\ Mien@empli ot solidement construit dans le \ lt da In'Crique au Corf. . I1 y a 172 percher _ de" de faits'et 135 perches' de «C extra pour fossés; et bien qu'il y trés paa~do torrain rochoux. dans los 00~ ¥isite de Son Ekcellence Lora _ deblai de chaque, ;o616, mais sans : mesurer *'h!fla}_ml.ql par perche ; pour KreGonrcier a Ottaton Iaei:'?]l;nou(}mer'd "ha:l;l:li:e so-- ron e Mercredi proc it--on, Bon Excellenee a inu?nt_emn! 'viaitné thon d'établssements bien sem pli lt da da Cri _ Mes comptes, jusqu'au 81 decembre der-- mier font voir que j'ai payé & W. -- Fichard-- son, «Pentrepreneur, pour travaux {aits sor ©e cheming $3777 ©08. -- L'autre paioment q0°il faudra faire & ln' fin dos travaux ontre-- pris s'6ldvera & environ $900, mugquelies . il faudra ajonter $100 pour un demi mille non enoore donné & . Pentréprise. Lo coft total sera pou élevé comparativement & !a valeur des travinxexéoutés. m&.:dnl ln terre, 20 can-- sipun 10¢, $1.10 par verge cube. w;t. donnés & | Pentreprise, enreste «Pexhaussement; les ca-- n @t un petitepooceaus ne sont _ pas encore faita, & Pexception dune étendue j tout Je déblaisment est : fait ot il y a:um 'pont de ©104 pieds :de long sor "u""h grande, . hautour, qui'n'ost \pas encore terming;: mais dont in construc-- 'tien s pournoit. tes tha falltfaire plusiours 'quatre: pieds de--profendeur. _ 11 y #88} pershes de pont de «a terminées :'*fifi 4@ 14 pieds en hauteur, y com-- :l- pout do 210 pieds de long sor 13} haut, un--mutre: de 217 sor 10 de haut, 2:;4 eur 92 et) on quai de 348 pieds, ponts de 8 & 7--pieds de perche'; pour csux de ° p N*thuw hauteur pour les rigoles c sur 2 de profonideut;--& ; ordinaires, 60 centina p« les mutres travaux, savoi 4 pour' ces travaux ont 66 & Woflt, et ils ont 616 adjugés an J soumissionnaire an \prix suivants : --pons @2.chacun ; pour . les f B #Tpieds de hanteur, $10 par > de plus de 7 pisds, 177 hed "Hfi'd additionnel sar la f it les rigoles do 3 pieds do large 'eur 2 de proforideut;--& part des écharpes erdinaires, 60 centina par perche ; t pour les mutres travaux, savoir : le débiaiment, Md le drainage. y comyris lo Ottawa 2 Octobre 1862. J+ Ks Dorion, Redactour, ne toutes 1 des villes dn l Cnnaaey it sent 4 soage Ia bonne bouche qu'il se réser-- ies " it on gon eot age aite la capitale des\Canadas K éflil par Sa Majes-- &-. digne représentant he terminée aujourd'hui, a 616 par imo dapres une expérien-- en des ac comme ia meilioure ® A 'chemin avee 6co-- #ame un liew 04 on ne' pouvait on {l' prem Ol:'louu'lu juegu 10 pieds 4-?::: les ot las unt 616. onlerecs, '6f 6 exhnussée sor une largoor'de 16 m--,n o ren , ® raigolos et égoits 'méosssaires. Les poncenux de large, on bois dégrossi de torre. Les ponts sont soli-- sousisuits, ot d'une largour do 18 (A continuer.) publiques on aient 6t6 en a'dlm la lucnoitl'li marques de s de toutea n ron-- Rord Mouck déblais do 3 on donnée & Peatre-- Toire imonts 48 ige étani is de is faire tout autre. & faire i que, ; Priona pour que ces jours se h&-- tent darriver, -- Il n'_y &A encore que quelques années, ct Phérésic et Pim-- piété m'unissaient étroitement pour entonner 16 chant de mort do I'Eglise. Sous 'l« 'pression de leurs attaques combin€es; on sattendait & voir bien-- tot Rome tombée et le Souverain Pontife eMvoy6 pour tonjours en exil. Dans leut joie insenaée, leurs fauteurs se preparaient déja a poser le scoan an sopulere, 'qui devait montrer anx 56- rations futures qu>une Eglise . de dix hnit sidoles uv:!t 6té aneantie par leurs mains. Mais déja lears crie de victojres se changent on lamenta-- fi::-); le :vubl. et lt:.t'i'lvhion en-- vahissent leuts' ; leure cos -'Gnnonin:n.;g'ot ces hommu,w sur.la téte de qui 1s avaient oru pla-- cer des cofronnes d'immortulité, tom> Gorasés sons le bfll& du . aniversel. . Leor chate pré-- fi!d'"dclqm associés ; encore un peu de temps, et -Li:ol- ai aveo . orgueil ne;;, i t propres autels brisés en 6t lotire frigrments Hlisparsésn n x rorerpadsit 3 To cohinrs: ns ue h ks ot o abe w d radh s dane> * _Iw'* 'Re fern sn contive gloriwuem, t 2 Feoint o les %-»m'.-.' CC EETTCD C i: un marques les plus fortes de 'votre fili-- al attuchement au Pasteur ¢n chef du Monde Oatholique, Pour dormer & Notre Saint Pore, nno preuve encore plus convaincante de notre affection, prions Dieu-- d'arréter la tempéte, ('ui ©xerce maintenant sa rage contre 'Eglise ; prions pour le retour de jours plus heureux et plus sereins, et dont -- l'aurore, qui com-- mence & roindre dans Pavenir réjonit déja Posil inquiet du fervent On'Luli- Avant de se séparer, aprés leur Re-- traite annuelle, vos Pasteurs ont cru ldevoir, dans les circonstances actuel-- les, donner cette nouvelle preuve d'a-- ' mour et de dévouement pour I'Eglise, pnrce?ue la cause do 'Eglise est ins6-- {mmb ement unie au sort de son Jhof supréme. Nous savone, Nos trds chers Fréres, que vos sentiments & Pégard du Souverain Pontife coin-- cident parfaitement avec coux de vos Pasteurs : car, depuis lo jour oi nous avons commencé 50 travailler comme Evézno parmi yous, nous n'avons pas cess¢ un seul instant de recevoir les _ Vous lirez, Nos trds chers Frore avec un vif intérdt, 1'Adresse que le Clergé de Notre Diocése vient de transmettre & Notre Saint Pore le Pape, pour lui exprimer ln profonde eympathie que nous Gprouvons tous ensemble pournotreglorienx Pontife a cause des épreuves ot des souffran ces, qui, durant ces dernidres années, ont tant pesé sur lui.-- Joseph. Eugéne Guignes, par la rico ge Dieu et la favenr dn saint giégo Apostolique, Evéque d'Otta~ wa. A tous les Fidéles de Notre Dio-- cése, salut et bénédiction en Notre Seignenrlflelm'-'ohriut.'~ in Messiours, ce n'ost pas. 14 Padulattion for-- cée d'une population servile au sattupe d'on gouvernement _duspotique; e"est Peffusion ;ponl-nb-, désintéressée 'et raisonnée & in lois des sentimens d'affection d'un peuple libre envers sa souveraine, de leur attache~ ment & son trone, et de leut inflexible déter-- mination de maintenir intcte 'Punite de son glorieux empire. Je n'ai jamais douté un Aoul_instant des sentimens loyaux do peuple du Canada, et je crois que si la necessite d'un deploiement efficuce de ces sentimens se presentail malheureasement, pas un seul homme en Canada mangnerait & son poste. Messieurs, je suis on masure de vous dé-- olarer, que non seuloment moi--méme, mais encore ceox qui sont responsables nu peuple de ce p-y-rqr Padministration de ses af-- faires, ont & carr la rfipmliun de la dé-- fense natiounle, mussi virement quaucun homme en Augleterre. Pespére que dans quelques joure un sysléme sera promuigué, i permeltf@rauz cotoyens de ce par, sang fim pour euse=memes sans nuir d leurs oc« ;u'}aaum industrielles, de se metive en état de fense contre toute ugression. -- (Applaudisse-- ments.) LETTRE PASTORALE DE SA GRANDEUR MONSEIGNEUK LEVEQUED'OTTA W A, POUR Eg\m.m LE DENIER DE ST, PIERRE DANS SON DIOCESE' # Votre pays ast maintenan: at résters encore longtemps un pays essenticilement icole, et vous no pouvez évaluer trop haut ' d'aveir un si excellent poient de dans la course do la oom'ruh- ag c Pai ou brh quelques mors'Poc» casion de traverser la plus grande partie de ce p":. certaibement un peu & is hite et Repraitione in rrefoonetlt par ce demeng" tiope jui 6 ue t dee a-- lntzi- de h{uli au Irh-,p:t de considé-- tation 'nmeu iére pour moi, qui sont venues se fon ot. trouver le ur pn"onl culminant dans eotte magnifique démonstration de To-- ronto. Je no puis m'hz::im do ressentir i Iurnhuo reconualssance personnelle et L plus grande satisfaction publique ponrl V'acoueil que Pon m'a tait. . __Rendone nous done tous en corps :fld::ndol-'-uhdhu:na son en cette mercredi sence que frangaise Oa.uda uul:l':u loin --de di-l:w et encore moins de s'éteindre ou de périr, qu'au contraire elle est plus q%mu pllu-'vir'l:: Un diner 'a été -- donné & Imuf::'a Toronto, & la cloture de I'erdon. YVoicl du discours de Son Excellence le pussage relatif :n nn": nouvelle organisation de la auté coutumidre "ét 'de tant d'antres per m sur leur loy: xt aussi empressés & re-- lence, qui: Font 6t6, trés chers Frére esc ol n is apent S§pHP cat anigno pertrois chirurgions nemic. w.mflmt dtre lb jeot Efi '..".'.',,':u Ti o contdnt do o%. e ce Pflr, sang nuir d leurs oc« metive en état de «-- (Applaudisse-- Padulattion for-- Au satrupe d'on #est Peffusion raisonnée & in souveraine. tes de in ville do Galles, | 1 m ud de Ga in mm ds amondt at 1":M"'JElvfit:' pour I:.Mapfin': Garibaldiens an golonel Pallaviaini, qu'ils acousent d'avoir commencé Pat-- taque sans sommation préalable, ils sont loin d'dtre prouvés.. Tout & croird au centraire que le um Pallavicini & agi on officier ot en gen-- tilhomine, Les blessures de Garibaldi donnent aujourd hnide asgrieuses inquiétades ; T ced d ve P rort des ofticiers Garibaldiens, que lears soldats avaient regu Pordre ?or- mel de ne pas faire fen ; Garibaldi parcourait le front de sa Petite armée en criant " No tirez pas," Malhen-- reusement, quelques volontaires, ef-- fray6s par le feu nourri des troupes royales, ripostdrent, ot avant que :onn ofticiers ."l-.m ou le hmpll :q. es . azrdter, plusieurs B""'Si étaient tombés. ~Dn reste, des doux "m sont beaucoup moins conai qu'on ne Pavait annon-- 0é d'abord. . Los morts, du coté de la troupe, sont au nombre de %'n ot do sept pour les volonbh:'u"'ml. tm pe a on vingt--ci et les vol uir; tli:!-nllta morts et les bles-- sés trou nent pros-- ue an p:i:mwliu de %u":fl':u, ce qui prouve clairement qu'on n'a N:n.l' mhuolo-\dnm que sur un Quand anx _ Bonne nouvelle et pour le jour ' nallste ot pour I'Aboune _ Nous apprenons qu'a Vassemblée de Passociation de la presse qui a eu lien a Toronto le Maitre--Général des Postes, Nlon. M. Foley, a promis d'abolir les frais de poste sur les journaux. . On a uu{'onrd'hni des détails com-- plets sur le combat d' Aspromonte, dans lequel Garibaldi a été blessé et fait prieonnier. -- 1l résulta d'un rap-- addeae oi o o en ud d M. Baptist s'6tant retiré avant l votation, M. Malhiot est l'élu de cet-- te Division. M. Bareil--Lajoie a 6té éln pour cette «Division avec une majoriter d'au--dela 600 voix. + MAVCANLS Yelstdi0 + au sujet de la construction de ponts sur le Canal Rideau. Imprimée par ordre do l'assembléo légis!ative ot dont nous --profiterons, Regu, réponse & une adresse de l'uen}ljlég l_g;iahtive, du 5 mai 1862, °_ Nons avons beaucoup d'architectes de cette fagon ({)ni viennent visiter nos batisses publiques, qui ne les comprennent pas, qui pourtant se croient architectes (f) et voient " le haut en bas" * Je vois mieux comme cela" ré-- pondit Pautre. e L lutnl Mecredi soir aura liew un grand convert vacal et instrumental & ~Foc-- casion de la visite de Son Excellence. Lo public est spécialement invité doy assister.-- Voir Pannonce. 11 y a quelque temps, un cerfain architecte, critiquait amérement dans une réunion, un projet de fldche dres-- sé jpour une égliso d'un village qui no se 'trouve par & 100 milles d'Ottawa. Un autre architecte qui n'était pas éloigné s'approcha, et reconnaissant son couvre Kxi dit froidement--* Vous tenez mon dessein le haut en bas"-- Donné & dmw.,' sous notre Sieng et sceau, et le contre seing de notre Becrétaire, le vingt quatre Septem-- bre, mil--huit--cent--soixante--deux. t Jos Evaiw®, Eveque d'Ottawa, Par ordre J. L. O*Connor, Diacre, Secrétaire. Denx fois l'an, west--4--dire, le Di-- manche de s Pentecote, et celui de la oo e Sn T Xennitb de St. Michel Archauge, on fera une collecte dans toutes les pa-- ;',omeol? "l.li.'i'm de N:tn Diocése ; n collectb devra étre transimis l%mn 'Résidence épiscopale, pour étre ensuite expédic au Souverain Pontife, -- En échange. nous nous es-- timerons heureux de recevoir sa Bé-- nédiction Axo-wliqne. Tinné & PWkose Caall 4 i. nous ré@gentoné an fond de nos coours ea::' lflunm de |'lllfi' qn:' noi es offrandes, et ren 'A ©0b. val Tos Prése 4 n Nous 6ta ?l::::'.dm notre Dioe:' ln connue dans le monde sous le nom'de Denior de St. Pierrc. ' comme vyous ont otre Baint Pore le i' de in plus grande partie de ses 3 maines temporels. Vous le savez ausei, de tontes les partics dg, Monde Cldmli'le, un effort généreux lui a fooral ihondantes sumones, pour ul ce que des mains im lui sv=nt :'Il.\'(s avee viol.'»e: Cest avge reconuaissance que le Sou-- verain Pontife a wetrl ces offrandes de is piété filiale. { est maintenant r nous de lui en notre e sn e atke Pos verser s jours d' ve. Montrons done, mal ' notre pauvreté, CORRESPONDANCE . D'EUROPE Division de Lanaudiere. (Pour ie Courrier d Ottawa.) Division Shawenegan Document Offictels itres, Nos tres chens, Freres Panis, 12 Septembre 1862 , sous notre Sieng we . pouranive r in défense d'un mt npinamg momen meyeler ..1 Cemme io Nattis Derorions _ Les nouvelles dos districts mana-- facturiers, en France, en Am et en s-h::,. '3:'1 tonjoure ia guerre fratricide z%'ufmm n Bunt® Unin ieteaiomitiogme qu'ici ot':n vo?:gni_nfl l:'ljl:.l toraux seront convogués pour la fin du mois fizoch.in. '8. d!t tout bas que les Républicains et les Orléania-- tes se donneront la main aux prochai-- nes élections, et espdrent, grice & :0! fnm envoyer une quarantaine membres an prochain corps légis-- latif. . Je doute fort qu'ils y parvien-- En Frunce, les bruits relatife & Ja dlissolution du corps législatif ot & des élections générales pour cette an-- née, sont de nouvean & Pordre du .. Le nouvean journal de M. de migre, ZLa Prance, nJ: qu's prétendre que les colléges élec tribun populaire, qui paie chdrement nnjonnn'lll:i son or'guemt son obsti-- mation. Garibaldi peut se roprocher davoir reculé de plusienrs années peut--6tre l'émancipation des Monté-- négrins, qui méritent & un si haut de-- l'intérdt et les sympathies de i'En-- rope libérale. Les tmalheurenx Monténégrine, qui combattent 'depuis si lonqtemp- en vain pour leurs libertés et leus indé-- ndance, viennent d'otre contraints E: faire leur soumission & la Porte. Le dernier souldvement, dit--on, eu lien d Pinstigation de Garibaldi: plus rudents que les Monténégrins, les Bongroin ont refusé de rwtor Poreille anx proclamations déclamatoires du T est question d'une lettre adressée par Juarez a Napoléon III, dans la-- uelle le président de la République g{exicaine se plaindrait A Pempereur de ne point pouvoir établir de gou-- vernement stable, fpnrce qu'il a contre lui les trou')es rangaises. . Juarez demanderait éloignement du géné-- rdl Almonte et se ferait fort de rén-- nir ensuite les différentes fractions du mi mational. Je ne sais si cette re existe réellement ; mais le gou--. vernement de Juarez a donné tant de preuves de son impuissance et de sa maunvaiss foi, que lempereur a tont lien de ne pas avoir grande con-- flance dans ses promesses. un but de conqruém: nous avons dé-- jA sur les bras trop de ces expéditions lointaines ; elle demande simplement qu'il soit fait droit &'ses iunu récla-- mations. . Maie si Nmn III peut contribuer & établir & ico un gou-- vernement stable et sérieux, i! pro-- fitera naturellement de Poccasiou qui se présento aujourd'hui. (HC.) Joudi _ _ On prétendait Jdepni- qitelque temps que Pentento était de nouveau compléte, entre les gouvernements de France et d'Eepagne an sujet de Pex-- pédition ca Mexique; mais les jour-- naux semi--officiels de Madrid se sont chargés enx--mémes de donner un dé-- menti & cette assertion tout au moins prématurée. Ce que je crois plus prés de la vérité; cest qu'une fois nos troupes arrivées & Mexico, les repré-- sentants des puissances v'wnn-iru du traité de Londres--se réuniront de nonveau pour convefiir d'une solution définitive de la question. Juequ'a ce moment, tout demeurera néces-- sairement dans le statu guo.' La France ne va pas an Mexique dans e tmal B "" _ A propos de mari je puis vous ll\uol'l'ct:l nbue la reine W'cto':il: a fait au prince Christian de Danemark la demande officielle de la main de sa fille Alexandre pour le prince de Gal-- les. On dit la (Yrineeue fort "'olio. Elle est Allemande ;8r ccour et 'es-- prit, Le prince de Galles doit pro-- chainement avoir, a Bruxelles, une entrevue avec sa fiancée, L'épogue du marriage n'est point encore me: il n'aura probablement pas lieu avant le millieu de Pannée prochaine, la princesse Alexandre étant encore fort ' jeune. ~ _ ' _ Les dernidres troupes _ de notre corps expéditionaire viennent d'étre emg:rqnées pour le Mexique malgré les assertions contraires des journaux anglais, le chiffre de notre armée ne dépassera pas 30,000 hommes y com-- pris le valeurenx corps qui avait 6té primitivement envoyé & Vera Cruz. _ ~On annonce que la session du par-- lement italien va dtre:trés ptochaine-- ment close. A Turin, on 'm: de grandes fotes pour ls cé i du mariage de la princesse Pic, se-- conde fille de Victor Emmannel, avec le roi de Portugal. La princesse Clo-- tilde doit y assister. E mariage se fera par grocuution ; ¢est le marquis de Leulé qui représentera le roi de Portugal et nnrx'glen la jeune marée & Lisbonne, -- Cotte upjon est vue de mauvais cil par la reine d'Espagne, qui a pris omKr-gu de l'alliance intime qu'en résultera nécessairement entre les deux cours. Elle mangue pas de servir de théme anx uouvo?licte', qui voient déja 1'Espagne réuni au Por-- tugal, soug le sceptre libéral et popu-- laire dlcla la maison +de Bragance. "ost r un peu vi ne. Cest aller un peu vite en besogne. _ ne sont pas fondés l sole ts de 2ot | m s est fines »3"-»« is La cause de i et "'DK x"' la question de ple de Garibaldi ot de ses volontaires | Fos est en ln race blan-- ):u('m hum"d- y pbuoeum.llnnim ;rbmanm!u * % renvuy6s . dans leurs familles sans mssn« autre forme de progés® . Ce qui em-- # barrasse le gouverninent, cest la for-- ""Wlmh s'effectuer. -- Tandis uns re-- Pour le Courrier d Ottawa conmaissent du roi I?;roit de & __.._' ) donner avant le procés et la eomm Naw--Your, 26 Sept. 1862. nation, d'sutres prétendent que les| 0w se précecupe beaucoup moins aujour-- chambres seales ont le pouvoir d'in -- | P'hai des mouvements militaires, peu im-- tervenir et d'empm ln mise en ac--| portants du reste depuis Pévacuation du eusation des coupal Bi on ne par--| Maryland par les conféderes, que de dour vient pas & s'entendre, le procés se| Procinmatious lancées coop sur euup par fera, mais pour la forme seulement,| M. Lincoin. La premiére mot en »iguear et, Pumnistie suivra de trés pros l6 | is loi de confiscation, gui n'6iait pas 'encore prononcé de is sentence. pp.iquée par tous les gevéragx. et déciare la. Intte n in dbrmee Pan "/es Coux armees, sur le Potomac supérieur we sont séparbes que par in rivibre, . Les .-hhl-hp"lhr cecupent depais lear évacontion n".: Depuis In dernidre grande baisille de Sharpaborg on 'I'Antictam, et !'&vacoation da Maryland par les confédérés, les noure!-- les militaires sont sans anonne gimportance Les deux armees, sor io Potoman Ode. . Ces Incunes sont d'autant plas regret-- tables, que noue serons probablement soumis & ce régime exceptionnel josgu's ia fin de In ®mprisennements, sans autre forme de pro 'e-»--l prour6 que, grice an zéle intem-- pestif on intéress6 d'agents sabaiternce, les citoyens les plas honorables dévouée & 'U-- 'nbnpunimhnmdo""enrqw les enrélément»," de se rendre coupables de * mancovres déloyales' et de donner « ai~ de et confort aux rebelles." . Du moment oi les tribunanx civile sont incompétents et on lea priviléges do Thabeas corpus sont suspen-- dus ; du moment on is premier officier veno peut se constituér & ia fois jage ot accusateur, on aurait di préciser davantage les chefs «Precusation et no pas s'en tenir & dos gh~ néralités et & des phrases qui peuvent tout dire on naffirmant rien. On laisse ainsi la porte onverte anx delations, anx secumations fausses, sor jugements sommaites et ant L'établissement de la loi martinle était attendu n'a surpris personne ; mais ici engos re M. Lincoln a 66 mal inspiré dans in 16-- daction de sa proolamation. 11 n'est pas assez explictte sur beaucoup de cheses, et trop vagues sur d'autros. Des exomples ré-- ment des negres, massacre des blancs, eto. M. Lincoln n'a certainement pas voulu dire cela, ot il faut eapérer que les plus ardents abolitionnistes eux--mémes ne révent pas une nouvelle édition des masacres de St. Domingue. _ Mais on ne lance pes une pro-- clamation de cette importance sans on avoir pesé tous les mots et mesuré teute la portée. I! y a une phrase dans ceite prociamatien, dont M. Lincoin n'a certainement pas soup-- gouné toute la portée, et qui au Sud va sou-- lever Pindignation générale, En voici la traduction ausi exacte que possible. o« + . . Lo gouveriement exécutil des Etats--Unis, y comptis les autorités militai~ res de terre et de mer, reconnaitront e maintiendront la liberté des personnes ci-- dessus. _ (Les esclaves déclarés libres par la proclamation, & dater du ler janvier) -- et no preadront & 'égard d'aucune d'entre elles, individuellement ou en gonéral, nulles dis positions afin de réprimer aucuns de leurs efforts pout se rendre libres." ' ment des negres, massaore des La rédaction de m;pinn est malheu-- rese, car les mots aucuns de leurs efforts peovent tout signifier: révolte et soulsve-- De ces cing déclarations de M.; Lincoln, les trois premieres ne sont en queique sorte que la reconnaissance formelle de Pexisten-- ce legale do Pesclavage et de son droit plein ®L entier & étre protege par la constitution des Etats--Unis. Ces trois premibres décia-- rations ne cadrent guere avec les deux der-- miéres, qui proclament Pemancipation des esclaves possédés par les rebelles. Ainsi, Tant que Pesclavage, le maintien pur et si-- mple de la servitude forcée, peut eervir & la cause de 1*Union, il ne faut pas y taucher ; mais, du moment o 1'émaneipation ; pout étre employce comme une arme, on . doit ' #'en servir. Cette grave mesure' nest n Pceuvre d'un homme convaineu, ni cBlle d'un homme d'Etat. Etde quel divit M. Lincolu proclame--t--il Pémancipation par-- tielle, du moment o% la constitation recon-- nait Pesclavage ? Le congrés lui a bien don-- n6 le droit de confisquer individuellement les negres appartenunt anx tobolies ; majs il ne l'a pas autorisé & émanciper en masse ceux que les autorités militaires ne sauraient atteindre. . 'Tout fait prévoir qu'ao ler Jan-- vier prochain la plus grande purtie da 'Sad ne trouvera dans la méme situation quan-- jourdhui, et que pendant longtemps encore Ia proclamation de M. Lincoin demeurera une lettre morte. 4° Menace d'affranchissement gonéral des esclares pour le ler jaovier 1863, dans les Eiats qui se trouveront encore & cette da-- to en rebellion contre le gourernement. 6° Injonction «ax autorités civiles et mwux officiers de, terre et de mer, de no faire[mucun acte pour restreindre les escla-- ves de ceite derniére catégorie, dans aucun effort qu'ils pourront tenter pour obtenir leur liborté. 3° Promesse identique aux citoyens res-- 168 fidéles daus les Etats rebelles, leaquels se ont indemnisés de toutes pertes subies par le ffaitdes Etats--Unis, y compris ia perte de leur esclaves. 1° Reaffirmation de la garantie constilu -- tionnelle en faveur de I'institution de Fescia-- vage, dans les Elats domourés fidéios & ia constitation, ou qui, dioi, au ler janvier 1863, rentreront sous son empire. _ 20 Promeese dindemnité aux Etats loy-- aux qui voudront entrer volontairement dans la vore de P'émancipation immédiate on gra~ duelle. Ce doscuthent, assez diffus dans sa forme ot ses expressions, peut se résumer dans les cing points suivant« : Naw--Youn, 26 Sept. 1862. Ou se précccupe beaucoup moins avjour-- Whai des mouvements militaires, pes im-- portants du 'reste depuis Pévacuation du Maryland par les conféderes, que de doux prociamatious lancées coop sur cuup par M. Lincoln. -- L& premiére mot en ngueur In loi de confiseation, qui n'tait pas 'encore app.iquée par tous les geuéranx, ot déciare libres los esslares qui & ia date du ler jan-- vier prochain, se trouveront daus un Etat oo portion d'Etat en rébellion contre le pouvoir fedéral.. Dans sa seconde prociamation, M. Lincoin, en vue du prochain tirage au sert ot des oppositions qu'il pourrait rencontrer, suspend les privilégus de Fhabeos corpus ot nous place sou le régime wmilitaire ; cest en un mot l'éablissement de Pétat de sitge On: s'aitendait depuis quelque tomps & ceite derniére mesure, retardée nnlu;; parce-- que le gouvernement nrlu de n'grpir pas besoin de recourrir & in conscriptidn . Quant & is premiére prociamation, relative A 'émancipation des esclaves, clle a péui-- blement surpris ie pays. sar le cofronnement de Notre--Dame--de Aine e are &n es tile Jn thome nom qu'es appeick fétes: Vive Ia France catholiqne! ¢ mm 't:n: .'?nnmu:t qn:i it de trop dians dea bouches tran & ce or| si souvent jusqu & tC susceptotlith de queiques pereonnes ©S00 CnoTee ut, etl ont éeté tout. Vom?t.r'::vu dans les .otl.: chapitres de Saint--Pierre ot deSaint-- Jean--do--Latran, dans les m tions, dans les tribunaux dqn:..l la cour du Pape. des hom-- mes de tous et personno ne pord sa -do-p.h'lzen le servant. s¥npoin Fmign't un Gerkts. poine is Rome étant la Ville--Catholique, son Evéque, ses Cardinaux peovent dtre choisis partout, etPont z::pn- Rome est, avant tout, la téte de 'Eglise, la téte de la société spiri-- tuelle, surnaturelle, divine, éternel-- le, dont Phomme--Dieu est le chef invisible et Pierre le chef visible. Aussi 'Egliseest--clle catholique ro-- m'll'ne. ite, Rome appartient n ' ar sui m ient non su aux Italions, m:g au Christ et 'Eglise universelle. Les Italia-- nissimes disent bien que Rome--est & eux; qu'elle est leur capitale; mais pas un catholique ne leur pas-- sera cette outrecuidance, ou plutit cette rouerie ; car les Italianissimes --rendons cette justice & leur intel-- ligence--ne croient pas un mot de ce qu'ils disent. Rome est pour eux, comme pour nous, la tte du monde, caput rerum, la Cité--Reine. Et la preuve, c'est que l'armée na-- tionale quia envahi la Sicile et Na-- ples, ot zui voulait s'emparer de se capitale, était de tous pays. Qu'a-- vaient de commun avec Rome Turr, de Flotte méme Garibaldi? car je ne sache pas 3\1: Rome ait jamais 6té la capitale de la Provence m ';éI:oussaomo seule, éwin*hh i ni 1832,peut partir, pour la froi= sigme foi, Ilpp:roltdo Punité moderne, parce que de Rome seule peut par-- tir ln destruction de l'unité ancienne." | En d'autres termes, il faut faire de Rome le foyer de la révolution humanitaire. (1) Cité par Mgr Pio, dana _ "* La Vierge, mere deDieu, dit un vieux poéte, a révélé, et par ses pa-- roles et par des effets, qu'elle aimait Chartres de préférence & toutes les cités. Dans de fréquentes appari-- tious, elle a daigné se nommer elle-- méme Dame de Chartres. LA,elle ré-- d des bienfaits sans nombre et 5:." faveurs sans égales; !a elle a choisi sa demeure et mis en dépot ses plus riches reliques (la sainte chemise dela Vierge) (l)."' II Les sideles développent ses ger-- La crypte de la cathédrale de Chartresgarde précieusement unsou-- venir qniest la gloire de la France et la sienne. L'obélisque de Sainte--Mario--Ma-- joure nous apprend qu'a partir de ce moment Auguste défendit qu'on l'appelat seigneur. Le seul seigneur du ciel et de la terre allait naitre. La France, elle aussi, est une terre priviléfl'{ée et, dés avant la naissance de Maric, les Druides éle-- vaient un dutel & la Vierge qui de-- vait enfanter: * Cette chapelle, appelée Ara-- Cceli, est bAtiePenu lioupp;xéme on F'on croit que la trés sainte Vierge meére de Dieu, se fit voir, avec son fils, a César--Auguste, dans le ciel, au milieu d'un cercle dor." ARA PRIMOGENITL DET. L'6glise d'Ara--Cceli a consacré cette tradition. A gauche du mai-- tre--autel oi s'6leve la rotonde de Sainte--Héléne, on lit sur la frise ; Hac Ara Cl appeltatur eodem in toco mcala creditur in Virgo sanctissima Dei mater cum }lu;ao suo se trasse parh : Rome antique est is %?n de Rome chrétienne, entrevue déja par les Sybilles. Puis, quand les temps vont s'accomplir, Dieu montre aux Romains le regne du Christ et la Vierge more. Virgile, dans ses beaux vers, xoynlsriu les oracles de la Sybilles Auguste, avant méme la naissance du premier né de Dieu, le voit dans le ciel et lui élove un a u-- tel au Capitole, avec cette inscrip-- tion. In riviére Noiro. On o's pas, depuis que}-- ques jours, de nouvelies officielles de Par-- mée de McClelian ; mais des voyugeurs qui arrivent journallement & Harrisbary assureo! qu'sucas mouvement en avant n's encore. 616 fait par nos troupes. Les mémes voys --"'.',' peut distinctement voir les campa des rebelles de Pastre cété du fleure, a Willinmebure of & Failino Werme. Dans les préordinations divines, I'Italie devait dtre la tribu sacerdo tale, et la France la tribu royale du nouvesu peuple de Dieu. : Les vues de la Providence sur les deux pays gelatent dés avant le Christianisme. parait plus eraindre d'attaque sur Lovisville, quis 616 mise en complet ctat de defense et ot ob vient dParriver le général Buell aveo plusieuss divisions. fleure, a Williamsburg et & Failing Waters, ol se trouve ie quartier--genéral do chef se-- paratiste Loe, L'arméé de McClelian re-- goit chaque jour de nombreux renforts et re-- prendra prochainement Poffensive. On ne Souvenirs de Rome. ROME ET PRANCE, Viromn raritor. in circulo aureo mons-- New--Yorxam Wi-'.o-r les changeme """S.'E xt tie aiuing est pour le rappeler~-- sins donte la France que I'Egli-;et la Chrétien-- té sont nid%u. Cest a Rome que ré-- Trmace qoiabite is promier vaeey ie whabite le premier v Maric, 'Nos rois, dopuis Lour KTo {n' prétaient foi et hommage a Bou * Nous avons déclaré ot déclarons ajonta Lonis XTIT, que prenant la trds sainte Vierge pour e spéciale de notre wous Ini consacrons t _ notré personne, notré notre courorine et nos shjets." Oe veen continuie d'dtre célébré lo 'de 1'Assomption dans tontes nos Les denx pays sont les instruments de la puissauce divine : cest par Ro-- : q:fleJ'Fglha est gouz::née '.:t que nations sont enséignées ; cest par ln France que l'Eglise et 1a Chréfig:- rolflo, il est juste que nous soyons & "honneur, et le sang ?eni a teint le pavé de Lorétte en ost gago assu-- Quoique le régune de un et de Fautre s'étende & tout Punivers, cha-- cun d'eux a sa terre de prédilection et son réprésentant visible. Laterre du Christ, cest l'Italie; son trone, Cest Rome; son vicaire, c'est l'Evé-- que de Rome-- L'homme--Dieu, nouvel Adam, est de drois & la téte et de la société spirituelle qu'il a engendrée, et de la société humaine qu'il a régénérée, et Marie, l'Eve nouvelle, est son ai-- de dans un et dans lautre ordre. Néanmoins la personne divine du Christ persounitgee plus spécialement Pordre supérieur, surnaturel, divin, tandis que Marie, simple créature malgré ses perfections, personnifie la droite nature. . Elle représente 'hu-- manité, préservée en elle de toute tache et réparée par le sang du Christ; elle représente la Chrétien-- té. Aussil'Eglise voit en elle le secours des chétiens. Quand Dieu veut la fin, sa sagesse dispose les moyens. Or, voulant |'u-- nion des choses divines et . des choses humaines,'union du ciel et de la terrre, et par suite Funion de 'Eglise et de Phumanité, il a bout_disposé pour cela. Francais marchent en téte de la ré-- publique chrétienne et sont le prin-- cipal appui de Rome. Qu'on le veuille ou non, il en a toujours été, il en sera toujours ainsi, Phistoire, la tradition, les Papes, tout le démon-- tre. _ Or, la Chrétienté, elle aussi, est catholique, c'est--a--dire universelle et une. De 1&, dés--lors, comme dans 1'Eglise, la nécessité de Pordre rour éviter la confusion, et par suite ia nécessité d'une terre, d'un peuple d'un chef providentiellement chosi de Dieu pour aider 'Eglise romaine. Cette terre, cest la I'ernnce. et ce chef, c'est le Roi trds chrétien. De méme qu'en fuit les Italiens et sur-- tout les Romains sont a la tote de 1'Eglise et ont la principale part dans le qouvernemant de la société fl;irituel e, dg méme, . en fait, les rois de la terre; NotrE--Sx1oNzUr, en un mot, n'est pas seulement le Chef de 'Eglise, il est encore le chef de Phumanité qu'il a réparée, le Chef de la Chrétienté. TOCLOOTOLCO* Avequenniversel, avait \nnfibfi:fllu, du moment oh la Pa-- 'puléo"q it m;i;a n:. Bdn-BiéE \ ue, au Si Pierre, 'm:i-, et aprés eux les Italiens, devaient nécessairement tenir une zlndo place dans le gouvernement PEglise universelle. Loin de nous en choquer nagnére, nous jouissions tous, prétres et laiques, de la gran-- deur romaine qui nous éclipsait, mais en nous illuminant de ses nlom; nous en jonissions avec un euthousi-- asme qui éclatait en cris d'admiration et souvent en larmes ; car nos cceure sentaient que cette ndeur est la notre. Dans cette ]'fg?ue catholique ol tous vivent de la méme vie, com-- ment le bras serait--il jaloux de la splendeur de la téte ! Mais le Catholicisme, par cela mé-- mzn'il ést universel, n'est pas une société purement spirituelle, surna---- turelle, divine. Le Christ, son Chef n'est pas sculement Fils de Dieu, il est aussi Fils de Phomme. Il n'est r'seuhmtnt " P'Auteur de la foi et "Evéque de nos ames," il est encore notr:}.égislateuret notre Roi, le Do-- minateur des nations et le Prince des femedine ain Iniltey mene, ao, ue son meme, car cest h:;: Phistoire, Je sais bien que dans l'?hail n'y a oi Juif ui Gentil, ni Grectni Barbare, et que toute nationalité s'ef-- face dans l'ordre spirituel. Toute-- fifi.ilu"fintrien d:m Les hommnes n'étant esprits, il faut bien & l'giu l':"lcne.un peuple, une ville de prédilection : cette terre, clest 1'Italie, ce peuple, ctest le peuple romain;' cette ville, c'est Rome: Du moment on le Vicaire du tout en étant 'Evéque universel icaire du Christ 1000 P 100 wick, aprés a to, nved nada, s a partic ses pub mardi 1 jour, & Lady I quai pa Tessier net. Son don et ont dé Irmous prenne rendre nouver baie de Brunsy --Le ; verneme dans le I ne la ery ever den poursuiv la bata 000 hot Une ce qu't mes est a brulé Fh\s o1 raient ments. dernidr Toutes occupé lyse le sentir veaux _maiso ses pr Il allait Evere D'a corps fort de a Wi Ortaiva, mettar terre e le Pré tion d: les bla entre brillis ligne, titue meub d sal couch Toute catalo Padre te rép nada, rées, | pour sire d de me Weil lecte Cour trois Les c nis sc dive re de