J. C. Ayer,--Monsicut, j'ai 616 aftli-- gé pendant lJongtemps d'un douleureux thumatisme chronique contre lequel avaient échoué wus--les efforts do la medecine.--Jai Tumeurs cancérenses, _ «* élargement"? ulcéres, carie et exfoliations des os. Le Dr. Robert M. Preble écrit de Salem, N. Y., en date du 12 septembre 1859 qu'il a guéri radicalement un cas d'bydropisie qui menagait, d'8trg: fatal et ce le moyen de votre salsepateille. Il nap&léghnem la cure de viclent Irésipéle & fortes doses du méms reméde qui en outre guérit les éruptions onli::'ire-. i Bronchite, goitre ou ient du cou. Bebulon Sloan, de m Texas, écrit ce qui suit :--* Trois bouteilles de votre sal~ salsepareille m'ont complétement guéri d hideux gonflement du cou que on appelie gitre et dont je souflrals craetiement depuis deux ans. Taniét elle @intait en ulcéres anx mains et aux jambes, tantot attoignait Pestomac, la tbte et les oreilles qui n'était plus qu'une seule plaie. Toutes les médecines ordi-- maires dont j?ai fait usage ne m'ont procuré paration de W} naissant, de reputation j'en x) eavoy6 cher-- cher & 'Cincinnati, j'on ai fait usage, ot j'ai Mh:ndm' ent guéri. . Pai w"h'" selon votre preseription, en ot durmlnmdmmdmk:ul& Je n'en est pris que trois bouteilles.; Une peau lisse. ot bm- remplacé la plaie qui cou-- vrait mon corps. . Je suis actuellement con-- vaincu que cette terrible maladie est chassé de mon systéme. Vous pouvez me croire en vous déclarant que jo vous considére comme IPun des plus grand bienfaiteurs de Phumanité qui aient existé dans ce sidcle, et jo suis avee reconnaissance votre dévoué serviteur. -- Alfred B. 'Tallery. Erésipéle on fou de St. Antoine, Dartre, Calvitie, Maux d'yeux, Hydropisie, &o. Prix 25 cents par boite. ison des maladies suivantes, savoir: le serofule ou tumeurs, ulcéres, éruptions, bles~ sures taches de rousseur, pustules, et toat les Redige par un Commité de CoHleborateurs. VAYER JOURNAL PUBLIE DANS LES INTERETS FRANCO--CANADIENS DU CANADX CENTRAL Kxeter, Mo., 30 septembre. wwihp pendant les doux eniaeniniaah Baume de de Baweage 4u . Dr. Wister, pour ia Maiadic dos Powmons, ot & tha connaissance, bouteilles ont 46 buse par mes qui tos en bnt ob tenn de bans deux ean, on In Consomption: sembiait dtre déslarée, le Ces remddes produisent Peffet qu'on en at-- tend. ll--ah'unuq-'-:-.uoi- gnent la maladie, A in eanté, pre-- curant ainsi aox E';mm In consolation et 'le Clyde, comté de Wayne; N. Y. 10 mars 1857. Pur'!wlz,nnMou une Tour sévéres il faat faire usage du Baume do.Cerisier Seuvage da Dr. Wister) Pour guérit is Tows 'criaide, in Grippe ou in maladia des Dranches, il faut faire usage du Banme de Ocrister Séurage dir Drs Wistary Ponrmhrédnpw ition a la Consomp-- _ _ tion, il faire nsage des AMERS OxicEnEs. Pour gubris P' Asthme, PAcidité on lo Briile-- nrm d estomac i} faut faire u:go des § AMERS OXICENES. ° Pour uné boite des PASTILLES PDLMoNainzs p® BRYAN Personnes no refusera de payet » Vingt--cing cents. J08.--MOSEB, seul propriétaire Rochester, N. Y. A. ;;diii'f-m'r"--"zm; Savaor et Cic., par Cartzn, x Cie., ot par Lamrroton et Carmenit. Sont faciles ot agréabled & prendre. 12e PASTILLES PVLMQMAIREs De Bayan Font plus que sonlager, elles guérissent promptement pour toujours. ues PAsTILLEs PVLMOXAIREs pe BryAX Sont garanties devoir donner satisfaction & tout le monde. ragtiLLes PULMORAiREs D Baray L Toute personne devrait avoir une boite PASTILLEs PULMONAIUES DE savan > Tout voyagont devrait avoir une boite des PaSTILLEs PULMANAIRES DE Bra¥YAN LEs PASTILLES PULMONaIRKs DE BRYAN Guérissent 1lrritation de la Luette et des Amycdales. Les PASTILLES PULMONAIAEs D& pavan Soulagent les maladies ci--desus dans I'es-- pace de dix minutes. 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A Vendre & Québec, chez 0. GIROUX, J. MUSSON, & Cie., J. BOWLES, J. H. MARSH, J. 8. BOWEN, J. E. BURKE et 8. STURTON. senlement qu'on en lasse Pessai, et s'il est trouvé pc&duturunnmicb'dou genre, emj --le préférence & tout autre. Afih':hm i désirent shinl'-&mw.mngp-,n- tous nos Agents a remettre aux achoteurs leur argent dans le cas on ils nen seraient 'pas satisfaits. _ Nous donnons une grande boutsille pour 30 sous, et nous In sul-h-u-. * . M. HBNRY & FILS, Wflubur'y, S _ Et 30, muo Saint--Henry, vis--a--vis l'Aimé-- rican House. m&:"'.':.":.'::.';' Telsal ds out Sfsnres puisse 6re fail. -- Nous navose ges Punga® tion de faire & uotre retnede uns réputation pubs e wanpn Neging on cence grogc.: y Soulagement on Dix Minntes :-L'-i----:'f;:--h dans us mement ost telle n-\n'ihu de -'& de catie espéce ; et nous avons retardé Pintroduction dil' notre «prés avoir résolu de le soumettze an ; nous avens consalté us grand nombre de médecine &minents, ot nous en ayons parlé & un grand nombre de propricaiyes de Lm-.::uuh o noue sommes arrivés & cefte conclusion que bous pouvions apporter au notre des 19 mars, GRANDS REMEDES! Nous s'avons que c'ost e tentative timé~ raire que do--teater Riniidectine dron uoo 9 fév. 1861 t gubric PAsmbe, 7e yeage tes Votrd tont--dévoub»-- Médesin & Maeter @orner Surtm, M. D. Montréal, C. E. dm~--135 il faut M.J. B. HUSSON, a P'honnear d'offrir ses pius sineéres remerciments pour Pencoura~ gement libéral qu'il a regu de sas amis, at du :Nio, m"s trois années qui viennent #*bcouler, et il prend in liberté de leur ----r'll-.n,:n-opv I:.pr.'n- jours servir 'OCES, fi-':q.hx" Ses servnnts sont dos plus attentife ot rien West bpargné pour donner la ratisfaction in CET appareil (dont un modéle fonctionne tous les jours au No. 142, rue Craig, & Mon-- tréal,) s'adopte trés rapidement 'dans los Etablissements Privés et Publics, comme on pout le vnixrr les certificats et articles de journaux en la possession du Soussigné. Cest l'?puvil & Gaz le plas simple, le plus sfr ot le plos effectif qui ait encore été mvml:.l:. 1 l'.dqmd A m'nll l,u climate et & tous #, atteadu qu"il n'est ex a dtre d!:z'l par le fr_vid, ot qn'ur:nnm: _ Pour des appareils on des renseignements A ce sujot, --3.'--.. i J. B. 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Curtis, & Pencre rouge. -- Cest une contrefagon, on peut faci-- lement le reconnaitre au signe que nous venor d'mdiqll;er, ot inr lo fait qu?il est marque 374 et 75 cents la bouteille. -- Natu-- rellement, le dit Curtis n'ose pas signer le nom de N. H. Dows, parce que ce serait un faux. _ GARE A LA CONTk#rACON DU JAs-- POR CURTIS ! II n'y a que depuis quelquos mois seule-- ment q{le gom avons ldolp'?é lee bouteillea dessai, et nous Pavons fait alin que vous puissiez essayer cet excellent reméde & pou de frais. SOUS LE PLUS COURT DELAI ou de M. S. Butr & Cie., Combill, Boston, Mass, ou de C. W. Atwel!, Porland, Maine, ou de Lyman, Savage & Cie. Montréal, Ca-- nada, ou de Barnes & Park, 13, Rangée du Park, New--York, ou des principaux Dro-- ,'Iim (en gros) de la Nouvelle--Angleterro; ew--York ou Je Canada. Iis yous fourni-- tont des circulairs & demande. Le priz de cet article est de 50 cents d $1 la bouteille, et pour les bouteilles d'essai 25 cents. 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Nous garantissons de pluqnni,;p:eon avoir fait usage, une personne veat qu'on lui rende son argent, elle n'a qu?d le demunder aux Agents ou Propriétaires qui s'emprosseront de la satis-- faire. Que dire de plus? Vous faut--il un grand almanach nmfili de certificais que personne ne croie? S'il vous faut quelque chose de plus que cela, demandez & vos voisine quiont fait usage de ce médicament, et ils vous diront gu'tl est le meilleur remé-- Montréal, 8 mars 1961 E. BEAUMANN, Agent pour le Bas--Canada. Rue Craig No. 142,--chez M Gartu Montréal 16 Février 1858. ifi Sonfhbeninost i io t fi'&'n'a'-,,r DOUIN. * VIVE LE VIEUX REMEDE OV VERMONT CONTRE LA TOoUxX. Elixir Balzamique Vegetal 9 fév. 1861 8janv. 1861 j OUS dissons au public que ceite méde-- * 3e won varube dant ue is Reg: hedc arninnniiubisitie: | adbui sma mt d af haip ukc ay Wwedsin .;:- W. Fowsx ot Cic., M,yuw--! %mm"' LA LUMIERE ARTIPICIELLE Le soul Baume véritable est oolu'qh. :hm-ll'uul*-hugmndnl. POUR LE Gaz d'Eclairage, MONTRE AL 106 12m , propti-- (Les Peuples se déplacent quelque fois, mais © | Recturedonneedevant Plunstitut O besoin de vivre ensemble les rap-- D'abord, il faut convenir que, dés le principe, les Gaulois étaient irré-- sistiblement voués au métier de peuple chasseur. _ Leur esprit in-- quict et.remuant, leur humeur aven-- tureuse, leur vie active et agitée, leurs habitudes, tout les y portaient. De tous les peuples dori ne celtique, les Gaulois z:nient lesogfin intrépides et_les plus audacieux. La guerre était leur élément ; la paix leur sem-- blait une calamité. IIs étaient extré-- mement ennemis de la paresse, et méme du repos. . Aux vieillards, aux femmces, anx infirmes, étaient conf és 'd? soins del'.imég:rmn,.zl" lg':;: »mestiques, les em u m les t:?:'ux de Pagriculture, la garde des trou, ::leu;., etc, _ Le soudard et le r.hc,ra lois, eux, passaient leur temps & faire la gnerre, ou bien A chasser; puis, apros les fatignes de ln chasse, Aufnn et & P'M Cela nous cofte & dire, mais il le faut bien, puisque cela éw; aingl. P'I':bldoin nous apprend en effet, que, encore ne toutes les autres n%dom barbares amateurs yante 5 to coptenses Iitatioe, ds jout ds dances, dn tapage ot des assem _. Nous arrivons maintennnfi Mes-- sieurs, au troisi¢me caractre distinc-- tif des anciens Gaulois, Nous allons les étudier comme hardis et ,comme joyeux chasseurs. Peut--étre est--ce encore un peu notre portrait, sauf, toutefvis, ses améliorations progres-- sives, que je viens vyous retracer ici. J'ai une trop haute opinion de vous-- incmes, pour ne pas espérer que, sous quelque couleur gue ce tableau vous apparaiase,--soit rose, soit noir,-- vyous n'en continuerez toujours pas moins de m'honorer de votre intelli-- gente et généreuse attention ; yous r:xpelmt, que ls premiére et la su-- H me qualité de Phistorien, comme n 1peintre impartial, cest Pexactitude ct la vérité. " Gallia causiticos docuit facunda Britannos," nous dit un historien, en parlant des orateurs, des savants et des avocats des Gaules Britanniques. Au reste, Messieurs, il faut bien le confesser, ceit"encove un peu l& notre grand défaut, a nous tous, descen-- dants de la jeune et de la vieille race Gaélique. -- Généralement parlant, on se laisse quelquefois trop aller, chez nous, aux écarts de la langue, soit par ex®¢s, soit par manque desprit, principalement dans les contrées mé-- ridionales. _ Le babil, dit--on, n'est pas moins excessif dans le Sud aujour-- dhui, qu'il 1y était, il y a 1,800 ans J'avais raison de le dire: tel pére, tel fils. En succédant & nos ancétres, nous devions hériter de leur bonnes et de leurs mauvaises ('uu.lités. Ce q;x'il nous reste & faire, cest tout simn-- plement de ticher de conserver les premi€res, ct nous défaire des vices et des travers malhcurensement si communs et si ordinaircs, d'ailleurs, dans toute société humaine, ce doit-- dtre 1a le but tant de nos efforts, de notre vxgih?::, et surtout de nos prigres | ... . We ' 'Cest que, Messieurs, (et ceci me raméne tout droit a la considération du second trait caractoristique du seuple gaulois,) clest que cette race e preux Gétait aussi une race de cu-- cieux, je pourrais bien dire de badauds et de braws parleurs, Comne les anciens Athéniens, nuxquels on s'ost plu & comparer et a assimiler, non sans raison, les Francais de nos jours, nos bons vieux ancétres, étaient des gens' excessivement amis et. colpor-- teurs des nouyelles, Par excés de vanité, ils devénaient méine quelque-- fois de grands bavards, et 30 spiri-- tuels mais hardis menteurs. Cétait, nous dit un ancien, des gens & ln km- role impie, equlante, aimant T'éclat et les figures retentissantes dans leurs discours. -- Ils visaient a Peffet, comme on fait au théitre.... St. Jérome qualifie ainsi leur Cloquence: "cest le Rhone, a la course rapide ct en-- trainante!" _ Un autre: moins flat-- teur nous les représente comme une race de hableurs et de vantards : Va-- ni loquuin Celtae genus. -- " qu'il y avait tumulte gaulois dans l'(floquence ;" et Cicéron a'écriait dolemment : " Adieu urbanité, adieu, la fiére, adicu, Paltique ot l'éiégunte plaisanterie: la braie (blouse) tran-- salpine a envahi nos tribunes!1" _ hi l:hmdfi Chmilois. & Home ot dans le-- Sénat ut 'pour~GCicéron: et pour les autres beaux esprits latins uns occasion de piquantes railleries. #¥n aftichait dans les rues des écri-- taux indiquant aux Guulois les che-- mins de la Curie. On chantait une chanson politique, injurieuse au Dic-- tatour, et qui poumit. se résumer comme suit : * César conduit les Gau-- lois derrigre son char, mais cest pour les mener au sénat! Ils ont laissé Phabillement celtique, pour prendre le laticlave! Les gens d'un godt plus fin, plus délicat, s'écriaient: Coprobenie cU e o P ds ____ PAR LE REV. M. EBRARD. _ sembiées nationales, & in chasse, 4 Jn | mz gueere, 'orc."'Ausei, Mossioums ches Memento dierun antiquorum, cogita go-- Oeltes, ainsi que ~hes nous, Phos nerationes singulas ; interroga patrem tuum, pitalité était régardee comme un de-- et annuntiabit tibi: majores twos et diccut voir et un honneur, comme un plaisir yrq et un besoin, comme la plus sacrés (Deutéronome, Cantique de Moise,$2.) ; dea institutions sociales, %oul, chez es ; | eux, se traitait d table, cul-gml:' fiee mwons dee tomps anciens ; fAP~ | tout, alliances, lumhfi,tfilll'.x' poles reue ohagues géatrations i inle@98e7 | conciliations, marieges, d veire pére, etil vous instruira ; vos uo'-:m traités, mmtm sB tree, ot e voue répondront, ment sacré qui linit le Griunm Suite. {Stmt simenté pur un fesun. La présonce des Guulois.A Rome ot |Pintorvalle de Iqurs orgics, ies Gaurt qo 4 Cak id Cale 1 wl P e N i mais ne s'andantissent jamais.) : it ordinairement anin. anand 'km ne rmd?.'."'.fi'@ bonne heure, ::- qite 'toute autre methiue We wb y io - ierre contre les ours, contre les pan-- glléren, les lions et les loups ; contre les serpents et toutes sortes d'ani-- maux mea, dont les foréts voigines des Gaules et de In Germanie, étaient alors inondées! qu'elles choses, bon Dien, comparées aux notres!! .. . je ne vcux})u vous en faire ln descdé: tion ! _ Je.craindrais figmum donner{dans le--vague," Te banal du lien commun, on bien de vous at-- o rmeus anmotes""" ts .... Cost socrqnoi, 'r me hAte de sauter, tout 'un bond, an quatridme et derni trait caractéristique de nos bons vieux ancétres, en vous disant q rou sur leurs idéeset lours godts an temps de lour mélange ait et dn-g:le avec les Raugn Messiours, cette nation celti me, dont Pesprit étaft vif etpmpnptllg t / lois s'abandonmaiest: au jou, qu'ils llpou-niem jusqu'a la fureur, comme --|ils faisaient du plaisir de in pbche et -- | de la chasse, Du reste, Messicurs, le -- sol inéime et le climat des Gaules, '|surtout au nord, forgaient encore, & -'l'époq'ue ol nous nous transportons, '{les habitants du pays & demander aux. | hazards de la chasse la nourriture du '|jour et du lendémain. La Gaule, en ' | effet, n'offrait que ga ct l& des terres '|cultivées; Le sol on était générale-- :\ ment himide et marécageux, le ciel | froid, triste et sombre, Pété pluvieux, | et Phiver quelquefois rigouseuse. . Je : Eule surtout %e la Gaule du Nord. | En outre, comme tous les peuples en-- '|core nomades et pasteurs, les vieux | Gaulois se nourissaient plutot du lait de leurs troupeaux, et des produits de |la chasse ou de Ia péche. Quand |aux fruits ot aux récoltes de la terre, |ce n'était l¥, pour eux, qu'un revenu |accessoir, passager et accidenté. | Dans Porigine, les Gaulois n'avaient |pas de propriétés fixes; aujourd'ui, f L\; demain, ailleurs; la charrue sui-- |vait la tente, qui se promenait au ré du eaprice et de Pintérét des co-- fons. Il leur arrivait méme de r6-- colter ce qu'il n'avaient point seiné, De plus, llt.\z-) Gaulois ne s'emparait point des terres des peuplades voi-- sines. | I!s retournaient toujours, aprés la bataille, dans leur chére et bien-- aimée patrie, nemportant que le bu-- tin fait sur les ennemis et co butin ne consistait guére qu'en armes de chasse et de guerre, '%"u'en chevaux et orne-- ments dor et 'argent, en bijoux, en objets Part.et d'industrie, en véte ments, en bestiaux, etc., toutes choses dont les Gaulois. se montraient fort cupides et grands amatours. Nest-- ce pas la encore, Messieurs, ce qui se passe aujourd'hui parmi nos sauvages chaseurs, parini nos métis et nos pauvres Indiens, quelquefois méme parmi nos aventureux colons, parmi nos voyageurs et nos trafiquants de la jeune Amérique?.... tant il #st vrai que le climat et le sol impriment évidemment aux hommes, comme aux animaux et aux plantes, des marques qui ne changent point, tandis que, an contraire, celles qui dépendent du fiouvnmemunt, de la religion, de éducation, s'altérent et se perfec-- tionnent d'Age en Age!! Cest l% le neeud qui explique comment, si tels | peuples ont perdu une partic de leur | ancien caractere, ils en ont conservé| Pautre. Le gouvernement barbgre| des Romaink envers les Gaulois, sans | pouvoir détruire le fond du caractore, | et la trempe d'esprit de ces pouples. | Le fond du Frangais est tel aujour-- | dhui que César a peint le gaulois, prompt & se résoudre, ardent & com-- {mm-c, imgétueux dare Pattaque, mnishsc re ':lt'Mt Ais'fmcnt. Césn]r, Agathios et d'autes, disaient que, de tous les barbares --le Gaulois &.nit le | j plus poli; il est encore, dans les temps les dphu cultivés, le modéle de politesse de tous ses voisins. Ce qui ne 'empéche pas d'étre encore un peuple qrmd amateur de la chasse, comme Pétaient ses aienx. _ Tel était le pére, tol était encore le fils ; celui-- 18 Jnr nécéssité autant que par habi-- tude, vous le saver ; ee?ui-cx.pn be-- | . soin de se régaler et de se désennuyer. | C I1 n'{ a que cette différence, savoir : | que la chasse du ganlois était une as-- | j pdce de guerre, hien r'hu qu'un paese temps, ou une on bien plus| qu'un sport, comme dirait les Ang?ulo. n Imaginez--vous, en effet, Messicurs, |' non.%iu une chasse aux chamois, anx |° ligvres, aux perdrix, suk tourtes ou au chevrenil ; encore moins & la grive ou au becfigues; mais une cE:lae extrémement périilense, une sorte de |® ete, Aussi, Messiours, ches E(khu.dndnq:} whes nous, Phos pitalité était réegardee comme un de-- voir et un honneur, comme un plaisir et un besoin, comme la plus sacrés prochaient en tous lieux et de milles mani¢res ; au d ln table, aux as -'nhuuuda-, =, & dn chasse, & dn gnyres «de mfl?i'fi Pmeain ce ol ® o soldat du. centre, on Panotet, gatnim de Paris, vient avec un charhon. t blanche robe de,'Sdifice whplopronts , P ét Colignof, amia taup t on teon, Eeenihhe ie s'mfl fantastiqne ot a'en yout, O:Ir, A loars 'gr-. 1e b datk in haie ds todk Aeanien aa ' PREMIERE -- PARTIE, II.--La Quintaine, Suite. ' Derridre In haie de houx, un éclat de rire aigre se fit entendre, et une voix qui n'avait rien d'humain langa joyeusement ses rhots :. ie 11 faut se fignrer une boule parfai-- tement ronde dans laquelle on aurait wug mollement un. visage, suivant les rogles élémentaires ot naives qui servent sux enflnts pour dessiner sur leurs cerfs--volants monsieur le Soleil on madame la Lune. Le noz ne sail-- lait point. _ La bouche était une fen-- te droite. . Les yenx, a flour de erine, ressemblaient aux doux inoitiée d'une fove. -- Leasoutcils,fauyesettrds--touf-- fns étaient plantés sur le front. o on iL d doar ut htie En méme wm}x, parmi le vert som-- bre du feuillage, tine fignre étrange so montra préique @0 rie de terre. IIL--Hier--a--Bras U Araignoire. Le bizarre ;mma ui. avait mbl(fsypllnm In moqda messl-- re Aubry ne montrait encore que sa tote.: Ba toto seule était assez remar-- quable Eonr mériter une description particulidre. . j De nos jours, yuand une mai tmx-ehmw-fllhhu-": Litterature. Fouilleton du Conrrier dOttawa. L'HOMME DE FER. _ "Voild mesgire Au ui s'cet cassb le cou L?&h! lhm!'g Ey s dn o : | Phénicienis: in gonés : e voir :m:z . | w paehd darg -- | ainca, so , | toute les provinces olses. . Aus-- | sitdt, toute t BA +] tion de. de s 1 aars commergants in | culteurs, ct de | triels;-- plus' de yie : Cet | amour du luxe et dn s u joint & | la cherté des sulll%ot aux on-- | vahissements progressifs de la corrup-- tion Romaing, forodrent bientét Pha-- biuint Gaulois de_se lancer dans les exploitations . agricoles . et commer-- cingu. Ce fut un nouveau champ ouvert au géric inventif de ces gens-- 1d, en méme ten{:p: qu'a leur amour désordonné du faste, des plaisits et des richeases. Aus-f, avancbrent--ils, eux--mémes, les progrés de Part an-- cien, an moyen d'expérienges et 'de procédés particuliers, _ Les Coltes s'ingénidrent & inventer des machines propres & fertiliser le sol. . A cux & articnnent |Phonorable dbconm-a ges cribles de toute eapdcés, si com-- modes pour lo nettoyage des grains et des farines ; celle de la charrue 6t du moulin a bras; des tonnekux et fu-- tailles, etc., etc. Dés lors, grice & cette esprit d'initiative, et A ces ten-- dances -- industrielled? nos Gaulois| {umnt rivaliser avec 1'Italic, et In | 3rdce, quand d la qualité des blée et | autros ('}'réulm. iflo'" ce qui eat des vignobles, on croit lfinéulement qu'ils | ne furent implantés en Gaule, dans | les fertiles plaines-- de la Champagne et du Bordelais, que par or£e de Pempereur Probus. 'Toutefois, i1 ost | rouvé aujourdhui que la vigne était | Séjfi cultivée en Provence, o%, sans doute, les colons Phocéens, échappés| de Gréce, vinrent importer la pre--| miére culture du pourpre. Ce qui| semblerait le confirmer, cost eqe: Guulois avaient emprunté du(q:onne ' houre cette coutume greeque de semer | de la poussidre sur les raisins pour | les rendre plus murs. Le procédé, Messicurs, me parnit assez ingénieux. | Ils en avaient encore un autre, mmais | dont Pefficacité pourrait paraitre con-- | ! tostable; cest celui que les vieux |< Gaules employaient pour augmenter | la formentation du vin. _ Il consistait & faire passer de In fumée dans leurs| i barils, et & les conserver longtemps | hermétiquement bouchés et enfumés |# de lasorte. Toutefois, jo ne saurais ni | ! condamner, ni recommander non plus | # un pareil procédé, parce' que Fexpé-- rience seufe, dans mon humble _opi--|1 nion, peut en faire justice. Pour|! donner an vin une belle couleur et|! un gout particulier, les Gaulois y faisaient infuser quantité de poix}" et de résine.... 'indéipendnmmcm 8 de la diversité des opinions, cest en--| core 18, & mon avis, un de ces moyens | 8 artificiels qui tirent toute leur bonté de Punique expérience. 1 .W' ki (A continuer,) AX 300 4. 11 faut tots dite"que FieraA--Bras agait bien une--quarantaine dannées. Mais, ceci un trait de cn-- , l&m Js .charmante un haut, L. de « pen ( er le nain d of ' io "&b Ed y P 4 1 P a m --Tu sais des enfant ? " demanda vivm% I a e rrnds dE _ nsc aallo naif, $ ue "Tiens! tiens! bnjoutl-t-il en se tournant.yers Aubry ; représenter-- vous & la place de {l'unninn votre belle consing, Berthe de Maurever, et mfle.flgnrei vous buriez fdtf, Oette fois Jeannine palit et Aubry ne'dn son ami.Jeannin de travers. me Reine se disait, Fexcellente mére et la femme injuste : " Voyez comme ce Jeannin cache son jeu{" _ 4 Le jeune homme l'(;lglt, Jeannine ;ibwu{m In tote. Reine se mordit la dvre. "Comme vous voild pAlotte ce ma-- tin, derrigre votre rideau, ma belle demoiselle Jeannine ! s'6cria--t--i1. Mes-- sire Anbr{, dites--lui done que vous n'aver point eu de mal!" _ B'il restait quelque inquiétude &A Mme Reine, cette inguiétude navait plus trait & la chute deson fils. Une tite voix, bien douce pourtant, lui E:memit dans Poreille comme pi-- qire impor'.unc d'un insecte. Quand e!llc avait cric, un autre cri de fray-- eur avait répondu au sien. Jeanni-- ne était li.iqll)elng le savait. Boit malice, soit étourderie, le nain se chargea d'envenimer l« pighre. Jeannin lui fit un signe de 'tote a-- mical. Mme Reine, rassurée sur le sort d'Aubry, lui envoya gaiment le bonjour, et Aubry lui--méme inclina sa lance en cérémonie, ______ _ 'Les autres, c'étaient Mme Reine de Kergariou, Aubry, Jeannin et Jean-- nine. -- Fier--i--Bras ne daignait nom-- mer que les chiens. _ -- _ Fier--a--Bras l'Arlignoirv sortit de la haie au moment ou le joune Au-- bry de Kergariou tonchait rudement le sol, Il se secour et rajusta son fiontume, dérangé pa les piquants du oux. Bi toute grandcur a sa décadence en ce momfi,, si tout est menacé tour a tour, cest que les nains rient, quel-- que grando 'g"'" tombe. Pourquoi empécher les nains de ri-- re t En quel sidcle voulut--on com:-- prendre que le rire dos nains est jus-- tement la chose qui tue? _ _ _ Son costumeétait celui d'un gen-- tilhomme. _ I1 portait les conleurs do Co#tquen, son seigneur, ot un petit écusson, brod6 sur son l_rourpoint, donnait ses propres armoirics, qui & taient : Wor au dindon de pueu?a Comme on voitk'(l;'ier-t)pflm était dans les idées de Louis XI, roi de France. Il se moquait volontiers de la noblesee, Et vraiment on le Inissait fuire, en ce pays do Bretagne, oh ln noblesse fntn toujours si gr!ui_d'o ot si respectbe. La tote rougedo Fier--&--Bras s'agi-- ta comme si son torse, embarassé dans la haie, ott fait eRorotJ)onr en sortir. on en fugal dappe 1e valat ab on en ' e volume de ln téte (!b-ulue. ais Ficrd--Bras était veritablement un étro fafitasti-- que. Sa tote, que .nous avons mon-- trée au ras de terre, so trouvait 14 dans sa position naturelle ot normale. Fier--i--Bras était un nain de Pespdce la plus exigud, Il n'avait que trois pieds de haut. _ © _ _ Et pourtant, sur cotte pauy oubtt dn Oriienr cy reblurs date sard, i} y avait do l'inhlllg? bien ;'2'&.?&"2.;4,;'&.; ty Imflnimdiflorntfi' on ne sa-- vait. Mais la lumidre était 1a. , qu'on aurait prise 'pour une é-- fn':d?:mll Mom Jeannin eut un bon rire franc et J. G,. Charponiier, Iniprimont," [ hboufile® de xi