Le Courrier d'Ottawa, 19 Jun 1861, p. 1

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des fomaie ville avee en b.u'.i,.' IER Aussi un choiy vane ete, ERE woma t rand vieat ent iNNEL'r, C 'o vay» . Sa tahin en marchéx, ses it6, et le soin nbreuses pra-- 'dum er et da a dexe t en ue nfort ds d Hicer FM, I Cunl..., i AU®, amin ot is e n * a son éta-- d & ne lais-- mA toujours Montréal et tre de la OX aur noe lui--méme. 'zne venant e cour spas ILLE, ':'.'-'. i t l0 public ite, IER, BRoWnN 6t de couleu; &'ll ot EBecamis," M _ Redige par un GCtmtite do Colloberateurs, Qui eat NOUVEAU PAIN KILLER® 1 Wapuéparle Dr. 5. C Mievaciranacts Prix 25 cunts par boite. qed Jon Jelmls resaltats de ces mmwg Pefficacits de reméde, nous ne pouvons| Pin# q6 d'assurer l6 public Y"I posséde Actoeliemment toute ia vertu 1..| avalt '.'._ Aud péruit des cures 'ui-llqda )':-flinhwhn.hw-q le guore ha-- Main, rpasse tout autre o2 0O"!EMe2t _ connu us Doret mt Soire par Ja cure des maux de #l des affections ertiouiile do reprodubre h'lmw..': 2 Yertn que pour ces sortes de velg Pu dooe hm ont enas de. anaiatien, "I qammsescussc c °t PmiR est sans tival daus is mon 'gmm.nn!hd méeme n'aigut point fait une expéri de ses effet«. Cmn.".; Teinhs Niaakate ie ace 2l 0 1/ est au voir de h'm';fi--:'- a Baome r-::m I'Azw. pour la prompte gnénisson de Rhumes roids, influiza, entoue-- -cv'u. eroup, p'-.l'llui. mmissante et pour le soulagoment malades dans une phase avancée do cotte dernidre maladie. Po ceskg cmd T I P inePAnrmmrradicsciciiie & . fort un plaisir de fournir graiis & tous ceus qui en font in demande. Dy'spésiey affection da emur, abeds, dpi-- lepsie hameur sombre, névraigie, otc. De nombreuses cures de ces maladies ont 416 opbrées par l-irim ulhtérieure de cette médecine. le stimule vigoureuse-- mont les Immi::m vitaies, et combat des maladies que Pon En'u groire an=dein de son o&mic. besoine du ry. ont loogtomps réclamé ce reméde; et tious m'nro- certains qu'il apérera tout le bien aofll s se ind T L e e e esine pictement detruit ma santé. . Auvean remdde orduraire.n'ayant pu me soulager, mon bien-- ainé pasteur le Rrv'd. M. Espy m'a conseil-- 16 de f.'.f. usage de votre salsepareille en me disant qu'il couuu'-nil.}n loutes vos prépa~ Pationa me _pouvait produire que du bien. Grice a Di'.u. voire rm.uh.p-mlh qui m'a guéri a telloment pui mon j me sens actuelliement un lnm: Jo me sens rajeuni, #! je pourrais jammain, sous ce rapport, dire assez de bien de vous, Tumeurs cancéreuses, * blargement"* ulcéres, carie et exfoliations des os. On nous a rapporté beaucoup de cures ao« complies par cet excelent reméde, et nous référuns nos lecteurs & notre almanach amé~ fleain que les mrents ci--dessous nommés se futt un plaisir do fournie evale a L20000E Jules Y. Getchell de St. Louis, écrit ce qui suit:--©Jai été, dorant des années atliz6 dane affection da foie ani avait wam" hi S hi ind snsb Je peose que c'est une merveilleuse mede-- Cine. Dr.. 7. C. Aw,--Mmicnr. j'ai 66 affii~ g6 pendant gtemps d'un dovleureux thamatisme chronique contre lequel avaient échoué tous Ins efforts de la medecine. J'ai ©0 recours & votre saisepareille dont une seule bouteille m'a radicalement guéri on deut semaines, de sore Tu j0 jouis notn-- ellement d'une bieu meilleure santé gqu'a~ vant d'avoir 616 attaqué de cette -lhdic.' Tout & vous fraterneilement G. V. LARIMER, M. D. Rhumatisme, goutte affection du foie, ludépendauce, Preston, Connecticnt, juillet rm. MERIADVCT:--AF h0 e Semank ingetintshi is d'uill-ur:' que d'aprés la kfmulc.qn votre Agent m'a remise, que votre préparation, sortie de votre hbu;uairv, n-pn':'lln qn'un' grand reméde, et je n'ai pas, on conséquen~ oe, 616 Nnanf'.d{-_al In-nr_vux résultats. le méme maj uP i t Auparavant poor le méme mai par lo mercure, et qui avait 616 1a proie d'incroyables souffrances & la saite de Phumnlité, a 616 également rendue ' & la santé en 'nlqnu semaines. Jo sais d'uill-ur:' que d'aprés la formale que vutnf Spans NHToppe en 1 1 rreet rviitns ied huss Ccb Raccs d 10 salsepareille une tumeur ovaire quiavait jus-- 3--" présent défié tous les efforts de ia ino-- woie, mais mprés avoir employé votre re-- méde durant six semaines, il ne restait aucun *yraidme de la maladie," Maladies syphilitiques ou mercuriallas, Nouvelle--Oriéans, 25 aodt 1859, Dr. J. C. Ayer,----Monsieur, je suis, tout-- A--fait de Popinun d votre agent sous le nz- jmn de l'ozuciu de rotrs salsepareille. 'ai dans ma pra we, opéré maintes: et maintes cures nm"?u cas de maladies vé~ nérieyues. . L'un de mais malades avait des ll'h'u'rn au gosier, & la bouche et -uvm; il a 616 guéri dans cing: somainas. -- Une antre att de is ndma.maladie a 616 égulement '-Wu nalle trace n'en feste sur sof vi~ sage. Une femme traitée auparavant poor le méme mal par lo. merauss s« sut NP 1. D PpH@ whes e Hiptinmeds adl ¥is 41..0.0 N. Y., en date do 12 septembre 1839 q0%i a guéri radicalement uu cas d'hydropisie qui menagait d'8tre faial et ce pur le moyen de votre saizepareille. TI a -p:: également Jn cure de viclent Irésipéle & fories doses do méms reméde qui en outre guérit les éraptions ordinaires, nfimnn-. goitre ou r-loml du cou. Bebulon Sivan, de rospect, Texas, écrit ce qni suit:--* Trois bouteilles de votre sal-- ' salsepareille m'ont. corapiétement guéri du hidewx gonflement 'du cou que l'on appalie guilre ¢t dont ja souflrals oructiement depuis deux ans. Edward S. Morrow, de N.'INI'?, Ala~ bama, cite le cas saivant j--6 Jai guér. dnlna ma _ famille, _ av moyen~de ~votre «al-- Alfred B. Tallery, Erésipéle ou feu de St. Anioine, Dartre, c.'m-'.:, Maux d'yeux, Hydropisie, &e. uh ied PP sc d comme I'un des plu.'llid bienfairears de Phumauité qui alent dxi#é dane ce et in suls arde reononinence roure datont 0i vileur. vaincu que cette terrible maladie est ohase6 de mon systémo. Vous pouver me ctoire en vous Jéclarant que je vous contidére . C Agrer K C ) 0 .Dio o0 bl-hu-'no'chnn-*.. wetre salsepareille a opéré en moi. g maladie -mhln--'-r- 616 tranmise, .jen ai soufflart. durant loogues anndes. 'Ih-adhm--mq-fi.a anx jambes, taulét atisignait Destomac, in thte et les oreilles qui: n'tait plas qu'une senle plaic. . Toutes les médecines ordi~ uhires dont jai fait usage ne mont procgré aucun soulagement, sout au cootraire le empirait. Kufin, js me suis n dans un journal le Gaspel puration de votre sal ille, ot naissaut, de repuiation j'en ai enveyé chcr'Cchului..z'.- ai fait usage, et j'a 16 entidrement guéri. . J'ai pris co selon votre prescription, on ites doses ot durant un ..i--hn-muil{:.ll". Je n'en est pris que trois bouteilles. Uue peau lsse ot blmLc v'c-phob Ia plaie qu: con-- vrait mon corps. . Je suis actuellement con« Le Dr. sures taches de roussour, pastules. at risy Lw wmfi-"hw,"h-.-h **I 'Oakiand, fodiaua, 6 Juin 1658 * Pour pariier 1e sang, 6t pour ls prompte des maladies suirantes, savoir dorefily c tompunty vioére arepu en it ares Perienee personnel Robert M. Proble écrit de Halem 20 abnterches HGKG Lian t 12 septembre 1839 qu'i} a ® Sivilinh. f.. wes porlter qi ou eas d'hydropisie qui tal et ce ,r l.-.,q:.. le. T1 .-95 également Trisipéle & forige doses moyen~de ~votre #4!-- Ayor J. FREAM i n'était plas gu'une Wws motePinec"ount wat 21 contraire to met Coutrier " o O Ammmmmiaonny _ _ --/*~ o AAAGLL i: " JOURNAL PUBLIE DANS LES--INTERETS PRANCO--CANDAIENS DU CANADA CENTRA1, Cerisist Suovage offectoe ons NR t ob-- :-Gh- -i-:;.':b'::;::;: on in Consomption sembinit dtre declares io ar fas d CC ETCP UIITT Sbtens 9 io Affections do 'Fore, et j'en a1 les réenltats les sf. ¢ in & fas d sette terrible -lld- re usage de Votre tout dbvong. Clyde, comié de Way: -',"N.Y. 10 mars 185 m"l.: l'n"l:e& ('m{: Je suin be reax lmrer qus j'ai fait usage de Amers Oxigénés dans ma prai ue perid les trois derniéres années, pl:nlv E mlr-m:: de la Dyspepsie, n débilité genérale ; l0 curant ainsi aux malades consolation et le comfort. U fame auill i2 2222 CCC 2 000T stveres il faut faire usage da .. Hanme de Cortater Sauvage dn Dr. Wistary Poor guérit Ia Tous criride, in Grippe ou in -.:i.". des Branches, il faut taire w la Wanme de Cerisier Sauvage dn Dr. Wistary Pour arréter la isposition & la Consom uc-',. it lurl:'i'v:':ug'. des w * Cortster + Wist Poorpven timsete Pid gestion, i\ au ' faire usage des AMERS oxicenes. Pour guérie P Asthme, PAcidité on lo Brile-- ment d estomat i1 faut faire usage des AMERS oxicenes. Cen romddes wisent Peffet gqu'on on at-- tend. . lis -h:::t ceax qui -J;ma. éloi-- gnent la maladie, rappellent & la aanté nex" Pour gubtir un Rhume on une Bavao® et C'n;','p:,--a et par Lamrrovow et C 19 mars, Personnes no nf:and: payer 3os. "ou;""l'fiinq cents.. Rooh \ »eal propriétaire ester, N. ¥. A vendre ;oulrfil, par Lywas, Savion sb Bb 2 cmo 2C " " Sont garanties devoir douner ES PASTILLES PuLMoXAiREs oz sayax Se recomandent aux Chantours ot Orateurs. U rasticlam PULMOXATRES be mrvax . Sont faciles et agréables & prendre. L8 PASTILLES PoLMOKAIRES e pavay . Fout plas 'que soulager, elles guérissent promptement pour toujours, LES PAStTiLLEs WLI_O.AIII' DE BRYAX ocm ttd tout le monde. rasticies PULMONAIREs br Bavan Toute personne devrait avoir uue boite des PasTiLLRs PuLMonata®s px savam Tout voyageur devrait avoir une boite des Pasticies PuLMaRatRES oz BeaYar GRANDS REMEDES: Gubrissent lrritation de la Lucite et des Amycdales. LN Pa#tiLiie PUiMonaEs be syax Soulagent les maladies ¢i--desus dans les-- pace de dix minutes. es Pastites POLMoNaiAEs o nuyas hrn'm'm toules les clanses et toutes les constitution. GuGrissent lo Crachement de s ol los > ut onBrowlewnirderPolrine.. "/ . LHe PASTILLES PulMonaine e »uvam Gnflimmhh Consomption et les Maladies du Poumon. o Les PASTILLES PULMONatnEs D« mavan \ Gubérissent lo es rastiLles Pulotonaires or Guérissent do |'Asthme. ds Rr». Es PASTILLES Pormonarres oe navax Guérissent les Rhumes de Gorge et de Cor-- veau,les Maux de Gorge et les Enrouements. msM ctiA cce ©2 aifeurs ; toutes les allln-,pam'l;:a';zl'no- naire sont des a;:nfugou. L':c ;'é{;'uleu se reconnaissent d signature AN qui est apposée sur chague PASTILLE. ["gmn Mll'uenu ®te Dl't:wvnl'u us ¢t eat le premier article de ce Iflj;nahlupmulnuk Iu-£ « r!:-- TiLLES PoLMonainzs," soit dans ce pays ou @ifleurs ; toutes les autre« nastitys Pay®_ °4 Row e m tty. Pour une bvite des PABTILLES PULMoNAiREs be »nvax LESPASTILLES PULMONAIRES Boulagement en Dix Minutes. DE BRYAN. ©, GIROUX, J. MUSSON, & cie., J powhes, 3. i. MaARSH, 3.'s. BowEN J. E. BURKE «8. STUKTON® es rasticias PULMoNAtRES pr rican House Wenasmiau ... 9" :0 2908 l6 cas ou ils wen seraient pas satisfaits. Nous donnons ;n grande boutsille pour 30 sous, et nous issons. ;. M. HENRY & FILS, Wllerbur'v, ¥i. E1 30, rue Saint--Henry, vis--h--vis I'Au6--. riean Han., «0tre.. Alin gue en fuite Pose t trouvé prétére Paitig c nE mom puimes ire fait, | Nous n'av '.Nntnn-n-_fl. av dépens des autres, mais n 9 fév. 1861 ®* nous hi '"w EY que noos pourions appanet 'to 'wire tee .........._fiE_"_'!'."'" tous; car stardé Piatroduction bm""'"iw-uu_mm un grand nombre de '-u-ei:::...,.... : #u avons un nombre Efl."""' 6 Litimeme a 40 reomies 1 50s Cns btulowss, des plus populaires cenitie que peadant los tesy'ai recommandé Pusa [ F-fi';-'-o'uu.w.u.{.' ' * i d L -- e rést tolle-- mest rempli do tant do rewedes do coiy P 1 of nous avane eutanth iss y CCC "l--hh. A Vendre & Québec, chez > par Castka, Keary C rappellent & Ja santé ESC bensase i B .. lin qu lnpn:unnqu'dhinfl '--'A.:cwuuunmd.;n-,m ) tous nos Agents a remettre anx leur argent duns le cas oi ils :u p-_'-:n-_lfn-._"Nm donnons 'I'Mhmmu Bronches at de E. Sxrrn, M. D N. Y. 10 mars 1887 Cic : Jo suis heu-- fai fait usage '4,. * tique ant i. Poor Te wsboment 'h--..;;....... Sawoage du Dr , 30 septem bre: AMPBELL E. Bovory, et aux afflighs Ia Nous n'avons pas 1Pintes Pourmion«, et & Iutailics ont Tou stvdres sage da s be ervax sausfaction & m--135 stilles pulmo-- PZ_" __Ofiq'lfbvl'n se Montréal, C. E. 107--12m lee t »iraw Bava u.-'.nin' : t C ¥ommes F remade qui Soreneo Aput det plas attentife t rien SoHe2070n6 Pobe doaine in raustantion in ent J Montrbal, 8 mare 1861. ' M. J. B. HUSSON, a "honner plus fim;m:;e-mukpu gemment 1i 1' a o de see :flw .mq;nn:cwnh-qr **beouler, 'fl it prend in u:a annoncer qu'l ent, comme jourk prit £ servic' loy mfi de diners on soupers de 4 J. B. HUSSON, & ce sujet, s'advesser a I! a obtemn ia MEDAT Ulnstitot Américmn et des ; a 616 exposé. Pout des appareils ou des L EUn a 8OU8 LE PLUS CoURT DELAL qs " o , _ i DPate A Gaz lo plos simple, ie 'plas »ur ot io plus effectif qmpm( encore ét6 mm'.-:. II a'adopte & tous l_c- climats et & toon' 38 attardu gu'il n exposé Cereaimbge es te ran: a d 1e expore le Gaz de toutes les substances ui le conti-- ennent, comme ia Scieure de bois, l'a Résine, In Houille, la los Os, 1Huile, le Pain de suif on J- 'rlir:«. Properz LA LUMIERE ARTIFICIELLE In plos économique et ia plQt agréable que Pon connaisse. frénl.) «2 Jopte trés ; Elablissements Prives peat ie voir ry les ce journau® en in posseg« Cest Pappareil A C BREvETe Pour ie carm ' 10 Décembre, 1853. Breveté aussi en Angleter Etats--Unis et--en France CET i1 (don odéle f lo:u' Iu-;_«::x?.ur;u SJ:_». ;E 1mnc ('r:i: Agent pour le Bas--Canada Rue Craig No. 142, cher M Gari Montréal 16 Février 1858, BUNAVENTORE MALL Pour les Maisons privées, les Magasins, les Manufactures, les Moulins d Scie, les Phares, les Hotelé, les Colléges, les Villages et les Villes, -- 0 N.HW. powns," BOUTEILLE D'ES§AI, 25 CENTS. A Vendre a Québec choz 0. GIROUX, 4. MUssoN & Cie., J. $ BOWEN, J, E. BURKE, J. H. MARSH, J. BOWLES et 8. STURTON. L' APMARIIL ADBIN Rappelez--vous xe GaRE A LA CONTREFACON DU Jas POR CURTiS! (@uge. . Cest une &mlufq lement le recounailre au venons d'indiquer, et par margque 37} olq75 cents la: rellement, lo dit Curtis n nom de N. H. Dows, par un faoy. 9 fév. 1861 se d AUUNiCz easayer cet excellent reméde & peo --S'il se peut... .11 dulfmh- o & gontilhomme qui ait Ly a sur le marché un petit Elixir contre» | pph duc Fi is I[:l" dbn u6 "pnn #ncrfliq,'.do Sqln(-A'l.- P :X';' ', "q( u: m';"';:;" 3 né h . 1 k u.'fl. Downl,'n porie 3. L'.ni-,fi'T"n:cu mon (Gillof. . fic{l trop fdge. . Cest une contrefagon, on peut faci-- | no to vaudrait rien't lement lu' v'wnunu'lr- au T'glrm qne';'wun --Cest vrai enons d'indiquer, et par le fait q9i est ----Talusitt :mnqu. 37} '"'175 cents Tu bouteille. -- Natu--| . ~~ f'ms Emdrm" hon mt canfines Nudbadiaiie/. A polssiez essayer cot de fais. 11 n'y a que depais quelqu ment que nous avons ldn'plt d'assai, ot nous Pavons fuir Le priz de cet article est de $1 la bouteille, et pour les dessai 25 cents. Lo c omt e Toue | contente, veuillez en retour, le recommander | & vos amis ot Connaissances ; et rappeles Fous que, quand vous trouverez un médica-- ment qui remplit tout ce 4que disent ses pro-- priétaires, il est dans votre intérét de ne }:- mais le changer, pour ce qui peut dtre infé nenr, 8i vous voulez essayer 1'Elixir do N. H. Downs, t si on no le vend pas dans vorre localité, priea votre Droguiste ou votre mar-- chand d'en demander une petite provis'on. «& mes Agents, J. M. Henry & fils, Water-- bury, Vi. et in 30 rue Snin\-aumi, Montreal, on?c M. 8. Burr & Cie., Combill, Boston, Mass, ou de C. W. Atwell, Porland, Maine; ou de Lyman, Savage & Cie. Montréal, Ca-- nada, on de Burnes & Park, 13, Rangée du Park, New--York, ou des principanx Dro-- miste (en g10s) ce la Nouvelle--Angleterre, g-w-Ymk o0 le Canada. . is vous fourni< ront des circulairs & demande. obtenn la MEDAILLE D'OR ie T M O NT RE Af POUR LE xaz d'Eclairage, Pradu o S ertt'h ef ts yous dirant qu'il est le meilioue remé-- de contre in 'mflx. ie RHUME, les PLU-- XIONS, PASTHME et loutes les Maladies de la GORGE, de i POITRINE, et des POUMONS, maladies qui toutes tendent & In CONSOMPTION. Achotez. le. at on un 8 Ssn mVd ' alle .":uq.'. h'd_o-nd.r aux Propriétaires mlo-rvumom faire Que lfin de plas ? You grand almanach rempli de cer personne ne eroie ? 8"il vous { chose de plus que cels, deme voisins quiont fait usage de ce m et iis vous diront qu'il est le mei de conire n TOJX. lo RHTM E Dr2Wei 2008 e connaissons pas un seol cas on les gons aiont 616 mécentonts ot aient redemandé lour nt. -- Noas gurantissons de plus que sip l!:: n-"nd' fail usage, une monne weut quon lui rende son mle ns gu'd 10 'demander ant pron 60. Propridtaines auplrcl C908 Agr C jOUS dissons au public celle mde-- L\ * ine Mn-'-: 'uz.w-hN-- vello--Angletorre, pendant plus de trente ans, et d toupours 616 garantio comme donaaat une enti¢re saiisfaction & geus qui en out fait uskbat mame Zl 2LI20H0 WVE LE ViEuX Remeoe oy 'El'":r CONTRE La TOUX, Elixir Balzamique Vegetal ©-- ! Haume wéritable est :celui gui B::':z""'."';. blq.l'llu-»lh':l 're. a Seun W. Fowas Cie., o Simires. A ---a:.c" M ';&;'E,' ds brer Jonn mostoRdodh treil filom un modéle fonctionne s an No. 142, rue Craig, & Mon-- pte trés rapidement dans les ts Privés en Publics, comme on r les certificais et ariicles do rpoo.'-uku: du Soussigné. . ~> 8 jaov. 1861 °* MEOAILLE D'OR de eain et des prix pariont ot i| le seu) Baume * trois anndes gor viennent | prend in fiberté de leur ,comme par le parsé, ton-- Lo s o e eeeetey nous Pavous fuit afin que vous eeevalgieoulanels que: a reqo de ses amis, et do DE N. H. E. BEAUMANN ' Dt 8 1t 0se pas: signer le Dows, parce que ce serait jounés de NOCEs article est de 50 cents a LE CANADA it Angleterre, aux 106 12m P'Elixir véritable renseignements "'-r*nmu de ln satie de plas ? Vous faut--il ur quelques mois seule-- Tom. 8 qui toutes tendent & Achetez--le, et s'il vous etour, le recommander isances ; et rappelez plt de "fl&;'rlw ; ;l'il vous faut '..;:u. cela, demandez & yos ge de ce médicament, d'offrir sen les bouteilles * Berlinguen, nom familier da cimetisre dane in haute Brotagne. ----Ah! ah 1 tcoutait nvee enfant t fant q13 _ 3 M20----0186, qui ost an logis li--bas... Done, la lance de mossire Aubry se brisa, son épée se rompit, sa hache d'armes tomba en morceanx avant q'uil efit une seule blessure, Mais quand sa main fat désarmée, on le perga tout & loigtt. . Le petit Jean-- nin courait les champs & Ia recherche de son maftre ; il le trouva couché au milien d'une demni--donzaine de Frangais morts. Maitre Lois, éven-- tré, baignait dans son sang et ne rea-- ! pirait plus... Messire Aubry leva in | tote et dit : I Heeu tncy savez bien; messire Aubry était seul avec maitre Lois, son grand lévrier noir, qui ne le quittait Jainais et qui était déja vieux... Jl 'a laissé une chienne, Dame--Loise, qui eat an logis li--bas... Done, la lance de messire Aubry se brisa, son épée se rompit, sa hache Parmes tomba en masanen? D ,0 22,00° se Cotourna ét fit mine de "'f'd" r la mer par la pe-- ,tile croiste de la cellule, $ 6 * Messire 'Anbry, continua Bruno, avait 6té scparé do soe bonnes lances. I! était entouré par les Frangais qui ne donnaient guére merci, vous le PERTEE Mocabiruih cb 95. vnmog:'ll on portait unle trouége en | guise de aureot, mon compére) et qnil est aujourd'bu} un homme d'armes | aussi vert que Dunois on Pothon, je | parle du-- temps prssé, lo petit Jean-- | nin m'a conté la mort de imessire An-- | bry.... Ah! mon compére Guillot, | de Tours en' Tourrinéysw mort fat [ celle d'un héro et d'nn saint! Ce fat f' devant Montlhéry, cette nuit oi le |, roi Louis abandontia son eamp et son ' arinée pour frire une promenade en |, Normandie....." 6 Pietra Galllot se détourna £ fit | mine de regirder la mer par la pe-- | tite t_',!nilé:frh cellule, P P | !' mon ebbeentont Auias seA un chevalier, co messife Aubry de Kergariout Le petit Jeannin, du bourg des Quatre Salines, qne J'ap-- pelais autrefois Pmmlo-hawt(m& vnmog:'il on portait utlé trouége en guise e atreot, mon cobipbre) et ani We ol n c ns 2c de Tours en Tourrine? dit Bruno avee un rire see. Il est & ou nous irons tous, sur la semaine on bien le Dimanche, comme disait le greffier Rocher, qui était en méme temps marguillier de L'ffliu de Fougéres..; Il est dans le B inguan,* li--bas, en la paroisse du loz, qul était de son . domaine," ' Pierre Guillot avait froncé légére-- | ment le sonrcil. * t "Ab! towl®! @'6erin bswodss cona | 7 7 Doan Jouge Quel Ago ntil f* esn en trone, tant on Nadore follement, cet enfant--la)...-- Un chevalier connu per-- sonnellement du due Frangois... cfizfl de ses prirs, idolAtré par ses vassauy... --()g est--il ce gentilhomme? de-- manda Guillot vivement, --O8 i1 est, mon compére Guillot, du epul 2 2 ewin ePR NT ne te vandrait rien? ~._____*____|80n pére, peut --Cest vrai. demi. --Tais--toi, mon homme! ta 1 | _ --Cest trop ! ta langue ! es te perdra! IUn trop grand 5eign€urj --Il s'agit d ne se risquerait pm8' rasez, h'est--ce lunLu'lM.NuKl.n"{ pas'? Mais un simple chevalier, brave | "(v{xu affuin comme un lion. ambigtase 22000 0| --Aie! mon ne se risquerait p:" 'ausez'. :'.':"L:g tante 'I»cmgr_nt{ pas? Mais un simple chevalier, brave | ---['I»m, affuir comme un lion, ambitienx comme on | --Aie! mon Pest quand on a un fils de dix--hnit | [N9W®; une aff n bean (l"-rbcwm"' e J Druno, & quoi inaitre Olivier le Dain | compte employer la susdite hardieaso t | _ --A une cnyre loyale, mon frére, | qui 'ru]:i')mheu le roi de France et le duc de Bretagne, --Ah! que tu parles bien pour un valet de barbier, mon ami Guillot ; que tu parles bien Alors, cest une / fumille honorable qu'il te faut | ~Trds honorable. [ --Et dont le chef soit un peu prét | & tout? Car cest un homtue que tu | demandes } % | --Cest un homme,-- j --Un chevalier 4 } --8S'il se peut... En. tout cas, un ; gunti!'l.mr'mno qui ait ses entrées an-- / uBs ind 1 ns . \ vie & mon seignenr le duc Ame & Dieu, ma dernidre pen Mine Reino et & mon cher en Ottawa, (H CJ Marcredl watin, 19 Jula 16 Celui--ci baissa les yeux. "* Et peut--on savoir, mon ami Guillot, de Tours en Touraine Bruno, & quoi inaitre Olivia» 1 --Ou dhonneur!" ac convers qui regarda son en face. ---- --Onui--da } réfléuflu Bruno ; ch bien, Pierre Gi ot, mon atmi, toutes les familles bretonnes, de. méme que toutes les fumilles des autres pays aiment nsser d fuire fortune qu-nd' elles sont pauvros, Quand elles sont riches, elles ne ré nent bean-- coup a Augmelnorpnflur J:.mlnu' Cest done une question de hardicase.., --Précisément, ' 1 d'une demi--donzaine d morts. Maitre Lois, éven ait dn'm son sang et ne rea --Maitre Olivier, France. -- oultrez que aequitte de mon !wugol dit-a, su m pau-- Nre serviteur, of | 'k:,"h""' nir, n me hi los fa-- milles do In fron/ bretomne, j'en-- tends les famillos n on maitre voudrait en trouver db qui fit en situation de tenter nn coup guda pour wqubrir'l.ne fonz: nouvelle on pour reconquérir une fortune ug.... -&;l.d- L. Bt c'mpn.:nu Oli-- vier qui tient cette fortune--l4 dans s / l VIIL--Compire Gillot guug . S i Souffrez que fo uracquitte i on :fif&:@" wir, on me grondetid ni r'nuil 1 @'6crin le moine, voild fit Pierre Guillot résignation, il y 'q:-i Fouilleton du 'Courrigt 0' cmoseg j PREARRE -- Parms Litteratmutce. ntilhotinme n n't;p'g;an('w.);;g&} B ud vois_bien ton affaire mettre sur un , mon ami Pierre acheva le moine n interlocuteur le roi de d'Ottawa. D uc C 0 --20CACp!Os, nous som-- mes bien réxolus & ne point vots dire combien de rides Pierre Guillot avait sous Posil droit qmand son sonrire félin et un per sournois Gclaimit son bi-- liows vieuge.: Nous vous thirons cotte circonstance qu'il croisait volontiers soua le erayon. Charlet, I'Apelies de r soldateaque, ne quitte le pour la mnllnign-, ot que pour le conscrit, 11 est bien vrai qne Part ne tient pas compte des grades. Callot, mis en face cl'nne armée, néglige lo g(m? al pour dessiner I'lmmlfi: goujat, :l«mt'[u loques se drapent mieux , reprit valerie gr 00000 =--______"0""0 CO) S.ONtINUN étre plus expert que le | chevalerie 1" frere llr;mn pour découvrir IJo tra-- | e , vail soudain et rapide qni se fuisait [ 1X.--Charles et Anne. dans la téte de m,t, hnn?me. Son vi-- | Cest nniqtiement barce que Picrre awze no changenit point. Sa parole !Guillm, de ?«mn en Touraine, était restait donce ot "'""2""'9- valet de barbier gue nous avons mis| _ "Aimez--vous les Anglais? deman-- une sorte de négligence & peindre sa } da--t--il en fixant sur lel moine ses personne, | Pourqnoi faire un portrait | regards ",""'Wmfl"m'?""- w en pied d'une si panve hare quand .lf moine crut le voir pour la pre-- les pages de ce livre fourmillent de midre foin. noms nobles ? quand nous wurons sana | _ " A pen prés comme le ,chand-- donte & nons occuper de son illustre | ial , mon compore, maitre, Olivier le m,.{ et méme du | _ ----Eh bien! ce qn'on vent faire a maitre d'Olivier le Dain, Louis de| trait nux Anglais, -- France t P n ts Cest nniqtiement Darce que Pierre Guillot, de ?unn en Touraine, était valet de barbier que nows avons mis fine sorte de négligence A peindre sn personne. _ Pourqnoi faire un nortrait *"* Mais les valets Guillot, 4. vent--ils c chevaleric conde sitenr | _ ----Jeannin dos Quatro--Salines ? I ----Jeannin Phomme d'armes, qu sera chevalier demain, si vous voulez , ;--Merci Dieu! #'6cria le moiney « je le venx ? / Jeannin est Jn meilleure {lnwdu moude entier,mon compere .. et son cornur vaut dix fois mienx que sa lance L.. majs..." | tre m'attend... ave | pas aller par quati venu parce que je ( d'anciennes relatio Jennnin dont vous [num".. h -'aun'-hm'a-u'a-.'..) --Cest done pour im milité chrétienne que dit tonjours & moi que je dn rriour m' lomine de seil... I1 sarréta bon frére s wl on oo mc depuis Parrivée du _roi de France nu monastére, car mes pauyres jam bes n'en veulent plus... mais J'al out dire que cet Olivier le Duin' était l'&mo (imnn(«- de son maitre, =--Bi vons conmaiains In «ut ... de M comme sac & charhon encore descendu plus qully ds W nol e nobstant ces exemp R in pere BiD: --Non, jan Guillot sans dé --Eh bien ! Bavette, jo vai renervens td e d it 05 ;'uhl Jy 6tais aussi, car jo ' échappé du couvent a ' battre 1... . De quoi m c : Gillot, de Tours en 'l'uurhino, , faire amplement r(miunce... _ Michel archange | nous éleva (rampart en une nuit. Cest je vis bien que Jeanain, le P quetier, deviendrait un fler J'Arum: jo lui disais : Poan--d | ton, mon ami... Mais s'il fal I r-.itur tout ce que o Ini dis cett d, nous resterions ici jusqu'a c matines... 11 y eut J{a bons Le chevalier Méloir wourut e dans les lises, parce que Pean--de ton, qui avait los cheveux | comme une fillette, s'Gtait dégu fee des groves pour tromper s suite... f(on compére, entendites parler quelquefois de in féo des ves f --Une utfaire d'Etat. --Aie! mon l;ou'lr\xéru! s'écrin le ine; une affaire dEtat mené 4 39(000 0009 C ETE Theneg par y) " C Comment trouvez--vous cela t 11 soudards de Méloir incendiairent le ¥illage de Saint--Jean et los vassaux g:nllannver, quittant leurs maisons lées, vinrent so réfugier an rocher de Fombeléne avec leur maitre.., Ah! ah ! .j'y étais aussi, car jo llln'éuh échappé du couvent pour aller me battre !... . De quoi, mon . compére CiMap da Thall * 1 Nops! temps me presse et m de lhm."n"g,-- f lll;in & prix dh uin de de l'a'fnn, fille "Cétait en Tan mura--til; cinquant« vigux seigne; u'["d ajourné fi dx Frang raitre dans quaranto tribunal de Dieu p meurtre de son frdre, depuis quand, acheva--t--il, de barbier, mon compére ' Tours: en Tonraine, pen-- mférer le noble ordre de utez, interrompit Gillot; le 'n affirne que vous étiez un le grand sons et de bon con-- '----Attendez, mon compire..." .. Freve Bruno se mit & compter sur ses doigts. us connaissiez lo roi, mon . commenga Pic connais de renc que Je sais que v relations d'amitic quitte le c.--por;ir iit. 6t Ta cantin . avoe.vous. je quatre chemins )_Jamais, répondit P jo lui disais : Poau--de--Mou-- ami... Mais s'il fallait r6-- ce que fo Ini dis cette nuit-- sterions ici jusqu'a demain 1 y eut J{a bons coups, er Méloir mourut tmmlll,l'é 's, parce que Pean--de--Mou-- wvait los cheveux blonds > fillette, s'ctait déguisé en pour me tenir en hu défiance, 1 reprit frore Bruno ln vais vous center par le : douze bonnes uventures s mener tout doucement re du souper... -- Asseyeg. jenue, one d'une bien impor }[afi es r,lll:llll'lt' Bos me ue aurever avait | l'Encyclopé e dx:a hnmh!uim:nps! Et pourt avez pron tre Ul'myg i Fierre Guillot renomude, mor e pricur me sins un vieux uante, jo our In térieux l'an einquaote, mur 228 $27 Talait re-- | ur Ini dis cette nuit-- | Le k-idjuaqu'fl demain | m _de bons eouge. ;Xi c mourut ensablé ue Peaun--de--Mou-- | qu cheveux -- blonds | sa Sétait déguisé en | un tromper sa pour-- | sez >, entendites--vous | . -- : In fée des Gné--| . -- répondit -- Pierre| -- -- frore Bruno In | -- s canter par le/ . ---- onnes uventures -- on mai-- | U ne veux") L'l ; je auis | con us avez | nin avec ce -- oncé le| _ -- dis bien ; le| comine n ~1/m "Veine de Erance! interrom-- pit Bruno qui ouvrit de grands yeur-- --Oni, mon hon frere, la reine de Erance, ot cette fois, . maitre Oole-- tier, le medecin dn ror, a dit qne Mme Anne de Beavjen anrait nn pee tit frue.... wh Jmp'iu, par Notre-- Dame de Plessis!... et maitre Coic-- Mais on a le puisque Minc vnceinte que un per & Paneedo pée.... Car enfin tont droit & M. T tel, sinon an dn L O OET C trait aux Anglais, . --V.oyons un pen cela ! --Gest une négociation pr 090..".6t qtti se rapporte encore un per & Paneedote do Trogue !-(-e.... Car enfin on pourrait -- ----Juste." Pierre Gillot r I! eut fullu étre pl frere Bruno pour in e hi past frere, il y a de nob venceaux, --d'entends bien innis ce que je veus ~--Cost 10. sceret nin-- mura affaire A moj --Et que lui direz --Mon frére, il y a c bles héritibres & /n oo ce Jeannin ost--il maric --Il est vout, --Bans enfants { --Il a une fille be amours, --A In cour du rai d 27. 00% . YOIch ND viewx ore Lhistoire du chien, mon t re comme il fant, en ce sens que nin ause a@utlce. .o Gillot chien f tre tre de Philippe do Mac d'Alexandre -- le Grand mon compére, ajoutr--t--i yous étes' un bonloim conversation, et jo suis 1 vous avoir va... Comine avez besoin de mon amji --Pas moi, mais bien MRDADH itonictdil adoctiAuas 112 Christ, mon frore, --En Pan 840 nvant Notre Sei-- gneur, grommela Bruno qui faisait son travail muémotechnique, Philo-- pator d'Illyrie, qui mchote de Jn viande au chien du joneur de flite du cousin de in maftresse du minis-- tre de Philippe de Macédoine, pore d'Alexandre -- lo Grand..... Allons 1 mon compére, ajoutr--t--il tout hnut yous étes' un bonlomine de gale conversation, et jo suis bien aiso de rous avoir vn... Comme celd, _ vous ivez besoin de mon nmi Jeannin ¢ is oon d on i car J |, --Abh! par exemple! . sécrin le frére Brnno, voild une bonne aven-- ture! Voulez--vous me Ja redire pour que je puisso ln conter conramment --Pierre Gillot répéta son ancedote avce une partaite obligennce. ' " Et In d'uto'.' demanda le moine : To i 17 mait la ministr nement, Do oR CC esn ue deau et en ncheta uno pleine le de viande qu'il offrit avee au chien du jouour de flite, cur de fhite nimait son chien, sin nimait le joueur de tlite, [1 0Ottama. Pasques--Dien ! Al m me qui coup, _ Hite wiinait poils (Gillot rapprocha son siége cour du r a de nol , T8 Cne Gtait en Coint, Au consin alors ? Et non ! ons maitresse, le entends * nen mon compére, : veux savoir.... seeret d'Etat, nest Illlyrien out s n y étes pas, un grain dor ucheta une ple Cirez--vous f il y a do riches et n A ia conr de Frunce | maric ¢ sh1 mon illot 'tout ceousin, le mifie Thistoire an 340 nvant Jésus 67 en clir belie comme h-nl ux forts C mETE W"::ent. vous un peut c M" o f;'ou depuis l«;amp., adlnga ud T murmura Piefro I1l alla an joueur de fute, la mai , le ministre al roi détestait le M ce, mon prise digne frere, mur-- PE T © "A pauvre Simon mon mai--| funte femume de tremblait son ago istoire du | Quand le soir tour " Appellez mon im Pierre|© Reine ct lo pe rotore !... | " funt; appelez M rore vient | " de )fnurvu-r, sci que Jean-- | " appelez Berthe " Jeannin, le brave 'et toutes, car j hes ot no--| " Ame A Dien, mor France;| _ "1ls vinrent to benucoup qui ple Munrever nvait vé se lnp on . Tom-- aller Chan-- chats lisser lowrs de son ban in corbeil on wouver mon frére son pére on e gouverner :':lui pen-- Jou " Aubry,. mon potit--fils, tu verras "In Brotugne movrie?" " Il fit un stlence, perdant qnoi on n'cntendit <qne le bruitdes snglots contenta, fl regurdait le ciel de--som it oit doux lévriors brodéa sontonnient 'Gemeson de Bretagne. -- Ses your cteints rovivaiont et a'inspifiient. . : " Honto & waust repeitil onfn " d'une voix changde; malhour & noe " enfanta ht ® "loute Anous ani swams «iL west votre bon pl done ceci : %--8i thit, mon frére, si fait 1 nerfs ont cinquante ans bientot. hne me -- domandent plus licence tressauter on tirailler mes memb -- V¥rai Dien, compdre, moi vingt années de plns que vous, / nerfa m-':e tienment que trop en has 1 Cl +J _ _8 Yinrent tous, Et ils étaient benucoup qui pleuraient, parce que Mnurever nvait véeu en gentilhomme et en chrétien : doux anx faibles, dur + | aux forts, -- Messire Aubry. ct Mme Reine lui donnérent ia main. Il me |semble encore entendre In voix du | florveillard loraqu'il se leva sur son u'-untl)'umr la dernidre fois. " Mea amis, ditil, mes serviteurs #et mes enfants, voici Pheure de ma * mort. . Je vain prier pour vyous dans un meilleur monde. _ Ne me re-- © grettez pas, . J'ni trop véon, " Aubry Ier, mon gendre et mon " ami, tu io suivras de prés; Reine, " ma tille, garde' tes larmes ; tu sonf-- " friras cruellement et longtemps sur _ " cette terro. " Aubry I4, mon petit--tils, tn ver-- " ras l Bretagne mourit...." _ Pierre Gillot tressaillit comme on fait & un choe violent, "Bi vous voulez, mon compére, s"interrompit Bruno, je n'en diram pas davantage, \poot m chax. Au Tul _ C It--1M0%--reprit« ln, li--Das, do 'autre: coté do (a mare Saiut--Coulman, Je me tronvais l6 pour une visite d'umitic que jo faisain a In pauvre Simonette Le 1rjo] In dé-- funte femume de Jeannin. X. line tremblait son agonie depuis le matin. Quand le soir tomba, il dit an prétre : " Appellez mon fils Aub ; a fille " Reine et 'lo petit Auh'yluu[ en-- Hiine i n T ' Frore Bruno n'était pas habitaé & pareil empressement, -- 1J so sentait veritablement | grandir devant ect homme qui lui confluit des secrets d'Etat ot quine demandait pas mieus que de Pécouter, ® C'était au manoirdn Rtoz,--reprit« il, l--Das, de Fautro coté de la mare Suiut--Coultan, Je me tronvain l6 POHF UBG visite Pamistr lc + l 2" sans hGsitor, Frore Brun pareil empres véritablement lit ENCE Crillot avec vivacie, " "* 9 * Comme le patient est de Pavis Cu bourreau qui lui crie: IJ faut mou-- rir! Non, non, mon compére ! Celu{-- !& était un Breton du vieux sang! Mais ce yne vous désirez, i1 le redou-- tait, et cela me frappe. Vous plaft» Tl que jo vous récite la manibre doy pro{nlldle que M. Hug nous it & son MR oo io manda -- --Colni qni al gois Ter an lglhug ---- Précisément lniy cost que Jean son serviteur, ot q bign souvent 1 d o Cu foz, de PAumone Jean des Gréves f du RE, 'de gore t La Bretagno ost comme le flouve est & m le bras ost an cor; étrc; cela sera I..., > Mon compére, int no, vous in 'avez onf park re de M. Hue de )fmm M yc l Sn 422 e ECE Dretagne, Dicu n'a mis quun seau : qui osernit prétendre que fait les choses & Pavengle on & mias's ao ooo Lt 2709 Cit1, mes serviteurs enfants, voici Pheure de ma Je vais prier pour vous dans illeur monde. _ Ne me re-- mort f ela--me plait ! nous qui avons péché J G, Charpentier, Impriment, J continm de nte--doux, an lien de4a! Grand' ; _ sous _ MinisecMonel t it 'ment.... 8i fon reviens & ' Jeannin, mon ami, était > ot gque M. Hue songealt ; .l d ve que vous--dites.,... de.man u ajourna le due P;nn? bunal céleste } bientot. . Ts . Hueda aveugle on & la 16-- 0 ost. i la France est & 1'Océan, com-- y interrompit Bru-- iu:rk-r tout & dhen-- aurever, goigneur wdne ot d.mg. 'cence pour membres... répondit Gillot 20 2 C ETT COMe corps; Cela doit sentiment } .do-- oi ch sn duk Mals di 'Igm:.m-m urs on Ta.!d..': Iai m sns llt o 0 ¥ob 4 Ne XH . .« M Mes Dicu

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