ent & NEUF, on it t ot o a Pex» L en us IER a U ®, lui--méme, faoved a t de la ville avee s bortties, Nitisses e e cour spae nue dle, r:amupr;; it le publis IPER: BRoWN '©H de couligu; LE, RE »N-"i"r ot iblle voy-- 'table ést *3 @1 -- LIMMENT ou vermout og newgy. La meilleur remide encore pour le Rhu-- matisme, ln Roideur de Jointures, ie NOUVEAU PAIN KILLER I ie d e w o ty Banme Pectoral d'Ayer, pour Jn proinpte Mdnlmzflqg influza, enroue~ ment, croup, pulmonie naissante et pour io soulngement des malades dans une phase avancéo de cetie dernicre maladie, Co reméde si universeilement connn »urpasse tout auife par l& cure des maox bia r'r ot dos affections paimonaires, qu'il est ingule de reproduire im l'évidease de sa verte que pout --cos softes de maladies, il est sans rival dane lo monda aleiliat . p. est sans rival dans le monde civilisé. .Pou "2."-".-:- méme. de wum n'aieut point une expérience personne de ses effets. 'Comme chacun connait les fatals résoltats de ges maladios 'ainsi qus "M:'".?'-ll"-wfihh& us que d'assurer "Nh it w. :'n-oamu:ohn:zwm lots -- "il opérait cures ut moquis A }?--flmhmlbnuh tout 1e genre hu-- Li 'De nombreasos ";;:'u}:.'; e--:;h,:l-n:!m Om 616 ar insance ultérieure do M:P::;:ezu r;fl'. stimule vigoureuse-- ment les Iamla:'m vitales, et combat don maladies gue Pon mnn eroire. an«dela de som o&mn& besoins du peuple ont longtemps réc}iiné 6e romédo, ét nons sommes certains qu'i! opérers tout Je bien qu'il ost #u ponvoir do in raédécine de faire. 7P'QE-'WV par le Dr. S. C.. Ayer Lowell, Massaehosotis. Prix 25 cents par boite. 25 sct--am. Tnmo:f:"unduum, ** blargoment"' ulecres, carie et exfoliations dos os. On news a rapporté beaucoup de cures ac-- complies par cet excelent reméde, et nous référons nos lecteurs & notre almanac .« ame-- rioain que Jes agents ci--dessous nommnés se fout un plaisit de fournit gratis & tous ceux qoi en font la demiande. K n:hn, affection da ¢cur, abeds h'?!o ;ilgfll sombre, névralgie, atc, Jules Y. Getchell de St. Louis, écrit co qui suit:--@Pai éte, durant des années affiige d'une affection du lohgui avaitcom-- ~pletement detmrt marsnté.-- i Temale ordinaire n'ayant pu me soulager, mon bien-- aimé r'lm le Hr:d M. Espy m'a conseil-- 16 de laire usago de votre salsopareille on me dieaat quil mnaimnz'?ua toutes vos prépa-- rations ne pouvait produire que du bien. Grlo.\' Dieu, votre salsepareille qui m'a guéri h tellement purific mon ungb que jo me sens actuellement un nouvel homme. Je me sens rajeuni, etje poutrais jamais, sous ce rapport, dire assez de bien de vous. " TR C i e Dr. J. C. Ayor,--Monsiout, j'ai 66 affli-- gé pendant longtemps d'an douleureux thamatisme chronique contre lequel avaient échou6 tous les efforts de la medecine. . J'ai eu recours & votre salseparcille dont une seule bouteille m'a radicalement quéri en deax semaines, de sorte c':. je jouis aown~ ellement d'une bieu inoilleure santé gu'a-- vant d'avoir 616 attaqué de cette maladie. Je pense que c'est une merveilleuse mede-- cine. Edward S. Mortow, de Newburry, Ala-- bans, cile Je cas suivant ;--* J'ai guér dans ma famille, av moyen de votre sal-- saisepareilie une tumeur ovaire qui avait jus-- 3:3 préseat dwlfi':.luu les n&nuh 'de la me-- ine, mais avoir employ6 votre re-- méde durant six semaines, il ne mlx aucun symidme de la maladie." Maladies syphilitiques ou metcurielles. Nouvelle--Orléans, 25 aott 1859. Dr. J. C. Ayer,--Mousicnt, je suis, tout-- Afait de Popinun de votre agent sous lo rap-- rm de I'-&mifi de rotre nlupnnsil!g. ' "ai dans ma pmul;ue, opéré maintes et. maintes cures oans les cas do maladies vé-- nérigunes. . L/un de rmis malades avait des uigéres au gosier, & la bouche et an nez; i a 616 guéri dans cing semainos,. Une antre attaque d la méme maladie a ét6 également guérie ot nulle trace n'en reste sur son vi-- sage: Une f¥inme trailée auparayant pour le méme mal par le mercure, ot qui avait été in proie d'incroyables souffrances a la suite de Phumidité, a 66 également rendue & la santé en 9u-lqnu semaines. Je sais d'ailleurs que daprés la formule que votre agent m'a remise, que votre préparation, sortie de votre laboratoire, ue peut étre qu'un grand remédo, et je nai pas, en conséquen-- ce, 616 étouné do ses' heureux résultats. 'Tout & yous fraterneilement. G. V. LARIMER, M. D. Rhumatisme, goutte affection du foie. lndbrndun, Preston, Conneetiout, uillet 1859, -- Brulures, 1e mal de Tite ot les maladies des . Intustina., Le Dr. Robert M, Preble écrit de Salem, N. Y., on date da 12 septembre 1859 qu'il a guéri radiealement -- un oas d'hydropisie qui menagait d'¢tro fatal t 0e le moyen de votre saisopareille. 11 a q-n' également in cure de violeot --lrésipélo & fortes doses du méme reméde qoi en oulp guérit les ¢rw' ondinaires. ; Bebul f Sk-? d:.l'uapui Tdu o tort on , Texas écril ve qni suit:--* Trois booteilles de vutre sai-- salsepareille m'ont contplétement guéri d hideux gonflement da cou que Fon appelie guitre et doot jo souflrals crueifement dpepui. deux ans. & Caivitie, Maux d maladie scrofulease -'zul éte tranmise, j'en ai souffert duraat de iongues années. .lhu elle éclatait en ulocres ru mains : aox jambes, tantdt atteignait |'ostomac, w6te ot les oreilles qui n'était plus qu'une soule s:.s Toutes les médecines . ordi-- naires Jai fuit usage ne m'ont procuré u'ln--.w.mtumudnhnl empirait , js me suis réjoui de voir dans an journal le Gaspel Messenger la pré-- paration de votre salsepargili¢, o Yous eun-- ipodanien rau Lons cik at wth® € 26 entisrement gher. "3'at prik e 'homibds wolon votre preseription; en doses et durant un mois dans une cuillére & thé. Je n'en est pris que trois bouteilles. Une pesu lisso ot bma%ol remplacé Jn plaie qui con-- vrait mon corps. -- Je suis sctuellement con-- vaincu que cette tertible muladie ost chassé de mon systéme. Vous pouver me croire eu vous déclarant que je vous cousidére | comice l'un des phas grand bienfaiteurs de | I'h» wanité qui alent existé dans ce siccle, et je suis avee reconnaissance votre dévoné serviteur. 0 in e '&ifi lndiana, 6 Juin 1859, .k gw'.'"'hfi reconnaitre e-":: ids Sfofologse in hram 'ne Uiswee Pour purifier le et pouc la prompte mm&n-fi.; le sorofule on tur éruptions, bles~ sures tachos de roussent, pustolds, et tout loa eadworg o 4) 0+ Ned aeupietilvainnes rivitie, Maux "E Le Dr. Robert M Alived B.: Tallery, Eresipele ou feu de 8t. Antoine, Dartre, Redige par un Comité de Colloberateurs, eux, klydropisie, &c. i Frotle onl ds 5s Coutrict J. FREAM DAYER ) 6pi JOURNAL PUBLIE DANS Lrs Exoter, Me., 30 septembre. o on on is anon 'ai recom ma 'anige du Bawme de. do Sawvage dn Dr. M.Fh Maladie des Pumolwl:,.old ma connaissance, i bouteilles ont 614 boes par mes qui tous en ont ob tena de bone s dens cas, on la Consomption it étro déalarég, le r' Sanvage wno cure com-- 14 q q e | Guérissent liritation do la Luette et des , Amyedales. =~ $ tss PASTILLEs PULMONaIRES be mavax Sonlagent les maladies ci--dosus dans l'es« pace de dix minutes. Lis PASTILES PULMONAIRES e nuvan Sont un bienfait Tnu toutes les clamses et $ tovtes les constitution. < Les PAsTiLLE® PULMoNaiREs pr nrvan ; 8e recomandent aux Chantours et Orateurs. t uks rasniilks PCLMOXaInkS px prran i Sopt faciles et agréables i prendre. . + uks Pastinus Poimonam®s pe muvan I '[Fout plus que soulager, elles goérissont j promptement pour togjoars: ' ' tes rastities purmoxanirs oe navax . | . | Sont garantres devoir douner satisfaction m tout le monde. -- rasticles PDLMoNanes pe myay Toute personne d.xn\il hvoir une boite des : & . rastiulEs rofhivgumn ve navay | _ Tout voyageur devrait avoir une boite das | . rastiiuks PoLMaWanuks br mra van | ' 1 I daus sa poche 3 i Pour une boite des | P rastiLues PoiMoNairks be aayan I Parsonnes ne refusera do payer | Vingt--cing cents. 408. MOSES, seol propriétaire Rochester, N. Y. A vendre & Montréal, rr Lywax, Bavaor et Cio., par Cart®®, Keeny 60. | et par Lastrtovont et Canragin. | Con_ rembdes . produinent Pof tend. Iu' :T:dhqul nuluni gnent la maladie, rappeliont caraut aiasi aox 'mlu at consolation et le comion. Ciyde, comié do Wayne, N. Y Pour gaérit PAsthme; PAci/ité on to Bri ment destomac it nut faire usage don tiom, il faot lmnrn-q-m P Batme de Cerister Saw Am Pour guérit Asmihe, l'7"rln Pour fu&'lir un Rhume on uns Thu sévéeres il fant faire usage da . Banme de Corlsier Sanvage du Dr, Wistary \ Pout gaérit in Tour criaide, In Grippe ou ln maladie des Hranches, i faut {nire . _ usage du Banme do Corlsier Sanvage da Dre Wistary Pour arréter la prédisposition a la Consomp-- ues PASTILLEq PouMoNata® D sevay Guérissent les comencement de Consomptic ot les Maladies da Poumor. | Soulagement en Dix Minutes Guérissent les Rhumes de Go?o et de Cer-- veauyles Maux de Gorge at les Earouements. tes rastthoes PUraonaines pe navan Guérissont de 1'Asthme,des Bronches et de 1*Oppressious. tks rastiLiis PULao®aiRES b« svax .. Guérissent ie Crachement de sang et los Douleurs de Poitrine. GRANDS REMEDES:! 7(3.;,:11'- M:-lcnun are D:fiwvur: ax 1737, et est te premier article de ce genre qui mjuml':lupr'u-umkm'e # rz':- Tiiks PbMoNAINR," soit dans ce pays ou ailleure ; toutea les autres pastilles pubmo-- naire sont des amlrjfaqm Les véritables se reconmaissent d la signature de BRY A N gui eat epposée sur chaque PASTILLE, LESPASTILLES PULMONAIRES s DE B YN. 0. GIROUX, J. MUSSON, & Cie., J nowr.m'u{. i1 MARSH, J.'s. BoWEN J, E. BURKE et 8. STURTON. ' 9 fov. 1861. 107--12m. Pn mt e Pm t «f f h: 30, ue Saint--Heury, 'viaedevis 1'Am guéric 'Aemihe, UIndigestion, il faut fire usage doe une grande Mfl;';&:&': ll';;.':m t I ENRY & F We ) J M. HENRY & FILS, Waterbury, Vt seu'sment on fasse -- Pessal, ot stil ost trouvé & n:nm article de ce genre, 'employez--/o préférence s tout antre, Alfin que les persounes qui désirent en faire Pessai ne courent aucun riscue, nouw abtorisons tous nos Agents a remetire aux acheteurs lour argent dans le cas on is nen seraieat pas satisfails. . Nous donnons menls, puis cesayé ensuite, et nous sommes oom-u-pqu -'-:. le meiliout roméde qui puisso dtre fait. --Nous n'avons pas Piuten-- d-ln'?.:-n'utupu- réputaiiou '":LP- autres, maly Aoue dernandons seulement qu'oh on fasse Pessal, ®t sil ost | _ Nous s'aons que ¢'ast une tutative tomé-- *fififm d'un nou-- :l u-::.:u._'.m. dang.un moment eat tolle-- ""' vempli de tant de --':fl de catie Gepéce ; ot nous avous retardé |'introduction du motre aprés avoir --résolu de ie sommetire au wous ayoos consoité un grand uombre de -h-ubm'unu, et mous en avons parlé & un yraud nombre de m'm de Luinn;: ; cl-ru.::-, tontes doulours, lus populaires ot nous sommes arrivés & ceite uomlu'h: que nous pourions apporter ay odtre améliorations qui les surpasseut tous ; car mnru-un&-d-n.&ludonflpz\' depuls plusieurs anades, et nous avona suivi leurs effets; nous avous fait Pessai de oet articie, ut y avons appocté quelques--change> LE3 PASTILLRS PULMoxatzks DE mayay AMERS OXICENES. AMERS OXICENES. Votre toot dévous PASTILLES PULNONarAES e pavas A Vendre & Québec, chez Méd@tta & Bexeinr Surner ement cenx qni souffrer J. E. Switn, M. D onl Bnefoutaiivetémé> | . Lo: soul B :m d'u--' éerit ---&M-odu-'m;_ ht 990 Pn io sodele "ia ns |wdie * 3 * cetie tos. . A ve avous retardé I'introduetion H:»l..w.!ou mlfll avoir umlu;su u-l;i wous avons conso any. e de ntdnuhnnu,u;; prat outlr Montréal, 4 107--12 Dr. Wistar dn neage ligd donnons , ot nous np | -- e#nemens, 0 munt se _/ W APPARETL AUBIN Ses servanta sont des m plés aftentife. ot rien "!.'!p-'Ap:md:mhmHm'mh M. J. B. HUSSON, a Ithonneor d'offrirses plus sinceres remereiments pour Pencogra-- gement libéra! quil a rego do ses amis, ot do zbuc, pendant la« trois années viennent séoouler, et il prend im mn' de leur aunoncer qu'il e«t, comme par le passé, tou jours prét & servir les déjeonis de NOCES, in plas économ Pou counaiase. ACCNS de la ( POUMC j | ls CONS N. contente 2 | & vos m vous que ment q0 -- | pridtaire mais le . | neur. i vou Downs, BREVETE POUR LE CANADA LE 80 US Montréal, 8 ntuse 4061 P i 0. GIROUX, J. MUSSON & Cie., J. 8. BOWEN, J. E. BURKE, J. 11. MARSH, J. BOWLES et 8. STURTON. P Mo BONAVINTUR MLL Il y a sur le marohé un petit Elixi contre-- Tait fabrigué Iplx Jaspor Curtis, de Saint=Al-- bans, mais il n'est pas signé de la main de N. H. Downs, il porte J. Cortis, & l;cmn ronge. . Ceat une oonfrefagon, on peut faci-- lement l«w au signe que nous venons Pindiquer, et par le fait qu'il est muque 37} e|('75 cents la bouteille. | Natu-- rellement, le dit Curtis n'ose pas: signer le nom de N. H. Dows, parce que ce serait un faux. GARE A LA CONTREFACON DPU JAS-- POR CURTIS ! Pour les Maisons privécs, les Magasins les Manufactures, les Moulins a Scie, {es Phares, les Hotels, les Colléges, les Villages et les Villes, CET appare d'essni, uissinz 50 frais. 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Cette colonme était au centre de In grand' t instinctivement je me retournai plusieurs fols pour voir Fen-- trée de ces superbes routes qui me-- najont lzvfllu metitionnées; hiélas! I'lln'y avi uclnn chemin qui fl't face a colonne; le temps avait changé hmdl'lh ville : la colonne n'était me pour thinoigner que Bavai avait vgnlu';uuh la cupitale d'une partic de ln Francn aoua lea ML. | _ Mais ai nous avens gucebdé aux Ot tawaks dans leur spatrie, ne sernit--ce pas'un honneur & réadre & leur mé moire que de mebtre & 'examen un plan de notre ville qu'ils nous ont tracé eux--mémes t -- 8i ces enfants de la Nature @taicut éncore an milieu de nous, ne croyez--vous pas qu'nu lieu de refouler notre cité sur un des cotés de TOttawn, ils voudrnient élargir son enceinte, de manidre & ce s | Lc Huron ;--soit encore anx Algon-- t | quing de. 'Est, éprouyés ot. dispersés ~| en partic par Pinvasion Troquoise un 1 | temps de notre déconterte de P'Ané-- rique :--nous avons reconnu que cctte -- | dernidre _ supposition était fu seule vrainemblnhfo, a canse de Pélan, ex-- t| traordinaire dans son intensité, ex-- *\ traordinaire par ges difficultés, des Ottawnks vers les Almunquiun de I'Est et vers la . eolonie frangaise. Coette supposition nous a conduits di-- rectement & la vérité historique sur Tantiquité de la réputation des beau-- | tés naturelles dont notre ville ahonore: [d juste titre; nous avons reconnu . immédiatement, par les habitudes générales des Suttyages, que les Otta-- witks nvaient scjourné longtemps,. non seulement sur notre fleuve, mais sur la place méme da fleuve oi nous | ; ot le nom d'Ottawa, les rois ed d'eau ui arrosent notre ! territoir; correspondant aux trois | branches de in tribw des Ottawaks, enfin ce nom " Les Outaounia" que | les Sanvages emploient pour nous dé-- | signer, parce qu'il avait 6té le nom | «'un peuple nlmrPno, voild les prin-- | cipales raisons %n 'nous ont parn don-- , ner & notre cité le droit de se nom-- | mer Ottawa. n es ks S Cld F! faile a qmebeny i) tot bomige Iiy tm / d omm [ 4s ringe the mntone 'Uintarigurs se et $ | f g:e nous avons rencontrées dans le ""fi'l'_h"; ) | cours de cettfihifl.r«h'l:. 11. mmnu: Mmataeg ; us ie flls | patience t Fi'l:'mi'l'lfion dea mfim. en'fi::'w w | Amérique avait: préc Vimmigra-- og ul 4 3/ l i6re se !! 4 Hion, dos, Awauols ; / in prom g, | Pavone, 4 aenhmudumn_hm?m\umml Iljet . . . V |ls sceonde anrait 'ou iou dans '"'wule\'ur |sidcles qui suivirent Ijmi_r;iou d?'yuux i | 1'Empire Romain pares rubum& T0c8) uL | ----la premidre encore aurait remont Haut aim | de I'Amérique centrale vers le hurld Nove on et se serait arrétée l& ob s'arréte ln ts pouy végétation ; Pautre sernit dcuoemviu.o" ma 24 des steppes de ln Sibérie, aprés avoir | ! e ak remonté . jusqu'aux . mers mu""""lug\-n 'che lacées du pole. _ I1 ne nous a pas été (ountalies §iflk:flo de reconnaitre, par les traits | complete caractéristiques des deux immlgm-' prives ue tions, que les Ottawaks appartenaient llhuu- \hag & la race Algonquine; mais "m"]lunu nou avons pria garde de les confondre {m-m hmb avec la famille Algonquine des Hu-- 1 rem M im rons; nous les avons rattuchés & la iGenige 1 famille des Algonquins %)'rolrl'l:'l{lell! Retent n dite, be plus au Nord de Am(-nqu.fl T oue in et la plus ancienne sur notre f'""":!lune; i nent, . Or, nous étions incertains si {blesscs, x les Ottawaks, que nous avous tronvés | Honger h & Dextréemité ln plus cloignéeet mome s imake, au sud du Lac bnpérmur' avaient ap-- Lew Ott partenu, soit & des trib is de In fa-- 'phunx.»- Te millo Algonguine qui s'étaiont ar-- Euis pan) rétées sur les rives du M]mr'l"'"'itnm ns h. lors de |'inuxnigrn(iop par le Sud 'Icl'grn:- oi l' Amérique ;--soit _ & d nu'trw"ln'hm 'u'w-:u-'rwnl de ls méme famille qui ucn_nunlt» S amnsent avancées -- davantage vers le Nord, tour pouit telle .]\'m ln Lrlh\:adm ?:,'::::'x:):r'i'g:il Feul inge it, depuis un temps u ,' is /4 :::bl'ia .£tn lo Lac hup(mw et le | (NOW. . ',. Lecture Bu 1. Oblag, Professcn ' l ooltan'te mie ue ¢ lique et adoptent l& France pour lour Na tion.--Soubaits pour Otawn. Avant de retourner avee les Otta-- ,'lkl duns les vastes h'fi"q'ul'.\ bientdt. féconder 1'mccumplissement 38 Pawne. Les Ottawaks embrassent la Religion su rieeee i We Sorews t ies doux Institut Canadien--Frangais Suite Catho» Drenillettes? s'exposcrent--ils pour in réparer i sacrifier ce qui mu'h dans leur tribu de hone guerriers ?--ou bien avaient--ils en honte de subir dans lour pays lnd:w' hu; et les railleries on ne devait eur & t pour '-lvuir manqué re':r rq:miaon 'g:mr avoir abandonné un ()unhm(- dea Houstes PAle# et Pavoir peut--btre liyré par lA aux Lroquois?--Nous n'hé-- sitona mk dire que ces deux motife & ln fuis--celui de réparer ln AUX proa A Québer de leur Ort aitu leur sent low |||:{" re Vemportéren nudnce déter Québec, et i greve nvee rour les Frar {)ril-l Dreuille BNCT m sentit a suites so trouvaiont 14. . Le .pi-rr- Léo-- nard Garroau fut blessé gravement dans le canot du Grand Chef; dans la meélée sur lo rivage, on le fit prison-- nier ; pendant les trois jours que dura le siége du poste, il fut tourmenté ernellement, _ Hélus | les Iroquois, aprés Pavoir presque fait mourir, Vemportérent enx--meémes, nvee une nudnce détestable, sous les murs de minés # faire: mot trwaks. . Apros c infortuncs amis s' veur des tGnébres une positic nent et s'y r se trouvant les en faire J6t ... Vous me conumandez done de soulever un voile qui cachait A yos yeux un spectucle lxorril-le!--«(fl? celui des passions humaines, qu'l Tant absolument exhiber, si nous vou-- lons nous entretenir de In conversion des pouples du Lac Supérieur. . Ces !\llfifll\mn ont failli faire perdre nux Jttawnaks tout le fruit de leurs voy-- ages chez les Frangais, et peut--itre ont--elles été la cause de la destruction awaks, offray 1 aucanti ramais.) tnenses fordts w au verngiment et, ap y m quelque temps dans le fuun},% fus tout & coup dans un chemin luxul droit, nivelé et si hism entretenu qu'i était & Qmilw garni Pune mousse 16 gu. Tétait une chanssée de la ine Brunchaut, et, du pied de la eolonne eur In r':&i'm de Bavai, partaiont sept m'fid mes clhaussées Bhulufomndu ul!-. On pleure facilement & vingt.an«,--je ne pus retenir mies larub ..&ud'num ot Messicurs, in mui;i? de cet fminense onvrage est fuit ici; il a 6té fait ici pour vous par la gature, Complétes son @uvre; qu'll parte de ve}nhh, ol Pon agitera les questions qu'autre-- fois on.'fi'i-»uuil dans les fornms, Dimmenses voiee yui omvront les fo-- réts, et nous aurouk mérité quelque utX fait Ottnwa pendant tr wire mourit i c qulils (!'J(-tnit choistasant / ses iks gugnent terre des aseaillants, n fivorable, a'y i ctranchent, | Les en trop petit nom + gortir, rddent s notre pays. e ursy . . . Yous semblez m'Geou tounement et une sorte d'im , yous me reprochez sans laisser égarer mon imagina-- de nos Ottawnks. . Oui, je o nlosais continuer mon su-- ous me conunandez done de coour de T 2 & connaitr mdez--vous « les fhutes o n qn'il nb w t t watks «'loi qi suite edt été un va le« Ottawaka neus difficulté de le rece Malheurensement ibattent pas, et. no (im qlum"Lur rave dans 'lenr grave rent |ms r(-'fi:'hir vennient de faire une grande faute peére Dreuillettes oix par aon incue-- Is chantent ot is ns songera@ Elro-- des mm sil-- atteignent, des ils ont des morts tins de. conrage ils tournent har overs Pennemi noix se découyre it ses. victimes. nt ferre, pergent Hants, prennent le, s'y maifttien-- t. lmhwm tit nombre pour limnient nt nt it nutour de jours, déter faim es Of , los jounes wrmues & fen, 's'en sorvir; destruction et les out de revenir Cest une en rem nc de A vos an> M3 La chose était malaisée. Mais le nain n'était point modeste. :Zm-il été nain sans cela ? a premibre fantaisie cependant I'mmma. I! préféra le drame & la comédic. . Setlement i1 changen en-- core une fois de ton et abaissa un peu le val tlo on Pégnse. Mes amis, poursuivit--il en prenant cette voix do conteur sans emphase qui n'exclut point le mystare et ap-- pelle l'intérét, I'"Homme de Fer sera quement le cette terreur ' VIL. --L'égline ot le cimitiore. _ Fiera--Bras 'Araignoire était évi-- domment satisfait de_Neffet produit par son (Iell;:?uvmae. I avait grande peine & garder sa gravité. _ Des gens moins complétement, subjngués que lea braves prysans nasis dans ln cuf-- sine du Roz auraient découvert, A des iymrwmn infaillibles, :lm- Ia nature espi¢gle du nain allait bientot pren-- dre le dessus, et que tout ce lyrisme devait finir en comédie. Par le fait, Fier--a--Bras 6tait en équilibre entre deux fantaisios, La premidre le poussait & prolon-- ger eette solennelle l;-nn'unn- qui ser-- rait le ccsur de son muditoire. La: iOttama. Fouilloton du Courrier d'Ottawa. L'HOMME DE FER. PREMTCRE PARTIE. > conps do. fusil ; mais en l\'lin; it court jusqu'au village le plus proche, nfin de loner du monde pour qu'on retrouve le Pére ; mais, purnm"'-onr, il a'Cgare luianéme, A continven. tion que celle de célébrer la sainte Messe. Le moindre accident pouvait Iui cofiter In vie ; un mecidenut vint en effet, Apros un portage nasez long, son compagnon regarde en arriére w'il ne voit pae venirde bon vicillard ; il «'inquiéte de son retard, i1 le cher-- che, il Vappelle, il tire jusqu'd cing aun de T'Ouataumis et celui de met-- nir %uan&- de coux Je | qui n avaient pas fait partie du voya-- ce, | ge & Québec, sont des motifs néces 81 'il | saires pour nous faire comprendre la lfi Oh;l'h:kc.dneemn-n Les W wnuM t. es périls u30900 in "AOeaent Kimui les luf;é;--zh':~vl-1;fl-7!,.';».u- Mais le Malin Esprit so servait de un L y e § mais celle--ci em au Lac plus que in Toigom J-.-.S:" Fenlinena un nou-- vean Missionnaire, le Pore Jésuite Réné Ménard, (Z. 1660 p. 29 et 1663 5;, 18), \Iél:' fidélehdnnutrln nommé ean in, et huit autres i Ts SMimsicunaito, vimthmd aie opo-- veux hl-n(-u,--vi':flud gréeo«, car il n'avait encore 57 ans et il était chufi'd.'inflrmi&h,--unit four-- ni sa carrigre dans Poeuyre des Mis-- sions Sauvages (R. 1863 p. 17). I1 trayaille maintenant avec tous les les périls auxquels ils s'exposaient ; 'qu-g':méu n'avaient pu suffire & ré{u\sr l«-unr'u; aucune des 200 tribus du LacBnpértieur n'eut le cou rage de lour.murumth.utfi guerriers ; se flouvean yoyage ré,umlmvhouhunounavqg ago mérita lour de is part des Frangais ; 1' des Argonan-- tes wavait prs dté plus bergique ; mais celle--ci emporta au Lac nlus ana Litterature. eur de son nuditoire. . La Vexcitait & faire jaillir bruw le rire du bean milien de Suite comme t an tete ett rebondi contre un mur de granit. @11 n'y avait pourtant rien, les flmn et les filles, rien que la volonté n saint homme, qui était In volonté du Seigneur. > e ~ Le comte Otto jota son lut a'@lamcer sur la c enint Atendit n muatin ; sitme fotw. Otto recula e " Le comte Otto voulut alors lever In main wur Nermite lui--m&me. Son bras retomba paralysé, le long de sa hanche, "En glwieul! répéta qui fut penaud ! je yous nee plus nltra de I'nllwl lour ménage, _ -- Mathurin et Goton s'étaient mm tuellement oubliés, ce qui était le -- Ah dam ! ah dam ! «'cria Pelo clest--i possible !" Et tout le monde d'onvrir les youx In bouche, les orreilles ! Voila une histoire qui les émer veillait ! @@ Pierre. Passetonchemin,et je pric-- rai Diew qu'il Venvoie des pensées " de e»éniwnce." "L/ so prit A rire. « Mflfilflu{ s'crin--t--il, je prierai "le diable pour qu'il tenvoie de «* bonnes pensées damusettc....Fais re-- "tirer ta vache 1" Comme Permite nc répondnit 'wim' Otto leva Pépien qui s'enfongn {luqu 'au manche dans les flanes d'Al-- )a, la vache blanche, L'ermite éten-- dit encore la main. I'6épieu sortit de Ia blessure et tomba'@ terre. II n'y avait pas une soule goutte de sang au for, La vache blmglfi:e continuait de brouter ; In chevrette s'était couchée et soufflait. " Le comte blasphéma et tira son " épée. * Le saint ouvrit son livre d'évan-- " gilea, "Tépée du comte se courba nu vent et se balanga. Ello #'6tait chan-- gée en glaien.... ~OE l4! fit JosilE. Ah! mon Dieu done ! & © Allona! dit--il, tu es plus avancé que moi dans ln science, magique vieillard ! _ Je to salue comme mon maitre, et je te fals hommage. * Mais un cavaliermonta tout droit A l'ennitnge. t Je suis le comte Otto Béringhem, = dit--il, fais retirer tm vache, viefilnrd, * afin que je mette 'Gpieu dans le ven-- " tre de mon gibier. "--Tant pis pour toi, si tu es le " comte Otto ll('-ringlu-m, répondit * Permite ; ton gibier est & moi, puis-- * qu'il est & Pombre de ma croix de Une belle petite chevrette impa la bruyre et vint se eacher :firrrit\re In vache qui broutait & coté du saint homme. -- Lermite étendit ! main. Les chiens conrants passcrent au loin, sans plus flairer Ia trace de la chevret-- te. _ --La paix!... Le matin de In Noél derni¢re, le bienheureux Enguerrand était sur le pas do son ermitage avec sa vache blanche qu'il appelle Alba. 1'Homme de Fer chassait & courre dans le marais. -- L'ermite faisait ses oraisons devant sa croix de pierre. kn chusse (tait au pied du mont Dol. --Patience des anges! s'écrin ¥n-- thurin sans dents en serrant les poings. J'ai.envic.... --De quoi? as--tu envie, Phomme t riposta la bonne femme en prenant sa posture de combat. --La Goton, prononga Fier--4--Bras d'un ton sévre, les chapelets que bé-- nit le saint ermite du mont 'i)ol so changent en couleuyres dans la poche des méchantes femmnos! --Oh t m'oud;n fi;fi;\;rin, In femme doit avoir une couleuvre sous son ta-- Miel"l]ul'l pour sirl _ --Je dis que tu ferais mieux d'é couter ! --De quoi! tu m'empécheras pent-- dtre de dtire quo cost mienlml::ux Enguerrand qui a béni mon rosai-- thurin --Bi nous avons entendu mar du bienheureux Enguerrand! s'cria da-- me Goton. ' . ~--Femme, retiens ta langue fit Ma-- nod pCao Saik P it 1'Homune de fer a la main d'une femme !... ) poes ue is Paabomee rprcfide io fone voix ce cou °_ --D'une jeune fille, reprit Hur Bras ; et ce 'n'est pas moi qui l6 dit. Je ne nhynlnr;,qndque vous en ayez, mes braves gens. Je ne suis pas nor plus assez saint que Jé Ku ou la Viug';;ino Mvfl:;l"wanir... vez--vous en U w"'f Eflflw rD':Iil le Blanc, Permite du mont able.-- Purlons du Mandit. _ _ ' "bmwum_ iafuroe Bae per dn bdounsl de on Qit t Poaionnttsote )'::Ilflp;.hho--:l"' * Non par ar-- de de Bretagne ; '?x'mnllwhhaud'-n-h tué, devines ud t V »devi-- fait peur avee le soleil t Oh ! ho ! jo maie blen @antres mes! Mais'il "I"Wlldloddhl moi,ni des --Et toi tu ferais mieux de te tai :h'"m point par is lance d'un che-- * Non point par in foudré do Dieu (A Continuer,) ! répéta le nain ; et t je vous le demande! jota son épée et vou-- ur la chevrette. Le a mutin pour la troi-- o recula en chancelant, te chit rebondi contre ue nous pouyons avoir en duns